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Impôts : un petit oubli de 300 000 € pour Éric Dupond-Moretti

Impôts : un petit oubli de 300 000 € pour Éric Dupond-Moretti

 

Juste un petit oubli pour l’actuel ministre de la justice, il ne s’estplus souvenu qu’il fallait déclarer 300 000 € de revenus en 2019. Sans doute parce que cet somme est accessoire pour « l’homme de gauche ».  Le garde des Sceaux a en effet omis de déclarer 300.000 euros de revenus en 2019, selon des révélations des deux médias confirmées par l’entourage du ministre, qui évoque une «erreur» de son ancien comptable, rectifiée depuis.

Une erreur de 300 000 € qui d’une certaine manière caractérise le profil de certains socialistes qui sont à la gauche ce que McDo est à la gastronomie. Bref, la gauche bobo qui a tué le parti socialiste st renvoyé en même temps la plus grande partie de l’opinion française vers la droite.

Tarifs douaniers américains: Un petit geste sur les taxes des importations de France

Tarifs douaniers américains. Un petit geste sur les taxes des importations de France

 

L’administration de Trump mécontente des décisions de l’organisation mondiale du commerce (affaire Boeing–Airbus) qui avait autorisé l’augmentation de tarifs douaniers sur les importations en provenance des États-Unis avait décidé de taxes spécifiques notamment sur les produits français comme par exemple le vin .

La même administration en signe d’apaisement vient de décider l’annulation de cette taxe de rétorsion américaine.

Le bureau du représentant américain au commerce (USTR) a déclaré que les droits de douane de 25% sur les importations de produits français, qui sont évalués à environ 1,3 milliard de dollars par an et devaient entrer en vigueur mercredi, seraient suspendus indéfiniment.

Washington avait annoncé les tarifs en juillet après qu’une enquête américaine ait montré qu’une taxe française sur les services numériques (DST) avait injustement distingué des entreprises américaines telles que Google, Facebook, Apple et Amazon.

La France et d’autres pays considèrent les taxes sur les services numériques comme un moyen d’augmenter les revenus des opérations locales des grandes entreprises technologiques qui, selon eux, profitent énormément des marchés locaux tout en ne contribuant que de manière limitée aux caisses publiques.

L’USTR a déclaré que la suspension de l’action contre la France permettrait à Washington de poursuivre une réponse coordonnée dans 10 enquêtes sur des taxes similaires en Inde, en Italie, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays. Il n’a donné aucun calendrier pour de nouvelles mesures.

Les dirigeants européens et les groupes industriels ont bien accueilli cette nouvelle, affirmant que cela donnerait plus de temps pour que les discussions sur une solution fiscale mondiale portent leurs fruits.

« Le représentant américain au commerce a décidé de suspendre les tarifs à la lumière de l’enquête en cours sur des DST similaires adoptés ou à l’étude dans dix autres juridictions », a déclaré l’agence dans un communiqué, ajoutant qu’elle n’avait pas encore déterminé d’éventuelles actions commerciales dans les autres cas. .

Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré que les tarifs n’auraient de toute façon pas été «légitimes» selon les règles de l’OMC et a redoublé son appel à une solution mondiale.

« Les différends commerciaux entre les États-Unis et l’Europe … ne feront que des perdants, en particulier en cette période de crise », a-t-il déclaré.

Le commissaire européen chargé du commerce, Valdis Dombrovskis, a souligné la volonté de Bruxelles de travailler sur une solution globale pour une taxation équitable du secteur.

«L’UE est prête à explorer toutes les options si les États-Unis appliquent unilatéralement ces mesures commerciales», a-t-il déclaré.

Le sursis donne au président élu Joe Biden et à sa candidate au poste de tsar du commerce, Katherine Tai, le temps de travailler avec la France et d’autres pays pour trouver une solution multilatérale, a déclaré la Coalition of Services Industries.

