Archive pour le Tag 'Placé'

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Dette: le gouvernement met en place une commission tartempion

Dette: le gouvernement met en place une commission tartempion

Une commission assez hétéroclite a été mise en place par le gouvernement pour tenter de définir les conditions d’amortissement de l’énorme dette française amplifiée par le Coronavirus. Présidée par le centriste Jean Arthuis, ancien ministre des Finances sous Chirac, la commission accueille également la socialiste Marisol Touraine, ministre de la Santé sous François Hollande. L’équilibre est aussi respecté entre le privé et le public. Y siègent l’ancienne présidente du Medef, Laurence Parisot et le PDG d’ADP, Augustin de Romanet, mais aussi les hauts fonctionnaires Jean-Luc Tavernier, patron de l’Insee, et le magistrat à la Cour des comptes Raoul Briet. Côté économistes, c’est également la diversité qui s’impose avec, l’Italo-Suisse Beatrice Weder Di Mauro, ex-conseillère des chanceliers allemands Gerhard Schroeder et Angela Merkel, l’Américano-Autrichien Thomas Wieser, qui travaille pour l’Union européenne, la professeur à la London Business School Hélène Rey, et Natacha Valla de Sciences Po.

 

Notons qu’au 31 octobre le déficit budgétaire s’est élevé à 160 milliards contre 108 à la même période. Par ailleurs 2020 la dette sera passée de 100 % du pipe à 120 %. En clair, on a hypothéqué plus d’une année de richesse nationale . Les solutions sont bien connues;  le remboursement de cette dette pourra se faire via l’inflation qui diminuera le pouvoir d’achat, par l’impôt mais en amortissant la fiscalité de cette dette sur de très nombreuses années et partiellement par les fruits de la croissance. La dernière solution étant de faire défaut, c’est-à-dire de ne plus rembourser la dette mais en même temps de ne plus pouvoir emprunter. Bref une sorte de faillite.

 

Innovation sémantique. Hollande propose «Socialistes» à la place de parti socialiste

Innovation sémantique. Hollande propose «Socialistes» à la place de parti socialiste

 

On savait que François Hollande n’avait pas inventé la lune, qu’il ne laissera pas une grande trace dans l’histoire du pays et même du parti socialiste. En effet, il a largement contribué à l’écroulement du parti et à l’image des socialistes pouvoir.

 

On se souvient qu’il a même été empêché de se présenter en 2017 faute de crédibilité. Que son remplaçant comme socialiste, Benoît Hamon,  a seulement reçu 6 % des voix. Les sondages actuels prévoient de l’ordre de 3 % pour un éventuel candidat du parti socialiste.

 

Du coup, le secrétaire actuel de ce parti Olivier Faure  propose de supprimer le nom et de tout remettre en cause. En clair de liquider le parti socialiste.

 

Et pour sauver la boutique, François Hollande fait la proposition sémantique révolutionnaire en remplaçant « parti socialiste » par « socialistes ». François Hollande fait vraiment parti du patrimoine culturel politique français pour oser de telles banalités. Manquerait plus que Ségolène Royal mette son grain de sel et propose par exemple « socialistes d’avenir » !

 

LE MAIRE EELV DE GRENOBLE mal placé pour défendre les maires écolos dingos

LE MAIRE EELV DE GRENOBLE mal placé pour défendre les maires écolos dingos 

Éric Piolle, maire EELV de Grenoble, qui avait déclaré que la 5G servirai surtout à regarder des vidéos pornos dans l’ascenseur se fait l’avocat des maires écolos de Bordeaux et de Lyon qui eux aussi ont largement dérapé avec des propos invraisemblables contre des événements populaires. À noter que l’intéressé a conservé une toute petite partie dans sa société de gestion financière ( aux dimensions mondiales) mais que son épouse assume toujours un poste de directrice. D’après Wikipédia,  en 2001, il a co-fondé l’entreprise Raise Partners avec François Oustry7’, une société spécialisée en gestion de risques financiers.

Le site de Millenium Gobal, société d’investissement, précise que Raise Partner est une société de Technologie financière qui propose des solutions d’analyse de risque et d’optimisation de portefeuille, type Gestion alternative pour des investisseurs et des banques privées dans le monde entier.

La société Raise Partners, basée à Grenoble, dispose de filiales situées à Londres et à Singapour. Les opposants à Éric Piolle lui reprochent d’avoir accepté des clients recourant aux paradis fiscaux. À l’occasion d’une interview, celui-ci indique avoir conservé uniquement 0,5 % du capital2. Selon l’information publiée par le site efinancialcareers publiée en janvier 2016, la société Raise Partner, dirigée désormais par Sophie Echenim, compte toujours comme directrice de la recherche et du conseil, madame Piolle

 

Piolle a donc contre-attaqué ce dimanche, dans une vidéo publiée sur son compte Twitter, après les polémiques épinglant ses homologues de Lyon et de Bordeaux.

