Archive pour le Tag 'pays'

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Croissance – Brésil : encore un pays dans le rouge

Croissance -  Brésil : encore un pays dans le rouge

 

 

Le premier trimestre aura été médiocre pour nombre de pays, cette fois le Brésil en recul . Après les mauvais résultats de la Chine, du Japon des Etats unis, de l’Allemagne, il y a de quoi être inquiet pour la croissance mondiale d’autant que le second trimestre risque d’être encore mauvais voire pire dans certains  pays. L’économie brésilienne, elle,  s’est contractée de 0,2% au premier trimestre par rapport au trimestre précédent, ce qui laisse entrevoir une récession sur l’ensemble de l’année en raison notamment d’une nouvelle baisse des investissements des entreprises. Le chiffre du produit intérieur brut (PIB), publié vendredi par l’institut officiel des statistiques IBGE, est cependant meilleur qu’attendu puisque l’estimation médiane des analystes interrogés par Reuters donnait un recul de 0,5%. En rythme annuel, le PIB du Brésil a reculé de 1,6% au premier trimestre. Le consensus s’établissait à -1,8%. Ces données moins mauvaises que prévu, qui s’expliquent par une bonne tenue du secteur agricole sur fond de hausse des prix du café, font progresser le real brésilien de 0,6% face au dollar. Mais avec les baisses des dépenses publiques, le relèvement de certaines taxes et l’augmentation du prix de l’électricité et autres produits décidés depuis le début de son deuxième mandat entamé le 1er janvier, la présidente Dilma Rousseff a, aux yeux de certains économistes, créé les conditions d’une récession. « La tendance est à un affaiblissement de la croissance. Le Brésil retourne en récession », estime Cristian Maggio, analyste chez TD Securities. Les investissements des entreprises ont baissé de 1,3% sur les trois premiers mois de 2015, enchaînant leur septième recul trimestriel de suite, du jamais vu depuis que cette donnée a commencé à être mesurée en 1996. La consommation des ménages a reculé de 1,5%, repli le plus marqué depuis la crise financière de 2007-2009.

Classement pays les plus heureux : la France 29ème

 

Classement pays les plus heureux : la France 29ème

 

Pour calculer le bonheur de chaque pays, les chercheurs se sont basés sur six critères: le PIB par habitant, l’espérance de vie en bonne santé, le soutien social, la liberté dans ses choix de vie, la confiance, calculée en fonction de l’absence de corruption politique ou dans les affaires, et la générosité. Le rapport souligne également l’importance de l’équité, de l’honnêteté, de la confiance et de la bonne santé. La Suisse prend la première place du classement sur 158 pays.  Les pays nordiques occupent le haut du classement, l’Islande, le Danemark, la Norvège et le Canada complétant le top 5. La France, elle, n’arrive qu’en 29ème position, derrière les Etats-Unis (15e), le Royaume-Uni (21e) et l’Allemagne (26e). Les 13 pays en tête du classement sont les mêmes qu’en 2014, même si l’ordre a changé, souligne Jeffrey Sachs, directeur de l’Institut de la terre à l’université Columbia à New York, et l’un des auteurs du rapport écrit par un groupe d’experts indépendants. Ces pays combinent richesse et fort soutien social, ainsi qu’un gouvernement relativement honnête et responsable, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. «Les pays en dessous de ce groupe, ne sont pas à la hauteur soit en matière de revenus, soit en matière de soutien social, soit les deux», a-t-il ajouté. Le Rwanda, le Bénin, la Syrie, le Burundi et le Togo arrivent en queue de classement. L’étude veut également montrer les évolutions entre la période de 2005-2007, et la période 2012-2014, soit avant et après la crise. «Sur les 125 pays pour lesquels pour lesquels la comparaison est possible, 53 se sont rapprochés du bonheur, alors que 41 s’en sont éloignés. 26 se maintiennent», explique l’étude. La Grèce est le pays dont l’indice de bonheur a le plus baissé, avec une perte de presque 1,5 point. L’Espagne accuse une perte de 0,743 points et l’Italie de 0,764. Ces pays «souffrent d’une combinaison de problèmes économiques, politiques et sociaux, note l’étude. La Grèce, l’Italie et l’Espagne ont été en zone euro parmi les pays durement touchés».

