Archive pour le Tag 'pinard'

Œnologie : la France championne du monde pour le pinard !

Œnologie : la France championne du monde pour le pinard !

On ne peut pas être bon dans toutes les matières mais pour le pinard la France est championne du mode en matière de tests œnologues à l’aveugle. Bien sûr, l’industrie se réduit comme peau de chagrin, le niveau de notre système scolaire figure en queue du peloton mondial, et nous nous accusons régulièrement un déficit de l’ordre de 50 milliards par an pour le commerce international  mais pour le vin, nous sommes les champions. Normal car le vin représente une acticité économique non négligeable. La victoire des œnologues méritent des félicitations mais on se prend à rêver de performances aussi brillantes dans d’autres domaines socio- économiques.

27 équipes devaient deviner cépages, pays d’origine, appellation, producteur et année de production de six vins blancs et six vins rouges. C’est la deuxième victoire française, après une première en 2014. Cette compétition, organisée pour la 7ème année consécutive par la Revue des vins de France, s’est déroulée dans une salle du célèbre château de Chambord.

Vingt-sept équipes, généralement championnes dans leur pays, étaient venues tenter d’identifier douze vins – six blancs et six rouges – sélectionnés dans le monde entier. Par groupe de quatre dirigé par un coach qui n’avait pas même le droit de sentir leurs verres, les compétiteurs ont toute la matinée inhalé les odeurs, contemplé les robes et testé les saveurs de vins venus d’Italie, de Chine, de Grèce, des Etats-Unis et de France. Ils devaient deviner cépages, pays d’origine, appellation, producteur et année de production.

La plupart des participants recrachaient au fur et à mesure, grignotant un morceau de pain ou buvant un peu d’eau entre deux gorgées, avant de comparer leurs impressions gustatives avec leur équipe, puis de s’entendre avec le coach pour affirmer les choix.

« Il ne faut surtout pas intellectualiser », a expliqué David Fontaine, président des sommeliers du Val-de-Loire, venu servir les équipes, essentiellement des hommes qui représentent trois quarts des compétiteurs.

Peu ont fait « carton plein » mais l’équipe de Chine, championne en 2016, sélectionnée par Brice Leboucq, un Francais installé en Chine, a fait bonne impression. Selon Brice Leboucq, « ils apprennent vite et on y assiste à la naissance de futurs grands terroirs ». D’après la Revue des vins de France, il s’agit de la deuxième victoire française après celle de 2014. Les Français étaient arrivés troisièmes de la compétition en 2018.

Bonne nouvelle : la France ne manquera pas de pinard

Bonne nouvelle : la France ne manquera pas de pinard

 

 

Certes les résultats économiques généraux de la France sont plutôt mauvais (sauf pur les actionnaires !) mais on est rassuré par le fait que la France ne manquera pas de pinard en 2018. Les esprits chagrins pourront toujours objecter que l’industrie française continue de reculer, que la balance commerciale est toujours aussi déséquilibrée, que la croissance se  tasse quand les déficits augmentent mais la récolte du pinard 2018 offre des raisons de se rassurer sur la solidité du pays. Il ne s’agit pas de faire une caricature de l’activité viticole dans l’impact sur l’économie est loin d’être négligeable et qui  par ailleurs apporte une contribution positive fort utile à la balance des échanges extérieurs. En effet,  la perspective de la production viticole est en hausse il faut s’en réjouir d’autant plus que d’autres productions agricoles comme le blé par exemple sont affectées par la baisse des cours.  La production viticole, elle,  française pourrait donc atteindre en 2018 46,1 millions d’hectolitres, en hausse de 25% par rapport à 2017 et de 5% par rapport à la moyenne des cinq années passées, selon des prévisions du ministère de l’Agriculture publiées vendredi. Ces prévisions restent en tout état de cause très en dessous du pic de 2015 (47,9 millions d’hectolitres). La récolte de 2017 avait, elle, été très affectée par le gel et la sécheresse. “L’année 2018 peut être qualifiée de précoce dans la plupart des bassins et de remarquablement précoce en Bourgogne, dans le Beaujolais, en Champagne et en Alsace”, ajoute-t-il.

