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Bientot le pic des énergies fossiles (AIE) ?

Bientot le pic des énergies fossiles (AIE) ?

L’agence internationale de l’énergie annonce bientôt que le monde aura bientôt atteint le pic des les énergies fossiles. Un pronostic qui n’apporte pas grand-chose et même assez flou. Ce n’est plus une question de “si” mais seulement de “dans quel délai” et le plus tôt sera le mieux pour nous tous», explique le directeur exécutif de l’AIE, Fatih Birol !

L’agence internationale qui modère tout de suite son propos pourtant approximatif en indiquant que forcément ce sera insuffisant pour atteindre les objectifs de l’accord de Paris, soit une hausse de la température limitée à 1,5° C.

La demande de combustible fossile reste bien trop élevée à ce stade, insiste l’agence qui est devenue la référence mondiale en matière d’énergie. Et l’AIE souligne, avec ce retard probable sur la limitation de la hausse des températures, un risque rarement évoqué. La sécurité du système énergétique mondial, qui a été conçu pour une température globalement plus fraîche, et avec moins d’événements de chaleur extrême, pourrait être sapée.

Redoutant que la hausse de température atteigne malgré tout 2,4°C durant ce siècle, l’AIE propose un plan d’actions ambitieux basé sur «cinq piliers», notamment la montée en puissance des énergies renouvelables, qui pourrait être entérinée lors de la COP 28 qui se tiendra à Dubaï début décembre.

Mais une COP Qui n’a aucun pouvoir de décisions vis-à-vis des états qui en outre ne tiennent même pas leurs promesses. Bref reste à inventer la régulation mondiale climatique.

Zone euro : L’inflation à un pic en Europe ?

Zone euro : L’inflation à un pic en Europe ?

La banque centrale européenne affirme que l’inflation sous-jacente à atteint son pic, ce qui permettrait d’éviter de nouvelles hausses des taux. L ’inflation sous-jacente exclut les prix très volatils comme l’énergie et l’alimentation et permet ainsi de dégager une tendance de fond de l’évolution des prix.

C’est la trajectoire de l’inflation sous-jacente qui dicte la politique monétaire de la BCE. Tant qu’une décrue franche n’est pas observée, la banque centrale entend poursuivre la remontée des taux.

Mais le concept même d’inflation sous-jacente dite aussi de long terme parce désaisonnalisée est discutable. Pour l’instant en effet, il évacue les hausses de l’énergie et de l’alimentation considérée comme exceptionnelle et conjoncturelle.

Toute la question est de savoir ce qui est conjoncturel et structurel. Rien n’indique que le pétrole par exemple ou l’électricité vont diminuer bien au contraire. De la même manière, que n’indique que les prix de l’alimentation vont diminuer car certaines hausses sont structurelles.

En début de semaine, alors que les spéculations se poursuivent autour d’une éventuelle pause sur la hausse des taux après septembre, Christine Lagarde, présidente de l’institution bancaire européenne, n’a pas pris position clairement. « Il y aura peut-être une nouvelle augmentation des taux directeurs, ou peut-être une pause », a-t-elle déclaré

« Une pause, quelle qu’en soit la date, en septembre ou plus tard, ne revêtirait pas nécessairement un caractère définitif », a toutefois tempéré la responsable de la BCE. Pour envisager une pause, il faudrait, selon elle, que « l’inflation soit durablement ramenée à sa cible » de 2%.

Un pic d’inflation toujours repoussé !

Un pic d’inflation toujours repoussé !

La Banque de France, la voix de son maître du gouvernement, ne cesse d’annoncer que l’inflation est transitoire et que nous allons atteindre un pic. On attendait ce pic en 2022, il est maintenant reporté à la moitié de l’année 2023 mais en fait , il pourrait bien continuer jusqu’en 2024 cela d’autant plus qu’une vague d’augmentation est prévue au cours du premier s les prix de la consommation vont intervenir ou le sont déjà au cours du premier semestre.

Les pressions inflationnistes sont loin d’être retombées en France. Au mois de février, l’indice des prix à la consommation a grimpé à 6,2% contre 6% en janvier, selon les derniers chiffres de l’Insee dévoilés ce mardi 28 février. Les prix de l’alimentaire (+14%) accélèrent bien plus rapidement que l’inflation moyenne tandis que les prix dans l’énergie ont commencé à marqué le pas, voire à reculer. « Cette inflation pourrait atteindre son pic au cours du premier semestre. Elle pourrait ralentir mais cela reste trop élevé. L’inflation sous-jacente reste à 4,5% », a indiqué le gouverneur devant les députés.
Pour rappel, l’inflation sous-jacente correspond à l’évolution des prix sans les composantes les plus volatiles (énergie, alimentaire). « Pendant des mois, le principal facteur était l’énergie. Aujourd’hui, c’est l’alimentation. Ces phénomènes sont très forts mais temporaires. Le choc des prix de l’alimentaire sur l’inflation devrait durer des mois mais devrait progressivement diminuer d’ici la fin de l’année, » a-t-il ajouté.

