Archive pour le Tag 'pessimistes'

Politique-Sondage moral des Français: Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage moral des Français: Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, soit 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique-Sondage situation du pays : Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage situation du pays : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, soit 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique-Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Sondage situation de la France: Près de 80 % pessimistes

Sondage situation de la France: Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Un sondage qui plombe l’environnement politique, social mais aussi qui a des conséquences économiques. Ainsi par exemple la consommation enregistre une baisse qui va impacter la croissance. Bref il se confirme que la crise prend une triple dimension en France sociale, économique et démocratique.

Selon une enquête de l’Ifop, 72 % des personnes interrogées se déclarent « pessimistes pour l’avenir de la France », soit un bond de 16 points par rapport à la dernière vague de juin 2021, pourtant menée en pleine crise sanitaire.

Ils sont également 53 % à penser que leurs enfants vivront moins bien qu’eux (+ 13). « Le rejet de la mondialisation par les Français est massif, des catégories populaires aux classes moyennes incluses », explique Pierre Giacometti, fondateur de No Com avec Alain Péron.

Le terme même de « changement » suscite une contestation croissante : seuls 57 % des sondés lui attribuent une connotation positive, contre 80 % lors de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.

Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Un sondage qui plombe l’environnement politique, social mais aussi qui a des conséquences économiques. Ainsi par exemple la consommation enregistre-t-elle une baisse qui va impacter la croissance. Bref il se confirme que la crise prend une triple dimension en France sociale, économique et démocratique.

Selon une enquête de l’Ifop, 72 % des personnes interrogées se déclarent « pessimistes pour l’avenir de la France », soit un bond de 16 points par rapport à la dernière vague de juin 2021, pourtant menée en pleine crise sanitaire.

Ils sont également 53 % à penser que leurs enfants vivront moins bien qu’eux (+ 13). « Le rejet de la mondialisation par les Français est massif, des catégories populaires aux classes moyennes incluses », explique Pierre Giacometti, fondateur de No Com avec Alain Péron.

Le terme même de « changement » suscite une contestation croissante : seuls 57 % des sondés lui attribuent une connotation positive, contre 80 % lors de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.

Sondage croissance mondiale : Les patrons européens pessimistes pour 2023

Sondage  croissance mondiale : Les patrons européens pessimistes pour 2023

 

 

Selon un sondage du cabinet PwC,  les patrons européens sont plus pessimiste que les autres concernant la croissance 2023

Globalement, la grande majorité des 4500 patrons issus de 105 pays qui ont été interrogés par le cabinet PwC voient la croissance mondiale ralentir dans les douze prochains mois. Les patrons européens sont les plus pessimistes et placent l’inflation en tête de leurs inquiétudes. Les Allemands, les Britanniques et les Français estiment même que l’activité décélérera plus vite dans leur pays qu’ailleurs dans le monde. Un résultat logique, le Vieux Continent subissant plus durement la crise énergétique et la guerre en Ukraine.

Cependant, les dirigeants français, qu’ils pilotent une PME ou un grand groupe (l’étude PwC est large), sont plus confiants (93 % de modérément à extrêmement confiants) quant aux perspectives de leur entreprise à trois ans que leurs homologues mondiaux (86 %) et européens (85 %).  Des opinions qui pourrait être largement modifié à échéance de trois ans.

Sondage Croissance Internationale: Les patrons européens pessimistes pour 2023

Sondage  Croissance Internationale: Les patrons européens pessimistes pour 2023

 

 

Selon un sondage du cabinet PwC,  les patrons européens sont plus pessimiste que les autres concernant la croissance 2023

Globalement, la grande majorité des 4500 patrons issus de 105 pays qui ont été interrogés par le cabinet PwC voient la croissance mondiale ralentir dans les douze prochains mois. Les patrons européens sont les plus pessimistes et placent l’inflation en tête de leurs inquiétudes. Les Allemands, les Britanniques et les Français estiment même que l’activité décélérera plus vite dans leur pays qu’ailleurs dans le monde. Un résultat logique, le Vieux Continent subissant plus durement la crise énergétique et la guerre en Ukraine.

