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Pétition contre la viande de cheval

Pétition contre la viande de cheval

Plusieurs artistes et autres personnalités veulent interdire la production et la commercialisation de viande chevaline en France, où elle est consommée en quantité marginale.

Chantal Goya, Laurent Baffie, Francky Vincent ou encore Raphaël Mezrahi veulent ainsi mettre fin à l’hippophagie, le fait de manger du cheval. Pour eux, les humains et les chevaux ont une relation particulière et proche qui devrait l’exclure de la liste des animaux pouvant être abattus.

La chanteuse Fabienne Thibeault, également signataire de la tribune, estime en ce sens: « Je suis très attachée à l’élevage français y compris pour produire de la viande de poulet, de porc ou de bœuf et je le défends. Mais le cheval nous accompagne depuis la nuit des temps et nous avons d’autres viandes à disposition ».

Selon les chiffres de FranceAgriMer, la consommation de viande chevaline a été divisée par huit en 40 ans. En 2022, elle a encore diminué de 26% par rapport à l’année précédente. Au total, moins de 7% des foyers achètent de la viande de cheval alors que la consommation de viande en général continue, elle, d’augmenter.

En 2009, la chambre de l’agriculture britannique a publié les chiffres de production de viande chevaline dans plusieurs pays :

Production de viande comparée
en 20099
Pays Tonnes annuelles
Mexique 78 000
Argentine 57 000
Kazakhstan 55 000
Mongolie 38 000
Kirghizistan 25 000
Australie 24 000
Brésil 21 000
Canada 18 000
Pologne 18 000
Italie 16 000 *
Roumanie 14 000
Chili 10 000
Sénégal 9 500
Uruguay 8 000
France 7 500
Colombie 6 000
Espagne 5 000 *

Pétition en cours pour la destitution de Macron

Pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique: pétition en cours pour la destitution de Macron

Politique: pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement démis .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Politique-Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Politique-Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition en cours pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

Une pétition de 200 médecins pour défendre Didier Raoult

Une pétition de 200 médecins pour défendre Didier Raoult

200 médecins et professionnels de santé exerçant en PACA pour lancer un appel pour soutenir le professeur Raoult attaqué de toutes parts par les caciques de la profession.

 

Au mois de février dernier, les Français découvraient le visage et la voix du Pr Didier Raoult. Sous l’apparence atypique de ce scientifique se révélait alors ce que le monde de la recherche connaissait déjà: un immense chercheur de dimension mondiale, capable de se montrer direct, clair et rassurant. Dans cette première vidéo restée célèbre, Didier Raoult annonçait l’efficacité reconnue de la chloroquine sur le nouveau coronavirus. Nous ne le savions pas, mais c’était le premier des nombreux jalons d’espoir qu’il allait poser tout au long de cette crise.

 

De l’espoir, il en a beaucoup apporté aux Français pendant ces quelques mois. Et nous en avions tous besoin! Depuis, plus de 200.000 personnes ont été dépistées à l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée infection [dirigé par Didier Raoult, NDLR] et dans les hôpitaux de Marseille, ce qui en fait l’une des populations les plus testées au monde.

Boomerang de la convention citoyenne sur le climat : une pétition de 375 000 protestataires

Boomerang de la convention citoyenne sur le climat : une pétition de 375 000 protestataires

 

Le président de la république a reçu comme un boomerang les protestations véhémentes de membres de la fameuse convention citoyenne sur le climat. Les contestataires se sont organisés en association pour protester contre la non-application de leurs propositions. Il faut dire que le chef de l’État s’est pris  les pieds dans le tapis en affirmant qu’il reprendrait sans filtre la quasi-totalité des propositions. En réalité il n’en intégrera que quelques-unes. D’où cette pétition qui a recueilli 375 000 signataires

 

L’objectif: «sauver» la Convention face au gouvernement qui «détricote» et «affaiblit» les mesures formulées. Avec 375.000 signataires à ce jour, l’initiative a déplu au président de la République, «très en colère contre des activistes qui [l’]ont aidé au début et qui disent maintenant, il faut tout prendre».Pour se défendre le chef de l’État a déclaré que les travaux de cette convention citoyenne n’étaient ni la Bible ni le Coran !

