Archive pour le Tag 'paye'

Trump n’a pas payé d’impôts !

Trump n’a pas payé d’impôts !

Il n’est pas étonnant que l’ancien président des États-Unis se soient très longuement opposés à la publication de sa feuille d’impôt. En effet il a profité de son mandat pour ne pas payer d’impôts pendant plusieurs années.

Le principe est assez classique aux États-Unis comme ailleurs. Il s’agit tout simplement de mettre des sociétés en déficit. Pour cela on internalise les coûts de société étrangère et inversement on externalisé les profits vers des filiales implantées dans des pays à faible taux de fiscalité ou sans fiscalité du tout. Ce qu’on appelle en général pudiquement l’optimisation fiscale pratiquée évidemment aux États-Unis mais aussi en Europe et en France. Ce qui a permis par exemple à Total de ne pas payer d’impôts pendant des années en FranceTrump a payé 1 million de dollars d’impôts pendant son mandat mais rien en 2020.
Donald Trump a payé 1,1 million en impôts fédéraux sur deux de ses quatre années à la tête des Etats-Unis, selon un rapport examiné par des élus mercredi, mais presque rien le reste du temps qu’il a passé à la Maison Blanche. Ces chiffres, rendus publics tard mardi dans le rapport d’une commission parlementaire, montrent que le milliardaire de 76 ans a fait état d’énormes déficits de 2015 à 2020.

En déclin, le Royaume-Uni paye la facture du Brexit

En déclin, le Royaume-Uni paye la facture du Brexit

 

 

Un papier du Monde souligne les conséquences des choix néolibéraux hasardeux du Royaume-Uni qui paye aussi la facture du Brexit.

 

Faute d’amortisseurs sociaux, les chocs économiques sont souvent ressentis plus violemment par la population au Royaume-Uni qu’ailleurs sur le continent européen. La tempête économique et sociale qui se lève outre-Manche confirme ce constat. Avec un taux d’inflation annuel supérieur à 10 % et un pic prévu à 13 % dès octobre, les Britanniques endurent les pires hausses de prix des pays du G7. Le coût des denrées alimentaires s’envole tandis que celui de l’énergie, faute de bouclier tarifaire, aura quasiment triplé en un an.

Conjuguée à une croissance en berne, cette hausse vertigineuse des prix produit la pire situation économique enregistrée depuis les années 1970. Si l’on ajoute les dégâts du Brexit et du Covid-19, le Royaume-Uni menace de régresser en « un marché émergent », analyse la banque danoise Saxo. Sortant de leur réserve, les dirigeants du Service national de santé (NHS) mettent, de leur côté, en garde contre le risque d’« une crise humanitaire » liée à l’appauvrissement de la population.

Dans ce contexte, la multiplication des grèves destinées à obtenir des augmentations de salaire n’a rien d’étonnant. Après les cheminots et les employés du métro londonien, les 1 900 membres du syndicat Unite employés dans le port de Felixstowe (est de l’Angleterre), qui traite 40 % du commerce britannique par conteneurs, ont commencé, dimanche 21 août, une grève de huit jours pour réclamer « une augmentation de salaire correcte » et non les 7 % proposés par la direction. A ces mouvements s’ajoutent des mouvements de la société civile, comme « Don’t Pay UK », qui menace d’une grève du paiement des factures d’énergie.

La situation politique ne fait que renforcer l’impression d’un pays en roue libre. Moins de deux mois après avoir été évincé de la tête du Parti conservateur, le longtemps vibrionnant premier ministre Boris Johnson ne fait qu’expédier les affaires courantes. La charge de désigner son successeur, dont le nom sera connu le 5 septembre, incombe bizarrement aux 200 000 adhérents des tories, qui, plutôt âgés, fortunés et très conservateurs, ne représentent nullement la population. Les deux candidats qui se disputent leurs suffrages – la ministre des affaires étrangères, Liz Truss, favorite des sondages, et l’ancien chancelier de l’Echiquier Rishi Sunak – rivalisent de promesses de baisses d’impôts et de révérence envers Margaret Thatcher, icône de l’ultralibéralisme des années 1980.

