Archive pour le Tag 'Philippe'

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Édouard Philippe, le clone de Juppé également impliqué dans un conflit d’intérêt

Édouard Philippe, le clone de Juppé également impliqué dans un conflit d’intérêt

Édouard Philippe , véritable clone de Juppé, porteur de la même vision bureaucratique et de la même raideur ressemble à son modèle. D’abord Édouard Philippe comme Juppé viennent de sortir des livre qui se ressemblent beaucoup. Ensuite Édouard Philippe vient d’être concerné par une plainte pour prise illégale d’intérêts. Comme Juppé impliqué dans plusieurs affaires qui lui avaient notamment interdit de se présenter aux élections.

L’ancien premier ministre et maire (Horizons) du Havre Édouard Philippe est visé par une plainte notamment pour favoritisme et prise illégale d’intérêts en lien avec une association chargée de l’animation de la Cité numérique de la ville, a appris l’AFP vendredi 15 septembre de sources concordantes, confirmant une information du Monde. La plainte visant le possible candidat à la présidentielle 2027 a été déposée jeudi pour favoritisme, prise illégale d’intérêts, concussion et détournement de biens et harcèlement moral, a indiqué à l’AFP Me Christelle Mazza, avocate de l’ancienne directrice générale adjointe de la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole.

En juillet 2020, Édouard Philippe, président de la communauté urbaine, a signé avec Stéphanie de Bazelaire,( adjointe au maire) mais en tant cette fois que présidente bénévole de l’association LH French Tech, une convention d’objectifs pluriannuelle pour l’exploitation et l’animation de la Cité numérique du Havre. Des juristes de la communauté urbaine ont émis des recommandations et alertes sur la situation de conflit d’intérêts dans laquelle se trouvait Mme de Bazelaire, selon le quotidien.

« La réalité avant les symboles» Philippe Wahl , PDG du Groupe La Poste.

« La réalité avant les symboles» Philippe Wahl , PDG du Groupe La Poste.

Etre une entreprise historique et patrimoniale vieille de 600 ans fait-elle de La Poste une entreprise figée dans le passé ? Depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, La Poste n’a cessé d’entreprendre et de se renouveler. A chaque fois qu’elle a fait évoluer son modèle, l’entreprise a démontré qu’elle était en mesure de concilier innovation et service public. par PDG du Groupe La Poste . Une des rares entreprises du secteur public à conjuguer efficacité et rentabilité. ( dans la Tribune)

Quand l’évolution des usages vient bousculer la mission première de La Poste, la distribution des lettres, la capacité d’entreprendre est plus que jamais une condition essentielle à son développement.

Entreprendre est aussi l’affaire des services publics pour s’adapter, grandir et rester utile à la société
Concrètement, comment s’exerce cette volonté d’entreprendre ? En faisant passer la réalité avant les symboles, lorsque cela est nécessaire. En assumant des choix audacieux, et toujours guidés à la fois par la volonté de pérennité de l’entreprise et de l’avenir de ceux qui la composent, dans un contexte économique contraint.

Entreprendre est donc aussi l’affaire des services publics pour s’adapter, grandir, rester utile à la société, quitte à faire des choix difficiles et parfois même se tromper, puis corriger, avancer.

Fondamentaux. Entreprendre lorsqu’on est à La Poste, c’est aussi respecter les fondamentaux : préserver un modèle français exigeant de service public, assurer, grâce à ses 240 000 postiers, sa présence six jours sur sept, maintenir un lien de proximité dans les territoires, répondre aux attentes des Français.

C’est dans cet esprit que, face à l’attrition du métier historique de La Poste, nous avons pris un tournant stratégique. Quand notre cœur de métier – le courrier – s’est contracté, nous avons pris le tournant de la diversification de nos activités.

Quand le e-commerce a changé nos façons de consommer, quand l’impact écologique s’est imposé à toute la société, quand le numérique a rapproché les hommes tout en excluant certains, quand l’allongement de la vie a posé la question du bien vieillir à domicile, nous avons pris le tournant.

Par ses choix, La Poste veut être un service public qui sait répondre aux besoins actuels de la société : le besoin de lien social, le besoin de confiance numérique, le besoin d’inclusion. Un service public qui s’engage à contribuer aux mouvements du monde.

Réforme des retraites : Philippe Martinez critique l’attitude des « Insoumis »

Réforme des retraites : Philippe Martinez critique l’attitude des « Insoumis »


Philippe Martinez le leader de la CGT s’est montré très critique vis-à-vis de l’attitude des « insoumis » à l’assemblée et plus généralement du mouvement de Mélenchon. Il reproche en particulier à Mélenchon d’avoir la tentation permanente de prendre la direction du mouvement syndical. Pour preuve, le lancement de rassemblements par le seul parti  » insoumis » qui d’ailleurs ont été un véritable échec.

