Archive pour le Tag 'Pierre Moscovici'

Pierre Moscovici défend la France le cul entre deux chaises

 

 

Au grand Jury RTL Moscovici a défendu la France trop attaquée de l’intérieur aussi de l’extérieur. Un coup de patte évidemment à la droite française mais aussi aux frondeurs, un autre coup de patte à certains pays européens dont l’Allemagne ( notamment à son ministre des fiances)  Moscovici tente de trouver le fragile équilibre entre sa qualité d’ancien ministre français et son nouveau poste de commissaire. Il proclame donc en même temps que ça va aller mieux pour la France mais qu’il lui faut des réformes ( sans doute celles qu’il n’a pas réalisées quand il était ministre du gouvernement français !).  La reprise est là en Europe. Elle est vraiment là. Elle va s’accélérer », assure Pierre Moscovici. En février dernier, Bruxelles a revu à la hausse la croissance de la zone euro qui devrait atteindre 1,7% en 2015 pour toute l’Union européenne et 1,3% pour la zone euro. « Pour la première fois depuis des années, l’Europe n’est plus un problème mais une partie de la solution« , ajoute le commissaire européen.  Quant à la croissance française, « elle est en train de redémarrer. De manière modeste cette année avec 1% de croissance, mais elle sera plus importante l’année prochaine (1,8%) », précise Pierre Moscovici. La vraie question est de savoir si la reprise est conjoncturelle ou durable. » Il y a des facteurs conjoncturels extérieurs très positifs avec la baisse de l’euro, la baisse des taux d’intérêt et la baisse des prix du pétrole. Il y a donc un alignement de planètes qui est positif mais si ça ne s’accompagne pas de réformes structurelles, celles qui changent l’économie en profondeur, ce ne sera qu’un feu de paille », prévient l’ancien ministre.    »La France est un grand pays, j’en ai marre qu’on lui tape dessus de l’extérieur mais aussi de l’intérieur. C’est insupportable. L’Europe a besoin de la France (…) Mais elle a besoin de plus de réformes« , conclut t-il.

 

Réforme fiscale : Pierre Moscovici  » en phase » avec Jean-Marc Ayrault mais absent !

Réforme fiscale : Pierre Moscovici  » en phase » avec Jean-Marc Ayrault mais absent !

Le ministre de l’Économie Pierre Moscovici s’est dit dimanche 24 novembre « totalement en phase » mais il sera absent des premières consultations. Signe évident qu’il n’a pas été consulté par Ayrault (comme Touraine ou Sapin et même Hollande qui a recadré la réforme d’ici la fin du quinquennat alors qu’Ayrault veut l’appliquer dès 2015).  Avec le Premier ministre au sujet de la remise à plat fiscale annoncée par Jean-Marc Ayrault mardi. « Il n’y a pas, il n’y a plus d’incident ou de malentendu », a déclaré Pierre Moscovici, lors de l’émission « Internationales » (TV5Monde/RFI/Le Monde).    »Je suis totalement en phase avec le Premier ministre et, évidemment, mon ministère, Bercy, prendra toute sa place dans la réforme fiscale et d’ailleurs comment l’imaginer autrement ? », a ajouté Pierre Moscovici, à l’issue d’une semaine qui a vu le Premier ministre dicter sa politique à Bercy par voie de presse. Concernant l’annonce via la presse du remplacement éventuel des directeurs du Budget et du Trésor, Pierre Moscovici a concédé : « Peut-être l’annonce ne m’a-t-elle pas réjoui. » « Sur le reste, ce ministère, Bercy, est tenu (…). Cette administration d’excellence a besoin d’avoir un chef, je suis le chef de cette administration », a-t-il rappelé. Concernant la réforme de la fiscalité annoncée par le Premier ministre, Pierre Moscovici s’est dit « en total accord avec Jean-Marc Ayrault : il ne s’agit pas d’un tournant mais d’un approfondissement, d’une nouvelle étape, d’une remise à plat ».    »Je ne me suis senti en rien marginalisé ou affaibli, parce que le Premier ministre, et c’est son rôle, prenait une grande initiative politique, je l’approuve », a-t-il précisé, se disant « loyal au président de la République, loyal au Premier ministre ».   »Ce sont des décisions collectives, le gouvernement, le président, c’est un ensemble, c’est l’exécutif », a-t-il dit. « Nous travaillons en totale harmonie », il n’y a « aucune divergence, aucune différence », a-t-il affirmé, ajoutant qu’ »il n’y a aucun problème politique ou personnel entre Jean-Marc Ayrault et (lui) ». Pour Pierre Moscovici, « c’est une excellente initiative que de remettre à plat l’ensemble de notre système fiscal, de faire à prélèvements constants, et de chercher la visibilité, la transparence, la simplicité et la justice dans notre système », ainsi que « d’engager une grande concertation avec les partenaires sociaux ».  Interrogé sur les rumeurs de changements au sein de la haute administration du ministère de l’Économie, Pierre Moscovici a répondu : « Des changements dans les administrations, de directeurs en l’occurrence, le directeur du Trésor et le directeur du Budget, peuvent intervenir et doivent intervenir, mais il faut qu’ils interviennent en bon ordre. »  Selon le ministre de l’Économie, cela doit se faire « dans un lieu, le Conseil des ministres, sur la proposition du ministre concerné, en concertation avec le président et le Premier ministre, et dans une relative discrétion ».  Le Premier ministre doit entamer lundi un premier round de consultations en recevant à Matignon les partenaires sociaux sur cette vaste réforme, dont les conclusions sont attendues à l’été 2014. Pierre Moscovici, qui sera en déplacement en Chine – prévu de longue date -, ne sera pas présent.

 

Moscovici : réforme assurance-vie

Pierre Moscovici : réforme assurance-vie

Le ministre de l’Economie Pierre Moscovici annonce la création d’un « troisième pilier » de l’assurance-vie, un fonds de placement garanti et plus rentable que les fonds en euros, destiné à la réallocation de l’épargne vers les actions, dans un entretien aux Echos à paraître lundi 28 octobre. »Nous allons créer un nouveau produit, l »euro-croissance’, qui offrira à la fois une garantie et un meilleur rendement » que les fonds en euros, a expliqué le ministre, estimant qu’il s’agissait pour les épargnants français d’un produit « gagnant-gagnant ».Concrètement, ce contrat devra être « conservé au moins huit ans pour être garanti en capital » et « les épargnants bénéficieront à l’ouverture du contrat de l’antériorité fiscale pour les primes perçues auparavant sur d’autres contrats », a précisé Moscovici, évoquant « un outil puissant de réallocation des actifs, en particulier vers les actions ».Cet « euro-croissance » prendra place entre les contrats d’assurance-vie en euros et les contrats dits multi-supports, plus risqués. Le ministre a ajouté réfléchir à « une modification dans le régime fiscal de la transmission des plus gros contrats d’assurance-vie pour inciter à davantage de prise de risque ».Cette réforme de l’assurance-vie promise depuis des semaines sera présentée en novembre dans le cadre du collectif budgétaire de fin d’année, avec d’autres mesures visant à inciter les grandes entreprises à investir dans les PME (petites et moyennes entreprises) et les ETI (entreprises de taille intermédiaire), porteuses selon le gouvernement de croissance et d’emplois.Parmi ces mesures, Moscovici a cité un dispositif permettant d’ »amortir ces investissements sur cinq ans », ainsi qu’un soutien à l’export passant par « l’extension du champ de garantie de refinancement des crédits octroyés par la Coface » ou « l’augmentation du montant des risques couverts par l’Etat pour la construction navale », et un « dispositif public d’assurance-crédit à court terme dans les pays où une défaillance serait avérée ».

Pierre Moscovici patron de l’Eurogroup ?

Pierre Moscovici patron de l’Eurogroup ?

« Moscovici est le favori du moment mais toute reste entièrement ouvert », a déclaré à Reuters une source participant aux discussions, ajoutant cependant: « Il y a une certaine opposition contre lui. » A son arrivée à Bruxelles mardi matin pour la réunion mensuelle de l’Ecofin, Pierre Moscovici s’est refusé à tout commentaire sur son éventuelle candidature. « Laissons d’abord M. Juncker remplir la tâche qui est la sienne jusqu’à son terme, il a dit fin janvier », a dit le ministre français. « Prenons le temps. (…) Nous avons le temps et il faut faire ça dans un esprit très collectif. » Son homologue autrichienne, Maria Fekter, a estimé pour sa part que le successeur de Jean-Claude Juncker devrait avoir un profil de   »C’est un poste pour un chef de gouvernement et comme vous le savez, je ne suis pas chef de gouvernement. Ce sont les grands patrons qui en décideront », a-t-elle répondu aux journalistes lui demandant si elle-même était candidate.Le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker a confirmé lundi soir sa décision de prendre du recul à la fin de l’année. Il préside depuis 2005 la réunion mensuelle des ministres des Finances de la zone euro.

Confiance des ménages : en baisse

Confiance des ménages : en baisse 

La confiance des ménages st  en baisse ; en cause, surtout le  pouvoir d’achat, le  matraquage fiscal, le  chômage  La confiance des Français a continué de se détériorer en octobre. Une lente érosion, constatée depuis mai dernier, qui se traduit aujourd’hui par un niveau d’inquiétude rarement atteint: les ménages sont de plus en plus nombreux à voir leur «situation financière personnelle future» s’assombrir, selon l’enquête mensuelle publiée hier par l’Insee. Ils considèrent même que leur niveau de vie va encore se dégrader dans les mois à venir.  La séquence budgétaire – qui a marqué tout le début du quinquennat et vient de se terminer – a laissé des traces. Et les Français en ont surtout retenu l’idée qu’un matraquage fiscal les attendait. «Sur ce front-là, nous avons perdu la bataille de la communication», reconnaît-on à l’Élysée, en admettant «des erreurs». Celle d’avoir voulu s’attaquer à des corporations «qui parlent très fort et qui manipulent les symboles». Mais aussi d’avoir sous-estimé que «les Français ont mal, y compris aux impôts qu’ils ne paient pas», concède un proche du chef de l’Etat. Ces erreurs de communication politique, l’exécutif voudrait éviter de les commettre à nouveau. Et vite faire oublier le mauvais départ de l’autre grande séquence qui s’ouvre maintenant, celle de la compétitivité. Histoire de ne pas donner de nouvelles raisons d’inquiétudes aux Français, qui ne savent pas à quoi s’attendre dans ce domaine et entendent parler de hausse de TVA ou de CSG depuis plusieurs semaines. François Hollande a repris la main jeudi soir sur le sujet: devant un parterre de chefs d’entreprise, le président de la République a indiqué qu’il mettrait en œuvre un «pacte de compétitivité» sur le quinquennat, comprenant très certainement un allégement de charges pour les entreprises afin de baisser le coût du travail – mais pas les 30 milliards réclamés par le patronat -, ainsi que des mesures en faveur de l’innovation, la formation, le marché du travail et une réforme de l’impôt sur les sociétés qui devrait davantage favoriser les PME. Réunis vendredi en séminaire à Matignon, les membres du gouvernement, qui n’hésitaient pas, jusqu’à présent, à donner individuellement leurs idées sur la question, sont désormais au clair sur le message qu’ils doivent faire passer: l’objectif du gouvernement est «de conforter l’économie française, de la redresser, pas de la choquer, pas de la brutaliser», a indiqué Pierre Moscovici, à l’issue de la réunion

 

 




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