En promettant des coupes claires dans les budgets sociaux, en assénant, comme Mme Truss, que les Britanniques devraient « bosser plus », sans proposer de solution aux faiblesses de l’économie britannique – formation et infrastructures déficientes faute d’investissements publics suffisants –, ils ne font que souffler sur les braises d’un mécontentement auquel l’opposition travailliste peine à proposer un débouché politique crédible.

La prééminence donnée à l’idéologie sur le pragmatisme – vertu prétendument britannique –, qui a déjà abouti à la catastrophe du Brexit, risque de prolonger, voire d’aggraver la situation déjà dégradée laissée par M. Johnson, dont les mensonges ont amplifié le divorce entre opinion et monde politique. La crise économique et l’instabilité pourraient accroître la tentation d’actionner les rhétoriques antieuropéenne et nationaliste. Au moment où les menaces s’accumulent partout en Europe, mettant en lumière la nécessité de renforcer les solidarités, la crise au Royaume-Uni sonne comme un avertissement pour tous ses voisins.

Anne Hidalgo paye aussi sa politique catastrophique à Paris

Anne Hidalgo paye aussi sa politique catastrophique à Paris

 

 

ENTRETIEN - Au premier tour de l’élection présidentielle, la maire de Paris Anne Hidalgo a recueilli à peine plus de 2% des suffrages dans sa ville. Le journaliste et historien Didier Rykner y voit une conséquence directe de la politique que mène l’élue .

Didier Rykner est journaliste et historien de l’art français. Engagé pour la défense du patrimoine, il publie régulièrement ses enquêtes et analyses sur le site La Tribune de l’art . Il a publié La disparition de Paris, aux éditions Les belles lettres.

 

LE FIGARO. – La maire de Paris Anne Hidalgo recueille 22.936 voix dans la capitale, soit 2,17% des suffrages. Comment l’expliquez-vous ?

Didier RYKNER. - Il y a plusieurs raisons. On ne peut évidemment exclure l’affaiblissement du parti socialiste qui était déjà historiquement bas lors de la dernière présidentielle. Mais un score aussi dérisoire a surtout deux explications : une campagne totalement ratée où elle a passé son temps à se contredire et à se ridiculiser (elle est allée jusqu’à se demander pourquoi Paris avait une histoire !) et un bilan catastrophique dans la gestion de sa ville que les autres régions ont découvert grâce notamment aux réseaux sociaux, largement repris par les journaux.

N’est-ce pas réducteur d’imputer le résultat à sa politique à la tête de Paris ?

Comme je le disais, ce n’est certainement pas la seule raison, mais cela a forcément compté. La meilleure preuve en est son score à peine supérieur à la moyenne nationale à Paris même. Je crois que jamais un maire sortant candidat à la présidentielle n’avait terminé à un tel niveau. Le communiste Robert Hue, en 2002, avait obtenu 3,2 % en 2002, mais dans sa ville, Montigny-lès-Cormeilles, il avait réuni 16,15 % des voix… Quand on fédère aussi peu d’électeurs dans sa propre ville, on doit s’interroger. Cela pose indubitablement la question de sa légitimité. Cela pose surtout celle de l’élection parisienne, qui comme à Lyon et Marseille ne se fait pas avec un scrutin de liste direct, mais par arrondissement, de manière indirecte. Comme les électeurs de toutes les villes de France, les Parisiens ont le droit de choisir directement leur maire.

À la saleté des rues, à l’abandon du patrimoine, au non-entretien de l’espace public, au bétonnage qu’on voit ici comme ailleurs s’ajoutent des questions de sécurité, notamment liées au crack, qui aggravent encore la situation.

 

Même dans les arrondissements où elle est d’habitude plébiscitée, Anne Hidalgo ne franchit jamais la barre des 3 % : 2,39 % dans le 18e, 2,26 % dans le 19e et 2,40 % dans le 20e. Quelle est la particularité de ces arrondissements ? Quel est le bilan d’Anne Hidalgo dans ces secteurs ?

