Archive pour le Tag 'Pérol'

Banque BPCE : Pérol relaxé ou le ridicule de la justice

Banque BPCE : Pérol relaxé ou le ridicule de la justice

 

La justice c’est encore ridiculisée. La première fois en accusant Pérol, patron de la banque BPCE, de prise illégale d’intérêts parce qu’il avait géré son dossier lorsqu’il était conseiller à l’Élysée. Une seconde fois en relaxant l’intéressé est d’une certaine manière en donnant une légitimité au pantouflage d’anciens conseillers ministériels dans des grandes entreprises il est évident que si l’on devait condamner tous les conseillers qui ont profité de leur passage dans les cabinets ministériels pour se recaser dans de grandes entreprises il faudrait alors mettre des centaines d’individus en prison. La plupart des conseillers ministériels n’effectuent  d’ailleurs cette tâche temporaire dans les cabinets ministériels que dans l’espoir d’accéder précisément à ses fonctions dans les entreprises. Une situation qui ignore sans doute la justice le plus souvent à côté de ses pompes. Certes le procédé est sans doute discutable mais au lieu de condamner un individu il conviendrait plutôt de s’attaquer au statut des fonctionnaires qui leur permet de faire des allers et retours  très bénéfiques entre administration et entreprises sans prendre le moindre risque. La relaxe de François Pérol, poursuivi pour prise illégale d’intérêts, met donc  un terme, au moins temporaire, à la guerre de succession qui s’était engagée dans les coulisses du groupe mutualiste BPCE pour remplacer le président du directoire en cas de condamnation. L’ancien secrétaire général adjoint de l’Elysée auprès de Nicolas Sarkozy était soupçonné d’avoir pris la tête de BPCE, maison mère de la banque Natixis, après avoir été associé « de manière étroite » aux négociations menant au rapprochement des Banques populaires et des Caisses d’épargne.   »Cela clôt cet épisode, cela va faire beaucoup de frustrés », estime Régis Dos Santos, président du Syndicat national de la banque et du crédit. Le procureur national financier a fait appel jeudi de cette décision, ce qui pourrait se traduire par un nouveau procès en 2016, alors que la fin du mandat de François Pérol intervient en mai 2017. La perspective d’un départ du patron du groupe, étranger aux rivalités historiques entre les dirigeants des Caisses d’épargne et ceux des Banques populaires, avait déclenché une lutte d’influence, principalement autour de deux candidats, qui ne se sont par ailleurs jamais officiellement déclarés. Olivier Klein, directeur général de Bred Banque Populaire, était le plus cité pour reprendre les rênes d’un groupe né en 2009 en pleine crise financière pour sauver, avec l’aide de l’Etat, la banque d’affaires Natixis de la faillite.  Certains dirigeants de BPCE espéraient qu’à travers la personne d’Olivier Klein les mutualistes pourraient retrouver une part du contrôle qui leur avait échappé lors de l’arrivée de François Pérol à la tête du groupe.  Il aurait apporté, arguent ses défenseurs, une caution « mutualiste » aux dirigeants des caisses régionales du groupe face notamment à Laurent Mignon, directeur général de Natixis, dont le parcours en banque d’affaires contraste avec celui des patrons des banques de détail régionales.