Selon l’élu isérois, les attaques répétées à l’encontre des écologistes ne sont qu’une conséquence de l’arrivée au pouvoir d’élus écolos dans les grandes villes, contre le « système ».

« Ce qui déclenche [les attaques, NDLR]« , dit-il, « ce ne sont pas les petites phrases, c’est le cap qui a été porté par les écologistes, un cap qui a été choisi par un grand nombre de Français et Françaises dans les grandes villes et villes moyennes (…) Pour eux, c’est un modèle qui attaque la logique néo-libérale productiviste d’exploitation de la terre et des humains. La meilleure défense c’est l’attaque, donc ils attaquent de tout ce qu’ils peuvent », explique-t-il.

Place de marché numériques au service de la relocalisation ?

Place de marché numériques au service de la relocalisation ?

 

 

Après Nantes et Nice, la capitale de la Touraine se dotera à la rentrée d’une plate-forme digitale de e-commerce de proximité. Développé notamment par Wishibam et Ma ville Mon shopping, ce canal de diffusion pourrait être amené à se développer fortement post-confinement face aux GAFA.

Le plan Etincelle, lancé par le maire de Tours le 28 avril, est bien plus ambitieux que l’aide d’1,5 million d’euros distribuée aux habitants sous forme de bons d’achats dans les commerces de la ville. En partenariat avec la CCI d’Indre et Loire, Christophe Bouchet compte installer en septembre une plate-forme territoriale ouverte aux quelque 2.000 commerçants tourangeaux. A la clé, la possibilité pour le consommateur de commander en ligne, puis de récupérer (Click and collect) ou de se faire envoyer sa commande. « La fermeture des magasins pendant près de deux mois a démontré la nécessité pour les commerçants d’entrer enfin dans l’ère digitale. En ce sens, la crise sanitaire sert à la fois d’avertissement et d’accélérateur, constate Philippe Roussy. Si le commerce de proximité veut continuer à exister, il n’a pas d’autre choix que d’être également présent sur le numérique ».

Blockchain à la place de la monnaie ? ou un hold-up de souveraineté !

 

Blockchain à la place de la monnaie ? ou un hold-up de souveraineté !

 

Un article intéressant  sur les potentialités du rôle de la technologie Blockchain  et derrière des cryptomonnaies . Le problème, c’est que cet article chronique paru dans la Tribune émane d’une responsable d’un fonds  d’investissement  luxembourgeois dont l’activité est d’investir dans les cryptomonnaies. Il y a d’abord une confusion , en tout cas une réduction du rôle de la technologie Blockchain à la cryptomonnaie . En effet la dite technologie Blockchain pourra servir à bien d’autres applications qu’à la monnaie pour sécuriser les données. Ensuite, c’est un plaidoyer pro domo pour faire sauter la souveraineté des Etats en matière de monnaie et soumettre ces derniers au marché des crypto monnaies. Il s’agit en fait d’un enjeu considérable, celui de soustraire la monnaie à la souveraineté des Etats pour la transférer à la finance mondialisée. Une sorte de hold-up démocratique en quelque sorte.

 

 Sadry Bouhejba, CIO de Archery Blockchain. (*) veut démontrer que  L’émergence de nombreuses cryptomonnaies ces dernières années remet en cause la vision de la monnaie conventionnelle, souveraine et centralisée. Dans ce contexte, la technologie Blockchain, transparente, sécurisée et sans organe de contrôle, apparaitrait  être un moyen de repenser le système financier traditionnel.

 

Tribune

 

« Pendant longtemps, nous échangions à l’aide d’une monnaie fiduciaire (pièces
et billets de banque). Mais alors, un devoir s’est vite imposé : comment pallier les risques de fraudes et ses falsifications en tous genres ? Aujourd’hui, une monnaie scripturale est apparue via un simple jeu d’écriture et une inscription sur les comptes bancaires. Cette monnaie domine largement les échanges de valeur. Son évolution a d’ailleurs explosé notamment avec l’arrivée de la carte bancaire et du smartphone.

Aujourd’hui, la monnaie est grandement dématérialisée et les nombreuses innovations technologiques relatives à la sécurité révolutionnent le paiement de nos achats quotidiens : reconnaissance vocale et faciale, empreinte digitale, etc. Bien que ces évolutions technologiques aient fortement sécurisé les moyens de paiement, il n’en demeure pas moins qu’une quantité relativement importante d’argent sort du circuit classique pour être utilisée à des fins illégales.

