Archive pour le Tag 'pension'

Le scandale de la pension des tirailleurs sénégalais

Le scandale de la pension des tirailleurs sénégalais

Pendant des dizaines et des dizaines d’années, les pouvoirs français successifs ont tout fait pour que les anciens tirailleurs sénégalais souvent recrutés de force ne perçoivent pas de pension. Une question revisitée à l’occasion du film les tirailleurs avec Omar Sy.
( Un film qui traite d’une magnifique et dramatique question mais dans une forme lourdingue et académique qui ôte tout intérêt cinématographique).

Nés dans les anciennes colonies françaises en Afrique et enrôlés dans l’armée française, ces vétérans étaient jusqu’ici obligés de vivre au moins six mois de l’année en France pour percevoir leur minimum vieillesse. Une vingtaine de cas ont été recensés.La France a été plusieurs fois condamnée par les autorités notamment européennes et a attendu la quasi-disparition des intéressés pour réparer le dommage causé. Un véritable scandale et une injustice indigne d’un grand pays comme la France

Ces anciens militaires enrôlés dans l’armée française mènent depuis plusieurs années une bataille administrative pour finir leur vie dans leur pays d’origine.

Les derniers tirailleurs sénégalais pourront y rentrer tout en touchant le minimum vieillesse, a confirmé le ministère des solidarités auprès de l’Agence France-Presse mercredi 4 janvier, après une information publiée par Franceinfo.

Si la retraite peut être perçue partout dans le monde, le versement du minimum vieillesse est conditionné au fait de vivre en France la moitié de l’année. « Un certain nombre de personnes ont émis le souhait de repartir dans leur pays d’origine pour finir leurs jours auprès de leur famille. Nous avons cherché à savoir combien de personnes cela concernait », selon le ministère.

Les caisses d’allocations familiales (CAF) et le secrétariat d’Etat aux anciens combattants ont recensé vingt-deux cas de tirailleurs sénégalais touchant le minimum vieillesse, précise le ministère.

Le ministre des solidarités, Jean-Christophe Combe, va signer prochainement un courrier les autorisant à conserver le minimum vieillesse en vivant hors de France, a-t-on précisé au ministère, qui évoque une « dérogation, une tolérance accordée dans des conditions exceptionnelles et définies ». Cela ne veut pas dire qu’ils repartiront dans leur pays d’origine, qui n’est pas nécessairement le Sénégal, note le ministère.

L’Association pour la mémoire des tirailleurs sénégalais, qui porte ce dossier depuis des années, réclame qu’ils puissent percevoir également les aides de la CAF ou leur pension d’invalidité dans leur pays d’origine

Société-Ephad Korian: un maximum de 5 euros en repas mais 100 euros de pension par jour

Société-Ephad Korian: un maximum de  5 euros  en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad.

Ephad Korian: un maximum de 5 euros en repas mais 100 euros de pension par jour

Ephad Korian: un maximum de  5 euros  en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad.

Ephad Korian: Cinq euros en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad. 

Suppression pension de réversion : la dernière attaque contre les pauvres

Suppression pension de réversion : la dernière attaque contre les pauvres

 

Pour se justifier,  le gouvernement utilise l’argument des inégalités mais des inégalités entre pauvres et non entre pauvres et riches. Selon les dernières données disponibles 80 % des bénéficiaires sont des femmes du fait notamment de carrières plus courtes, le montant varie de 300 (pour les hommes) à un peu plus de 800 euros ; on ne peut pas vraiment parler de classes favorisées. Mais cela représente environ 10 % des dépense de retraites soit 35 milliards d’où l’idée de raboter. On peut evidemmenet rendre le système plus égalitaire (par exemple via la condition de ressources) mais déjà envisager sa suppression en dit long sur le concept de solidarité qu’interprète le gouvernement ; C’est évidemment une  novelle attaque contre les systèmes de retraites et d’une manière plus génarale vis à vis de la protection sociale. Par parenthèse cette suppression serait anticonstitutionnelle. Le montant moyen de ces prestations est de 304 euros pour les hommes et de 642 euros pour les femmes. La pension de réversion ne peut pas être inférieure à 286,14 euros par mois et supérieure à 893,97 euros par mois. L’idée du gouvernemenet est donc de lisser le système. Quitte à « baisser » ou « augmenter » le montant de certaines pensions de réversion, comme l’a indiqué Christophe Castaner, le secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement, jeudi 28 juin sur LCI. Emmanuel Macron avait pourtant assuré sur Twitter, mardi, que « les futurs retraités [bénéficieraient] des mêmes prestations pour chaque euro cotisé ». Le président a par ailleurs précisé qu’aucun bénéficiaire actuel ne verra  »sa pension de réversion diminuer, ne serait-ce que d’un centime »

Création d’un fonds de pension à la française (Macron)

Création d’un fonds de pension à la française (Macron)

Le projet de loi, baptisé #noé, devrait ouvrir la voie à la création d’ »une forme de fonds de pension à la française », a annoncé le ministre de l’Economie Emmanuel Macron.  »Il faut ramener le capital qui est celui de nos épargnants vers le financement de l’économie réelle. (…) Il faut développer une forme de fonds de pension à la française et adapter le cadre fiscal, et c’est cela aussi que je vais proposer dans les prochaines semaines », a-t-il précisé lors d’une rencontre avec des acteurs de l’économie numérique, à Bercy. « Il y aura un projet de loi qui sera présenté en janvier sur la table du Conseil des ministres. (…) Je ferai une première série de propositions à la mi-décembre, puis un point début janvier et il y aura un texte de loi présenté en janvier », a-t-il précisé lors d’une rencontre avec des acteurs de l’économie numérique, à Bercy.

Fonds de pension : 36 000 milliards

Fonds de pension : 36 000  milliards

Raison essentielle de la montée des fonds de pensions, l’évolution du régime des retraites. En France la répartition explique la faiblesse des fonds de pension (aussi la mainmise des capitaux étrangers sur le CAC 40 majoritairement dans les mains étrangères). Autre raison, les Français préfèrent le bas de laine et la pierre.  Au plan mondial 36.119 milliards de dollars (31.972 milliards d’euro c’est le montant des fonds de pension au plan mondial. Les principaux fonds de pension qui proviennent de capitalisations d’entreprises de ces pays ont d’ailleurs vu leur encours « augmenter de 6,1% fin 2014 par rapport à 2013″,.  Dans le détail, les Etats-Unis capitalisent 22.117 milliards de dollars (19.573 milliards d’euros) de fonds de pension, ce qui représente 127% de leur PIB. Les Pays-Bas, où les fonds de pension s’élèvent à 1.457 milliards de dollars (1289 milliards d’euros), sont le pays où ils représentent la plus grosse part du produit intérieur brut (PIB): 165,5%. En France, où les retraites sont principalement reversées par répartition, Towers Watson estime tout de même que celles par capitalisation représentent environ 171 milliards de dollars (151.326 milliards d’euros), soit 5,9% de la richesse nationale. De manière générale, le passage progressif de la capitalisation des entreprises d’un modèle de fonds à prestations définies (avec l’engagement de la distribution d’un montant fixe périodiquement durant toute la durée post salariale) vers des prestations de cotisations définies (avec l’engagement d’une contribution à un plan lors du départ en retraite du salarié). Cette transition s’est faite petit à petit depuis dix ans: les cotisations définies, qui ne représentaient que 38% du total des encours, représentent aujourd’hui 47%.

 

 




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