Archive pour le Tag 'perdant !'

Sondage Pouvoir d’achat : 56 % des Français perdant depuis cinq ans

 

 

56% des sondés estiment qu’il a plutôt diminué depuis cinq ans selon un sondage* OpinionWay-Square pour Les Echos et Radio Classique.

 Ce sentiment est le plus fort au sein des catégories populaires, des employés et des sympathisants du Rassemblement national comme de La France Insoumise.

A l’inverse, les catégories aisées et les habitants de l’Île-de-France pensent que leur pouvoir d’achat a augmenté.

Dans le détail des mesures phare prises pendant le quinquennat, les aides aux entreprises pendant la crise sont jugées comme une bonne chose pour 87% des sondés. La suppression de la taxe d’habitation est considérée comme une bonne mesure par 80% des sondés. Cette exonération bénéficiera à tous les contribuables sur la résidence principale à partir de 2021.

Même bilan pour le prélèvement à la source. La réforme de l’assurance-chômage est bien perçue par 58% des sondés. Par contre, ils ne sont que 31% à soutenir la suppression de l’ISF, remplacée par l’impôt sur la fortune immobilière en 2018.

 

À propos du bilan économique du quinquennat Macron, les Français le juge négatif pour 58% comme négatif, selon un sondage* OpinionWay-Square pour Les Echos et Radio Classique.

Rien de surprenant. Emmanuel Macron fait même mieux que ses prédécesseurs puisque le bilan de François Hollande était jugé négatif par 78% des Français, et celui de Nicolas Sarkozy, par 70%. Et ce, malgré la crise sanitaire qui a entraîné une crise économique.

Macron, « président des riches »

Le sondage met en lumière une fracture entre les différentes catégories sociales. Les classes moyennes et populaires sont les plus sévères: elles jugent à 64% et à 56% que les actions économiques du gouvernement ont eu un impact négatif. Les catégories aisées ne sont que 19% à le penser mais sont 50% à considérer qu’elles ont eu un impact positif.

 

Municipales Toulouse: Moudenc donné perdant ?

Municipales Toulouse: Moudenc donné perdant ?

Selon un sondage Ifop/Fiducial pour La Dépêche du Midi et Sud Radio, Jean-Luc Moudenc serait au coude-à-coude avec Antoine Maurice (Archipel Citoyen). Le candidat écologiste l’emporterait avec 50,5% des voix.

Selon ce sondage réalisé du 20 au 23 juin sur un panel représentatif de 807 personnes, Jean-Luc Moudenc obtiendrait 49,5% des voix. Le maire LR sortant, soutenu par LREM, était arrivé en tête au premier tour, le 15 mars, avec 36,19% des voix contre 27,57% pour le candidat d’Archipel Citoyen. Les électeurs toulousains s’étaient toutefois abstenus à plus de 63%.

Lors d’un précédent sondage Ifop, commandé cette fois par Archipel Citoyen, Antoine Maurice était donné gagnant, crédité de 52% des intentions de vote. Le résultat est donc incertain dimanche, rappelant les élections municipales de 2008 qui avaient vu le socialiste Pierre Cohen battre Jean-Luc Moudenc à 1200 voix près.

