Archive pour le Tag 'peu'

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Nouveau gouvernement : les mêmes mais un peu plus à droite

Nouveau gouvernement : les mêmes mais un peu plus à droite

Hormis la surprise du Premier ministre et l’étonnement pour Rachida Dati, l’épine dorsale du gouvernement reste à peu près la même. Un gouvernement encore un peu plus à droite. Les principaux détenteurs de portefeuilles restent en place comme pour le ministère de l’économie, le ministère de l’intérieur, le ministère de la justice ou encore le ministère des armées.

Quelques aménagements seulement pour satisfaire aux règles de dosage en matière d’égalité hommes femmes, d’équilibre politique et de pan sur le bec pour les ministres un peu frondeurs.

La liste officielle

Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique : Bruno Le Maire

Ministre de l’Intérieur et des Outre-mer : Gérald Darmanin

Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités : Catherine Vautrin

Ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques : Amélie Oudéa-Castéra

Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire : Marc Fesneau

Ministre de la Culture : Rachida Dati

Ministre des Armées : Sébastien Lecornu

Ministre de la Justice : Éric Dupond-Moretti

Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères : Stéphane Séjourné

Ministre de la Transition écologique : Christophe Béchu

Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : Sylvie Retailleau

Ministre déléguée chargée du renouveau démocratique et Porte-parole du gouvernement : Prisca Thévenot

Ministre déléguée chargée des relations avec le Parlement : Marie Lebec

Ministre déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations : Aurore Bergé

Macron à la télé : émission un peu suivie

Macron à la télé : émission un peu suivie

Ce n’est pas le grand enthousiasme comme lors des passages du président qui ont attiré nettement plus de 10 millions de téléspectateurs mais c’est un record pour la chaîne 5 dans l’émission  » C à vous ». Le dernier passage de Macron à la télé, a en effet attiré une moyenne de 2,92 millions de téléspectateurs de 19 h à 20 h et à peine moins (2,82 millions) de 20 h à 21 h, selon ces chiffres. La part d’audience a oscillé entre 16,5 et 13,6 %.

Il s’agit d’un record d’audience pour la quotidienne du soir de « C à vous », qui se plaçait mercredi bien loin devant la concurrence de « Touche pas à mon poste » sur C8. Et c’est même un « record historique pour la chaîne, tous horaires confondus », a-t-on précisé à France 5.

L’audience du président de la République est toutefois beaucoup moins élevée que lors d’allocutions exceptionnelles passées : 13,3 millions de téléspectateurs toutes chaînes confondues en octobre après l’attaque du Hamas en Israël ou 15,1 millions mi-avril après la promulgation de la très contestée réforme des retraites.

Élection Corée du Nord : cette fois un peu moins de 100 % !

Élection Corée du Nord : cette fois un peu moins de 100 % !

Dans le pays du dictateur fou que constitue la Corée-du-Nord, on vient de comprendre qu’annoncer des scores de 100 % permet d’alimenter un doute sur les résultats des élections. Du coup pour les élections locales qui viennent de se tenir, le pouvoir tient à faire savoir que les partisans du dictateur n’ont pas tout à fait atteint les 100 % mais qu’il y a bien une opposition. Bref, le théâtre habituel d’un dictateur dément toujours à la recherche d’un événement médiatique pour exister sur la scène internationale alors que son peuple souffre de malnutrition chronique et qu’il consacre l’essentiel des revenus du pays au renforcement de l’armement.

Après un scrutin local, le régime nord-coréen a fait état de votes allant à l’encontre du parti au pouvoir, une première depuis les années 60 selon un responsable sud-coréen.
Des dissidents en Corée du Nord? Le régime dictatorial de Kim Jong-un a surpris, ce mardi 28 novembre, en annonçant que des élections locales n’avaient pas été remportées avec 100% des voix par le Parti du travail au pouvoir comme il en a l’habitude.

Pour la première fois, la Corée du Nord fait référence à des votes « dissidents » lors de scrutins locaux depuis les années 1960, a déclaré un fonctionnaire du ministère sud-coréen de l’unification chargé des relations avec le Nord.

« Les analystes estiment qu’il s’agit d’une tentative de donner l’image d’une société normale », note l’agence Reuters.

Hamas : la coalition internationale de Macron a peu de chances d’aboutir

Hamas : la coalition internationale de Macron a peu de chances d’aboutir

Lors de sa visite au Proche-Orient, le président français a proposé une alliance internationale contre le mouvement terroriste palestinien du Hamas. Une proposition qui a peu de chances d’aboutir car si les intérêts de nombreux pays étaient convergents pour se battre contre Daesh machine de guerre internationale aussi bien contre l’Occident que contre les autres pays, il en va différemment avec Hamas dont le champ d’action est limité à Gaza.
Au plan international, la vraie menace commune n’est pas tant celle de Hamas que celle de l’Iran qui instrumentalise un peu partout les mouvements terroristes divers et variés.

Le président français a sans doute voulu se distinguer de ses autres collègues mais il ne semble pas que la proposition recueille l’adhésion internationale tellement le jeu des alliances est complexe face à la situation particulière de Gaza et de la Palestine.

Plutôt que de proposer une initiative contre, le président français aurait mieux fait de se limiter à une initiative pour afin d’envisager les perspectives de coexistence et les conditions d’une Palestine à deux Etats.

« Je propose à nos partenaires internationaux (…) que nous puissions bâtir une coalition régionale et internationale pour lutter contre les groupes terroristes qui nous menacent tous », a insisté Emmanuel Macron, sans préciser s’il avait évoqué cette hypothèse avec les autres pays concernés, Etats-Unis en tête.

Le président français n’a pas ménagé le Hamas : c’est « un groupe terroriste », « c’est pourquoi il ne porte pas la cause palestinienne » et « doit être combattu avec force ».

Cependant, « la lutte doit être sans merci, mais pas sans règles », a nuancé le président français, invitant au respect du droit de la guerre et humanitaire, et rappelant que « les démocraties ne prennent pas pour cible les civils, ni à Gaza, ni nulle part ».

Emmanuel Macron a assuré avoir discuté avec Benyamin Netanyahou des moyens d’aider concrètement les Palestiniens déplacés par les combats dans la bande de Gaza, en coordination avec les pays de la région.

Le chef de l’Etat français a aussi plaidé pour une relance du processus politique avec l’Autorité palestinienne dans le but de parvenir à une solution à deux Etats qui offre des perspectives d’avenir à la région. Pour éviter un embrasement régional, il a plaidé pour la relance du processus politique « en acceptant le droit légitime des Palestiniens à disposer d’un territoire et d’un Etat, en paix et en sécurité au côté d’Israël ».

Mettant en garde contre « une conflagration régionale dont chacun sortirait perdant », il a appelé solennellement et nommément « le régime iranien » et ses alliés régionaux, « le Hezbollah » libanais et « les Houthis au Yémen », à « ne pas prendre le risque inconsidéré d’ouvrir de nouveaux fronts », alors que la situation est très tendue à la frontière avec le Liban.

Le président français, qui avait été reçu dans la matinée par son homologue israélien Isaac Herzog, est attendu en fin de journée à Ramallah, siège de l’Autorité palestinienne rivale du Hamas. Il se rendra ensuite à Amman, en Jordanie, où il s’entretiendra avec le roi Abdallah et d’autres dirigeants, a fait savoir l’Elysée.

Le déplacement d’Emmanuel Macron intervient près d’une semaine après celui du président américain Joe Biden, qui a négocié en parallèle avec l’Egypte le déblocage d’aide humanitaire via le point de passage frontalier de Rafah, seul axe reliant la bande de Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël. Les dirigeants britannique, allemand et italien se sont aussi rendus en Israël la semaine dernière.

La visite du président français sera vite oublié car elle est intervenue soit trop tard pour dénoncer les crimes du Hamas est trop tôt pour que s’ouvre une fenêtre permettant de reposer la question et les conditions de création de deux Etats en Palestine.

Israël : Mélenchon déraille encore un peu plus

Israël : Mélenchon déraille encore un peu plus

Des propos qui traduisent encore davantage la fuite en avant du patron des Insoumis qui déclare que le gouvernement encourage le massacre à Gaza à travers la visite de la présidente de l’Assemblée nationale en Israël.

Jean-Luc Mélenchon a accusé Yaël Braun-Pivet, en déplacement en Israël, de « camper à Tel-Aviv pour encourager le massacre » à Gaza.

La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, s’est rendue en Israël, où elle a souligné que rien ne doit empêcher » le pays « de se défendre » dans la guerre face au Hamas, suscitant ce dimanche une polémique à gauche que Jean-Luc Mélenchon a enflammée par sa virulence.

