Archive pour le Tag 'pétrole'

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Prix Pétrole: tassement

Prix Pétrole: tassement

 

 Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a perdu 1,31% à 83,73 dollars. 

En cause, un affaiblissement en Chine de la croissance de la deuxième économie mondiale et du premier importateur de brut. La Chine a vu son expansion économique se tasser au deuxième trimestre à 4,7% sur un an contre 5,3% au 1er trimestre, à un rythme bien inférieur aux attentes des analystes, le plus faible depuis deux ans.

Non seulement la hausse du PIB a marqué le pas, mais le secteur immobilier continue «d’être un poids»«le traitement de pétrole brut est tombé en juin au plus bas depuis six mois et la Chine a produit plus de charbon», ont souligné les analystes de Commerzbank Commodities Research. Globalement, le marché continue d’avoir «des capacités de production excessives», ce qui régule les cours et «réduit la volatilité», estime Bill O’Grady.

 

Prix du pétrole : en retrait provisoirement

Prix du pétrole : en retrait provisoirement

 

Les prix du pétrole sont légèrement en retrait pour le premier semestre et pourrait remonter légèrement au second. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, a perdu 1,27% à 84,66 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en août, a baissé de 1,11% à 81,41 dollars.

L’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) relevé son estimation de la demande globale de brut ainsi que son évaluation du prix du baril pour la deuxième partie de l’année, le plaçant à 89 dollars au lieu de 84 dollars en moyenne au premier semestre.

Le pétrole au plus bas depuis trois mois mais le carburant toujours haut !

Le pétrole au plus bas depuis trois mois mais le carburant toujours haut !

 

Le prix du pétrole a diminué de façon significative en quelques mois pourtant le carburant demeure encore un niveau assez élevé exemple 1,73 euros le litre le super

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet a reculé de 0,65%, pour clôturer à 81,36 dollars. Celui de West Texas Intermediate (WTI) américain de même échéance a lui abandonné 0,90%, à 76,87 dollars.

Plus tôt, le Brent était descendu à son plus bas depuis mi-février et le WTI en avait fait autant pour la première fois depuis près de quatre mois.

Environnement-Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

Environnement-Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

 

 Une véritable catastrophe potentielle pour l’environnement avec la perspective d’exploitation d’immenses réserves de pétrole dans l’Antarctique par les Russes et d’autres. D’après le Figaro, Moscou aurait ainsi découvert dans l’Antarctique de gigantesques réserves d’hydrocarbures, représentant pas moins de 511 milliards de barils de pétrole, révèle le quotidien The Telegraph . Les Britanniques s’alarment en premier de cette nouvelle car l’or noir en question se trouverait principalement dans l’Antarctique britannique, une vaste zone inhabitée d’1,7 million de km2 également revendiquée par le Chili et l’Argentine.

Les chiffres sont spectaculaires: le monde entier consomme environ 36 milliards de barils de pétrole par an, d’après l’Energy Institute Statistical Review of World Energy 2023, tandis que le Telegraph rappelle que ces 511 milliards de barils représentent «10 fois la production totale de la mer du Nord sur 50 ans».

Derrière cette découverte se joue finalement l’avenir de ce texte décisif pour le pôle Sud. S’il doit être révisé en 2048, tout État partie peut par ailleurs retirer sa signature et ne plus être soumis aux engagements du traité. «Il n’y aura jamais de moment raisonnable pour extraire des hydrocarbures de l’Antarctique. Toute tentative de [les] exploiter nous fera tous couler», met en garde le professeur Alan Hemmings, commandant de la station British Antarctic Survey pendant la guerre des Malouines entre l’Argentine et le Royaume-Uni en 1982, qui craint que les activités russes, mais aussi chinoises, finissent par rendre le traité caduc.

Les tensions que l’on observe déjà dans l’Arctique pourraient donc trouver leurs pendants de l’autre côté du globe. «Bien qu’elle n’ait aucune revendication territoriale en Antarctique, la Russie, aux côtés des États-Unis et de la Chine, a progressivement renforcé sa présence dans la région ces dernières années à travers diverses campagnes scientifiques, établissant cinq stations de recherche sur le territoire depuis 1957», rapporte ainsi le magazine Newsweek .

 

Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

 Une véritable catastrophe potentielle pour l’environnement avec la perspective d’exploitation d’immenses réserves de pétrole dans l’Antarctique par les Russes et d’autres. D’après le Figaro, Moscou aurait ainsi découvert dans l’Antarctique de gigantesques réserves d’hydrocarbures, représentant pas moins de 511 milliards de barils de pétrole, révèle le quotidien The Telegraph . Les Britanniques s’alarment en premier de cette nouvelle car l’or noir en question se trouverait principalement dans l’Antarctique britannique, une vaste zone inhabitée d’1,7 million de km2 également revendiquée par le Chili et l’Argentine.