« Surtout ne pas s’attaquer au pinard » (Castaner)

« Surtout ne pas s’attaquer au pinard » (Castaner)

 

 

 

Dans la grande tradition française, Castaner descend le pinard  et conteste les affirmations de la ministre de la santé qui avait considéré que le vin était un alcool comme les autres. (Bière et autres alcools) Une position particulièrement faux-cul de la part du ministre et représentant de la république en marche car si effectivement le vin fait partie d’une tradition française, il n’en demeure pas un  danger pour ceux qui en consomment des quantités excessives ou ceux qui sont dépendants. Tous les alcools –vin compris- sont dangereux à partir d’un certain volume de consommation. À l’inverse, ils ne le sont pas lorsque la consommation est modérée. Le plaidoyer de Castaner est donc particulièrement populiste pour soutenir les corpos du vin à  veille du salon de l’agriculture. .  Christophe Castaner a donc voulu les rassurer… quitte à prendre le contre-pied de la ministre. «Il y a de l’alcool dans le vin mais c’est un alcool qui n’est pas fort», a-t-il jugé. Un argument qui peut se discuter car c’est aussi cette faible teneur en alcool qui incite aussi à en consommer davantage. ! Le vin «fait partie de notre culture, de notre tradition, de notre identité nationale. Il n’est pas notre ennemi», a appuyé Christophe Castaner assurant que l’alcoolisme était surtout «une question de niveau de consommation».

«Ce n’est pas le moment d’hystériser le débat juste avant le salon de l’Agriculture. Les propos de Castaner ont contribué à baisser les tensions», justifie un membre du gouvernement. Contacté par notre journal suite aux déclarations du délégué général de La République en marche, le ministère de la Santé n’a pas donné suite à nos sollicitations. La ministre de la Santé avait ouvert la boîte de Pandore début février en estimant que le vin était «un alcool comme un autre». «L’industrie du vin laisse croire aujourd’hui que le vin est différent des autres alcools. En termes de santé publique, c’est exactement la même chose de boire du vin, de la bière, de la vodka, du whisky, il y a zéro différence!», avait-elle souligné lors de l’émission-débat «Alcool, un tabou français?» diffusée sur France 2. «On a laissé penser à la population française que le vin serait protecteur, qu’il apporterait des bienfaits que n’apporteraient pas les autres alcools. C’est faux», assurait-elle.

Production vin : Même pour le pinard la France est détrônée !

Production vin : Même pour le pinard la France est détrônée !

 

L’Italie redevient  le premier pays producteur devant la France et l’Espagne, selon l’Organisation internationale du vin (OIV). Après le cru record de 2013 et le contrecoup de 2014, « la production mondiale de vin en 2015 se situe dans une bonne moyenne », indique l’OIV dans un communiqué, précisant que son estimation se situe dans une fourchette comprise entre 270,7 et 280,7 Mhl.  Sur le podium, l’Italie, doublée par la France l’an dernier, est en passe de récupérer la première place, avec 48,9 Mhl (+10%), contre 47,4 millions pour l’Hexagone (+1%), loin devant les 36,6 millions de l’Espagne (-4%). Derrière, les Etats-Unis confortent leur quatrième place avec 22,1 Mhl, tandis que l’Argentine enregistre un repli de 12% à 13,3 millions, quand le Chili « établit un nouveau record » avec 12,8 millions (+23%). Dans l’hémisphère sud, les volumes sont stables en Australie (12 Mhl) et en Afrique du Sud (11,3 Mhl), mais chutent de 27% en Nouvelle-Zélande (2,3 Mhl), retrouvant leurs  niveaux habituels après un cru 2014 exceptionnellement abondant. En Europe les prévisions sont en hausse pour le Portugal (+8%), la Roumanie (+9%), la Hongrie (+12%) et l’Autriche (+18%), seules l’Allemagne (-4%) et la Grèce (-9%) subissant une baisse de leurs productions. Comme l’an dernier, « l’équilibre du marché est assuré » et « la production permettra de couvrir la consommation et des besoins de vins pour les usages industriels », comme le brandy, le vinaigre et le vermouth, ajoute l’OIV, qui table sur une consommation mondiale comprise entre 235,7 et 248,8 Mhl.