Des termes cinglants qui ont à leur tour immédiatement provoqué la controverse, les ministres Marc Fesneau et Oliver Dussopt évoquant à l’unisson à « un tweet de la honte ». « Voici le message subliminal de Jean-Luc Mélenchon : désigner les Juifs comme le parti de l’étranger et de la guerre », s’est indigné le président du Crif Yonathan Arfi, dénonçant « une rhétorique antisémite », quand la Licra a épinglé « un antisémitisme électoral ».

Hamas: Mélenchon rétropédale un peu et s’enfonce davantage

Hamas: Mélenchon rétropédale un peu et s’enfonce davantage


Alors que la majorité des sympathisants des Insoumis qualifient de terroristes le Hamas, Mélenchon refuse toujours de retenir ce qualificatif avec un discours particulièrement confus.

Pour lui, il s’agit de retenir le concept d’action de guerre du Hamas pour le contraindre au respect du droit international ! Mélenchon et son parti–sauf Ruffin- se marginalisent ainsi encore un peu plus par rapport à l’ensemble de l’opinion française qui condamne sans ambiguïté le massacre terroriste du Hamas et même par rapport à son propre électorat.

Une sorte de fuite en avant de Mélenchon qui ressemble de plus en plus à un suicide de son organisation.

Lors d’une conférence à Bordeaux, la patron de La France Insoumise a indiqué «avoir condamné» l’attaque du Hamas. Et «se comporter comme quelqu’un qui pense qu’il doit gouverner son pays.» «Si j’avais à gouverner la France, je n’utiliserais pas ce vocabulaire (de terrorisme, NDLR)», a martelé Jean-Luc Mélenchon. Qui a ajouté : «Aucun crime ne trouvera jamais grâce à nos yeux.»

Borne déplore «une forme d’antisémitisme» de LFI, Mélenchon réplique «Si nous acceptions de caractériser comme terroriste une action de guerre, nous la soustrayions au droit international», a d’ailleurs tonné le leader insoumis. Pourquoi ? Parce que «le droit international ne prévoit aucune dénomination de caractère terroriste.» !!!

PSG: Messi et Neymar deux mercenaires paresseux peu reconnaissants

PSG: Messi et Neymar, deux mercenaires paresseux peu reconnaissants

Dans une interview Neymar se montre sans concession avec le PSG: « J’étais très heureux pour Messi, pour sa saison, même s’il a tout connu. Il est allé au paradis avec l’Argentine, il a vécu l’enfer à Paris, nous avons vécu l’enfer lui et moi ». Messi de son côté a aussi évoqué ses difficultés au PSG. Le problème de ces deux joueurs sans doute parmi les meilleurs du monde c’est qu’ils se sont comportés comme des mercenaires trop payés, paresseux et peu reconnaissants.

Avec des salaires de près de 10 millions par mois, il n’y avait pas matière à être malheureux. Par ailleurs sur le plan des résultats sportifs, les deux intéressés ont décu profondément déçu. Neymar parce qu’il n’a joué qu’à mi-temps en raison d’une vie dissolue. Et Messi pour avoir joué comme un retraité.

Compte tenu de leurs prestations, les deux joueurs visés devraient avoir honte de se plaindre du soi-disant enfer au PSG.

Ukraine: l’UE s’engage un peu plus

Ukraine: l’UE s’engage un peu plus

Réunis à Bruxelles pour un sommet de deux jours, les dirigeants européens ont une nouvelle fois condamné l’invasion russe de l’Ukraine et affirmé que les pays de l’Union européenne se « tenaient prêts » à prendre part à des engagements destinés à renforcer la capacité de Kyiv à se défendre sur le long terme.

Dans un document résumant les conclusion de cette première journée du sommet, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE ont indiqué qu’ils se pencheraient sous peu sur les contours de ces engagements sécuritaires.

« Le soutien militaire à l’Ukraine doit être sur le long terme », a-t-il dit devant des journalistes, évoquant l’hypothèse que Bruxelles mette sur pied un programme de financement spécifiquement dédié à la défense ukrainienne.

« Il faut que les formations se poursuivent, que la modernisation de l’armée se poursuive. L’Ukraine a besoin de notre engagement à continuer de garantir sa sécurité durant la guerre et après la guerre », a ajouté Josep Borrell.

Alors que des diplomates ont indiqué que le texte a été proposé par la France, chantre d’un rôle sécuritaire et militaire de l’UE accru, le document a été modifié pour tenir compte des préoccupations des pays militairement neutres et des fervents partisans d’une coopération transatlantique, comme les Etats baltes qui considèrent que la sécurité européenne est une question relevant avant tout de l’Otan avec l’appui des Etats-Unis.