Les chiffres sont spectaculaires: le monde entier consomme environ 36 milliards de barils de pétrole par an, d’après l’Energy Institute Statistical Review of World Energy 2023, tandis que le Telegraph rappelle que ces 511 milliards de barils représentent «10 fois la production totale de la mer du Nord sur 50 ans».

Derrière cette découverte se joue finalement l’avenir de ce texte décisif pour le pôle Sud. S’il doit être révisé en 2048, tout État partie peut par ailleurs retirer sa signature et ne plus être soumis aux engagements du traité. «Il n’y aura jamais de moment raisonnable pour extraire des hydrocarbures de l’Antarctique. Toute tentative de [les] exploiter nous fera tous couler», met en garde le professeur Alan Hemmings, commandant de la station British Antarctic Survey pendant la guerre des Malouines entre l’Argentine et le Royaume-Uni en 1982, qui craint que les activités russes, mais aussi chinoises, finissent par rendre le traité caduc.

Les tensions que l’on observe déjà dans l’Arctique pourraient donc trouver leurs pendants de l’autre côté du globe. «Bien qu’elle n’ait aucune revendication territoriale en Antarctique, la Russie, aux côtés des États-Unis et de la Chine, a progressivement renforcé sa présence dans la région ces dernières années à travers diverses campagnes scientifiques, établissant cinq stations de recherche sur le territoire depuis 1957», rapporte ainsi le magazine Newsweek .

 

Pétrole-carburant- Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent était autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent est été autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole-Carburant – Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole-Carburant - Les risques géopolitiques font monter les prix

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Baisse de la demande de pétrole après 2024

Baisse de la demande de pétrole après 2024

 
Le pic de consommation devrait être atteint en 2024 avant la décrue. « La croissance de la demande mondiale de pétrole est actuellement en plein ralentissement et devrait tomber à 1,2 million de barils par jour cette année et à 1,1 million de barils par jour en 2025 », a souligné l’Agence de l’énergie de l’OCDE basée à Paris.

« Le rebond post-Covid étant désormais largement achevé, et les gains d’efficacité des véhicules ainsi que l’expansion du parc de voitures électriques agissant comme des freins supplémentaires à la demande de pétrole, la croissance en 2024 et 2025 ralentit », a ajouté l’Agence.

 

La demande mondiale en or noir devrait, en effet, rester soutenue en 2024, confirme, en effet, l’Opep dans son rapport mensuel publié jeudi. Cette demande « robuste » sera en particulier « tirée par les régions non-membres de l’OCDE », précise l’organisation, citant en premier lieu, la Chine suivie par l’Inde, mais aussi le Moyen-Orient,  la Russie.

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter le prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter le prix

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël et le Hamas. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole : prix soutenus en 2024

Pétrole : prix soutenus en 2024

L’organisation des pays producteurs de pétrole OPEP va continuer d’ajuster sa production à une demande qui ne devrait pas faiblir en 2024 d’après ses prévisions..

On  devrait ainsi consommer 104,5 millions de barils de pétrole par jour (mb/j) en 2024, puis 106,3 mb/j en 2025, après 102,2 mb/j en 2023, selon les projections mensuelles de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Les besoins en consommation de pétrole seront « soutenus par une forte demande pour le transport aérien » et la « bonne santé » du transport routier, ainsi que par les performances des secteurs industriels, de la construction et de l’agriculture dans les pays non-membres de l’OCDE, souligne l’Opep.

Conclusion si ces prévisions se confirment comme l’indique la tendance actuelle, les prix devraient, eux aussi, se maintenir à un haut niveau. Reste cependant que personne ne peut prédire exactement quelle sera l’ampleur réelle de la croissance dans le monde. Une croissance qui affiche un net tassement depuis le début de l’année notamment en raison des risques géopolitiques..

Vin : Des tarifs garantis aussi ?

Vin : Des tarifs garantis aussi ?

Le vin de Bordeaux autrefois débordant de santé s’interroge sur les moyens de régulation pour faire remonter les prix. Des prix en chute libre qui parfois ne dépasse même pas 1000 € pour  900 l. Du coup la profession évoque aussi les idées de tarif et prix garantiss et de revenu minimum à l’hectare.

Théoriquement il est clair qu’il est plus sain de partir d’un prix de production pour aboutir à un tarif de vente. Mais mettre cela en pratique contredit les habitudes commerciales actuelles non seulement françaises mais internationales dans le Bordeaux qui en a  longtemps profité et profite encore pour les très grandes marques.

Il est bien difficile en plus de déterminer un prix qui couvre les coûts de production compte tenu de la diversité de qualité des vins du Bordeaux.

