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Elections Européennes 2019 : Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul

Elections Européennes 2019 : Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul

 

Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul du parti au pouvoir. Un coup de pied au cul  qui se traduit en général par une abstention massive et surtout un vote d’opposition. Considéré comme sans enjeu politique majeur, les élections européennes servent ainsi de défouloir, témoin les résultats de 2014.  14% pour le PS, 25% pour le FN, 20% pour l’UMP, 14% pour le PS, 10% pour les verts et le Modem, 6% pour le front de gauche, de résultats encore plus catastrophiques qu’attendus pour Hollande et le PS ; En cause évidemment un rejet de cette Europe technocratique et ultra libérale, paralysée devant la crise et qui s’est montrée incapable de relancer l’économie. Une Europe qui au contraire à travers l’austérité n’a fait qu’aggraver le chômage. C’était un coup de pied au cul sans précédent pour Hollande qui ne s’en remettra pas. .Du coup Macron rétablit les listes nationales. .Des responsables du parti d‘opposition Les Républicains ont dénoncé ce choix, qui vise selon eux à masquer la faible implantation locale du parti du président de la République, La République en marche (LREM). Selon le Premier ministre, “ce modèle, largement majoritaire dans l‘Union européenne, permettra de renforcer l‘intelligibilité du scrutin et la lisibilité des enjeux de l’élection du Parlement européen. Il a fait l’objet d’un large consensus auprès des formations politiques consultées ”Edouard Philippe précise qu‘un projet de loi en ce sens, déposé début 2018, comprendra également une disposition ouvrant la voie à la mise en place, à titre complémentaire, de listes transnationales, “dans l‘hypothèse où les textes européens seraient modifiés en ce sens». Après sa rencontre avec Edouard Philippe, le secrétaire général des Républicains, Bernard Accoyer, a déploré la volonté “regrettable” de l‘exécutif de revenir à des listes nationales. “Nous dénonçons les motivations évidentes de cette manipulation électorale : il s’agit d’abord et avant tout de favoriser les candidats d’Emmanuel Macron avec la constitution d’une liste fourre-tout abritant des candidats LREM dépourvus d’attache territoriale et des partis sous tutelle d’En Marche”, a-t-il ensuite expliqué dans un communiqué.

Entretien Macron et Estrosi : coup de pied de l’âne à Fillon à Marseille

Entretien Macron et Estrosi : coup de pied de l’âne à Fillon à Marseille

 

 

Le président de la région Paca, sifflé lors du meeting du candidat LR, vendredi soir à Toulon a  accepté de rencontré Macron Samedi. Une rencontre qui va faire parler d’elle chez les Républicains et qui constitue en quelque sorte un coup de pied de l’âne à Fillon. Une rencontre finalement pas si étonnante que cela. D’abord parce que Estrosi a été élu président de la région avec les voix de la gauche et qu’il  pourrait avoir besoin demain du soutien explicite ou implicite de Macron. Ce soutien avait à l’époque était assez critiqué chez certains caciques des républicains. Seconde raison le fait qu’Estrosi ait  été un des premiers à envisager une   candidature de substitution à Fillon. En effet dès le 5 mars, Estrosi avait souhaité que François Fillon retire sa candidature. Une attitude commune de la plupart des grands responsables du parti républicain qui ont ensuite à nouveau mangé leur chapeau. Depuis, la plupart de ces responsables soutiennent Fillon comme la corde soutient le pendu. La garde rapprochée de François Fillon ne comprend que des seconds couteaux qui espèrent décrocher un portefeuille en cas de victoire de leurs favoris. Tous les autres leaders du parti se tiennent à distance. La faiblesse de Fillon, en plus évidemment de ses dérives politiques ou financières, réside dans son incapacité à vraiment réunir et mobiliser son parti. Globalement les sarkozystes sont en situation d’observation hormis Baroin qui vise la place de premier ministre et les juppéistes soutiennent officieusement Macron. En laissant siffler Estrosi lors  de son meeting de Toulon, Fillon ne s’est pas montré très habile, il n’a fait qu’accentuer les failles au sein de son parti. Il le paiera. Une rencontre sans doute pour des motifs républicains car il se pourrait que l’union de toutes les forces politiques soit nécessaire pour battre Marine Le Pen au deuxième tour. Une rencontre aussi pour privilégier les intérêts de la région en cas de victoire de macro, une victoire de plus en plus probable. Cette rencontre entre les deux hommes consacre en effet  la position de leader de Macron face à Le Pen et enfonce un peu plus François Fillon. L’ancien premier ministre aurait dû réfléchir à deux fois avant de laisser ses partisans très réacs siffler Estrosi. On   ne gagne pas une élection présidentielle en s’appuyant seulement sur les soutiens les plus sectaires (un raisonnement valable pour Hamon !).