Sondage : 9 Français sur 10 fiers de leur pays

Sondage :   9 Français sur 10 fiers de leur pays

 

Après les mobilisations massives (entre 3,7 et 4 millions de personnes se sont rassemblées en France) qui ont suivi les attentats ayant entraîné la mort de 17 personnes, 87% des sondés se déclarent « fiers d’être Français », dans une enquête Odoxa publiée mercredi 14 janvier par Le Parisien. Plus d’une personne interrogée sur dix (11%) a répondu par la négative et 2% ne se prononcent pas. Par ailleurs, le Président de la République semble bel et bien avoir le vent en poupe. Alors qu’un récent sondage Opinionway faisait état d’une cote de popularité en hausse de quatre points, dans cette étude Odoxa, 29% des Français estiment que François Hollande est « un bon président de la République » contre 21% en décembre. Une hausse de sa cote de popularité de 8 points qui profite également au chef du gouvernement. Manuel Valls est ainsi jugé comme étant un « bon Premier ministre » par 53% des Français contre 45% en décembre. Et ce alors que le sondage a été réalisé avant son discours à l’Assemblée prononcé mardi après-midi, après que les députés ont entonné la Marseillaise pour la première fois depuis le 11 novembre 1918.  Le Premier ministre fait aussi six fois mieux que le chef de l’Etat auprès des sympathisants de droite (45% de jugements positifs) et il est également nettement plus populaire auprès de ceux de gauche (70% contre 58%). En revanche, seuls 27% des sondés se disent « plus confiants dans l’avenir » contre 71% qui avouent éprouver le sentiment inverse et 2% qui ne se prononcent pas. 

Le sondage a été réalisé par internet le 13 janvier auprès d’un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus établi selon la méthode des quotas.

Loi Macron un coup de jeunesse pour le pays !!! (Hollande)

Loi Macron un coup de jeunesse pour le pays !!! (Hollande)

 

Il ne faut décidément pas grand-chose à Hollande pour être satisfait ; d’après lui c’est la loi Macron qui va donner un coup de jeune à notre société ; En fait une loi qui n’est qu’un ramassis de de mesures de bric et de broc (un bout de truc sur les notaires, le travail le dimanche ou encore les cars sur autoroutes) Pas vraiment un programme de modernisation de l’économie. Là où il fallait saisir l’opportunité pour engager la réforme de l’Etat si coûteux et si paralysant. Pas possible sans doute car la mafia des énarques détiennent tous les postes et s’engraissent de ces superstructures inutiles.   François Hollande a jugé mercredi 31 décembre que la France « est capable de se transformer » jugeant que la loi Macron bientôt débattue au Parlement serait « un coup de jeune pour la société » lors de ses vœux aux Français. La France est capable de se transformer. Je sais que vous y êtes prêts (Hollande intégré là le résultat de sondage qui démontrent que les français sont davantage réformateurs que la classe politique°.    »La France est capable de se transformer. Je sais que vous y êtes prêts », a dit le chef de l’Etat, en citant en exemple le projet de loi Macron sur l’économie, qui sera débattu prochainement au Parlement et qui sera un « coup de jeune pour notre société ».  Cette loi « va libérer les initiatives, casser les rentes, libérer les énergies, l’activité, développer l’emploi, simplifier la vie des entreprises tout en protégeant les salariés », a-t-il détaillé, jugeant que cette loi était surtout « destinée à la jeunesse ». « La jeunesse ce sera toujours ma priorité » encore un slogan qui ne mange pas de pain), a-t-il assuré.  Aux entreprises maintenant d’embaucher et d’investir, c’est le sens du mot responsabilité  Revenant sur le pacte de responsabilité, qui entre en vigueur le 1er janvier, il a renvoyé la balle aux entreprises : « Aux entreprises maintenant d’embaucher et d’investir, c’est le sens du mot responsabilité », a dit le chef de l’Etat. « Notre obligation commune, c’est la lutte contre le chômage », a-t-il  ajouté. Un beau slogan mais vide de sens !

Sondage moral des ménages : sur 65 pays, la France 64 ème

Sondage moral des ménages : sur 65 pays, la France 64 ème

 

