Archive pour le Tag 'perdre'

Législatives– LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire

Législatives– LFI  pourrait perdre la majorité au sein  du front populaire

 

Théoriquement sur le papier  LFI a le plus de chance de gagner au deuxième tour des législatives dans le cadre du nouveau front populaire. Reste que LFI constitue  pour beaucoup d’électeurs une sorte d’épouvantail. En outre, nombre d’électeurs ne pourront jamais voter LFI. De sorte qu’au total LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire.

Dans le détail, entre 58 à 72 sièges reviendraient à LFI (contre 75 en 2022) au soir du 7 juillet. Entre 33 à 43 sièges deviendraient socialistes (contre 31 en 2022) et de 28 à 38 sièges pour EELV (23 en 2022). Et enfin 6 à 12 pour le Parti communiste (ils étaient 22 dans le groupe gauche démocrate et républicaine) qui sort affaibli après ce premier tour à l’image de la défaite dès le premier tour de son secrétaire national Fabien Roussel. Cependant parmi les dissidents, une majorité de bien placés est issue de La France insoumise.

Politique- LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire

Politique- LFI  pourrait perdre la majorité au sein  du front populaire

 

Théoriquement sur le papier  LFI a le plus de chance de gagner au deuxième tour des législatives dans le cadre du nouveau front populaire. Reste que LFI constitue  pour beaucoup d’électeurs une sorte d’épouvantail. En outre, nombre d’électeurs ne pourront jamais voter LFI. De sorte qu’au total LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire.

Dans le détail, entre 58 à 72 sièges reviendraient à LFI (contre 75 en 2022) au soir du 7 juillet. Entre 33 à 43 sièges deviendraient socialistes (contre 31 en 2022) et de 28 à 38 sièges pour EELV (23 en 2022). Et enfin 6 à 12 pour le Parti communiste (ils étaient 22 dans le groupe gauche démocrate et républicaine) qui sort affaibli après ce premier tour à l’image de la défaite dès le premier tour de son secrétaire national Fabien Roussel. Cependant parmi les dissidents, une majorité de bien placés est issue de La France insoumise.

LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire

LFI  pourrait perdre la majorité au sein  du front populaire

 

Théoriquement sur le papier  LFI a le plus de chance de gagner au deuxième tour des législatives dans le cadre du nouveau front populaire. Reste que LFI constitue  pour beaucoup d’électeurs une sorte d’épouvantail. En outre, nombre d’électeurs ne pourront jamais voter LFI. De sorte qu’au total LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire.

Dans le détail, entre 58 à 72 sièges reviendraient à LFI (contre 75 en 2022) au soir du 7 juillet. Entre 33 à 43 sièges deviendraient socialistes (contre 31 en 2022) et de 28 à 38 sièges pour EELV (23 en 2022). Et enfin 6 à 12 pour le Parti communiste (ils étaient 22 dans le groupe gauche démocrate et républicaine) qui sort affaibli après ce premier tour à l’image de la défaite dès le premier tour de son secrétaire national Fabien Roussel. Cependant parmi les dissidents, une majorité de bien placés est issue de La France insoumise.

 

Sanctions occidentales-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Sanctions occidentales-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

Politique-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Politique-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

L’arrogance sociale qui peut faire perdre Macron

L’arrogance sociale qui peut faire perdre Macron

Pour que la gauche retrouve le pouvoir à l’issue de l’élection présidentielle, il lui faudra réconcilier les classes populaires de différentes origines, observe l’économiste Thomas Piketty dans sa chronique.

 

Chronique. 

 

Lors du premier tour de la présidentielle de 2017, quatre candidats avaient réalisé entre 20 % et 24 % des voix : autant dire que de nombreux seconds tours étaient possibles et auraient pu se produire, au sein d’un paysage politique et idéologique profondément morcelé. Jusqu’au dernier moment, les électeurs de 2022 ont, eux aussi, à faire face à des incertitudes considérables, et en particulier à un choix entre un second tour entre l’extrême droite et la droite (Le Pen contre Macron, que la grande majorité des électeurs placent désormais et assez logiquement à droite) ou entre la droite et la gauche (Macron contre Mélenchon). Ce choix est tout sauf anodin, et il emporte avec lui des conséquences considérables sur le type de délibération publique qui occupera le pays pendant deux semaines (et peut-être davantage) : un débat centré sur la chasse aux immigrés et aux musulmans dans le premier cas, ou bien l’espoir d’une discussion portant sur les salaires et les conditions de travail, la santé et l’éducation, la justice sociale et fiscale, les énergies renouvelables et les services publics dans le second.

