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Ecole: classement PISA , catastrophique pour la France; Pourquoi ?

Ecole: classement PISA , catastrophique pour la France

Résultat cohérent dans le classement PISA des élèves français qui enregistrent une nouvelle catastrophe. En cause, surtout le laxisme généralisé. La perte de la valeur travail, le manque d’autorité, les programmes aussi l’immigration. Plus précisément une certaine immigration. Notons par exemple que dans le 13e arrondissement où résident de nombreux immigrés ou étrangers d’origine asiatique les premières places sont occupées par les enfants des migrants au point d’ailleurs que des parents d’élèves, français depuis longtemps, se sont plaints de cette hégémonie asiatique. Il en va évidemment différemment pour l’immigration du Maghreb, des Balkans ou de l’Afrique. Un constat qui n’est pas très politiquement correct mais pourtant qui est admis par exemple pour l’Allemagne qui enregistre elle aussi une forte immigration.

Résultat du Classement Pisa 2023 : la France 23e, le niveau des élèves dégringole en mathématiques et….. en lecture.

L’étude mondiale qui classe et évalue les systèmes éducatifs dans le monde souligne une « baisse inédite » des performances des élèves. La France est 23e, et chute lourdement en mathématiques

L’Asie, Singapour en tête, s’illustre une nouvelle fois dans l’enquête Pisa 2022 de l’OCDE sur l’éducation publiée mardi, marquée par une « baisse inédite » des performances des élèves après la crise du Covid, y compris pour la France. Voici ce qu’il faut retenir :

L’étude Pisa, publiée tous les trois ans (mais repoussée cette fois d’un an en raison de l’épidémie de Covid-19), est devenue une référence mondiale, très scrutée par les gouvernements.

Elle sonde depuis 2000 les performances des systèmes éducatifs, à travers les compétences en sciences, mathématiques et compréhension de l’écrit des élèves de 15 ans. A chaque fois, un de ces trois domaines est plus amplement développé, les mathématiques cette fois-ci. Les exercices ont été soumis en 2022 à 690.000 jeunes de 81 pays et territoires.

Comme pour la précédente édition, où quatre métropoles et provinces chinoises (Pékin, Shanghaï, Jiangsu, Zhejiang, qui n’ont pas pu participer cette fois) étaient arrivées en tête, plusieurs pays asiatiques figurent parmi les meilleurs élèves.

Singapour caracole largement en tête en mathématiques, sciences et lecture, comme en 2016. Il est suivi par Macao, Taïwan, Hong Kong, le Japon et la Corée du Sud en maths. « On continue d’avoir des pays d’Asie, et notamment sur les mathématiques, qui trustent vraiment les premières performances », explique Eric Charbonnier, spécialiste de l’éducation à l’OCDE.

La France, 23e du classement, se situe comme en 2018 dans la moyenne des pays de l’OCDE, « à un niveau comparable à celui de l’Espagne, la Hongrie et la Lituanie dans les trois matières », relève Irène Hu, analyste de l’OCDE. Elle est classée 22e en maths, 24e en compréhension de l’écrit et 22e en sciences parmi les 38 pays de l’OCDE (statistiquement « entre la 15e et la 29e place en mathématiques et sciences » et « entre la 11e et la 29e » en lecture, selon l’OCDE).

Ecole et Classement Pisa : une catastrophe dont la responsabilité incombe à la société toute entière

Ecole et Classement Pisa : une catastrophe dont la responsabilité incombe à la société toute entière

Le classement international Pisa enregistre un écroulement encore jamais connu du niveau des élèves français. La catastrophe est telle que certains n’hésitent pas à contester la pertinence de cette évaluation. Un réflexe habituel chez les corporatistes de l’enseignement national! En cause plusieurs facteurs explicatifs : l’immigration, le pédagogisme, la perte d’autorité des maîtres, le laxisme généralisé y compris des parents, les programmes et l’égalitarisme font plonger la moyenne générale des élèves. D’une certaine manière l’écroulement du niveau scolaire des élèves caractérise aussi l’effondrement de la société française

Dans le classement international qui mesure le niveau de l’enseignement de chaque pays, les élèves français ont en effet obtenu 474 points en mathématiques, soit juste au-dessus de la moyenne, qui s’établit à 472 points; 474 points en compréhension de l’écrit alors que la moyenne se situe à 476 points; 487 points en culture scientifique quand la moyenne pointe à 485 points.

Alors même que l’Hexagone est la 7e puissance économique mondiale, elle arrive 26e en mathématiques comme en culture scientifique et 29e en compréhension de l’écrit. Ses résultats sont globalement comparables à ceux de l’Allemagne, de l’Espagne, du Portugal, de la Hongrie, de l’Italie, de la Norvège ou encore de la Lituanie.

