Archive pour le Tag 'personnes'

Cryptomonnaies : six personnes devant la justice

Cryptomonnaies : six personnes devant la justice

 

Nouvelle escroquerie aux cryptomonnaie. A Paris ,  six personnes ont été mises en examen. 

«Six personnes déférées ont été mises en examen par le magistrat instructeur. Les chefs de mise en examen sont les suivants : vol en bande organisée, blanchiment aggravé, participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime, accès et maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données commis en bande organisée.

Plusieurs suspects étaient d’origine serbe.

Le mode opératoire serait le suivant: «les mis en cause sont soupçonnés d’avoir proposé des investissements fallacieux, et de prétendre vérifier la fiabilité financière de leurs victimes par un virement en cryptomonnaie, tout en observant les codes créés pour en obtenir le déverrouillage», d’après le parquet. Toujours de même source, «le préjudice est estimé à plus d’1,2 million d’euros

DZ Mafia: 100 personnes devant la justice

DZ Mafia:  100 personnes devant la justice 

119 personnes ont été interpellées, dont plus de 100 mises en examen, depuis le 1er octobre en lien avec le gang marseillais de narcotrafiquants DZ Mafia, à l’issue d’enquêtes qui ont prouvé la diversification du réseau, ont annoncé samedi la police et le parquet marseillais.

Lors d’une conférence de presse, le procureur de Marseille Nicolas Bessone a notamment fait état de « commanditaires communs » dans deux affaires emblématiques récentes: l’attaque visant un véhicule dans lequel aurait dû se trouver le rappeur SCH, dont l’un des proches avait été tué, le 26 août à la sortie d’une discothèque de la Grande Motte (Hérault), et une extorsion de fonds visant le propriétaire d’une boîte de nuit et d’un restaurant et de commerces marseillais.

Il a souligné que ces affaires marquaient « l’extension du domaine d’activité de cette organisation criminelle » au-delà du trafic de drogues et avaient permis de démontrer ses liens avec le « banditisme traditionnel » ainsi que sa « capacité à se projeter » au-delà de sa région d’origine.

En 2023, le narcobanditisme avait coûté la vie à 49 personnes à Marseille, un sanglant record sur fond de bataille de territoires entre la DZ Mafia et un autre gang de narcotrafic, baptisé Yoda, le premier ayant finalement pris le dessus.

Santé : plus de 200 millions de personnes en surpoids aux États-Unis

Santé : plus de 200 millions de personnes en surpoids aux États-Unis

 

Aux États-Unis, l’épidémie de surpoids et d’obésité est en forte progression. Les enfants et les adolescents sont particulièrement touchés. Si rien n’est fait, d’ici à 2050, plus de 80 % des adultes et près de 60 % des adolescents américains seront concernés. En 2021, aux États-Unis, près de la moitié des adolescents et les trois quarts des adultes étaient considérés, d’un point de vue clinique, comme étant en surpoids ou obèses, ce qui représente 208 millions de personnes. En 1990, ces proportions étaient deux fois moindres. Si aucune mesure n’est prise, la tendance va s’aggraver : d’ici à 2025 plus de 80 % des adultes et près de 60 % des adolescents américains seront surpoids ou obèses.

 

par 

Affiliate Associate Professor of Global Health, University of Washington dans the Conversation 

 

Publiée dans la revue médicale The Lancet, ces chiffres sont issus d’une étude que nous avons menée avec le Global Burden of Disease Study 2021 U.S. Obesity Forecasting Collaborator Group, qui regroupe plus de 300 experts et chercheurs spécialisés dans l’obésité.

L’objectif de nos travaux était de rendre compte de l’évolution de l’obésité et du surpoids aux États-Unis entre 1990 et 2021, et d’élaborer des projections pour en estimer la progression jusqu’en 2050.

Pour les mener à bien, nous avons synthétisé et analysé les données d’indice de masse corporelle provenant de 132 sources différentes, telles que des études scientifiques, des enquêtes nationales et ainsi que d’autres menées au sein des États.

Nous avons considéré que les personnes de 18 ans et plus étaient en « surpoids » sitôt que leur indice de masse corporelle, ou IMC, se situait entre 25 kilogrammes par mètre carré (kg/m2) et 30 kg/m2. Au-delà, on parle plutôt d’obésité. En ce qui concerne les personnes de moins de 18 ans, nous nous sommes basés sur les critères de l’International Obesity Task Force.

Nos résultats sont d’importance, car les États-Unis ont déjà l’un des taux les plus élevés d’obésité et de surpoids au monde. Or, on sait que l’espérance de vie des personnes concernées s’en trouve réduite. Par ailleurs, cette situation limite la portée des avancées médicales comparativement aux bénéfices que peuvent en retirer les populations d’autres pays à revenu équivalent.