Pour autant, quelle que soit l’issue de l’élection, on peut déjà être sûr d’une chose : nous n’assisterons pas au paisible retour d’un rassurant clivage gauche-droite. D’abord parce que la droitisation générale du paysage politique et l’émergence d’un puissant bloc électoral antimigrants correspondent à une tendance lourde, que le macronisme au pouvoir a dangereusement accentuée. Ensuite, car il faudra un long travail pour que les forces de gauche

Commençons par le premier point. Les choses sont maintenant écrites. En s’appropriant le programme économique de la droite, le centrisme macronien a aussi contribué à droitiser le pays, en poussant la droite républicaine à une course-poursuite sans issue avec l’extrême droite sur les questions identitaires. Le plus dangereux est l’arrogance du président candidat, qui prétend être réélu sans débat ni programme, ou bien avec des mesures bâclées trahissant son tropisme fondamental : gouverner d’abord et toujours pour les premiers de cordée, en misant sur les divisions de ses adversaires.

Poutine condamné à perdre

Poutine condamné à perdre

 

 

La guerre en Ukraine ne se joue pas sur le terrain des faits, mais sur celui de la propagande, constate l’écrivain et scénariste norvégien Jo Nesbo dans une tribune au « Monde ». Il rappelle le rôle primordial de la fiction quand la vérité est piétinée.

 

Tribune.

 

La première saison d’Occupied a été diffusée à la télévision norvégienne en 2015. Cette série raconte l’occupation russe de la Norvège, occupation plus ou moins tacitement acceptée par l’Union européenne (UE) et les Etats-Unis, qui y voient un moyen de relancer la production pétrolière stoppée par le gouvernement écologiste norvégien.

En faisant cette série, j’ai voulu braquer les projecteurs sur les choix et les dilemmes auxquels sont confrontés les gens ordinaires dans une situation extrême – dans un parallèle conscient avec la situation dans laquelle nos parents et grands-parents ont pu se trouver sous l’occupation allemande de la Norvège, entre 1940 et 1945.

Les magouilles entre un pays d’envergure moyenne, son voisin puissant et les autres grandes puissances mondiales cherchant des compromis entre leurs principes politiques, des considérations économiques et leur propre sécurité ne constituent qu’une toile de fond de ma série. Je n’ai pas créé le monde fictif d’Occupied pour parler de la Russie, et cela me semblait une évidence – de même que Steven Spielberg n’a évidemment pas réalisé Les Dents de la mer pour parler des grands requins blancs.

Les autorités russes ont vu les choses d’un autre œil. L’ambassadeur russe en Norvège, Vyacheslav Pavlovsky, s’est plaint à l’agence de presse russe TASS : « Il est fort regrettable qu’en cette année du 70e anniversaire de la victoire de la seconde guerre mondiale les auteurs de cette série semblent avoir oublié que l’Armée rouge a héroïquement contribué à libérer le nord de la Norvège de l’occupant nazi et qu’ils aient décidé, dans la pire tradition de la guerre froide, d’effrayer les spectateurs norvégiens en agitant une menace fictive venant de l’Est. »

Il se peut simplement que l’ambassadeur fût un peu sur le qui-vive, car la Russie avait annexé la Crimée un an auparavant – bien après l’écriture et le début de la production d’Occupied –, se plaçant ainsi sciemment dans le rôle du grand méchant sur la scène politique mondiale. Mais pourquoi cette colère, alors que la série est clairement une œuvre de fiction – qui plus est une œuvre où, pour une fois, les Russes ne sont pas présentés comme une bande de sales types stéréotypés tous aussi méchants les uns que les autres ?

La réponse est peut-être la suivante : en ces temps où la vérité est constamment piétinée par les « fake news » et la propagande, où des leaders extrêmement puissants sont élus en raison des émotions qu’ils suscitent en nous et non plus sur la base de leur mérite ou de leur position politique, les faits n’ont plus le même poids qu’auparavant.

Pourquoi perdre des vies au Mali ?

Pourquoi perdre des vies au Mali ?

 

Pourquoi »Perdre la vie pour assurer la sécurité d’un pays qui ne veut pas de vous « , interroge, mardi 1er février sur franceinfo, Christian Cambon, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, et sénateur du Val-de-Marne. L’interview du sénateur sur France Info

 Comment évaluez-vous la situation de la France au Mali ?

