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La France peut faire éclater l’Euro (Fillon)

La France peut faire éclater l’Euro (Fillon)

(Interview Les Echos)

 

En 2007, vous évoquiez un «Etat en faillite». Et aujourd’hui?

Je crains que la France ne soit à la veille d’un accident financier grave qui pourrait faire éclater la zone euro. Pour l’heure, notre pays ne tient que parce que les taux d’emprunt sont bas. Mais cette bulle n’est pas durable : pas de croissance, un chômage qui progresse, une dette qui explose et dépasse les 2.000 milliards, des déficits qui ne se résorbent pas et l’impossibilité de ramener le déficit sous les 3 %, même en 2017… la crise ne fait que s’aggraver. Face à cela, il faut une véritable refondation économique et sociale. Pas une « trépanation », mais une guérison.

 

Le débat sur vos mesures existe dans votre camp, et notamment avec Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy…

Oui il y a un débat sur l’urgence et l’intensité des changements à conduire. Depuis trente ans, y compris moi, nous prônons la réforme progressive… Mais c’est l’honneur d’un responsable politique de reconnaître qu’il s’est trompé et que les remèdes d’hier ne sont plus à la hauteur de la situation. L’idée qu’un grand pays doive ramener ses dépenses publiques au niveau de ses ressources me paraît incontournable. Si la crise économique se double d’une crise politique, c’est parce que les Français jugent que les solutions mises en œuvre par les responsables politiques depuis vingt ans ont toujours été insuffisamment courageuses.

 

«Il n’y a pas de plan d’économies qui soit indolore», a dit François Hollande hier. Le vôtre va plus loin. Comment le faire accepter par l’opinion?

La meilleure façon, c’est d’abord d’assumer ces mesures plutôt que de continuer à proposer des programmes électoraux alléchants avec un concours de dépenses. Les Français sont prêts à des réformes puissantes. Ils sont capables de comprendre qu’un pays qui croule sous les déficits est en sursis. Ils doivent être pris à témoin lors de la présidentielle et des législatives sur le principe de la baisse du poids de la dépense publique. On me dit que c’est électoralement dangereux. Moi je fais le pari de la vérité. Ce qui est dangereux, c’est la faillite économique. Après l’échec de la gauche, la droite devra redresser le pays avec un courage sans précédent, sinon c’est la porte ouverte aux extrêmes.

 

L’Etat doit-il se recentrer sur certaines missions?

Je suis convaincu que l’on peut réduire le poids du secteur public sans remettre en cause ses missions essentielles. Les exemples étrangers montrent que même dans les pays où le poids de la dépense a été fortement réduit, il y a peu de secteurs où l’Etat s’est retiré complètement. C’est pourquoi je propose de réduire, en cinq ans, les effectifs des fonctions publiques de 600.000 postes, de porter le temps de travail à 39 heures hebdomadaires, d’offrir de meilleures perspectives salariales aux agents de la fonction publique. Ces propositions permettent de réduire la dépense publique et de maintenir les missions de l’Etat.

 

Pour les collectivités, vous voulez passer de 4 à 2 échelons. Quels échelons supprimer?

J’ai toujours défendu la fusion des départements et des régions et celle des communes et intercommunalités. C’est l’un des sujets les plus difficiles à faire accepter, non pas parce que l’opinion publique y est défavorable, mais à cause du poids des élus locaux… C’est pour cela que j’ai proposé de longue date un référendum sur la fusion des collectivités et la réduction du nombre de parlementaires.

 

Nicolas Sarkozy vient de reprendre cette proposition…

Je m’en réjouis !

 

Vous voulez encadrer le pouvoir de fiscalité des collectivités et leurs effectifs. Cela va à l’encontre de leur libre-administration…

Mais ce référendum proposera aussi sur ce point la modification de la Constitution. On ne peut pas continuer à avoir un système dans lequel on veut réduire le poids de la dépense publique et s’interdire de contrôler la dépense locale. Je propose en échange que l’on fixe une règle intangible : quand l’Etat transfère une compétence, qu’il laisse les collectivités la gérer comme elles l’entendent. Quant aux dotations, elles devront encore être réduites.

 

La moitié de vos économies sont programmées sur les régimes sociaux. Soutenez-vous celles annoncées par le gouvernement sur la famille?

Non ! Car il s’y prend toujours avec la même méthode, en refusant de faire des réformes structurelles et en procédant par des coupes injustes. Et avec ce gouvernement, cela tombe toujours sur le même public. Plutôt que d’allonger la durée du travail, on grève le pouvoir d’achat des retraités. Plutôt que de toucher à l’aide médicale d’Etat, on touche au congé parental. Réduire le congé parental à ce niveau, c’est violent. Et faire croire que c’est une mesure d’égalité homme-femme est hypocrite !