De Singapour au Japon, en passant par la Corée, ce sont les pays asiatiques qui caracolent une fois de plus en tête du classement et continuent de creuser l’écart. En Europe, les meilleures performances reviennent à la Suisse, l’Irlande et l’Estonie.

Les pays de l’OCDE enregistrent, en moyenne, une dégringolade de 15 points par rapport à Pisa 2018. Là où les baisses précédentes enregistrées n’avaient jamais excédé les 4 points. En France, la baisse est vertigineuse, avec 21 points perdus en mathématiques.

Même constat en compréhension de l’écrit, où les petits Français perdent 19 points, là où la baisse moyenne dans l’OCDE est de 10 points. Ces résultats sont «parmi les plus bas mesurés par l’enquête Pisa dans les trois matières en France», observe l’OCDE. Avec une trajectoire différente selon les matières : en mathématiques, les résultats avaient stagné entre 2006 et 2018, alors qu’en compréhension de l’écrit, le déclin s’était amorcé dès 2012.

En termes de déclin depuis 2018, la Finlande, l’Allemagne et la Norvège font encore pire que la France. La Finlande, qui fut jadis dans le haut du classement, enregistre la plus forte chute, même si le pays scandinave continue de devancer la France. Une situation qui s’explique, selon l’OCDE, par «la plus forte diversité, aujourd’hui, dans la population finlandaise, un début de pénurie d’enseignants et un fort écart entre les garçons et les filles, à l’avantage de ces dernières».

L’Allemagne, après le «choc Pisa» des années 2000 et une remontée dans le classement, connaît un «retournement de tendance qui avait déjà commencé en 2015».
«Il convient d’évoquer le fait que la proportion d’élèves issus de l’immigration en Allemagne a doublé, passant de 13 % en 2012 à 26 % en 2022, note l’OCDE. En 2022, presque un élève sur 10 en Allemagne (9%) était né dans un autre pays, ce qui implique aussi qu’il a souvent rejoint le système éducatif allemand ’en cours de route’. De manière évidente, l’Allemagne n’a pas toujours réussi à bien les intégrer dans un système fortement stratifié.»

Depuis Pisa 2018, Singapour, le Japon, la Corée, l’Estonie et l’Irlande ont continué de progresser. «Singapour a beaucoup d’avance, explique-t-on à l’OCDE. Le pays a mieux résisté au Covid. Et il souffre moins de problèmes d’attractivité du métier d’enseignant, comme le Japon et la Corée.» L’Estonie, de son côté, a largement investi sur la formation des enseignants, quand l’Irlande a développé une aide personnalisée auprès des élèves.

Classement Pisa : les meilleurs du classement

Classement Pisa : les meilleurs du classement

Nouvelle catastrophe en France dans le classement du niveau des élèves au plan international.La France cinquième puissance mondiale occupe environ la 30e place et descend encore. L’Asie, Singapour en tête, s’illustre une nouvelle fois dans l’enquête Pisa 2022 de l’OCDE, marquée par une « baisse inédite » des performances après la crise du Covid, y compris pour la France.

L’OCDE a publié mardi 5 décembre son étude internationale Pisa 2022, pointant en France une baisse « historique » du niveau des élèves en mathématiques.

Mathématiques

Classement Points
1) Singapour 575
2) Macao 552
3) Taïwan 547
4) Hong Kong 540
5) Japon 536
6) Corée du Sud 527
7) Estonie 510
8) Suisse 508
9) Canada 497
10) Pays-Bas 493

Compréhension de l’écrit

Classement Points
1) Singapour 543
2) Irlande
et Japon 516
3) Corée du Sud
et Taïwan 515
4) Estonie 511
5) Macao 510
6) Canada 507
7) Etats-Unis 504
8) Nlle-Zélande 501
9) Hong Kong 500
10) Australie 498
Sciences

Classement Point
1) Singapour 561
2) Japon 547
3) Macao 543
4) Taïwan 537
5) Corée du Sud 528
6) Estonie 526
7) Hong Kong 520
8) Canada 515
9) Finlande 511
10) Australie 507
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Classement Pisa : le niveau des élèves français s’enfonce encore dans les profondeurs

Classement Pisa : le niveau des élèves français s’enfonce encore dans les profondeurs

Le classement international Pisa enregistre un écroulement encore jamais connu du niveau des élèves français. La catastrophe est telle que certains n’hésitent pas à contester la pertinence de cette évaluation. Un réflexe habituel chez les corporatistes de l’enseignement national! En cause plusieurs facteurs explicatifs : l’immigration, le pédagogisme, la perte d’autorité des maîtres, le laxisme généralisé y compris des parents, les programmes et l’égalitarisme font plonger la moyenne générale des élèves

Dans le classement international qui mesure le niveau de l’enseignement de chaque pays, les élèves français ont en effet obtenu 474 points en mathématiques, soit juste au-dessus de la moyenne, qui s’établit à 472 points; 474 points en compréhension de l’écrit alors que la moyenne se situe à 476 points; 487 points en culture scientifique quand la moyenne pointe à 485 points.