Mur Mexique : Trump tire une balle dans le pied des américains

Mur Mexique : Trump tire une  balle dans le pied des américains

 

C’est la nouvelle idée de Donald Trump pour construire le fameux mur imposer 20 % de taxe supplémentaires sur les produits importés du Mexique, c’est l’idée « géniale » de Trump pour financer ce mur que les mexicains refusent évidemment de financer. En fait Trump va créer un impôt que vont supporter les américains. Une belle manière de se tirer une balle dans le pied. Une proposition qui démontre à l’évidence l’irresponsabilité et l’improvisation permanentes de Trump. Le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, a annoncé jeudi que le président américain souhaitait le financer en taxant à 20% les produits importés du Mexique. « En faisant cela, nous pouvons récolter 10 milliards de dollars par an et facilement payer pour le mur grâce à ce seul mécanisme », a-t-il assuré.   Selon lui, « cela permet clairement d’assurer le financement de façon à ce que le contribuable américain soit respecté ». Le projet aurait même été déjà évoqué avec les élus de la Chambre des représentants et du Sénat. Sans préciser comment elle serait mis en place ni quand, le porte-parole a indiqué qu’elle pourrait faire partie d’une réforme globale de la fiscalité. Une annonce qui intervient dans une journée émaillée de tensions entre le président américain et son homologue mexicain. Si les deux hommes devaient se rencontrer mardi à Washington, le locataire de la Maison Blanche avait finalement conseillé à Enrique Peña Nieto de ne pas se déplacer s’il n’avait pas l’intention de mettre la main au portefeuille. « Si le Mexique n’est pas prêt à payer le mur, qui est vraiment nécessaire, ce serait mieux d’annuler la rencontre à venir », a-t-il déclaré jeudi, ajoutant que ce serait «stérile ». La veille, le président américain avait signé un décret ouvrant la voie à sa construction. La réponse du président mexicain a été très claire. « Ce matin, j’ai informé la Maison Blanche que je n’assisterai pas à la réunion de travail programmée mardi prochain avec le président des Etats-Unis », a déclaré Enrique Peña Nieto sur Twitter.

2017 : Macron coupe l’herbe sous le pied à Hollande et Valls

2017 : Macron coupe l’herbe sous le pied à Hollande et Valls

 

 

Macron a décidé de couper l’herbe sous le pied à la fois à Valls et à Hollande en avançant sa candidature avec un mois d’avance. Du coup Valls est condamné à rester dans les starkings blocks tant que Hollande n’aura pas fait part de sa décision. Mais une décision maintenant largement hypothéquée  par Macron car Hollande risque de se trouver en 5 éme position derrière Le Pen, Juppé, (ou un autre vainqueur de la droite), Mélenchon et précisément Macron. Même perspective pour Valls. Macron recueille de 12 à 15% des intentions de vote. Hollande et Valls risque de récolter moins de 10%. Une candidature  qui semble avoir peu de chances pour se qualifier au second tour des présidentielles mais qui risque de ringardiser certains candidats de la droite à l’approche des primaires. En tout cas de la perturber. . Nombre des soutiens de l’ancien banquier de 38 ans le pressaient de se déclarer. A trop attendre, estimaient-ils, il risquait de décevoir les attentes d’une partie de ceux que son discours en faveur d’un renouvellement de la politique séduit. Selon un de ses proches, Emmanuel Macron sait qu’il sera candidat depuis la création de son mouvement « En Marche ! » en avril, bien avant sa démission du gouvernement, fin août. « Il était conscient depuis un an que le président de la République ne serait pas en état de se présenter » avec la moindre chance de succès, explique ce soutien de l’ex-ministre. Emmanuel Macron, qui se veut l’artisan d’un « rassemblement de progressistes » le plus large possible, a bâti les conditions de sa candidature à marche forcée. « En Marche ! », qui revendique aujourd’hui plus de 96.000 adhérents, s’est doté d’une structure nationale et territoriale, avec un secrétaire général, le député PS Richard Ferrand, des référents départementaux et plus de 1.800 comités locaux. François Hollande, qui a lancé Emmanuel Macron en le choisissant comme conseiller à l’Elysée et se retrouve avec un rival inattendu face à lui s’il décide de se représenter, a refusé mardi de commenter une « possible annonce ». Mais si la gauche « n’est pas rassemblée, elle ne pourra pas être au rendez-vous », a-t-il ajouté lors d’un entretien à TV5Monde, France 24 et RFI en marge du sommet sur le climat de Marrakech, lançant un appel au « rassemblement ». Selon les sondages, Emmanuel Macron et, dans une bien moindre mesure, le Premier ministre Manuel Valls, qui ne cache pas se préparer, feraient de meilleurs présidents que le chef de l’Etat sortant aux yeux de nombreux Français. Ils devancent les anciens ministres socialistes Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, avec un avantage à Emmanuel Macron préféré par 56% des Français à Manuel Valls dans un récent sondage Odoxa pour France Info, pour affronter la droite et le Front national en cas de renoncement de François Hollande. En matière d’intentions de vote, aucun des deux n’est cependant donné qualifié au second tour de la présidentielle, pas plus d’ailleurs que les autres candidats de gauche, Jean-Luc Mélenchon, champion de la « France insoumise », compris. A ce jour, Emmanuel Macron est au mieux crédité d’environ 15% des suffrages au premier tour de la présidentielle.