Printemps social perdant de Macron

Printemps social perdant de Macron

Trois hypothèses sont envisageables. D’abord le renoncement à centaines réformes  qui porterait evidemmenet atteinte à l’autorité du gouvernement. Seconde hypothèse, la coagulation des mouvements permettant à la rue de faire reculer le pouvoir. Là évidemment, la défaite politique sera conséquente. Troisième hypothèse une très longue succession de grèves sans coordination mais qui vont pourrir le climat social et plus généralement le climat économique. Au total dans toutes les  hypothèses,  la popularité de Macron va sans doute encore se réduire après déjà trois mois de recul. Le pire des dégâts (en plus des dégâts économiques et sociaux) sera donc politique car il va affecter la capacité de reforme future du gouvernement. La meilleure solution aurait été d’éviter es mouvements sociaux en misant tout sur la négociation et en refusant les provocations inutiles. Au fur et à mesure de l’aggravation des conséquences néfastes pour les clients des entreprises en grève, la responsabilité sera vraisemblablement rejetée sur le gouvernement. « Nous sommes entrés dans une longue phase de mobilisation sociale qui se succède et même s’accélère », analyse Stéphane Sirot, historien à l’université Cergy-Pontoise et spécialiste des mouvements sociaux. Ce dernier y voit une période plutôt dangereuse pour le quinquennat d’Emmanuel Macron avec un « long printemps social ».  « L’opinion publique reste très balancée ». Stéphane Sirot est également revenu sur le sondage publié dans le JDD, qui révèle que 51% des Français souhaitent que le gouvernement aille jusqu’au bout dans la réforme de SNCF. « L’opinion publique n’est pas encore cristallisée et nous n’avons entendu que l’argumentaire gouvernemental et nous n’avons pas entendu de paroles réellement alternatives. Pour le moment, l’opinion publique reste très balancée et elle n’a pas encore vraiment choisi son camp », analyse-t-il.

Rachat de SFR: Bouygues gonflé et mauvais perdant !

Rachat de SFR: Bouygues gonflé et  mauvais perdant !

Gonflé le patron de Bouygues qui accuse Vivendi vendeur de SFR à Numericable d’appels d’offres  « tordus » quand on sait comment certains marchés sont arrachés à l’étranger où la corruption est souvenait de règle et Bouygues en sait quelque chose ! La guerre autour du rachat de SFR n’est décidément pas terminée. Dans une interview accordée au Figaro du samedi 12 avril, mais dont le contenu a été révélé  vendredi 11 avril, Martin Bouygues, le PDG du groupe éponyme, règle ses comptes. Il critique ainsi avec vigueur le processus de cession de la filiale télécoms de Vivendi, qui a finalement préféré l’offre de Numericable à celle de Bouygues Telecom. « Des appels d’offres compliqués, tordus, bizarres, j’en ai vu beaucoup. Mais je n’imaginais pas de telles pratiques dans un tel dossier… à Paris de surcroît! », peste-t-il dans les colonnes du journal.  « Tout a été fait pour ne pas permettre à Bouygues de présenter ses offres et ses arguments au Conseil de surveillance. Les anomalies se sont multipliées », poursuit-il. Pour justifier sa décision, Vivendi, arguait notamment que la cession de SFR à Bouygues aurait présenté davantage de risques concurrentiels, et aurait été davantage susceptible d’être bloqué par les autorités de régulation. « Le risque d’un veto par l’Autorité de la concurrence n’existait pas et vous savez que celle-ci n’a jamais interdit une opération de concentration. Il fallait bien un prétexte pour nous éliminer », affirme sur ce sujet, Martin Bouygues. La réaction de Vivendi n’a pas tardé. Le vendredi soir, le groupe français a publié un communiqué répondant aux propos de Martin Bouygues. « Vivendi affirme que la procédure qui l’a conduit à choisir l’offre d’Altice/Numericable en dépit des pressions, des mises en cause déplaisantes dont ses équipes n’ont cessé d’être l’objet, l’a été en toute transparence et avec le souci constant de l’intérêt social de l’entreprise, de ses salariés et de ses actionnaires », fait valoir l’entreprise. « Vivendi se refuse, dès lors, à polémiquer, mais réserve tous ses droits », ajoute-t-elle.  Par ailleurs, toujours dans cette même interview, Martin Bouygues affirme que Bouygues Télécom peut encore voler de ses propres ailes. « Bouygues Telecom peut rester seul car il peut compter sur le groupe Bouygues, qui peut lui fournir des moyens importants pour gagner la rude bataille qui s’annonce », explique Martin Bouygues alors que les rumeurs vont bon train sur la vente de la filiale télécoms de son groupe à Free. Rumeurs que Martin Bouygues s’est refusé à commenter.

 




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