Le bilan d’Anne Hidalgo est désastreux dans tout Paris, et il l’est particulièrement dans ces arrondissements. À la saleté des rues, à l’abandon du patrimoine, au non-entretien de l’espace public, au bétonnage qu’on voit ici comme ailleurs s’ajoutent des questions de sécurité, notamment liées au crack, qui aggravent encore la situation. Ces arrondissements ont l’impression d’être abandonnés encore plus que les autres.

Quels sont les chantiers entrepris par l’actuelle municipalité, entre 2020 et aujourd’hui, qui ont pu influer sur le vote des Parisiens ?

Il y a tellement à dire que j’ai écrit tout un livre sur ce sujet, et que je pourrais y rajouter un tome 2 ! La municipalité n’écoute rien ni personne et poursuit ses projets sans écouter la population. Les Parisiens ne veulent pas de tours, comme l’avait montré une consultation faite par Bertrand Delanoë, et pourtant on construit des tours et on lance même le chantier de la tour Triangle peu avant les élections et alors qu’une enquête du parquet financier est en cours ! Les Parisiens veulent des arbres, et pourtant on les coupe comme je l’ai montré en photos dans La Disparition de Paris ! Les Parisiens veulent une ville propre, des rues en bon état, un mobilier urbain respecté, des monuments restaurés, et pourtant la mairie s’en fiche ! Tout cela a influencé le vote des Parisiens. Anne Hidalgo ne peut s’en prendre qu’à elle-même.

Et maintenant, que va-t-il se passer ?

Maintenant, j’espère qu’enfin une opposition crédible va se créer à Paris. Nous ne voulons pas de politique politicienne. Il faudrait que le mouvement citoyen qui s’est créé autour de #saccageparis, et qui comporte des personnalités remarquables, dont certaines d’ailleurs avaient voté Hidalgo en 2014 et qui ont depuis réalisé leur erreur, se fédère davantage. Il y a beaucoup de jeunes de moins de quarante ans dans l’opposition à la mairie actuelle. Ils sont l’avenir de Paris.


Marchés truqués Marseille : Guerrini paye pour les autres

Marchés truqués Marseille : Guerrini paye pour les autres

 

Guerrini, ainsi que son frère qui ont longtemps régné sur Marseille vont payer pour des marchés truqués. Une sanction sans doute méritée au regard de l’enquête. Le problème c’est qu’il paye en réalité pour les autres ceux qui les ont précédés et accompagnés à droite comme à gauche
. Nombre d’activités à Marseille ont en effet fait l’objet de marchés très bricolés et attribués à des entreprises sur la promesse de retour financier pour financer notamment les campagnes.

S’il fallait engager des poursuites contre ses responsables se sont sans doute des dizaines et des dizaines de responsables politiques qui se retrouveraient accusés. Les Guerrini ont juste poussé le bouchon un peu loin.

Le sénateur Jean-Noël Guérini, ancien homme fort du Parti socialiste des Bouches-du-Rhône, a été condamné mercredi 30 mars en appel à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis et cinq ans d’inéligibilité pour le trucage de marchés publics au terme d’une enquête fleuve.

Son frère Alexandre, 65 ans, entrepreneur dans le secteur des déchets, surnommé «Monsieur frère», pour les avantages économiques qu’il savait tirer de l’influence politique de son aîné, a lui écopé de six ans de prison ferme avec mandat de dépôt à l’audience. La cour d’appel, qui a également condamné Jean-Noël Guérini à une amende de 30.000 euros, a précisé que la peine de 18 mois de prison ferme devra être exécutée par le sénateur à son domicile sous bracelet électronique. Elle a en revanche indiqué qu’elle ne réclamait pas l’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité. Le sénateur dont les avocats ont annoncé un pourvoi en cassation pourra donc continuer à siéger au palais du Luxembourg jusqu’à ce que ce que la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire ait statué sur son sort.

Originaire d’un petit ville corse, Jean-Noël Guérini totalise 55 années de vie politique durant lesquelles il fut notamment président du Conseil général, patron de la puissante fédération socialiste des Bouches-du-Rhône et baron influent du parti. Sa mise en examen dans ce dossier avait provoqué un séisme au PS au sein duquel plusieurs ténors avaient réclamé son exclusion. Il a finalement quitté en 2014 le parti de Jean Jaurès où il militait depuis 1967 et créé un nouveau mouvement, la Force du 13.