 

Pour les ménages, vous ne prévoyez pas de baisse d’impôts à court terme. Est-ce tenable?

L’urgence nationale, c’est la croissance et l’emploi. Je propose un effort prioritaire sur les entreprises avec une baisse des charges financée par une hausse de 3,5 points de la TVA. Je propose aussi une refonte de la fiscalité du capital. La baisse de la fiscalité des ménages viendra quand se feront sentir les premiers résultats sur la croissance. C’est réaliste et c’est un discours que les Français peuvent entendre.

 

Merkel à Valls : peut mieux faire !

Merkel à Valls : peut mieux faire !

 

Une réception polie de Valls par Merkel mais pas un vrai soutien  à la politique du Premier ministre français en visite en Allemagne. D’une certaine manière, Valls a opéré une sorte de détournement d’objectif pour ce voyage. A l’ assemblée nationale, Valls  avait fermement tancé l’Allemagne pour qu’elle relance sa croissance, c’était donc l’objet initial de ce voyage : demander à l’Allemagne d’aider la relance européenne ; réponse polie mats nette de Merkel « on peut faire de la croissance mais sans nécessairement dépenser de l’argent ». Du coup Valls s’et limité à souligner les efforts d la France tant en matière de dépenses publics que d’allégement de la fiscalité pour les entreprises. Finalement un voyage de type ‘ Hollande » qui part avec une volonté ferme de rappeler l’Allemagne à ses devoirs vis-à-vis de l’Europe et qui se termine en eau de boudin. Pour preuve Merkel n’a même pas voulu donné son accord sur le dérapage budgétaire français renvoyant la question à la responsabilité de la commison.  Angela Merkel a donc apporté lundi un soutien prudent à Manuel Valls, saluant un programme « ambitieux » pour raviver la compétitivité des entreprises françaises sans pour autant offrir un blanc-seing à une politique budgétaire jugée laxiste en Allemagne.  Saluant les « efforts très importants » de son homologue français, la chancelière n’a pas répondu à sa demande de voir l’Allemagne contribuer davantage à la relance économique de la zone euro via une politique d’investissement plus hardie. « Il existe de nombreuses possibilités de créer de la croissance, même sans injecter plus d’argent dans le système », a estimé Angela Merkel lors d’une conférence de presse pendant laquelle elle a rappelé son attachement à la stabilité à long terme de l’euro et au « respect » du pacte de stabilité.  Manuel Valls avait promis en avril dernier, lors de son premier déplacement à Berlin en tant que Premier ministre, que la France tiendrait ses engagements budgétaires.  Il a dû se dédire en septembre face à une croissance et une inflation atone, renvoyant de 2015 à 2017 l’objectif de faire passer les déficits publics sous la barre des 3% du PIB.  Invitée à dire si elle faisait toujours confiance à François Hollande et à son Premier ministre pour tenir leurs engagements, la chancelière a évité toute réponse directe et insisté sur le fait que ce serait à la Commission européenne, pas à l’Allemagne, de se prononcer sur le programme français. Comme pour faire un geste à l’égard de son hôte, la chancelière a néanmoins précisé que le pacte de stabilité devait être appliqué avec « flexibilité ». Lundi, la presse allemande faisait son miel des déboires de l’économie française, comme le tabloïd allemand Bild qui a rebaptisé la France « Krankreich » (« l’empire malade »). En clair la note de Meckel : c’est bien mais peut mieux faire et on attend surtout de voir !

 

Valls « Oui la gauche peut mourir »….non, elle doit !

Valls « Oui la gauche peut mourir« ….non,  elle doit !

On ne peut être que désaccord avec Valls «  la gauche peut mourir », ce serait même une souhaitable ; car il n’y a rien de gauche ni au PS, ni chez Hollande, ni même chez Valls ;  tous des apparatchiks, entourés de bobos et de technocrates. A la fois incompétents et sans conviction autre que celle du pouvoir. Le PS finira comme la SFIO et pour les mêmes raisons : un discours révolutionnaire (exemple : l’ennemi c’est la finance) mais une pratique de compromission avec cette  finance et les multinationales (exemple la fausse réforme bancaire, Mittal , Alstom, l’accord de libre échange avec les Etats-Unis etc.). En fait le PS n’a jamais eu de ligne, il se laisse porter par les courants contradictoires : la bureaucratie, l’ultralibéralisme, le gauchisme des bobos, sans jamais vraiment trancher. Du coup le pays déjà mal géré par la droite s’enfonce encore davantage  avec la gauche. Confirmation  donc de Valls ce matin sur rance info : Valls « Oui la gauche peut mourir« , dit le Premier ministre qui l’a déjà déclaré ce week-end. Le problème, selon Manuel Valls, c’est que certains à gauche oublient « leur responsabilité« , c’est un « vieux débat« , estime Manuel Valls, il faut « assumer sa responsabilité« . Il faut continuer à réformer,  »nous avons besoin de financer le pacte de responsabilité. Nous ne faisons pas de cadeaux aux patrons, nous soutenons les entreprises« . Le Premier ministre qui justifie : « Les impôts ont trop augmenté ces dernières années » d’où le programme à destination des entreprises et des ménages. Evidemment encore des mots, encore des mots car les couches moyennes et même très moyennes vont trinquer cette année !

