Archive pour le Tag 'pense'

Trône du Corée-du-Nord : Gras comme un cochon, Kim Yong pense à sa fille

Trône du Corée-du-Nord : Gras comme un cochon, Kim Yong pense à sa fille

 Kim Jong, Le dictateur fou d’environ 140 kg pour à peine plus de 1.60m est en mauvaise santé pense à sa succession royale ( officiellement communiste) et pourrait transmettre le pouvoir à sa fille pourtant très jeune. Rien n’est sûr car en Corée du Nord n’a l’habitude de liquider certains héritiers un peu trop pressés. 

 

En mars, Kim Ju Ae avait été désignée par les médias d’Etat avec le titre très honorifique de « hyangdo » en coréen (« grande personne de conseil »), laissant penser qu’elle pourrait succéder à Kim Jong Un. « Notant l’utilisation du terme « hyangdo », réservé à un dirigeant ou à son successeur, le NIS estime que le projet successoral prend forme dans une certaine mesure », a confié aux journalistes un autre député, Park Sun-won.

Yo Jong est également considérée comme une personnalité influente. La Corée du Nord est dominée depuis 1948 par la dynastie Kim, également appelée « lignée Paektu », du nom d’une montagne sacrée qui est le berceau légendaire du peuple coréen et où, selon la propagande nord-coréenne, a vu le jour Kim Jong Il qui avait lui-même succédé à son père Kim Il Sung.

Aucune femme n’a jamais dirigé le pays, mais « l’appartenance de Ju Ae à la lignée sacrée Paektu du clan Kim et la volonté du dirigeant actuel, s’il la désigne comme successeure, l’emporteront sur son genre », estime Vladimir Tikhonov, professeur d’études coréennes à l’Université d’Oslo.

Ju Ae vit sans aucun doute à l’abri du besoin mais « elle est utilisée à des fins idéologiques et politiques et doit adopter une attitude publique pour laquelle elle est trop jeune », juge-t-il. Sur des vidéos officielles, la jeune fille a pu sembler parfois fatiguée et avoir la bougeotte. « Au final, cela reste une enfant », pointe Soo Kim de LMI Consulting, une ancienne analyste de la CIA.

Algérie: Macron dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas

Algérie: Macron dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas

 

 

La réaction virulente du régime algérien aux propos tenus par le chef de l’Etat français le 30 septembre tient à ce qu’il n’assume pas que sa démocratie est « juste formelle » puisque sa souveraineté est dans les mains de la hiérarchie militaire, analyse le politiste, Lahouari Addi,Professeur émérite à Sciences Po Lyon,  dans une tribune au « Monde ».(extrait)

 

Tribune.

 Les propos d’Emmanuel Macron critiquant, le 30 septembre, le « système politico-militaire » de l’Algérie et l’accusant d’entretenir une « rente mémorielle » ont créé la surprise auprès des autorités à Alger, qui ont réagi avec un communiqué sévère de la présidence. Il est vrai que c’est la première fois qu’un président français dit publiquement ce que ses prédécesseurs, de droite comme de gauche, disaient en privé.

Les officiels français sont exaspérés de ne pas avoir des interlocuteurs algériens dotés de l’autorité que leurs fonctions supposent. C’est ce que veut dire Emmanuel Macron quand il parle du président Abdelmadjid Tebboune, qu’il décrit comme étant l’otage d’un « système politico-militaire dur ». Venant de la France, pays à travers lequel beaucoup de gouvernements étrangers perçoivent l’Algérie, cette déclaration est considérée comme un coup de poignard dans le dos par des généraux qui font tout pour apparaître sous les ordres du président.

Priorité à la lutte contre l’opposition

Il n’est pas à écarter que Macron ait été contrarié par le peu d’empressement que montre l’Algérie à accepter l’expulsion de ses ressortissants en situation irrégulière, en cette période préélectorale où Eric Zemmour presse gauche et droite sur la question sensible de l’immigration clandestine. Alger veut-il monnayer en contrepartie de cette expulsion l’extradition d’opposants sur le sol français ? Cela est probable, surtout que les services de sécurité algériens ont été encouragés à cette fin par l’extradition d’Espagne d’un ex-gendarme réfugié à Barcelone obtenue à la suite de négociations confidentielles. Mais l’Algérie a moins de moyens de pression sur la France que sur l’Espagne qui pourrait, du jour au lendemain, ne plus recevoir de gaz algérien [l’Algérie fournit à la péninsule Ibérique 50 % de son gaz ].

Si cela se confirme à l’avenir, cela signifierait que la diplomatie algérienne donne la priorité à la lutte contre l’opposition au détriment d’autres aspects de la coopération avec les pays d’Europe, portant notamment sur les échanges économiques et culturels. Les services de sécurité, qui décident de la politique étrangère, ont juste oublié que ce qu’ils obtenaient hier de [l’ancien ministre de l’intérieur de 1986 à 1988 et de 1993 à 1995] Charles Pasqua, ils ne peuvent l’obtenir aujourd’hui d’Emmanuel Macron.