 

Justice politique -Affaire Tapie : Stéphane Richard, le PDG d’Orange paye pour Sarkozy et Lagarde

Justice politique -Affaire Tapie : Stéphane Richard, le PDG d’Orange paye pour Sarkozy et Lagarde

 

C’est le paradoxe des affaires politico- financières. Les principaux bénéficiaires des scandales sont épargnés et en général on trouve un bouc émissaire pour faire semblant de rendre justice. C’est encore le cas avec cette éternelle affaire Tapie et les 400 à 500 millions versés indûment sur l’insistance de Tapie bien sûr mais aussi de Sarkozy. Christine Lagarde à l’époque ministre des finances a juste fait l’objet d’un rappel à l’ordre. Quant à Sarkozy il a été exempté de responsabilité ! Conclusion c’est le directeur de cabinet de Christine Lagarde qui paye l’addition. Le pire c’est que l’intéressé s’est montré plutôt performant au ministère des finances et surtout à la direction d’Orange.

En 2019, Bernard Tapie et ses cinq coprévenus, dont Stéphane Richard, actuel PDG d’Orange, avaient bénéficié d’une relaxe du tribunal de Paris. Mais le parquet a fait appel. L’affaire a été rejugée. La cour d’appel de Paris devait, initialement, rendre sa décision le 6 octobre dernier. Mais après le décès de Bernard Tapie, trois jours plus tôt, elle a décidé de la repousser de plusieurs semaines.

Comme il n’est pas question d’ impliquer Sarkozy exempté de responsabilité, ni même de s’attaquer à Christine Lagarde, c’est donc l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde qui va porter le chapeau. Pas question en effet de déstabiliser Christine Lagarde actuellement présidente de la banque centrale européenne et qui protège la politique budgétaire laxiste de la France. Pour sublimer le ridicule, on se demande pourquoi la justice n’a pas condamné le concierge du ministère des finances ?

 

 

Justice-Affaire Tapie : Stéphane Richard, le PDG d’Orange paye pour Sarkozy et Lagarde

Justice-Affaire Tapie : Stéphane Richard, le PDG d’Orange paye pour Sarkozy et Lagarde

 

C’est le paradoxe des affaires politico- financières. Les principaux bénéficiaires des scandales sont épargnés et en général on trouve un bouc émissaire pour faire semblant de rendre justice. C’est encore le cas avec cette éternelle affaire Tapie et les 400 à 500 millions versés indûment sur l’insistance de Tapie bien sûr mais aussi de Sarkozy. Christine Lagarde à l’époque ministre des finances a juste fait l’objet d’un rappel à l’ordre. Quant à Sarkozy il a été exempté de responsabilité ! Conclusion c’est le directeur de cabinet de Christine Lagarde qui paye l’addition. Le pire c’est que l’intéressé s’est montré plutôt performant au ministère des finances et surtout à la direction d’Orange.

En 2019, Bernard Tapie et ses cinq coprévenus, dont Stéphane Richard, actuel PDG d’Orange, avaient bénéficié d’une relaxe du tribunal de Paris. Mais le parquet a fait appel. L’affaire a été rejugée. La cour d’appel de Paris devait, initialement, rendre sa décision le 6 octobre dernier. Mais après le décès de Bernard Tapie, trois jours plus tôt, elle a décidé de la repousser de plusieurs semaines.

Comme il n’est pas question d’ impliquer Sarkozy exempté de responsabilité, ni même de s’attaquer à Christine Lagarde, c’est donc l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde qui va porter le chapeau. Pas question en effet de déstabiliser Christine Lagarde actuellement présidente de la banque centrale européenne et qui protège la politique budgétaire laxiste de la France. Pour sublimer le ridicule, on se demande pourquoi la justice n’a pas condamné le concierge du ministère des finances ?