Cependant, les dirigeants français, qu’ils pilotent une PME ou un grand groupe (l’étude PwC est large), sont plus confiants (93 % de modérément à extrêmement confiants) quant aux perspectives de leur entreprise à trois ans que leurs homologues mondiaux (86 %) et européens (85 %).  Des opinions qui pourrait être largement modifié à échéance de trois ans.

Economie 2023 : Les prévisions pessimistes de la Banque de France

Economie 2023 : Les prévisions pessimistes de la Banque de France

D’une certaine manière, la Banque de France souffle le chaud et le froid. Dans un temps, elle confirme et même au-delà les prévisions économiques optimistes du gouvernement; Mais dans un deuxième temps pour ne pas sans doute porter atteinte à sa crédibilité scientifique, elle annonce un scénario relativement noir pour 2023. Pour résumer, une croissance insignifiante mais une inflation aussi importante en 2023 qu’en 2022 et une montées du chômage.

La croissance du PIB devrait augmenter de 0,3% en 2023 selon le scénario central de la Banque de France contre 0,5% en septembre dernier. L’inflation (Indice des prix à la consommation harmonisé, IPCH) devrait culminer à 6% en France. Quant au chômage, il pourrait atteindre 7,5% de la population active, contre 7,3% en 2002, puis 8,2% en 2024, une courbe inverse à celle espérée par le gouvernement à l’issue du quinquennat. Explications.Économie : prévisions pessimistes en 2023 (Banque de France)

La Banque de France table sur une prévision de croissance de 0,3% pour l’année 2023 mais. n’exclut pas pas une récession. En cause , beaucoup d’incertitudes au-dessus sur les effets de la politique monétaire, la situation géopolitique en Europe et du redémarrage de l’activité économique en Chine.

Conséquence : le taux de chômage repartirait à la hausse à partir de l’année prochaine. La Banque de France table désormais sur une augmentation du chômage rapporté à la population active passant de 7,3% à 7,5% entre 2022 et 2023, puis 8,2% en 2024. Une courbe inverse à celle espérée par le gouvernement qui vise le plein emploi au cours du quinquennat.

Le rythme des créations d’emplois risque de s’effondrer, passant de 647.000 en 2022 à 58.000 en 2023.

Économie : prévisions pessimistes en 2023

Économie : prévisions pessimistes en 2023 (Banque de France)

D’une certaine manière, la Banque de France souffle le chaud et le froid. Dans un temps, elle confirme et même au-delà les prévisions économiques optimistes du gouvernement; Mais dans un deuxième temps pour ne pas sans doute porter atteinte à sa crédibilité scientifique, elle annonce un scénario relativement noir pour 2023. Pour résumer, une croissance insignifiante mais une inflation aussi importante en 2023 qu’en 2022 et une montées du chômage.

La croissance du PIB devrait augmenter de 0,3% en 2023 selon le scénario central de la Banque de France contre 0,5% en septembre dernier. L’inflation (Indice des prix à la consommation harmonisé, IPCH) devrait culminer à 6% en France. Quant au chômage, il pourrait atteindre 7,5% de la population active, contre 7,3% en 2002, puis 8,2% en 2024, une courbe inverse à celle espérée par le gouvernement à l’issue du quinquennat. Explications.Économie : prévisions pessimistes en 2023 (Banque de France)

La Banque de France table sur une prévision de croissance de 0,3% pour l’année 2023 mais. n’exclut pas pas une récession. En cause , beaucoup d’incertitudes au-dessus sur les effets de la politique monétaire, la situation géopolitique en Europe et du redémarrage de l’activité économique en Chine.

Conséquence : le taux de chômage repartirait à la hausse à partir de l’année prochaine. La Banque de France table désormais sur une augmentation du chômage rapporté à la population active passant de 7,3% à 7,5% entre 2022 et 2023, puis 8,2% en 2024. Une courbe inverse à celle espérée par le gouvernement qui vise le plein emploi au cours du quinquennat.

Le rythme des créations d’emplois risque de s’effondrer, passant de 647.000 en 2022 à 58.000 en 2023.

lee prolongement de la chute de la consommation et de la demande risque d’assombrir les perspectives dans un grand nombre d’entreprises. Résultat, les dirigeants pourraient mettre un coup d’arrêt aux embauches, voire tailler dans leurs effectifs si une récession se concrétise au premier trimestre 2023.

La poussée de fièvre sur les prix risque de se prolonger en 2023. La Banque de France prévoit désormais un rythme d’inflation de 6% en 2023 comparable à celui de 2022. Pour rappel, la banque centrale calcule l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) utilisé par Eurostat afin de faire des comparaisons européennes.

La Banque de France anticipe une baisse du pouvoir d’achat des Français en 2022 (-0,6%) et 2023 (-0,4%). Compte tenu de l’envolée des prix et de la désindexation des salaires sur l’inflation, de nombreux salariés du secteur privé enregistrent une chute de leurs revenus issus de leur activité professionnelle, à l’exception des salariés au SMIC.

Par rapport à 2022, la Banque centrale anticipe pour 2023 une baisse du taux de marge des entreprises. d’un point à 30,5%. Cette érosion devrait cependant être plus faible que lors des différents chocs pétroliers des années 70. A l’époque, ce pourcentage avait chuté de 4 points, rappellent les économistes dans leur bulletin de prévision.

Crises : les Français pessimistes

Crises : les Français pessimistes

 

Les Français partagent le pessimisme Macron quant à la multiplication des crises mais lui imputent souvent la responsabilité. 85 % des personnes interrogées estiment que contrairement au gouvernement l’inflation va durer et près de 60 % pensent qu’elle va s’installer. Un papier des Echos  rend compte de l’insatisfaction des Français.

Si Emmanuel Macron ne cache pas son pessimisme pour les mois qui viennent, il est en phase avec l’opinion. Mercredi dernier, à l’occasion du Conseil des ministres de rentrée, le président de la République n’a pas mâché ses mots, évoquant « la fin de l’abondance », « la fin de l’insouciance » et préparant les Français à des « efforts » et des « sacrifices » au cours des prochains mois.

Les Français avaient déjà le message en tête. Selon une étude coordonnée par le think tank Destin commun, ils ne cachent pas non plus leur pessimisme face au cocktail composé de la guerre en Ukraine et de ses conséquences (retour de la guerre, hausses des prix, craintes de pénurie d’énergie) et de l’accélération du dérèglement climatique, comme l’ont montré les incendies record de l’été.

La hausse des prix est particulièrement mise en avant. 85 % des personnes interrogées (selon l’étude menée par Yougov) se déclarent inquiètes de son impact, alors que 57 % évoquent des difficultés pour y faire face. Il y a aussi le sentiment que l’inflation va durer, puisque 41 % des personnes interrogées estiment « ne pas être sûres qu’elle se terminera un jour ».

« Il y a chez les Français un sentiment de ne pas voir le bout du tunnel, avec les crises qui s’enchaînent depuis le Covid », note Laurence de Nervaux, directrice de Destin Commun.

Sans surprise, les perspectives sur le climat social s’assombrissent. Deux personnes interrogées sur trois anticipent des grèves de grande ampleur dans les prochaines semaines, voire des troubles à l’ordre public à l’image du mouvement des « gilets jaunes » au cours de l’hiver 2018-2019. Ce mouvement continue d’exister dans les esprits des Français : 40 % se déclarent favorables à sa reprise.

« Si le soutien aux « gilets jaunes » a toujours été relativement important, il pourrait potentiellement bénéficier d’un renfort parmi de vastes catégories de la population dans le cadre d’une reprise du mouvement », écrit Destin commun.

Une des clés de cette tension sociale réside dans l’incompréhension des raisons de la hausse des prix, dont le déclin n’est pas attendu avant l’année prochaine , selon le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire. Deux Français sur trois ont le sentiment de ne pas comprendre les raisons de la hausse des prix, dont un tiers qui estime ne pas les comprendre du tout. Cette incompréhension est une spécificité française par rapport à des pays comme l’Allemagne ou la Grande-Bretagne, où l’inflation est beaucoup plus forte.