Canal + supprimé : ou la gestion mode coup de pied au cul de Bolloré !

Canal + supprimé : ou la gestion mode coup de pied au cul de Bolloré !

 

Comme d’habitude le capitaine d’industrie ne fait pas dans la dentelle et menace tout simplement de supprimer Canal+ si les résultats commerciaux et financiers ne s’améliorent pas. Une mise en demeure s’adresse également d’ailleurs à la chaîne d’information I télé. Pas sûr que mangement  à la hussarde qui a réussi au groupe Bolloré notamment en Afrique ou il réalise l’essentiel de ses profits soit très adapté à la gestion du secteur des médias. Après avoir nettoyé le Grand journal, Bolloré s’était aussi récemment attaqué au Petit journal  le Petit journal qui pourrait être réduit voire disparaître en cause sans doute la ligne éditoriale considérée comme un peu trop impertinente et cela y compris au plan international où Bolloré compte de nombreux intérêts. Pourtant le Petit journal bénéficie d’une forte audience. Le nettoyage opéré par Bolloré se traduit cependant par une baisse notoire du nombre d’abonnés, une baisse qui s’est accélérée depuis son arrivée et la mise au pas de la chaîne ;  environ 250 000 abonnés ont été perdus sur un an. Cette fois la menace est plus globale puisse qu’elle vise toutes les chaînes de Canal+. A l’occasion de l’Assemblée générale de Vivendi ce jeudi, Vincent Bolloré, le président de son conseil de surveillance, a prévenu qu’il n’était pas interdit d’imaginer une fermeture de la chaîne cryptée française Canal+ si ses pertes n’étaient pas jugulées. En revanche, le groupe a levé une ambiguïté afin de se donner plus de chance d’obtenir le feu vert de l’Autorité de la concurrence pour son accord d’exclusivité avec BeIN Sports. On pourra toujours s’abonner aux chaînes sportives du groupe qatari séparément même s’il y a accord, a expliqué Stéphane Roussel, DG en charge de l’opérationnel chez Vivendi. Le retour à l’équilibre de Canal en France dépendra en grande partie de l’accord avec BeIN. La confirmation que l’exclusivité ne serait pas totale, sûrement sous la pression de l’Autorité de la concurrence et des concurrents de Canal dans la télé, risque d’inquiéter les investisseurs. « On pourra continuer à s’abonner à BeIN en solo mais ce sera Canal quand même qui enverra la facture aux clients, a précisé Stéphane Roussel en marge de l’AG.