Un sondage qi démontre que le french bashing par les Françis eux-mêmes  n’est pas simplement une mode mais bien un phénoméne qui rend compte de l’Etat catastrophique du pays. Seuls les Italiens se montrent plus pessimistes que les Français concernant 2015, selon un sondage réalisé dans 65 pays par BVA, Gallup International et Win pour Le Point. Seulement 17% des Français interrogés pensent que l’année à venir sera meilleure que 2014 (-1 point par rapport à 2013), ce qui fait de la France le 64e pays sur 65 devant l’Italie (14%), selon cet indicateur général de confiance. L’optimisme progresse en revanche fortement en Asie (+8 points à 63%) et l’Europe de l’Est (+6 points à 34%). Si 34% des Français interrogés jugent que 2015 sera pire que 2014, c’est aussi le cas de 42% des Italiens. Le Royaume-Uni (18%), l’Espagne (19%) et l’Allemagne (19%) semblent moins touchés par ce pessimisme. Seuls 6,0% des Français estiment que 2015 sera une année économiquement plus favorable que 2014, contre 57% qui anticipent une année de difficultés économiques. Ils ne sont que 43% à se dire heureux dans leur vie, ce qui les place au 58e rang sur 65 pays, derrière les Britanniques (49%), les Portugais (48%), les Tchèques (47%), les Turcs (46%) et les Lettons (46%) mais devant les Italiens, les Serbes et les Roumains (41%), les Bulgares (31%) et les Grecs (25%). A l’échelle du monde, 42% des personnes interrogées pensent que 2015 sera économiquement plus favorable que 2014 (+10 points par rapport à l’an passé), un résultat dû notamment à une forte progression de l’optimisme en Asie (53%, +16 points) concernant cet indicateur. Et les sondés sont 70%, au niveau mondial, à se dire heureux (une progression de 10 points par rapport à 2013). Le taux de bonheur personnel progresse nettement en Europe de l’Est (58%, +19 points) et en Asie (77%, +13 points) alors que ce sentiment est tout juste majoritaire (51%) dans l’ensemble de l’Europe de l’Ouest.

Menace islamiste : les pays du Golf inquiets

Menace islamiste : les pays du Golf inquiets

 

 

 

Les pays du Golf sont en traina de prendre la mesure de la menace islamiste. Dans ce but ils ont décidé de mettre fin à leurs différends. Certains étaient graves puisque certains pays comme le Qatar soutenaient des rebellions proches de islamistes. Après huit mois de tension, les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) se sont réunis, dimanche 16 novembre, à la faveur d’un sommet surprise à Ryad, la capitale de l’Arabie saoudite. Les représentants du Koweït, des Emirats arabes unis, de l’Arabie Saoudite, d’Oman, du Bahreïn et du Qatar, ont pris part à ces discussions qui visaient à trouver une solution à leurs différends.  Parmi les plus grandes sources de discorde : le soutien de Doha aux Frères musulmans. Le Qatar a été accusé par ses voisins de déstabiliser la région, de soutenir les islamistes proches de cette organisation dans les autres pays du Golfe et de servir de refuge à des islamistes d’autres pays arabes. L’accord obtenu, dimanche, à Ryad promet « l’ouverture d’une nouvelle page » dans les relations entre les membres du CCG, dont trois pays membres, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et Bahreïn ont d’ailleurs décidé de renvoyer leurs représentants à Doha. Le rappel de leurs ambassadeurs, début mars, avait ouvert une crise sans précédent au sein du CCG depuis sa création en 1981.

Un Français décapité en Algérie , des menaces dans une trentaine de pays

Un Français décapité en Algérie , des menaces dans une trentaine de pays

 

 