Et si dans un futur proche, les monnaies nationales traditionnelles reposaient sur une Blockchain nationale, qui enregistrerait les transactions ?

Le principal avantage d’un système monétaire reposant sur une Blockchain s’inscrit dans la suppression d’intermédiaires lors de transactions financières. Par exemple, lorsque des sommes importantes sont transférées d’un compte à un autre, il est
obligatoire d’en prouver la provenance ainsi que de respecter des protocoles stricts imposés par les banques et leurs régulateurs.

Si cet argent reposait sur un système gouverné par la Blockchain, il serait beaucoup plus simple de retracer l’origine de l’argent transféré et de contrôler l’identité du donneur d’ordre. Outil redoutable de lutte contre les fraudes, le registre de la Blockchain enregistre chaque entrée d’argent, les attribue de manière unique à un intervenant rendant impossible toute modification ultérieure. L’historique de toutes les transactions apparaît ainsi sur une base de données décentralisée sans intermédiaires permettant à chaque membre du réseau de constater la validité des transactions.

Il est difficile d’imaginer que les monnaies fiat puissent être complètement remplacées par des cryptomonnaies. En effet, le système monétaire traditionnel offre aux utilisateurs la liberté de pouvoir disposer d’argent sans être obligé de se connecter à un réseau. Imprimée, portative et échangeable, cette monnaie simplifie les échanges. À l’heure actuelle, aucun État ne peut pousser la technologie à un tel niveau que cela ait pour conséquence de marginaliser les personnes n’ayant pas accès à Internet.

Cependant, le système monétaire actuel pourrait évoluer vers un modèle hybride. Concrètement, des comptes en banque disposeraient à la fois d’une monnaie classique et d’un solde en monnaie digitale. Certaines transactions majeures ne pourraient être réalisées qu’avec la monnaie digitale, charge donc aux banques de faire la conversion de l’euro classique vers la Blockchain sans même que l’utilisateur final s’en aperçoive. Une future administration ou un service auprès des banques serait ainsi en mesure de valider la chaîne de transfert en fournissant un rapport Blockchain attestant de la traçabilité de l’argent. Ce système aurait l’avantage d’être non seulement sécurisé, mais permettrait également de réduire les coûts de stockage, la Blockchain n’ayant pas besoin de banque de dépôt et de manutention des billets ou pièces. Ces dernières années, la cryptomonnaie, et plus largement la Blockchain, ont fait couler beaucoup d’encre, mettant en avant de nombreux scandales et blanchiments d’argent. Cette technologie apparue il y a plus de dix ans a fait l’objet de vives critiques et de nombreux détracteurs ont tenté de la faire échouer. Pourtant, elle a prouvé son efficacité au gré du temps et se démocratise de plus en plus. À tel point que de nombreux États étudient de façon approfondie le potentiel d’un système monétaire qui reposerait sur une Blockchain nationale. La BCE a récemment ouvert un groupe de réflexion sur la possibilité de créer un euro digital basé sur une Blockchain. ……i représente une véritable innovation dans la manière d’échanger et de transférer de façon traçable de la valeur. C’est finalement la blockchain - longtemps décriée et accusée d’évasion fiscale ou de blanchiment – qui parviendra à mettre fin à ces détournements d’argent. »

(*) Archery Blockchain est un fonds d’investissement luxembourgeois dont l’activité est d’investir dans les cryptomonnaies.

Blockchain à la place de la monnaie ?

 Blockchain à la place de la monnaie ?

Un article intéressant  sur les potentialités du rôle de la technologie Blockchain  et derrière des cryptomonnaies . Le problème, c’est que cet article chronique paru dans la Tribune émane d’une responsable d’un fonds  d’investissement  luxembourgeois dont l’activité est d’investir dans les cryptomonnaies. Il y a d’abord une confusion en tout cas une réduction du rôle de la technologie Blockchain à la cryptomonnaie . En effet la dite technologie Blockchain pourra servir à bien d’autres applications qu’à la monnaie pour sécuriser les données. Ensuite c’était un plaidoyer pro domo pour faire sauter la souveraineté des Etats en matière de monnaie et soumettre ces derniers au marché des crypto monnaies.

 Sadry Bouhejba, CIO de Archery Blockchain. (*) veut démontrer que  L’émergence de nombreuses cryptomonnaies ces dernières années remet en cause la vision de la monnaie conventionnelle, souveraine et centralisée. Dans ce contexte, la technologie Blockchain, transparente, sécurisée et sans organe de contrôle, apparaîttrait  être un moyen de repenser le système financier traditionnel.