Christian Cambon : C’est un sentiment d’amertume parce que dans ces jours difficiles pour la France au Mali je pense aux 53 soldats qui y ont laissé la vie et aux centaines de blessés qui seront marqués à vie. Le constat c’est que la junte, actuellement au pouvoir au Mali, ne souhaite pas la présence française et les humiliations qu’on nous fait endurer doivent nous conduire à un examen en profondeur pour évaluer les solutions que nous avons devant nous. Cette humiliation pose nos relations avec les pays d’Afrique. Le ministre dit qu’elle est excellente mais malgré tout c’est un signe de faiblesse que nous identifions et c’est aussi un questionnement en Europe. J’espère que les indications du gouvernement sont les bonnes. Il y a beaucoup de questions et un grand gâchis à constater.

La France doit-elle désengager ses militaires ?

Le désengagement avait commencé puisque le président de la République avait annoncé un redéploiement mais je pense que maintenant il faut être très clair. Quand je vois le Mali remettre en cause nos accords militaires, quand je vois qu’il interdit le survol d’une partie du territoire du Mali à notre propres avions, quand je vois la présence des milices Wagner alimentées par les Russes qui prennent de plus en plus de positions dans le pays, les campagnes anti-françaises, bien évidemment on en peut que tirer les conclusions de cette situation.

« Je pense qu’il faut avoir le courage de dire que ce n’est sans doute plus à partir du Mali qu’il va falloir poursuivre notre présence au Sahel. »

 

Est-ce que la lutte contre le terrorisme continue ?

Bien sûr, mais il faut savoir qu’il n’y a jamais de solution militaire à ce genre de conflit. La solution politique qui est dans la main des dirigeants maliens finira un jour par s’imposer, mais elle doit respecter un certain nombre de principes. Nos soldats se sont battus pour assurer la sécurité et la souveraineté du Mali. Quand on apprend qu’un certain nombre de ses dirigeants sont en train d’ouvrir des pourparlers avec des terroristes qui ont du sang français sur les mains, c’est inacceptable.

Qu’attendez-vous du gouvernement français ?

Nous demandons qu’il associe la représentation nationale. Nos concitoyens se posent beaucoup de questions sur cet engagement. Ils voient nos soldats revenir blessés ou pire encore et se demandent pourquoi on est là-bas. Perdre la vie pour assurer la sécurité d’un pays qui ne veut pas de vous pose beaucoup de questions.

Présidentielle 2022 : Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin cette fois ne sera pas candidate

Présidentielle 2022 : Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin cette fois ne sera pas candidate

 

Cette fois Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin ne veut pas être accusée de la même erreur «Je ne peux pas venir contribuer à l’éparpillement.» Sur France Inter, ce matin, Christiane Taubira a annoncé qu’elle ne serait pas candidate pour l’élection présidentielle de 2022. «Je ne peux pas venir m’aligner. Je ne peux pas dire que notre chance, c’est de sortir de la confusion, d’éviter la dispersion, de voir comment nous additionnons nos forces et les faisons converger, et en même temps dire que je viens apporter mon obole», a-t-elle expliqué.

Primaire présidentielle : la machine à perdre

Primaire présidentielle  : la machine à perdre

Jean-François Copé ancien candidat malheureux d’une primaire et ancien responsable des républicains considère que l’organisation d’une primaire es t politiquement très dangereuse . Cela a été démontré évidemment chez les républicains qui avaient choisi le « vertueux » Fillon démoli précisément par ses combines financières.

Au parti socialiste la plus grande erreur aura sans doute été de choisir François Hollande du fait de l’épisode Strauss-Kahn. Certes François Hollande a été élu mais il restera sans doute dans l’histoire l’un des plus incompétents présidents de la république. Pour preuve, il n’a même pas osé se représenter en 2017.

Les républicains pourraient donc refaire l’expérience malheureuse. Il pourrait également être suivi dans cet exercice une nouvelle fois par les écolos eux-aussi des spécialistes pour démolir leurs responsables et choisir en général le plus consensuel mais le moins bon.

Environnement « Macron va perdre le référendum !»

Environnement « Macron va perdre le référendum !»

 

 

Le député LR du Vaucluse, Julien Aubert , explique pourquoi il a décidé, avec ses collègues, de s’abstenir sur le projet de loi inscrivant le climat à l’article 1er de la Constitution

La semaine dernière s’est discuté à l’Assemblée nationale le projet de loi portant réforme constitutionnelle afin de modifier l’article premier de la Constitution en y inscrivant que la France « garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique ».