Les raisons de cette incompréhension sont multiples, entre une défiance à l’encontre de la classe politique, le manque de pédagogie du gouvernement ou encore le rôle des médias. Cette incompréhension est beaucoup plus forte chez ceux qui se déclarent en difficulté pour faire face à la hausse des prix.

Enfin, elle nourrit des thèses proches du complotisme, puisque près d’un Français sur deux (46 %) estime que l’augmentation des prix du pétrole et du gaz fait partie d’un plan du gouvernement pour forcer le pays à passer aux énergies renouvelables !

Si la guerre de la Russie en Ukraine arrive en tête des explications à cette hausse des prix, deux autres explications arrivent juste derrière : la politique du gouvernement et les entreprises de l’énergie. « Les Français désignent la Russie mais pointent aussi le gouvernement. C’est une lecture politique de la crise. Par principe, l’exécutif est responsable de tous les maux », ajoute Laurence de Nervaux. Ce sentiment est bien évidemment plus massivement partagé chez les électeurs de Marine Le Pen ou de Jean-Luc Mélenchon.

Sondage état économique et sanitaire : 80 % pessimistes

Sondage état économique et sanitaire : 80 % pessimistes

L’optimisme de façade des autorités et de certaines institutions ne semblent ne semble pas avoir de prise sur le moral des Français particulièrement bas. Ainsi 80 % environ de la population est aussi inquiète de l’état sanitaire que de l’avenir économique du pays. Plus de la moitié ne croit pas à l’effet bénéfique du plan de relance.

Selon un sondage réalisé par Odoxa-Dentsu Consulting pour repas jeudi et vendredi , 8 Français sur 10 sont inquiets de la situation sanitaire du pays. Un niveau presque aussi élevé que ceux relevés au plus fort de l’épidémie, en plein confinement (90% d’inquiétude mi-avril). Selon Odoxa, 7 Français sur 10 se disent inquiets pour la santé de leurs proches et 55% pour leur propre santé. Un sentiment corrélé à l’âge des sondés: alors que les 18-24 ans ne sont que 39% à l’exprimer, ils sont 58% chez les 35-49 ans et 61% chez les 65 ans et plus. «Il y a un contexte angoissant, lié à la reprise de l’épidémie, confirme Gaël Sliman, président d’Odoxa. La séquence est très compliquée pour l’exécutif, qui se retrouve dans une position ambivalente: expliquer que la situation est grave, qu’il faut être vigilant sur le plan sanitaire, sans démoraliser l’opinion.». Par compte le port du masque semble assez peu contesté : 76 % des sondés se disent favorables à la généralisation de l’obligation dans toutes les villes.

 

L’angoisse des Français en cette rentrée est aussi économique. Plus de 8 sondés sur 10 sont pessimistes sur l’évolution de la croissance et du pouvoir d’achat, une inquiétude accrue par rapport au début de l’été. Ils sont un peu plus optimistes au sujet de leur propre situation: 55% se disent inquiets sur leur avenir et près d’un actif sur trois (32%) a peur pour son propre emploi. Un sentiment qui touche principalement les travailleurs indépendants (40%), les ouvriers (41%) et les actifs aux revenus les plus modestes (39%).

Sondage politique de Macron: 80% de l’opinion pessimistes sur le l’efficacité

Sondage politique de Macron: 80% de l’opinion pessimistes sur le l’efficacité 

Dans un sondage Elabe pour BFM,  80% des Français déclarent que depuis le début du quinquennat l’action du président n’a pas amélioré leur situation personnelle. Peu optimistes, 80% estiment que d’ici la fin de son mandat, leur situation ne s’améliorera pas.

Concernant les préoccupations nationales, les conclusions ne sont pas meilleures. A mi-mandat, 71% des sondés jugent que la politique du président n’a pas fait progresser la situation du pays. Sur le long terme, ils ne font pas montre d’une grande confiance puisque 68% d’entre eux estiment que d’ici 2022, son action n’améliorera pas la situation du pays.