Il est écrit dans la version finale du texte que l’UE travaillera « ensemble avec ses partenaires » et « dans le plein respect des politiques sécuritaires et de défense de certains Etats membres ».

Aux yeux de Kyiv, le meilleur moyen de garantir la sécurité de l’Ukraine et celle de l’Europe est de l’autoriser à rejoindre l’Otan – une adhésion impossible durant la guerre, de l’aveu même de Kyiv, tandis que les membres de l’Alliance transatlantique sont divisés sur la rapidité avec laquelle cette adhésion pourrait alors intervenir.

Sondage transport aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

Sondage transport aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

D’après l’institut IFOP pour le Groupe ADP, en partenariat avec La Tribune », les Français ne croient guère à la décarbonation de l’aviation et prévoient le développement de ce mode de transport sur longue distance

87 % des Français pensent que l’avion est un moyen incontournable pour voyager sur des distances importantes. Le pourcentage semble élevé, mais s’avère là aussi inférieur à ceux des autres nations qui se situent entre 89 et 95 %.

Pensez-vous que l’industrie aéronautique est dans votre pays un secteur stratégique prioritaire qu’il faut soutenir et protéger ?

Lorsque que la notion de « distance importante » est remplacée par « quelle que soit la distance », le pourcentage chute naturellement partout en Europe. D’autant que les pays interrogés possèdent des réseaux ferrés conséquents. Sans surprise – et malgré les nombreuses critiques entendues sur le prix des trains ou des péages routiers en France – les sondés hexagonaux sont les plus rétifs à prendre l’avion : seuls 48 % le considèrent comme incontournable quelle que soit la distance. Le Royaume-Uni suit, mais le pourcentage grimpe à 53 %. Ensuite l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie naviguent entre 59 et 70 %.

Derrière ces tendances se dégagent deux éléments. Tout d’abord, les Français font partie des Européens qui considèrent le plus le transport aérien comme un secteur fortement émetteur de CO2 (81 %). Seuls les Britanniques font mieux avec 87 %, tandis que les autres se situent à 74 et 75 %.

Et cela se conjugue avec un certain pessimisme sur le potentiel de décarbonation du transport aérien. Les deux tiers des Français croient en sa capacité à se réformer dans les prochaines années pour répondre au changement climatique. Les Allemands sont 68 % à y croire, les Espagnols 80 %.

Cette différence nette entre la France et les pays limitrophes se retrouve pour l’ensemble des autres secteurs confrontés au défi de la transition environnementale et énergétique. C’est nettement le cas pour le transport routier, l’industrie, la production d’énergie, à peine moins pour le bâtiment ou l’agriculture.

Les Français semblent donc résignés à voir des contraintes apparaître sur le secteur.
Autre signe allant dans ce sens : lorsqu’on leur demande leurs attentes vis-à-vis du secteur aérien, plus de la moitié des Français comme des Européens mettent la priorité à la réduction des émissions de CO2. Mais 20 % de nos concitoyens veulent avant tout une réduction du prix des billets d’avion. C’est plus que dans tout autre pays interrogé, le triple de l’Allemagne ou du Royaume-Uni. Ce qui laisse entrevoir une propension encore forte à voyager par les airs.

Sondage aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

Sondage aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

D’après l’institut IFOP pour le Groupe ADP, en partenariat avec La Tribune », les Français ne croient guère à la décarbonatation de l’aviation et prévoient le développement de ce mode de transport sur longue distance

87 % des Français pensent que l’avion est un moyen incontournable pour voyager sur des distances importantes. Le pourcentage semble élevé, mais s’avère là aussi inférieur à ceux des autres nations qui se situent entre 89 et 95 %.

Pensez-vous que l’industrie aéronautique est dans votre pays un secteur stratégique prioritaire qu’il faut soutenir et protéger ?

Lorsque que la notion de « distance importante » est remplacée par « quelle que soit la distance », le pourcentage chute naturellement partout en Europe. D’autant que les pays interrogés possèdent des réseaux ferrés conséquents. Sans surprise – et malgré les nombreuses critiques entendues sur le prix des trains ou des péages routiers en France – les sondés hexagonaux sont les plus rétifs à prendre l’avion : seuls 48 % le considèrent comme incontournable quelle que soit la distance. Le Royaume-Uni suit, mais le pourcentage grimpe à 53 %. Ensuite l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie naviguent entre 59 et 70 %.