Face à l’envolée des prix, la poursuite d’une politique monétaire plus restrictive pourrait mener à un durcissement plus drastique de l’accès aux crédits, à une baisse de la demande plus marquée et une hausse du chômage.

Qualité de l’air : pic de pollution aux particules fines dans 23 villes

Qualité de l’air : pic de pollution aux particules fines dans 23 villes

Depuis dimanche 12 février, six régions françaises étouffent sous les particules fines, note France Bleu en se basant sur les informations dévoilées sur le site de la fédération des Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (Atmo). L’indice Atmo de qualité de l’air est mauvais dans l’ensemble de la France.

Mardi 14 février, la situation doit empirer à Strasbourg, qui sera classé rouge écarlate « très mauvais ». La capitale alsacienne succède à Lyon qui était dans le rouge écarlate la veille, en début de semaine. Ce mardi, 22 villes sont coloriées en rouge « mauvais » par Atmo, jaune « dégradé » dans 14 villes. Dans l’hexagone, on ne compte que sept villes classées en vert, soit un niveau « moyen » de particules fines. Les prévisions d’Atmo-France seront actualisées à 14 heures.

Cet épisode de pollution hivernale aux particules fines liée au refroidissement des températures et donc à l’augmentation des émissions de chauffage, particulièrement au bois, contraint les préfectures de plusieurs départements à mettre en place des restrictions.

La vallée du Rhône a notamment été placée en vigilance rouge, a indiqué lundi 13 février la préfecture de l’Ardèche dans un communiqué. Jusqu’à la fin de cet épisode de pollution, il est interdit d’utiliser du bois comme chauffage individuel d’appoint, il faut maîtriser la température dans les bâtiments (chauffage en hiver : 18 °C), ou encore abaisser sa vitesse de 20 km/h sur les routes limitées à 90 km/h ou plus. Le secteur industriel doit de son côté arrêter ses activités les plus polluantes. Les chantiers générateurs de poussières doivent également être reportés à la fin de l’épisode de pollution.

Carburants : nouveau pic des prix

Carburants : nouveau pic des prix

Sous l’effet de la guerre en Ukraine et des mesures pour sanctionner le pétrole russe, les prix du carburant s’approchent des deux euros le litre. Le litre de gazole coûtait hier , en moyenne, 1,9162 euro. Pour l’avenir les prix pourraient encore augmenter mais tout dépendra de la situation géopolitique et de l’évolution de la croissance, donc de la demande d’hydrocarbures. Si beaucoup de pays devaient connaître la récession, comme c’est probable alors au contraire on pourrait enregistrer un affaissement des cours du pétrole.

La tendance est plus marquée encore du côté de l’essence, où la facture du litre est au plus haut depuis fin juillet dernier. Le litre de SP95 coûtait ainsi, en moyenne, 1,9008 euro, contre 1,8748 euro pour celui de SP95-E10 et 1,9593 euro pour celui de SP98. Ces trois produits ont d’ailleurs vu leur prix augmenter de plus de trois centimes sur une semaine.

Les prix à la pompe avaient bondi, en début d’année, avec la fin des ristournes octroyées jusqu’ici par TotalEnergies ainsi que par l’État. Ils sont désormais tirés par la montée des cours sur les marchés : ce lundi, en milieu d’après-midi, le baril de Brent s’affichait aux alentours de 88,5 dollars, alors qu’il valait environ 84 dollars une semaine plus tôt et moins de 80 dollars deux semaines plus tôt. De quoi gonfler la facture finale pour le consommateur, alors que la demande de pétrole se reprend, portée par l’assouplissement des règles encadrant le Covid-19 en Chine. «Le consensus des économistes interrogés par Bloomberg au 20 janvier est en baisse avec un prix médian du Brent en 2023 à 87,5 dollars le baril, mais certaines institutions (dont Goldman Sachs) prévoient une phase haussière des prix du brut autour de 110 dollars le baril», note l’IFPEN ce lundi.