Une pétition à Bordeaux contre le maire

Une pétition à Bordeaux contre le maire

L’affaire du sapin de Noël a provoqué la mise en ligne d’une pétition qui a déjà reçu plus de 7000 signatures sur le site change.org,  la pétition «Bordeaux veut garder son sapin de Noël!» . Il ne s’agit sans doute pas seulement d’une protestation concernant l’arbre de Noël mais une réaction plus globale aux propos moralisateurs et sectaires du maire de Bordeaux et de ses collègues écolos qui s’attaquent aux événements populaires  ( fêtes de Noël, football, tour de France etc.) et prônent  une sorte de philosophie punitive qui serait au service du combat écologiste. Pour ces écolos bobos très politisés, en fait des gauchistes, la privation de certaines libertés se trouve légitimée par la cause environnementale. Concernant la suppression de l’arbre de Noël, les réactions ont été assez vives dans la mesure où il s’agit d’un symbole de rassemblement et de joie familiale. En outre le maire de Bordeaux a raconté de grosses bêtises à propos du rapport entre ce sapin et la forêt. En effet, les sapins de Noël constituent une activité économique qui n’a rien à voir avec la forêt naturelle. La quasi-totalité des sapins de Noël sont cultivées uniquement pour l’usage des fêtes de fin d’année et certains peut même être éventuellement replantés. Il ne s’agit donc nullement d’un prélèvement sur la forêt. Ce n’est pas la première fois que ces maires écolos bobos révèlent une  ignorance totale du territoire hors des métropoles. La plupart sont des urbains et n’appartiennent pas par ailleurs aux milieux populaires. Leur position sont d’autant plus radicales qu’ils ignorent les réalités socio-économiques et même environnementales. Il faut évidemment distinguer les verts très politisés de l’ensemble du mouvement associatif, lui, en général très proche des réalités écologiques mais aussi sociales.

L’affaire du sapin de Noël a provoqué la mise en ligne d’une pétition qui a déjà reçu plus de 7000 signatures sur le site change.org,  la pétition «Bordeaux veut garder son sapin de Noël!» . Il ne s’agit sans doute pas seulement d’une protestation concernant l’arbre de Noël mais une réaction plus globale aux propos moralisateurs et sectaires du maire de Bordeaux et de ses collègues écolos qui s’attaquent aux événements populaires  ( fêtes de Noël, football, tour de France etc.) et prônent  une sorte de philosophie punitive qui serait au service du combat écologiste. Pour ces écolos bobos très politisés, en fait des gauchistes, la privation de certaines libertés se trouve légitimée par la cause environnementale. Concernant la suppression de l’arbre de Noël, les réactions ont été assez vives dans la mesure où il s’agit d’un symbole de rassemblement et de joie familiale. En outre le maire de Bordeaux a raconté de grosses bêtises à propos du rapport entre ce sapin et la forêt. En effet, les sapins de Noël constituent une activité économique qui n’a rien à voir avec la forêt naturelle. La quasi-totalité des sapins de Noël sont cultivées uniquement pour l’usage des fêtes de fin d’année et certains peut même être éventuellement replantés. Il ne s’agit donc nullement d’un prélèvement sur la forêt. Ce n’est pas la première fois que ces maires écolos bobos révèlent une  ignorance totale du territoire hors des métropoles. La plupart sont des urbains et n’appartiennent pas par ailleurs aux milieux populaires. Leur position sont d’autant plus radicales qu’ils ignorent les réalités socio-économiques et même environnementales. Il faut évidemment distinguer les verts très politisés de l’ensemble du mouvement associatif, lui, en général très proche des réalités écologiques mais aussi sociales.

Chloroquine -Coronavirus: une pétition de l’ex ministre de la santé Philippe Douste-Blazy avec déjà 200.000 signatures

Chloroquine-Coronavirus: une pétition de l’ex ministre de la santé Philippe Douste-Blazy avec déjà  200.000 signatures

Une pétition lancée par l’ex-ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy, demandant à assouplir les possibilités de prescription de la chloroquine, ce traitement dont l’usage contre le coronavirus provoque de vifs débats, a dépassé les 200.000 signatures dimanche soir, tandis qu’un trio de médecins éminents apportaient leur soutien au Pr Didier Raoult.

La pétition baptisée «#NePerdonsPlusDeTemps», lancée vendredi sur la plateforme Change.org, vise à élargir les traitements à l’hydroxychloroquine des patients atteints du Covid-19, en autorisant leur prescription sans attendre qu’ils soient atteints d’un stade aggravé de la maladie.