Des recherches antérieures avaient notamment démontré que l’obésité était responsable de 335 000 décès rien que pour l’année 2021. Elle augmente en particulier les risques de diabète, de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral, de cancer et de troubles psychiques. Il s’agit d’un facteur de risque majeur de mauvaise santé et de décès précoce. En outre, c’est aussi l’un de ceux qui progressent le plus rapidement.

Les implications économiques de l’obésité sont également conséquentes. Un rapport publié en 2024 par les membres républicains du Joint Economic Committee du Congrès des États-Unis a estimé que les coûts de santé liés à l’obésité atteindront 9,1 billions de dollars (soit 9,1 milliers de milliards de dollars) au cours de la prochaine décennie.

La progression de l’obésité chez les enfants et les adolescents est particulièrement préoccupante, le taux d’obésité ayant plus que doublé chez les adolescents âgés de 15 à 24 ans depuis 1990. Les données de l’Enquête nationale sur la santé et la nutrition révèlent qu’aux États-Unis, près de 20 % des enfants et adolescents âgés de 2 à 19 ans sont obèses.

D’ici 2050, nos résultats de prévisions suggèrent qu’un enfant sur cinq et un adolescent sur trois seront obèses. Or, on sait que dans ces deux catégories, l’obésité s’accompagne non seulement d’un développement précoce de maladies chroniques, mais aussi de troubles de santé mentale, ainsi que d’une dégradation des interactions sociales, et d’une dégradation des capacités physiques.

Nos recherches ont également mis en évidence d’importantes disparités géographiques dans la prévalence du surpoids et de l’obésité d’un État à l’autre, les États du sud affichant certains des taux les plus élevés.

D’autres travaux menés sur l’obésité aux États-Unis avaient également souligné de grandes différences d’ordres socio-économiques et ethniques, suggérant par exemple que les populations noires et hispaniques présentaient des taux d’obésité plus élevés que les populations blanches.

Ces disparités sont par ailleurs exacerbées par certaines barrières dites « systémiques » : discrimination, inégalité d’accès à l’éducation, aux soins de santé ou aux opportunités économiques, notamment.

Parmi les interventions qui ont fait preuve de leur efficacité contre l’obésité, on peut notamment citer la taxation des boissons sucrées. Des recherches récentes menées à Seattle ont ainsi démontré que cette dernière réduit l’indice de masse corporelle moyen chez les enfants. Diverses études ont également examiné les résultats d’initiatives visant à améliorer l’accès à l’activité physique et à des aliments sains, en particulier dans les zones les moins bien dotées.

Par ailleurs, un nombre croissant d’études est mené pour évaluer le potentiel des interventions comportementales pilotées par la technologie, autrement dit l’emploi d’applications mobiles pour aider les personnes à mieux gérer leur poids. Pour l’instant, la question de l’efficacité de ces approches, ainsi que de leur évolutivité, reste ouverte, ce qui en limite l’adoption et le potentiel impact à grande échelle.

Enfin, des recherches cliniques sont entreprises afin de mettre au point de nouveaux médicaments contre l’obésité (et de surveiller l’efficacité et la sécurité des médicaments actuels).

L’avènement de nouveaux médicaments pourrait changer significativement la gestion de l’obésité. Mais il ne suffit pas de les mettre au point pour s’assurer que leurs effets seront d’une ampleur suffisante pour modifier significativement les tendances des décennies à venir. En effet, pour cela, de nombreux facteurs entreront en ligne de compte : coût de ces nouvelles molécules, accessibilité, efficacité à long terme, variabilité de la réponse d’un patient à l’autre, etc. Autant de paramètres que les scientifiques devront s’assurer d’étudier en profondeur à l’avenir.

Fiscalité : une deuxième journée de solidarité pour les personnes âgées et handicapées

Fiscalité : une deuxième journée de solidarité pour les personnes âgées et handicapées

 

Faute de d’avoir engagé une réflexion globale pour le financement du quatrième âge, on  risque de se rabattre sur la proposition d’une nouvelle journée de solidarité financière pour les personnes âgées et handicapées. Vingt ans après la première, cette journée «pourrait se traduire par la suppression d’un jour férié». Elle «permettrait de générer 2,4 milliards d’euros de recettes supplémentaires» en faveur de l’autonomie des personnes âgées et handicapées, avance un rapport.

 Afin de financer la branche autonomie de la sécurité sociale, le Sénat propose de créer «une deuxième journée de solidarité». En d’autres termes, sacrifier un jour de repos, afin de travailler davantage, sans être rémunéré, pour le bien collectif. «La création d’une deuxième journée de solidarité, qui pourrait se traduire par la suppression d’un jour férié, permettrait de générer 2,4 milliards d’euros de recettes supplémentaires (3,3 milliards d’euros en augmentant symétriquement la contribution des retraités)», calculent les auteurs.

Pour rappel, la première journée de solidarité a été instaurée en 2004.