Prison contre François Pérol

Prison contre François Pérol

Une peine de prion relativement symbolique contre Pérol mais surtout l’ interdiction d’exercer des fonctions publiques. Or c’est ce qui devrait être la règle l’interdiction aux fonctionnaires d’exercer des responsabilités politiques puis privées. Sinon Pérol ; n’a fait que ce qu’ont faiat les milliers de conseillers, profiter du passage comme conseiller politique pour se reclasser dans le privé.  Le Parquet national financier (PNF) a en effet requis jeudi la condamnation de François Pérol, président du directoire de BPCE, à deux ans de prison avec sursis et 30.000 euros d’amende pour prise illégale d’intérêts. Il a également demandé que soit prononcée à son encontre une interdiction définitive d’exercer toute fonction publique. Le tribunal rendra son jugement le 24 septembre. L’ancien secrétaire général adjoint de l’Elysée auprès de Nicolas Sarkozy est soupçonné d’avoir pris en 2009 la tête de BPCE, maison mère de la banque Natixis, après avoir été associé « de manière étroite » aux négociations sur la fusion des Banques populaires et des Caisses d’épargne. « Au regard des fonctions effectivement exercées par François Pérol (…) et alors que son intervention ne se situait pas dans un processus formalisé de décision administrative, ce dernier a bien participé à l’ensemble des décisions prises par les différents services de l’Etat », a déclaré jeudi le procureur, Ulrika Delaunay-Weiss.   »Il faut donc rétablir le sens, l’ordre des valeurs et dire le droit », a-t-elle ajouté. « Rien ne vient justifier l’entorse commise. Elle n’en est que plus grave », a-t-elle conclu, retenant comme « facteur aggravant » le niveau de responsabilité de François Pérol, qui « appelait une exemplarité sans faille ». Pour Ulrika Delaunay-Weiss, le rapprochement des deux banques est devenu à l’époque des faits un « sujet présidentiel ». Une « longue série d’interventions à tous les stades du projet » en sont la preuve, a-t-elle argumenté, soulignant qu’entre mai 2007 et février 2009, près de 39 réunions entre divers intervenants de la présidence et des banques ont eu lieu à l’Elysée.   »La vérité des faits, c’est que François Pérol organisait et présidait ces réunions et validait explicitement ou de facto les décisions techniques définies par les différents services de la banque de France et de Bercy, après une séance de concertation », a-t-elle dit.

 

Procès Pérol : c’est Sarkozy ( Guéant)

Procès Pérol : c’est Sarkozy ( Guéant)

 

Un, procès débile, avec des arguments débiles et des témoignages qui le sont tout autant. Celui de Guéant qui affirme que c’est Sarkozy qui a proposé Pérol à la tête de la BPCE. Evidemment on voit mal l’intéressé se proposer lui même officiellement. Encore une fois plus de la moitié des grands dirigeants des très grands et entreprises  françaises ont utilisé leur passage de conseiller comme accélérateur de carrière. Des centaines, des milliers même depuis toujours ; Pérol n’est pas plus coupable que les autres. Ce qui est en cause ce n’est pas un individu mais l’oligarchie des fonctionnaires qui monopolise les postes politiques  et économiques. Une des solution serait d’interdire aux fonctionnaire de faire de la politique y compris comme conseiller des ministres ( puisque cela les menet inévitablemenet à des fonctions politiques et/ou économiques).  Le président de la BPCE, François Pérol, comparaît depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Paris pour « prise illégale d’intérêts ». Il est accusé d’avoir été nommé à la tête de cette banque alors qu’il avait suivi leur fusion en 2009 quand il était conseiller de Nicolas Sarkozy. Entendu ce jeudi, Claude Guéant a pris sa défense et pointé l’ex-président de la République.   »C’est le président Nicolas Sarkozy qui a proposé le nom de Pérol« . Entendu ce jeudi au tribunal correctionnel de Paris, dans le cadre du procès de François Pérol, Claude Guéant a affirmé que la nomination de l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à la tête de la BPCE en 2009 était une idée du président. Une manière de défendre François Pérol, jugé pour « prise illégale d’intérêts ».  François Pérol a suivi de près la fusion entre la Banque Populaire et la Caisse d’Epargne alors qu’il était à l’Elysée et a ensuite été nommé à la tête de cette banque. « Nicolas Sarkozy était très directif vis-à-vis de ses collaborateurs« , a expliqué Claude Guéant à la barre, « alors quand le président a demandé à François Pérol de prendre ces fonctions, celui-ci l’a ressenti plus comme un devoir que comme une satisfaction« . Là,  Guéant se fout clairement de la gueule du tribunal !