Rien de surprenant pourtant dans l’attitude de Mélenchon qui se réfère à la philosophie communiste et à la nécessité de l’avant-garde révolutionnaire de diriger le mouvement social car les syndicats seraient traditionnellement réformistes. Bref une attitude gauchiste assez minoritaire face à l’attitude très unitaire et très responsable pour une fois des syndicats.

Philippe Martinez a accusé aussi , sur BFMTV, les députés insoumis d’avoir fait de l’obstruction lors de l’examen à l’Assemblée nationale, où le travail n’a pas pu être mené jusqu’à l’article 7 du texte, qui porte sur la mesure d’âge et le report du départ à la retraite de 62 à 64 ans. Il a également pointé la « responsabilité » du gouvernement qui a choisi d’opter pour une procédure accélérée au Palais-Bourbon.

Le syndicaliste a aussi accusé Jean-Luc Mélenchon de ne pas favoriser « la clarté des débats et des positions ». « Cela fait très longtemps que je n’ai pas parlé à Jean-Luc Mélenchon. La CGT discute avec des députés, des présidents de groupe, éventuellement des secrétaires de parti. [Mais] cela ne se passe pas très bien entre lui et le mouvement syndical », a-t-il précisé.

« Soutien Politique » : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement

« Soutien Politique » : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement

On a bien senti qu’Édouard Philippe intervenait un peu contraint et forcé pour davantage appuyer la réforme sur les retraites voulue par le gouvernement. Pour preuve, même s’il a affirmé sa solidarité de principe avec la nécessité de rééquilibrer les comptes, il a surtout noté que la réforme présentée par Élisabeth borne était beaucoup moins ambitieuse que celle qu’il avait proposée. quand il était Premier ministre.

Une manière habile d’affirmer sa solidarité avec le gouvernement et en même temps de l’enfoncer. Mais au-delà des retraites Édouard Philippe peaufine son image pour se préparer à l’échéance 2027. Et c’est pourquoi il ne veut pas se lier totalement les mains avec la politique de Macron dont le bilan sera forcément très critiqué.

Édouard Philippe a été aussi très évasif sur l’attitude des députés de son groupe parlementaire « Horizons ». Interrogé à plusieurs reprises si les parlementaires de ce groupe voteront ou non la réforme présentée, l’ancien Premier ministre s’est réfugié derrière le fait qu’il fallait attendre le texte définitif laissant en réalité ouvert la possibilité d’un refus de certains de ses membres.

«Je ne crois pas qu’il y ait des réfractaires», a tenté de minimiser Édouard Philippe. «Il y a des députés qui posent des questions, et ils ont bien raison.» Le président d’Horizons a défendu le droit de ses troupes à «améliorer» le texte lors d’un débat qu’il espère sans «obstruction» à l’Assemblée nationale – le texte doit arriver lundi en séance publique après avoir été débattu en commission.

Édouard Philippe gêné par ses députés frondeurs

S’il reconnaît une «forte opposition des Français» à la réforme après deux journées de mobilisation, il fixe toutefois une ligne rouge : en essayant de «faire en sorte que la réforme soit mieux acceptée», avec «quelques mesures de justice indispensables», il ne faut pas «perdre de vue l’impératif de l’équilibre du système». Un avertissement lancé au gouvernement, qui pourrait être tenté de faire quelques concessions aux oppositions comme à sa majorité.

Accusé de se montrer trop discret, l’ex-premier ministre a cependant réaffirmé jeudi sur BFMTV son soutien «sans ambiguïté» au projet, en appelant à ne pas «perdre de vue l’impératif de l’équilibre du système». Une sorte de  » même temps » la mode d’Édouard Philippe.

Politique : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement

Politique : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement

On a bien senti qu’Édouard Philippe intervenait un peu contraint et forcé pour davantage appuyer la réforme sur les retraites voulue par le gouvernement. Pour preuve, même s’il a affirmé sa solidarité de principe avec la nécessité de rééquilibrer les comptes, il a surtout noté que la réforme présentée par Élisabeth borne était beaucoup moins ambitieuse que celle qu’il avait proposée quand il était Premier ministre.

Une manière habile d’affirmer sa solidarité avec le gouvernement et en même temps de l’enfoncer. Mais au-delà des retraites Édouard Philippe peaufine son image pour se préparer à l’échéance 2027. Et c’est pourquoi il ne veut pas se lier totalement les mains avec la politique de Macron dont le bilan sera forcément très critiqué.

Édouard Philippe a été aussi très évasif sur l’attitude des députés de son groupe parlementaire « Horizons ». Interrogé à plusieurs reprises si les parlementaires de ce groupe voteront ou non la réforme présentée, l’ancien Premier ministre s’est réfugié derrière le fait qu’il fallait attendre le texte définitif laissant en réalité ouvert la possibilité d’un refus de certains de ses membres.