(Avec Reuters)

Dernier avertissement avant 2017 ? Non, coup de pied au cul

Dernier avertissement avant 2017 ? Non, coup de pied au cul

Aux dires de nombreux responsables la progression du FN en voix constituerait un avertissement ; une sémantique bien trop douce pour qualifier ce qui constitue un coup de pied au cul  pour les parties classiques. Marine Le Pen est battue par le candidat de la droite Xavier Bertrand mais la présidente du FN progresse toutefois d’un point par rapport au premier tour avec quelque 42% des suffrages. « L’Histoire retiendra que c’est ici que nous avons stoppé la progression du FN », a dit Xavier Bertrand. En Provence-Alpes-Côte-D’azur, la nièce de la présidente du FN, Marion Maréchal-Le Pen, est défaite par le sarkozyste Christian Estrosi, qui a dit avoir lavé « l’affront national ». Deux déclarations qui montrent que ces responsables n’ont pas pris la mesure de l’enjeu. D’abord la progression du FN n’est nullement stoppée,  elle va continuer de s’alimenter de tous les mécontentements liés à l’échec total de la politique économique et à la montée du chômage sans parler des questions sécuritaires. L’affront national n’est nullement lavé dans la mesure où les résultats électoraux vont grandement porter atteint à l’image du pays. La France va se trouver fragilisée par rapport à ses partenaires en Europe et de tels résultats sont honteux. La France déjà affaiblie au sein de l’Europe du fait de ses piètres résultats économiques et financiers sera regardée par nos partenaires avec encore un peu plus de circonspection. En clair la France pèsera encore moins sur les orientations européennes. Les parties classiques vont-ils tenir compte de ce véritable coup de pied au cul ? Pas sûr, car la gauche comme la droite sont engagés dans un processus de désintégration progressive avec trop de contradictions internes, trop de logiques d’appareil,  trop de logique personnelle. Maintenir par exemple Sarkozy comme leader du front républicain ou Hollande comme candidat du PRS en 2017 ne peut conduire qu’au suicide politique dans les années à venir. Comment comprendre qu’il puisse y avoir un renouvellement politique avec des responsables aussi discrédités et usés politiquement. La France est sans doute le seul pays au monde hormis peut-être certains Etats africains à accepter que des responsables puissent diriger le pays pendant ou être candidats pendant 30 ou 40 ans.

Régionales : un coup de pied au cul pour les partis classiques

Régionales : un coup de pied au cul  pour les partis classiques

Les résultats du premier tour des élections régionales constituent un formidable coup de pied au cul pour les partis classiques ;  certes ce n’est pas le refuge vers le FN qui peut constituer une alternative crédible notamment au plan économique mais d’une certaine manière les partis classiques de droite comme de gauche portent  une lourde responsabilité dans ce score du FN. Un score qui révèle surtout l’incompétence et le manque de volonté politique des dirigeants.  Alors que les parties classiques et surtout le PS centrent  leurs préoccupations sur les valeurs les français, eux, sont surtout préoccupés par des questions très concrètes. Un sondage Ipsos a d’ailleurs mis en évidence que le chômage était est de loin la première priorité pour 44 %. Suivi du terrorisme pour 32 %, de la sécurité pour 29 % et de la fiscalité pour 28 %. La grande préoccupation est donc  celle de la situation économique et de son corollaire : le niveau du chômage.  Dans ce domaine, la gauche comme là droite ont fait preuve d’une incompétence notoire et d’un manque total de volonté politique. Ni les uns ni les autres n’ont voulu réaliser les réformes structurelles pour permettre aux pays de retrouver la compétitivité nécessaire seule capable de résorber progressivement le chômage. En matière d’emploi et de croissance il faut bien constater la faillite totale de la droite comme de la gauche. Il faudra que ces familles politiques se réveillent sérieusement renouvellent le logiciel de leur fonctionnement, de leur réflexion et de leur détermination. Peut-être faudrait-il d’abord qu’ils s’initient  un peu sérieusement à la problématique économique au lieu de procéder par des meurettes plus ou moins d’ailleurs contradictoires. Encore une fois la solution politique ne passe certainement pas par le FN qui ne peut conduire le pays qu’à la ruine financière compte-tenu de l’absurdité de ses  propositions économiques. L’urgence pour les parties classiques c’est de s’ouvrir sur la société civile, de renouveler leur sociologie et surtout de se débarrasser  de ces technocrates scientistes qui sont à l’économie ce que McDo est à la gastronomie. Un seul exemple de l’incompétence et du manque de courage : l’attitude vis-à-vis des 35 heures. Des 35 heures qui ont été mortelles pour l’économie et qu’on hésite encore à supprimer purement et simplement à gauche bien sûr mais aussi à droite. Du coup ces 35 heures en affectant la compétitivité de notre économie ont accru  la masse de chômeurs qu’il faut financer avec une fiscalité qui plombe encore un peu plus la compétitivité.  Bref le cercle vicieux. On attend évidemment avec impatience que les candidats pour 2017 comprennent que l’articulation entre la problématique sociale et la problématique économique est incontournable. De ce point de vue le coup de pied au cul  reçu lors des régionales aura peut-être été salutaire pour qu’on aborde enfin sérieusement les vrais enjeux économiques et sociaux.