Une telle formulation est inutile, car la charte de l’environnement annexée à la Constitution a déjà hissé dans notre « bloc de constitutionnalité » les préceptes environnementaux. Certes, la lutte contre le réchauffement climatique n’y est pas explicitement mentionnée mais une adjonction à la charte suffirait. C’est d’ailleurs ce qui a été proposé en séance… mais rejeté par la majorité !

Cette formulation est surtout potentiellement dangereuse. En effet, le Conseil d’Etat a spécifié dans son avis sur le texte que le mot « garantir » induisait une responsabilité de l’Etat sur l’atteinte des objectifs, la porte ouverte à une judiciarisation supplémentaire de la société, sur le modèle de l’« affaire du Siècle ». Le ministre de la Justice a dit « assumer » ces dix-sept mots supplémentaires, car il revendique la nécessité de graver dans le marbre une « quasi » obligation de résultat.

En réalité, toute la subtilité est dans le « quasi » car par sa formulation, le gouvernement s’est bien gardé de garantir une baisse des émissions de Co: la garantie ne porte que sur la préservation environnementale, la partie « réchauffement » n’étant concernée que par une obligation de moyens (la France « lutte contre le dérèglement climatique »). Emmanuel Macron prend donc pour des imbéciles tous ceux qui croient qu’il y aura un grand pas en avant vers des résultats. Il n’y aura au contraire qu’une augmentation des contentieux portés par des groupes de pression qui pourront jouer sur l’ambiguïté de la formulation requise.

«Notre choix est clair: nous ne nous mettrons pas entre le peuple et ce texte, en faisant dérailler le processus référendaire, ce qui permettrait au Président de sortir de cette affaire comme Ponce Pilate»

Fort cyniquement, le gouvernement a refusé d’amender son texte – rejetant les 400 amendements présentés – au motif qu’il fallait respecter « l’engagement » pris à l’égard des 150 « conventionnels du climat ». Eux-aussi sont pris pour des imbéciles car dès 2019, un projet de loi constitutionnelle prévoyait cette modification de l’article 1er, quasiment dans les mêmes termes. La seule différence entre 2019 et 2021 est le verbe « garantir », dont on a vu les limites juridiques. Les 150 citoyens ont donc avalisé ce que le gouvernement avait déjà rédigé, une preuve éclatante de la manipulation de cette instance ad hoc.

Piège. Emmanuel Macron espère à bon compte se verdir avec une réforme mal calibrée et ceux qui pointeraient la faiblesse juridique du texte seraient ainsi caricaturés en adversaires de la lutte contre le réchauffement climatique. Nous ne tomberons pas dans ce piège. Même si nous sommes convaincus que ce texte est mauvais, la question est de savoir qui doit trancher : le Parlement ou le peuple. Notre choix est clair : nous ne nous mettrons pas entre le peuple et ce texte, en faisant dérailler le processus référendaire, ce qui permettrait au Président de sortir de cette affaire comme Ponce Pilate.

En nous abstenant, nous ne bloquerons donc pas ce texte et le laisserons aller au référendum, si le Sénat l’accepte également. En revanche, si référendum il y a, nous ferons ardemment campagne pour le « non » en dénonçant ces manœuvres politiciennes qui instrumentalisent la cause environnementale.

Président Macron, vous qui aimez « garantir », irez-vous jusqu’à engager votre responsabilité sur ce texte, en cas d’échec référendaire ?

Julien Aubert est député LR du Vaucluse. Cette tribune est cosignée par Emmanuelle Anthoine, députée LR de la Drôme, Jean Bacci, sénateur LR du Var, Thibault Bazin, député LR de Meurthe-et-Moselle, Valérie Bazin-Malgras, députée LR de l’Aube, Bernard Bouley, député LR de l’Essonne, Valérie Boyer, sénatrice LR des Bouches-du-Rhône, Jacques Cattin, député LR du Haut-Rhin, Dino Cinieri, député LR de la Loire, Pierre Cordier, député LR des Ardennes, Bernard Deflesselles, député LR des Bouches-du-Rhône, Pierre-Henri Dumont, député LR du Pas-de-Calais, Yves Hemedinger, député LR du Haut-Rhin, Else Joseph, sénatrice LR des Ardennes, Henri Leroy, sénateur LR des Alpes-Maritimes, Emmanuel Maquet, député LR de la Somme, Gérard Menuel, député LR de l’Aube, Sébastien Meurant, sénateur LR du Val-d’Oise, Louis-Jean de Nicolaÿ, sénateur LR de la Sarthe, Bérengère Poletti, députée LR des Ardennes, Didier Quentin, député LR de Charente-Maritime, Stéphane Sautarel, sénateur LR du Cantal, Laurence Trastour-Isnart, députée LR des Alpes-Maritimes et Arnaud Viala, député LR de l’Aveyron.