«Je ne crois pas qu’il y ait des réfractaires», a tenté de minimiser Édouard Philippe. «Il y a des députés qui posent des questions, et ils ont bien raison.» Le président d’Horizons a défendu le droit de ses troupes à «améliorer» le texte lors d’un débat qu’il espère sans «obstruction» à l’Assemblée nationale – le texte doit arriver lundi en séance publique après avoir été débattu en commission.

Édouard Philippe gêné par ses députés frondeurs

S’il reconnaît une «forte opposition des Français» à la réforme après deux journées de mobilisation, il fixe toutefois une ligne rouge : en essayant de «faire en sorte que la réforme soit mieux acceptée», avec «quelques mesures de justice indispensables», il ne faut pas «perdre de vue l’impératif de l’équilibre du système». Un avertissement lancé au gouvernement, qui pourrait être tenté de faire quelques concessions aux oppositions comme à sa majorité.

Accusé de se montrer trop discret, l’ex-premier ministre a cependant réaffirmé jeudi sur BFMTV son soutien «sans ambiguïté» au projet, en appelant à ne pas «perdre de vue l’impératif de l’équilibre du système». Une sorte de  » même temps » la mode d’Édouard Philippe.

Retraites : Édouard Philippe défend la réforme …..en enfonçant le gouvernement

Retraites : Édouard Philippe défend la réforme …..en enfonçant le gouvernement

On a bien senti qu’Édouard Philippe intervenait un peu contraint et forcé pour davantage appuyer la réforme sur les retraites voulue par le gouvernement. Pour preuve, même s’il a affirmé sa solidarité de principe avec la nécessité de rééquilibrer les comptes, il a surtout noté que la réforme présentée par Élisabeth borne était beaucoup moins ambitieuse que celle qu’il avait proposée quand il était Premier ministre.

Une manière habile d’affirmer sa solidarité avec le gouvernement et en même temps de l’enfoncer. Mais au-delà des retraites Édouard Philippe peaufine son image pour se préparer à l’échéance 2027. Et c’est pourquoi il ne veut pas se lier totalement les mains avec la politique de Macron dont le bilan sera forcément très critiqué.

Édouard Philippe a été aussi très évasif sur l’attitude des députés de son groupe parlementaire « Horizons ». Interrogé à plusieurs reprises si les parlementaires de ce groupe voteront ou non la réforme présentée, l’ancien Premier ministre s’est réfugié derrière le fait qu’il fallait attendre le texte définitif laissant en réalité ouvert la possibilité d’un refus de certains de ses membres.

«Je ne crois pas qu’il y ait des réfractaires», a tenté de minimiser Édouard Philippe. «Il y a des députés qui posent des questions, et ils ont bien raison.» Le président d’Horizons a défendu le droit de ses troupes à «améliorer» le texte lors d’un débat qu’il espère sans «obstruction» à l’Assemblée nationale – le texte doit arriver lundi en séance publique après avoir été débattu en commission.

Édouard Philippe gêné par ses députés frondeurs

S’il reconnaît une «forte opposition des Français» à la réforme après deux journées de mobilisation, il fixe toutefois une ligne rouge : en essayant de «faire en sorte que la réforme soit mieux acceptée», avec «quelques mesures de justice indispensables», il ne faut pas «perdre de vue l’impératif de l’équilibre du système». Un avertissement lancé au gouvernement, qui pourrait être tenté de faire quelques concessions aux oppositions comme à sa majorité.

Accusé de se montrer trop discret, l’ex-premier ministre a cependant réaffirmé jeudi sur BFMTV son soutien «sans ambiguïté» au projet, en appelant à ne pas «perdre de vue l’impératif de l’équilibre du système». Une sorte de  » même temps » la mode d’Édouard Philippe.

Assemblée nationale : les Républicains et Édouard Philippe pour arbitrer

Assemblée nationale : les Républicains et Édouard Philippe pour arbitrer

 

Il est vraisemblable que la gauche radicale n’obtiendra pas la majorité ne pourra donc imposer à Macron un Premier ministre. Inversement Macron risque de ne pas détenir la majorité absolue. Du ce fait,  il pourrait être dépendant paradoxalement du groupe un peu ratatiné des Républicains mais aussi du groupe un peu rebelle d’Édouard Philippe. Autant dire que la politique risque de penser encore un peu plus à droite

La coalition Ensemble qui rassemble LREM, le Modem, le parti Horizons de l’ancien Premier ministre Edouard Philippe et le petit parti Agir obtiendrait en effet entre 255 et 295 sièges à l’issue du second tour, contre 359 en 2017. Ce n’est pas une défaite, la majorité absolue ou même relative reste possible, mais en nombre total des voix, la Nupes et Ensemble sont au coude à coude avec 26% des exprimés, ce qui en soit sonne comme un désaveu pour le président sortant, réélu en partie grâce aux voix de Jean-Luc Mélenchon le 24 avril dernier.

