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Tesla-Elon Musk, respopnsable de la perte de 70% de la valeur de son groupe

Tesla-Elon Musk, respopnsable de la perte de 70% de la valeur de son groupe

En voulant s’investir de manière totalement irresponsable sur le terrain politique, le patron de Tesla a fait perdre environ 70 % de la valeur de son groupe depuis le début de l’année.
D’abord, il s’est engagé de manière tout à fait inconsidéré dans l’achat de Tweeter pour la somme folle de 44 milliards alors que Twitter n’a jamais réalisé le moindre bénéfice. Musk pensait pouvoir ainsi influencer encore davantage la politique américaine voire mondiale.

Mais ces fondements idéologiques sont particulièrement farfelus et contradictoires. Il se prétend libertarienrien mais n’hésite pas à s’attaquer de front aux libertés dans son entreprise décidant du jour au lendemain de liquider jusqu’à 50 % des effectifs. Ne parlons pas de son rapport aux syndicats et de son soutien à Trump. En réalité Musk est devenu le pire ennemi de son groupe. Et les actionnaires pourraient bien un jour l’éjecter de son trône.

Musk fait ainsi la démonstration une nouvelle fois que le mélange politique et business est particulièrement nocif car on peut être performant pour servir des intérêts personnels mais pas forcément utile à l’intérêt général.

Le constructeur automobile a perdu 69% de sa valeur boursière depuis le début de l’année, et 44% en décembre seulement.
Elon Musk est un habitué des coups d’éclat sur Twitter. Alors que le cours de son entreprise Tesla connaît une forte chute depuis quelques mois, un message posté par le milliardaire ce mardi sur le réseau social a accéléré cette tendance. L’entrepreneur américain a cru bon de répondre à une série de tweets publiée par l’ancien président russe Dmitri Medvedev, prévoyant une liste d’évènements hallucinants pour 2023. Ce dernier anticipait notamment l’émergence d’un quatrième Reich en Europe ou encore une guerre civile aux États-Unis dont Elon Musk lui-même serait le président. À la suite de ces prévisions, le propriétaire de Twitter a répliqué, en qualifiant ces messages d’«épiques». Un écart qui a fait plonger l’action de Tesla de 11,41% à 109,10 dollars mardi.

Coût de l’inflation: Une perte d’environ 1300 € pour les ménages

Coût de

Coût de l’inflation: Une perte d’environ 1300 € pour les ménages 

D’après les calculs d’Allianz. Résultat,  l’inflation devrait coûter nviron 2300 € cette année pour les ménages.

Une évaluation vraisemblable puisque chaque ménage dépense environ 3000 € par an pour le transport et le chauffage dont le cout  a augmenté de 50 % . Ces différentes hausses pourrait être compensées par des augmentations de revenus. Or par exemple les salaires n’ont pas augmenté de plus de 3 % alors que sur l’année l’inflation pourrait atteindre 5 %.La dégradation objective de la situation provoque aussi un écroulement de la confiance des ménages qui contribue à dégrader l’environnement.

L’éclatement de la guerre en Ukraine à la fin du mois de février a précipité la confiance des ménages et des entreprises vers le bas en seulement quelques jours. La plupart des récentes enquêtes de conjoncture de l’Insee montrent qu’après avoir atteint un pic à l’été 2021, le moral des ménages est en chute libre pour retrouver le niveau de novembre 2018 en pleine crise des « gilets jaunes ».

cette ‘inflation devrait d’abord toucher les ménages les plus modestes alors que ceux sont eux qui ont la plus forte propension à consommer.

Après un fort rebond économique post-pandémie en 2021 (6,8%), l’économie française est plongée dans un épais brouillard depuis l’invasion de la Russie en Ukraine. Le recul brutal de la consommation au premier trimestre a plombé la croissance laissant planer un risque de récession au cours du second trimestre. Malgré ces craintes, la Banque de France a écarté cette perspective dans ses dernières prévisions dévoilées ce mardi 14 juin avec une croissance fébrile de 0,25 % en glissement trimestriel.

Inflation: Une perte d’environ 1300 € pour les ménages

Inflation: Une perte d’environ 1300 € pour les ménages 

D’après les calculs d’Allianz. Résultat,  l’inflation devrait coûter nviron 2300 € cette année pour les ménages.

Une évaluation vraisemblable puisque chaque ménage dépense environ 3000 € par an pour le transport et le chauffage dont le cout  a augmenté de 50 % . Ces différentes hausses pourrait être compensées par des augmentations de revenus. Or par exemple les salaires n’ont pas augmenté de plus de 3 % alors que sur l’année l’inflation pourrait atteindre 5 %.La dégradation objective de la situation provoque aussi un écroulement de la confiance des ménages qui contribue à dégrader l’environnement.