Inflation : Véran atteint le pic du bavardage !

Inflation : Véran atteint le pic du bavardage !

 

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran qui ne connaît strictement rien en économie affirme cependant que « nous sommes sur un plateau haut plutôt que sur un pic » d’inflation.

À peu près la même phraséologie que celle qu’il employait  quand il était ministre de la santé à l’occasion de la crise Covid.

Il est clair que son propos n’a aucun sens. Le fait de savoir s’il s’agit d’un pic ou d’un plateau n’éclaire pas beaucoup le débat. La question est de savoir si l’inflation va continuer de grimper. Or jusque-là le gouvernement a faussement assuré que l’inflation devait diminuer dans la seconde partie de 2022. Le ministre des finances a bien été contraint d’admettre que l’inflation s’installait durablement et ne pourrait pas diminuer avant 2023.

Le porte-parole du gouvernement aurait donc mieux fait de se taire au lieu de se livrer encore une fois un bavardage inutile.

Olivier Véran a aussi abordé les mesures économiques ou symboliques envisagées par le gouvernement. Interrogé sur le débat relancé par Élisabeth Borne, samedi, concernant une taxation des supers-profits, il a assuré qu’il ne s’agissait pas d’un « d’une garantie envoyée à la Nupes ».

Sans indiquer clairement si le gouvernement allait adopter une telle mesure, il a indiqué aux entreprises qu’elles devaient « contribuer à l’effort, surtout celles qui ont fait du bénéfice durant la période ».

Avant d’inviter les grands groupes à augmenter leurs salariés, sans quoi « l’État prendra ses responsabilités ». Tout en indiquant que l’inflation devrait commencer à baisser début 2023. Dixit le docteur Diafoirus !

Omicron: Le pic atteint ! mais un nouveau record qui contredit !

  • Omicron: Le pic atteint ! mais un nouveau record qui contredit ! 
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  • D’après les experts et même les médias qui avaient bouclé pratiquement leurs tirages, le pic omicron serait atteint et même en régression. Manque de chance ou de lucidité puisqu’au contraire la France vient d’enregistrer un record 464.769 nouveaux cas en 24 heures, un record ; Mardi dernier, 368.149 cas avaient été recensés.
  • Le taux de positivité des tests augmente aussi , s’établissant à 23,9%. Le taux d’incidence est lui de 3063 personnes contaminées pour 100.000 habitants.Bref, beaucoup d’experts, les politiques et les grands médias devraient se montrer prudents dans leurs pronostics quant à l’évolution de la maladie concernant en particulier le nombre de contaminées. Un nombre record même au monde rapporté à la population. Dans nombre de fourneaux on  titre « . Le pic des cas semble donc atteint » reprenant tout simplement les affirmations du gouvernement. La vérité sans doute ce qu’il y a encore des normes inconnues concernant cette maladie aussi bien concernant les conditions de son évolution, de sa contamination et même de sa gravité à moyen et longs terme.

Le pire dans cette désinformation, c’est l’unanimité de la tonalité qui fait croire que la crise omicron est pratiquement terminée. Un joli coup de pied au cul à l’information formatée des grands médias avec ce nouveau record de contamination

Covid: Le pic d’incompétence d’Olivier Véran sur la contamination

Covid: Le pic d’incompétence d’Olivier Véran sur la contamination

 

Il y a deux jours le ministre de la santé a annoncé un pic de l’ordre de 50 000 qui sera en faitprès de 100 000 d’ici la fin du mois.

« Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays », a déclaré Olivier Véran juste avant que les chiffres officiels ne dévoilent un nouveau record Mardi et mercredi.

Mardi en effet, on  a enregistré +63.405 nouveaux cas confirmés en 24h ,un nouveau record Suivi d’un autre record mercredi avec plus de 65 000 Soit très au-dessus de la moyenne habituelle de 48 000 contaminés par jour.

 

Une nouvelle fois, Olivier avérant se trompe lourdement non seulement il va falloir affronter la montée en puissance des malades en traitement dans les hôpitaux mais continuer aussi de faire face à la croissance de la pandémie. Sur la tendance, en effet on pourrait atteindre de l’ordre de 100 000 contaminés par jour d’ici la fin de l’annéeEt avec près de 4000 malades en soins intensifs qui vont complètement paralyser les capitaux.

Ce n’est pas de pas le pic épidémique qui a été atteint mais peut-être le pic d’incompétence d’un ministre par ailleurs beaucoup trop bavard.