La  droite républicaine, pourrait  jouer un rôle majeur dans la future assemblée. Avec 11,4% des voix, Les Républicains font un peu mieux qu’à la Présidentielle avec Valérie Pécresse mais n’obtiendraient que 50 à 80 sièges de députés contre 131 en 2017. De la même manière mais au sein de la majorité parti Horizons d’Édouard Philippe, avec 21 à 26 députés, qui assurerait à Ensemble la majorité.

Démagogie, fille de la démocratie ! de Philippe Larfargue

Démagogie, fille de la démocratie ! de Philippe Larfargue 

Un stimulant détour par la démocratie athénienne antique nuance le sens d’une notion aujourd’hui négative.

 

 

« Fiers d’être démagogues ! Ce que nous pouvons apprendre de la démocratie athénienne », de Philippe Larfargue, Buchet-Chastel, 358 p., 24,90 €, numérique 15 €.  Analyse du « Monde ».

 Démonmacron ou démonlepen  ?  Comme le « démagocléon » d’Aristophane NDLR 

 

En ces temps de montée des populismes prospèrent les démagogues. Mais loin d’être seulement la maladie sénile d’une démocratie en crise, la démagogie lui serait consubstantielle. « Les Grecs anciens, et notamment les Athéniens, qui ont inventé la démocratie il y a près de deux mille cinq cents ans, ont également inventé la démagogie ; celle-ci est donc aussi vieille que celle-là et demeure depuis les origines son éternel possible », écrit Philippe Lafargue, dans un stimulant essai au titre volontairement provocateur, Fiers d’être démagogues ! Car cet historien, auteur, entre autres, de La Bataille de Pylos. Athènes contre Sparte (Alma, 2015), est convaincu que nous avons beaucoup à apprendre, non seulement de la démocratie athénienne mais aussi de ses maux.

Il n’y a pas de démagogue sans langage. Or ce sont précisément leurs discours flattant les pires instincts de l’auditoire, leurs mensonges et leurs promesses inconsidérées qui leur ont depuis toujours donné mauvaise presse. « Aux yeux des auteurs anciens, le mal tenait principalement au fait que les démagogues savaient aussi bien manipuler un peuple ignorant qu’épouser l’opinion fluctuante d’une masse irraisonnée : si Aristote dénonce les tyrans démagogues, Diogène le cynique y voit plutôt les “valets de la populace” », note Philippe Lafargue, qui explique comment ces jugements ont contribué à nourrir une image négative de la démocratie, image qui a perduré au moins jusqu’au siècle des Lumières.

Le démagogue, mot formé de demos (« peuple ») et d’ago (« conduire »), est celui qui mène le peuple. Demos, comme « peuple », a d’ailleurs un double sens, puisqu’il peut désigner aussi bien l’ensemble des citoyens – le peuple corps civique – que le menu peuple, le plus nombreux – le peuple corps social. Le démagogue est avant tout celui qui représente le peuple pris au second sens. D’où les propos au vitriol des grands auteurs antiques, implacables dans leur dénonciation de ces tribuns qui voulaient élargir la démocratie aux plus modestes. Platon (v. 427-v. 348 av. J.-C.) prônait une République gouvernée par une élite intellectuelle et philosophique, et, à ses yeux, la démocratie en était l’antithèse, notamment à cause de ses démagogues.

De ces derniers, on ne connaît plus aujourd’hui que les noms et les tares, dénoncées par les écrits des philosophes ou par les comédies de l’époque, à commencer par celles d’Aristophane (v. 445- v. 386 av. J.-C.). Celui-ci n’hésitait pas à en dresser un portrait féroce, y compris des plus puissants, tel Cléon, qui joua un rôle-clé à Athènes après la mort de Périclès, entre 427 et 422 av. J.-C. Il le surnommait « démagocléon », le croquant dans sa pièce Les Cavaliers en « Croquetoutcru », monstre à la voix de crécelle, puant, aussi lubrique qu’avide.

Sondage politique 2022: Édouard Philippe devant Macron

Sondage politique 2022: Édouard Philippe devant Macron

Selon un sondage, Édouard Philippe ferait un meilleur candidat que Macron. Édouard Philippe, ancien premier ministre d’Emmanuel Macron et président du parti de droite Horizons, est jugé «compétent», «convaincant» et «sympathique» par plus de 60% des Français, selon un baromètre Odoxa-Mascaret pour LCP, Public Sénat et la presse régionale.

De précieuses qualités pour être un bon président de la République. Plus de six Français sur dix estiment en effet qu’Édouard Philippe «va revenir sur le devant de la scène politique», et ils sont 65% à penser qu’il «serait un meilleur président qu’Emmanuel Macron». Des résultats qui interviennent alors que la popularité d’Emmanuel Macron commence à baisser. Selon ce sondage, seuls 39% des Français estiment aujourd’hui qu’Emmanuel Macron est un bon président de la République, soit 5% de moins qu’en décembre.