Encore un OQTF qui blesse quatre personnes à Lyon

Encore un OQTF qui blesse quatre personnes à Lyon

 Peu avant 15h, des usagers qui se trouvaient dans les couloirs et les rames du métro ont appelé le 17 pour signaler le comportement inquiétant de cet individu de nationalité marocaine, entré dans la rame à la station précédente, Debourg, sur la ligne B. Quelques instants plus tard, ce dernier a fait usage de son arme – un couteau à cran d’arrêt -, blessant quatre personnes.

L’individu a été interpellé quelques minutes plus tard devant la station Jaurès, explique de son côté au Figaro une source policière, assurant que l’opération s’est déroulée rapidement et sans encombre ni blessures, ce qu’a confirmé la préfecture. Comme pour l’individu fiché S interpellé début février armé d’un couteau dans le 8e arrondissement voisin, c’est un équipage de la Bac qui serait rapidement intervenu.

En France, le nombre d’étrangers en attente d’expulsion augmente chaque année. Le gouvernement a publié les chiffres officiels dans un rapport datant du 4 janvier.

Un chiffre qui a radicalement explosé ces dernières années. Le gouvernement a rendu public le nombre d’étrangers ayant l’«obligation de quitter le territoire français» (OQTF), dans un nouveau rapport à la Cour des comptes, publié le 4 janvier.

Entre 2019 et 2022, les préfets ont prononcé 447.257 obligations de quitter le territoire français (y compris outre-mer), un chiffre beaucoup plus élevé qu’il y a encore quelques années.

Sur les cinq dernières années, le nombre de OQTF délivrées a augmenté de 60%. Mais seule une petite minorité, autour de 10%, des obligations de quitter le territoire français a été exécutée, se traduisant par le départ effectif de la personne qui en est destinataire.

 

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées 

Viry-Châtillon. Cinq personnes, dont quatre mineurs, ont été interpellées et placées en garde à vue ce vendredi 5 avril, après la mort de Shamseddine.Une affaire évidemment dramatique de règlement de comptes dont on ignore pour l’instant les motifs mais qui révèlent la banalisation de la violence pour n’importe quelle raison et pas seulement le trafic de drogue. La preuve sans doute que le système de sanction est aujourd’hui complètement inadapté concernant les mineurs et qu’il faudra sans doute revenir rapidement aux anciennes maisons de correction sans doute appelé d’un nouveau nom type » institut d’insertion ». Aujourd’hui en effet la tolérance est telle que même les mots ne sont plus utilisés par peur de déplaire à certains . Si la violence se banalise ainsi c’est que toutes les règles de discipline et de respect sont ignorées. On ne peut plus désormais qualifier ces affaires de faits divers car il s’agit en réalité de faits de société qui préfigurent une insécurité généralisée voire le chaos.

Shamseddine, un garçon de 15 ans, scolarisé au collège des Sablons à Viry-Châtillon (Essonne), est décédé, ce vendredi en début d’après-midi, des suites de graves blessures provoquées par un sanglant passage à tabac aux abords de son établissement. Transféré hier à l’hôpital Necker en urgence absolue, il avait été par la suite opéré dans la nuit de jeudi à vendredi. Le parquet d’Évry, qui a communiqué cette information, précise aussi qu’une enquête a été ouverte des «chefs d’assassinat et de violences en réunion aux abords d’un établissement scolaire». éléments recueillis par les enquêteurs, être lié «à une histoire de filles». Le jeune ne serait pas connu des services de police, ni identifié dans une bande particulière du quartier, détaille-t-elle aussi. «Shamseddine, c’était quelqu’un de sociable, qui avait plein d’amis, pas de soucis. On le connaît depuis tout petit», abondent de leur côté deux adolescents très émus, à la sortie du collège Les Sablons ce vendredi, où une cellule psychologique a été ouverte.

 Les caméras de surveillance exploitées par les enquêteurs devraient permettre de comprendre comment les faits, dont les témoins semblent rares, se sont déroulés. C’est en tout cas ce qu’espère le maire centriste de la commune, Jean-Marie Vilain, qui précise que les images «ont été réquisitionnées par la police». Alors que des adolescents scolarisés au collège des Sablons quittaient l’établissement, pour beaucoup en larmes, ce vendredi, l’édile a également dénoncé une «ultraviolence» devenue «banale». Les agresseurs de Shamseddine «ont essayé de le massacrer», a poursuivi Jean-Marie Vilain, décrivant «des voyous de la pire espèce».
«Les faits dramatiques de Viry-Châtillon hier soir sont encore une preuve que l’ultra violence n’est pas simplement un sentiment d’insécurité mais une réalité», a déploré de son côté, le secrétaire départemental Un1té 91, Guillaume Roux, auprès du Figaro. «Quel que soit le motif, c’est un acte intolérable qui devra être très sévèrement puni.»

Enseignement et violences -Une force mobile nationale de 20 personnes !

Enseignement et violences -Une force mobile nationale  de 20 personnes !

La création d’une force scolaire mobile nationale par la ministre de l’éducation va générer sans doute beaucoup de perplexité. Comment en effet une vingtaine de personnes pouvant se déplacer sur l’ensemble du territoire pourrait résoudre en effet une crise générale d’autorité. Cette force mobile scolaire ressemble un peu aux CRS spécialisées pour lutter contre les violences. Il aurait  doute été plus efficace d’annoncer d’une part un renforcement de la formation des enseignants est un durcissement drastique des règles de discipline et des sanctions  pour l’école .

La ministre de l’Éducation Nicole Belloubet a annoncé ce vendredi 29 mars la création d’une «force mobile scolaire» nationale qui pourra être envoyée dans les établissements scolaires en cas de «difficultés» en termes de sécurité. «Je déploierai une force mobile scolaire qui sera nationale et qui pourra être projetée dans les établissements qui connaîtraient des difficultés», a indiqué la ministre.

«Cette force scolaire, qui permettra aux établissements qui sont en difficulté de prendre en charge pendant un temps assez long la difficulté, est destinée à rassurer les enseignants et les équipes éducatives», a-t-elle ajouté, lors d’un déplacement dans un lycée professionnel de Bordeaux dont les personnels ont récemment fait l’objet de «menaces».

 


Des personnes âgées poussées le lac de Créteil (Val-de-Marne)

Des personnes âgées poussées le lac de Créteil (Val-de-Marne)

Une enquête a été ouverte pour « violence » afin de tenter de trouver la personne qui pousse des personnes âgées dans le lac de Créteil (Val-de-Marne), a appris France Bleu Paris auprès du parquet de Créteil.

« Habituellement le lac de Créteil, c’est un lieu de détente, de sports et de loisirs, décrit Michel Noël, membre du collectif du lac de Créteil, à France Bleu Paris. C’est un lieu privilégié pour les personnes qui ont un certain âge ». Mais depuis le début du mois de février, trois personnes ont déposé plainte après avoir été poussées dans l’eau. Les faits se sont produits les 1er, 7 et 8 février, selon le parquet de Créteil.

Les victimes ont été « poussées à leur insu, par surprise dans le lac », raconte Michel Noël. L’un des membres du collectif, âgé de 73 ans a « reçu un coup de poing monumental dans le visage ».

Une enquête est ouverte, menée par le commissariat de Créteil pour « violences ». Le collectif du lac de Créteil a quant à lui lancé un appel à témoins sur sa page Facebook.

l’Icon of the Seas, nouveau paquebot Usine avec 10 000 personnes à bord

 l’Icon of the Seas, nouveau paquebot ville  avec 10 000 personnes à bord !

Le nouveau paquebot américain est une sorte de ville flottante complètement démesurée confirmant que les individus mêmesen vacances ont besoin de cette concentration incohérente pour exister. Ce paquebot, ville flottante, peut accueillir un maximum de 7600 passagers et 2350 membres d’équipage, il est le nouveau roi des superlatifs où les vacanciers du monde entier (mais surtout Américains) vont embarquer en famille. Certains y voient un monstre des océans, d’autres une prouesse technologique mais sûrement pas écologique: . 250.000 tonnes, sept piscines, six toboggans aquatiques, 40 points de restauration, un immense dôme en verre surplombant la passerelle et -unique au monde – une chute d’eau haute de 16 mètres. Une longueur totale de 365 mètres de long et plus haut que la tour Eiffel !

 

Notons aussi qu’on peut discuter l’intérêt réellement touristique de cet immeuble sur l’eau dans la mesure où la plupart des passagers ne quitteront pas le navire et passeront leur temps à jouer aux jeux d’argent et surtout à acheter des produits inutiles et coûteux dans les centaines de boutiques présentes sur place.

 

Terrorisme : « 10.000 personnes à surveiller en France »

Terrorisme : « 10.000 personnes à surveiller en France » (Driss Aït Youssef)

Driss Aït Youssef, docteur en droit public explique dans la  » Tribune » la complexité à surveiller tous les fichés S en France.

Selon le docteur en droit public, spécialiste en sécurité globale, les services de police font leur maximum mais butent sur un manque de moyens humains.


Combien d’individus présentent le profil de radicalisé ?

Il y a en France 5 300 fichés S pour islamisme ; 3 000 de la mouvance ultragauche et 1 300 d’ultradroite. Et il y a plus de 350 personnes condamnées dans des affaires terroristes en liberté sur le territoire après avoir purgé leur peine. Cela fait environ 10 000 personnes à surveiller. La DGSI a 5 000 agents, il en faudrait au moins 8 000 pour couvrir l’ensemble des menaces. D’autant que certains se radicalisent lentement et sont très difficiles à détecter. Rappelons qu’un fichage S n’est pas un délit, c’est un outil de travail pour les services de police. Les policiers prennent en charge, à plusieurs, un individu, essaient de lever les doutes, puis passent à un autre « fiché ».

Comment améliorer leur surveillance ?

