Archive pour le Tag 'pessimiste'

Guerre en Ukraine : Le patron de l’OTAN pessimiste

Guerre en Ukraine : Le patron de l’OTAN pessimiste

Le patron de l’OTAN souligne que pratiquement la ligne de front est gelée et que l’Ukraine ne progresse pas. Des propos qui rejoignent d’ailleurs ceux du commandant un chef de l’armée ukrainienne, Volodymyr Zelenski, qui a admis début décembre qu’elle n’avait pas permis d’«atteindre les résultats souhaités», ainsi que par le commandant en chef de l’armée ukrainienne, le général Zaloujny , qui a évoqué en novembre une «impasse». Dans ce contexte, l’hypothèse d’une guerre longue en Ukraine est de plus en plus souvent évoquée par les dirigeants de l’alliance Atlantique qui étudient une éventuelle intégration de l’Ukraine au sein de l’Otan. Jens Stoltenberg déclarait le 28 septembre dernier qu’une adhésion était «plus proche que jamais».

Dans le même temps Poutine recrute massivement, de gré ou de force de maintenir au moins l’état des lignes actuelles et se prépare donc à une guerre de très longue durée qui à terme pourrait être défavorable à l’Ukraine. Ces derniers enregistrent en effet un déficit d’effectif compte tenu de leur population mais regrettent aussi des retards de fournitures d’armement toujours annoncés par l’Occident mais qui ne seront opérationnelles que dans des mois.

Dans le camp occidental, de plus en plus pensent que l’Ukraine ne parviendra pas à reconquérir les territoires perdus et qu’il serait préférable de faire entrer l’Ukraine toute suite dans l’OTAN et dans l’Union européenne.

Le temps est sans doute le pire ennemi de l’Ukraine car des doutes s’installent dans le camp occidental sur les perspectives de victoire et même à l’intérieur des oppositions au président Zelinsky naissent.

Sondage Macron: 80% de l’opinion pessimiste sur le l’efficacité de sa politique .

Sondage Macron: 80% de l’opinion pessimiste sur le l’efficacité  de sa politique .

Dans un sondage Elabe pour BFM,  80% des Français déclarent que depuis le début du quinquennat l’action du président n’a pas amélioré leur situation personnelle. Peu optimistes, 80% estiment que d’ici la fin de son mandat, leur situation ne s’améliorera pas.

Concernant les préoccupations nationales, les conclusions ne sont pas meilleures. A mi-mandat, 71% des sondés jugent que la politique du président n’a pas fait progresser la situation du pays. Sur le long terme, ils ne font pas montre d’une grande confiance puisque 68% d’entre eux estiment que d’ici 2022, son action n’améliorera pas la situation du pays.

Les domaines où l’action d’Emmanuel Macron est jugée la plus insatisfaisante sont la baisse des dépenses publiques (74%) ( ce qui est faux d’après l’évolution des prélèvements obligatoires NDLR), , la politique en matière d’immigration (74%), la politique environnementale (73%), la politique sociale (72%) et la politique en faveur du pouvoir d’achat (71%). La confiance des Français envers le président apparaît donc assez dégradée par rapport au début de son mandat.

Elabe pour BFMTV – 80% des Français déclarent que depuis le début du quinquennat l’action du président n’a pas amélioré leur situation personnelle.

Le président parvient toutefois à se démarquer sur sa capacité à gérer les questions de sécurité nationale (44% des sondés se disent satisfaits) et sur la représentation de la France à l’international (43% satisfaits).

Emmanuel Macron souffre d’un effritement de son image politique. Par rapport au début du mois de septembre, lors de la rentrée politique, il est jugé plus autoritaire (+2), moins courageux (-7), moins sincère (-7), moins capable de réformer le pays (-3) et moins capable de rassembler les Français (-3). Cette défiance croissante creuse un peu plus le fossé entre les classes populaires et l’exécutif. En effet, l’image du président se détériore très fortement chez les catégories sociales populaires alors qu’elle s’améliore chez les cadres et classes moyennes.

La polarisation politique sur l’image du président s’accentue également puisque ces mêmes traits d’image se détériorent fortement au sein des électorats de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen, alors qu’ils s’améliorent au sein de son cœur électoral.

OMC prudemment pessimiste pour l’économie mondiale ou la dialectique revisitée

OMC prudemment pessimiste pour l’économie mondiale ou la dialectique revisitée

 

D’ordinaire on est prudemment optimiste, là l’OMC est prudemment pessimiste. La crainte n’évite pas le danger, la prudence peut l’atténuer mais pas le supprimer ; En clair, l’OMC prévoit une mauvaise année 2013 et la rénovation de la dialectique n’y changera rien. Le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy s’est dit samedi « prudemment pessimiste » pour 2013, qui se « présente moyennement bien », et a estimé que la France devait « accélérer » le rythme des réformes pour améliorer sa compétitivité.   »2013 se présente moyennement bien, je suis prudemment pessimiste, l’économie mondiale ne va pas très bien et nous ne sommes pas sortis de la vaste crise qui a débuté en 2008. 2013 ne sera pas une bonne année pour l’économie mondiale par rapport à ces 10 ou 15 dernière années », a-t-il résumé sur France Inter.  Concernant la croissance des échanges commerciaux mondiaux pour 2013, « notre prévision actuelle est une augmentation de l’ordre de +4% en volume », a-t-il indiqué.   »C’est mieux que 2012 qui aura été très bas, mais encore très en-dessous de la tendance moyen-long terme de croissance des échanges mondiaux qui étaient de l’ordre de 5 à 6% », a commenté M. Lamy.  Il est également revenu sur « les tentations protectionnistes », qui peuvent être « normales » selon lui en cas de crise.  depuis 2008 de l’ordre de 2 à 3% du commerce mondial a été endommagé par des mesures qui restreignent les échanges », a souligné M. Lamy, pour lequel « par rapport à la violence de la crise, c’est modeste, mais c’est pas pour autant que ce n’est pas inquiétant ».  Il a également évoqué la situation de la France, où selon lui « l’opinion commence à comprendre que la France a un vrai problème avec la compétitivité ».   »On a commencé à s’y attaquer, donc la direction est la bonne, cela s’amplifie, maintenant est-ce que le quantum de réformes est suffisant ? Je ne suis pas sûr, je pense qu’il va falloir amplifier cela, c’est une question de rythme, il va falloir l’accélérer », a résumé Pascal Lamy.   »Si un pays comme la France veut continuer à développer son économie et son système de protection sociale, alors il faut se demander +où dois-je investir pour que mon pays crée des emplois+ », a-t-il souligné.  Selon lui, « la France a intérêt à davantage pénétrer les marchés internationaux » et « à savoir bien placer ses billes », notamment dans les secteurs des technologies, de la chimie ou encore de la pharmacie.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol