Archive pour le Tag 'peu'

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Croissance France : Indice PMI peu encourageant en novembre

Croissance France : Indice PMI  peu encourageant en novembre

 

L’Indice Flash de la Production Manufacturière se replie à 46.5 (48.0 en octobre), un plus bas de 3 mois.  L’Indice PMI Flash de l’Industrie Manufacturière se replie à 47.6 (48.5 en octobre), un plus bas de 3 mois Le secteur des services continue de tirer l’activité économique de la France mais le secteur manufacturier reste à la peine. Nous pouvons lire dans le rapport de Markit que « la conjoncture reste faible en novembre dans le secteur privé français, comme l’indiquent les dernières données PMI composites flash qui mettent de nouveau en évidence un léger repli de l’activité globale. Si la hausse des dépenses publiques a permis de maintenir une croissance de 0,3 % du PIB au troisième trimestre 2014, le manque de dynamisme de l’activité du secteur privé mis en évidence par les données de l’enquête pourrait continuer de peser sur la croissance française au quatrième trimestre. Parallèlement, les entreprises interrogées font état de nouvelles suppressions de postes en novembre, rendant fort peu probable une inversion prochaine de la courbe du chômage. » Les traders se contentent de la hausse de l’indice composite faisant la synthèse des indices PMI des services et manufacturier et EUR/USD progresse mais rien d’assez robuste pour permettre une baisse du taux de chômage. Tout est dit… D’autant plus que Markit n’est pas dupe et souligne que la hausse des dépenses publiques plutôt que celles du secteur privé est à l’origine des 0.3 % de croissance du T3.

 

Sondage 2017 : Nicolas Sarkozy peu soutenu par les députés UMP

Sondage 2017 : Nicolas Sarkozy  peu soutenu par les députés UMP

 

Nicolas Sarkozy  peine décidément à s’imposer de manière indiscutable à l’UMP même chez les députés. Certes il est en tête chez ces députés, mais son avance sur les autres candidats à la présidence de l’UMP est loin d’être massive. En cause la crainte que les affaires plombent un jour Sarkozy et par ricochet l’UMP ; aussi le faiat que les députés ne sont pas convaincus par le flou du programme de Sarkozy qui aura auusi à justifier d’un bilan très mitigé pour la période 2007-2012. .  Enfin  Les contestations contre l’ex-chef de l’Etat se sont multipliées dans les derniers jours, depuis qu’il a évoqué publiquement son souhait d’abroger la loi Taubira sur le mariage homosexuel.  Europe 1 a posé les quatre questions suivantes à chaque député UMP : « Avez-vous parrainé un candidat à la présidence de l’UMP ? A défaut lequel à votre soutien ? » ; « Etes-vous favorable à un changement de nom du parti ? » ; « Êtes-vous favorable à une primaire ouverte pour choisir le candidat de votre famille à l’élection présidentielle ? » et « Qui est votre favori pour représenter la droite en 2017? ». L’idée d’une primaire ouverte à tous est réclamée par 83% des députés interrogés. Soutenu par 43,8% des députés pour la présidence de l’UMP, Nicolas Sarkozy arrive en tête devant Bruno Le Maire (24,5%), et Hervé Mariton (13,5%). Sur la question de l’élection présidentielle, 25,7% des députés UMP affirment soutenir Nicolas Sarkozy, et 15,8% lui préfèrent François Fillon. Avec 10%, Alain Juppé se trouve seulement en troisième position.  Enfin sur un changement de nom de l’UMP, les élus interrogés répondent « non » à près de 50%.

 