Derrière ces tendances se dégagent deux éléments. Tout d’abord, les Français font partie des Européens qui considèrent le plus le transport aérien comme un secteur fortement émetteur de CO2 (81 %). Seuls les Britanniques font mieux avec 87 %, tandis que les autres se situent à 74 et 75 %.

Et cela se conjugue avec un certain pessimisme sur le potentiel de décarbonation du transport aérien. Les deux tiers des Français croient en sa capacité à se réformer dans les prochaines années pour répondre au changement climatique. Les Allemands sont 68 % à y croire, les Espagnols 80 %.

Cette différence nette entre la France et les pays limitrophes se retrouve pour l’ensemble des autres secteurs confrontés au défi de la transition environnementale et énergétique. C’est nettement le cas pour le transport routier, l’industrie, la production d’énergie, à peine moins pour le bâtiment ou l’agriculture.

Les Français semblent donc résignés à voir des contraintes apparaître sur le secteur.
Autre signe allant dans ce sens : lorsqu’on leur demande leurs attentes vis-à-vis du secteur aérien, plus de la moitié des Français comme des Européens mettent la priorité à la réduction des émissions de CO2. Mais 20 % de nos concitoyens veulent avant tout une réduction du prix des billets d’avion. C’est plus que dans tout autre pays interrogé, le triple de l’Allemagne ou du Royaume-Uni. Ce qui laisse entrevoir une propension encore forte à voyager par les airs.

Crise démocratique :peu d’issue pour Macron (l’historien Jean Garrigues)

Crise démocratique :pas d’issue pour Macron (l’historien Jean Garrigues)

Clé de voûte d’institutions contestées, le chef de l’Etat se retrouve aujourd’hui « discrédité », analyse l’historien Jean Garrigues. Auprès de franceinfo, l’auteur d’Elysée contre Matignon, le couple infernal (éditions Tallandier, 2022) avance plusieurs pistes pour atténuer la « crise démocratique » en cours.


Vous pointiez récemment dans Le Monde (article pour les abonnés) « un échec personnel » du chef de l’Etat dans la bataille des retraites. L’intervention de lundi lui a-t-elle permis de corriger le tir et d’ouvrir un nouveau chapitre ?

Jean Garrigues : C’était sa tentative. Il voulait clore une séquence et en ouvrir une autre, qu’il espère différente. Mais sans un préalable d’une concession faite à la légitimité des citoyens, sans tenir compte des corps intermédiaires, notamment des syndicats, sur cette fameuse réforme, il me paraît difficile de restaurer une crédibilité. La crise des retraites a constitué le test de cette crédibilité présidentielle. Il avait fait campagne sur le thème « Avec vous », soit une nouvelle manière de gouverner plus proche des citoyens, de la souveraineté populaire. Dans cette crise des retraites, il a fait exactement l’inverse.

Ainsi, il a appliqué à la lettre les institutions de la Ve République en matière de présidentialisme, en utilisant tous ses ressorts, ce qui est d’ailleurs une forme de dérive de l’exercice de ces institutions. Il s’est arc-bouté sur sa légitimité institutionnelle en oubliant qu’à côté de cette légitimité, il y en a une autre, inscrite dans notre histoire depuis la Révolution française : une nécessité d’écouter aussi la voix des citoyens telle qu’elle s’exprime par des médiateurs comme les syndicats, les associations ou les médias.

Peut-on parler de « crise démocratique », comme l’a fait Laurent Berger ? Si oui, à quoi peut-on la comparer dans l’histoire récente de notre pays ?

La crise démocratique est réelle. Elle n’a pas commencé avec la crise des retraites ; c’est un lent processus dont le déni du référendum sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe, en 2005, a été un marqueur. Ce référendum a exprimé la souveraineté populaire, et le « non » a été démenti par la volonté du pouvoir exécutif, qui s’est alors appuyé sur le pouvoir législatif afin de valider le traité de Lisbonne.

« Aujourd’hui, on est revenu à ce marqueur de 2005, qui symbolise la contestation de la légitimité des acteurs institutionnels. »

Cette crise démocratique s’est aussi traduite, au moment des « gilets jaunes », par la contestation des élus et la violence accrue envers eux. Ce phénomène ressurgit maintenant. La crise démocratique atteint aujourd’hui son apogée ; on est dans une remise en cause de tout le dispositif institutionnel et des acteurs qui le font fonctionner.