Les services font leur maximum mais il y a un manque de moyens humains. Au niveau judiciaire, la qualification d’« association de malfaiteurs terroriste » permet de réprimer la préparation d’attentat avant le passage à l’acte. Être radicalisé, voyager en Irak et posséder une arme, par exemple, peut entraîner une incarcération. Mais le risque zéro n’existe pas, certains s’entourent de telles précautions qu’il est compliqué d’intervenir. L’assassin d’Arras était surveillé par la DGSI, il avait été contrôlé la veille par un équipage de police classique pour ne pas éveiller ses soupçons et pour vérifier qu’il ne portait pas d’arme. Il s’est sans doute senti surveillé et a décidé d’agir.

Il est en situation irrégulière mais non expulsable parce qu’arrivé en France avant ses 13 ans. Faut-il supprimer cette limite d’âge ?

Absolument. Le fait d’arriver très jeune sur le territoire ne doit pas protéger contre une expulsion dans le cas où son comportement serait incompatible avec son maintien sur le territoire. Plus généralement, il faut faire appliquer les obligations de quitter le territoire [OQTF], augmenter le nombre de places dans les centres de rétention administrative et faire inscrire les demandes d’asile depuis l’étranger. Ces réformes sont urgentes afin de mieux traiter l’augmentation des flux migratoires. Ce ne sera fait qu’avec un appui fort de l’Union européenne pour lutter contre les puissants trafics d’êtres humains. Les Français réclament cette réforme, ainsi que les étrangers qui ont fait un effort très important d’intégration et qui ne souhaitent pas devenir les destinataires d’un opprobre national.

La hausse des atteintes à la laïcité à l’école et le débat sur les abayas sont-ils des signes de radicalisation des élèves ?

Oui, et il y en a eu d’autres, une prière collective organisée dans un lycée du sud de la France, des refus d’enlever le voile à l’entrée des établissements. Ce sont les conséquences d’une erreur grave, celle d’avoir négligé l’Éducation nationale et l’autorité parentale. On s’est trompé en pensant que le ministère de l’Intérieur pourrait tout gérer. On a occulté la responsabilité parentale et le rôle des professeurs dans la formation des esprits citoyens. On ne peut espérer que la police et la justice règlent tout. D’autant qu’à l’issue d’une incarcération le fanatisme demeure, voire s’aggrave. Il est très difficile de faire renoncer les radicalisés à leur idéologie. Il faut miser, en amont, sur l’éducation et accompagner les parents. Leur concours est crucial pour prévenir la radicalisation. Sur ces points, notre échec saute aux yeux.

Ces attentats sont-ils aussi la conséquence de conflits extérieurs, comme celui qui oppose Israël au Hamas?

L’assassinat du professeur d’Arras Dominique Bernard n’est probablement pas en lien direct avec les exactions du Hamas, mais il y a depuis le 7 octobre une atmosphère propice au passage à l’acte. Et depuis les années 1990, des organisations d’extrême gauche ont importé et instrumentalisé les guerres au Moyen-Orient dans les banlieues françaises. Avec des effets néfastes.

Terrorisme: 10.000 personnes à surveiller

Terrorisme: 10.000 personnes à surveiller


Driss Aït Youssef, docteur en droit public nous explique la complexité à surveiller tous les fichés S en France. Interview dans la Tribune

Le corps enseignant est de nouveau attaqué. Pourquoi l’école est-elle prise pour cible par les terroristes islamistes ?

DRISS AÏT YOUSSEF- Parce que l’Éducation nationale est le berceau de la République. Ce sont les professeurs, ceux d’histoire notamment, qui transmettent les savoirs, qui développent l’esprit critique des élèves face aux thèses obscurantistes, complotistes et antisémites, qui apprennent ce qu’est la laïcité. Les islamistes opèrent ainsi partout dans le monde. En Afghanistan, les talibans ferment les écoles. En Irak et en Syrie, Daech a démoli les sites antiques. Ils savent que pour détruire une nation il faut d’abord détruire son histoire.


Combien d’individus présentent ce profil de radicalisé ?

Il y a en France 5 300 fichés S pour islamisme ; 3 000 de la mouvance ultragauche et 1 300 d’ultradroite. Et il y a plus de 350 personnes condamnées dans des affaires terroristes en liberté sur le territoire après avoir purgé leur peine. Cela fait environ 10 000 personnes à surveiller. La DGSI a 5 000 agents, il en faudrait au moins 8 000 pour couvrir l’ensemble des menaces. D’autant que certains se radicalisent lentement et sont très difficiles à détecter. Rappelons qu’un fichage S n’est pas un délit, c’est un outil de travail pour les services de police. Les policiers prennent en charge, à plusieurs, un individu, essaient de lever les doutes, puis passent à un autre « fiché ».

Comment améliorer leur surveillance ?

