Archive pour le Tag 'pessimistes'

Croissance en berne, la BCE doit encore baisser ses taux

Croissance en berne, la BCE doit encore baisser ses taux

 

Alors que l’inflation se tasse pour être nettement en dessous de 2 % dans l’union européenne, la banque centrale fait encore un pas et diminue ses taux d’intérêt pour  soutenir une croissance de plus en plus atone (Moins de 1 % en moyenne sur l’année) et des perspectives pessimistes.

 

Comme attendu, la Banque centrale européenne (BCE) a abaissé jeudi ses taux d’intérêt, pour la troisième fois depuis le mois de juin où elle avait mis fin à son resserrement monétaire. Elle réduit son taux de dépôt, qui sert de référence pour les conditions de crédit dans l’économie, de 25 points de base à 3,25 %. Et elle reconnaît ainsi que l’inflation pourrait se stabiliser autour de son objectif de 2 % plus rapidement que prévu, avant la seconde partie de 2025.

L’inflation dans la zone euro a ralenti à 1,7 % le mois dernier. C’est son plus bas niveau en trois ans et cette chute, plus forte que prévu, fait reculer l’inflation en dessous de l’objectif à moyen terme de la BCE.

Sondage situation économique du pays:86 % pessimistes

 Sondage situation économique du pays:86 % pessimistes

Selon le  baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos, 86% se montrent ainsi pessimistes sur la situation économique du pays, 81% sur la situation économique mondiale, et 70% sur leur propre situation économique. Tous ces scores sont en hausse.
Au final, 71% des Français s’attendent à voir leur pouvoir d’achat se détériorer dans les mois qui viennent. Et 57% estiment que le front de l’emploi est désormais également menacé. Décidément, l’hiver s’annonce rugueux. si le pouvoir d’achat reste la principale préoccupation des Français (cité à 50%), deux autres facteurs grimpent en flèche lors de cette rentrée : l’avenir du système social, qui progresse de 3 points en un mois (à 44%), et le niveau de la dette et des déficits, qui gagne 4 points à 29%. Pour cette dernière préoccupation, désormais largement au cœur de l’actualité, la progression en l’espace de dix mois est vertigineuse. En janvier dernier, le niveau de la dette et des déficits ne recueillait qu’un score de 12% dans le classement des préoccupations. Un véritable dérapage.

Sur le front de la maîtrise de la dette justement, le gouvernement Barnier part avec un niveau de confiance très faible. Au total, 68% des Français indiquent avoir « plutôt pas confiance » ou « pas du tout confiance » sur la capacité du nouveau gouvernement à maîtriser le niveau des déficits. Dans la même veine, ils sont 76% à avoir « plutôt pas confiance » ou « pas du tout confiance » concernant cette fois l’amélioration du pouvoir d’achat. Le message est clair : sur le front économique, la période de grâce politique n’existe plus.

Les Français les plus pessimistes sur l’Europe

Les Français les plus pessimistes sur l’Europe
Selon une enquête Eurobaromètre publiée ce mercredi, les Français se distinguent par leur pessimisme sur l’Union européenne. Ils font partie de ceux ayant le moins confiance quant à l’avenir du bloc et à en avoir une image négative. Les citoyens français sont en effet les seuls où les optimistes sont minoritaires (42%), dépassés par les pessimistes (52%), les champions de la confiance étant le Danemark, l’Irlande et la Lituanie.

Cette tendance semble d’ailleurs avoir gagné du terrain ces dernières années. En effet, 52% des Français étaient, selon un sondage de fin 2020, « très » ou « plutôt » optimistes sur l’avenir (contre 44% de pessimistes). En Allemagne, l’optimisme décroît aussi par rapport à 2020, mais il reste tout de même majoritaire (60% aujourd’hui contre 72% il y a quatre ans).

 

Les Français sont aussi plus nombreux que la moyenne européenne à avoir une image négative de l’UE, comme notamment les Autrichiens et les Tchèques, et à penser que son rôle dans le monde est devenu « moins important » ces dernières années. Idem pour le Parlement européen : si son image est positive pour 41% des Européens, elle ne l’est que pour 27% des Français. Cette institution clé de l’UE recueille même une opinion défavorable de 28% des Français (18% des Européens).

 

Ce pessimisme des Français n’est toutefois pas uniquement ciblé contre l’UE. Si 65% d’entre eux pensent que « les choses vont dans la mauvaise direction dans l’UE » (contre 49% des Européens en moyenne), ils sont encore plus nombreux (76%) à penser qu’elles vont dans la mauvaise direction en France. Ils expriment en outre une inquiétude plus forte que la moyenne des Européens sur l’évolution de leur niveau de vie personnel : ils sont 69% à estimer qu’il a baissé ces cinq dernières années (contre 45% en moyenne dans l’UE). Et ils sont 53% à penser qu’il va baisser dans les cinq prochaines années (contre 32% au niveau européen).