« Pendant longtemps, nous échangions à l’aide d’une monnaie fiduciaire (pièces
et billets de banque). Mais alors, un devoir s’est vite imposé : comment pallier les risques de fraudes et ses falsifications en tous genres ? Aujourd’hui, une monnaie scripturale est apparue via un simple jeu d’écriture et une inscription sur les comptes bancaires. Cette monnaie domine largement les échanges de valeur. Son évolution a d’ailleurs explosé notamment avec l’arrivée de la carte bancaire et du smartphone.

Aujourd’hui, la monnaie est grandement dématérialisée et les nombreuses innovations technologiques relatives à la sécurité révolutionnent le paiement de nos achats quotidiens : reconnaissance vocale et faciale, empreinte digitale, etc. Bien que ces évolutions technologiques aient fortement sécurisé les moyens de paiement, il n’en demeure pas moins qu’une quantité relativement importante d’argent sort du circuit classique pour être utilisée à des fins illégales.

Et si dans un futur proche, les monnaies nationales traditionnelles reposaient sur une Blockchain nationale, qui enregistrerait les transactions ?

Le principal avantage d’un système monétaire reposant sur une Blockchain s’inscrit dans la suppression d’intermédiaires lors de transactions financières. Par exemple, lorsque des sommes importantes sont transférées d’un compte à un autre, il est
obligatoire d’en prouver la provenance ainsi que de respecter des protocoles stricts imposés par les banques et leurs régulateurs.

Si cet argent reposait sur un système gouverné par la Blockchain, il serait beaucoup plus simple de retracer l’origine de l’argent transféré et de contrôler l’identité du donneur d’ordre. Outil redoutable de lutte contre les fraudes, le registre de la Blockchain enregistre chaque entrée d’argent, les attribue de manière unique à un intervenant rendant impossible toute modification ultérieure. L’historique de toutes les transactions apparaît ainsi sur une base de données décentralisée sans intermédiaires permettant à chaque membre du réseau de constater la validité des transactions.

Il est difficile d’imaginer que les monnaies fiat puissent être complètement remplacées par des cryptomonnaies. En effet, le système monétaire traditionnel offre aux utilisateurs la liberté de pouvoir disposer d’argent sans être obligé de se connecter à un réseau. Imprimée, portative et échangeable, cette monnaie simplifie les échanges. À l’heure actuelle, aucun État ne peut pousser la technologie à un tel niveau que cela ait pour conséquence de marginaliser les personnes n’ayant pas accès à Internet.

Cependant, le système monétaire actuel pourrait évoluer vers un modèle hybride. Concrètement, des comptes en banque disposeraient à la fois d’une monnaie classique et d’un solde en monnaie digitale. Certaines transactions majeures ne pourraient être réalisées qu’avec la monnaie digitale, charge donc aux banques de faire la conversion de l’euro classique vers la Blockchain sans même que l’utilisateur final s’en aperçoive. Une future administration ou un service auprès des banques serait ainsi en mesure de valider la chaîne de transfert en fournissant un rapport Blockchain attestant de la traçabilité de l’argent. Ce système aurait l’avantage d’être non seulement sécurisé, mais permettrait également de réduire les coûts de stockage, la Blockchain n’ayant pas besoin de banque de dépôt et de manutention des billets ou pièces. Ces dernières années, la cryptomonnaie, et plus largement la Blockchain, ont fait couler beaucoup d’encre, mettant en avant de nombreux scandales et blanchiments d’argent. Cette technologie apparue il y a plus de dix ans a fait l’objet de vives critiques et de nombreux détracteurs ont tenté de la faire échouer. Pourtant, elle a prouvé son efficacité au gré du temps et se démocratise de plus en plus. À tel point que de nombreux États étudient de façon approfondie le potentiel d’un système monétaire qui reposerait sur une Blockchain nationale. La BCE a récemment ouvert un groupe de réflexion sur la possibilité de créer un euro digital basé sur une Blockchain. ……i représente une véritable innovation dans la manière d’échanger et de transférer de façon traçable de la valeur. C’est finalement la blockchain - longtemps décriée et accusée d’évasion fiscale ou de blanchiment – qui parviendra à mettre fin à ces détournements d’argent. »

(*) Archery Blockchain est un fonds d’investissement luxembourgeois dont l’activité est d’investir dans les crypto-monnaies.

Nouvelle mode, le naming; : le stadium Coca à la place du parc des princes

Nouvelle mode, le naming; : le stadium Coca à la place du parc des princes

 

Le naming, une tartufferie sémantique   pour définir le  parrainage qui consiste à attribuer le nom d’une marque ou d’une société marraine à une enceinte sportive, un bâtiment, , une compétition, un classement, .

le PSG  envisage par exemple de solliciter  entreprises qui souhaiteraient accoler leur nom à la célèbre enceinte. L’opération, qui n’aura pas lieu avant 2024, pourrait rapporter plusieurs millions d’euros au PSG. Mais elle devra obtenir l’aval de la Ville de Paris. Le parc pourrait devenir le stadium Coca. dans le même philosophie l’arc de Triomphe pourrait porter le nom de Google et la Tour Eiffel Tour  Amazon; Même l’Elysée pourrait être tenté de porter le nom de Trump building. Une vraie folie sémantique pour trouver des financements . Une manière aussi de privatiser un nom avant peut être d’aller plus loin de vendre les murs .