L’éclatement de la guerre en Ukraine à la fin du mois de février a précipité la confiance des ménages et des entreprises vers le bas en seulement quelques jours. La plupart des récentes enquêtes de conjoncture de l’Insee montrent qu’après avoir atteint un pic à l’été 2021, le moral des ménages est en chute libre pour retrouver le niveau de novembre 2018 en pleine crise des « gilets jaunes ».

cette ‘inflation devrait d’abord toucher les ménages les plus modestes alors que ceux sont eux qui ont la plus forte propension à consommer.

Après un fort rebond économique post-pandémie en 2021 (6,8%), l’économie française est plongée dans un épais brouillard depuis l’invasion de la Russie en Ukraine. Le recul brutal de la consommation au premier trimestre a plombé la croissance laissant planer un risque de récession au cours du second trimestre. Malgré ces craintes, la Banque de France a écarté cette perspective dans ses dernières prévisions dévoilées ce mardi 14 juin avec une croissance fébrile de 0,25 % en glissement trimestriel.

 

EDF: une perte réelle de 16 milliards

EDF: une perte réelle de 16 milliards

 

On comprend le rôle stratégique d’EDF dans la crise énergétique actuelle amplifiée par la guerre en Ukraine. Le gouvernement s’est servi de cette particularité énergétique française pour limiter la hausse des prix de l’électricité. Reste que cela contribue aussi à agrandir encore l’énorme trou d’EDF ( dette passée, coût du grand carénage, coût des déchets etc.).

En outre,  le gouvernement a décidé de construire EPR d’un cout d’environ de 50 milliards dont on ne sait absolument pas comment elles seront financées.

EDF a donc annoncé lundi 14 mars dans un communiqué avoir revu à la hausse l’estimation de l’impact négatif sur ses résultats 2022 de sa baisse de production ainsi que des mesures gouvernementales relevant le volume d’électricité nucléaire que le groupe vend à prix réduit à ses concurrents.

L’énergéticien français précise que son estimation de l’impact négatif de la baisse de sa production sur son Ebitda pour 2022 a été réévaluée à environ 16 milliards d’euros, soit cinq milliards de plus qu’estimé lors de la présentation des résultats annuels début février.

Par ailleurs, l’impact négatif des mesures annoncées mi-janvier par le gouvernement pour limiter la hausse des prix de l’électricité en France a également été revu en hausse à 10,2 milliards d’euros, contre 8,4 milliards auparavant.

Au-delà du financement se posera sans doute rapidement la problématique de la renationalisation d’EDF dont  la privatisation n’a aucun sens puisque les grandes orientations sont prises par le gouvernement; Mais sans indication des moyens de financement !

Guerre Ukraine et croissance française : une perte de combien ?

Guerre Ukraine et croissance française : une perte de combien  ?

 

Il est encore bien difficile de mesurer les conséquences économiques de la guerre en Ukraine tellement les économies sont imbriquées. L’Europe devrait être la plus touchée. Pour l’instant, on tente de minimiser les effets négatifs sur l’économie française en annonçant notamment côté gouvernement un plan de résilience. Reste que le gouvernement ne pourra éponger seules les pertes. Des pertes qui pourraient se chiffrer à 3000 € pour l’année  pour le renchérissement de l’énergie des ménages. Des pertes aussi avec la hausse des autres matières premières y comprises alimentaires.

Globalement un envol de l’inflation qui pourrait bien être à deux chiffres d’ici la fin de l’année. Le gouvernement a maintenu sa prévision de croissance à 4 % mais nombreux d’experts estime aujourd’hui que la perspective sera plutôt de 3 %. L ‘institut de COE Rexecode a également revu défavorablement ses projections. « En prolongeant les sanctions actuelles, notre estimation préliminaire est un impact sur l’activité de 0,7 à 1 point de PIB », a déclaré l’économiste et directeur de la conjoncture Charles Henri Colombier sur Twitter. La guerre en Ukraine affectera le PIB français par 3 canaux principaux : énergie et matières premières, liens financiers et d’investissement, exportations » avance-t-il.

Protection sociale: Des efforts mieux répartis démographiquement

 Protection sociale: Des efforts mieux répartis démographiquement 

 

Les trois économistes Hippolyte d’Albis, Julien Navaux et Jacques Pelletan montrent, dans une tribune au « Monde », que, si le vieillissement de la population met en tension les systèmes de protection sociale, les efforts entre les générations son aujourd’hui mieux répartis. ( Ils le seront sans doute encore davantage avec la future réforme des retraites NDLR)

 

Tribune.

 

Si la réforme des retraites n’a pu être menée à son terme, stoppée par un choc épidémique et économique sans précédent, elle met en lumière la nécessaire question du partage des efforts dans le financement des systèmes de protection sociale et plus généralement celle de la solidarité entre les générations.