Les domaines où l’action d’Emmanuel Macron est jugée la plus insatisfaisante sont la baisse des dépenses publiques (74%) ( ce qui est faux d’après l’évolution des prélèvements obligatoires NDLR), , la politique en matière d’immigration (74%), la politique environnementale (73%), la politique sociale (72%) et la politique en faveur du pouvoir d’achat (71%). La confiance des Français envers le président apparaît donc assez dégradée par rapport au début de son mandat.

Elabe pour BFMTV – 80% des Français déclarent que depuis le début du quinquennat l’action du président n’a pas amélioré leur situation personnelle.

Le président parvient toutefois à se démarquer sur sa capacité à gérer les questions de sécurité nationale (44% des sondés se disent satisfaits) et sur la représentation de la France à l’international (43% satisfaits).

Emmanuel Macron souffre d’un effritement de son image politique. Par rapport au début du mois de septembre, lors de la rentrée politique, il est jugé plus autoritaire (+2), moins courageux (-7), moins sincère (-7), moins capable de réformer le pays (-3) et moins capable de rassembler les Français (-3). Cette défiance croissante creuse un peu plus le fossé entre les classes populaires et l’exécutif. En effet, l’image du président se détériore très fortement chez les catégories sociales populaires alors qu’elle s’améliore chez les cadres et classes moyennes.

La polarisation politique sur l’image du président s’accentue également puisque ces mêmes traits d’image se détériorent fortement au sein des électorats de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen, alors qu’ils s’améliorent au sein de son cœur électoral.

Les optimistes pour Macron, les pessimistes pour les extrêmes

  • Les optimistes  pour Macron, les pessimistes  pour les extrêmes

 

 

 

 

Les clivages en France sont sans doute moins politiques que sociaux. D’après une étude  réalisée avant le premier tour des présidentielles d’ Ipsos / Sopra Steria,  il ressort que ce sont surtout les couches aisées et optimistes qui se sont prononcées pour Macron  tandis que les déclassés affichaient  leur pessimisme en votant pour les extrêmes.  Marine Le Pen arrive nettement en tête chez les ouvriers (37%), devant Jean-Luc Mélenchon (24%). Les retraités, rétifs au programme du représentant de la France insoumise (12%), préfèrent François Fillon (36%) et les cadres optent pour Emmanuel Macron (33%), qui réalise son plus mauvais score chez les ouvriers (12%). La candidate du Front national et le représentant de la France insoumise sont les deux candidats les plus soutenus par les chômeurs, mais cette fois Jean-Luc Mélenchon devance Marine Le Pen (36% contre 21%). Elle obtient un meilleur score chez les salariés, du privé (26%) comme du public (27%). Emmanuel Macron, boudé par les chômeurs (14%), fait son meilleur score chez les Français à leur compte (24%)… qui placent Jean-Luc Mélenchon au même niveau (24%). Les Français qui ont le sentiment que leur profession est sur le déclin optent plus pour Marine Le Pen (30%). En revanche, la sensation de travailler dans un secteur en expansion va de pair avec le vote Macron (27%). Le niveau de revenu aussi a un impact sur le bulletin glissé dans l’urne. Plus il augmente, plus le vote pour les extrêmes reflue. Emmanuel Macron convainc 32% des ménages au revenu mensuel supérieur à 3000 euros, tandis qu’il obtient 14% parmi ceux qui disposent de moins de 1250 euros par mois. Le vote Fillon suit la même évolution. Les foyers les plus défavorisés leur préfèrent largement Jean-Luc Mélenchon (25%) et surtout Marine Le Pen (32%). La tendance s’accentue encore si l’on considère les foyers où l’on éprouve la sensation que les fins de mois sont difficiles. La candidate du Front national obtient la préférence de 43% des ménages où elles sont même «très difficiles», loin devant Jean-Luc Mélenchon (22%). Les Français se sentant plus à l’aise financièrement optent davantage pour François Fillon (25%) et, encore plus, pour Emmanuel Macron (32%).

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol