Archive pour le Tag 'payent !'

Vers l’expulsion des gendarmeries qui ne payent pas leur loyer ?

Vers l’expulsion des gendarmeries qui ne payent pas leur loyer ?

Ce pourrait être un gag mais c’est pourtant la vérité: nombre de gendarmeries n’ont pas réglé le prix de leur loyer. En cause notamment la bureaucratie et les incompétences en matière de gestion de la trésorerie de l’État

Et c’est le ministre lui-même à savoir Darmanin, fort en gueule mais faible en action ,  qui aurait demandé de surseoir au paiement des loyers.

Peut-être ces difficultés de trésorerie sont-elles aussi à l’origine de l’idée saugrenue de créer des gendarmeries « ambulantes » qui économiseraient ainsi les locaux !

Début septembre, Darmanin   a demandé à la gendarmerie de reporter le paiement des loyers de septembre, octobre et novembre en attendant les nouveaux crédits qui doivent arriver en fin d’année, a appris franceinfo auprès de l’entourage de l’actuel ministre de l’Intérieur. Une décision qui, selon cette source, a pour origine trois raisons.

En cause une mauvaise évaluation du coût des actions de la gendarmerie.

Le ministre actuel assure avoir conscience de l’image « peu avantageuse que cela donne d’un État qui n’a pas su prévoir. Tout devrait rentrer dans l’ordre au début de l’année prochaine », assure Bruno Retailleau selon son entourage.

Reste que cette situation n’est pas nouvelle, c’est même une situation structurelle pour la gendarmerie, selon les rapports de la Cour des comptes. D’après l’institution, il y a chaque année des dizaines de millions d’euros de loyers qui ne sont pas payés dans les temps par la gendarmerie. Cela représentait au niveau national 170 millions d’euros en 2023, 220 millions d’euros en 2021, et même plus d’un milliard d’euros en 2020, même si l’année était particulière à cause du Covid.

Inflation : les grandes entreprises profitent et les ménages payent !

Inflation : les grandes entreprises profitent et les ménages payent !


Les bénéfices des grands entreprises progressent encore 200 au premier semestre 2023.Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

Pouvoir d’achat : les salariés payent la note de l’inflation

Pouvoir d’achat : les salariés payent la note de l’inflation

Alors que l’inflation sur un an dépasse 6 %, l’augmentation de 3,7 % sur un an en moyenne du salaire mensuel de base au troisième trimestre ne couvre pas la hausse des prix.

En réalité, on fait payer aux salariés les conséquences de l’inflation tandis que les grandes multinationales accumulent les superprofits.

Or le gouvernement est à la fois opposé au rattrapage des salaires sur l’inflation tout autant qu’à une taxation des superprofits.

Les Français ne sont pas particulièrement doués en matière de connaissances financières. D’après une étude Allianz sur une vingtaine de pays ,ils arrivent même en 20e position!

Du coup, le pouvoir joue sur cette faiblesse faire avaler le transfert financier des salariés vers les grandes entreprises. On assiste aujourd’hui à une véritable politique anti redistributive. Nombres de financiers se sont engraissés avec la politique accommodante des banques centrales grâce à l’argent gratuit. Aujourd’hui, il faut rétablir l’équilibre entre la masse monétaire et la richesse réelle. À cela s’ajoute la crise de l’énergie et les conséquences de la guerre en Ukraine.

Un impôt créerait sans doute un climat de protestation voire de révolution. Du coup, le pouvoir récupère par l’inflation une sorte de taxation du pouvoir d’achat.

La perte de pouvoir d’achat des salariés est considérable et elle se traduit notamment par une modification de la structure des dépenses et par une baisse de la consommation. Cette dernière aura évidemment des conséquences sur la croissance.

Face à l’envolée des prix , il y a d’abord eu la revalorisation de 3,5 % du point d’indice des fonctionnaires en juillet. La semaine dernière, la direction des recherches du ministère du Travail (Dares) a dévoilé les chiffres pour les salariés du secteur du privé. Au troisième trimestre 2022, le salaire mensuel de base (SMB) a progressé de 3,7 % sur un an en moyenne . Soit une accélération de 0,6 point par rapport aux trois mois précédents.