Après l’acte de barbarie contre une Français décapité en Algérie, le ministère des affaires étrangères demande aux français la plus grande prudence dans une trentaine de pays à risque : Le Mali, la Mauritanie, l’Ethiopie, le Burkina Faso, le Nigéria, le Kenya, Djibouti, le Sénégal, le Niger, le Tchad, le Soudan, le Yémen, le Qatar, Oman, le Liban, le Koweït, l’Irak, la Jordanie, les Emirats arabes unis, Israël, l’Egypte, l’Iran, le Bahreïn, la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, la Turquie, la Syrie. D’autres informations sont disponibles sur le site du ministère des Affaires étrangères Le gouvernement a répondu aux menaces des djihadistes envers la France. Dans une brève allocution télévisée, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a lancé : «La France n’a pas peur». «Nous prenons aujourd’hui 100 % de précaution». Et d’ajouter : «La France est prête à empêcher les passages à l’acte même si le risque zéro n’existe pas [...] Ce n’est pas la première fois que la France est menacée par des terroristes [...] la France n’a pas peur car elle sait pouvoir compter sur la solidarité de tous les citoyens de France, quelles que soient leurs origines ou leur confession» et la «vigilance» des forces de l’ordre qui sont la «meilleure réponse», a-t-il insisté.  «Le dispositif Vigipirate, dans les dispositions actuelles qu’il contient», selon lui, «est aujourd’hui opérationnel et efficace. Depuis plusieurs mois déjà, nos forces de sécurité sont pleinement mobilisées afin de prévenir les risques liés à l’activité des groupes terroristes en Syrie et en Irak». Bernard Cazeneuve a rappelé qu’il y avait eu 110 interpellations de présumés djihadistes en France depuis le 1er janvier – dont 74 mises en examen – et que des filières de recrutement pour le djihad avaient été «démantelées». Selon le ministre, un peu plus de 900 Français seraient «impliqués» dans le djihad en Irak et en Syrie. Il a aussi mis en exergue son projet de loi antiterroriste adopté «très largement» par l’Assemblée nationale la semaine dernière, qui crée notamment une interdiction de sortie du territoire pour freiner les départs croissants de Français candidats au djihad en Syrie. «Les services de sécurité seront mieux armés», a-t-il soutenu.  Le Quai d’Orsay a de son côté appelé les Français résidant ou étant amenés à se déplacer dans une trentaine de pays «à la plus grande prudence» après les menaces du groupe Etat islamique visant les ressortissants occidentaux et notamment français, a-t-on appris lundi auprès du ministère français des Affaires étrangères. Le Quai d’Orsay a transmis cette consigne à ses ambassades « dans une trentaine de pays » qui l’ont répercutée auprès des Français y habitant ou en séjour, notamment au Maghreb, au Moyen-Orient et en Afrique, a-t-on ajouté de même source.  L’organisation Etat islamique a lancé lundi un appel à ses partisans à tuer des citoyens, notamment américains et français, des pays formant la coalition internationale mise en place pour combattre le groupe djihadiste en Irak et en Syrie. «Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen – en particulier les méchants et sales Français – ou un Australien ou un Canadien, ou tout (…) citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l’État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n’importe quelle manière», a déclaré Abou Mohammed al-Adnani, le porte-parole de l’EI, dans un message publié en plusieurs langues. Les Etats-Unis et la France sont les deux pays qui ont jusqu’à présent mené des frappes aériennes en Irak sur des positions de l’EI, un groupe qui a déclaré en juillet un « califat » à cheval sur la Syrie et l’Irak, dont ils contrôlent de larges secteurs. Dans le même communiqué, l’EI engage aussi les militants islamistes du Sinaï à frapper les forces de sécurité égyptiennes, confirmant les inquiétudes exprimées par Le Caire sur une possible connexion entre ces groupes armés. «Placez des explosifs sur les routes. Attaquez leurs bases, faites irruption à leurs domiciles. Tranchez-leur la tête. Qu’ils ne se sentent nulle part en sécurité», déclare Abou Mohamed al Adnadi dans un communiqué diffusé sur Internet. Cet appel confirme les inquiétudes exprimées ces derniers temps par le pouvoir égyptien, qui redoute les répercussions de l’émergence des djihadistes de l’Etat islamique en Irak et en Syrie.

Croissance pays du G7 : 1.5% au plus en 2014

Croissance pays du G7 : 1.5% au plus en 2014

 