 

Procès Pérol : débile !

Procès Pérol : débile !

 

Un procès complètement débile , il ne s’agit pas de dédouaner  François Pérol mais il n’a faiat que ce que font tous les conseillers politiques du gouvernement et de l’Elysée : profiter de sa fonction de conseiller pour se reclasser. Des centaines, des milliers de conseillers ministériels ont suivi la même démarche. Alors pourquoi Pérol seulement ? Un procès qui démontre s’il en était besoin combien la justice est à coté de ses baskets et trop souvent intéressée par le retour médiatique des affaires. Bref uen justice coupée du réel et incompétente. Reste qu’il faudra un jour réguler la fonction de conseiller ( et manière plus urgente encore le rapport entre statut de fonctionnaire et statut de politique)  mais ce n’est pas une  question à traiter judiciairement mais politiquement et démocratiquement..Pérol,  le patron de BPCE, qui encourt jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende pour prise illégale d’intérêts présumée, dans le cadre de sa nomination à la tête du groupe en 2009.On cherche à mesurer l’influence qu’a pu avoir François Pérol, lorsqu’il était secrétaire général adjoint de l’Elysée du temps de Nicolas Sarkozy, dans la fusion des Banques Populaires et des Caisses d’Epargne. Une fusion qui a débouché en 2009 sur la naissance de BPCE, le groupe que François Pérol préside depuis cette même année. Un poste qu’il ne serait pas en droit d’occuper s’il s’avérait qu’il a joué un rôle déterminant dans la création de BPCE, les hauts fonctionnaires devant observer un délai de carence de trois ans avant de rejoindre une entreprise privée qu’ils ont surveillée, contrôlée ou sur laquelle ils « ont émis des avis auprès des autorités compétentes » or c’est le rôle de tous les conseillers d’émettre des avis !

BPCE – Pérol : la justice chosiit un bouc émissaire

 

Résumons : Pérol ( ancien conseiller de Sarkozy) est accusé d’avoir traité le dossier BPCE quand il était conseiller à l’Elysée puis d’en être devenu le président : conflit d’intérêt ! On croit rêver car presque tous les conseillers ministériels nommés dans des entreprises ont au préalable eu à traiter les dossiers des dites entreprises. ce sont des centaines et des centaines  de conseillers ministériels qui sont concernés. Et c’est même pour cette raison qu’ils sont devenus conseillers ; parce que la fonction constitue un extraordinaire accélérateur de carrière. c’est même le maladie de  l’oligarchie française. alors pourquoi seulement Pérol ? Il a fait comme les autres . Visiblement la justice est a coté de ses pompes et ignore le fonctionnement de notre Etat monarchique où les marquis se renvoient l’ascenseur depuis toujours. La plupart des patrons du CAC ( et  bien d’autres patrons d’entreprises) ne sont parvenus  à ces  postes que grâce a leur passage en cabinet ministériel ( et sans mettre un sou dans l’entreprise ). Sil faut faire un procès ce n’est pas seulement à un homme mais à l’ensemble du système. L’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de François Pérol était à peine sortie, que les dates du procès étaient  choisies le procès débute aujourd’hui . Les juges devront examiner le cas de l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, et actuel président du directoire de BPCE, poursuivi pour prise illégale d’intérêts. Une vitesse inhabituelle devant un tribunal largement encombré. Mais le parquet national financier en charge de ces nouvelles affaires tient à montrer qu’il fonctionne vite. Et que la toute nouvelle 32ème chambre au tribunal correctionnel de Paris, créée spécialement pour ce type de dossier, tient  audience « dans un délai raisonnable .