Au grand dam des supporters du club, le PSG a officialisé sa volonté de renommer le stade au sein duquel il évolue, le célèbre Parc des Princes. Plus précisément, il s’agira d’accoler le nom d’un sponsor à celui de l’enceinte, pour une durée déterminée. Il est vrai que l’équipe du PSG a déjà été vendue au Qatar pourquoi pas aussi le stade et même le ville de Parois. Un émir à la place du maire nous éviterait peut -être des élections inutiles et coûteuses.

Intelligence artificielle : « Les humains sont loin d’avoir perdu leur place en entreprise »

Intelligence artificielle : « Les humains sont loin d’avoir perdu leur place en entreprise »

Sur cette question très complexe et très controversée, Cyril Le Mat, responsable data & IA dans une société spécialisée en ressources humaines, l’intelligence artificielle sert à humaniser le travail et non à le remplacer, dit-il dans une tribune au « Monde ».Un vision qui mérite attention mais peut être un peu idyllique car personne ne sait vraiment quelles seront les conséquences de l’IA notamment en matière d’emplois.

Tribune. Nous sommes aujourd’hui submergés d’articles, d’entretiens et de Tweet sur l’intelligence artificielle (IA) émanant de personnes déconnectées de la réalité technique, mais qui puisent sans vergogne dans un imaginaire de concurrence et de soumission afin de générer toujours plus d’émotion et de clics.

En tant qu’expert et praticien de l’IA en entreprise, ma volonté est ici d’éclairer sur les enjeux du développement de ces nouveaux outils, qui se révèlent plus humains qu’on ne pourrait le penser. Car la réalité est là : ce qu’on appelle l’intelligence artificielle n’est qu’une succession d’outils spécialisés, chacun consacré à l’optimisation d’une unique tâche répétitive. Exemple classique : l’imagerie médicale, où un algorithme va analyser pour un cancer précis des centaines d’images afin de proposer au médecin un diagnostic. Œuvre de l’humain, l’IA n’est rien de plus que ce que l’on décide d’y mettre.

 

L’IA permet avant tout d’automatiser des actions souvent répétitives, parfois ingrates, jusque-là opérées par des collaborateurs. Il faut en finir avec l’idée reçue qui remettrait aux mains des machines la majorité de l’activité humaine de l’entreprise. L’IA doit être abordée comme une opportunité technologique qui permet de dégager du temps au salarié et de l’aider à prendre des décisions. 

Le collaborateur va donc pouvoir se concentrer sur d’autres missions plus « humaines », où il aura plus de valeur ajoutée. Il pourra d’un côté se focaliser sur sa créativité, son innovation et son analyse ; de l’autre, se consacrer aux relations humaines, qu’elles soient internes ou externes à l’entreprise : par exemple, une infirmière pourra passer plus de temps avec ses patients. En cela, l’IA redonne du sens au travail, quête essentielle pour les jeunes générations.

 

Opaque dans son fonctionnement, l’IA est un outil qui nécessite une interaction par certains aspects similaire à celle entre humains. Sur ce point, les solutions connues du grand public sont encore loin de la maturité. En effet, les GAFA [Google, Apple, Facebook et Amazon] ont pour principal but de garder captifs leurs utilisateurs en ne leur fournissant ni outils de pilotage ni justification. Il faut pourtant s’assurer qu’humains et IA se comprennent tant sur les questions que sur les réponses ! La collaboration avec l’humain est un enjeu phare pour les solutions d’entreprise dont la progression va affecter positivement la réalité du travail. 

Ne soyons pas naïfs, des suppressions d’emplois causés par l’IA auront lieu. Mais la réalité sera loin des nombreuses prédictions de certains groupes de réflexion ou d’essayistes hors sol annonçant, selon les cas, la suppression de 30 % à 90 % des emplois actuels. Les humains sont loin d’avoir perdu leur place en entreprise. Avec le développement des solutions IA au travail, les salariés se tourneront vers des missions plus enrichissantes pour des carrières plus épanouissantes.

Réforme des retraites: la durée de cotisation à la place de l’âge

Réforme des retraites: la durée à la place de l’âge

Profitant de sa présence à la télé pour rendre compte du G7 Macron à évoqué aussi l’épineuse question de la réforme des retraites. Après les protestations relatives à l’ambiguïté du réel départ à la retraite, le chef de l’État semble désormais privilégier le concept de durée de cotisation.