Les services font leur maximum mais il y a un manque de moyens humains. Au niveau judiciaire, la qualification d’« association de malfaiteurs terroriste » permet de réprimer la préparation d’attentat avant le passage à l’acte. Être radicalisé, voyager en Irak et posséder une arme, par exemple, peut entraîner une incarcération. Mais le risque zéro n’existe pas, certains s’entourent de telles précautions qu’il est compliqué d’intervenir. L’assassin d’Arras était surveillé par la DGSI, il avait été contrôlé la veille par un équipage de police classique pour ne pas éveiller ses soupçons et pour vérifier qu’il ne portait pas d’arme. Il s’est sans doute senti surveillé et a décidé d’agir.

Il est en situation irrégulière mais non expulsable parce qu’arrivé en France avant ses 13 ans. Faut-il supprimer cette limite d’âge ?

Absolument. Le fait d’arriver très jeune sur le territoire ne doit pas protéger contre une expulsion dans le cas où son comportement serait incompatible avec son maintien sur le territoire. Plus généralement, il faut faire appliquer les obligations de quitter le territoire [OQTF], augmenter le nombre de places dans les centres de rétention administrative et faire inscrire les demandes d’asile depuis l’étranger. Ces réformes sont urgentes afin de mieux traiter l’augmentation des flux migratoires. Ce ne sera fait qu’avec un appui fort de l’Union européenne pour lutter contre les puissants trafics d’êtres humains. Les Français réclament cette réforme, ainsi que les étrangers qui ont fait un effort très important d’intégration et qui ne souhaitent pas devenir les destinataires d’un opprobre national.

La hausse des atteintes à la laïcité à l’école et le débat sur les abayas sont-ils des signes de radicalisation des élèves ?

Oui, et il y en a eu d’autres, une prière collective organisée dans un lycée du sud de la France, des refus d’enlever le voile à l’entrée des établissements. Ce sont les conséquences d’une erreur grave, celle d’avoir négligé l’Éducation nationale et l’autorité parentale. On s’est trompé en pensant que le ministère de l’Intérieur pourrait tout gérer. On a occulté la responsabilité parentale et le rôle des professeurs dans la formation des esprits citoyens. On ne peut espérer que la police et la justice règlent tout. D’autant qu’à l’issue d’une incarcération le fanatisme demeure, voire s’aggrave. Il est très difficile de faire renoncer les radicalisés à leur idéologie. Il faut miser, en amont, sur l’éducation et accompagner les parents. Leur concours est crucial pour prévenir la radicalisation. Sur ces points, notre échec saute aux yeux.

Ces attentats sont-ils aussi la conséquence de conflits extérieurs, comme celui qui oppose Israël au Hamas?

L’assassinat du professeur d’Arras Dominique Bernard n’est probablement pas en lien direct avec les exactions du Hamas, mais il y a depuis le 7 octobre une atmosphère propice au passage à l’acte. Et depuis les années 1990, des organisations d’extrême gauche ont importé et instrumentalisé les guerres au Moyen-Orient dans les banlieues françaises. Avec des effets néfastes.

Grande pauvreté: au moins 2 millions de personnes

Grande pauvreté: au moins 2 millions de personnes


Beaucoup de personnes relevant de la grande pauvreté vive avec moins de 800 € par mois. L’INSEE estime tout d’abord que 1,6 million de personnes, soit 2,4 % de la population, sont en situation de grande pauvreté si on considère celles qui vivent dans un logement dit « ordinaire » (c’est-à-dire hors habitats collectifs comme les prisons, maisons de retraite, etc.). Les personnes comptabilisées comme très pauvres par l’Insee cumulent deux conditions : elles vivent sous le seuil de pauvreté à 50 % – environ 900 euros par mois pour un adulte seul – et, en même temps, déclarent sept privations sévères sur une liste de treize. Cette liste comprend par exemple l’incapacité de maintenir son logement à bonne température, de s’acheter des vêtements neufs, d’avoir deux paires de bonnes chaussures, etc. L’Insee mêle une définition monétaire et une appréciation subjective des conditions de vie.

Qui va payer l’addition de l’inflation ? En moyenne, on aura enregistré une inflation de leurs de 5 % pour chacune des années 2022 et 2023, du jamais vu depuis 40 ans. Tous ceux dont les revenus ne sont pas augmentés vont donc perdre, en moyenne, 5 % de pouvoir d’achat. Avec le même revenu, ils pourront acheter moins de biens et de services. Les pauvres vont-ils devenir de plus en plus pauvres ? Les analyses ne manquent pas après des décennies de stabilité des prix, mais les conclusions sont souvent très confuses.

Un tiers des personnes en situation de grande pauvreté sont des enfants de moins de 18 ans alors que ceux-ci représentent 20 % de la population totale. Cette pauvreté des mineurs est la conséquence de l’importance de la pauvreté des familles monoparentales – essentiellement des femmes seules avec enfant(s) – qui représentent un quart des très pauvres contre 10 % de la population. 18 % des personnes très pauvres vivent dans les départements d’outre-mer (hors Mayotte), alors que ces derniers représentent 3 % de l’ensemble de la population française. En France métropolitaine, elles sont surreprésentées en Île-de-France, dans le nord de la France et le pourtour méditerranéen. Près de 30 % sont des salariés ou indépendants qui ne touchent que des miettes de revenus et, parmi ceux qui sont d’âge actif ou ont déjà travaillé, les trois quarts sont des ouvriers ou des employés.

