Archive pour le Tag 'piratage'

Foot–piratage télévisé : de 30 à 50 % des téléspectateurs ! crise en vue

Foot–piratage télévisé : de 30 à 50 % des téléspectateurs ! crise en vue

 

Selon une étude Ipsos, 37% des personnes ayant regardé la Ligue 1 cette saison l’ont fait illégalement. Et même 55% des spectateurs du dernier classico OM-PSG fin octobre.

 

Le manque à gagner dû à la diffusion illicite de matches est estimé à 290 millions d’euros par an pour le secteur du sport, a indiqué jeudi l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, qui s’inquiète de la progression des IPTV pirates pour le football. «Ce montant représente 15% du marché de la diffusion des contenus sportifs et pèse sur l’ensemble du secteur, les clubs, les fédérations (…) et le sport amateur», a détaillé Pauline Combredet-Blassel, directrice générale adjointe de l’Arcom, lors d’une conférence à Paris.

Selon elle, ces contenus pirates représentent aussi un manque à gagner de 420 millions par an pour l’État en matière de recettes sociales et fiscales.  Benjamin Morel, directeur général de LFP Media, filiale commerciale de la Ligue de football professionnel, s’est montré très alarmiste. «Depuis le début de la saison 2024-2025, nous faisons face à un phénomène d’ampleur inédite», a-t-il déclaré, citant une étude d’Ipsos selon laquelle 37% des personnes ayant regardé la Ligue 1 cette saison l’ont fait illégalement. Selon cette enquête, 55% des spectateurs du dernier classico OM-PSG fin octobre ont eu recours à des sources illégales.

 

Foot–piratage télévisé : de 30 à 50 % des téléspectateurs !

Foot–piratage télévisé : de 30 à 50 % des téléspectateurs !

 

Selon une étude Ipsos, 37% des personnes ayant regardé la Ligue 1 cette saison l’ont fait illégalement. Et même 55% des spectateurs du dernier classico OM-PSG fin octobre.

 

Le manque à gagner dû à la diffusion illicite de matches est estimé à 290 millions d’euros par an pour le secteur du sport, a indiqué jeudi l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, qui s’inquiète de la progression des IPTV pirates pour le football. «Ce montant représente 15% du marché de la diffusion des contenus sportifs et pèse sur l’ensemble du secteur, les clubs, les fédérations (…) et le sport amateur», a détaillé Pauline Combredet-Blassel, directrice générale adjointe de l’Arcom, lors d’une conférence à Paris.

Selon elle, ces contenus pirates représentent aussi un manque à gagner de 420 millions par an pour l’État en matière de recettes sociales et fiscales.  Benjamin Morel, directeur général de LFP Media, filiale commerciale de la Ligue de football professionnel, s’est montré très alarmiste. «Depuis le début de la saison 2024-2025, nous faisons face à un phénomène d’ampleur inédite», a-t-il déclaré, citant une étude d’Ipsos selon laquelle 37% des personnes ayant regardé la Ligue 1 cette saison l’ont fait illégalement. Selon cette enquête, 55% des spectateurs du dernier classico OM-PSG fin octobre ont eu recours à des sources illégales.

 

Cryptomonnaies: Après un piratage un vol de 280 millions !

Cryptomonnaies: Après un piratage un vol de 280 millions !

Suite à un piratage, un vol de près de 300 millions pour la plateforme japonaise d’échange de cryptomonnaies DMM Bitcoin DMM Bitcoin n’a pas donné de précisions concernant cette fuite, que la société d’analyse américaine Chainalysis a qualifiée sur X de «septième piratage de cryptos le plus important de tous les temps», cataloguant les bitcoins disparus comme «volés». DMM Bitcoin a expliqué que l’équivalent de 4.502,9 bitcoins s’étaient envolés, pour une valeur de quelque 48,2 milliards de yen, soit environ 282 millions d’euros.

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Cryptomonnaie : Nouveau piratage de 8000 portefeuilles

 

 Cryptomonnaie : Nouveau piratage de 8000 portefeuilles

Une nouvelle déconvenue pour le monde de la cryptomonnaie  dans la technologie est pourtant vantée pour sa sûreté totale ! La cryptomonnaie Solana devait faire partie des jetons numériques les plus prometteurs du secteur, à l’aube du « Web 3″, des NFT, et de ses nouveaux échanges dans les mondes virtuels du Metaverse. Mais l’ »altcoin » (jeton alternatif) SOL, créé en 2018 pour concurrencer les succès du bitcoin et de son rival l’ether, enchaîne les déconvenues. Dernier en date, un deuxième piratage en moins d’un an confirmé ce mercredi 3 août par l’entreprise sur le compte Twitter « Solana Status ».

Au total, 7.767 portefeuilles détenteurs de cette cryptomonnaie sont concernés par le piratage. La valeur du butin volé sur ces comptes atteindrait plus de 6 millions de dollars, selon plusieurs cabinets d’étude capables de comptabiliser les mouvements de l’adresse cryptée utilisée par le hacker.