« Transformation numérique de la France : allons-nous perdre cinq ans de plus? »

« Transformation numérique de la France : allons-nous perdre cinq ans de plus? »

À juste titre l’association de l’économie numérique (ACSEL) s’inquiète de la faible prise en charge de l’enjeu du numérique dans la campagne électorale.- L’association de l’économie numérique qui regroupe 1.200 professionnels et près de 150 grands groupes, observe que souvent la problématique du numérique n’est souvenet  abordée que de manière défensive voir négative. Pour elle, la prise en charge de cet enjeu central et notoirement insuffisante. De fait, l’Europe n’a pas pris les moyens de rééquilibrer l’hégémonie des américains voire des Chinois tant dans le domaine du hardware (matériel) que le software  (programme). Les grandes plateformes, les moteurs de recherche, le système son tous américains ou chinois. L’ACSEL est l’interface de référence de l’écosystème numérique français qui anime l’ensemble des entreprises, organismes et pouvoirs publics engagés dans la transformation digitale. Cyril Zimmermann, président de cette association de l’économie numérique, appelle à relancer le débat sur la transformation numérique dans uen tribune au JDD. .

 

« L’analyse des projets numériques des principaux candidats à l’élection présidentielle apporte quelques surprises et déceptions. Le caractère souvent superficiel des propositions incite l’ACSEL à relancer le débat : sur la base des prémisses de la transformation de notre économie due à la révolution numérique, quelle vision avons-nous ou voulons-nous avoir de notre pays dans 20 ans?

Nous constatons en général un manque flagrant de formulation de vision à long terme de ce que sera notre société une fois transformée par la vague numérique. Ceci sans doute pour éviter d’avoir à débattre d’évolutions potentiellement radicales ou pour ne pas favoriser l‘expression de peurs et de crispations, qui occupent déjà beaucoup le terrain médiatique.  Nous pensons au contraire que c’est le moment de poser le débat et de confronter la vision pessimiste du changement à une vraie vision d’avenir positive. Mais encore faut-il que cette dernière existe ou soit exprimée chez les candidats. Le paradoxe est en effet que le seul embryon de vision économique et sociétale qui ressort des discours sur le numérique est une vision négative portée par les candidats les plus à gauche qui voient le numérique comme une menace. Pour eux, le numérique transforme la société en détruisant le modèle de protection sociale et d’organisation du travail. En réponse ils proposent un projet basé sur des mesures de régulation fiscales, juridiques et réglementaires. Benoit Hamon porte des intuitions sur les mutations en cours mais n’y répond que sous la forme de protections à mettre en place sans apporter de solutions de fond. Les champs qu’il aborde comme la transformation du travail, la robotisation de la production, l’utilisation des données, l’éducation, la formation, la création culturelle semblent devoir essentiellement être l’objet de plus de taxes et de plus de réglementations. Il ne donne pas une vision d’opportunités et de transformation globale de notre pays. Jean-Luc Mélenchon se démarque en allant le plus loin dans la description d’une vision sociétale et volontariste mais celle-ci est très dirigiste, comme l’illustre l’instauration d’une administration publique chargée d’accompagner la transition numérique de l’économie. Emmanuel Macron et François Fillon portent un projet commun mais qui se limite à saisir les opportunités purement économiques. Ils se rejoignent sur l’accompagnement numérique des PME et PMI, sur l’éducation et la formation au numérique. Ils veulent détricoter le principe de précaution, ils portent un projet européen, ils identifient les secteurs d’avenir et veulent mettre en place une fiscalité en faveur de la prise de risque et de l’investissement. Malgré toutes ces mesures, ils n’en déduisent pas publiquement une vision transformatrice du pays et leur catalogue de mesures peut parfois s’apparenter à un accompagnement du mouvement plutôt qu’à une impulsion nouvelle et inspiratrice. En revanche, de façon surprenante, François Fillon est le plus porteur d’une vision européenne des efforts à fournir. Il est celui qui insiste le plus sur un axe franco-allemand du numérique, qui identifie quelques secteurs d’avenir pour la coopération européenne. Il souhaite également que l’Europe maîtrise son espace numérique et les secteurs sensibles, souverains qui sont concernés par le numérique (tant le hardware que le software). Marine le Pen semble quant à elle totalement myope devant la révolution numérique : elle ne propose rien sur les investissements, rien sur les nouvelles formes de travail, rien sur la transformation numérique de l’action publique, rien sur les territoires et leur avenir numérique, rien sur l’éducation et, évidemment, rien sur l’Europe. L’innovation est abordée de façon générale. Seul l’impact du numérique sur la santé est abordé. La candidate entrevoit une société qui ne serait pas impactée par la transformation du travail et des liens sociaux, de la production et de la consommation. Au total, l’ACSEL regrette que les peurs et les ‘refus d’obstacles’ s’expriment mais que les visions positives et transformatrices de notre société soient tues ou inexistantes. Pourtant il semble que pour faire évoluer un pays (nécessitée partagée par tous), il faut un discours d’anticipation et de vérité sur les efforts et les sacrifices qu’il sera sans doute inévitable de réaliser. Et que c’est sur la base de ce discours de vérité que l’Etat peut décider des politiques d’accompagnement et d’aide de ceux qui sont fragilisés. Réveillons-nous! Réveillez-vous! Nous ne pouvons pas à nouveau faire l’impasse sur une vision de long terme. Le numérique fournit un prétexte à débat et une opportunité unique pour notre pays. Ne la gâchons pas. »