On entend souvent dire que les seniors sont les grands bénéficiaires des réformes passées, les actifs ayant été pénalisés. Mais la réalité des chiffres conduit à une vision plus nuancée. C’est le propos d’une étude de France Stratégie que nous venons de publier avec Pierre-Yves Cusset. Quatre enseignements majeurs peuvent être tirés de l’évolution de ces systèmes depuis quarante ans.

Le premier enseignement porte sur le montant total des dépenses : le vieillissement de la population a alimenté la hausse des dépenses de protection sociale – aujourd’hui supérieures à 30 % du PIB – cette croissance étant concentrée sur les risques vieillesse-survie et maladie. Les seniors entre 60 et 79 ans sont de très loin les premiers destinataires de la protection sociale, alors que leurs effectifs sont fortement croissants.

Les seniors, des vainqueurs provisoires

Les dépenses qui leur sont consacrées ont progressé de trois points de produit intérieur brut (PIB), de même que celles à destination des plus de 80 ans, ce qui représente au total six points de PIB pour les plus de 60 ans. A l’inverse, les dépenses dont bénéficient les moins de 20 ans ont progressé moins vite que le PIB, leur poids passant de 4 à 3 points de PIB au cours de la période. Cela tendrait à accréditer le discours d’une opposition entre les générations dont les seniors seraient les vainqueurs provisoires.

Mais, dans ces trajectoires de dépenses, il convient de faire la part entre deux facteurs : d’une part les évolutions démographiques, c’est-à-dire l’évolution du poids des différents groupes d’âge dans la population ; d’autre part l’évolution des dépenses de protection sociale dont bénéficie en moyenne chaque individu au sein des différents groupes d’âge.

La méthodologie des comptes de transferts nationaux (ou national transfer accounts) initiée à l’université de Berkeley permet cette finesse d’analyse. La consommation, les revenus ou les transferts publics et privés sont décomposés en fonction de l’âge, donnant ainsi une vision cohérente des flux financiers entre les âges sur une longue période.

Un allègement des cotisations pesant sur le travail

A une échelle individuelle, les enseignements sont alors beaucoup plus nuancés. Les dépenses de protection sociale par personne à destination des plus de 60 ans ont évolué moins vite que la richesse par habitant. Cela vient principalement des réformes successives du système de retraite.

Vaccin Omicron: une perte d’efficacité de près de 50 % après trois mois

Vaccin Omicron: une perte d’efficacité de près de 50 % après trois mois

 

Devant le caractère inédit du virus Covid se pose la question de la stratégie vaccinale. En effet puisqu’on constate une perte d’efficacité de près de 50 % après trois mois;  faudra-t-il envisager un rappel chaque trimestre ?

Le premier ministre français n’a pas exclu cette quatrième vaccination pour certaines catégories de population si nécessaire !.

Plusieurs études démontrent en effet que les vaccins voient leur efficacité ce dégradé après une dizaine de semaines.. En fin de semaine dernière, l’agence sanitaire britannique (UK Health Security Agency) a ainsi indiqué dans une analyse - qui se veut prudente – que l’efficacité de la troisième dose (ou booster) décline près de dix semaines après l’injection.

Dans le détail, l’étude britannique suggère qu’un schéma vaccinal à trois doses réalisé uniquement avec des doses Pfizer-BioNTech confère une protection de 70% contre les formes symptomatiques du coronavirus liées au variant Omicron. Mais cette immunité décline rapidement par la suite. Ainsi, cette protection n’est plus que de 45% au bout de dix semaines, selon les données de l’étude.

La conclusion c’est qu’on est sans doute loin d’en avoir fini avec la définition d’une bonne stratégie vaccinale. Il n’y a pas si longtemps qu’on a évoqué la question de la troisième dose, maintenant de la quatrième et dans peu de temps sans doute des suivantes.

La preuve vraisemblablement que la stratégie vaccinale n’est pas suffisante pour lutter contre cette pandémie qui appelle aussi  des mesures autrement plus restrictives.

Nucléaire EDF : attention à la perte de compétences

 

Nucléaire EDF : attention la perte de compétences

 

 

Les retards fruits concernant les nouvelles centrales père ne sont sans doute pas étranger aux pertes de compétences des techniciens d’EDF qui n’ont pas  depuis très longtemps de nouvelles centrales. L’industrie nucléaire française s’est maintenue à un niveau satisfaisant en 2018″, a déclaré Bernard Doroszczuk, nouveau président de l’autorité de sûreté nucléaire française (ASN), lors d’une conférence de presse du début de l’année, le 29 janvier. Mais Néanmoins, comme son prédécesseur l’avait fait l’an dernier, B. Doroszczuk a insisté sur la nécessité de réagir face à la perte de compétence dans la filière.