 

Morano : une épine dans le pied de Sarkozy

Morano : une épine dans le pied de Sarkozy

Si Sarkozy a effectivement nettement clarifié ses propositions par rapport aux déclarations à caractère raciste de Morano, il n’a pas réussi pour autant à gommer le trouble qui s’est  s’installé au sein du parti les républicains. Au sein même de ce parti les sensibilités sont en effet assez différentes quant à l’attitude à avoir vis-à-vis des migrants et des étrangers en général. La bataille entre Nadine Morano et Nicolas Sarkozy n’en finit donc pas de prolonger la polémique sur les déclarations de l’eurodéputée concernant la France « pays de race blanche ». L’ancien chef de l’État serait exaspéré par les propos de l’ancienne ministre déléguée au journal de 20h de TF1, donnant des leçons au leader de sa formation politique. Samedi 10 octobre, le chef des Républicains est revenu à la charge au siège même du parti. « Je n’accepterai jamais que les républicains que nous sommes tombions dans la caricature, parce que la caricature rend service à M. Hollande et à Mme Le Pen« , a tenu à préciser Nicolas Sarkozy. Lançant une pique non voilée à Nadine Morano, il a même précisé : « Vous êtes les bienvenus chez les Républicains, vous êtes les bienvenus quelle que soit votre couleur de peau ». Un discours d’ouverture, modéré, qui pourrait avoir comme contrecoup de le couper d’une base radicale. Une visite en Meurthe-et-Moselle, le fief de Nadine Morano, serait envisagée avec pour but d’avoir le dernier mot dans cette bataille des déclarations. 

Sondage Croissance : confiance des ménages un peu meilleure mais ce n’est pas encore le pied

Sondage   Croissance : confiance des ménages  un peu meilleure mais ce n’est pas encore le pied

 

Il y a du mieux dans la perception de l’économie de la part des ménages mais ce n’est pas encore le pied. L’indicateur demeure encore en dessous de sa moyenne de longue durée ; En cause sans doute le chômage qui s’est encore dégradé en août.  L’indicateur mesurant la confiance des ménages est en hausse en septembre. Les Français sont en effet  plus confiants sur la situation économique et leur situation financière personnelle notamment. L’indice reste néanmoins inférieur à sa moyenne de longue période.  Les Français un peu plus optimistes en septembre qu’en août. L’indicateur mesurant le moral des ménages en France s’est amélioré ce mois-ci pour atteindre 97 points, a annoncé l’Insee vendredi 25 septembre. La confiance des consommateurs a ainsi augmenté de trois points par rapport au mois dernier où l’indice avait stagné. Il reste à son plus haut niveau depuis octobre 2007. L’indice reste toutefois inférieur à sa moyenne de longue période, fixée à 100 points, rappelle l’Institut national de la statistique et des études économiques. En septembre, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle, passée et future, s’est améliorée, selon l’Insee. Ils ont ainsi été « plus nombreux qu’en août à considérer comme opportun de faire des achats importants » (quatre points de plus que le mois dernier), relève l’institut. L’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne s’est également nettement redressée, gagnant 5 points pour « l’épargne actuelle » et 9 points pour « l’épargne future », au-dessus de leur moyenne de long terme. Sur la situation économique, l’opinion des ménages s’est là encore améliorée, avec une hausse de 4 points sur le niveau de vie passé et de 6 points sur le niveau de vie futur, après trois mois de stabilité. Et même, sur le front du chômage, les craintes ont reculé pour le deuxième mois consécutif (-6 points), mais restent largement au-dessus de leur moyenne de long terme. A noter que l’étude de l’Insee n’a pas pu prendre en compte les chiffres du chômage du mois d’août, dévoilés jeudi 24 septembre. Celui-ci a augmenté de 0,6% avec 20.000 demandeurs d’emplois.

Fessée interdite par l’Europe… et le coup de pied au cul des technocrates ?

Fessée interdite par l’Europe… et le coup de pied au cul des technocrates ?