France-Honduras : une victoire mais dont on ne peut pas tirer de conclusion

France-Honduras : une victoire mais dont on ne peut pas tirer de conclusion

 

L’équipe de France a gagné 3-0 mais il est prématuré d’en tirer des conclusions car  l’adversaire était vraiment très faible. En plus réduit à 10 après un penalty. On aurait pu souhaiter davantage de rythme et un plus grand réalisme devant le but notamment lors des coups francs et des corners. Karim Benzema a confirmé sa bonne forme actuelle, après des soucis pré-Mondial aux adducteurs. Deux buts dont une frappe de mule sous la transversale, de bons appels et une grosse activité : les Bleus disposent d’un buteur d’exception, une nécessité à l’heure d’aborder une grande compétition. L’ancien Lyonnais rejoint Neymar, van Persie et Robben en tête du classement des buteurs. Un sacré club fermé. Difficile de juger la défense qui n’a pratiquement pas été sollicitée. Devant la Suisse, il faudra sans mettre davantage de rythme et concrétiser davantage les occasions près du but. Une confirmation, la place indiscutable de Valbuena, un des rares à pouvoir créer des décalages et donner du rythme. Tous les autres joueurs ont exécuté une bonne prestation mais rappelons-le devant un adversaire techniquement très faible, athlétiquement moins costaud. Ce qi n’a pas empêché le Honduras de distribuer avec générosité quelques bons coups tordus qui auraient pu être dangereux pour l’intégrité physique des bleus. A souligner pour une fois une grande qualité d’arbitrage qui a su calmer l’ardeur excessive du Honduras. Enfin l’utilisation de la vidéo pour vérifier si le ballon est entré dans le but a été favorable à l’équipe de France. On se demande bien pourquoi Platini est contre cette utilisation !

 

Valls: « le PS peut mourir « ….tant mieux !

Valls: « le PS peut mourir « ….tant mieux !

Le PS peut mourir adit Valls, tant mieux car le PS en réalité n’a jamais été un parti de gauche mais d’apparatchiks plutôt à droite. Pas un drame non plus si c’est la gauche qui meurt car le clivage gauche-droite est devenu complètement obsolète. C’est en fait un alibi pour permettre l’alternance entre des partis qui appliquent  à peu prés la même politique et qui se couchent  en fait devant les technocrates qui eux mêmes n’y entendent rien ( sauf la voix des multinationales).  La justice, la cohésion sociale, la solidarité, la démocratie sont des mots devenus vides de sens lorsqu’ils sont confrontés aux réalités socio culturelles et économiques. Hollande par plus que Valls ne savent ce que signifie réellement les valeurs dites de gauche, ce sont des apparatchiks qui ont pour seule ambition la conquête du pouvoir dont ils ne savent pas quoi faire ensuite. Valls peut faire ce qu’il veut Marine Lepen sera au second tour en 2017, c’est la seule chose qui inquiète Valls : la question du pouvoir ! Car Marine Le pen ne sera pas élus bien étendu et c’est heureux mai c’est le candidat de droite qui bénéficiera du reflex républicain.  Le Premier ministre, Manuel Valls, a donc  sonné l’alerte générale, trois ans avant la présidentielle, devant le conseil national du Parti socialiste. Il a averti qu’il existait un « risque de voir Marine Le Pen au second tour » en 2017. « Notre pays peut se défaire et se donner à Marine Le Pen », a ajouté samedi le Premier ministre selon un texte distribué à la presse. Selon lui, « nous pourrions basculer (…) dans une ère dans laquelle le risque de voir Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle existe. Une ère dans laquelle un des grands partis républicains et cette fois sans que cela soit une surprise… peut être absent de ce grand rendez-vous électoral. Et si rien n’est fait, ce peut être la droite, ce peut être nous, par conséquent une ère dans laquelle la gauche peut aussi disparaître ». Prévenant que « oui la gauche peut mourir » et qu’il n’existe « pas d’alternative à gauche », l’échec électoral du PS ne renforçant pas « la gauche de la gauche », Manuel Valls a estimé : « Nous sentons bien que nous sommes arrivés au bout de quelque chose, au bout peut être même d’un cycle historique pour notre parti. » « La gauche n’a jamais été aussi faible dans l’histoire de la Ve République », a-t-il également affirmé. Face à ce constat le chef de l’Etat a jugé que « la gauche doit être capable de se dépasser ». « Nous devons nous réinventer. Et nous réinventer dans un contexte particulier : l’exercice du pouvoir, faute de ne l’avoir pas fait dans l’opposition », selon lui. Manuel Valls a également envisagé samedi des baisses d’impôts pour les ménages : « Il nous faudra explorer d’autres chemins, sans tabou. Je pense à la baisse de la fiscalité des ménages et notamment des classes moyennes. Car je l’ai dit, les impôts sont trop lourds. Mais nous ne pourrons nous engager dans cette voie que si nous avons réduit la dépense publique », a prévenu le Premier ministre