Elections présidence Brésil : Dilma Rousseff réélue de peu

Elections présidence  Brésil : Dilma Rousseff réélue de peu

La présidente sortante, Dilma Rousseff gagne mais de peu, elle donc réélu. Pour autant son mandat risque de ne pas être pas de tout repos tellement les problèmes s’accumulent : corruption, inégalités, croissance, violence. La présidente sortante gagne le droit d’entamer un deuxième mandat à la tête du pays, avec environ 51,6 % des voix et plus de trois millions de voix d’avance. Le Parti des Travailleurs (PT), personnifié des années par Lula, reste ainsi au pouvoir. Les quelque 142 millions d’électeurs brésiliens avaient donc le choix entre la continuité et la rupture. La poursuite des réformes sociales promises par Dilma Rousseff a davantage mobilisé que le dynamisme affiché de son rival de centre droit. Dans les dernières heures de la campagne, Aécio Neves avait insisté sur le scandale de corruption au sein du géant pétrolier Petrobras, touchant selon lui les cadres du PT. Mais son parti, le PSDB au pouvoir de 1995 à 2002, avant Lula, a lui-même été touché par des affaires de corruption, et la tentative de basculement de l’image n’a pas fonctionné. Le plus dur commence certainement pour Dilma Rousseff, pas épargnée pendant la campagne, et qui a connu une contestation sans précédent avant et pendant la dernière Coupe du Monde de football. Les Brésiliens ont de plus en plus de mal à supporter la corruption dans la classe politique et dans la société en général ; ce sera le chantier prioritaire du PT dans les mois qui viennent. Il lui faudra aussi affronter le ralentissement de la croissance économique du pays, touchant principalement les couches pauvres de la société, celles-là même qui lui ont apporté son plus grand réservoir de voix. Mais cette élection présidentielle l’a encore montré : le Brésil reste un pays divisé.

 

CO2 : des mots , peu d’action

CO2 : des mots , peu d’action

 

« Le fossé entre ce que nous réalisons et ce que nous devons faire s’élargit d’année en année », déclare Jonathan Grant de PwC. Selon lui, les gouvernements sont de plus en plus déconnectés de la réalité quand ils cherchent à se conformer à l’objectif des deux degrés. « Les engagements actuels nous font partir pour trois degrés », souligne ce spécialiste.  Près de 200 pays ont décidé lors des négociations climatiques sous l’égide des Nations unies de limiter la hausse des températures mondiales à moins de deux degrés Celsius (3,6 degrés Fahrenheit) par rapport à ce qu’elles étaient à l’époque pré-industrielle, dans le but de limiter vagues de chaleur, inondations, tempêtes et hausse du niveau des mers dues au changement climatique. Les températures ont déjà monté de 0,85 degré Celsius environ. Pour parvenir à cet objectif de deux degrés, les émissions de CO2 devront être réduites de 6,2% par an, indique le rapport paru lundi, à comparer au rythme annuel de 1,2% constaté entre 2012 et 2013. PwC met toutefois en avant un motif de satisfaction : pour la première fois depuis six ans, des pays émergents comme la Chine, l’Inde ou le Mexique, très importants émetteurs, ont réduit leurs émissions de carbone à un rythme plus rapide que les pays industrialisés (Etats-Unis, Japon, pays de l’Union européenne) Pour la deuxième année consécutive, l’Australie, gros producteur de charbon qui affiche un des taux d’émissions par habitant les plus élevé au monde, affiche le taux de « décarbonisation » le plus élevé. Le pays a réduit ses émissions de 7,2% en 2013. Le Royaume-Uni, l’Italie et la Chine affichent des taux de décarbonisation compris entre 4 et 5%. Cinq pays ont au contraire accru leur intensité carbone : la France, les Etats-Unis, l’Inde, l’Allemagne et le Brésil. Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon espère rassembler plus de cent chefs d’Etat et de gouvernement le 23 septembre à New York pour relancer la conclusion d’un accord mondial sur le climat.

 

Immobilier : une montée de taux qui va tuer un peu plus le marché

Immobilier : une montée de taux qui va tuer un peu plus le marché

 