Comme les chaînes de blocs des autres crypto-actifs, la blockchain Solana promet des échanges plus rapides, sécurisés, et plus facilement intégrables dans une nouvelle génération d’applications et de services Web. L’Américain se positionne aussi comme un actif de référence pour acheter et vendre des NFT (non fungible tokens). De cet actif est même né la plateforme spécialisée « Solanart » pour vendre des œuvres numériques.

En terme de poids sur le marché des cryptos toujours dominé par le protocole Bitcoin (446 milliards de dollars de valorisation), Solana se classe au 9e rang des cryptomonnaies, à plus de 13 milliards de dollars de valorisation, selon le site Cryptoslate. L’actif bénéficie d’ailleurs d’un fort soutien des communautés. Suite à l’annonce du piratage, son cours reculait de près de 5%, s’échangeant à plus de 40,1 dollars, dans un secteur qui reprend timidement des couleurs après le krach du printemps.

Tandis que les piratages de portefeuilles numériques se multiplient, c’est un deuxième coup dur pour les crypto-fans qui ont déjà subi le krach du bitcoin en mai dernier, emporté par les craintes de la finance traditionnelle et la remontée des taux d’intérêts de la Réserve fédérale américaine.

Un premier piratage impliquant Solana avait eu lieu en février dernier entre des protocoles informatiques pour des services de finance décentralisée (DeFi) et des portefeuilles numériques. Les sommes – 320 millions de dollars au total - avaient finalement pu être récupérées suite à des négociations avec le hacker, rapportait Bloomberg. De quoi faire tout de même reculer alors le cours de la crypto de 11% en 24 heures.

Dans la foulée de ce nouveau piratage, la fondation Solana, qui porte le projet, a mis en ligne un formulaire pour recevoir les témoignages et plaintes des propriétaires des portefeuilles.

Jeanne Dussueil

Foot :Le piratage bientôt premier diffuseur de matchs télévisés

Foot :Le piratage bientôt premier diffuseur TV

 

 

Dans l’Hexagone, le piratage est devenu le deuxième diffuseur de football, derrière la chaîne Canal+ et ses 5 millions d’abonnés. Chaque mois, 4 millions de personnes regardent ces contenus sportifs illégalement, contre quelque 1,5 million il y a trois ans, estime l’Hadopi, l’instance indépendante chargée de lutter contre le piratage sur internet.

FACEBOOK : piratage de 20 MILLIONS DE FRANÇAIS

FACEBOOK : piratage de 20 MILLIONS DE FRANÇAIS

Un immense piratage des numéros de téléphone de près de la moitié des utilisateurs de Facebook en France. Des listes de téléphones qui seront vendus à prix d’or pour le démarchage commercial. La moitié des 40 millions d’utilisateurs français de Facebook sont touchés: comme le révèle le chercheur en cybersécurité Alon Gal, les numéros de téléphone de 533 millions d’utilisateurs du réseau social – qui en compte près de trois milliards dans le monde – sont désormais librement accessibles sur le Web. La fuite de données, l’une des plus graves ayant touché la multinationale, avait été découverte en janvier dernier.

Avant la mise à disposition gratuite du fichier sur des forums de hackers, les numéros de téléphone pouvaient être achetés par le biais de la messagerie russe Telegram. Cette nouvelle étape devrait faire prendre une autre ampleur à la diffusion de ces données, désormais facilitée.

En plus des numéros de téléphone, la fuite concerne l’identifiant Facebook des victimes, permettant de faire le lien avec leur profil. Autant d’informations sensibles qui pourraient être utilisées par des personnes peu scrupuleuses pour du démarchage téléphonique, mais aussi des tentatives d’escroquerie en ligne. La fuite est qualifiée de “négligence absolue” par Alon Gal, sur son compte Twitter.

En plus de la France, d’autres pays européens sont particulièrement concernés, avec 36 millions de victimes en Italie, 11 millions en Espagne ou encore 6 millions en Allemagne. Aux États-Unis, 32 millions de personnes sont touchées.

Toujours sur Twitter, une cadre de Facebook rappelle que la fuite de données est liée à une faille de sécurité qui a été corrigée en 2019, sans toutefois que n’ait pu être empêchée cette collecte massive par les hackers.

Coronavirus: piratage chinois aux États-Unis

Coronavirus: piratage chinois aux États-Unis

La dictature chinoise, véritable état voyou continue d’employer les pires méthodes à l’intérieur de ses frontières bien sûr mais aussi vis-à-vis des autres Etats avec une stratégie d’espionnage généralisé. Dernière tentative en date, un chinois concernant le groupe américain pharmaceutique Moderna qui développe actuellement un vaccin contre le COVID-19 .

Basé dans le Massachusetts, Moderna a confirmé à Reuters avoir été en contact avec le FBI et avoir été informé de l’existence “d’activités de reconnaissance” menées par un groupe de pirates informatiques dont l’existence a été évoquée la semaine dernière.

Le département de la Justice avait alors annoncé la mise en accusation de deux ressortissants chinois accusés d’espionnage aux Etats-Unis et de s’être notamment intéressés à trois cibles qui n’ont pas été publiquement identifiées mais dont il a été indiqué qu’elles étaient impliquées dans les recherches conduites contre le COVID-19.