« Pour nous aujourd’hui la réponse à court terme, c’est d’arriver à avoir une évolution législative qui permette effectivement de fixer son prix dit « marche en avant ». On veut pouvoir travailler sur des indicateurs de prix de revient avec des indicateurs de coût de production », expose Lionel Chol à La Tribune, président de Bordeaux Négoce depuis 2016 et directeur général de Ballande France et Associé. On parle de réfléchir à la notion de prix et à la prise en compte des coûts de production. Si on veut aller vite et répondre à cette crise, il faut passer par un arsenal législatif », avise-t-il à La Tribune, alors que l’autorité de la concurrence interdit aujourd’hui de fixer un prix de vente minimum.

Pour arrêter la spirale, l’interprofession mise sur le plan d’arrachage de 8.000 hectares qui se poursuit jusqu’à fin mai, une campagne de distillation et une stratégie de diversification.

La Russie vend gaz et pétrole en Asie

La Russie vend gaz et pétrole en Asie


Les exportations russes s’écroule en Europe mais sont compensées par les ventes en Asie surtout de pétrole et de gaz. Une aubaine par exemple pour l’Inde qui d’ailleurs parfois revend à l’Europe notamment.

Les exportations de marchandises de la Russie vers le Vieux continent l’an passé ont ainsi chuté de 68%, à 78,8 milliards d’euros. Au global, les exportations russes ont diminué de 28,3% par rapport à l’année 2022, selon les douanes russes. Cela illustre, selon les experts, les difficultés persistantes à remplacer ses anciens partenaires européens par de nouveaux clients en Asie, mais aussi en Afrique et en Amérique du Sud.

La balance commerciale russe a, elle, atteint 130 milliards d’euros, en baisse de près de 60% par rapport à 2022.

Mais les exportations russes vers l’Asie ont enregistré une hausse de 5,6% (à 284 milliards d’euros), tandis que les importations en provenance du continent asiatique ont augmenté de 29,2% (à 174 milliards d’euros), toujours selon les douanes russes.

La Chine est donc devenue le principal partenaire économique de Moscou, échangeant ensemble pour un peu plus de 220 milliards d’euros en 2023. Un record, selon les douanes chinoises, qui ont communiqué mi-janvier. Pour la première fois de l’histoire, le montant de yuans conservés dans les banques russes fin 2023 a dépassé celui des dollars, d’après la Banque centrale russe.

Pour rappel, frappée par de lourdes sanctions occidentales depuis fin février 2022, l’économie russe a vu le marché européen se refermer partiellement. Des mesures qui ont surtout affecté les exportations de gaz naturel et de pétrole, manne financière décisive pour la Russie.

La Russie exporte pour 88 milliards son pétrole en Asie

La Russie exporte pour 88 milliards son pétrole en Asie

La Russie vend aujourd’hui 45-50% de son pétrole à la Chine et 40% à l’Inde.
« Si, auparavant, nous fournissions à l’Europe 40 à 45% du volume total des exportations de pétrole et de produits pétroliers, nous nous attendons à ce que ce chiffre ne dépasse pas 4 à 5% d’ici la fin de l’année », A indiqué le vice-ministre de l’énergie dans une interview à la chaîne de télévision russe Rossia 24. De fait la baisse des prix sur le pétrole russe est compensée par une augmentation de la production

« Beaucoup de gens veulent acheter du pétrole et des produits pétroliers russes. Il s’agit de pays d’Amérique latine, de pays africains et d’autres pays de la région Asie-Pacifique », a vanté le vice-Premier ministre de l’Energie.

Selon lui, les recettes pétrolières et gazières de la Russie s’élèveront à près de 9.000 milliards de roubles (environ 88 milliards d’euros) en 2023. Pour rappel, l’industrie des hydrocarbures représente 27% du PIB (produit intérieur brut) de la Russie et leur vente à l’étranger environ 57% des exportations totales du pays, a-t-il ajouté.

La Russie exporte son pétrole en Asie

La Russie exporte son pétrole en Asie

La Russie vend aujourd’hui 45-50% de son pétrole à la Chine et 40% à l’Inde.
« Si, auparavant, nous fournissions à l’Europe 40 à 45% du volume total des exportations de pétrole et de produits pétroliers, nous nous attendons à ce que ce chiffre ne dépasse pas 4 à 5% d’ici la fin de l’année », A indiqué le vice-ministre de l’énergie dans une interview à la chaîne de télévision russe Rossia 24. De fait la baisse des prix sur le pétrole russe est compensée par une augmentation de la production

« Beaucoup de gens veulent acheter du pétrole et des produits pétroliers russes. Il s’agit de pays d’Amérique latine, de pays africains et d’autres pays de la région Asie-Pacifique », a vanté le vice-Premier ministre de l’Energie.

Selon lui, les recettes pétrolières et gazières de la Russie s’élèveront à près de 9.000 milliards de roubles (environ 88 milliards d’euros) en 2023. Pour rappel, l’industrie des hydrocarbures représente 27% du PIB (produit intérieur brut) de la Russie et leur vente à l’étranger environ 57% des exportations totales du pays, a-t-il ajouté.

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