Par ailleurs, trois éminents médecins ont recommandé, dans une tribune publiée dimanche soir dans notre édition du Figaro datée lundi, d’appliquer le traitement élaboré par le très médiatisé Pr Didier Raoult, qui prône l’usage de l’hydroxychloroquine dès l’apparition des premiers symptômes du coronavirus.

Le ministre de la Santé Olivier Véran a quant à lui de nouveau appelé samedi à ne pas brûler les étapes, dans un entretien au média en ligne Brut, et a souligné qu’on connaitrait dans les prochains jours les premiers résultats intermédiaires d’études cliniques, qui visent à déterminer si la chloroquine mais aussi «d’autres médicaments prometteurs» sont efficaces quand ils sont pris dès le début de la maladie.

 

Pétition de Que choisir pour supprimer une taxe sur le carburant

Pétition de Que choisir pour supprimer uen taxe sur le carburant

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L’objectif est de supprimer ’une taxe sur une taxe », explique Mathieu Escot, de l’UFC Que Choisir, au micro d’Europe 1. « Aujourd’hui, quand l’automobiliste se rend à la pompe, sur un litre de carburant il y a environ un tiers de prix de matière première et deux tiers de taxes. L’une d’entre elle est une taxe sur la taxe environnementale », précise-il.

Concrètement, sur un litre d’essence, cette taxe sur la taxe représente 14 centimes et 12 centimes sur un litre de diesel. Et pour l’association de consommateurs, cette taxe n’a pas lieu d’exister « car elle ne finance pas la transition énergétique. Il s’agit d’une TVA sur une taxe donc elle est reversée directement dans les caisses de l’Etat », précise l’expert, pour qui il n’y a aucune justification économique ou écologique à l’existence de cette taxe.

L’association de défense des consommateurs avait déjà formulé cette demande au cours du Grand débat, mais n’avait pas été entendue. Elle espère cette fois que la pétition qui accompagnera sa demande permettra d’être entendue.

Pétition pour le climat: François de Rugy, l’écolo soluble dans le productivisme ultralibéral

Pétition pour le climat: François de Rugy, l’écolo soluble dans le productivisme ultralibéral

 

 

Il est clair que la France prononce les plus beaux discours relatifs à la protection de l’environnement y compris au plan international. Dans la pratique, c’est autre chose puisque malheureusement les émissions polluantes continuent d’augmenter en particulier dans les villes dont certaines sont devenues irrespirables. Ce qui par parenthèse n’empêche pas d’ailleurs de continuer de militer pour un univers concentrationnaire dans des supers métropoles ingérables. La pétition en ligne «l’affaire du siècle» pour soutenir un recours en justice contre l’État français pour inaction climatique, lancée par quatre ONG, qui a recueilli environ 2 millions de signatures est une manière de mettre les pieds dans le plat de nos contradictions. Mais la réaction du ministre de la transition économique a été pour le moins surprenante. Une forme de récupération politique très douteuse : « J’ai été agréablement surpris. Je suis heureux que les citoyens s’expriment pour lutter contre le dérèglement climatique », a tout d’abord expliqué François de Rugy avant de critiquer l’objectif même de la pétition : « Une pétition pour le climat, oui je signe. Une pétition pour attaquer l’Etat, non. (…) Les ONG sont dans leur rôle d’aiguillon de l’opinion… Mais ce n’est pas dans un tribunal qu’on va faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. ». Ce n’est sans doute pas non plus ce ministre de l’écologie qui va s’attaquer aux vrais problèmes. Le carriériste de Rudy est en effet passé des différents courants écolos au productivisme néo libéral sans trop d’états d’âme. Son action est à la hauteur de sa popularité. En effet dans le tout dernier sondage, c’est le ministre qui recueille la plus faible cote de confiance avec seulement 12 %. De Rugy c’est le champion de la courtisanerie et de la langue de bois. Bref un écolo caractéristique de ces hommes politiques qui confondent l’intérêt général et leur propre intérêt. Mais de Rugy  ira loin car s’il ne fait preuve d’aucune originalité, s’il est aussi charismatique qu’une planche à repasser par contre rare sont les aspérités susceptibles de contrarier le  pouvoir. Malheureusement, avec lui on ne court pas non plus le risque de voir contrarier la logique de destruction de nos équilibres environnementaux.

Climat : une pétition avec 1,6 million de signatures et après ?

Climat : une pétition avec  1,6 million de signatures et après ?