L’Europe  et surtout Hollande comptait une  la reprise mondiale –qui ne vient pas. Du coup, la reprise a calé au deuxième trimestre au sein  de la zone euro, et l’inflation est tombé à 0,4% en rythme annuel au mois de juillet, accentuant les craintes de déflation. La croissance du secteur privé a faibli de manière plus marquée que prévu en août sur fond de baisse des prix, selon les données provisoires de l’enquête Markit auprès des directeurs d’achat publiée jeudi. « Les risques entourant les perspectives économiques de la zone euro demeurent orientés à la baisse », avait d’ailleurs prévenu le mois dernier le président de la BCE Mario Draghi. Pour Jacob Funk Kirkegaard, chercheur au Petersen Institute of International Economics, le principal problème auquel les banques centrales sont confrontées est que les fondements de la croissance économique mondiale ne sont pas alignés et que les différentes économies ne sont pas en synergie. « Il n’y a aucun pays (actuellement) pour compenser l’affaiblissement », estime-t-il. « Quant à l’éventualité du consommateur américain venant à la rescousse de la demande globale, n’y comptez pas ! » Un diagnostic conforté par les derniers chiffres de l’emploi aux Etats-Unis, qui ont reflété des créations de postes soutenues mais sans hausse des salaires dans le secteur privé et sans amélioration du chômage de longue durée. L’évolution du marché du travail jointe à une croissance économique à un rythme encore modeste ont conduit la présidente de la Réserve fédérale Janet Yellen à tempérer les anticipations d’une hausse des taux directeurs au moins jusqu’à ce que les chiffres sur les créations d’emploi et les salaires montrent que les conséquences de la crise financière sont « complètement effacées ».  La Réserve fédérale a toutefois souligné la rapidité de l’amélioration du marché du travail américain lors de sa dernière réunion de politique monétaire dont le compte rendu a été publié mercredi. La Grande-Bretagne, dont l’économie affiche la croissance la plus forte parmi le groupe des sept principales économies mondiales (G7) est dans une situation comparable. Deux des neuf membres du comité de politique monétaire de la Banque d’Angleterre ont voté en faveur d’un relèvement immédiat des taux lors de la réunion du début du mois, une première depuis trois ans, selon le compte rendu publié également mercredi.  Les indicateurs communiqués depuis cette réunion ont toutefois fait état d’un recul du salaire moyen pour la première fois en cinq ans, d’une chute de l’inflation et d’un ralentissement des créations d’emploi.  Les ventes au détail ont aussi progressé à un rythme moins élevé que prévu en juillet, selon des chiffres officiels publiés jeudi. La Banque d’Angleterre, a dit son gouverneur Mark Carney, attendra que la croissance des salaires soit durable avant de relever les taux, même si cela ne signifie pas nécessairement que celle-ci doive être plus rapide que l’inflation. Mario Draghi et Janet Yellen seront au nombre des banquiers centraux qui se réunissent vendredi à Jackson Hole, dans l’Etat américain du Wyoming, pour le traditionnel symposium annuel à l’invitation de la Fed régionale de Kansas City. Ils risquent d’être à la peine pour faire la part entre ce qui relève de difficultés durables de l’économie mondiale et de ratés passagers. L’économie japonaise s’est ainsi contractée de 6,8% en rythme annualisé au deuxième trimestre, sa contraction la plus forte depuis le séisme et le tsunami de mars 2011, mais le gouvernement espère que celle-ci est principalement imputable à la hausse de la TVA intervenue le 1er avril qui a pesé sur la consommation des ménages De même, le recul des salaires en Grande-Bretagne peut en partie s’expliquer par leur forte hausse un an auparavant après la baisse du taux d’imposition pour les revenus les plus élevés, un effet de base qui a vocation à s’estomper. Il n’en reste pas moins que l’économie du G7 croissent à un rythme bien inférieur à la tendance. Elles ont enregistré une croissance d’un peu plus de 2% l’an en moyenne entre 1981 et 2013 alors que la prévision pour cette année est de moins de 1,5%, avant même la prise en compte des conséquences des tensions géopolitiques.

 

Hollande : de nouvelles lunettes, pour voir clair sur la situation du pays ?

Hollande : de nouvelles  lunettes pour voir clair sur la situation du pays

 

 

Il était temps Hollande vient de changer de lunettes pour voir plus clair sur la situation de la France. Jusque là il était muni de lunettes roses  qui avaient tendance à déformer la réalité ; exemple sur l’inversion de la courbe du chômage reportée maintenant en 2016 puisque le ministre du travail parle seulement  de stabilisation. Même chose sur le retournement économique, lui auusi vainement attendu puisque la croissance prévue à 1% en 2014 n’atteindra pas 0.7% et peut-être même sera limitée à 0.5% ; Quand au « changement c’est maintenant », avec ces nouvelles montures, Hollande va se rendre compte qu’il ne pourra pas intervenir durant son mandat. Ne parlons pas de «  l’ennemi c’est la finance ».En fait ce ne sont pas les lunettes qu’il faut changer mais celui qui les porte.  Gros hublots, montures invisibles, verres ronds et à présent lunettes à bord apparent… au fil de sa carrière politique, François Hollande a changé plusieurs fois de monture. François Hollande a profité de sa visite surprise au festival Solidays, samedi 29 juin, pour s’afficher avec une nouvelle paire de lunettes. Anecdotique ? En tout cas, certains font les gros yeux : il s’agit d’une monture danoise et non pas « made in France. » D’autres y voient un vrai signe politique. « Les lunettes saluent bien l’achèvement de son coming-out réformiste », estime le publicitaire Jacques Séguéla dans Metronews. Sans pousser l’analyse jusque là, on peut en tout cas noter que cette nouvelle monture est le signe du temps qui passe et des modes qui évoluent. Gros hublots, montures invisibles, lunettes rondes… en plus de 30 ans de carrière, François a changé plusieurs fois de lunettes.