 

« Si on fait une réforme comme d’habitude, on repousse l’âge de départ à la retraite, a expliqué le président. Si on décale l’âge légal, c’est pas clair. Le régime qu’on est en train de créer doit être équilibré, mais je souhaite qu’il y ait un accord sur la durée de cotisation, plutôt que sur l’âge. »

Le président avoue cependant que rien n’est tranché et qu’il conviendra encore de débattre. Ce dossier des retraites est en effet explosif,  il est aussi très complexe. D’où l’extrême prudence de Macron concernant par exemple l’évolution des retraites de certaines catégories sensibles.

D’abord, le président a assuré que rien n’était tranché. Notamment en ce qui concerne l’âge pivot, l’âge en deçà duquel les actifs qui voudraient partir à la retraite verraient leur pension subir une décote. « Ce n’est pas décidé », a ainsi précisé Emmanuel Macron. Pour autant, le président ne souhaite pas toucher à l’âge légal de 62 ans.

« Si on fait une réforme comme d’habitude, on repousse l’âge de départ à la retraite, a expliqué le président. Si on décale l’âge légal, c’est pas clair. Le régime qu’on est en train de créer doit être équilibré, mais je souhaite qu’il y ait un accord sur la durée de cotisation, plutôt que sur l’âge. »

Emmanuel Macron a par ailleurs salué le « travail remarquable qui a été fait par Jean-Paul Delevoye » qui porte un projet de réforme en profondeur.

« On doit refonder notre système de retraites, compromis d’après-guerre, mais la solidarité entre les générations, ça on le maintient. Ce système-là, on l’a progressivement transformé, abîmé et rendu injuste, on a créé une quarantaine de régimes, ce n’est pas vraiment juste », a expliqué le président qui souhaite un régime de retraites universels.

Sur la méthode, le président a rappelé qu’il tenait à la concertation. « Le Premier ministre, va commencer la semaine prochaine des consultations avec tous les partenaires sociaux, on va la construire tous ensemble cette réforme », a rappelé Emmanuel Macron qui a réaffirmé les objectifs d’un système qui soit « équilibré en 2025 et juste en terme de cotisations ». Notons que ce n’est sans doute pas un hasard si les décisions définitives concernant la réforme ont été reportée après les municipales de 2020. !

Climat accord de Paris : un G19 qui approuve à la place d’un G20

Climat accord de Paris : un G19 qui approuve à la place d’un G20

 

 

En difficulté dans son propre pays quant au mesures prises pour améliorer la qualité du climat Macron a trouvé la combine pour obtenir un soutien de principe à l’accord de Paris. Ce sera un j’ai 20 – 1 qui renouvellera son appui à la lutte contre le réchauffement climatique. En clair on contourne l’obstacle des États-Unis ne veut pas entendre parler de cet accord qui a été signé en 2015 à Paris. Un accord qui concrètement ne change encore pas grand-chose y compris en France qui ne tient pas ses promesses de réduction des démissions mais qui au moins sur le plan psychologique permet de faire prendre conscience des menaces qui pèsent sur l’avenir de la planète. Certains pays se sont d’ailleurs engagés beaucoup plus que la France pour prendre des mesures opérationnelles y compris la Chine même si le niveau de pollution demeure forcément inquiétant. Mais il faut voir d’où la Chine partait en tant que zone qui concentre l’essentiel des usines du monde. La Chine a par exemple pris une avance en matière de développement des véhicules électriques. Bien d’autres mesures sont prises ailleurs. La tâche est ici les complexes cars il s’agit d’articuler une évolution des modes de production et des modes de consommation en prenant aussi en compte l’acceptabilité sociale des mesures de transition. Justement une problématique que la France a un peu de mal à intégrer concrètement .

Un des fondateurs de Place publique, L’économiste Thomas Porcher, quitte le mouvement

Un des fondateurs de Place publique, L’économiste Thomas Porcher, quitte le mouvement

 

 

L’économiste Thomas Porcher, un des fondateurs du mouvement place publique quitte le mouvement qui a décidé de participer à l’opération sauvetage du parti socialiste (interview du JDD)

Pourquoi ne participerez-vous pas à la campagne européenne de Place publique (PP)?
Quand on a créé PP, on avait une promesse : mettre les citoyens au cœur des institutions en rassemblant toutes les forces de gauche. Aujourd’hui, on se retrouve cornérisé avec le PS, quelques petites chapelles, comme l’Union des démocrates et des écologistes [UDE], et un mouvement de centre droit, Cap21, qui a fait campagne pour Emmanuel Macron ! Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, a annoncé que toutes les tendances de son parti seraient représentées : ce sera une liste d’apparatchiks, pas de citoyens. C’est pourquoi je préfère quitter Place publique.