Cette crise démocratique est-elle donc une crise des institutions de la Ve République ?

Il est toujours difficile de décréter la mort d’un système politique. Les institutions ne sont pas totalement discréditées, notamment l’élection présidentielle. Cependant, la contradiction entre la « surprésidentialisation » du pouvoir aujourd’hui et le besoin de participation démocratique est de plus en plus forte. Le fonctionnement de ces institutions doit surtout être repensé.

Dans quel but ?

Le premier signal à donner pour réconcilier les Français avec leurs institutions serait de leur donner l’impression qu’il n’y a pas une monarchie républicaine. Il faut absolument qu’Emmanuel Macron, dans sa manière de gouverner, par des améliorations et des révisions constitutionnelles, réduise le pouvoir et l’influence du président de la République. Cette omnipotence présidentielle est d’ailleurs le point de clivage majeur de la crise actuelle.

Le taux de popularité d’Emmanuel Macron, autour de 28%, c’est à peu près le pourcentage de ses électeurs au premier tour de l’élection présidentielle. Emmanuel Macron n’est plus le rassembleur des Français, mais un chef de majorité, comme l’étaient François Hollande et Nicolas Sarkozy. Cela ne correspond plus à l’esprit des institutions de la Ve République.

Ce sont davantage les pratiques des institutions que les institutions en elles-mêmes qui sont à bouleverser ?

Oui, il y a un équilibre à retrouver. Même du côté du groupe Renaissance, il y a beaucoup de députés qui portent cette idée, en dénonçant un pouvoir excessif du président.

Comment y parvenir ?

Il y aurait une réforme qui pourrait être faite de manière assez rapidement : revenir sur la révision constitutionnelle de 2000 et découpler les élections législatives de l’élection présidentielle. Vous aurez alors une respiration démocratique qui correspond aux besoins qu’ont les Français. Selon un sondage réalisé après la présidentielle, 64% des Français demandaient une cohabitation.

Ce contrepoids serait facilité si les élections législatives n’avaient pas lieu dans la foulée de l’élection présidentielle. D’ailleurs, si elles se déroulaient aujourd’hui, on verrait certainement beaucoup moins de députés de Renaissance et sans doute plus de députés des forces d’opposition.

Ce ne serait pas pour autant gouvernable…

Cela demande aussi une révolution culturelle de la part des partis politiques en France. Tout cela peut se résoudre par la « déprésidentialisation » du régime. A partir du moment où vous n’êtes plus obligé d’être dans une opposition radicale pour une élection, vous pouvez occuper des positions de compromis qui feraient exister d’autres solutions à cause des deux forces extrêmes.

Aujourd’hui, il reste une possibilité de gouverner texte par texte avec des majorités alternatives. Cela a déjà existé dans notre histoire. Durant l’entre-deux-guerres, c’était quasiment la règle : chaque projet de loi générait une majorité différente au sein d’une nébuleuse de centre-droit et de centre-gauche. Là, est-ce possible, dans la mesure où on se trouve dans une Assemblée avec trois groupes très bien découpés, surtout aux extrêmes, qui refusent tout partenariat avec le pouvoir ? Ça parait plus compliqué.

Vous excluez cependant un changement de Constitution pour régler la crise. Pourquoi ?

Ça serait long, compliqué et jugé peut-être artificiel par un certain nombre de Français. Un changement de Constitution serait sans doute vécu comme superfétatoire.

Du reste, si on regarde les origines des institutions nées de la Constitution de 1958, le président n’est pas élu au suffrage universel, au départ. Il y avait également la pratique du domaine réservé avec le général de Gaulle. Il avait tendance à laisser gouverner son Premier ministre, comme c’est inscrit dans la Constitution.

On pourrait très bien avoir une pratique des institutions qui revienne à la lecture originelle et qui amenuise le pouvoir du président. Il y a la possibilité d’appliquer à la lettre l’article 20 et 21 de la Constitution, qui permettent de faire du Premier ministre le vrai responsable devant le Parlement. Si le président accepte de se cantonner dans un rôle de « père de la nation », qui se limite au « domaine réservé » comme le pensait le général de Gaulle, à savoir les affaires étrangères et la défense, en donnant bien une forme d’autonomie au Premier ministre, il y a automatiquement un contre-pouvoir qui se dessine : celui du Parlement.