Pour les officiels algériens, la déclaration du président français est inadmissible de la part d’un chef d’Etat étranger. La réaction sera d’autant plus brutale que le régime algérien n’assume pas sa caractéristique essentielle, à savoir que la souveraineté appartient à la hiérarchie militaire en lieu et place de l’électorat, sous un habillage institutionnel qui ne traduit pas la réalité des rapports d’autorité au sommet de l’Etat.

Trump pense créer son parti

Trump pense créer son parti

 

La rupture semble bien consommée entre certains grands responsables du parti républicain et Trump ; témoin le chef des sénateurs républicains au Sénat qui a accusé hier clairement Trump d’être  responsables de la tentative de coup d’État au capitole. Il paraît donc de plus en plus évident que le parti républicain risque d’éclater entre légitimistes par rapport aux institutions et populiste très à droite qui soutienne 30.

 

Il paraît peu vraisemblable que Trump  puisse prendre la direction des républicains. Par contre, il pourrait créer son propre parti ne serait-ce que pour entretenir l’illusion d’une nouvelle candidature dans quatre ans à moins évidemment qu’il ne soit rattrapé sur le plan judiciaire à la fois pour ses écarts politiques mais aussi pour ses nombreuses affaires financières personnelles litigieuses.

Selon le Wall Street Journal, le président sortant Donald Trump aurait discuté ces derniers jours avec des associés de la formation d’un nouveau parti politique, dans un effort pour continuer d’exercer une forme d’influence après son départ de la Maison Blanche, le 20 janvier. D’après le journal des milieux d’affaires, le président aurait discuté de la question avec plusieurs assistants et des membres de son entourage la semaine passée. Le milliardaire aurait déclaré qu’il voulait le baptiser «Parti patriote» (Patriot Party).

Climat : Macron pense que Trump a « pris conscience »

Climat : Macron pense que Trump a « pris conscience »

 

Macron se montre peut-être un peu optimiste en pensant que le président américain a pris conscience des enjeux concernant le climat. On observera en tout cas qu’aucun accord n’a été possible lors de la rencontre du G7 et que la chancelière allemande endiablée Merkel s’est déclarée particulièrement déçue sur ce point. On pourra vérifier cette semaine si l’optimisme de macro l’emporte sur le pessimisme de Merkel car le président américain doit définir sa position concernant l’accord de Paris dans la semaine. En attendant Macron  mise sur une évolution de la position américaine « Il y a quelque semaines encore, on pensait que les Etats-Unis allaient quitter le cadre des accords de Paris (sur le climat-NDLR) et qu’aucune discussion ne serait possible », a estimé le chef de l’Etat à l’issue de la réunion de Taormine. »Je considère qu’il y a eu un progrès et qu’il y a eu une vraie discussion et de vrais échanges. Et je pense que les arguments qui ont été mis en lumière par les six autres Etats membres ont été extrêmement complémentaires et, je crois, ont permis à M. Trump de prendre conscience de l’importance de cet enjeu et de sa nécessité, y compris pour sa propre économie. »Les chefs d’Etat du G7 se sont engagés samedi à lutter contre le protectionnisme, surmontant les résistances de Donald Trump qui continue à développer sa position de « l’Amérique d’abord », thème sur lequel il a été élu, mais ne sont pas parvenus à s’accorder sur la question de la lutte contre le réchauffement climatique. Si les Etats-Unis ont paru faire quelques concessions sur la question des relations commerciales, ils restent isolés sur celle du climat, exigeant de leurs partenaires plus de temps pour décider s’ils vont honorer les engagements pris lors de la COP21 en 2015 à Paris. Le président français a fait état d’un « désaccord profond » avec Donald Trump mais, contrairement à la chancelière allemande Angela Merkel, qui a fait part de sa déception sur le climat, Emmanuel Macron a voulu positiver, récusant par exemple l’image d’un G7 qui n’aurait été qu’un « 6+1″. »Je ne veux pas entrer dans une logique d’un 6+1 parce qu’on irait dans le sens d’une fragmentation des démocraties et des grandes puissances économiques, ce qui n’irait pas dans le sens de nos intérêts », a-t-il dit lors de sa conférence de presse.   »Il y a des désaccords qui s’expriment autour de la table. Il y en a eu un, en tout cas à ce stade, sur le climat. J’espère que nous continuerons à réduire cet écart. » Il a souligné que la Chine, l’autre grand pollueur de la planète avec les Etats-Unis, avait, elle, changé d’attitude. « La Chine a pris ses responsabilités en matière climatique. Si nous décidions de ne pas les prendre, notre responsabilité sur le plan moral, politique et économique serait immense. Je pense que ce serait une erreur », a dit Emmanuel Macron. Adopté le 12 décembre 2015 lors de la 21e Conférence des parties à la convention climat, l’accord de Paris jette les bases d’une maîtrise des émissions de gaz à effet de serre à l’origine des dérèglements climatiques. Il fixe le cadre d’engagements politiques, économiques et financiers visant à contenir la hausse de la température moyenne de la planète « nettement en dessous de 2°C » en 2100 par rapport aux niveaux préindustriels.