 

Crise sociétale –Les Français les plus pessimistes d’Europe

Crise sociétale –Les Français les plus pessimistes d’Europe

Les Français paraissent conscient du délitement de la société dans de nombreux aspects économiques, sociaux et sociétaux. Pour preuve, un nouveau sondage révèle l’extrême pessimisme des Français comparés à celui des autres pays de l’Europe. Un sondage qui sans doute caractérise le mécontentement relatif à l’union européenne mais sans doute tout autant et même davantage le mécontentement pour les questions purement hexagonales. Dans la perspective des élections européennes de 2024, tous les Européens sont majoritairement optimistes… sauf les Français.

L’Eurobaromètre, publié régulièrement par les institutions européennes, se base sur 26 523 entretiens réalisés entre le 25 septembre et le 19 octobre auprès d’une population européenne âgée de 15 ans et plus dans les 27 Etats membres. Dans le détail, les Danois et les Irlandais sont les plus confiants, avec 83% de « très » ou « plutôt » optimistes. Cette proportion est de 58% pour les Allemands, 55% pour les Hongrois. Elle tombe sous la barre des 50% dans un seul pays, la France, où les sondés ne sont que 46% à se dire optimistes, dépassés par les pessimistes (49%).

Sur l’ensemble des 27 pays de l’UE toutefois, 48% des sondés estiment que « les choses vont dans la mauvaise direction » dans l’UE (contre 33% l’inverse). Mais 61% des personnes interrogées considèrent que l’adhésion de leur pays à l’UE est une bonne chose – une proportion à peu près stable par rapport à septembre 2018. Et quelque 70% des Européens estiment que les actions de l’UE ont « un impact sur leur vie quotidienne ». Un peu plus de la moitié (53%) pense que l’invasion russe de l’Ukraine doit être l’occasion d’accélérer l’élargissement de l’UE.

Société–Les Français les plus pessimistes d’Europe

Société–Les Français les plus pessimistes d’Europe

Les Français paraissent conscient du délitement de la société dans de nombreux aspects économiques, sociaux et sociétaux. Pour preuve, un nouveau sondage révèle l’extrême pessimisme des Français comparés à celui des autres pays de l’Europe. Un sondage qui sans doute caractérise le mécontentement relatif à l’union européenne mais sans doute tout autant et même davantage le mécontentement pour les questions purement hexagonales. Dans la perspective des élections européennes de 2024, tous les Européens sont majoritairement optimistes… sauf les Français. L’Eurobaromètre, publié régulièrement par les institutions européennes, se base sur 26 523 entretiens réalisés entre le 25 septembre et le 19 octobre auprès d’une population européenne âgée de 15 ans et plus dans les 27 Etats membres. Dans le détail, les Danois et les Irlandais sont les plus confiants, avec 83% de « très » ou « plutôt » optimistes. Cette proportion est de 58% pour les Allemands, 55% pour les Hongrois. Elle tombe sous la barre des 50% dans un seul pays, la France, où les sondés ne sont que 46% à se dire optimistes, dépassés par les pessimistes (49%).

Sur l’ensemble des 27 pays de l’UE toutefois, 48% des sondés estiment que « les choses vont dans la mauvaise direction » dans l’UE (contre 33% l’inverse). Mais 61% des personnes interrogées considèrent que l’adhésion de leur pays à l’UE est une bonne chose – une proportion à peu près stable par rapport à septembre 2018. Et quelque 70% des Européens estiment que les actions de l’UE ont « un impact sur leur vie quotidienne ». Un peu plus de la moitié (53%) pense que l’invasion russe de l’Ukraine doit être l’occasion d’accélérer l’élargissement de l’UE.

Les Français les plus pessimistes d’Europe

Les Français les plus pessimistes d’Europe

Les Français paraissent conscient du délitement de la société dans de nombreux aspects économiques, sociaux et sociétaux. Pour preuve, un nouveau sondage révèle l’extrême pessimisme des Français comparés à celui des autres pays de l’Europe. Un sondage qui sans doute caractérise le mécontentement relatif à l’union européenne mais sans doute tout autant et même davantage le mécontentement pour les questions purement hexagonales. Dans la perspective des élections européennes de 2024, tous les Européens sont majoritairement optimistes… sauf les Français. L’Eurobaromètre, publié régulièrement par les institutions européennes, se base sur 26 523 entretiens réalisés entre le 25 septembre et le 19 octobre auprès d’une population européenne âgée de 15 ans et plus dans les 27 Etats membres. Dans le détail, les Danois et les Irlandais sont les plus confiants, avec 83% de « très » ou « plutôt » optimistes. Cette proportion est de 58% pour les Allemands, 55% pour les Hongrois. Elle tombe sous la barre des 50% dans un seul pays, la France, où les sondés ne sont que 46% à se dire optimistes, dépassés par les pessimistes (49%).