Emmanuel Macron a promis lundi de « grandes pistes pour que le fonctionnement de nos institutions gagne en efficacité et en participation citoyenne ». Peuvent-elles redonner de l’espoir aux Français et de l’air au pouvoir ?

Les conventions citoyennes n’ont pas forcément été concluantes. C’est aussi parce que ces expériences n’ont pas été menées jusqu’à leur terme. Pour celle sur le climat, la démocratie représentative a pris le relais et n’a pas tenu compte d’une grande partie du programme élaboré par les citoyens. Il faut aussi repenser cette manière de faire participer les citoyens et la généraliser à l’échelle des territoires, à l’échelle locale, pour que ça devienne un rituel.

Le quinquennat paraissait figé avant l’allocution d’Emmanuel Macron. Quelle peut être la suite de son mandat ?

A l’heure où on se parle, on ne voit pas d’issue. L’intérêt objectif des adversaires politiques d’Emmanuel Macron n’est pas de collaborer à la production des lois et à la réforme. Aujourd’hui, il est totalement discrédité par rapport à cette réhabilitation du dialogue social et de la légitimité des citoyens. Ce discrédit peut s’estomper avec le temps, à partir du moment où vont être remises en place des structures de concertation avec les syndicats et d’autres interlocuteurs.

Il peut aussi y avoir des événements extérieurs, comme au moment du Covid-19 ou la guerre en Ukraine, qui ramènent les Français vers le président et sa figure de chef. Mais tout cela va prendre du temps et il sera attendu au tournant. La moindre entorse à cette nouvelle méthodologie de l’écoute et du dialogue sera pointée par ses adversaires.

Réforme des retraites : Macron se réveille un peu tard (CGC)

Réforme des retraites : Macron se réveille un peu tard (CGC)

Réforme des retraites : « Emmanuel Macron fait comme si le mouvement social n’existait pas », après sa proposition de rencontrer les syndicats, estime la CFE-CGC

« Emmanuel Macron comme si le mouvement social n’existait pas », a déclaré mercredi 12 avril sur franceinfo François Hommeril, président de la CFE-CGC, après l’appel à l »esprit de concorde » lancé par le président de la République. Le chef de l’État depuis les Pays-Bas a voulu se projeter au-delà des décisions très attendues vendredi du Conseil constitutionnel sur la réforme des retraites, en promettant aux syndicats un « échange qui permettra d’engager la suite et de tenir compte » du verdict des Sages. Ce sera difficile de faire « comme si les arguments qu’on a portés au débat n’existaient pas, comme si la majorité de la population ne rejetait pas sa réforme, comme si nous n’avions pas démontré qu’elle était injustifiée », assène la CFE-CGC.

franceinfo : Est-ce que vous avez le sentiment qu’Emmanuel Macron se moque de vous ?

François Hommeril : Oui, effectivement j’ai un peu ce sentiment. On a nous-mêmes proposé cette rencontre et c’était un effort de le faire au niveau de l’intersyndicale. Moi j’observe une chose, c’est qu’à chaque fois que le président de la République prend la parole à la veille d’une mobilisation c’est en général une mobilisation très forte qu’on a le lendemain, ça a été le cas le 7 mars au lendemain de sa déclaration au Salon de l’agriculture et ça a été le cas le 23 mars après son intervention la veille à 13 heures.

Avez-vous encore envie de le rencontrer ?

La question ce n’est pas vraiment l’envie. J’ai un mandat syndical et je me dois de le respecter et de respecter les institutions. Si le président de la République me demande de venir à l’Élysée pour discuter ce n’est pas dans la tradition de la CFE-CGC que de faire la chaise vide. Mais pour le reste, on va avoir un problème, car Emmanuel Macron fait depuis trois mois comme si le mouvement social n’existait pas, comme si les arguments qu’on a portés au débat n’existaient pas, comme si la majorité de la population ne rejetait pas sa réforme, comme si nous n’avions pas démontré qu’elle était injustifiée. Ça va être difficile de faire comme s’il ne s’était rien passé. C’est compliqué de développer des relations de concorde dans ces conditions-là.

>> Réforme des retraites : qui sont les neuf Sages du Conseil constitutionnel qui vont se prononcer sur la loi ?

Qu’attendez-vous du Conseil constitutionnel vendredi ?