 

Croissance mondiale : affectée par les pays émergents (FMI)

Croissance mondiale : affectée par les pays émergents (FMI)

 

Austérité, restructuration et risques géopolitique plombent la croissance mondiale notamment celle des pays émergents. Le Fonds monétaire international (FMI) s’attend à une accélération de la croissance mondiale cette année grâce aux pays avancés mais a abaissé ses prévisions pour les pays émergents, dont la Russie et le Brésil. L’organisation basée à Washington a toutefois souligné que des politiques économiques plus appropriées étaient nécessaires pour augmenter la croissance potentielle mondiale et éviter une période prolongée de croissance faible. Le FMI a très légèrement abaissé sa prévision de croissance mondiale pour cette année, à 3,6%, dans la version semestrielle de ses Perspectives économiques mondiales publiées mardi contre 3,7% lors de l’actualisation du mois de janvier. Pour 2015, il table sur 3,9%. Les performances économiques des pays avancés, où l’austérité budgétaire sera moins marquée, et des pays émergents, où les conditions financières vont se durcir, divergent, note le FMI. Les risques géopolitiques ont aussi augmenté, souligne l’institution, la crise ukrainienne continuant d’alimenter les tensions entre la Russie et les Occidentaux. « Le renforcement de la reprise dans les économies avancées depuis la Grande Récession est un développement bienvenu », relève le FMI. « Mais la croissance n’est pas aussi solide partout dans le monde, et de nouveaux efforts en matière de politique économique sont nécessaires pour restaurer la confiance, assurer une croissance solide et limiter les risques baissiers. » En dépit des perturbations de l’activité en début d’année aux Etats-Unis liées à un hiver inhabituellement rigoureux, le FMI s’attend à une croissance américaine supérieure au potentiel, à 2,8%.  L’économie américaine bénéficiera d’une moindre austérité budgétaire, de la poursuite de la reprise de l’immobilier et d’une politique monétaire toujours accommodante, la Réserve fédérale ne devant pas relever ses taux d’intérêt avant le troisième trimestre 2015, selon le FMI.  

 

Nouveaux pays émergents qui pourraient dépasser les BRICS

Nouveaux  pays émergents qui pourraient dépasser les BRICS

Une dizaine de pays émergents pourraient prendre le relais des BRICS, au moins partiellement. Et parmi ces dix, l’assureur-crédit Coface en identifie, cinq dotés d’un fort potentiel, dans un rapport paru ce mardi 25 mars. Et comme il se doit, ils sont dotés d’un acronyme: « PPICS », pour Pérou, Philippines, Indonésie, Colombie et Sri Lanka. Pour procéder à la sélection, l’assureur crédit a procédé en trois grandes étapes. La première : il faut avoir affiché une croissance supérieure en 2010-2011 à celle de 1999-2008, et avoir tenu le choc durant la récession mondiale de 2009. Ensuite, la croissance potentielle doit dépasser les 4%, avec une part des exportations de matières premières dans le PIB qui ne dépasse pas les 40%, ce qui montre une économie capable de se diversifier.  Deuxième étape: la preuve d’un taux d’épargne qui dépasse les 10%. Ce qui signifie que pour financer les investissements, le pays ne dépend pas excessivement des importations de capitaux. Il faut aussi disposer de banques qui gèrent le crédit. Ce qui exclut, par exemple, le Vietnam, dont le système financier serait, selon Coface, « hors contrôle ».  Troisième critère de la sélection: l’environnement des affaires doit être à peu près convenable. La qualité des paiements et des remboursements doit s’avérer correcte et l’accès à l’information des entreprises, possible. Le Kenya, par exemple, qui a franchi les seuils précédents, n’y parvient pas cette fois. Donc, passé au travers des tamis, c’est une Colombie, ne se résumant plus aux paramilitaires et à la cocaïne, qui arrive en tête des « PPICS ». L’Indonésie, le Pérou, les Philippines et le Sri Lanka suivent de près.

 

Ukraine : un pays pillé par les oligarques

Ukraine : un pays pillé par les oligarques

 

Démocratie et niveau de vie deux aspirations des ukrainiens ; Une démocratie qui pendant plus de 20 ans a été étouffée par les oligarques (communistes, amis des communistes, affairistes). Un pays aussi au bord de la faillite financière littéralement pillé par les oligarques qui pendant la même période ont détourné la richesse nationale constituant des patrimoines énormes souvent réinvestis à l’étranger. Un pays en fait dirigé par un conglomérat d’oligarques, d’  affairistes et de membres de la mafia (un peu comme en Russie). Rétablir la démocratie ne sera  pas aisé car i n’existe pas de structure réellement démocratique, tout est à reconstruire ; Il en est de même dans le domaine économique et surtout financier. Les besoins de financement sont énormes (de l’ordre 35 milliards) Aucun pays ne pourra aider seul l’Ukraine, ni la Russie, ni les Etats-Unis, ni l’Europe, il faudra une union internationale sur l’égide du FMI avec sans doute des contreparties sociales difficiles pour les ukrainiens ( comme en Grèce). Un pays pourtant à fort potentiel que se disputent  l’Europe et le Russie pour de raisons géostratégiques. Un enjeu essentiel pour la Russie qui ne veut pas d’une démocratie vivante à ses frontières et qui craint aussi les risques de contagion démocratique. A l’intérieur même de la Russie. Ce qui ne manquera pas d’arriver un jour contenu aussi du conglomérat oligarques, affairistes et mafia qui dirigent aussi le pays.