Paradoxalement les décisions de la BCE d’abaisser les taux va surenchérir ceux de l’immobilier, de quoi assommer un peu plus un marché complètement atone. En réalité les risques d’explosion de la bulle immobilière existaient déjà car les candidats à l’accession ne sont plus solvables face à des prix trop excessifs ; en outre le robinet des crédits bancaires s’est nettement refermé face aux risques.  «Si la Banque centrale atteint son objectif, le marché des actions reprendra de la vigueur face à celui des obligations, qui verra alors ses taux augmenter. Or, le coût du crédit immobilier est indexé sur ces taux longs, analyse Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi. C’est donc la première pierre de la remontée des taux de crédit qui a été annoncée jeudi.» Si elle se produit, la hausse des taux à long terme, et donc de l’OAT, pourrait cependant être modérée. «Le taux de l’OAT, qui se négociait hier à 1,72 %, pourrait progressivement monter et atteindre 2 % à 2,2 % pendant l’été», estime Axel Botte, stratégiste obligataire chez Natixis AM, qui rappelle que l’OAT s’échangeait aux alentours de 2,5 % en début d’année. D’autres éléments risquent aussi de légèrement renchérir le coût des prêts immobiliers dans les mois qui viennent. Pour faire face aux nouvelles exigences réglementaires, les banques envisagent en effet de recourir à la titrisation d’une partie de ces prêts. Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, a d’ailleurs plaidé dans ce sens en début d’année. Longtemps gelée, la titrisation des prêts immobiliers est réapparue en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas et en Italie en 2010. «Contrairement aux banques américaines, les établissements européens n’ont jamais commis d’excès», souligne Stéphane Caron, responsable gestion crédit structuré chez Natixis AM. En France, le Crédit foncier a réalisé avec succès, il y a quelques semaines, la première opération de titrisation de crédits immobiliers depuis 1995. «La demande des investisseurs pour l’opération du Crédit foncier a été importante, ce qui a rassuré les autres grandes banques ; et certaines d’entre elles devraient lancer des opérations de titrisation d’ici la fin de l’année», explique Fabrice Faure-Dauphin, avocat associé au cabinet Allen & Overy. Ce qui pourrait avoir un impact sur les emprunteurs. «Les banques devront augmenter leurs marges pour rémunérer les investisseurs. Cela devrait donc se traduire par une légère hausse des taux des crédits immobiliers», estime Stéphane Caron. Des hausses qui pourraient atteindre 0,10 % à 0,15 %, selon certains experts. Ce possible durcissement des conditions d’emprunt devrait pénaliser avant tout les jeunes et les ménages modestes, qui peinent de plus en plus à accéder au crédit immobilier, compte tenu des prix toujours élevés de la pierre et de la sélectivité renforcée des banques. «Nous avons vu le taux de désistement pour refus de prêt doubler en quelques mois, passant de 10 % à 20 %», constate François Payelle, président de la FPI (Fédération des promoteurs immobiliers). Pour décrocher un prêt, les emprunteurs doivent montrer patte blanche (apport minimum de 10 %, capacité d’épargne…). «Les banques sont plus attentives qu’il y a quelques mois au respect des critères qu’elles se sont fixé, explique Sandrine Allonier, responsable relations banques chez VousFinancer.com. Elles mettent désormais en place des systèmes de scoring, reposant à la fois sur des critères financiers et subjectifs permettant d’évaluer le potentiel du client.»

 

La BCE décide enfin….un peu !

La BCE décide enfin….un peu !

 

Pas de rachats d’actifs mais des mesures plus accomodantes. La BCE a en effet baissé ses taux directeurs à de nouveaux plus bas historiques afin de prévenir tout risque de déflation au sein de la zone euro et d’affaiblir le taux de change de l’euro. Le taux de refinancement a été abaissé de 0,10 point à 0,15% tout comme le taux de la facilité de dépôt qui passe ainsi en territoire négatif, à -0,10%. Le taux de prêt marginal a été abaissé de 0,35 point, à 0,40%. La BCE est ainsi la première des grandes banques centrales à se lancer dans l’aventure de taux négatifs, qui reviennent pratiquement à faire payer aux banques le fait de déposer une partie de leurs liquidités auprès de l’institut d’émission. En revanche, elle n’est pas allée jusqu’à mettre en oeuvre un programme d’achats massifs d’actifs à l’instar de ceux déployés par la Réserve fédérale américaine, la Banque d’Angleterre ou la Banque du Japon. Son président Mario Draghi n’a toutefois pas exclu de nouvelles mesures d’assouplissement si nécessaire. Il a présenté un programme de refinancement ciblé de 400 milliards d’euros sur quatre ans afin d’inciter les banques à développer le crédit au secteur privé non financier de la zone euro. « Nous sommes maintenant dans un monde totalement différent », a déclaré Draghi lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion de politique monétaire de l’institution. Il a évoqué un environnement « d’inflation basse, de reprise fragile et de faible dynamisme de la monnaie et du crédit. » Les mesures, adoptées à l’unanimité par les membres du conseil des gouverneurs de la BCE, sont destinées à accroître les prêts à « l’économie réelle », a-t-il dit. Elles comprennent aussi une prolongation au moins jusqu’à la fin 2016 des opérations de refinancement à taux fixes pour des montants illimités et l’injection d’environ 170 milliards de liquidités supplémentaires du fait de l’arrêt de la stérilisation des achats d’obligations souveraines effectués dans le cadre du Programme pour le marché de titres. Draghi a de plus annoncé que la BCE menait des travaux préparatoires pour des achats discrétionnaires de titres adossés à des actifs (ABS) afin de soutenir les prêts aux petites et moyennes entreprises.