C’est le message le plus stratégique et le plus structurant pour le secteur, qu’a voulu faire passer le président de l’ASN. Il faut en effet « mobiliser l’ensemble du secteur nucléaire autour de la perte de compétences ». Non pas une perte de compétence liée à l’incapacité des ingénieurs et des designers à concevoir ou à exploiter des usines ou des réacteurs, mais des « difficultés industrielles » à faire réaliser des travaux basiques tels que les soudures, le génie civil, les interventions électro-mécaniques ou même des opérations de contrôles non-destructifs (sans prélèvement sur les équipements). Le président de l’ASN signale ainsi que les difficultés rencontrées lors de la construction du réacteur EPR à Flamanville-3 ou même lors de grands travaux majeurs, tels que le programme Grand Carenage d’EDF qui vise à améliorer les réacteurs du parc nucléaire pour leur permettre de dépasser les 40 ans de durée de vie, sont concernés par cette perte de compétences de base.

Lors de la séance de questions/réponses du 29 janvier 2019 à l’issue de la conférence de presse de l’ASN, son président a pris l’exemple de l’affaire des soudures sur le circuit principal de transfert de vapeur vers les turbines sur l’EPR de Flamanville 3 en construction. Il signale en effet que les contrôles non-destructifs réalisés sur les huit soudures, traversant l’enceinte de confinement, n’ont pas détecté la non-conformité aux exigences de haute qualité (dites d’exclusion de rupture) que s’est imposé l’opérateur EDF. Notamment, ces contrôles n’ont pas permis de détecter que l’une des soudure, située entre les deux enveloppes de béton composant l’enceinte de confinement (donc difficiles d’accès), présentait un défaut. Ce qui constitue, pour le président de l’ASN, ancien élève de l’Institut de soudure, la preuve d’une perte de compétence sérieuse qui mérite qu’on s’en préoccupe.

En ce qui concerne la résolution de ces « écarts » sur les soudures, il a ajouté que le groupe d’experts ad hoc sur les équipements sous pression auprès de l’ASN (constitué d’experts de l’industrie, du gouvernement, mais aussi d’ONG) serait consulté d’ici avril 2019 et que l’ASN rendrait sa décision finale en mai sur le programme proposé par EDF pour permettre la mise sous pression des équipements.

Cette perte de compétences a suscité un doute dans l’opinion publique sur la capacité du secteur à réaliser de nouvelles constructions et des projets de modernisation majeurs. Pour Doroszczuk, le secteur devait remédier à cette situation en améliorant la formation de la main-d’œuvre qualifiée, se félicitant sur ce point de la création en juin 2018 du groupe français de l’énergie nucléaire, ou GIFEN, qui commence à répondre à cette question.

Deux autres messages importants ont été délivrés par Doroszczuk. D’abord, la nécessaire anticipation dans le secteur et la cohérence de la filière. Il estime que l’ASN doit stimuler la cohérence du cycle du combustible, dans le cadre de la préparation du nouveau plan national de traitement des déchets et des matières nucléaires, ou PNGMDR, qui sera débattu cette année. Mais qui doit aussi être cohérent avec la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), et ses implications pour le cycle nucléaire. Par exemple, a-t-il insisté, l’utilisation de MOX (mélange d’oxydes de plutonium et d’uranium) dans le parc de 1 300 MW prendrait au moins dix ans, et cela doit donc être anticipé. Ensuite, il a insisté sur la nécessité pour les opérateurs de maintenir des marges de sécurité, dans le contexte de vieillissement des installations, mais aussi pour les constructions neuves, ajoutant que l’ASN serait attentif à ce sujet. ( extrait du site de l’ingénieur).

Nucléaire EDF: une perte de compétence

Nucléaire EDF: une perte de compétence

 

L’énergie nucléaire fournit, en France, près de 70% de l’électricité, contre 10% au niveau mondial. Emmanuel Macron a annoncé mardi dernier la relance de la filière, avec la construction de nouveaux réacteurs dont le nombre reste à préciser. Une nouvelle étape dans la longue histoire du nucléaire civil français, dont Michaël Mangeon est spécialiste.

Dans quelles conditions la France a-t-elle fait le choix du nucléaire civil dans les années 1970 ?

Pour le comprendre, il faut revenir avant le plan Messmer de 1974. La France a eu très tôt un programme nucléaire, dès 1945, avec la création du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) . Dans les années 1950, il y a eu la construction d’installations pour la recherche et la production de plutonium militaire. C’est Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), Saclay (Essonne) et Marcoule (Gard). EDF s’est très tôt intéressée au nucléaire pour récupérer de l’électricité à partir des réacteurs militaires. En 1956, le réacteur G1 de Marcoule produit les premiers kWh nucléaires français même si les volumes sont alors très faibles. On commence à changer de braquet dans les années 1960 avec la construction de la centrale de Chinon (Indre-et-Loire). Celle-ci est basée sur une filière technologique française, dite « graphite-gaz ». Elle utilise de l’uranium naturel car, à l’époque, la France ne possède pas d’usine d’enrichissement. La centrale de Chinon a alors un double emploi : produire de l’électricité mais également le plutonium nécessaire à la force de dissuasion. Après Chinon, il y a Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) et le Bugey (Ain), mais la production électrique d’origine nucléaire reste faible. Parallèlement, la France teste d’autres filières, soit à eau lourde, à Brennilis (Finistère), soit à eau pressurisée, à Chooz (Ardennes). Cette dernière était une technique américaine, dite PWR, avec une licence Westinghouse. Le réacteur est fourni par une petite entreprise créée en 1958 , la Franco-américaine de constructions atomiques : Framatome. Personne, à l’époque, n’imaginait que cette technologie finirait par s’imposer. A la fin des années 1960 pourtant, des doutes sont apparus sur la filière graphite-gaz, avec des problèmes techniques et des incidents. Ces réacteurs semblent limités en puissance et s’avèrent plus coûteux que les réacteurs