Le seuil d’environ 900 euros mensuels pour une personne seule est un maximum. La moitié des personnes très pauvres vivent avec moins de 800 euros par mois quand elles vivent dans un logement ordinaire, et avec moins de 430 euros pour les autres. 80 % d’entre elles disent ne pas avoir les moyens de s’acheter des vêtements neufs, et plus de la moitié ne pas disposer de deux paires de bonnes chaussures. 90 % ne peuvent pas financer une semaine de vacances hors de leur domicile. Ces personnes survivent grâce au soutien de la collectivité : les prestations sociales représentent plus de la moitié de leurs revenus.

La situation de grande pauvreté n’est pas un état définitif. L’Insee note ainsi que parmi les personnes qui étaient dans cette situation entre 2013 et 2015, les trois quarts ne le sont plus au bout de trois années. Ce qui ne veut pas dire qu’elles soient tirées d’affaire pour autant puisque les trois quarts demeurent sous le seuil de pauvreté monétaire à 60 %. Depuis l’envol de l’inflation, la grande pauvreté s’est encore approfondie.

Folie écologique: un paquebot transportant 10 000 personnes

Folie écologique: un paquebot transportant 10 000 personnes !


Commandé par la compagnie Royal Carribbean, un bateau de croisière peut accueillir près de 10.000 personnes à son bord

D’un tonnage brut de 250.800 tonnes, soit cinq fois la taille du Titanic, il peut transporter près de 10.000 personnes. 365 mètres de long, 46 mètres de haut, 20 étages… L’Icône des mers, qui a vu le jour sur le chantier naval de Turku en Finlande et qui a déjà effectué à la mi-juillet des premiers essais en mer concluants, a des allures de petite ville. Outre ses sept piscines, le géant compte de nombreuses boutiques, un parc aquatique, un simulateur de surf ou encore, une patinoire.

Afrique: Près d’un milliard de personnes concernées par les conflits de l’eau d’ici 2050

Afrique: Près d’un milliard de personnes concernées par les conflits de l’eau d’ici 2050

par
Sophie de Bruin
Researcher in Environmental Change, Vrije Universiteit Amsterdam


L’Afrique compte 66 bassins fluviaux transfrontaliers. Il s’agit notamment du bassin du Nil et des bassins du Juba-Shebelle et du lac Turkana dans la Corne de l’Afrique. Le risque de conflit peut augmenter avec la croissance démographique, l’intensification de l’utilisation de l’eau et les changements climatiques. Il n’existe pas de consensus sur les mécanismes précis qui alimentent les conflits dans ces bassins. Il est toutefois possible d’identifier les bassins où les risques devraient s’aggraver. Pour ce faire, on peut combiner les données sur les conditions de risque de conflit identifiées dans la littérature existante.

Dans une étude récente que j’ai menée avec trois chercheurs en systèmes d’eau de l’IHE Delft, de l’université d’Utrecht et de l’université de Wageningen & Recherche, nous avons proposé trois scénarios possibles concernant les risques de conflit dans les bassins fluviaux transfrontaliers mondiaux.

Notre étude prévoit que si rien ne change de manière substantielle dans la gestion des bassins fluviaux transfrontaliers et si le changement climatique s’aggrave, 920 millions de personnes vivront dans des bassins à risque de conflit très élevé à élevé d’ici 2050.

Si les nations améliorent l’utilisation de l’eau, renforcent la coopération et font davantage pour prévenir ou atténuer les conflits, ce nombre tombera à 536 millions.

Les traités sur l’eau et les organisations de bassin fluvial solides augmentent la probabilité d’une coopération stable et à long terme entre les États.

Notre étude combine des projections sur la construction de méga-barrages et la résilience institutionnelle. Elle a examiné les facteurs de risque hydroclimatiques, de gouvernance et socio-économiques. La combinaison de ces facteurs a permis de se faire une idée du risque global de conflit par bassin fluvial transfrontalier.

Nous avons utilisé une interprétation large des conflits liés aux ressources transfrontalières en eau. Il peut s’agir d’accusations, de tensions diplomatiques, de sanctions économiques ou de conflits violents.

Un manque de coopération entre les pays peut entraîner une perte des avantages qui pourraient découler d’activités communes. Il s’agit notamment de l’adaptation au changement climatique, de la protection de l’environnement et du développement socio-économique. Les tensions entre les États sur ces questions peuvent également s’étendre à d’autres secteurs, compromettant les relations politiques ou économiques régionales.