L’euroscepticisme rebat les cartes…un peu

L’euroscepticisme rebat les cartes…un peu

 

Même si les eurosceptiques n’occupent que 131 sièges sur 751, c’est quand même un coup de pied dans la fourmilière. Et les débats risquent d’être tendus entre trop d’Europe, pas assez d’Europe, trop de libéralisme, pas assez de libéralisme, trop de bureaucratie, davantage de moyens pour l’Europe. Mais il ne faut guère s’attendre à de grands changements avec Juncker le libéral ou Schulz le socialiste très modéré. Du coup ce vote risque de constituer un coup d’épée dans l’eau. Car la vérité c’est que les responsables politiques ne savent pas quoi faire pour relancer la croissance, du coup ils s’en remettent aux technocrates (les 55 000 fonctionnaires de Bruxelles) qui eux mêmes sont encore plus incompétents que les politiques. Comme habitude on va trouver un mauvais compromis pour la désignation du président de la commission et pour la réorientation des politiques, un mauvais compromis comme d’ habitude car cette Europe à 28 est complètement ingouvernable et finalement c’es t Merkel qui tire les ficelles.. Pour redémarrer la machine économique, les conservateurs et Juncker veulent conjuguer la poursuite de la rigueur à une ouverture accélérée des marchés. Les sociaux-démocrates et Schulz ne parlent pas ouvertement de relance, mais se montraient prêts à desserrer l’étau budgétaire afin d’endiguer le chômage. La France est en première ligne. Les électeurs ont choisi, mais un débat plus têtu se profile entre les 28 capitales: après cinq ans de crise, et face au désamour confirmé des Européens, faut-il revoir l’architecture et le fonctionnement même de l’UE? Les vingt-huit chefs d’État et de gouvernement s’en empareront dès demain soir, lors d’un dîner à huis clos officiellement convoqué pour «tirer la leçon du scrutin». Maître de la cérémonie, Herman Van Rompuy assure qu’il sera «trop tôt pour se décider sur les noms» du chef de l’exécutif européen et de tous ceux qui prendront la relève à Bruxelles d’ici à la fin de l’année. Mais le président du Conseil signale que «la forme future de l’UE» sera tout de suite sur la table. Bref, avant de choisir les hommes, il faut parler du programme qui doit restaurer la confiance dans le projet européen. Ce brutal changement de perspective risque de ne plaire ni au vainqueur de dimanche, ni au Parlement fraîchement élu, ni même aux électeurs qui croyaient élire à coup sûr le futur président de la Commission. Le conflit de légitimité pourrait conduire à l’épreuve de force entre le Conseil européen (où siègent les États) et les 751 eurodéputés, lorsque le premier devra «proposer» et le second «élire» le successeur de Barroso. Mais le débat, désormais bien lancé, sur la nécessaire transformation de l’UE comme de la zone euro n’en restera pas là. Parmi les Vingt-Huit, le Britannique David Cameron, soucieux d’offrir des gages à un électorat de plus en plus eurosceptique, est celui qui a poussé le plus loin la donne. Il veut rogner les ailes de l’UE et rapatrier des pans entiers de souveraineté concédés à Bruxelles. Angela Merkel et François Hollande parlent d’approfondir l’union entre les 18 pays de la zone euro, mais ils divergent sur les objectifs comme sur les moyens. Moins d’Europe, plus d’Europe, c’est déjà l’union à deux vitesses, voire à trois. Une autre ligne de clivage se profile dans les jours qui viennent. Entre les dirigeants qui veulent repenser rapidement l’UE – notamment les conservateurs au Nord – et ceux qui veulent avancer à pas comptés, avec François Hollande.