Les “activités de reconnaissance” recouvrent un vaste éventail de comportements, qui vont de l’évaluation de la vulnérabilité de sites internet à l’examen de comptes importants après le piratage d’un réseau, expliquent les spécialistes de la cybersécurité.

La source de Reuters, qui s’exprimait sous le sceau de l’anonymat, n’a pas donné davantage de précisions. Ni le FBI ni le département américain de la Santé n’ont accepté de donner le nom des sociétés visées par les pirates chinois.

Moderna est l’un des nombreux groupes pharmaceutiques à s’être mis dans la course à la découverte d’un vaccin contre le COVID-19. Il a annoncé mardi avoir lancé des essais à grande échelle pour le vaccin potentiel qu’il développe.

L’armée chinoise responsable du plus grand piratage informatique ( Washington)

L’armée chinoise responsable du plus grand piratage informatique ( Washington)

Il s’agit de « l’un des plus gros piratages de données de l’histoire », avec environ 145 millions de victimes aux Etats-Unis, a rappelé le ministre de la Justice Bill Barr lors d’une conférence de presse. Des clients d’Equifax, dont le rôle est de collecter des données personnelles de consommateurs sollicitant un crédit, avaient également été affectés au Canada et au Royaume-Uni.

Après deux ans d’enquête, Wu Zhiyong, Wang Qian, Xu Ke et Liu Lei ont été inculpés la semaine dernière à Atlanta pour association de malfaiteurs en vue de commettre une fraude informatique, de l’espionnage économique et une fraude aux communications.

Membres d’une unité de recherche de l’armée chinoise, ils se trouvent en Chine et ne peuvent être arrêtés. « Mais un jour, ils commettront une erreur et nous serons là », a assuré le directeur adjoint de la police fédérale, David Bowdich.

Ils sont accusés d’avoir exploité une faille dans un logiciel utilisé par Equifax sur son site de résolution des litiges. Une fois introduits dans le système informatique de l’agence, ils sont soupçonnés d’avoir obtenu les noms, dates de naissance et numéros de sécurité sociale de 147 millions de personnes, et les numéros de permis d’au moins dix millions d’Américains.

Les Etats-Unis ont déjà attribué plusieurs attaques informatiques de grande ampleur au gouvernement chinois, notamment le piratage d’une base de données du géant de l’hôtellerie Marriott en 2018.

En parallèle, « des intrusions informatiques soutenues par l’Etat ont visé des secrets industriels et des informations économiques confidentielles », a ajouté Bill Barr, en mentionnant des enquêtes ouvertes dans les secteurs de l’industrie nucléaire, aéronautique ou métallurgique.

Selon lui, environ 80% des poursuites ouvertes ces dernières années pour espionnage économique impliquent le gouvernement chinois et 60% des dossiers de vols de secrets commerciaux ont un lien avec la Chine.

 

Le piratage de Yahoo : le danger qui menace

Le piratage de Yahoo :le danger qui menace

 

Le piratage massif des données détenues par Yahoo illustre la fragilité des données informatisées. Sans doute ce piratage est-il motivé par des considérations commerciales puisque les noms, adresses et numéros de téléphones sont concernés. (Au dire de Yahoo les numéros de cartes bancaires n’o nt pas été affectés mais cela reste à vérifier). Au delà de préoccupations commerciales,  d’autres motivations  pourraient apporter de graves préjudices, le piratage terroriste ou géopolitique. On a vu récemment par exemple que Moscou était intervenu pour pirater des sites américains pour favoriser l’élection de Trump. Des données sensibles pourraient être visées et des systèmes entiers pourraient même être mis en danger. Se pose évidemment la question de la sécurité et de la confidentialité d’informations stratégiques et ou personnelles. Autre exemple celui des centrales nucléaires dont la sécurité informatique ne semble pas totalement assurée. Le phénomène de la numérisation de toutes les données est sans doute irréversible pour autant cela appelle d’une part une régulation plus sévère par les Pouvoirs publics avec notamment  l’exigence de pare feux  pour éviter des catastrophe techniques, économiques, sociales ou encore géopolitiques.  Le groupe américain a donc annoncé, mercredi 14 décembre, avoir été victime d’une cyberattaque en août 2013 ayant frappé « plus d’un milliard » d’utilisateurs et qui vient s’ajouter à un précédent piratage de 500 millions de ses comptes« Yahoo pense qu’une tierce partie non autorisée a volé, en août 2013, des données liées à plus d’un milliard de comptes d’utilisateurs », écrit le groupe pionnier d’internet dans un communiqué. Les noms, numéros de téléphone ou dates de naissance des clients de Yahoo ont pu être dérobés par les pirates même si Yahoo affirme que les informations relatives à leurs cartes de crédit ou à leurs comptes bancaires n’ont pas été affectées. Selon le groupe qui traverse de grandes difficultés financières, ce nouvel incident est « probablement » distinct de la vaste cyberattaque révélée fin septembre.

 




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