Un petit geste financier pour la médecine de ville

Un petit geste financier pour la médecine de ville

Dans le cadre du budget de la Sécurité sociale (PLFSS), actuellement examiné en première lecture au Sénat, Olivier Véran a donc accordé lundi 300 millions d’euros supplémentaires à la ville (sur les 12,5 milliards de dépenses supplémentaires prévues dans le budget. Les médecins vont percevoir 46 à 76 euros pour le prélèvement et l’analyse des tests antigéniques au cabinet ou au domicile du patient symptomatique.

Ils ont également obtenu la prolongation de plusieurs mesures dérogatoires, dont une majoration d’urgence accordée pour chaque visite en Ehpad et – mesure très prisée par la profession – la téléconsultation prise en charge intégralement par l’Assurance-maladie, en particulier par téléphone.

Mais d’après le Dr Jean-Paul Ortiz, président « amer et en colère » du syndicat médical CSMF : « Sur les 12,5 milliards de dépenses supplémentaires prévues dans le PLFSS pour l’année prochaine, 300 millions d’euros sont consacrés à la hausse de la rémunération de l’ensemble des professionnels de ville, soit 400 000 soignants. Comparé aux milliards octroyés à l’hôpital, c’est dire le degré de considération du gouvernement pour nous ! » La centrale syndicale a claqué mi-octobre la porte de la Caisse nationale d’assurance-maladie, sans l’intention de revenir sur ses pas.

 

Croissance Japon: petit rebond de la production industrielle en juin

  • Croissance Japon: petit rebond de la production industrielle en juin
  • Un petit rebond de seulement de 1,9% de la production industrielle en juin sur un mois, a annoncé lundi le gouvernement, une reprise moins vive que lors de la première estimation fin juillet (+2,7%). Les expéditions de produits manufacturés japonais ont elles aussi été revues en hausse moins forte que prévue (+4,8% sur un mois au lieu de +5,2%), selon des données du ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie (Meti). Le repli des stocks est conforme à la première estimation, à -2,4%.
  • Ce retour à la croissance de la production industrielle met fin à quatre mois d’affilée de déclin entre février et mai, la plus longue série négative dans l’Archipel depuis 2012. En avril, la production industrielle nippone avait connu sa pire chute (-9,8%) depuis la triple catastrophe du séisme, tsunami et accident nucléaire de Fukushima en mars 2011.
  • Les secteurs de l’automobile, des machines-outils et des produits plastiques ont principalement contribué à la remontée de la production en juin, avait expliqué fin juillet le Meti.

Croissance États-Unis : un très petit rebond des ventes au détail

Croissance États-Unis : un très petit rebond des ventes au détail

 

 

Comme l’avait indiqué le fonds monétaire international et la banque fédérale américaine, la reprise de l’économie tend à se tasser aux États-Unis. Ce que conteste par ailleurs Trump et son gouvernement  Selon les projections de la réserve fédérale américaine, le produit intérieur brut devrait chuter cette année de 6,5%.

Ces  prévisions contredisent les déclarations de l’administration Trump, qui pense que la situation reviendra vite à la normale. L’an prochain, l’économie devrait rebondir de 5% mais ne retrouvera pas son niveau d’avant la crise. Le chômage, lui, devrait s’installer et finir l’année à 9,3%. Le petit rebond des ventes au détail aux Etats-Unis confirme que la remontée sera difficile.

En effet les ventes au détail ont progressé de 1,2% le mois dernier après une croissance de 8,4% en juin, montrent les données publiées vendredi par le département du Commerce. Les économistes interrogés par Reuters attendaient pour juillet une hausse de 1,9%.

Le coronavirus continue de se propager aux Etats-Unis, forçant certains Etats à imposer de nouvelles restrictions qui pèsent sur la consommation. Les ventes au détail souffrent également de la baisse des indemnités de chômage pour les millions d’Américains qui ont perdu leur emploi à cause de la crise sanitaire.

Petit rebond du commerce chinois

Petit rebond du commerce chinois

Un rebond des exportations pour la première fois de l’année, de 3,5% sur un an en avril contre une contraction de 15,7% attendue par les économistes et un déclin de 6,6% en mars.