Hollande : « la France pays où il est le plus simple de créer son entreprise ». Il rêve !

Hollande : « la France pays où il est le plus simple de créer son entreprise ». Il rêve !

 

 

Hollande s’est enivré de son nouveau parfum d’entreprise en déclarant aux Etats Unis que la France est la pays où il est le plus simple pour créer une entreprise. En effet une fois créée, c’est le parcours administratif et fiscal du combattant pour la nouvelle société.  La France n’est donc  pas LE pays où il y est le plus simple de créer son entreprise. En Australie, aux Etats-Unis, au Canada ou en Italie, on peut créer son entreprise plus rapidement qu’en France.  La France est bien placée par rapport à la moyenne des pays du G20, d’après une étude du cabinet Ernst & Young sortie en aout 2013. En France, il faut sept jours pour créer une entreprise, alors que la durée moyenne des pays du G20 est de 22 jours. Ensuite, la France est bien placée pour le nombre de procédures administratives à remplir (5 contre 7,6 en moyenne). Enfin, en France, le coût de création d’une société est bien plus faible que la moyenne des pays du G20.  C’est une fois que l’entreprise est créée que ça se gâte. Xavier Kergal, le patron du salon des entrepreneurs, explique qu’il « y a des formulaires de la médecine du travail, les problèmes de la retraite, de la formation, les différentes taxes d’apprentissage. Vous avez une artillerie administrative complexe parce que c’est un cumul d’un demi-siècle de formulaires ».  Xavier Kergal ajoute qu’ »on est encore sur une législation très compliquée, alors que l’acte de création, de manière très paradoxale, est devenu très simple. Même le statut d’auto-entrepreneur, vous le faites sur internet, ça vous prend une heure. C’est au lendemain de la création que le bas blesse ».  Et pour ne rien arranger, il est difficile de faire grossir une entreprise en France. Il y a des effets de seuil. Franck Sebag, associé chez Ernst & Young, constate le fossé entre « le nombre d’entreprises à 49 salariés par rapport au nombre d’entreprises qui sont à plus de 50 salariés. Il y a deux fois plus de sociétés de 49 salariés que d’entreprises qui sont à 52 salariés. Parce que le fait de passer au delà de certains seuils démultiplie la réglementation. Il faut rajouter des tonnes de choses ».  Conclusion, on attend  encore  le choc de simplification administratif et fiscal

Economie mondiale : le tassement des pays émergents

Economie mondiale : le tassement des pays émergents

 