 

Crise : elle peut toucher tout le monde

Crise : elle peut toucher tout le monde

 

La toute récente enquête OpinionWay pour la Croix-Rouge, publiée ce vendredi, montre que la majorité des Français a été ébranlée par la crise et pense que la précarité peut « toucher tout le monde à tout moment ». Si les Français avaient une impression de stabilité financière, la crise économique a achevé de briser leurs illusions. La précarité peut « toucher tout le monde à tout moment », ils sont presque unanimes (94%) pour le dire. C’est en tout cas ce que révèle la dernière enquête OpinionWay pour la Croix-rouge française, intitulée « Les Français et l’engagement ». Dans cette période plus difficile, les Français s’inquiètent davantage pour leurs proches (84%) que pour eux-mêmes (66%). Mais cette attention va plus loin que le cercle de leur famille : quatre Français sur cinq (81%) sont plus attentifs qu’avant aux autres, même s’ils sont par ailleurs nombreux (72%) à avoir le sentiment que cette prise de conscience n’est pas collective. S’ils sont plus craintifs, les Français ne sont pas pour autant découragés. Ils croient à l’efficacité de leur action personnelle, dans 81% des cas, pour aider les personnes en difficulté. Plus de 70% estiment d’ailleurs que l’on ne discute pas assez avec eux, ni que l’on ne passe assez de temps avec ceux qui sont seuls. La France compte plus d’un million d’associations, un véritable point fort. Un Français sur deux pense d’ailleurs qu’elles ont un rôle important à jouer dans la crise : pour venir en aide à ceux qui en ont besoin (52%) ou même pour remplacer les pouvoirs publics (48%). 56% des Français joignent l’action à la parole en déclarant vouloir être ou être déjà bénévole au sein d’une association. A ce sujet, la Croix-Rouge Française en profite pour les inviter à s’engager à ses côtés : « Dans ce contexte où les financements publics baissent, les journées nationales 2014 qui se tiendront du 24 mai au 1er juin, constituent plus que jamais un rendez-vous crucial de l’association pour mobiliser le plus grand nombre et recueillir un maximum de dons ». La Croix-rouge française fête cette année ses 150 ans. L’association a décidé d’organiser une « grande opération fédératrice dans toute la France » : des cartes seront distribuées par des bénévoles, invitant à offrir une couverture de survie à une personne sans abri, à passer un moment avec son voisin qui vit seul, ou à aider une personne âgée à faire ses courses.

« On ne peut forcer une entreprise à embaucher » (Mailly)

« On  ne peut forcer une entreprise à embaucher » (Mailly)

Une journée de manifestation est prévue mardi 18 mars, à l’appel de la CGT, FO, FSU, Solidaires. Salariés, chômeurs et retraités sont appelés à y participer. Ces organisations syndicales veulent dénoncer le pacte de responsabilité annoncé par le président Hollande en janvier. Mais pas seulement, indique Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force Ouvrière, invité sur BFM Business ce 17 mars. « Cette manifestation avait à l’origine quatre thèmes: les salaires et l’emploi –les deux préoccupations principales des salariés aujourd’hui- l’avenir du service public et celui de la sécurité sociale. Le pacte de responsabilité est venu se greffer là-dessus », explique-t-il. Un « pacte de complaisance » pour Jean-Claude Mailly: « il n’y a rien dedans. Je ne tamponne pas une feuille sur laquelle il n’y a rien ». Les 10 milliards d’allègements de charges supplémentaires par rapport au CICE, « on ne sait toujours pas comment on va les trouver. C’est le grand flou. Ce sera financé comment? Dans le cadre des 50 milliards d’euros de réduction des dépenses publiques », économies dont les mécanismes ne seront pas détaillés avant le 15 avril. Sur l’emploi, les rémunérations, les contreparties au Pacte de responsabilité, « on en rediscutera, nous a-t-on dit. « . La méthode du gouvernement le dérange par ailleurs. « Quand on veut faire du dialogue social, on fait discuter les partenaires sociaux. On ne dit pas ‘j’ai décidé ça, maintenant débrouillez-vous pour le reste’. Il ne faut pas sortir de polytechnique ou de l’Ena pour savoir que personne ne peut forcer une entreprise à embaucher ou à augmenter les salaires

 

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