“Malgré la hausse des actions, nous continuons d’être prudents à court terme. Les marchés semblent surestimer la vitesse de la reprise économique”, a déclaré Luca Paolini, responsable de stratégie chez Pictet.

Les investisseurs restent par ailleurs sur leurs gardes face au risque d’aggravation des relations entre Washington et Pékin. D’après l’agence Bloomberg, les deux pays devraient discuter la semaine prochaine des progrès dans la mise en oeuvre de la première phase de l’accord commercial que Donald Trump a menacé d’annuler si Pékin ne respectait pas ses engagements.

Croissance Etats -Unis: petit rebond technique

Croissance Etats -Unis: petit rebond technique

Comme dans la plupart des zones économiques, l’industrie américaine  s’inscrit dans une tendance baissière qui traduit la mollesse de la demande. Aux États-Unis cependant un peu de petit rebond s’est produit en janvier mais un rebond de nature plutôt technique et de faible ampleur. Certains opérateurs anticipant des éventuels modifications des relations commerciales entre les États-Unis et la Chine. Sur le moyen terme, la tendance est cependant mal orientée surtout avec le développement du virus chinois qui va porter atteinte aussi  bien à la Chine qu’aux États-Unis dont les économies sont très imbriquées. Notons qu’il y aura aussi des effets négatifs pour les autres zones géographiques : le Japon par exemple durement frappé par l’affaiblissement de l’activité chinoise et dont la croissance est tombée dans le rouge. Aux Etats-Unis, l’indice ISM manufacturier traduit un retour inattendu à la croissance de l’activité en remontant à 50,9, son plus haut niveau depuis juillet, après 47,8 en décembre. Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un chiffre de 48,5 seulement.

Cette bonne surprise l’a largement emporté sur l’annonce d’une baisse des dépenses de construction en décembre, la première depuis juin, permettant aux actions américaines d’amplifier leur rebond.

“L’accord commercial de ‘phase un’ entre les Etats-Unis et la Chine a dissipé une partie des nuages noirs qui pesaient sur le secteur”, explique ING. “Malheureusement, cette bonne nouvelle pourrait être de courte durée car les inquiétudes liées au coronavirus commencent à assombrir l’horizon.”

En Europe, les résultats définitifs des enquêtes mensuelles d’IHS Markit auprès des directeurs d’achats du secteur manufacturier montrent que la contraction de l’activité industrielle s’atténue, le PMI sectoriel pour la zone euro remontant à 47,9.

Villani, candidat libre, le vilain petit canard de LREM

Villani, candidat libre, le vilain petit canards de LREM

 Il y a évidemment quelque chose de surréaliste dans la décision de Stanislas Guerini d’exclure Cédric Villani de la république en marche. D’abord personne ne connaît Stanislas Guerini qui est supposé diriger un parti qui n’existe pas. En outre un délégué  général qui manifeste autant de charisme qu’  une limande . Guerini  n’a pas fait preuve depuis sa nomination de la moindre personnalité, de la moindre créativité et du moindre courage. Bref,  un oligarque placés là par Macron pour contrôler de façon stalinienne un pseudo parti. Notons d’ailleurs que les principaux responsables de la république en marche ont été auto désignés. Et pour cause, les structures locales ou régionales n’existent pas et où n’ont aucun pouvoir politique. La république en marche,  c’est un peu le parti communiste des années 50 avec les militants en moins et les courtisans en plus. Il y a une grande différence entre Cédric Villani qui, lui, a une vraie stature internationale, une reconnaissance mondiale, une vraie spécialité professionnelle tandis que  Stanislas Guerini q n’a jamais réussi grand chose. Prudent d’ailleurs, l’intéressé s’aventure peu sur la scène médiatique tellement il est transparent autant qu’inutile

 Le scientifique “n’est plus adhérent” de LaRem, a donc dit lundi sur Radio Classique le délégué général du parti, Stanislas Guerini, anticipant une exclusion qui sera discutée mercredi en bureau exécutif.