Depuis des années, l’économie mondiale ne jurait que par eux: le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine, l’Afrique du Sud…  Leur forte croissance compensait la stagnation des pays avancés, leurs marchés intérieurs en pleine expansion aiguisaient les appétits des grands groupes occidentaux, leurs bas coûts de production faisaient tourner le commerce mondial et leurs réserves de devises leur permettaient de financer l’endettement occidental.  Mais 2013 a marqué un coup d’arrêt. Ils ont perdu un peu de leur lustre, pour être considérés d’un ?il peut-être plus lucide.   »Nous l’attendions depuis un moment, mais c’est devenu très clair » en 2013, a déclaré à l’AFP Jennifer Blanke, chef économiste du World Economic Forum (WEF), basée à Londres.  Pour l’économiste Chris Weafer, associé-senior de la firme de conseil Macro Advisory, basée à Moscou, ce « changement d’attitude envers les émergents » était « nécessaire et retardé depuis trop longtemps » par des investisseurs bercés d’illusions, voire « complaisants ».  Tout d’abord, plusieurs grands émergents ont vu leur croissance nettement ralentir. La Russie, l’Afrique du Sud, mais surtout, le premier d’entre eux, la Chine. Et si la Chine éternue, l’économie risque le rhume un peu partout dans le monde.  La banque espagnole BBVA identifie comme un « facteur de risque » au niveau international « l’ajustement (à la baisse) de la croissance de la Chine et d’autres économies émergentes ».  Pour la Banque centrale européenne, « tout ajustement plus brutal ou désordonné dans les économies émergentes doit être surveillé de près, compte tenu des risques d’impact plus forts et plus durables en zone euro ».   »Les investisseurs avaient présumé que la Chine continuerait à croître à un taux de 8-9% par an. C’est impossible sur le long terme », explique à l’AFP M. Weafer, alors que l’objectif officiel de croissance de Pékin pour 2013 est de 7,5%.  Malgré tout, « nous sommes soulagés parce que certains parlaient d’un atterrissage brutal » de l’économie chinoise, qui aurait eu des conséquences plus graves, pointe Mme Blanke.   »Plusieurs pays sont devenus dépendants » de la croissance chinoise, souligne UBS dans une note sur les perspectives d’investissements en 2014.   »La croissance des investissements chinois a alimenté la demande de matières premières et soutenu plusieurs économies telles que le Brésil ou l’Australie », poursuit la banque suisse qui prévient qu’il « n’y a pas de +Chine après la Chine+ ». En d’autres termes, il n’y aura pas de superpuissance avec une croissance à deux chiffres capable de remplacer la Chine comme moteur de l’économie mondiale.  A ce ralentissement vient s’ajouter un deuxième facteur de risque: l’instabilité financière. Cet été, Bourses et devises de plusieurs émergents ont été très chahutées par le reflux brutal de capitaux provoqué par la perspective de la fin de la politique monétaire ultra-généreuse de la Banque centrale américaine.  Plusieurs grands groupes américains ou européens ont ainsi subi de lourdes pertes financières à cause des effets de change.  Enfin, l’instabilité sociale est un autre facteur de risque, « comme ce que nous avons vu récemment au Brésil ou en Afrique du Sud, avec des gens qui exigent une plus grande part du gâteau, parce qu’ils ne constatent pas d’amélioration (de leur qualité de vie) aussi rapide qu’ils le souhaitent », analyse Mme Blanke.  C’est « un très gros risque, et je crois que ces pays en sont conscients », selon Mme Blanke, même si elle admet que plusieurs d’entre eux n’ont pas assez mis à profit les années d’opulence écoulées pour se réformer suffisamment.   »Un gouvernement doit écouter la voix de la rue. Un gouvernement ne peut pas s’isoler et se refermer sur lui-même », reconnaissait fin novembre dans le journal El Pais la présidente du Brésil, Dilma Rousseff.

Soudan : massacres pour le contrôle du pays

Soudan :  massacres pour le contrôle du pays

Conflit politique, ethnique et économique, les trois ingrédients habituels en Afrique, réunis cette fois au Sud Soudan. Le sud Soudan, indépendant depuis 2011 où se combattent deux forces politiques pour la maitrise des ressources surtout pétrolières et la domination politique. Une crise très meurtrière avec des milliers de victimes.  Le Conseil de sécurité des Nations unies a d’ailleurs approuvé mardi l’envoi au Soudan du Sud de casques bleus supplémentaires, dont les effectifs vont presque doubler, alors que l’Onu a annoncé la découverte de charniers. Le coordinateur humanitaire de l’Onu au Soudan du Sud a déclaré que le bilan des violences ethniques qui déchirent le pays depuis dix jours se chiffrait probablement en milliers de morts, et non en centaines, comme estimé jusqu’à présent. « Je pense qu’il est désormais incontestable que des milliers de personnes ont perdu la vie », a dit Toby Lanzer à la BBC. « Quand on s’est rendu comme moi dans les hôpitaux des villes clés et dans ceux de la capitale et qu’on a vu l’ampleur des blessures, on n’est plus dans une situation où on parler de centaines de morts », a-t-il expliqué. Toby Lanzer s’exprimait depuis une base onusienne à Bentiu, une ville tenue par les rebelles où un charnier contenant 75 corps a été découvert. La Haut-Commissaire aux Droits de l’homme de l’Onu, Navi Pillay, a fait état « d’au moins » deux autres fosses communes à Juba, la capitale du pays. Adama Dieng, conseiller spécial Nations unies pour la prévention des génocides, a évoqué de son côté dans un communiqué de possibles « crimes de guerre et crimes contre l’humanité ». Alors qu’environ 45.000 civils ont trouvé refuge dans les différents camps de l’Onu, les 15 membres du Conseil de sécurité ont voté à l’unanimité l’accroissement des effectifs de la Mission des Nations unies au Soudan du Sud (Minuss), qui vont passer à 12.500 soldats et 1.323 policiers, contre 7.000 et 900 actuellement.

 

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