Départementales 2021 : Val-de-Marne, perte du dernier département par le parti communiste

Départementales 2021 : Val-de-Marne, perte du dernier département par le parti communiste

 

 

 

Le déclin du parti communiste avant sa disparition complète se confirme avec la perte du dernier département qu’il possédait à savoir le Val-de-Marne. La suite logique d’une dilution irréversible de son audience tant au plan national que local. Au plan national pour l’instant on ne donne que de l’ordre de 2 à 3 % pour le candidat communiste aux présidentielles de 2022.  Au plan local le parti communiste parvenait à n’exister que grâce à des les alliances avec les socialistes eux-mêmes en recul.

Perte d’autonomie: Financement privé ?

 Perte d’autonomie: Financement privé ? 

 

Le financier Julien Brami prône, dans une tribune au « Monde », la transformation d’une partie de l’assurance-vie en rente, en cas de dépendance, alors que la population de personnes âgées de 85 ans et plus sera multipliée par 3,2 en France d’ici 2050 pour atteindre 4,8 millions. (Le seul problème c’est que nombreux de français âgé n’ont pas la possibilité de développer d’épargne suffisante  par exemple dans l’assurance-vie NDLR)

 

Tribune.

 

Alors que la crise sanitaire a révélé certaines limites de notre système de prise en charge de la perte d’autonomie, l’intégration du risque de dépendance dans la nouvelle loi de financement de la Sécurité sociale, promulguée en août 2020, marque évidemment une avancée, mais elle nous invite à nous interroger collectivement sur les solutions que nous pouvons apporter face à ce défi majeur.

Pour comprendre l’ampleur de l’enjeu, il faut avoir conscience que la dynamique démographique va mener dans les prochaines décennies à une croissance significative du nombre de personnes âgées dépendantes.

D’après le rapport « Concertation. Grand âge et autonomie » remis en mars 2019 par Dominique Libault à Agnès Buzyn, alors ministre de la santé, la population de personnes âgées de 85 ans et plus sera multipliée par 3,2 en France d’ici 2050 pour atteindre 4,8 millions. Cela devrait représenter 2,2 millions de personnes en perte d’autonomie, contre 1,3 million en 2017. Or la prise en charge de la dépendance s’avère extrêmement coûteuse. Déjà en 2014, 30 milliards d’euros y étaient consacrés, dont 80 % de dépenses publiques.


Les montants en jeu permettent d’appréhender la complexité de la tâche. La perte d’autonomie induit des frais significatifs pour la personne concernée mais également souvent pour ses proches. Une prise en charge partielle par la collectivité apporte un début de réponse, mais on ne peut faire l’économie d’une réflexion sur le rôle complémentaire que doit jouer l’épargne des ménages dans le financement de la dépendance. Professionnels de la gestion de patrimoine et de la gestion d’actifs, nous devons trouver les mécanismes idoines pour faire contribuer plus efficacement l’épargne accumulée tout au long de la vie lorsque arrive la perte d’autonomie.

L’une des pistes que nous pourrions mettre en œuvre serait d’ouvrir la possibilité, sur l’ensemble des contrats d’assurance-vie existants ou à venir, de convertir tout ou partie de l’épargne en une rente adaptée et spécifique aux besoins d’une personne dépendante. Le système de « rente améliorée » existant outre-Manche pourrait s’avérer une source d’inspiration judicieuse.

 

En partant du principe qu’à partir de 80 ans, une personne dépendante vit en moyenne quatre ans, la rente devra être conséquente, notamment pour couvrir les frais liés à la prise en charge de la perte d’autonomie. D’après une étude du CSA [menée en 2014], les plus de 75 ans détiennent en moyenne 63 000 euros d’encours sur leur contrat d’assurance-vie.