On sait pourquoi il y a autant d’instances, de fonctionnaires et d’élus à Bruxelles : pour rien. Ainsi le « conseil de l’Europe » ( c’est quoi ce machin ? Le Conseil, souvent appelé Conseil de l’Union européenne, et parfois appelé officieusement Conseil des ministres, est l’une des principales institutions de l’Union européenne, avec la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil européen, plus un tas d’autres machins).  Donc la France va être condamnée ;  finies les fessées, les claques. Pas sûr même qu’on puisse gronder les enfants tellement cela pourraiat créer des traumatismes psychologiques irréversibles. La France pourraiat tente d’adoucir la sentence avec un amendement qui indiquerait que les parents peuvent signifier à l’enfant qui ferait usage d’une kalachnikov sans autorisation que ce n’est pas bien, mais pas trop fort pour ne pas traumatiser le bambin. On se demande si l’Europe n’est pas tombée sur la tête et d’uen manière générale les pays occidentaux. Pas étonnant que le laxisme général érigé en principe favorise toutes les dérives, toutes les violences. Certes la fessée n’est pas le mode éducatif privilégié mais dans certains cas cela peut s’imposer, comme la gifle. L’autorité doit s’exprimer d’une autre manière ,pour autant une ou deux fessées ( maitrisées bien sûr) dans une vie d’ enfant  ne saurait constituer un traumatisme irréversible. Bien au contraire. En abandonnant progressivement ses valeurs et ses traditions, la civilisation occidentale se délite complètement et prépare uen société qui nie toute autorité, tout respect des personnes et des biens. En réponse à cette ingérence européenne, on se demande s’il ne faudrait pas instituer et légaliser «  le coup de pieds au culs des technocrates et des élus européens ».  En matière de gifles et de fessées, le droit français est trop flou. C’est ce qu’estime le Conseil de l’Europe. Il doit rendre officiellement sa décision mercredi prochain mais Le Monde a pu la consulter ce lundi. Il n’y aura pas d’amende car cette condamnation est symbolique. La France devra cependant revoir sa législation. 27 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe l’ont déjà fait. Le quotidien explique que, pour le Conseil de l’Europe, « le droit français ne prévoit pas d’interdiction suffisamment claire, contraignante et précise des châtiments corporels« . La claque et la fessée violent donc l’article 17 de la Charte européenne des droits sociaux.  Sur France Info, le médecin Gilles Lazimi, fervent défenseur de l’éducation sans violence, rappelle que « tout coup porté à un enfant est une violence. En France, les enfants sont les seuls êtres vivants qu’on peut frapper sans être puni par la loi« . Selon Gille Lazimi, ce n’est pas de l’éducation, mais de la violence, « l’éducation c’est tout autre chose. C’est accompagner, cadrer son enfant, être autoritaire mais ne pas lui prodiguer de coups, de claques, de fessées ou de gifles». Sur le fond sans doute mais est-il vraiment nécessaire de légiférer, ne serait-il pas plus urgent de doter l’Europe d’uen politique économique, d’uen politique étrangère ou encore d’uen politique sociale ?

Européennes : coup de pied au cul historique pour Hollande

Européennes : coup de pied au cul historique pour Hollande

 Le PS à 14% 25% pour le FN, 20% pour l’UMP, 14% pour le PS, 10% pour les verts et le Modem, 6% pour le front de gauche, de résultats encore plus catastrophiques qu’attendus pour Hollande et le PS ; selon une premier estimation CSA. Le PS obtiendrait même le score le plus bas de son histoire aux élections européennes. En fait si on tient compte de l’abstention, autour de 58%, le PS représente de l’ordre de 5% des électeurs. Autant dire que la légitimité de Hollande et du gouvernement est remise en question. En cause évidemment un rejet de cette Europe technocratique et ultra libérale, paralysée devant la crise et qui s’est montrée incapable de relancer l’économie. Une Europe qui au contraire à travers l’austérité n’a fait qu’aggraver le chômage. C’est un coup de pied au cul sans précédent pour Hollande. Certes Valls dira que cela ne change rien, que le gouvernement va continuer son travail de « redressement « mais personne ne peut y croire sérieusement si on s’en tient aux chiffres du chômage annoncés (+200 000 encore ‘ici 2015 ou encore aux chiffres de la croissance (croissance presqu’à zéro pour le premier semestre et très molle pour le second). C’est donc une double sanction d’une part à l’égard de l’Europe, d’autre part vis-à-vis du PS et de Hollande. Il faut dire que rarement sans doute un président et un gouvernement ne se sont montrés auusi incompétents en particulier dans les domaines économiques et sociaux. Le message envoyé par les Français est clair, les français ne supporte plus Hollande et sa majorité. Il est évident que le FN a capitalisé tous les mécontentements mais en même temps toutes les contradictions et que ce vote ne va pas renforcer la position de la France au sein de l’Europe. La France ne pesait déjà plus grand-chose avec Hollande mais avec ce vote elle va y ajouter le ridicule. Avec Hollande le pays ne pourra pas supporter encore 3 ans d’agonie et avec ce résultat la crise politique est désormais ouverte. En face de tels résultats un de Gaulle aurait immédiatement démissionné, Hollande lui va s’accrocher de manière pathétique entrainant le pays dans le même déclin.