Rythmes scolaires : Hamon recule…un peu

Rythmes scolaires : Hamon recule…un peu

Le ministre de l’Education nationale Benoît Hamon a annoncé ce jeudi 17 avril la publication d’ »un autre texte » sur la réforme des rythmes scolaires complémentaire du décret de son prédécesseur Vincent Peillon  »sous une dizaine de jours », dans un entretien aux journaux du groupe Ebra (est de la France). Le nouveau ministre a précisé que le décret de Vincent Peillon n’était pas caduc, quatre mois et demi avant la généralisation de la semaine de 4,5 jours en primaire.   »Mais nous publierons un autre texte sous une dizaine de jours, en complément. Il s’agira d’un assouplissement significatif qui permettra de tenir compte des expérimentations de qualité, qui poursuivent l’objectif de la réforme mais peinaient à s’inscrire dans le cadre du décret de janvier » 2013, a-t-il indiqué. « Le principe des 9 demi-journées sera maintenu mais je ne m’interdis rien. Les formules favorables à l’enfant primeront sur un cadre théorique trop strict. Je tends la main aux maires, en particulier ruraux, et à ceux qui rencontreraient des difficultés. Mon bureau est ouvert mais je tiens à avertir les élus qui, par pure provocation politique, comme Jean-François Copé, affirment qu’ils refuseront d’appliquer la réforme, qu’ils se mettraient alors dans l’illégalité ».

 

Circulation alternée : une expérience peu probante

Circulation alternée : une expérience peu probante

 

On a sans doute conclu un peu vite que la journée de circulation alternée était à l’origine de la baisse de pollution. Ce qui est certain c’est que le volume de circulation à diminué, mécaniquement,  c’est forcément moins de pollution. Par contre il faudrait comparer la qualité de l’air de ce lundi  avec un volume de circulation habituel. Car cette qualité de l’air découle aussi beaucoup de l’environnement atmosphérique. En clair cette mesure ne prouve rien de nouveau. Une mesure par ailleurs très symbolique et connotée politiquement pour rassurer les verts. La stratégie d’ amélioration de la pollution ne peut s’inscrire que dans la durée (développement des moyens alternatifs, des motorisations non polluantes, évolution de la fiscalité sur les carburants, urbanisme et aménagement du territoire).  Le Premier ministre a donc pris la décision de ne pas reconduire mardi la circulation alternée en Ile-de-France, qui prendra fin lundi à minuit, a annoncé lundi à la presse le ministre de l’Ecologie, Philippe Martin.  La gratuité des transports en commun cessera à la fin du service, dans la nuit de lundi à mardi, a également indiqué le ministre.  Cette décision a été prise « au vu des résultats » lundi, qui montrent « une nette tendance à l’amélioration » de la pollution de l’air aux particules, a expliqué le ministre. Les niveaux de pollution aux particules seront mardi « inférieurs au seuil d’information », a-t-il précisé. « La circulation alternée pour Paris et les 22 communes de la petite couronne prend donc fin ce (lundi) soir à minuit, ainsi bien sûr, à la fin du service, que la gratuité des transports publics communs », a déclaré le ministre.  M. Martin a par ailleurs salué « le civisme et la coopération des Franciliens ». « 90% des véhicules en circulation dans la capitale avaient une plaque impaire », a-t-il souligné.  Il a également relevé que « les craintes de pagaille et de blocage de Paris nés du souvenir de 1997 ne se sont pas confirmées, bien au contraire ». « La fluidité de la circulation en Ile-de-France et à Paris a été assurée », a-t-il dit. « Mieux les bouchons ont été moins importants que pour un lundi habituel avec une diminution de 62% par rapport à lundi dernier de ces bouchons », a-t-il poursuivi.  Un bilan « plus complet et plus détaillé » doit être fait dans les jours qui viennent, a encore indiqué le ministre.

 

Grèves : peu de mobilisation

Grèves : peu de mobilisation

 