Édouard Philippe : « je ne veux pas qu’on m’emmerde « 

 

 

Le niveau du débat politique encore descendu d’un cran avec cette sortie d’Édouard Philippe qui déclare « je ne veux pas qu’on m’emmerde » à propos de la création de son parti » horizons« . Un parti en train de se structurer et qui évidemment prépare la candidature d’Édouard Philippe pour 2027.

 

Mais le parti horizons n’est pas bien vu par la majorité actuelle et surtout par le président de la république qui ne veut surtout pas que puisse créer à l’assemblée nationale un courant contestataire. Ce qui est en cause évidemment c ‘est  la distributions des onctions présidentielles pour les candidats à la prochaine assemblée nationale.

 

Avec son parti, Édouard Philippe envisageait bien de créer sa mouvance à l’assemblée nationale. Du coup, le parti » horizons « a été éjecté de la maison commune de la majorité,  seule autorité pour délivrer les investitures macronistes.

 

Visiblement les relations entre le président de la république Édouard Philippe se détériorent encore à tel point que l’ancien premier ministre reprenant la sémantique du président a déclaré « je n’ai pas envie qu’on m’emmerde, puisque c’est un terme à la mode.» à propos  de la création de son propre parti. Une expression surtout destinée au président de la république lui-même qui ne grandit pas l’intéressé ni même le destinataire.

Le variant omicron risque de casser la croissance (Philippe Waechter)

  • Le variant omicron risque de casser la croissance (Philippe Waechter)

Le directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management, Philippe Waechter, émet l’hypothèse de l’annulation de la croissance du fait du variant omicron. Théoriquement les perspectives gouvernementales retiennent le chiffre de 3,6 % comme augmentation du PIB mais cette progression pourrait être amputée de plusieurs points en cas de paralysie de l’année 2022..(extrait du JDD)

 

« Ce risque d’avoir une activité qui stagne au lieu de poursuivre son ascension n’est donc pas négligeable si Omicron se propage vite et durablement. Mais à la différence d’autres pays, nous sommes en période pré-électorale. Quelle doit être la stratégie du supposé candidat Emmanuel Macron? Peut-il se permettre un confinement strict pour l’économie française? C’est une question politique plus qu’économique », s’interroge-t-il.

Doit-on redouter la percée du variant Omicron?
Oui, et pour plusieurs raisons. D’abord, il se propage très vite même si -et c’est un bon signal- il semblerait qu’il soit moins létal que le variant Delta. Ensuite, si le nombre de malades augmente fortement, il va contribuer à engorger un système de santé déjà à bout de souffle. Le gouvernement devra gérer une situation complexe car le corps médical est sur les rotules. Il y a un risque social qu’il ne faut pas négliger, en raison de l’épuisement des soignants qui sont en première ligne, mais aussi de tous ceux qui ne peuvent pas télétravailler. Celui qui travaille à distance limite son risque de contamination, il est dans une situation assez confortable. Ca n’est pas le cas de tous ceux qui sont exposés en direct au virus, en contact avec la clientèle par exemple. Ils vont être mis sous pression encore davantage avec Omicron. Le déséquilibre entre les heureux télétravailleurs et les autres pourrait alors se creuser.

Peut-il nous coûter des points de croissance?

Tout dépend du niveau de la contre-attaque. Plus les mesures de freinage seront drastiques, plus elles seront pénalisantes pour l’économie. Ajouter des contraintes sanitaires dans les activités de service (restaurants, bars, salles de sport, foires…) se traduirait par un arrêt de la croissance et une inflexion du dynamisme qu’on connait depuis six mois. Nos voisins européens, qui sont nos partenaires commerciaux, vivent la même situation, ce qui pèse sur les échanges intracommunautaires. La Banque de France a d’ailleurs révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour 2022, à 3,6% au lieu de 4%. Ce risque d’avoir une activité qui stagne au lieu de poursuivre son ascension n’est donc pas négligeable si Omicron se propage vite et durablement. Mais à la différence d’autres pays, nous sommes en période pré-électorale. Quelle doit être la stratégie du supposé candidat Emmanuel Macron? Peut-il se permettre un confinement strict pour l’économie française? C’est une question politique plus qu’économique.

Avons-nous encore les moyens de confiner l’économie?
Aux Pays-Bas, en Angleterre, en Allemagne, des mesures contraignantes ont été adoptées. Ca n’est pas encore le cas en France. Mais il va falloir s’adapter. Depuis le début de la pandémie, notre politique économique a mutualisé les risques, l’Etat les a pris en charge. Si la situation sanitaire se dégrade, aura-t-on la même capacité financière qu’au printemps 2020 pour y faire face sachant que la dette publique a explosé et que le bilan des banques centrales atteint des niveaux considérables? Une nouvelle crise pourrait entamer la crédibilité des Etats, dont la France, et la confiance des investisseurs ainsi que des citoyens qui ont joué le jeu. Ce qui engendrerait en retour un risque d’instabilité politique.