Sur l’ensemble des 27 pays de l’UE toutefois, 48% des sondés estiment que « les choses vont dans la mauvaise direction » dans l’UE (contre 33% l’inverse). Mais 61% des personnes interrogées considèrent que l’adhésion de leur pays à l’UE est une bonne chose – une proportion à peu près stable par rapport à septembre 2018. Et quelque 70% des Européens estiment que les actions de l’UE ont « un impact sur leur vie quotidienne ». Un peu plus de la moitié (53%) pense que l’invasion russe de l’Ukraine doit être l’occasion d’accélérer l’élargissement de l’UE.

Politique-Sondage moral des Français: Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage moral des Français: Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, soit 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique-Sondage situation du pays : Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage situation du pays : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, soit 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique-Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Sondage situation de la France: Près de 80 % pessimistes

Sondage situation de la France: Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Un sondage qui plombe l’environnement politique, social mais aussi qui a des conséquences économiques. Ainsi par exemple la consommation enregistre une baisse qui va impacter la croissance. Bref il se confirme que la crise prend une triple dimension en France sociale, économique et démocratique.

Selon une enquête de l’Ifop, 72 % des personnes interrogées se déclarent « pessimistes pour l’avenir de la France », soit un bond de 16 points par rapport à la dernière vague de juin 2021, pourtant menée en pleine crise sanitaire.

Ils sont également 53 % à penser que leurs enfants vivront moins bien qu’eux (+ 13). « Le rejet de la mondialisation par les Français est massif, des catégories populaires aux classes moyennes incluses », explique Pierre Giacometti, fondateur de No Com avec Alain Péron.

Le terme même de « changement » suscite une contestation croissante : seuls 57 % des sondés lui attribuent une connotation positive, contre 80 % lors de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.

Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Un sondage qui plombe l’environnement politique, social mais aussi qui a des conséquences économiques. Ainsi par exemple la consommation enregistre-t-elle une baisse qui va impacter la croissance. Bref il se confirme que la crise prend une triple dimension en France sociale, économique et démocratique.

Selon une enquête de l’Ifop, 72 % des personnes interrogées se déclarent « pessimistes pour l’avenir de la France », soit un bond de 16 points par rapport à la dernière vague de juin 2021, pourtant menée en pleine crise sanitaire.

Ils sont également 53 % à penser que leurs enfants vivront moins bien qu’eux (+ 13). « Le rejet de la mondialisation par les Français est massif, des catégories populaires aux classes moyennes incluses », explique Pierre Giacometti, fondateur de No Com avec Alain Péron.

Le terme même de « changement » suscite une contestation croissante : seuls 57 % des sondés lui attribuent une connotation positive, contre 80 % lors de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.

Sondage croissance mondiale : Les patrons européens pessimistes pour 2023

Sondage  croissance mondiale : Les patrons européens pessimistes pour 2023

 

 

Selon un sondage du cabinet PwC,  les patrons européens sont plus pessimiste que les autres concernant la croissance 2023

Globalement, la grande majorité des 4500 patrons issus de 105 pays qui ont été interrogés par le cabinet PwC voient la croissance mondiale ralentir dans les douze prochains mois. Les patrons européens sont les plus pessimistes et placent l’inflation en tête de leurs inquiétudes. Les Allemands, les Britanniques et les Français estiment même que l’activité décélérera plus vite dans leur pays qu’ailleurs dans le monde. Un résultat logique, le Vieux Continent subissant plus durement la crise énergétique et la guerre en Ukraine.

Cependant, les dirigeants français, qu’ils pilotent une PME ou un grand groupe (l’étude PwC est large), sont plus confiants (93 % de modérément à extrêmement confiants) quant aux perspectives de leur entreprise à trois ans que leurs homologues mondiaux (86 %) et européens (85 %).  Des opinions qui pourrait être largement modifié à échéance de trois ans.

Sondage Croissance Internationale: Les patrons européens pessimistes pour 2023

Sondage  Croissance Internationale: Les patrons européens pessimistes pour 2023

 

 

Selon un sondage du cabinet PwC,  les patrons européens sont plus pessimiste que les autres concernant la croissance 2023

Globalement, la grande majorité des 4500 patrons issus de 105 pays qui ont été interrogés par le cabinet PwC voient la croissance mondiale ralentir dans les douze prochains mois. Les patrons européens sont les plus pessimistes et placent l’inflation en tête de leurs inquiétudes. Les Allemands, les Britanniques et les Français estiment même que l’activité décélérera plus vite dans leur pays qu’ailleurs dans le monde. Un résultat logique, le Vieux Continent subissant plus durement la crise énergétique et la guerre en Ukraine.

Cependant, les dirigeants français, qu’ils pilotent une PME ou un grand groupe (l’étude PwC est large), sont plus confiants (93 % de modérément à extrêmement confiants) quant aux perspectives de leur entreprise à trois ans que leurs homologues mondiaux (86 %) et européens (85 %).  Des opinions qui pourrait être largement modifié à échéance de trois ans.

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