J’attends que le Conseil constitutionnel censure la loi dans sa totalité. Je ne suis pas naïf. Je pense qu’il est probable qu’il visera un peu au milieu. Il est possible que certains articles, qui ont peut-être été mis là pour ça, soient réformés et que l’exécutif communique pour dire que l’essentiel de la loi est préservé. Nous, on a fait l’analyse en droit que cette loi ne doit pas être promulguée parce que son parcours législatif à l’Assemblée nationale n’était pas conforme à son contenu.

Croissance Mondiale: recul mais un peu moins que prévu (FMI)

Croissance Mondiale: recul mais un peu moins que prévu (FMI)

La hausse des PIB devrait subir un ralentissement sévère par rapport à l’an dernier. Dans la zone euro, pronostique ainsi le FMI, la croissance diminuera de +3,5% en 2022 à +0,7% cette année. Pour les pays «avancés», elle devrait reculer de +2,7% à +1,2%.

«Les risques de dégradation des perspectives économiques continuent de dominer mais ils se sont atténués», souligne le FMI. «Un regain lié à la demande comprimée dans de nombreux pays est plausible, ou une baisse plus rapide de l’inflation», ajoute l’organisation.

la France, les prévisions ne changent pas. Le PIB devrait afficher une croissance de 0,7% cette année, de même niveau désormais que celle de la zone euro, pronostique le FMI. La Banque de France est moins optimiste puisqu’elle prévoit une hausse du PIB de 0,3% en 2023. Le gouvernement de l’Hexagone l’est davantage : il parie sur une progression de 1% du PIB.

Pas d’amélioration en vue, en revanche, pour le Royaume-Uni. C’est la seule nation, parmi les économies avancées et les principaux émergents, qui devrait afficher une récession, de 0,6%, cette année, note le FMI, lequel a revu ses prévisions en baisse de 0,9 point pour la Grande-Bretagne.

Pour la Russie, le Fonds revoit ses prévisions en hausse de 2,6% en 2023 pour le pays de Vladimir Poutine et s’attend ainsi à une croissance de 0,3%. Ce rebond intervient après une récession, beaucoup plus faible selon le FMI que d’autres organisations internationales. Le fonds qui veille sur l’économie mondiale estime que le PIB russe a reculé de seulement 2,2% en 2022 alors que la Banque mondiale, par exemple, l’évalue à 3,5%. La différence est encore plus marquée pour cette année, la Banque mondiale prévoyant encore une baisse du PIB russe de 3,3%.

Il faut toutefois rappeler que même si l’économie mondiale se porte mieux que prévu cette année, la hausse des PIB devrait subir un ralentissement sévère par rapport à l’an dernier. Dans la zone euro, pronostique ainsi le FMI, la croissance diminuera de +3,5% en 2022 à +0,7% cette année. Pour les pays «avancés», elle devrait reculer de +2,7% à +1,2%.
En Chine, où la croissance devrait atteindre 5,2% en 2023, le FMI a revu ses données en hausse de 0,8 point. Mais il rappelle que l’aggravation de la situation sanitaire dans l’ex-Empire du milieu pourrait «freiner la reprise». Tout comme «la guerre pourrait s’intensifier en Ukraine et le durcissement des conditions de financement à l’échelle mondiale accentuer le surendettement».

Grèves SNCF à Noel: pour tuer encore un peu plus l’entreprise

Grèves SNCF à Noel: pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SUD-Rail et la CGT menacent encore de faire grève à Noël à la SNCF. La SNCF est pourtant une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années , les jusqu’au-boutistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire, l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé. On fait rarement pire en matière de résultats de l’action syndicale !

Ces extrémistes ont choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. La gréviculture mine littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermées. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et la grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme ……dans une entreprise nationalisée de chemins de fer portée à bout de bras par l’État !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF.

Les syndicats Sud rail et CGT ont maintenu leur préavis de grève pendant Noël mais sans appeler nettement à la grève. Un

SNCF : des grèves à Noel pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SNCF : des grèves à Noel pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SUD-Rail et la CGT menacent encore de faire grève à Noël à la SNCF. La SNCF est pourtant une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années , les jusqu’au-boutistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire, l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé. On fait rarement pire en matière de résultats de l’action syndicale !

Ces extrémistes ont choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. La gréviculture mine littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermées. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et la grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme ……dans une entreprise nationalisée de chemins de fer portée à bout de bras par l’État !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF.

Les syndicats Sud rail et CGT ont maintenu leur préavis de grève pendant Noël mais sans appeler nettement à la grève. Une attitude particulièrement hypocrite et irresponsable.

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