Nos résultats montrent que dans un scénario de statu quo – où aucun changement majeur n’est apporté – 920 millions de personnes sur les 4,4 milliards de personnes vivant dans des bassins fluviaux transfrontaliers vivront dans des bassins à risque de conflit très élevé à élevé d’ici à 2050. En Afrique, ce nombre inclut les habitants de l’Érythrée, de l’Éthiopie, du Rwanda, de l’Ouganda, du Kenya, de la Somalie, du Burkina Faso, de la Mauritanie et du Niger. Il inclut également les habitants du Mozambique, du Malawi, du Bénin et du Togo.

Dans le scénario “ambition élevée”, qui implique une amélioration des pratiques d’utilisation de l’eau et une plus grande résilience des institutions, ce nombre diminue pour atteindre 536 millions. Le scénario “ambition faible” implique une certaine amélioration de l’efficacité de l’utilisation de l’eau, de la capacité institutionnelle et de la qualité de la gouvernance. Selon ce scénario, 724 millions de personnes vivraient dans des bassins à risque de conflit très élevé à élevé d’ici 2050.

Les bassins d’Afrique et d’Asie en particulier devraient être confrontés à des risques globaux élevés, car plusieurs risques s’y télescopent. En Afrique, plusieurs bassins sont confrontés à des risques supplémentaires tels que la forte variabilité des flux d’eau et la disponibilité limitée de l’eau. Les pays en aval dépendent également des pays en amont.

Les tensions actuelles sur le Nil à propos du grand barrage de la Renaissance de l’Éthiopie, par exemple, pourraient s’aggraver lorsque l’Éthiopie décidera de construire plusieurs nouveaux méga-barrages hydroélectriques. L’Égypte et, dans une moindre mesure, le Soudan sont très dépendants des ressources en eau liées au bassin.

Notre étude montre que 11 autres grands barrages hydroélectriques pourraient être construits dans le bassin du Nil. Ces prévisions sont basées sur la faisabilité physique, le rendement énergétique et les coûts de construction. La projection tient compte de certaines restrictions, telles que les réserves naturelles protégées.

Sept de ces barrages seraient situés en Éthiopie et les quatre autres au Sud-Soudan. La construction de ces barrages se ferait dans un contexte de pénuries d’eau croissantes, de fortes dépendances à l’égard de l’eau et de ressources économiques limitées pour faire face aux risques liés à l’eau.

Ces nouveaux barrages pourraient aggraver les effets du changement climatique régional et les besoins en eau, en particulier lorsque la population et l’économie sont en pleine croissance. Bien que les spécialistes ne puissent pas prédire quand cela se produira, une sécheresse pluriannuelle dans le bassin du Nil est inévitable. Cela aurait de graves conséquences sur la répartition de l’eau.

La perspective d’une sécheresse pluriannuelle dans certaines parties du bassin du Nil exige des préparatifs dès aujourd’hui. Et même si l’impact des nouveaux barrages sera modéré, la perception du risque pourrait affecter la façon dont l’Égypte, par exemple, prend des décisions sur la coopération fluviale partagée.

Deux autres grands bassins – le Juba-Shebelle au Kenya, en Somalie et en Éthiopie, et le bassin du lac Turkana au Kenya et en Éthiopie – devraient être confrontés à des niveaux élevés de risque de conflit. Dans ces deux bassins, de multiples problèmes, tels que les conflits locaux, le faible développement humain et la disponibilité limitée de l’eau, s’y entrechoquent aujourd »hui.

Cette situation pourrait s’aggraver si des efforts supplémentaires ne sont pas déployés d’ici à 2050, en raison d’une croissance démographique relativement élevée et des effets du changement climatique, sans ressources suffisantes pour s’adapter.

Même dans notre scénario très ambitieux, qui implique des améliorations substantielles de la gestion de l’eau, de la gouvernance nationale globale et de la résilience institutionnelle, les bassins du Juba-Shebelle et du lac Turkana sont toujours confrontés à des risques élevés.

Les défis et les risques auxquels ces bassins sont confrontés doivent être explicitement inclus dans des plans plus larges. Par exemple, lorsque de grands barrages hydroélectriques sont construits, leur exploitation ne doit pas entraver les objectifs d’adaptation au climat de l’ensemble de la région.

France: 21.000 personnes espionnées en 2022

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D’après le dernier rapport de la commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR),20.958 personnes ont été espionnées l’année dernière.

Soit une baisse sensible de près de 9% au regard de près de 23.000 ciblées en 2021. Ce repli s’explique, observent les «gendarmes» des services secrets, par une «diminution du nombre de suspects surveillés au titre de la prévention du terrorisme : près de 1500 en moins, d’une année sur l’autre» . «De fait, on sait que le terrorisme (qui reste très majoritairement d’inspiration djihadiste) n’est plus guère le fait d’organisations structurées mais plutôt d’individus isolés, souvent peu socialisés, embraie le conseiller d’État honoraire Serge Lasvignes, président de la CNCTR. La commission voit dans cette évolution le signe…

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