Une perte de confiance dans la justice

Une perte de confiance dans la justice

Chantal Arens et François Molins, les plus hauts responsables de l’institution judiciaire, respectivement première présidente et procureur général de la Cour de Cassation, constatent  aussi une perte de confiance dans la justice dans une interview au JDD. Les intéressés défendent l’institution ce qu’on peut comprendre et ils réclament aussi une augmentation significative des moyens responsables à leurs yeux des dysfonctionnements actuels. Reste qu’ils font l’impasse sur la problématique de la violence dans la société actuelle, plus généralement sur les incivilités et sur toute évaluation du fonctionnement de la justice. Bref une défense un peu trop corporatiste.

Les Etats généraux de la justice sont organisés à votre demande : pourquoi était-ce si nécessaire et urgent?
Chantal Arens : L’institution judiciaire qui, en dépit du fort investissement des magistrats et fonctionnaires de greffe, est en difficulté depuis longtemps, fait depuis quelques semaines l’objet de nouvelles attaques inadmissibles. Nous avons dénoncé à de multiples occasions les difficultés de la justice, anciennes, profondes, et encore aggravées par la crise sanitaire : manque de magistrats et de greffiers, manque de moyens matériels, faille numérique, multiplication de réformes parfois votées dans la précipitation… Les mises en cause récentes, à quelques mois des élections régionales nous ont fait à nouveau réagir car elles fragilisent dangereusement les institutions démocratiques. Il est urgent de se mettre autour de la table pour dresser un état des lieux complet et sans tabou et faire des propositions dans l’objectif de préserver l’Etat de droit. Les attentes des citoyens et de l’institution judiciaire sont fortes.

 
François Molins : La justice fait depuis quelques mois l’objet de critiques récurrentes et chaque fois un peu plus violentes. Celles-ci sont d’autant plus graves quand elles émanent des politiques qui devraient pourtant s’attacher au respect des institutions et ne pas être à l’origine de la perte de confiance en celles-ci. Il n’est pas possible, dans un Etat de droit, d’accepter que l’institution judiciaire soit ainsi décrédibilisée et déstabilisée. Et il est très dangereux d’opposer ainsi les institutions entre elles. Il faut aussi redonner toute sa place à la justice et le fait qu’elle n’ait pas été considérée comme un service essentiel de l’Etat pendant le premier confinement est malheureusement révélateur d’un manque de considération alors même que sa mission est essentielle. Le Conseil supérieur de la magistrature, dont le rôle constitutionnel est notamment d’assister le président de la République dans son rôle de garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire, a donc souhaité alerter le président sur l’urgence de la situation à laquelle il est désormais nécessaire d’apporter une réponse globale. Et nous devons être optimistes face à l’annonce de la mise en place de ces Etats généraux.

 

Dans le livre Rendre la justice*, vous dénoncez, Chantal Arens, la « crise de confiance que traverse la justice », accentuée par « la perte de repères ». François Molins, dans ce même ouvrage, vous déplorez la « défiance » ancienne des politiques et celle, plus récente, des citoyens, envers la justice. Ces Etats généraux sont-ils un moyen d’y remédier?
C. A. : Le périmètre d’intervention du juge s’est beaucoup élargi ces trente dernières années. En plus de sa mission originelle de résoudre les litiges qui lui sont soumis, le juge est désormais régulateur, contrôleur, gestionnaire… Son image se brouille auprès de nos concitoyens et cette perte de repères s’accompagne d’un déficit de confiance, d’une remise en cause de sa légitimité. Juger se fait toujours plus difficile mais les justiciables attendent toujours beaucoup de l’institution judiciaire : une justice sans délais, sans arriérés, sans pression des statistiques ; une justice simple, rapide et intelligible. Il faut donc à la fois asseoir la confiance des justiciables et donner à la justice les moyens de jouer pleinement son rôle de garant de l’Etat de droit et de la démocratie, et pour cela, se poser les questions de savoir sur quoi se fonde la légitimité du juge et de quelle justice souhaite-t-on doter notre pays. Les Etats généraux devront en premier lieu répondre à ces questions.
F. M. : La défiance des hommes politiques face à la justice n’est en effet pas récente. Mais une perte de confiance des citoyens face à la justice se fait également sentir ces derniers temps, et il est urgent de les réconcilier avec l’institution. Si la lenteur de la justice reste au cœur des préoccupations des justiciables, s’y ajoute aujourd’hui une incompréhension face à certaines décisions. Si la critique des décisions de justice fait partie du débat démocratique, la contestation croissante de celles-ci doit nous amener à nous interroger sur comment faire preuve de pédagogie et réfléchir aux moyens permettant à l’institution de mieux expliquer les décisions qu’elle rend. Mais elle ne pourra le faire que si elle est en mesure de rendre des décisions de façon sereine et dans des conditions matérielles convenables.