Édouard Philippe: joue les mouches à « M » avec son parti « Horizons »

Édouard Philippe: joue les mouches à « M » avec son parti « Horizons »

 

Première observation, l’ancien énarque ne s’est pas trop fatigué pour trouver le nom de son parti qu’il aurait pu appeler tout autant « avenir ».Un pied dedans, un pied dehors tel sera sans doute la vocation du parti virtuel d’Édouard Philipe intitulé « horizons ». Un parti qu’il aurait pu appeler « horizons 2027″ voire plus si affinités en 2022 . Un parti en fait exclusivement destiné à préparer la candidature de l’ancien premier ministre à l’élection présidentielle. Une attitude qui agace bien sûr l’opposition notamment les républicains mais aussi le partis « en marche ».

Avec ce parti, les forces présidentielles seront encore un peu davantage balkanisées. 

Ce n’est désormais un secret pour personne d’Édouard Philippe à entretenu des relations détestables avec Emmanuel Macon à la fin de son mandat de premier ministre. Du coup Édouard Philipe se pose en recours pour le cas où ! L’ancien premier ministre suit un peu l’exemple d’Alain Juppé, l’éternel recours qui a toujours échoué.

  • On ne peut être que dubitatif face aux propos de l’ancien premier ministre qui tente d’expliquer sa démarche dans le Figaro. Interview

Après avoir annoncé votre soutien «complet» à Emmanuel Macron, vous avez lancé début octobre votre parti, Horizons. Quelle est la prochaine étape?

Édouard PHILIPPE. - Depuis l’annonce de la création d’Horizons, au Havre, j’ai beaucoup travaillé avec ceux qui m’ont rejoint – maires, parlementaires, amis. J’ai reçu de très nombreuses manifestations d’intérêt: il y a une attente. Nous lançons désormais notre campagne d’adhésions. Depuis lundi, les Français peuvent rejoindre cette aventure collective.

Souhaitez-vous bâtir un parti d’élus?

Non, Horizons est un parti politique et pas un simple club d’élus. Même si je tiens à accorder une place particulière aux maires, car je crois indispensable qu’ils participent de façon plus intense au débat public national. Mais Horizons a vocation à travailler sur le fond, à former des équipes.
Et à jouer d’une certaine manière les mouches à « M »pour faciliter un jour la candidature de l’ancien premier ministre à l’élection présidentielle

 

Edouard Philippe installe le doute sur la réélection de Macron

Edouard Philippe  installe le doute sur la réélection de Macron

 

 

Officiellement l’initiative d’Édouard Philippe de créer son propre parti constitue en réalité une sorte de club ramasse tout qui permet à ses partisans d’être aussi adhérent d’une autre formation ; l’initiative viserait à soutenir la candidature de Macron en 2022. Un curieux soutien en vérité qui pourrait bien être un handicap pour Macon contesté bien sûr à gauche mais aussi à droite pour sa gestion en zigzag et ses contradictions. Édouard Philippe tente vainement de s’expliquer mais son initiative est autant une critique du pouvoir actuel qu’un soutien. Interview dans le JDD (extrait)

 

Pourquoi avoir voulu fonder un parti politique?
Je veux participer à la constitution d’une nouvelle offre politique. Je dis bien : « participer », je ne prétends pas être seul. Le choix audacieux du président de la République, en 2017, d’engager une recomposition n’a pas fini de produire ses effets. Mon objectif est d’abord, je le redis clairement, de soutenir Emmanuel Macron pour contribuer à sa réélection, qui n’est pas acquise. Le Président aura besoin de s’appuyer sur un socle de stabilité pour poursuivre l’effort de transformation de la France. Et je veux aussi l’aider à élargir sa base, car aucun président n’a été réélu sur un rétrécissement.

 

Tous les adhérents de votre mouvement devront donc s’engager à soutenir Emmanuel Macron?
Je n’aime pas les pressions. Je ne mets un pistolet sur la tempe de personne. Mais tout le monde a compris où je suis, ce que je ferai.

 

Certains élus ont-ils subi, eux, des pressions pour ne pas vous rejoindre?
Je ne peux pas le croire.

 

Que répondez-vous à ceux qui considèrent que votre parti servira davantage vos intérêts que ceux d’Emmanuel Macron?
Je n’ai pas vocation à commenter les chicayas et angoisses des entourages. Le monde politique est trop souvent plein de fébrilité ; je préfère la sérénité.

 

L’horizon est par nature impalpable et hors d’atteinte : n’est-ce pas curieux d’avoir choisi ce mot pour baptiser votre parti?
On voit que vous n’êtes pas marins! L’horizon, c’est la liberté, c’est la vie. L’horizon, c’est comme un cap, on ne l’atteint jamais, mais on en a besoin pour naviguer. Horizons doit nous servir à voir loin, à nous détacher du marigot politicien et à bâtir la France de demain. La vie politique française est trop souvent autocentrée, obsédée par l’actualité et les polémiques du jour. Notre parti vise à rompre avec cette tendance qui lasse les Français.