Après le coup pied au cul, Hollande doit tout remanier pour la presse

Après le coup pied au cul, Hollande doit tout remanier pour la presse

Claque, Défaite, débâcle, punition autant de termes utilisés par la presse pour qualifier la gifle à Hollande. En faiat un vrai coup de pied au cul ! Du coup pour cette presse c’est à peu près tout qui doit être remis en cause « Le premier tour avait été cruel pour François Hollande, le second est assassin. Amplifiée par une abstention galopante, la débâcle rose est quasi générale », commente Alexis Brézet dans Le Figaro.   »Après la gifle du 23 mars, la dérouillée du 30″, résume Sud-Ouest sous la plume de Bruno Dive, qui demande : « Et maintenant, quelles suites politiques à ces élections ouragan ? »  Après l’analyse du scrutin, les éditorialistes se projettent dans l’après-municipales autour de la question centrale du remaniement.   »Un remaniement ne devrait pas tarder, et l’on voit mal comment après une telle défaite Jean-Marc Ayrault pourrait rester à Matignon », assure Bruno Dive.   »L’ampleur de la claque condamne en effet un Jean-Marc Ayrault exténué », confirme Jacques Camus (La Montagne/Centre France).  Plus circonspect, Fabrice Rousselot, dans Libération, dégage « une seule certitude » du scrutin de dimanche : « la nouvelle équipe gouvernementale aura besoin de se montrer plus efficace et plus concrète dans son action, loin des couacs avec l’Elysée auxquels nous avons été habitués ».  Mais « un remaniement suffira-t-il à signifier le changement?? Sûrement pas », répond Dominique Quinio dans La Croix, ajoutant que « le devoir qui s’impose au gouvernement ? ce sur quoi Hollande sera au bout du compte jugé ?, c’est la lutte contre le chômage et les pauvretés ».   »Ce ne sont donc pas de simples jeux de chaises ministérielles qui restaureront une confiance s’étiolant depuis des lustres », fait valoir Marc Dejean de Presse Océan.  En effet, « plus que les hommes, c’est le projet qui est remis en cause. Un projet qu’il ne suffira pas de mieux expliquer », avertit Michel Urvoy dans Ouest France.  Même analyse dans L’Humanité, où Patrick Apel-Muller juge que « remanier aujourd’hui pour ne rien changer sera interprété comme un mépris. D’autres claques suivraient alors celle enregistrée aux municipales ». Pour l’éditorialiste communiste, « il est urgent de refouler le social-libéralisme ».  Les appels au « gauchissement de la ligne gouvernementale » laissent de marbre l’éditorialiste du quotidien économique Les Echos. « Ce serait commettre une lourde erreur car ce qui a manqué depuis deux ans, ce n’est pas plus de gauche, c’est plus de clarté », considère Nicolas Barré.   »Alors, changer d’hommes ou changer de cap ? Les Français ont sanctionné pêle-mêle une politique et une équipe », résume Matthieu Croissandeau dans Le Parisien/Aujourd’hui en France.  Même si la plus grande incertitude entoure les intentions du chef de l’Etat, « ce message fort des Français doit être entendu sur le champ par le président lui-même », insiste Marcel Clairet dans La Presse de la Manche.  Le Journal de la Haute-Marne et Patrice Chabanet confirment que « François Hollande qui n’a pas vraiment la réputation de trancher dans le vif doit s’y résoudre rapidement ».  Pour Matthieu Croissandeau (Le Parisien), « Hollande va devoir changer, oui, en commençant par lui-même. Et changer pour de bon ! »

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