Que pensez-vous des audiences filmées, censées faire œuvre de pédagogie et mieux faire connaître la justice à nos concitoyens?
C. A. : La justice est finalement peu connue de nos concitoyens et souvent mal comprise. D’abord, le droit comme l’organisation judiciaire sont complexes ; ensuite, on ne découvre la justice que lorsqu’on est en litige ou lorsque l’on est auteur ou victime d’une infraction, bref lorsque l’on est directement concerné. Si les audiences filmées peuvent permettre, dans le respect des droits fondamentaux des citoyens, de mieux faire connaitre l’institution judiciaire, de montrer combien juger est difficile et dans quelles conditions la justice est rendue, et assurée par des professionnels, magistrats, greffiers, avocats, tous pleinement investis et conscients de l’importance de leur mission, alors filmer les audiences est une bonne chose.
F. M. : Je suis tout à fait favorable à une telle mesure. Avoir autorisé l’enregistrement de certains procès à dimension historique avait été un réel progrès, mais finalement trop peu d’audiences sont concernées et les enregistrements ne sont accessibles que de nombreuses années après la tenue des débats. Il paraît donc opportun d’étendre la possibilité de filmer les audiences de la justice quotidienne, celle-ci étant encore trop méconnue et de montrer ainsi ce que représente l’acte de juger au sens large du terme. Il faut en revanche bannir toute « justice-spectacle » et s’assurer que l’enregistrement des audiences se fera dans le respect des principes de présomption d’innocence, de respect de la dignité des parties et de sérénité des débats.

La justice traverse-t-elle une grande crise dans l’opinion?
C. A. : Il est indéniable que les institutions régaliennes, notamment l’institution judiciaire, sont fragilisées et il est inquiétant de constater que certaines attaques proviennent directement de responsables qui ont le devoir de préserver les principes fondateurs de notre démocratie, au premier rang desquels la séparation des pouvoirs. Il faut en même temps entendre cette défiance de l’opinion publique, en comprendre les causes et identifier des solutions pour y remédier. J’ai déjà exposé plusieurs pistes de réflexion lorsque l’occasion m’en a été donnée. Les Etats généraux en sont une nouvelle.
F. M. : La participation récente de nombreux représentants de la classe politique à une manifestation de policiers où certains avaient pour slogan principal que « le problème de la police était la justice », ou que la justice « est trop laxiste » est très inquiétante. Et le fait que certains syndicats de police portent ce message ne peut nous rassurer. Mais je tiens à dire ici que cela ne reflète aucunement les relations quotidiennes de très grande qualité qu’entretiennent localement les magistrats et la police judiciaire. Les deux souffrent en revanche pareillement d’un manque de moyens criant qui ne leur permet pas de répondre de façon satisfaisante aux attentes des citoyens notamment dans la conduite rapide des enquêtes. Il faut donc entendre les critiques que la société porte sur sa justice, mais il faut donner à la justice les moyens de répondre aux attentes des justiciables.

Dans ce contexte qu’attendez-vous des propositions du Conseil supérieur de la magistrature demandées par Emmanuel Macron, pour améliorer la responsabilité des juges?
F. M. et C. A. : Le Conseil supérieur de la magistrature travaille depuis le mois de septembre 2020 sur la question de la responsabilité des magistrats, mais également sur celle de la protection des magistrats lorsqu’ils font l’objet d’attaques extérieures et d’atteintes portées à leur indépendance. Le Conseil supérieur de la magistrature proposera donc prochainement au Président de la République des mesures destinées à améliorer la responsabilité des magistrats qui pourraient servir de base à une modification des textes encadrant celle-ci et à une évolution des pratiques dans le respect de l’indépendance qui leur est garantie par la Constitution.

 

François Molins, votre chapitre dans le livre dirigé par Robert Salis porte sur l’indépendance. Est-ce le point essentiel de la justice? Est-elle menacée?
F. M. : L’indépendance de la justice est un principe constitutionnel et fondamental dans un Etat de droit. Elle découle de la séparation de pouvoirs. Sans indépendance, la justice ne peut inspirer aucune confiance aux citoyens. Elle est aussi la nécessaire condition d’un procès équitable. Il faut donc que tous s’attèlent à la protéger. S’il est indispensable que la justice puisse être rendue sans subir de pressions, il faut aussi que la justice donne des gages d’indépendance. Aussi, je plaide aujourd’hui pour une réforme du statut du parquet afin que les procureurs, les procureurs généraux et les magistrats du parquet général de la Cour de cassation soient, à l’instar des magistrats du siège, directement nommés par le conseil supérieur de la magistrature et non par le pouvoir politique.