« Du jamais-vu – comme l’inflation- depuis le début des années 2000. Jusqu’ici, la hausse maximale constatée avait été de 3 % en 2007-2008 », rappelle Eric Heyer, de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

Pouvoir d’achat: Les salariés payent la facture de l’inflation

Pouvoir d’achat: Les salariés payent la facture de l’inflation

Alors que l’inflation sur un an dépasse 6 %, l’augmentation de 3,7 % sur un an en moyenne du salaire mensuel de base au troisième trimestre ne couvre pas la hausse des prix.

En réalité, on fait payer aux salariés les conséquences de l’inflation tandis que les grandes multinationales accumulent les superprofits.

Or le gouvernement est à la fois opposé au rattrapage des salaires sur l’inflation tout autant qu’à une taxation des superprofits.

Les Français ne sont pas particulièrement doués en matière de connaissances financières. D’après une étude Allianz sur une vingtaine de pays ,ils arrivent même en 20e position!

Du coup, le pouvoir joue sur cette faiblesse faire avaler le transfert financier des salariés vers les grandes entreprises. On assiste aujourd’hui à une véritable politique anti redistributive. Nombres de financiers se sont engraissés avec la politique accommodante des banques centrales grâce à l’argent gratuit. Aujourd’hui, il faut rétablir l’équilibre entre la masse monétaire et la richesse réelle. À cela s’ajoute la crise de l’énergie et les conséquences de la guerre en Ukraine.

Un impôt créerait sans doute un climat de protestation voire de révolution. Du coup, le pouvoir récupère par l’inflation une sorte de taxation du pouvoir d’achat.

La perte de pouvoir d’achat des salariés est considérable et elle se traduit notamment par une modification de la structure des dépenses et par une baisse de la consommation. Cette dernière aura évidemment des conséquences sur la croissance.

Face à l’envolée des prix , il y a d’abord eu la revalorisation de 3,5 % du point d’indice des fonctionnaires en juillet. La semaine dernière, la direction des recherches du ministère du Travail (Dares) a dévoilé les chiffres pour les salariés du secteur du privé. Au troisième trimestre 2022, le salaire mensuel de base (SMB) a progressé de 3,7 % sur un an en moyenne . Soit une accélération de 0,6 point par rapport aux trois mois précédents.

« Du jamais-vu – comme l’inflation- depuis le début des années 2000. Jusqu’ici, la hausse maximale constatée avait été de 3 % en 2007-2008 », rappelle Eric Heyer, de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

Les salariés payent la facture de l’inflation

Les salariés payent la facture de l’inflation

Alors que l’inflation sur un an dépasse 6 %, l’augmentation de 3,7 % sur un an en moyenne du salaire mensuel de base au troisième trimestre ne couvre pas la hausse des prix.

En réalité, on fait payer aux salariés les conséquences de l’inflation tandis que les grandes multinationales accumulent les superprofits.

Or le gouvernement est à la fois opposé au rattrapage des salaires sur l’inflation tout autant qu’à une taxation des superprofits.

Les Français ne sont pas particulièrement doués en matière de connaissances financières. D’après une étude Allianz sur une vingtaine de pays ,ils arrivent même en 20e position!

Du coup, le pouvoir joue sur cette faiblesse faire avaler le transfert financier des salariés vers les grandes entreprises. On assiste aujourd’hui à une véritable politique anti redistributive. Nombres de financiers se sont engraissés avec la politique accommodante des banques centrales grâce à l’argent gratuit. Aujourd’hui, il faut rétablir l’équilibre entre la masse monétaire et la richesse réelle. À cela s’ajoute la crise de l’énergie et les conséquences de la guerre en Ukraine.

Un impôt créerait sans doute un climat de protestation voire de révolution. Du coup, le pouvoir récupère par l’inflation une sorte de taxation du pouvoir d’achat.

La perte de pouvoir d’achat des salariés est considérable et elle se traduit notamment par une modification de la structure des dépenses et par une baisse de la consommation. Cette dernière aura évidemment des conséquences sur la croissance.