Pourquoi ne pas se satisfaire de cette union d’au moins quelques forces de gauche?
Je n’ai pas envie de servir de caution de gauche au PS, ni que Place publique soit le nouvel emballage d’un produit périmé.

Qu’aurait dû faire Place publique?
On voulait rassembler du PS à La France insoumise. Mais les appareils politiques se sont recroquevillés sur eux-mêmes. Les communistes veulent se reconstruire ; Yannick Jadot veut y aller seul, sur une ligne difficile à cerner : écologie libérale ou populaire, on n’arrive plus à savoir. À partir de là, on aurait dû passer notre tour.

« Renouveau » des Républicains : Hortefeux et Morano en bonne place sur la liste européenne

« Renouveau » des Républicains : Hortefeux et Morano en bonne place sur la liste européenne

 

Brice Hortefeux et Nadine Morano, symboles des années Sarkozy et eurodéputés sortants, figurent dans les cinq premières places de la liste des Républicains aux élections européennes du 26 mai, approuvée mercredi par la commission d’investiture. Pas étonnant si un récent sondage et la pour BFM indique que le parti les républicains n’incarnent pas vraiment le renouveau en termes d’idées comme de personnalité. Pour preuve Le président du parti Laurent Wauquiez, qui a la haute main sur les investitures, a réservé les quatrième et cinquième places respectivement à Nadine Morano et Brice Hortefeux, dont les profils ne font pas consensus en interne. Certains représentants de la génération montante voient en effet dans ces deux ex-ministres sarkozystes un frein au renouvellement dont Laurent Wauquiez a fait un credo. Le parti républicain a quand même échappé à la candidature de Rachida Dati, l’archétype de l’oligarque qui semblent vouloir se consacrer à la politique parisienne les municipales en 2020 Suivent, en position éligibles, des sortants, comme Geoffroy Didier, Franck Proust et Anne Sander, et des nouveaux venus, à l’image de Laurence Sailliet, porte-parole de LR. Les sarkozystes sont représentés notamment par Frédéric Péchenard, proche de l’ancien président, et les centristes d’Hervé Morin, alliés à LR, ont une place éligible réservée – celle apparemment laissée libre par Rachida Dati.

JOOM : la place de marché pour vendre des produits chinois à bas prix

JOOM : la place de marché pour vendre des produits chinois à bas prix

 

Comme Amazon, la nouvelle place de marché JOOM  veut recruter des distributeurs et des producteurs français pour les aider à commercialiser leurs produits. Cependant l’objectif central est de concurrencer Amazon pour vendre des produits chinois à bas prix. Finalement, la même stratégie qu’Amazon qui s’infiltre dans les processus de distribution d’une part pour mettre la pression sur les producteurs locaux,  d’autre part pour les concurrencer avec des produits étrangers. Un véritable massacre se prépare chez les producteurs et les distributeurs.

Et pour se justifier la plate-forme argumente en considérant que les commerçants français seront aussi en mesure de vendre aux consommateurs français et que prochaine étape consistera à aider les marchands français à vendre leurs produits en Europe. Ensuite, nous ciblerons les marchands d’autres pays européens”, a déclaré Ilya Shirokov, PDG et cofondateur de JOOM. “Si nous réussissons en France, nous réussirons en Europe”, a-t-il ajouté. Son ambition à terme est de devenir “le choix numéro deux en France et en Europe après Amazon”. JOOM, comme ses rivaux Wish, basé aux Etats-Unis, et AliExpress, propriété du chinois Alibaba, peut maintenir des prix bas en important massivement des articles sans marque directement des fabricants chinois. S’il cible la France, où il est présent depuis l’été 2017, c’est que le pays est déjà son plus grand marché en Europe. L’Europe représente 50% de la valeur brute de marchandises de JOOM et la Russie 45%. Les consommateurs français font partie des utilisateurs les plus actifs en Europe, avec 4.000 nouveaux utilisateurs qui installent l’appli JOOM chaque jour, selon le groupe. La France a également un goût pour la mode, un marché sur lequel JOOM est fort, de même que dans les secteurs des chaussures et des cosmétiques, selon Ilya Shirokov. Le recrutement de commerçants français pour les intégrer dans son répertoire permettra à JOOM d’assurer une livraison plus rapide aux clients, tandis que les produits français apporteront également plus de valeur. “Les consommateurs français veulent acheter des articles de marque qui sont stockés localement ou dans des pays voisins. Je pense que la vente de produits français dépassera celle des produits chinois dans environ un an”, a estimé Ilya Shirokov.