Cédric Villani avait acté dimanche à l’issue de l’entretien avec Emmanuel Macron une “divergence majeure” et dit son choix de briguer la mairie de la capitale en “toute indépendance”, en bâtissant une “coalition pour le climat”, sans rejoindre le candidat investi par LaRem, Benjamin Griveaux.

A pied, en métro, en auto ou en Vélib’, le scientifique de 46 ans va donc poursuivre sa campagne au pas de course, multipliant déplacements et contacts, des écologistes aux radicaux, sans céder aux sirènes qui l’invitent à renoncer. Un sondage Odoxa-CGI pour Le Figaro publié dimanche le place à 10% – le seuil pour qu’une liste passe au deuxième tour -, à six points derrière Benjamin Griveaux. L’écart était de deux points dans une enquête Ifop pour Le Journal du Dimanche du 19 janvier.

Dans le sondage Odoxa, le candidat Europe Ecologie-Les Verts David Belliard est à 14,5%. Un émiettement qui profite à la maire sortante Anne Hidalgo, en tête à 23%, devant l’ancienne ministre Les Républicains Rachida Dati, 20%.

Les prochains sondages diront si la mise à l’écart de Cédric Villani lui profitera ou pas. De l’avis d’une militante, cet acte d’autorité trahit les idéaux d’un mouvement né en 2016 autour de l’idée “macroniste” de bâtir au-delà des clivages partisans d’un monde alors jugé dépassé.

“On passe, comme ça, du rassemblement à l’exclusion en trois ans ?”, a-t-elle dit à Reuters. “Exclure Cédric Villani, c’est exclure la moitié des militants En Marche de Paris.”

Parlement- Royaume-Uni : le petit Trump, Boris Johnson, condamné par la justice

Parlement- Royaume-Uni : le petit Trump,  Boris Johnson, condamné par la justice  

 

C’est bien une claque spectaculaire que vient de prendre Boris Johnson de la part de la cour suprême qui a condamné la mise en congé du Parlement décidée par le Premier ministre. Boris Johnson se trouve encore un peu plus acculé car le Parlement va reprendre aujourd’hui ses travaux et ne va pas lui faciliter pour le  projet irresponsable de Brexit  dur c’est-à-dire sans accord. Le Parlement a d’ailleurs tranché dans ce sens et un décret a été signé par la reine. Ne resterait alors que la possibilité d’élections. Pas sûr cependant que les parlementaires soient très enthousiastes car le risque pour eux c’est d’être non réélus. En outre sur le fond,  de nouvelles élections entraîneraient de facto un report de la date de mise en application du Brexit  car les délais seraient alors  record trop courts pour permettre un nouvel accord d’ici le 31 octobre  entre le Royaume-Uni et l’union européenne. Les onze juges de la cour suprême ont donc estimé à l’unanimité que la demande faite à la reine par Boris Johnson de suspendre le Parlement pendant cinq semaines était « illégale, nulle et sans effet ». « La décision de conseiller à Sa Majesté de suspendre le Parlement était illégale, car elle empêchait le Parlement de s’acquitter de ses fonctions constitutionnelles sans justification raisonnable », a déclaré Brenda Hale, la présidente de la Cour suprême. Celle dont tout le pays a appris, mardi, à connaître le visage a ajouté que « le Parlement n’a pas été suspendu » et ­devait donc à nouveau siéger « dès que possible ». Le sémillant président de la Chambre des communes, John Bercow, a annoncé que l’institution rouvrirait ses portes dès ce mercredi matin.