 

Une soixantaine de parlementaires étaient présents samedi au Havre, ainsi que de nombreux élus locaux. Allez-vous lancer une campagne d’adhésion auprès des élus et des Français pour aller au-delà?
Evidemment. Je lance un parti, pas un club.

 

La « charte des valeurs » de votre parti prône la libre entreprise, l’ordre, l’ambition écologique, la laïcité et le projet européen ; elle dénonce les extrêmes, l’immobilisme et la décroissance. N’est-ce pas du « en même temps » format XXL?
Si un grand nombre se reconnaît dans nos valeurs, tant mieux! Car ce qui m’importe, c’est le dépassement des vieux clivages. Les anciens partis – de droite et de gauche – sont traversés par trop d’incertitudes sur la conception de l’Etat, l’identité, la gestion des deniers publics. La réflexion que je veux conduire, avec ce parti, vise à définir une stratégie pour raffermir la puissance de la France et garantir sa prospérité à l’horizon 2030 et au-delà. La décision politique est trop souvent dictée par l’urgence et les postures. Face aux vertiges démographique, climatique et géopolitique que nous ressentons, la seule solution est de regarder au loin.

 

Proposer des perspectives de long terme, n’est-ce pas le rôle du haut-commissaire au Plan, François Bayrou?
Penser la France de l’avenir, c’est très difficile. Si beaucoup de gens intelligents y travaillent, c’est encore mieux. Une bonne stratégie se construit à plusieurs.

 

Au point 16 de votre charte, vous fustigez « l’illusion de l’argent public magique » qui conduit l’Etat « à redistribuer une richesse qu’il n’a pas ».

Notre dette nous fragilise. Regardez l’Allemagne : elle a su, depuis quinze ans, mener des réformes dures pour sauver son industrie, transformer son système éducatif, assainir ses finances. C’est pourquoi elle est capable d’investir. Or la France aussi aurait besoin d’investir…

Quelles « réformes dures » proposez-vous?
Comme je ne suis candidat à rien en 2022, je veux engager mon parti dans une réflexion stratégique nouvelle. J’aurai l’occasion de faire des propositions, croyez-moi. Mais l’heure n’est pas encore venue.

 

Vous avez tout de même évoqué – dans l’hebdomadaire Challenges – votre préférence pour rétablir nos comptes, c’est-à-dire une réforme des retraites qui repousse l’âge de départ jusqu’à 67 ans. Ce sera l’une de vos propositions?
Je ne veux pas de mauvais procès. Je veux bien qu’on me dise que 67 ans, c’est trop dur. Mais c’est déjà ce qui se fait souvent, et pour les plus fragiles. Et lorsque nous avons proposé l’âge pivot, c’est justement pour corriger cette injustice! Notre système est fondé sur la solidarité : ceux qui travaillent paient pour ceux qui sont à la retraite. Mais il y a de moins en moins d’actifs et de plus en plus de retraités! Si l’on ne veut pas baisser les pensions ni augmenter les cotisations, la seule solution est de travailler progressivement plus longtemps. La question des retraites mérite un grand débat : l’élection présidentielle doit permettre de le trancher.

Vous préconisez aussi la réduction des effectifs de la fonction publique. C’est un vieux serpent de mer ; comment y arriveriez-vous?
En un peu plus de vingt ans, la population française a augmenté de 11%, le nombre d’agents publics de 17%. Il est temps de nous interroger sur l’organisation des services publics, sur ce qui doit relever de l’Etat et de lui seul. Notre Etat est trop lourd pour être agile. Il doit être plus efficace dans un périmètre resserré aux fonctions régaliennes. La justice est aujourd’hui le maillon fragile de notre Etat. Nous devons donc faire des choix : alléger parfois pour renforcer ailleurs. Il faut recruter plus de magistrats et mieux les former. Le gouvernement a commencé. Il faut aller plus loin.

Comment définissez-vous votre parti : est-il de droite, conservateur, libéral, centriste?
Je sais d’où je viens, mais c’est moins important que de savoir où je suis et où je vais. Je ne cherche pas à coller des étiquettes mais à rassembler, parce que tout ce qui s’est fait de grand en France s’est fait par le rassemblement. Mon mouvement n’est pas un parti de notables. Mais je veux donner une place particulière aux maires, dont la voix n’est pas assez entendue dans le débat national. Une assemblée de maires élira le vice-président du parti et ils auront une responsabilité particulière dans l’élaboration de notre stratégie et de nos propositions, car les maires ont l’expérience et la vision de long terme dans leur ville…

Mais les maires ont aussi une responsabilité dans l’augmentation du nombre de fonctionnaires que vous déplorez! Vous relevez vous-même que c’est dans la fonction publique territoriale que les effectifs ont le plus augmenté…
Ce n’est pas faux mais les maires ont conscience de leur responsabilité. Il faut leur donner les moyens et la motivation de trouver la solution à cette question.