BPCE : procès Pérol ou la justice à coté de ses pompes

BPCE : procès Pérol ou la justice à coté de ses pompes

Résumons : Pérol est accusé d’avoir traité le dossier BPCE quand il était conseiller à l’Elysée puis d’en être devenu le président : conflit d’intérêt ! On croit réver car presque tous les conseillers ministériels nommés dans des entreprises ont au prealbale eu à traiter les dossiers des dites entreprises. ce sont des centaines et des centaines  de conseillers ministriels qui sont concernés. Et c’est même pour cette raison qu’ils sont devenus conseillers ; parce que la fonction constitue un extraordinaire accélérateur de carrière. c’est même le maladie l’oligarchie française. alors pour quoi seulement Pérol ? Il a fait comme les autres . Visiblement la justice est a coté de ses pompes et ignore le fonctionnement de notre Etat monarchique où les marquis se renvoient l’ascenseurs depuis toujours. l a plupart des patrons du CAC ( et bien d’autres patrons d’entreprises) ne sont parvenus  à ces  postes que grâce a leur passage en cabinet ministériel ( et sans mettre un sou dans l’entreprise ). Sil faut faire un procès ce n’est pas seulement à un homme mais à l’ensemble du système. L’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de François Pérol est à peine sortie, que les dates du procès sont choisies. Il aura lieu les 22, 23 et 24 juin prochain à Paris. Les juges devront examiner le cas de l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, et actuel président du directoire de BPCE, poursuivi pour prise illégale d’intérêts. Une vitesse inhabituelle devant un tribunal largement encombré. Mais le parquet national financier en charge de ces nouvelles affaires tient à montrer qu’il fonctionne vite. Et que la toute nouvelle 32ème chambre au tribunal correctionnel de Paris, créée spécialement pour ce type de dossier, sait audience « dans un délai raisonnable » Le tribunal devra donc se déterminer sur la question essentielle  : François Pérol s’est-il borné à s’informer et informer le Président de la République ou a-t-il été plus loin et donné son avis sur le mariage entre Banque Populaire et Caisse d’Epargne  ? En effet quelques mois après son départ de l’Elysée de son poste de secrétaire général adjoint en charge de l’économie, François Pérol a pris la tête du nouveau groupe bancaire BPCE, issu du rapprochement des deux réseaux. Or François Pérol a suivi le dossier à l’Elysée. Quel a été le rôle du conseiller  ? A-t-il participé activement à la prise de décision ?  C’est ce que pensent le parquet et le juge d’instruction Roger Le Loire au pôle financier à Paris. Dans son ordonnance, le juge s’attache à le démontrer au travers des différentes notes et courriers électroniques échangés entre François Pérol et les protagonistes de ce dossier. Ainsi, il cherche à déterminer si, parallèlement aux autorités de contrôle des banques, telles que la Banque de France, le secrétaire général adjoint aurait eu une influence déterminante dans le rapprochement des deux entités. Certains courriels suggèrent ainsi, selon le juge, que « loin d’être un réceptacle des « informations verbales des dirigeants » et de suivre le dossier « de loin », François Pérol était associé de manière étroite aux négociations menées en étant destinataire de documents confidentiels ». La défense devra donc s’attacher à démontrer, document par document, que les informations communiquées par le conseiller à Nicolas Sarkozy n’étaient pas des prises de position. François Pérol risque jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

 

 

Pérol en correctionnel : ou la justice qui se ridiculise

Pérol en correctionnel : ou la justice qui se ridiculise

 