Il faut s’attendre à une faible mobilisation ce mardi dans le cadre des grèves annoncées Les professions de la santé, les aéroports et la fonction publique seront concernés ce mardi par des mouvements de protestation et des grèves. Cette semaine de premier tour des municipales sera marquée par plusieurs mouvements syndicaux. Le premier d’entre eux concerne la fonction publique, en grève contre le pacte de responsabilité. Les fonctionnaires craignent en effet les économies que va devoir faire l’État pour financer la baisse des charges promise aux entreprises. Un autre mouvement luttera, lui, contre la réduction des effectifs de la Sécurité sociale. L’univers de la santé sera également toujours concerné par le combat des sages-femmes pour obtenir un statut médical. Les aéroports seront, eux aussi, touchés par un mouvement de protestation. Rien n’est prévu à la SNCF ni à la RATP où seule FO a déposé un préavis de grève. On dénombre, ce mardi 18 mars, -20% de vols à Nice, Marseille, Toulouse et Lyon. Roissy et Orly sont, eux, touchés par une baisse de 30% du nombre de vols. Les compagnies ont toutefois été prévoyantes, annulant leurs vols à la source et prévenant tous les passagers, ou presque, dès lundi soir. Les malchanceux, qui n’ont pas bénéficié de l’information, sont eux aussi rapatriés sur d’autres vols. Certaines compagnies, telles qu’Air France, permettent des changements de destination, de dates voire des remboursements.

 

Sondage : Valls Premier ministre pour 31%, c’est peu

Sondage : Valls Premier ministre pour 31%, c’est peu  

 

 

Un peu plus de 30% de soutien.  pour Valls comme éventuel Premier Ministre. C ’est beaucoup mais  finalement c’est relativement peu ; car  il aurait à assumer l’héritage d’Ayrault et de la politique catastrophique du gouvernement. en matière économique. Or sur ce terrain qui constitue l’enjeu central, on n’a jamais entendu Valls exprimer la moindre opinion. Dans ce domaine l’incantation des valeurs républicaines ne suffiront pas à relancer croissance et emploi.  Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls (31%) serait donc le préféré des Français pour occuper le poste de Premier ministre, d’après un sondage BVA publié dimanche dans Le Parisien Aujourd’hui en France. A la question : « Parmi les personnalités suivantes, qui préférez-vous au poste de Premier ministre ? », M. Valls (31%) devance la maire de Lille Martine Aubry (18%), le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius (17%), le Premier ministre Jean-Marc Ayrault lui-même (11%), le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone (5%) et le ministre de l’Emploi Michel Sapin (4%).  14% ne se prononcent pas.  Chez les sympathisants de gauche, c’est Mme Aubry (37%) qui fait la course en tête devant M. Valls (20%), M. Ayrault (17%), M. Fabius (14%), M. Bartolone et M. Sapin fermant la marche à 3%. 6% ne se prononcent pas.  Chez les sympathisants de droite, cette fois, c’est M. Valls qui surclasse ses concurrents avec 41% contre 21% pour M. Fabius, 8% pour M. Ayrault, 7% pour M. Bartolone, 4% pour Mme Aubry et 3% pour M. Sapin.

 

Sondage patrons : peu optimistes pour l’économie française en 2014

Sondage patrons : peu   optimistes pour l’économie française en 2014

. Selon une étude (1) du groupe américain Accenture publiée ce vendredi 17 janvier, près de 70% d’entre eux se déclarent optimistes concernant les perspectives de leur propre entreprise pour 2014. Une proportion nettement plus élevée que celle observée lors d’une précédente enquête réalisée en 2009, relève l’étude. Ils font cependant preuve d’une plus grande prudence au sujet de l’avenir de l’économie française puisqu’il ne sont plus que 52% à rester optimistes. En ce qui concerne l’économie mondiale, même si la tendance optimiste reste très modérée (31%), la proportion de pessimistes a néanmoins grandement chuté depuis 2009, pour s’établir aujourd’hui à 15%. Interrogés sur leurs sociétés, plus des trois quarts (78%) des patrons français prévoient une croissance du chiffre d’affaires en 2014 et 74% une hausse de leurs bénéfices. Cette confiance dans leurs performances est même supérieure à celle affichée en moyenne par les patrons interrogés à l’étranger (76 et 71%).De leur avis, ce sont les secteurs de l’énergie, de l’automobile et des produits pharmaceutiques qui devraient le mieux se porter en France cette année, et ceux des services financiers, de l’agriculture et de la défense qui auront la croissance la moins marquée. Tout comme la plupart des dirigeants internationaux, les patrons français entendent concentrer leurs investissements à l’étranger (65%) plutôt que sur le marché domestique (35%). Ils se détournent néanmoins du marché des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) pour se recentrer sur d’autres marchés émergents à plus forte croissance (73%). La confiance dans l’Union européenne est de retour, avec 60% des dirigeants d’entreprise français qui souhaitent y développer leurs investissements, contre seulement 23% qui souhaitent s’étendre aux États-Unis.

 

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