Face à l’envolée des prix , il y a d’abord eu la revalorisation de 3,5 % du point d’indice des fonctionnaires en juillet. La semaine dernière, la direction des recherches du ministère du Travail (Dares) a dévoilé les chiffres pour les salariés du secteur du privé. Au troisième trimestre 2022, le salaire mensuel de base (SMB) a progressé de 3,7 % sur un an en moyenne . Soit une accélération de 0,6 point par rapport aux trois mois précédents.

« Du jamais-vu – comme l’inflation- depuis le début des années 2000. Jusqu’ici, la hausse maximale constatée avait été de 3 % en 2007-2008 », rappelle Eric Heyer, de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

Les écolos d’EELV payent leurs erreurs dans les métropoles conquises

Les écolos d’EELV payent leurs erreurs dans les métropoles conquises

 

Après les fantaisies, les prises de position tordues et les anachronismes des maires  écolos d’Europe écologie les Verts, le candidat Jadot paye la facture. Il se retrouve en troisième ou quatrième position lors du premier tour des présidentielles;  un avertissement évidemment pour les prochaines municipales.

Chez ces écolos la déception était immense. Et ce n’est pas l’appel à voter Macron va renforcer la crédibilité du mouvement?

Après une campagne atone, le député européen à la présidentielle, a appelé dimanche ses électeurs à voter pour Emmanuel Macron au second tour le 24 avril. Après cette débâcle, Yannick Jadot a lancé un appel aux dons après l’annonce des résultats de dimanche soir. Il n’a pas réussi à passer la barre fatidique des 5% pour se faire rembourser les frais de campagne.

Alors que les scientifiques du rapport du GIEC ont récemment tiré la sonnette d’alarme, le duel de l’entre-deux-tours entre Macron et Le Pen sonne comme un aveu d’échec pour Europe-Ecologie Les Verts. « Yannick Jadot a perdu le match de l’écologie politique versus Jean-Luc Mélenchon », explique à La Tribune, Erwan Lestrohan, directeur conseil chez Odoxa. D’un point de vue sociologique, « la structure de l’électorat chez Europe-Ecologie Les Verts est assez proche de celle de Jean-Luc Mélenchon. Le discours de l’écologie a été bien porté par ce parti chez les jeunes et les étudiants [...] Il existe des vases communicants entre les deux électorats. Jean-Luc Mélenchon récupère 25% des voix d’EELV. Chez les sympathisants des Verts, seuls 50% ont voté pour Yannick Jadot, » poursuit Erwan Lestrohan.

 

Les écolos d’EELV payent leurs erreurs dans les métropoles conquises

Justice ,sociale- Les, patrons ,modèles ,Jeff Bezos, et ,Elon ,Musk ,(et ,autres), ne, payent, pas, d’impôts

Justice sociale

Les patrons modèles Jeff Bezos et Elon Musk (et autres)  ne payent pas d’impôts

 

Les milliardaires les plus célèbres du monde comme Jeff Bezos et Elon Musk  ( et bien dautres)éussissent à ne pas payer d’impôts personnels aux États-Unis Le patron d’Amazon Jeff Bezos n’a payé aucun impôt fédéral en 2007 et 2011, et Elon Musk, à la tête de Tesla, y a échappé en 2018. Jeff Bezos et Elon Musk sont sur le podium des trois hommes les plus riches du monde. Ils ne sont pas les seuls biens d’autres milliardaires américains sont aussi concernés. Pas étonnant que ces exemptés fiscaux se montrent aussi généreux avec des fondations pour aider les pauvres ! Le pire c’est que cette exemption fiscale et légale fait en effet appel à l’ingénierie financière servie par des milliers d’experts et l’avocat. Le problème évidemment est entretenu par les liens sulfureux entre la finance et les organisations politiques au États-Unis. Ces milliardaires sont aussi ceux  qui arrosent les futurs candidats aux élections pour financer les campagnes électorales. Le retour d’ascenseur, c’est la bienveillance fiscale!

 

L’organisation ProPublica  qui dénonce cette situation affirme avoir mis la main sur des milliers de déclarations fiscales de riches Américains au fisc, l’IRS, sur plus de quinze ans. «Mises bout à bout, elles démolissent les fondations du mythe fiscal américain: que tout le monde paye sa juste part et que les plus riches payent la plus grande partie», écrivent les auteurs.