Boris Johnson justifiait sa décision par la nécessité de préparer sereinement sa politique gouvernementale, qui doit être présentée par la reine lors du traditionnel discours du Trône, le 14 octobre. Ses opposants l’accusaient d’autres motivations, très politiques : museler le Parlement pour l’empêcher de se mettre en travers de la route d’un Brexit sans accord. Plusieurs actions en justice avaient été lancées contre la décision de Boris Johnson, en Écosse et à Londres notamment. C’est ainsi que la militante anti-Brexit Gina Miller, à l’origine d’un des recours, fait plier une deuxième fois le gouvernement. En 2017, elle avait déjà forcé Theresa May à solliciter le vote du Parlement sur le déclenchement du Brexit. « Les députés doivent être courageux et demander des comptes à ce gouvernement sans scrupule », a-t-elle déclaré mardi, laissant entendre que les élus pourraient monter plus hardiment au front…

 

L’Oréal : un petit retard d’impôt de 320 millions

L’Oréal : un petit retard d’impôt de 320 millions

 

 

Un petit retard d’impôt de 320 millions régularisé par l’OREAL. Cela dans le cadre d’un accord avec Bercy qui ne veut pas déstabiliser l’une des principales entreprises françaises ; Il y a d’ailleurs peu de chances ; L’Oréal a annoncé un bénéfice net de 3,89 milliards d’euros en 2018, une hausse de 8,8% sur un an, ainsi qu’un nouveau record de rentabilité, grâce au dynamisme de ses divisions haut de gamme L’Oréal Luxe et Cosmétique Active.

La marge d’exploitation du géant mondial des cosmétiques a atteint 18,3% l’an dernier, dépassant son précédent record de 18% en 2017. Ses ventes annuelles ont totalisé 26,9 milliards d’euros, légèrement meilleures que prévu et représentant une croissance de 7,1% à taux de change et périmètre constants, soit leur plus forte progression annuelle depuis 2007.C’est donc en toute quiétude que  l’Oréal a annoncé vendredi avoir conclu un accord avec le fisc français à qui le groupe versera 320 millions d’euros pour résoudre un différend qui concernait le paiement de l’impôt sur les sociétés de trois de ses filiales pour la période 2014 à 2018.

 

Ce montant représente une charge annuelle de près 65 millions pour la période en question, a dit l’Oréal dans un communiqué.

“Ces charges seront comptabilisées en éléments exceptionnels sur l’exercice 2019, et il n’y aura pas d’impact récurrent significatif sur le futur”, ajoute le numéro un mondial des cosmétiques.

Moral des ménages : un tout petit mieux en zone euro

Moral des ménages : un tout petit mieux en zone euro

 

On est loin de l’euphorie des ménages en zone euro même si on constate un tout petit mieux. En effet l’indice de confiance du consommateur dans la zone euro a seulement augmenté de 0,6 point de pourcentage en septembre à -6,5 après -7,1 en août, montre vendredi la première estimation publiée par la Commission européenne.

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient un indice à -7,0.

Pour l’ensemble de l’Union, cet indicateur ressort à -6,4, là encore en hausse de 0,6 point d’un mois sur l’autre.

 

On juge Sarkozy ou le petit trafiquant Paul Bismuth ?

On juge Sarkozy ou le petit trafiquant Paul Bismuth ?

 

 

 

Même si les faits pour tentative de corruption concernant Nicolas Sarkozy sont minces par compte la matérialité du téléphone loué par Monsieur Paul Bismuth est-elle indiscutable. Or on voit mal pourquoi ce citoyen lambda, Paul Bismuth, aurait eu intérêt à se renseigner sur l’avancée des procédures aussi bien dans l’affaire des écoutes, que du financement libyen ou de celui de mémé Betancourt. Peut-être s’agit-il même d’une simple curiosité ? pourquoi reprocher  à Nicolas Sarkozy d’avoir utilisé un faux nom pour la location d’une ligne téléphonique ? Dans les banlieues notamment chez les trafiquants, des centaines voire des milliers de téléphones, sont utilisés par de faux noms. De là à penser que Nicolas Sarkozy était au faît de ces combines de banlieue il y a un pas que le tribunal a franchi. Mais alors quel trafic ?  pas des barrettes de haschisch, peut-être des voix, en plus des voix célestes ? S’il y a un coupable dans cette affaire ce n’est pas Sarkozy mais Paul Bismuth qui mérite évidemment la pendaison en place de Grève. Nicolas Sarkozy devrait au contraire être distingué par Macron dont il est tellement proche et qu’il se répand en compliments « : il est encore meilleur que moi » a-t-il déclaré. Il mériterait la Légion d’honneur que distribue tellement facilement Macron. Le problèm,e il l’a déjà.- Pour satisfaire des opinions très contradictoires sur cette affaire , on pourrait condamner Paul Bismuth aux travaux forcés, inversement accorder la médaille de la résistance judiciaire à un Sarkozy véritable victime expiatoire d’un système juridique qui se réveille pour terrasser les victimes déjà à terre. ( toujours avec un quinquennat au moins de retard).