Alors même que l’Hexagone est la 7e puissance économique mondiale, elle arrive 26e en mathématiques comme en culture scientifique et 29e en compréhension de l’écrit. Ses résultats sont globalement comparables à ceux de l’Allemagne, de l’Espagne, du Portugal, de la Hongrie, de l’Italie, de la Norvège ou encore de la Lituanie.

De Singapour au Japon, en passant par la Corée, ce sont les pays asiatiques qui caracolent une fois de plus en tête du classement et continuent de creuser l’écart. En Europe, les meilleures performances reviennent à la Suisse, l’Irlande et l’Estonie.

Les pays de l’OCDE enregistrent, en moyenne, une dégringolade de 15 points par rapport à Pisa 2018. Là où les baisses précédentes enregistrées n’avaient jamais excédé les 4 points. En France, la baisse est vertigineuse, avec 21 points perdus en mathématiques.

Même constat en compréhension de l’écrit, où les petits Français perdent 19 points, là où la baisse moyenne dans l’OCDE est de 10 points. Ces résultats sont «parmi les plus bas mesurés par l’enquête Pisa dans les trois matières en France», observe l’OCDE. Avec une trajectoire différente selon les matières : en mathématiques, les résultats avaient stagné entre 2006 et 2018, alors qu’en compréhension de l’écrit, le déclin s’était amorcé dès 2012.

En termes de déclin depuis 2018, la Finlande, l’Allemagne et la Norvège font encore pire que la France. La Finlande, qui fut jadis dans le haut du classement, enregistre la plus forte chute, même si le pays scandinave continue de devancer la France. Une situation qui s’explique, selon l’OCDE, par «la plus forte diversité, aujourd’hui, dans la population finlandaise, un début de pénurie d’enseignants et un fort écart entre les garçons et les filles, à l’avantage de ces dernières».

L’Allemagne, après le «choc Pisa» des années 2000 et une remontée dans le classement, connaît un «retournement de tendance qui avait déjà commencé en 2015».
«Il convient d’évoquer le fait que la proportion d’élèves issus de l’immigration en Allemagne a doublé, passant de 13 % en 2012 à 26 % en 2022, note l’OCDE. En 2022, presque un élève sur 10 en Allemagne (9%) était né dans un autre pays, ce qui implique aussi qu’il a souvent rejoint le système éducatif allemand ’en cours de route’. De manière évidente, l’Allemagne n’a pas toujours réussi à bien les intégrer dans un système fortement stratifié.»

Depuis Pisa 2018, Singapour, le Japon, la Corée, l’Estonie et l’Irlande ont continué de progresser. «Singapour a beaucoup d’avance, explique-t-on à l’OCDE. Le pays a mieux résisté au Covid. Et il souffre moins de problèmes d’attractivité du métier d’enseignant, comme le Japon et la Corée.» L’Estonie, de son côté, a largement investi sur la formation des enseignants, quand l’Irlande a développé une aide personnalisée auprès des élèves.

Classement niveau scolaire PISA: toujours catastrophique pour la France

Classement PISA: toujours catastrophique pour la France

 

d’après le classement PISA qui porte sur 79 pays et qui concerne les élèves de 15 ans la France est en 22e position en lecture, le domaine qui était étudié de manière approfondie pour cette édition 2018, dont les résultats paraissent ce 3 décembre. Avec 493 points, l’Hexagone dépasse légèrement la moyenne des pays participants, proche de l’Allemagne, la Belgique, le Portugal, la République tchèque et la Slovénie. Avec un noyau dur d’élèves qui ont un niveau très faible en français. De l’ordre de 5 à 10% qui, à 15 ans, ne savent pas déchiffrer facilement un texte simple et en distinguer le message principal. Une proportion qui serait plutôt de 20% d’illettrés selon les chiffres de la Journée de défense et de citoyenneté où sont appelés les jeunes à partir de 16 ans.

Nous sommes tout aussi moyen, loin derrière le peloton de tête des pays asiatiques en maths. Bref, le système scolaire français est tout à la fois peu efficace et très inégalitaire.

 

En France, l’écart de résultat entre les élèves issus d’un milieu favorisé et ceux issus de classes sociales défavorisées est de 107. C’est considérable, et très nettement au-dessus de la différence observée en moyenne dans les autres pays (87 points). Comme si les élèves français étaient coupés en deux planètes. Comme s’ils n’appartenaient, en fin de compte, pas au même système scolaire.