 

Il faut évidemment se réjouir se réjouir qu’une pétition relative au climat reçoive 1,6 millions de soutiens.  Ceci étant le champ de la pétition est tellement vague qu’il pourra sans difficulté recueillir 10 millions de signatures voire davantage. Tous les Français sont évidemment pour des actions améliorant le climat. Le problème c’est lesquelles. Le climat en effet ne dépend pas seulement des actions françaises. Faut-il rappeler que les émissions polluantes de la France qui influencent le climat représentent 1 % des émissions mondiales. Évidemment ce n’est pas une raison pour ne rien faire et effectivement la France jusque-là s’est montrée beaucoup plus prolifique dans les discours que dans la pratique. Si l’on devait développer les moyens de lutter contre les émissions qui influencent le climat, il est vraisemblable que les O.N.G. à l’initiative de la pétition  soutiendraient de la fiscalité notamment du carburant. Et sur cet objectif le soutien serait nettement moins important que sur une revendication relativement vague. Pourtant, les  ONG considèrent que c’est «une mobilisation d’une ampleur inédite, en un temps record, qui démontre l’évolution de la prise de conscience citoyenne, la soif de justice et la volonté d’actes concrets sur le climat. Et elle ne fait que commencer». Le directeur général de Greenpeace ajoute que «un million de personnes et sans doute plus demandent des comptes à l’État pour son inaction climatique, c’est historique». Pour Jean-François Julliard, «Emmanuel Macron ne peut plus se contenter d’effets de manche sur le climat». De son côté, Cécile Duflot, présidente d’Oxfam France, estime que l’opération «est déjà un événement inédit». «Aucun d’entre nous ne s’attendait à un tel succès et aussi rapidement», a reconnu la directrice d’Oxfam France auprès de l’AFP. Pourtant l’action juridique risque au mieux d’aboutir à une condamnation très symbolique. La vraie réponse est celle d’une transformation du mode de production et de consommation car la fiscalité ne fera qu’enfoncer un peu plus des pauvres qui n’ont pas d’autre choix que d’utiliser les énergies les moins coûteuses. On se heurte la évidemment à la contradiction entre un développement maîtrisé intégrant la protection de l’environnement et la croissance. De ce point de vue là croissance dite verte sera insuffisante pour combler les emplois qui pourraient être supprimés par un changement de type de développement. En clair si on n’est pas capable d’articuler problématiques économiques environnementales et sociales, on court directement à l’échec avec notamment le risque d’un affrontement entre les bobos et les couches populaires. On ne peut que se réjouir des actions de sensibilisation vis-à-vis du climat mais reste à  préciser les modalités et l’acceptabilité par une majorité de citoyens.

 

Compteurs électriques : pétition contre l’arnaque Linky.

Compteurs électriques : pétition contre l’arnaque Linky.

La cour des comptes emploie évidemment un langage plus diplomatique pour critiquer les fameux compteurs intelligents Linky. Une intelligence toutefois relative puisqu’elle ne permettra pas d’accéder à des données de consommation plus détaillée mais autorisera des augmentations de tarifs. À noter surtout le coût de la facture qui sera supportée le moment venu en grande partie pour le consommateur La facture globale s’élève à 5,7 milliards d’euros au total, dont 5,3 milliards d’euros pour Enedis, le solde concernant les distributeurs locaux d’électricité. Le gain prévu pour le consommateur a été évalué à 9,2 milliards d’euros : 5,2 milliards d’euros grâce à un accès à des offres plus concurrentielles liées à un accroissement de la concurrence entre fournisseurs ! 2,3 milliards d’euros correspondant à la valorisation de l’allégement des contraintes pesant sur lui (fin de sa présence obligatoire lors de certaines opérations) ! et 1,9 milliard d’euros liés aux économies de consommation, déduction faite du coût du compteur prélevé sur sa facture. Aussi la Cour des comptes conclut-elle que  le déploiement de Linky à l’échelle nationale pourrait finalement se conclure par un solde nul, voire négatif de – 0,2 milliard d’euros. En fait, le bénéfice sera surtout financier pour Enedis, ce que critique la Cour des Comptes. L’association UFC-Que Choisir a lancé jeudi une pétition appelant les consommateurs à « refuser de payer » pour ces « chers compteurs (130 EUR en France contre 80 EUR en Italie) ». « Vous allez payer 15 euros par an pendant 10 ans pour permettre à Enedis d’installer un compteur communicant pour lequel vous n’avez aucune contrepartie ».

 

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