Réformes structurelles en France : suppression du pinard ?

 

On a peut-être trouvé le facteur explicatif majeur de la crise : les Français boivent trop de pinard ! Plus de 3 verres par jour en moyenne et plus de 6 litres par habitant par an. Ce qui expliquerait largement le trou de la sécu (pour environ 15 milliards). En même temps l’absorption de vinasse soutient la viticulture française, un des secteurs les plus exportateurs qui nourrit donc la croissance et l’emploi ( environ 15 milliards de chiffre d’affaires et 6 milliards d’exportation). Du coup on ne sait plus sil faut continuer de picoler du pinard ou se rabattre sur le Coca. ( non pas le Coca, ça déséquilibre la balance des échanges). Certains considèrent qu’en fait si les français boivent autant c’est pour oublier les conséquences de la crise, d’autres au contraire que c’est pour y mettre fin. Difficile de se faire une idée à moins de boire un coup pour y voir plus clair. Après la réforme contestée des collèges, peut être le gouvernement va-t-il s’engager dans la reforme de la consommation de picrate. Pas sûr car les buveurs de droite pourraient bien contester ceux de gauche. La preuve qu’en France la réforme est impossible. En tout cas  selon le rapport publié par l’OCDE mardi 12 mai, la France serait  le troisième pays qui consomme le plus d’alcool en Europe. Dans l’Hexagone, la consommation moyenne d’alcool pur est estimée à 12 litres par Français et par an.  L’étude publiée par l’OCDE a également démontré que les Français sont les plus gros buveurs de vin, avec une moyenne annuelle évaluée à 6,6 litres de vin par habitant. En se référant à ces statistiques, peut-on dire que la consommation d’alcool des Français est excessive ? Comme souvent en France, il y a les pour et les contre.  Audrey Bourolleau, déléguée générale de Vin et Société, estime que la consommation du vin fait partie de la culture française. Selon elle, cette boisson alcoolique se boit essentiellement à table et elle est très peu consommée par les jeunes âgés de 18 à 25 ans. Elle a aussi tenu à préciser qu’en buvant avec modération et en respectant les règles spécifiées par le ministère de la Santé, les Français ne prennent aucun risque.  Si les Français boivent du vin en respectant les règles dictées par le ministère de la Santé, c’est-à-dire deux verres par jour pour une femme, trois verres pour un homme, et moins de quatre verres en une seule occasion, ils ne prennent pas de risques pour leur santé.  Selon le docteur Philippe Batel, 25% des hommes en France boivent bien au-delà des recommandations du ministère de la Santé. Pourtant, la filière vinicole a imposé la notion de modération pour être la mention légale à la direction générale de la santé. Finalement on se demande pourquoi on boit autant ! Pour oublier ? Mais quoi ?

Alcool : les Français champion du monde, vive le pinard !

Alcool : les Français champion du monde, vive le pinard !

 

Si l’économie française additionne plutôt les échecs depuis quelques années ( PIB, dette, chômage etc.) par contre elle peut s’enorgueillir d’être championne du monde pour la consommation de pinard et autres breuvages alcoolisés. Peut-être est-cela  le moyen de lutter contre le french bashing,  de redonner le moral et de relancer la croissance. . Une sorte de thérapie de portée économique  en quelque sorte. Du coup la vinasse pourraiat entrer dans la catégories des médicaments remboursée par la sécurité sociale. Une idée à creuser en tout cas ( comme le trou de la sécu) qui pourraiat faire l’objet du grand débat national et évidemment dune consultation approfondie des partenaires sociaux.  Les Français ont en effet  la plus grande consommation d’alcool parmi les 34 pays que compte l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) selon un rapport publié ce mardi. Cette consommation est tout de même en baisse depuis 30 ans. 12 litres d’alcool pur correspondent à environ 120 bouteilles de vin par habitant et par an. 20% de la population qui boit le plus, consomme plus de la moitié de la quantité totale d’alcool bue dans notre pays. Les femmes qui ont un niveau d’éducation élevé ont deux fois plus de risque d’avoir une consommation excessive d’alcool que celles qui ont un niveau d’éducation faible.