 

ProPublica a mis au point dans son enquête un «taux d’imposition véritable», à savoir le taux d’imposition payé par chaque milliardaire en comparaison avec la progression de sa richesse, le taux d’imposition officiel ne se mesurant pas de cette manière. Il en ressort un niveau dérisoire, à 0,10% par exemple pour Warren Buffett entre 2014 et 2018, sur fond d’explosion de sa richesse grâce à la hausse des cours boursiers.

Le département américain au Trésor a indiqué que la divulgation de ces documents privés était illégale, et qu’il enquêtait, avec d’autres autorités, sur ces fuites !

 

Les patrons modèles Jeff Bezos et Elon Musk (et autres) ne payent pas d’impôts

Les patrons modèles Jeff Bezos et Elon Musk (et autres)  ne payent pas d’impôts

 

Les milliardaires les plus célèbres du monde comme Jeff Bezos et Elon Musk  ( et bien dautres)éussissent à ne pas payer d’impôts personnels aux États-Unis Le patron d’Amazon Jeff Bezos n’a payé aucun impôt fédéral en 2007 et 2011, et Elon Musk, à la tête de Tesla, y a échappé en 2018. Jeff Bezos et Elon Musk sont sur le podium des trois hommes les plus riches du monde. Ils ne sont pas les seuls biens d’autres milliardaires américains sont aussi concernés. Pas étonnant que ces exemptés fiscaux se montrent aussi généreux avec des fondations pour aider les pauvres ! Le pire c’est que cette exemption fiscale et légale fait en effet appel à l’ingénierie financière servie par des milliers d’experts et l’avocat. Le problème évidemment est entretenu par les liens sulfureux entre la finance et les organisations politiques au États-Unis. Ces milliardaires sont aussi ceux  qui arrosent les futurs candidats aux élections pour financer les campagnes électorales. Le retour d’ascenseur, c’est la bienveillance fiscale!

 

L’organisation ProPublica  qui dénonce cette situation affirme avoir mis la main sur des milliers de déclarations fiscales de riches Américains au fisc, l’IRS, sur plus de quinze ans. «Mises bout à bout, elles démolissent les fondations du mythe fiscal américain: que tout le monde paye sa juste part et que les plus riches payent la plus grande partie», écrivent les auteurs.

 

ProPublica a mis au point dans son enquête un «taux d’imposition véritable», à savoir le taux d’imposition payé par chaque milliardaire en comparaison avec la progression de sa richesse, le taux d’imposition officiel ne se mesurant pas de cette manière. Il en ressort un niveau dérisoire, à 0,10% par exemple pour Warren Buffett entre 2014 et 2018, sur fond d’explosion de sa richesse grâce à la hausse des cours boursiers.

Le département américain au Trésor a indiqué que la divulgation de ces documents privés était illégale, et qu’il enquêtait, avec d’autres autorités, sur ces fuites !

 

Marchés truqués à Marseille : les Guérini payent pour les autres ?

Marchés truqués à Marseille : les Guérini payent pour les autres ?

Les Guerini ont été condamné par un tribunal en raison de marchés truqués à Marseille. Certes ce sont rendus coupables de bricolages sur les marchés publics. Pour autant dans cette région, ils sont loin d’être les seuls et c’est même une sorte de religion notamment depuis Deferre en passant par Gaudin .

 

Jean-Noël Guérini, ex-homme fort du Parti socialiste des Bouches-du-Rhône, a été condamné à 30.000 euros d’amende et cinq ans de privation des droits civiques et civils. Un mandat de dépôt différé a été délivré à l’encontre de son frère Alexandre, qui devra se présenter de lui-même en prison. Il s’est en outre vu interdire de gérer une entreprise pendant cinq ans et a été privé de ses droits civiques durant la même période. Il faudra sans doute des années pour examiner des faits assez identiques de la période Gaudin.