Actuellement, JOOM propose 10.000 produits de marchands français, tels que les marques de mode Le Temps des Cerises ou Kaporal. Atteindre le million sera un gage de succès.La société, a dit Ilya Shirokov, a été approchée par des acteurs mondiaux du secteur.A plus long terme, JOOM pourrait étendre son offre à l’épicerie et aux produits frais, des domaines dans lesquels Amazon est à la traîne en France et en Europe.Ilya Shirokov, qui a 37 ans, a cofondé le premier réseau social russe “Moï Kroug” en 2005 et l’a ensuite vendu au moteur de recherche russe Yandex. Son appli JOOM, a-t-il dit, offre un environnement de réseau social dans lequel les marques peuvent également promouvoir leurs produits via des blogueurs.

Fonctionnaires : le contrat à la place du statut

Fonctionnaires : le contrat à la place du statut

C’est la proposition du  ministre de l’Action et des Comptes publics qui propose une généralisation du contrat d’embauche pour les fonctionnaires, L’objectif étend de favoriser la mobilité entre public et privé.  Les agents pourront désormais «venir pour 5, 10 ou 15 ans dans la fonction publique». Gérald Darmanin a toutefois ajouté qu’il était «important» de «garder» le statut pour une «partie» des fonctionnaires, «notamment» dans les «fonctions les plus régaliennes», sans donner plus de détails. C’est proposition ont été immédiatement combattues par tous les syndicats qui voient une remise en cause du concept de fonction publique. Ce qui est certain, c’est que Darmanin met les pieds dans le plat de la cathédrale administrative en bousculant le clergé et ses fidèles. L’occasion peut-être de distinguer la fonction régalienne de la manière de l’exécuter y compris compte tenu du statut social. Notons par ailleurs que nombre de salariés du privé assume déjà des fonctions d’intérêt général dans le cadre de contrats de service public passé avec les entreprises privées. Inversement certains fonctionnaires assument des tâches qui n’ont pas grand lien avec le concept de service public, Et qui pourraient être assurées dans des conditions de meilleur compétitivité et de qualité par le privé.  Exemple le ramassage scolaire essentiellement assuré par des entreprises privées. Contacté par l’AFP, un conseiller de Gérald Darmanin réfute toute nouveauté dans l’annonce du ministre. Il indique que le gouvernement étudie «l’extension des exceptions» pour les emplois permanents afin d’«étendre le recours au contrat» et réfléchit «où placer le curseur». «C’est tout ce que le ministre a dit», défend-il.  D’autres mesures concernant la fonction publique sont attendues lundi, à l’occasion du deuxième comité interministériel de la transformation publique, à l’initiative du Premier ministre Édouard Philippe. Celui-ci permettra «de faire davantage d’annonces ou de les préciser», a déclaré dimanche Gérald Darmanin. À l’issue du premier comité, en février, il avait provoqué un tollé chez les syndicats en évoquant la mise en place de «plans de départs volontaires» dans la fonction publique. Il a repris l’expression dimanche en annonçant qu’ils permettraient aux fonctionnaires de «rester» ou de «partir» avec «24 mois de salaire» et «la possibilité de toucher le chômage, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici». . Pour reclasser les partants, Gérald Darmanin a confirmé la «création d’une agence de reconversion» pour les agents publics, et annoncé qu’il souhaitait que les «passerelles entre le public et le privé» soient «encouragées».

Ségolène à la place de Hulot ?

Ségolène à la place de Hulot ?

 

Toutes les hypothèses sont ouvertes pour remplacer Nicolas Hulot. Pas tellement pour prendre en charge l’environnement car Nicolas Hulot de son propre aveu n’a pas servi à grand-chose mais pour remplacer l’alibi  écolo qu’il représentait. Du coup, on imagine la venue soit d’experts de l’environnement, soit de recycler des vieux politiques qui ont encore une certaine image positive. Pour preuve on a  pensé à Daniel Cohn-Bendit qui pourrait redonner un petit vernis de gauche au gouvernement et donner l’illusion de reverdir la politique de Macron. On pense aussi à Ségolène Royal qui a échoué dans toutes ses tentatives de se reclasser dans une grande institution internationale. Une Ségolène Royal qui répète les mêmes discours ésotériques (désir d’avenir !) et  irresponsables depuis des dizaines d’années et qui dit tellement bien les incongruités les plus surprenantes. Pour preuve son fameux plan qui devait réduire la part du nucléaire à 50 % en 2025 alors qu’il faudra sans doute 40 ou 50 ans. Il y a bien d’autres vieilles barbes ou de jeunes opportunistes qui pourront faire l’affaire car la problématique n’est pas de prendre en charge la dimension écologique mais de stopper l’hémorragie d’impopularité que connaît Macron et qui a été amplifiée par le départ Nicolas Hulot

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