COVID-19: le pic épidémique ou le pic d’incompétence pour Olivier Véran

COVID-19: le pic épidémique ou le pic d’incompétence pour Olivier Véran 

« Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays », a déclaré Olivier Véran juste avant que les chiffres officiels ne dévoilent un nouveau record.

Mardi en effet, on  a enregistré +63.405 nouveaux cas confirmés en 24h ,un nouveau record. Soit très au-dessus de la moyenne habituelle de 50 000 contaminés par jour.

 

Cependant le ministre de la santé n’a pas pu promettre que les contaminations, estimées à 50.000 par jour, allaient redescendre, ou si un plateau allait s’établir dans les prochaines semaines.

 

Une nouvelle fois Olivier avérant se trompe lourdement non seulement il va falloir affronter la montée en puissance des malades en traitement dans les hôpitaux mais continuer aussi de faire face à la croissance de la pandémie. Sur la tendance, en effet on pourrait atteindre de l’ordre de 100 000 contaminés par jour d’ici la fin de l’année.

Ce n’est pas de pas le pic épidémique qui a été atteint mais peut-être le pic d’incompétence d’un ministre par ailleurs beaucoup trop bavard.

 

PIC DE CHALEUR « SANS PRÉCÉDENT »( NASA)

PIC DE CHALEUR « SANS PRÉCÉDENT »( NASA)

 

La planète emmagasinerait près de deux fois plus de chaleur qu’en 2005, une augmentation « alarmante » selon les chercheurs de de la Nasa et de la National Oceanic and Atmospheric Administration (Noaa).

Concrètement, la notion de « déséquilibre énergétique » tel qu’il est mis en avant par la Nasa et la Noaa fait référence à la différence entre la quantité d’énergie radiative du Soleil (qui est absorbée par l’atmosphère et la surface de la Terre) et la quantité de rayonnement infrarouge thermique que la Terre émet dans l’espace.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont comparé les données provenant de capteurs satellites, qui suivent la quantité d’énergie entrant et sortant du système terrestre, et les données des flotteurs océaniques. Ce système de flotteurs de collecte de données, permet « une estimation précise de la vitesse à laquelle les océans du monde se réchauffent ».

 

Les origines de cette augmentation seraient d’abord liées à l’activité humaine, puisque l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre maintiendrait la chaleur dans l’atmosphère terrestre, piégeant les rayonnements qui devraient normalement s’échapper dans l’espace. Un déséquilibre qui, forcément, a ensuite d’autres conséquences:

« Le réchauffement entraîne d’autres changements, tels que la fonte de la neige et de la glace, ainsi qu’une augmentation de la vapeur d’eau et des changements dans les nuages ​​qui peuvent encore accentuer le réchauffement. Le déséquilibre énergétique de la Terre est l’effet net de tous ces facteurs. »

Les chercheurs ont également déclaré qu’un changement « naturel » dans l’océan Pacifique d’une phase froide à une phase chaude avait probablement joué un rôle important dans l’amplification de ce déséquilibre énergétique. Selon eux, cette recherche ne donne cependant qu’un aperçu du changement climatique en cours, et il n’est pas possible de prédire avec certitude « ce à quoi pourraient ressembler les prochaines décennies pour l’équilibre du budget énergétique de la Terre ».

Covid-19 : nouveau pic

Covid-19 : nouveau pic

 

4.900 malades en réanimation , soit presque le pic de la deuxième vague à l’automne, selon les données de Santé publique France (SPF).

Au total, 4872 malades étaient en réanimation dimanche contre 4791 samedi. Un chiffre qui se rapproche de celui de la 2e vague à l’automne qui avait culminé le 16 novembre à 4903 malades. Au cours des dernières 24 heures, les admissions en réanimation ont légèrement ralenti, s’élevant à 238 contre 332 patients la veille.

Le nombre total de personnes hospitalisées en France à cause du Covid-19 était de 27.712 dimanche dont 1.017 nouvelles admissions contre 27.259 samedi. En 24 heures, 131 patients sont morts à l’hôpital des suites du Covid-19, contre 194 la veille.

En Île-de-France, 41 directeurs médicaux de crise de l’AP-HP (Assistance publique – Hôpitaux de Paris) évoquent une «situation de médecine de catastrophe», disant se préparer à devoir «faire un tri des patients afin de sauver le plus de vies possibles», dans une tribune publiée par le JDD.

Dans une autre tribune dans Le Monde, neuf médecins de l’AP-HP étrillent la gestion de crise de l’exécutif, estimant qu’«en imposant aux soignants de décider quel patient doit vivre, le gouvernement se déresponsabilise de façon hypocrite».