« Les élèves défavorisés ont cinq fois plus de risque de se retrouver en difficulté que les autres, en compréhension de l’écrit », relève Pauline Givord, analyste à l’OCDE qui a codirigé une partie de l’enquête Pisa. Plus inquiétant encore : les jeunes issus de milieux populaires nourrissent peu d’ambitions d’études post-bac, même quand ils sont bons élèves.

Au chapitre des inégalités, il n’y a qu’en Israël et au Luxembourg que les écarts sont encore plus élevés qu’en France. Ce constat alarmant n’est pas nouveau : le creusement des inégalités en France s’est observé entre 2003 et 2012 sans produire de choc significatif dans les politiques publiques. Cependant, « des efforts ont été faits depuis 2012, constate Eric Charbonnier de l’OCDE. Mais il est encore trop tôt pour en mesurer les effets. » Les premiers élèves à avoir bénéficié de la priorité accordée au primaire, et à la création de nouveaux postes d’enseignants, sous le quinquennat de François Hollande, ne seront en effet testés par Pisa que lorsqu’ils seront devenus lycéens… pour l’édition 2024.

Ce sont les jeunes eux-mêmes qui l’affirment, corroborant un constat déjà dressé par leurs enseignants : il y a trop de bruit dans les salles de classe. Un jeune de 15 ans sur deux déclare qu’il y a du chahut ou du désordre dans la plupart des cours, et un quart dans tous les cours! Un niveau inquiétant qui place l’Hexagone très bas dans le tableau des élèves sages. « Il n’y a qu’en Argentine et au Brésil où l’indice du climat de discipline est inférieur à la moyenne observée en France », indique l’étude de l’OCDE.

Le phénomène pénalise surtout les élèves déjà les plus fragiles, puisqu’il s’observe majoritairement dans les établissements les plus en difficulté. Comment le résorber ? En améliorant la formation des enseignants français sur la gestion de classe, répondent les analystes de l’OCDE. Un conseil qui vaut pour la discipline comme pour le niveau en écriture, en maths ou en sciences.

Ecole : encore un mauvais résultat PISA, Cette fois c’est pour la performance de l’école en matière d’intégration.

Ecole : encore un mauvais résultat PISA, Cette fois c’est pour la performance de l’école en matière d’intégration.

Selon des données PISA en moyenne, dans l’Union européenne, 50% des élèves immigrés de première génération réussissent les tests de base en lecture, mathématiques et sciences, contre 72% des élèves nés dans le pays de parents autochtones, soit un écart de 22 points. En France, l’écart est plus grand (36 points), avec un taux de succès aux tests de 39% chez ces élèves de première génération, contre 75% pour les seconds. En bas du classement, la Finlande compte une différence de 42 points tandis qu’en Irlande les deux groupes ont des niveaux de réussite élevés (taux de réussite de 77% contre 80%).  Année après année, les différentes enquêtes internationales constatent la dégradation du système scolaire français dans tous les domaines. Cette déliquescence n’est pas récente, elle a  commencé il y a au moins une quarantaine d’années du fait de l’utopie pédagogiste. Avec la suppression des notes,  il était plus facile d’ignorer la baisse générale du niveau de l’éducation ;  résultats, environ 20 % des élèves qui sortent du primaire ne maîtrisent  pas les bases fondamentales du français et des mathématiques. Environ 20 % les maîtrisent de façon approximative. Ce qui n’empêche pas de conduire qu’au bac. Un diplôme complètement dévalorisé dans plusieurs filières. Des responsabilités multiples;  d’abord celle des pouvoirs publics qui n’ont cessé d’engranger les réformes d’éphémères ministres de l’éducation. Aussi celle des parents d’aujourd’hui voire d’hier, eux-mêmes malformés et qui se sont accommodés d’une fausse évaluation de leurs enfants. Sans parler de ceux qui vont même jusqu’à protester contre les enseignants quand cette évaluation leur paraît trop mauvaise. Enfin les enseignants eux-mêmes. Des  enseignants qui suivent  tant bien que mal les réformes du ministère. Des enseignants par ailleurs très mal rémunérés et bien peu respectés. Pour preuve du désastre de l’école la dernière enquête Pirls. Dans cette enquête, qui compare les systèmes éducatifs de 50 pays, les écoliers français se classent 34e en compréhension en lecture. L’étude Pirls existe depuis 2001, et en quinze ans, avec les Pays-Bas, la France est le seul pays qui a régressé dans ce classement. En termes de performances en lecture, la Russie, Singapour et Hong Kong sont en tête du classement tandis que la France n’arrive qu’en 34e place. Elle est en recul permanent depuis une quinzaine d’années. Mais la France est en mauvaise position sur tous les fondamentaux : écriture, lecture, français en général et mathématique. Malheureusement la France est mal classée partout comme en témoigne cette autre étude PISA concernant l’intégration.

 




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