Christine Lagarde ne pense pas refaire de la politique en France : ça tombe bien elle n’en a jamais fait !

Christine Lagarde ne pense pas refaire de la politique en France : ça tombe bien elle n’en a jamais fait !

 

 

Bizarres certains sondages puisque 50 % des Français considèrent que Christine Lagarde ferait une bonne présidente de la république. Sans doute un résultat lié à sa posture lisse mais sans intérêt de l’intéressée. Comme disait Alain mannequin la principale qualité de Christine Lagarde « c’est  très bien lire les communiqués du tréso »r (ministère des fiances). . Maintenant elle se contente de lire les communiqués du FMI mais sans la moindre originalité, la moindre analyse personnelle mais avec un accent anglais qui fait envie à la plupart de nos politiques restés  eux avec l’accent britannique appris en sixième. Bref en l’état actuel de la nullité de la classe politique,  ce sont les muets ou ce qui parlent  pour ne rien dire qui deviennent  les plus populaires. En France aujourd’hui même un âne pourrait devenir président de la république, ce sera d’ailleurs vraisemblablement le cas comme au cours des précédents quinquennats ;  on risque en effet de choisir encore un président à l’encéphalogramme culturel complètement plat. Bref plutôt un personnage au profil de camelot. La directrice du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde assure donc  ne pas penser « refaire de politique en France », assurant ne pas avoir de « plan de carrière », dans un entretien à paraître lundi 28 septembre dans le quotidien Les Echos.  »Très sincèrement, non, je ne pense pas refaire de politique en France », assure dans cette interview l’ancienne ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui a pris la succession de Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI en juillet 2011.  Dans un sondage rendu public début septembre par l’institut Harris Interactive, 50% des Français avaient estimé qu’elle ferait une bonne présidente de la République, 16% des sondés assurant même qu’elle remplirait très bien ce rôle.  « Les résultats de ce sondage m’ont profondément touchée », assure Christine Lagarde. Mais « je n’ai jamais fait de plan de carrière, je ne vais pas commencer maintenant », ajoute-t-elle. La directrice du FMI a vu son horizon judiciaire et donc politique s’éclaircir cette semaine, un non-lieu ayant été requis à son encontre dans l’enquête sur l’arbitrage controversé à plus de 400 millions d’euros dont a bénéficié Bernard Tapie en 2008.  Christine Lagarde avait été mise en examen le 27 août 2014 pour « négligence » dans cette affaire, les juges lui reprochant notamment de ne pas avoir formellement contesté l’arbitrage une fois qu’il a été rendu. Si les magistrats instructeurs de la Cour de Justice de la République, seule instance habilitée à enquêter sur les membres du gouvernement pour les faits commis dans l’exercice de leur fonction, suivaient cette réquisition de non-lieu, les poursuites visant l’ancienne ministre de l’Économie seraient abandonnées.

Chine : l’Allemagne pense à ses intérêts pas à ceux de l’Europe

 

Chine : l’Allemagne pense à ses intérêts pas à ceux de l’Europe

A peine hypocrite : « L’Allemagne a toujours clairement dit que nous, le gouvernement, privilégions le dialogue et non la confrontation », a déclaré sur la chaîne de télévision allemande ARD le ministre allemand de l’Economie, Philipp Rösler, qualifiant la mesure provisoire de Bruxelles de « grave erreur ».  L’objectif devrait être d’ »empêcher dans tous les cas une guerre commerciale, qui s’étendrait à bien davantage de secteurs que le seul secteur du photovoltaïque », a-t-il ajouté.  Le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, a réaffirmé que l’Allemagne était sur la même longueur d’onde que le gouvernement chinois et qu’elle « aspirait à une solution à l’amiable », au cours d’un point presse régulier.  En recevant à Berlin fin mai le Premier ministre chinois Li Keqiang, la chancelière Angela Merkel avait en effet déclaré vouloir « tout (faire), pour trouver une solution par la discussion ».   »Ce n’est ni l’intérêt de l’Europe, ni celui de l’Allemagne, ni de la Chine de tendre vers un tassement des échanges commerciaux », a ajouté M. Seibert, appelant à ce que les mois à venir soient utilisés par la Commission pour nouer « un dialogue étroit avec la Chine à la recherche d’une solution amiable » et éviter d’inscrire ces taxes dans la durée.  « Les opposants à des taxes douanières ont eu deux années pour trouver une solution au problème », a réagi le vice-président du groupe parlementaire d’opposition social-démocrate, Ulrich Kelber, sur le site internet du quotidien économique Handelsblatt.  Le responsable SPD se réjouit au contraire de la décision de Bruxelles, estimant qu’ »elle devait réagir » au « dumping » de la Chine. L’Allemagne compte quelque 10.000 entreprises dans le secteur solaire, employant au total 120.000 personnes. Mais parmi celles-ci, seules 350 sont des producteurs de panneaux, les autres étant plutôt des revendeurs ou des installateurs qui profitent des panneaux chinois bon marché.




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