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Coronavirus Corée : 76 nouveaux cas au lieu de 909 lors du pic

Coronavirus Corée :  76 nouveaux cas au lieu de 909 lors du pic

76 nouveaux cas confirmés de coronavirus en Corée du Sud, une tendance à la baisse qui alimente les espoirs d’un contrôle de l’épidémie dans cet important foyer d’infection. Ce nombre de nouveaux cas quotidiens est nettement inférieur au pic de 909 contaminations recensées le 29 février.

D’après les données du Centre de contrôle et de prévention des maladies (KCDC), 9.037 personnes ont contracté le virus depuis que l’épidémie est apparue en Corée du Sud.

Deux décès supplémentaires ont été signalés, portant le bilan à 120 morts. Notons que la Corée du Sud est intervenue très tôt dans sa lutte contre la pandémie avec des mesures particulièrement radicales et suivies par le corps médical et la population. Une stratégie combinant le confinement, le dépistage systématique et le port de masques notamment

 

Coronavirus: le pic de l’épidémie n’est pas atteint

Coronavirus: le pic de l’épidémie n’est pas atteint

Curieusement, les autorités chinoises affirment que le nombre de personnes infectées et le nombre de décès du fait du virus tend à se réduire depuis quelques jours. Parallèlement, selon le bureau politique du Parti communiste, qui s’est réuni autour du président Xi Jinping, le pic de l’épidémie n’a pas encore été atteint ! Il y a là une contradiction de plus. D’autant qu’on a trouvé de nouveaux cas assez atypiques et de nouveaux champs d’expansion de la maladie dont on connaît encore peu de choses notamment sur son mode de propagation et ses modalités d’incubation. De toute manière, la prévention ne sera réellement efficace que lorsqu’on aura découvert un vaccin qui ne pourra être opérationnel avant des mois c’est-à-dire au moins un an.

L’annonce de la présence de malades parmi les détenus et la découverte d’une trentaine de nouveaux cas dans un hôpital de Pékin ont mis fin à 16 jours consécutifs de recul du nombre quotidien de nouveaux cas chinois hors de cette province, où le virus est apparu en décembre. Au total, 396 cas et quatre décès ont été dénombrés dans la capitale chinoise. Dans son bilan quotidien, la Commission nationale de la santé a fait état de 889 nouveaux cas décelés jeudi en Chine continentale, alors que 394 nouveaux avaient été recensés la veille.

Sur ce total, 258 cas ont été enregistrés hors du Hubei, dont 234 dans deux prisons, l’une située dans la province septentrionale de Shandong et l’autre dans la province orientale de Zhejiang. Plusieurs membres de l’administration locale, jugés responsables de la propagation du virus, ont été démis de leurs fonctions, selon des médias locaux.

En Chine continentale, le bilan s’élève désormais à 75.465 cas et 2.236 décès.

Selon le bureau politique du Parti communiste, qui s’est réuni autour du président Xi Jinping, le pic de l’épidémie n’a pas encore été atteint.

Xu Nanping, vice-ministre des Sciences et de la Technologie, a annoncé que les essais cliniques du premier vaccin chinois débuteraient fin avril, ce qui correspond aux échéances des recherches menées dans d’autres pays. D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), un vaccin pourrait être commercialisé dans un an et demi. Les autorités sanitaires espèrent que l’arrivée d’un temps plus chaud dans l’hémisphère nord ralentira entre-temps la progression de l’épidémie.

Cette crise sanitaire, dont les répercussions sur la croissance mondiale inquiètent de plus en plus, devrait figurer au coeur des discussions de la réunion des ministres des Finances et gouverneurs de banques centrales des pays du G20 samedi et dimanche à Ryad, a déclaré le gouverneur de la Banque du Japon (BoJ), Haruhiko Kuroda.

“Nous observons l’impact (de cette épidémie) avec une vive préoccupation et surveillons de près les risques baissiers”, a-t-il déclaré devant le Parlement à Tokyo avant de s’envoler pour Ryad.

A l’échelle mondiale, l’épidémie concerne 26 pays et territoires en dehors de la Chine continentale, et elle a fait 11 morts, selon le bilan établi par Reuters.

Modem, RN et Insoumis : des procès qui tombent à pic pour Macron !

Modem, RN et Insoumis : des procès qui tombent à pic pour Macron  !

 

 

Curieusement, trois affaires juridico-politiques remontent à la surface à proximité des élections municipales. On accuse le Modem, le rassemblement national et Ies Insoumis d’avoir utilisé pour le fonctionnement du parti des permanents qui auraient dû se consacrer aux tâches parlementaires puisque leur financement dépend de la puissance publique. Une sorte de procès en sorcellerie en quelque sorte ou plus exactement une sollicitude suspecte de la justice pour discréditer des partis. Il est clair qu’aujourd’hui encore plus qu’hier, il est bien difficile de distinguer les tâches concernant le champ national, le champ européen et le fonctionnement du parti. D’une certaine façon, Macron tient en laisse le Modem qui ne montre pas assez de bonne volonté pour  les élections municipales. Cette affaire vise aussi à discréditer les insoumis et le rassemblement national. Ces trois organisations politiques n’ont pas grand-chose en commun, de toute évidence, elles ne se sont pas concertées;  le fait de  viser des permanents financés par des fonds publics  ne constitue pas un crime et même un délit. Dans les organisations syndicales, des centaines de permanents sont utilisées à des tâches autres que celles initialement prévues. Ainsi des permanents payés sur des entreprise ou l’Etat  permettent-t-il aux organisations confédérales de fonctionner surtout dans une période de relative désaffection syndicale. Le parti socialiste a longtemps fonctionné avec l’aide partielle ou  totale de permanents syndicaux ou de permanents simplement dégagés par l’administration. L’action juridique en cours est à la fois idiote et injuste. On peut s’étonner que la justice ne manifeste pas davantage de dynamisme pour enquêter sur certaines affaires politico-judiciaires de la république en marche. Par exemple sur l’affaire Ferrand actuellement président de l’Assemblée nationale et qui a permis à sa compagne d’encaisser un petit boni de l’ordre de 800 000 € quand il était directeur des mutuelles de Bretagne ou encore le financement de la campagne de Macron.  Dans ce cas précis de Ferrand, le délit est autrement plus important car il s’agit d’un enrichissement personnel. Cette histoire d’utilisation frauduleuse de permanents n’a aucun sens.  En effet, s’occuper du fonctionnement d’un parti, c’est évidemment aussi s’occuper directement ou indirectement des sujets nationaux et européens. On pourrait tout aussi bien intenter les mêmes procès à la plupart des parlementaires et à leur secrétariat qui passent davantage de temps dans leur circonscription que pour l’étude  des questions de l’assemblée du Sénat, Pour autant il y a interaction entre actions locales, action nationale et européenne. Si l’on voulait faire le même procès aux députés, on se rendrait compte que sur 577 élus à peine 50 animent réellement les travaux et que les autres font de la figuration. Ce procès de nature politique est détestable même s’il concerne des organisations dont on peut contester les orientations.

Flashée à 150 km/h en pic de pollution, la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon : piégée à 150kmh ! »

Flashée à 150 km/h en pic de pollution, la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon : piégée à 150kmh ! »

 

On se demande bien quel est l’urgence qui a justifié que l’inutile secrétaire d’État à la transition écologique justifie qu’elle roule à 150 km/h. En outre, pas vraiment un comportement exemplaire en sachant que plus la vitesse s’élève plus les émissions polluantes augmentent. Sans parler la sécurité tellement chère au Premier ministre et à sa loi des 80 km. On objectera que la ministre a été coincée à 150 sur une autoroute et que le dépassement est donc de 40 km/h. Le pire c’est que ce dépassement se situait dans une période de pollution dont   la ministre déclare qu’elle ignorait l’existence Selon une information de Ouest France, confirmée à BFMTV.com, la secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique était en déplacement dans les Hauts-de-France lorsque son véhicule a été flashé.  D’après Ouest France, ce sont des policiers présents sur cette portion de voie qui ont contrôlé la vitesse du véhicule, conduit par le chauffeur de la secrétaire d’État à ce moment-là. La limitation exceptionnelle était indiquée « sur tous les panneaux de signalisation et répétée en boucle à la radio », a déclaré l’un d’entre eux au quotidien.  De son côté, l’entourage d’Emmanuelle Wargon confirme l’infraction. « On n’était pas au courant du pic de pollution« , assure son cabinet auprès de BFMTV.com. Et ce malgré le fait que l’intéressée soit secrétaire d’État auprès de François de Rugy, ministre… de la Transition écologique.  C’est d’ailleurs en cette capacité qu’Emmanuelle Wagrrgz B (dont le gisement aux Pays-Bas s’épuise) au gaz H. En tout cas en voiture ça gaze pour la ministre !

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