 

L’eau bientôt au prix du pinard ?

L’eau bientôt au prix du pinard ?

On savait que le prix de  l’eau minérale était déjà proche du prix d’un litre de piquette, en plus parfois plus dangereux en fonction des agents minéraux qui la composent. En plus c’est cher.

 

D’après le site « dangersalimentaires » Le coût par rapport à l’eau du robinet est beaucoup plus élevé Les eaux minérales sont officiellement des eaux qui possèdent des caractéristiques chimiques stables « de nature à apporter ses propriétés favorables à la santé ». En réalité, ce sont surtout de belles opérations de marketing. En effet, astreintes à aucune norme réglementaire (elles ne sont pas visées par les normes EDCH régissant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine), elles sont généralement beaucoup trop minéralisées pour être consommées à longueur de journée ou même obtenir l’appellation de « potable ».  si les eaux thermales sont très strictement contrôlées et sont vivantes , les eaux embouteillées sont mortes. Cette différence de nature aura une incidence très importante vis-à-vis de l’assimilation des minéraux par l’organisme: disponibles dans le premier cas, très peu assimilables car anorganiques dans le second. Une eau minérale en bouteille n’apporte rien de ce qui faisait la valeur originelle de la source mais au contraire entartre l’organisme au niveau des articulations et des muscles. L’organisme n’a en effet besoin de minéraux et d’oligoéléments qu’en très petites quantités et une consommation d’eau minérale toute la journée l’obligera à puiser dans ses réserves énergétiques pour éliminer le surplus, avec un risque d’épuisement des organes filtres (reins notamment). « Utilisées à dose journalière comme eaux de table, [les eaux minérales] conduisent à des sulfatages des milieux intérieurs et préparent le terrain d’affections lourdes » précise Patrice Stegmann. « Boire ces eaux là, c’est aller dans le sens contraire de la vie, se laisser glisser sur les terrains des maladies et de dégénérescence [...] c’est l’abaissement insidieux et silencieux des énergies cellulaires micro-vibratoires » renchérit Jacques Collin.