 

D’une manière générale qu’attendez-vous de ces Etats généraux?
C. A. : Je suis à la fois optimiste et lucide. Optimiste car je sais qu’il existe, au-delà de la question des moyens, des voies pour traverser cette crise et la transcender. Nos modes d’organisation doivent être repensés en profondeur pour offrir un accès au juge et un débat judiciaire de qualité à tous. Lucide car je sais que le rythme politique n’est pas toujours en adéquation avec la mise en œuvre dans la durée d’une justice digne et performante. Saisir cependant la main qui nous est tendue est essentiel pour la préservation de nos équilibres démocratiques.
F. M. : Il faut que ces Etats généraux nous permettent de nous attacher aux problèmes de fond, structurels et endémiques dont souffre la justice : le manque de moyens tout d’abord qui ne permet pas aux personnels judiciaires, que sont les magistrats, les greffiers, les personnels de la protection judiciaire de la jeunesse et l’administration pénitentiaire de remplir leurs missions sereinement et dans des conditions correctes, permettant de répondre de façon satisfaisante aux attentes des justiciables. Et si nous ne pouvons que saluer l’augmentation du budget de la justice, il reste encore trop insuffisant face au retard pris. Par ailleurs, dans le respect des grands principes d’indépendance et de séparation des pouvoirs, il est désormais essentiel de remettre la justice au cœur de la société, et mettre fin à cette dérive qui veut trop souvent les opposer.

TOURISME : UNE PERTE DE 30 MILLIARDS

TOURISME : UNE PERTE DE 30 MILLIARDS

Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État chargé du Tourisme fait le point des pertes dans une interview sur BFM

Quel bilan pour le secteur touristique au bout d’une année de crise sanitaire? « Un an de Covid pour le tourisme, c’est naturellement un grand choc », notamment en pertes de recettes perdues, résume ce mardi soir Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État chargé du Tourisme, sur le plateau de BFM Business.

« On a perdu 50% » des recettes qui, en temps normal, s’élèvent à 60 milliards d’euros pour la filière touristique française. Soit une facture « d’au moins 30″ milliards d’euros, à laquelle il faut ajouter 28 milliards d’euros d’aides pour les acteurs du secteur.

La crise sanitaire « a aussi été une prise de conscience, pas pour les acteurs du secteur, mais pour un certain nombre de personnes extérieures, de l’importance du tourisme. On a bien vu que ce secteur entraînait (…) en amont, tous les producteurs, (qui) achalandent les restaurants, et en aval, des services (comme) les transports. Je pense qu’il y a eu cette prise de conscience en France », estime Jean-Baptiste Lemoyne.

 Par ailleurs, les acteurs du tourisme « se sont regroupés et on a travaillé tous ensemble au sein du comité de filière, alors qu’avant, il y a trois-quatre ans, les différents secteurs du tourisme étaient un peu chacun de leur côté. La crise a fait que tout le monde s’est fédéré, on s’est serré les coudes, et je pense que c’est un acquis pour la suite, pour rebondir et pour travailler ensemble », poursuit le ministre.

Pour le secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, la crise a aussi été « un accélérateur en termes de tendances », comme le tourisme durable, « pas seulement parce qu’il y a une demande des clients, mais parce que l’offre évolue elle-même ».

La perte de mémoire du 10 mai 1981 par le PS

  • La perte de mémoire du 10 mai 1981 par le  PS
  • Une grosse perte de mémoire au parti socialiste à propos du 10 mai 81 qui devrait faire l’objet d’une célébration de la victoire de Mitterrand. Le problème c’est que les socialistes sont très divisés sur le bilan du parti et de Mitterrand. Du coup, le parti socialiste officiel, ce qu’il en reste, ne participera pas à l’événement.
  • Ce sont surtout les anciens et les caciques qui seront présents à une cérémonie organisée dimanche au Creusot. S’y retrouveront notamment. Jean Glavany , Lionel Jospin. Pierre Joxe, d’autres anciens ministres, François Rebsamen ou Jean-Pierre Sueur. Bernard Cazeneuve aussi et François Hollande, bien sûr. Anne Hidalgo, maire PS de Paris et possible candidate à la présidentielle se devait d’y être.
  •  Les raisons de cette division tiennent dans le fait que le PS n’a jamais sue faire encore le bilan de sa gestion pendant les 14 ans qu’il a été au pouvoir.

Airbus : perte de commandes

Airbus : perte de commandes

 

Jusque-là, Airbus c’était assez bien sorti de la crise sanitaire et de l’écroulement de l’activité aérienne grâce à la performance de ses appareils face aux difficultés techniques que rencontrent actuellement Boeing ( 737 Max et maintenant 777). Cependant le constructeur ne peut éviter des les annulations de commandes. Dernier exemple, l ‘annulation par la compagnie aérienne Norwegian Air en difficultés de plusieurs milliards de dollars de commandes a laissé le groupe aéronautique européen Airbus avec plus d’annulations que de commandes brutes depuis le début de l’année.

Le mois dernier, la compagnie Norwegian Air a obtenu l’accord de la justice irlandaise pour annuler les 88 appareils commandés à Airbus alors que la compagnie cherche à éviter l’effondrement.

Au final, pour les mois de janvier et de février, Airbus a fait état de 92 annulations et 11 commandes brutes d’appareils, soit un carnet de commandes brutes négatif de 81 appareils.

Le groupe dit aussi avoir livré 53 appareils entre janvier et février.

 

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