Macron : petit mea culpa

Macron : petit mea culpa

L’introspection ne semble pas ne semble pas constituer  l’exercice favori de Macron qui visiblement à du mal à se remettre réellement en cause. Le président de la république a certes présenté rapidement ses les excuses pour sa dureté mais immédiatement en affirmant qu’il n’y avait rien à remettre en cause depuis deux ans et que le cap serait maintenu.

 « Faudrait tout arrêter de ce qui a été fait depuis deux ans ? », a interrogé Emmanuel Macron devant les médias, jeudi soir. « Je me suis posé la question : est-ce qu’on a fait fausse route ? », a reconnu le chef de l’Etat lors de sa conférence de presse organisée à l’issue du grand débat national. « Je crois tout le contraire », a-t-il poursuivi, avant de reconnaître avoir pu paraître « dur », à titre personnel.  « Je pense très profondément que les orientations prises au cours de ces deux premières années ont été justes », a détaillé le président, estimant que les « transformations » impulsées « ne doivent pas être arrêtées ». « Je crois que ces fondamentaux doivent être préservés, poursuivis et intensifiés », a poursuivi Emmanuel Macron. « Au moment même où nous vivons cette crise, nous créons des emplois », a-t-il souligné. « En ce moment même, notre croissance est supérieure à celle de bien des pays voisins. »(Par parenthèse grâce notamment à l’injection d’une dizaine de milliards dans la consommation suite au mouvement des gilets  jaunes !). Une excuse un peu contradictoire à propos d’une critique trop dure mais qu’il va continuer ; avec toutefois quelques mots pour les gilets jaunes. Emmanuel Macron a cependant salué les « justes revendications » portées par les « gilets jaunes », qui ne doivent pas être « occultées par les violences de quelques-uns ». Pendant les trois mois de grand débat, il a dit avoir entendu « un profond sentiment d’injustice : injustice fiscale, injustices territoriales, injustice sociale », sentiment qui est « installé ». Mais aussi « sentiment de manque de considération », notamment de la part des « élites, toutes les élites », et lui-même « au premier chef », a-t-il dit. À titre personnel, le président de la République a dit « regretter » d’avoir pu paraître « dur ».  « L’impatience, l’exigence que j’ai avec moi-même, que j’ai avec les membres du gouvernement, je l’ai un peu eue avec les Français. Le sentiment que j’ai donné, c’était une forme d’injonction permanente, d’être dur, parfois injuste. Ça, je le regrette. D’abord parce que ce n’est pas ce que je suis profondément et parce que je pense que ça n’a pas aidé à la cause », a déclaré le chef de l’État qui visiblement un rapport ambigu à l’introspection.