La justice est tombée sur la tête ! Le président de BPCE, François Pérol, est renvoyé devant un tribunal correctionnel pour y être jugé des chefs de « prise illégale d’intérêt », à la suite de sa nomination dans des conditions controversées à la tête de la banque. Dans une enquête en trois volets, Mediapart avait récemment révélé les secrets de l’enquête judiciaire, qui mettent en cause l’ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy. Mais la justice ignore donc que c’est une pratique en vigueur partout  à Elysée, comme à Matignon, comme dans tous  les Ministères. La plupart des conseillers sont recasés dans des secteurs dont ils ont eu à s’occuper comme conseiller, des postes dans le public ou des postes dans le privé. C’est même pour cela que la plupart veulent occuper les fonctions de conseillers ministériel, ‘c’est un formidable accélérateur de carrière. La plupart des grands patrons Français (publics et privés) ne sont t parvenus à leur fonction que grâce à  cela. Il faudrait donc envoyer en correctionnel  des centaines et des centaines d’anciens conseillers. C’est tellement fia que la plupart des conseillers se reclassent avant la fin du mandat de leur ministre pour ne pas rester sur le carreau de leur administration d’origine. Fauta-il que la justice soit ignorante des réalités pour n’  inculper que Pérol ? Le juge Roger Le Loire a donc pris une ordonnance renvoyant devant un tribunal correctionnel François Pérol, le président de la banque BPCE et ex-secrétaire général adjoint de l’Élysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, pour y être jugé pour « prise illégale d’intérêt ». C’est l’AFP qui le confirme ce jeudi 5 février, en faisant état de sources concordantes.

Pérol mis en examen et pourquoi pas tous les autres ?

Pérol mis en examen et pourquoi pas tous les autres ?

 

Curieux cette mise en examen de Français Pérol et curieuse justice. Pérol n’a fait que ce que font les centaines de conseillers passés  des cabinets ministériels la direction d’une entreprise ; sans doute un scandale mais pas plus pour Pérol que pour les autres. C’est d’ailleurs souvent la seule motivation de ces conseillers : utiliser leur passage dans un cabinet  ministériel pour obtenir une direction d’entreprise grassement rémunérée. C’est aussi pourquoi l’oligarchie politique est gangrénée ; par ailleurs la justice réagit aujourd’hui parce que c’est Hollande alors qu’elle avait enterré le dossier sous Sarkozy ; Drôle de justice ! à la direction d’une entreprise. François Pérol, le président de BPCE, groupe bancaire issu de la fusion des Caisses d’épargne et des Banques populaires, a été mis en examen jeudi pour prise illégale d’intérêts, a-t-on appris de source judiciaire.L’enquête porte sur les conditions de sa nomination à la tête du groupe, après avoir passé deux années à l’Elysée comme secrétaire général adjoint, sous Nicolas Sarkozy. La BPCE n’a pas fait de commentaire dans l’immédiat. L’association Anticor et les syndicats CGT et Sud, dont les plaintes ont déclenché l’affaire, estimaient que le fait pour le dirigeant d’avoir pris en 2009 la direction de la future BPCE constituait une prise illégale d’intérêts. Selon eux, François Pérol avait pris part à l’Elysée aux négociations sur la création du groupe BPCE. Or, la loi interdit à un fonctionnaire de travailler pour une entreprise qu’il a surveillée, avec laquelle il a conclu un contrat ou qu’il a conseillée sur ses opérations dans les trois ans précédant son passage du public au privé. Le parquet de Paris avait dans un premier temps classé les plaintes sans suite, estimant que le rôle de François Pérol avait été d’informer le président de la République et que le secrétaire général de l’Elysée « n’était pas une autorité publique compétente pour intervenir dans le dossier  ». Mais les syndicats s’étaient alors portés parties civiles et après une nouvelle bataille judiciaire qui est allée jusqu’à la Cour de cassation, l’enquête avait été de nouveau confiée au juge du pôle financier Roger Le Loire. La prise illégale d’intérêt est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 500.000 euros d’amende. En dépit de sa mise en examen, rien ne contraint a priori François Pérol à démissionner. Dans le dossier Tapie, le « patron » d’Orange, Stéphane Richard, est resté aux commandes de l’entreprise en dépit d’une mise en examen. La BPCE avait annoncé en novembre dernier qu’elle entendait doubler son résultat net d’ici à 2017 en devenant notamment un acteur majeur du marché mondial de l’épargne et de l’assurance.

 




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