Vos idées doivent-elles nourrir le futur programme présidentiel d’Emmanuel Macron?
Le programme, c’est l’affaire personnelle du candidat, c’est lui qui s’engage. Personne ne peut dicter à un candidat ses propositions. Mais oui, nos idées ont vocation à alimenter le débat.

Quel est l’état de votre relation avec lui?
Quand j’étais Premier ministre, j’ai toujours dit qu’elle était d’une grande fluidité et d’une grande confiance. Je n’ai pas changé d’avis sur le Président.

Et lui, a-t-il changé d’avis sur vous?
Posez-lui la question.

Votre parti présentera-t-il des candidats aux législatives de 2022?
Un parti, ça doit penser, former, travailler. Et le moment venu, présenter des candidats aux élections. Nous allons commencer par le commencement.

« Horizons » : le parti culotté d’Édouard Philippe

« Horizons » : le parti culotté d’Édouard Philippe

 

« Edouard Philippe ne manque pas de culot », a estimé samedi 9 octobre sur franceinfo Daniel Fasquelle, trésorier des Républicains, maire LR du Touquet (Pas-de-Calais). Édouard Philippe avec son parti horizon est accusé par Daniel Fasquelle  de trahisons successives. Effectivement il a trahi les républicains en rejoignant Macron, maintenant il s’apprête à trahir éventuellement Macron avec son propre parti ramasse tout « Horizons ». Édouard Philippe veut faire dans la rigueur alors qu’encore récemment il a largement contribuée à dégrader les grands équilibres de la France d’après Daniel Fasquelle

 

« Nous expliquer qu’il faut remettre de l’ordre dans la rue et dans les comptes, il devrait regarder son bilan », rétorque le maire du Touquet avant d’ajouter : « Il a été trois ans Premier ministre. On a eu la crise des gilets jaunes. Il a été incapable de réformer les retraites. Il a dégradé nos comptes publics, donc il a un bilan qui est à l’opposé de ce qu’il propose aujourd’hui. Pourquoi n’a-t-il pas fait tout cela pendant les trois années où il était à la tête du gouvernement de la France ? »

Selon Daniel Fasquelle, Edouard Philippe ne peut pas récupérer des militants LR déçus. Selon lui, il a fait « tout le mal qu’il pouvait faire quand il a quitté le navire pour rejoindre Emmanuel Macron. Il a abandonné sur le champ de bataille ses camarades. Tout le mal qu’il pouvait faire, il l’a déjà fait ». Le trésorier des Républicains dénonce également « la manœuvre » de l’ancien chef du gouvernement. « Il nous a trahi il y a cinq ans pour un poste de Premier ministre. Là, il essaie de créer un parti de droite pour nous déstabiliser, pour avoir le soutien d’Emmanuel Macron en 2027. » L’élu LR juge que « c’est une drôle façon de faire de la politique que de vouloir sacrifier ou vendre ses camarades ou essayer de leur nuire ».

Nouveau parti d’Édouard Philippe : « Horizons…. moi »

Nouveau parti d’Édouard Philippe : « Horizons…. moi »

 

Un drôle de parti, une drôle de date et un drôle de programme.

Le moins que l’on puisse dire est que l’initiative d’Édouard Philippe de créer son propre parti politique surprend beaucoup de monde y compris les partisans de Macron. Drôle de parti d’abord car en fait il s’agit d’une sorte de club puisque les adhérents auront quand même la possibilité d’adhérer aussi à d’autres formations politiques ( les républicains, la république en marche etc.).

 

Bref il s’agit davantage d’un cercle de partisans opportunistes que d’un véritable parti. . Une drôle de date, en effet à écouter Édouard Philippe il s’agit d’un horizon lointain : 2050. En réalité ,Édouard Philippe vise surtout de 2027 et se place déjà pour récupérer les oripeaux du parti en marche après le départ de Macron en 2022 ou en 2027.

 

Un drôle de programme aussi sorte de cocktails des préoccupations et des peurs avec la question du défi démographique , forme élégante pour parler de l’immigration sans fâcher personne. Ensuite le défi environnemental. La Édouard Philippe récupère tout simplement les peurs du mouvement écolo. On y ajoute le défi technologique qui ne fait que constituer une esquisse face à la désindustrialisation de la France.

 

Dans l’entourage d’Édouard Philippe ont compte surtout des opportunistes notoires comme Christophe Bechu, l’élu d’Angers , Laurent Saint-Martin ou encore des proches de Christian Estrosi qui change de parti comme de chemise. Ce dernier vient d’affirmer qu’ils ne voterait pas pour les républicains mais pour Macron et sans doute pour Édouard Philippe si les circonstances l’exigent !

À leurs côtés se trouvaient également Delphine Bürkli, maire du 9e arrondissement de Paris et conseillère régionale de Paris Île-de-France. L’élue parisienne a quitté LR en 2019 et est désormais membre La France audacieuse, le mouvement politique fondé par Christian Estrosi.

 

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