Sondage popularité : Hollande et Valls payent la débâcle aux départementales

Sondage popularité : Hollande et Valls payent la débâcle aux départementales

 

Encore une  nouvelle chute pour Hollande et Valls. Qui payent la débâcle du PS aux départementales. A noter  surtout le souhait d’une  majorité de Français pour un  remaniement et même pour  le changement de Premier Ministre ( 42% pour et 30% contre). Il s’agit là d’un renversement significatif concernant Valls. La cote de popularité de François Hollande recule d’un point en avril, à 20%, et celle de Manuel Valls de trois, tombant à  29%, selon un sondage YouGov réalisé entre les deux tours des élections départementales et publié jeudi 2 avril.  D’après cette étude pour Le Huffington Post et iTélé, 74% des personnes interrogées (+2), soit trois sur quatre, portent un jugement « défavorable » sur l’action de François Hollande. 6% n’ont pas d’avis. Jugements négatifs également en hausse de deux points pour Manuel Valls, à 62%. 9% ne se prononcent pas. 20% (-2) ont un avis favorable sur l’action du gouvernement, et 75% (+3) un avis défavorable. 6% n’ont pas d’opinion.  Par ailleurs, 42% des sondés se disent pour un changement de Premier ministre, 30% contre, tandis que 28% « ne savent pas ». 51% sont favorables à un remaniement ministériel, 22% opposés, 27% « ne savent pas ». Sondage réalisé en ligne entre le 25 et le 26 mars, auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française. 

 

BNP- Amende de 6.6 milliards une bricole ! Ce sont les clients qui payent !

BNP- Amende de 6.6 milliards une bricole ! Ce sont les clients qui payent !

 

Pas de quoi paniquer, l’amende de 6,6 milliards infligée par les autorités américaines a été vite amortie par BNP. Grâce sans doute aux frais bancaires qui ne cessent d’augmenter en dépit du pseudo réglementations. Exemple 200 euros de frais de tenue de comptes, c’est courant ! Alors que la banque peut jouir de la trésorerie permise par les dépôts sur lesquels le déposant ne touche rien. De quoi ainsi augmenter les fonds propres et satisfaire aux normes européennes, de quoi surtout spéculer sur les marchés grâce à la mini reforme du gouvernement qui n’a pas voulu séparer les activités spéculatives et les activités de dépôts. Jusqu’au prochain krach financier ? sans doute ! L’énorme amende n’aura pas trop pénalisée BNP Paribas. L’an passé, le groupe est parvenu à dégager un bénéfice net de 157 millions d’euros, en dépit de l’amende de 6,6 milliards d’euros infligée par les Etats-Unis pour non-respect d’embargos économiques, a indiqué l’établissement dans un communiqué publié ce jeudi 5 février.  BNP Paribas a reconnu fin juin avoir réalisé des opérations en dollars avec le Soudan, l’Iran et Cuba – trois pays sous embargo américain – entre 2002 et 2012. Pour éviter un procès, la banque a accepté d’écoper de la plus lourde amende jamais infligée par les Etats-Unis à un établissement étranger.  Les analystes avaient anticipé que BNP Paribas allait achever 2014 sur un bénéfice mais ils s’attendaient à ce qu’il soit trois fois inférieur au consensus du fournisseur de données financières FactSet (50 millions d’euros).  Pour parvenir à ce résultat, le groupe s’est appuyé sur le dynamisme de ses métiers. Son produit net bancaire (PNB, équivalent du chiffre d’affaires) a augmenté de 2% pour s’établir à 39,2 milliards d’euros, lui aussi au-dessus du consensus (38,8 milliards).  BNP Paribas conserve par ailleurs un haut niveau de solvabilité: son ratio de fonds propres « dur » (apports des actionnaires et bénéfices mis en réserve rapportés aux crédits consentis) atteignait 10,3% fin décembre, stable par rapport à la fin 2013.   »Le groupe réalise une bonne performance avec un résultat net de 7 milliards d’euros hors éléments exceptionnels. (…) Les revenus progressent dans tous les pôles opérationnels, la bonne dynamique commerciale témoignant de la confiance des clients institutionnels, entreprises et particuliers », se félicite le directeur général Jean-Laurent Bonnafé dans ce communiqué.

 

 




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