Un « petit » geste de Paris pour Carlos Ghosn

Un petit geste de Paris pour Carlos  Ghosn

Dans l’affaire Carlos Ghosn, il est clair que le gouvernement a fait preuve d’une grande lâcheté. En effet si l’intéressé n’est pas exempt de critiques et qu’il a pu comme nombre d’autres grands patrons confondre la caisse de l’entreprise avec son propre portefeuille, il n’empêche que le traitement dont est victime au Japon constitue un scandale au regard des critères normaux de la justice. Sans doute faut-il voir la le résultat de relations qui ont toujours été exécrables entre Carlos Ghosn et Macon. Cependant l’enjeu n’est pas la. En effet pour le Japon il ne s’agit d’une entreprise d’une opération pour japonais et Nissan dont Renault et l’actionnaire principal. Devant cette attitude assez indigne du gouvernement français, le ministre des affaires étrangères vient de faire le minimum syndical ou plutôt en l’occurrence le minimum diplomatique en rappelant à son collègue japonais que la France était attachée au respect de la présomption d’innocence. On ne pouvait évidemment faire moins. “J’ai évidemment évoqué le cas de M. Carlos Ghosn avec mon collègue Taro Kono”, a-t-il dit lors de la conférence de presse de clôture de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 à Dinard (Ille-et-Vilaine).“Je lui ai dit deux choses : d’abord que la France respectait totalement la souveraineté et l’indépendance de la justice japonaise et j’ai rappelé aussi notre attachement au respect de la présomption et à la pleine application de la protection consulaire”, a-t-il ajouté. Quelques heures avant son arrestation, Carlos Ghosn a demandé l’aide du gouvernement français lors d’une interview à TF1 et LCI. Le patron déchu, qui clame son innocence, avait été remis en liberté le 6 mars contre le versement d’une caution de neuf millions de dollars après 108 jours passés en détention. Les procureurs japonais soupçonnent l’ex-dirigeant franco-libano-brésilien d’avoir violé ses obligations professionnelles et d’avoir causé à Nissan des pertes financières de cinq millions de dollars (4,45 millions d’euros) entre décembre 2015 et juillet 2018.

Retraite : un tout petit geste de Macron ?

Retraite : un tout petit geste de Macron ?

 

Le pouvoir prépare l’opinion à des mesures cosmétiques suite au grand débat. Ainsi plusieurs responsables ont-ils évoqué la possibilité d’une petite mesure en faveur des petites retraites. En gros ce qui est visé, c’est une vraie indexation peut-être de ses retraites sur le coût de la vie. Visiblement le pouvoir n’a pas compris que cette question des retraites est centrale dans le mouvement des gilets jaunes et le mécontentement social en général. En effet en aucune circonstance Macron dans son programme électoral n’avait indiqué qu’il s’en prendrait aux retraités. Il avait même affirmé exactement le contraire. En outre le fait de s’attaquer aux pouvoir d’achat des retraités constitue un déni de démocratie tant que la réforme des retraites n’a pas été complètement élaborée et adoptée. Cette mesure est à mettre en parallèle avec les 40 milliards accordés sans aucune contrainte aux grandes entreprises et aux cadeaux fiscaux aux plus aisés. Certes on comprendra qu’il faille sans doute améliorer la compétitivité des entreprises, pour cela alléger la fiscalité encore faudrait-il assigner des objectifs, mettre en place des mesures d’évaluation et cibler les secteurs qui sont effectivement menacés par la compétitivité internationale. Or dans l’opération des secteurs comme la poste ont bénéficié de l’allégement fiscal !  Cette injustice fiscale est au cœur de la crise sociale mais Macron veut s’en sortir avec des mesurettes. Emmanuel Macron a en effet estimé vendredi que le “grand débat” lancé pour désamorcer la crise des “Gilets jaunes” devait déboucher sur un geste en direction des petites retraites. “Je ne vois pas comment on sort de ce ‘grand débat’ sans apporter une réponse à ces retraites contributives modestes, parce que ça nourrit le ressentiment des classes moyennes dans notre pays”, a dit le président français devant des élus des Hauts-de-France, à l’Elysée. “Il faut qu’on trouve la ressource pour pouvoir contribuer à cela, moi j’y suis favorable, je veux apporter une réponse à ce sujet. Je pense que ça doit faire partie de nos réponses de sortie de crise”, a-t-il ajouté. “On ne peut pas se dérober devant cela.” Des mots, des mots, des mots. Comme d’habitude

 

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