En plus  boire de l’eau en bouteille coûte entre 200 et 300 fois plus cher que de boire l’eau du robinet (ce calcul est approximatif car le prix de l’eau du réseau et le prix de l’eau en bouteille peut grandement varier en fonction, respectivement, de la région et de la marque). Nous voyons tout de suite que l’écart de prix est énorme et que consommer de l’eau en bouteille est un luxe ! Selon l’étude Suisse « Ecobilan eau potable – eau minérale » réalisée par ESU-Services (bureau expert en analyse de cycle de vie), l’eau du robinet est 1000 fois plus écologique que l’eau minérale (en bouteille ou en bonbonne) ! « En 2004, la France a produit 11 milliards de litres d’eau minérale naturelle dont 6,6 milliards pour le marché français et 4,4 milliards pour l’exportation. Leur production a environ doublé en dix ans. » affirme l’ANSES.  Toute cette production se fait avec du pétrole, une énergie non renouvelable. D’énormes quantités de pétrole servent à la fabrication des bouteilles plastiques, matière première qu’il faut importer à l’usine d’embouteillage, qui va également consommer de l’énergie pour la confection des contenants. Une fois conditionnée l’eau est acheminée sur de nombreux kilomètres par train, bateau ou camion. Il est totalement aberrant d’un point de vue écologique de retrouver des bouteilles de Perrier ou d’Evian à Los Angeles aux Etats-Unis, par exemple, alors que l’eau coule des robinets ! En conclusion, la quantité de déchets occasionnée et de CO² rejeté est phénoménale ! Une bouteille d’eau, une fois dans les mains du consommateur, a une durée de vie extrêmement faible ! En effet, le contenu est rapidement bu et la bouteille finit aussitôt à la poubelle avec les ordures ménagères dans 88% des cas selon SDWF (Safe Drinking Water Foundation au Canada) et parfois dans les collectes de tri sélectif pour être recyclé ou incinéré (libérant des gaz très toxiques comme le chlore pour le PVC). Une bouteille en plastique n’est pas ou n’est que très peu dégradable naturellement. Il est estimé qu’une bouteille mets 1000 ans pour se dégrader dans la nature !  quant à l’eau du robinet ce n’est pas gratuit non plus.  D’après  60  Millions de consommateurs et la fondation France Libertés,   Dans 85% des 130 villes examinées dans l’étude, les prix ont augmenté en moyenne de 6,3% depuis 2011, pour une inflation de 4%. En moyenne, il est passé de 3,34 à 3,55 euros le mètre cube, pour une consommation de 120 mètres cube par an. « Certaines hausses importantes s’expliquent par des rattrapages dans les investissements », notamment dans les canalisations et les systèmes d’assainissement, avance Thomas Laurenceau, rédacteur en chef de 60 millions de consommateurs. Dans les régions agricoles ou fortement industrielles, l’eau doit par exemple subir des traitements de dépollution plus complexes. Il faut aussi moderniser des installations parfois anciennes. C’est le cas d’Evreux, qui détient le record du prix du mètre cube le plus élevé à 5,17 euros. Antibes, qui détient le record de la ville qui propose le prix le plus faible (1,50 euro) a ainsi pu obtenir une baisse de 43%, simplement en renégociant son contrat avec son délégataire. Par ailleurs, l’enquête pointe le fait qu’à cause d’une tarification sur la base d’une part fixe (l’abonnement) et une part variable (l’eau effectivement consommée), les petits consommateurs sont parfois très pénalisés, avec un prix du mètre cube qui peut être un euro plus cher.

Le pinard comme remède à la dépression économique en France

Le pinard comme remède à la dépression économique en France

 

 

Enfin une bonne nouvelle économique, la France retrouve sa place de premier consommateur de vin. Sans doute le remède pour guérir la dépression française notamment dans le domaine économique. Finalement 44 litres de vin par français c’est peu, pourquoi dès lors ne pas rendre le pinard obligatoire chaque jour, on pourrait facilement passer à 180 litre par an. Avec une petite taxe additionnelle sur chaque litre (TIPV, taxe intérieur sur la vinasse), on pourrait facilement récolter plusieurs dizaines de milliards et boucher tous les trous du budget. Avantage supplémentaire le pinard a des vertus thérapeutiques, il permet d’éviter la dépression et même de rendre le moral. Or davantage de confiance, c’est davantage de croissance (au moins pour la vinasse !). En tout cas le pinard permet d’être de  rendre moins lucide, donc moins méfiant. On s’étonne que l’ingénierie fiscale de nos chers énarques n’y ait pas encore pensé !  Selon les derniers chiffres, les Français sont redevenus les premiers buveurs de vin au monde. Un Français consomme en moyenne l’équivalent de 44,2 litres de vin par an. Les Slovaques sont à la deuxième place avec 43,3 litres par an. A la troisième place, les Croates avec 42,6 litres par an. Le Vatican est en dehors du classement qui concerne les pays de plus de 300 000 habitants. C’est en réalité le pays qui consomme le plus de vin par habitant : 73,8 litres par tête. L’explication n’est pas à chercher du côté du vin de messe mais du régime fiscal avantageux, les bouteilles sont bon marché, et la démographie : le pays est peuplé par des hommes âgés. La France est également le premier producteur au monde avec une production de 46,1 millions d’hectolitres selon les prévisions de l’Organisation mondiale du vin. L’Italie, le principal rival, repasse à la deuxième place avec 44,4 millions d’hectolitres. L’Espagne complète le podium 100% européen avec 37 millions d’hectolitres

 




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