Fillon : va perdre l’élection présidentielle pour 83% des français

Fillon : va perdre l’élection présidentielle pour 83% des français

 

Seul un Français sur quatre (25 %) souhaite que François Fillon maintienne sa candidature, soit une nette baisse par rapport à début février (-10 points), selon un sondage Harris Interactive pour RMC et le site Atlantico réalisé après sa déclaration et publié jeudi. Le vainqueur de la primaire de la droite et du centre perd surtout beaucoup de terrain chez les sympathisants LR, qui ne sont plus que 53 % (-14) à vouloir qu’il se maintienne et 48 % chez les sympathisants de la droite et du centre (-2). Quelque 77 % des Français ne souhaitent pas que « la justice fasse une pause des investigations visant à l’élection présidentielle », 57 % chez les sympathisants LR et 63 % chez ceux de la droite et du centre.

2017- Mélenchon candidat….. Pour faire perdre la gauche

2017:  Mélenchon candidat….. Pour faire perdre la gauche

 

Jean-Luc Mélenchon a officiellement déclaré sa candidature. En fait une candidature qui vise surtout à faire perdre la gauche puisqu’en tout état de cause Mélenchon n’obtiendra que de l’ordre de 10 % en 2017 si l’on s’en tient aux sondages. Une sorte de candidature de témoignage mais qui mathématiquement enlève toute chance au principal candidat de la gauche de l’emporter. Jean-Luc Mélenchon s’oppose en effet aux primaires de la gauche pour ne pas se rallier à celui qui viendrait en tête. En fait une candidature qui n’a guère de sens et qui va sans doute participer à la fois de l’éclatement de la gauche mais aussi de sa marginalisation « Je vous propose ma candidature pour l’élection présidentielle de 2017″, déclare-t-il sur un site internet dédié aux soutiens à sa candidature. Comme d’habitude Mélenchon a choisi la grandiloquence ésotérique pour justifier son annonce de candidature « Cette élection peut être une chance pour notre peuple. C’est l’occasion de tourner pacifiquement et démocratiquement la page de l’ordre injuste et cruel dans lequel s’enfonce notre pays et notre continent », ajoute-t-il.   »Au début, vous verrez, on nous regardera un peu de haut. Et puis après, je sais que c’est la force du nombre, de l’élan, de l’enthousiasme des citoyens, qui fait la différence », dit-il. « Après MM. Juppé, Fillon, Sarkozy, Mme Le Pen (…) a annoncé sa candidature. Dans ces conditions, il faut passer à l’action, on ne peut pas rester sans voix », a-t-il expliqué. Il a de nouveau rejeté toute idée de participer à une primaire à gauche : « Moi, pour l’instant, la seule primaire dont je suis sûr c’est le premier tour de l’élection présidentielle. » « Je veux incarner la France insoumise et fière de l’être, celle qui n’a pas de muselière ni de laisse », a ajouté Jean-Luc Mélenchon, qui a déjà été candidat à l’élection présidentielle de 2012, remportée par François Hollande.

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