 

 

Affaire Tapie : Stéphane Richard, le PDG d’Orange paye pour Sarkozy et Lagarde

Affaire Tapie : Stéphane Richard, le PDG d’Orange paye pour Sarkozy et Lagarde

 

C’est le paradoxe des affaires politico- financières. Les principaux bénéficiaires des scandales sont épargnés et en général on trouve un bouc émissaire pour faire semblant de rendre justice. C’est encore le cas avec cette éternelle affaire Tapie et les 400 à 500 millions versés indûment sur l’insistance de Tapie bien sûr mais aussi de Sarkozy. Christine Lagarde à l’époque ministre des finances a juste fait l’objet d’un rappel à l’ordre. Quant à Sarkozy il a été exempté de responsabilité ! Conclusion c’est le directeur de cabinet de Christine Lagarde qui paye l’addition. Le pire c’est que l’intéressé s’est montré plutôt performant au ministère des finances et surtout à la direction d’Orange.

En 2019, Bernard Tapie et ses cinq coprévenus, dont Stéphane Richard, actuel PDG d’Orange, avaient bénéficié d’une relaxe du tribunal de Paris. Mais le parquet a fait appel. L’affaire a été rejugée. La cour d’appel de Paris devait, initialement, rendre sa décision le 6 octobre dernier. Mais après le décès de Bernard Tapie, trois jours plus tôt, elle a décidé de la repousser de plusieurs semaines.

Comme il n’est pas question d’ impliquer Sarkozy exempté de responsabilité, ni même de s’attaquer à Christine Lagarde, c’est donc l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde qui va porter le chapeau. Pas question en effet de déstabiliser Christine Lagarde actuellement présidente de la banque centrale européenne et qui protège la politique budgétaire laxiste de la France. Pour sublimer le ridicule, on se demande pourquoi la justice n’a pas condamné le concierge du ministère des finances ?

 

 

Sondage Présidentielle 2022 : la politique du chéquier de Macron paye, plus 6 % !

Sondage Présidentielle 2022 : la politique du chéquier de Macron paye, plus 6 % !

 

Le président de la république distribue un peu prés chaque jour un chèque pour telle ou telle catégorie sociale et apparemment cela influence de manière favorable les sondages.

Il aurait ainsi gagné 6 % de code de confiance Le chef de l’État progresse dans toutes les catégories de la population, même dans celles qui lui sont traditionnellement plus défavorables comme les employés et les ouvriers (40%, +7 points). Il reste également très bien positionné dans les catégories sociales aisées : 52% de ces Français ont une bonne opinion de lui.

Coronavirus États-Unis : la campagne de vaccination paye

Coronavirus États-Unis : la campagne de vaccination paye

 

La campagne de vaccination massive aux États-Unis commence à payer. Aujourd’hui, la vaccination a concerné plus de 31 millions d’Américains soit 10 % de la population. À comparer avec la France le taux de vaccination n’atteint même pas 5 %. En 24 heures, 749 personnes sont décédées des suites du coronavirus, loin du pic de 4.473 morts enregistré sur la seule journée du 12 janvier. Il faut remonter au 29 novembre pour trouver un nombre de victimes sous la barre du millier, à 822 morts.

L’administration Biden affiche désormais son ambition: que l’ensemble de la population soit vaccinée avant la fin du mois de mai. En Europe et en France on parle de la fin de l’été sans préciser exactement la date.

Brexit: le Royaume-Uni et l’Allemagne paye les conséquences

Brexit: le Royaume-Uni et l’Allemagne paye les conséquences

Les deux économistes Dorothea Bohnekamp et Holger Müller constatent, dans une tribune au « Monde », le fort recul des investissements et des échanges entre Berlin et Londres symptomatique de la désintégration des relations économiques entre les deux pays qui s‘accélère depuis cinq ans.

Tribune. 

 

Le refus du transporteur allemand DB Schenker de livrer des marchandises outre-Manche en raison de nombreux obstacles commerciaux et réglementaires apparus malgré le traité de libre-échange passé entre l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni paraît symptomatique de la désintégration des relations économiques entre le Royaume-Uni et l’Allemagne, qui s‘accélère depuis cinq ans.

Il a fallu peu de temps pour que les relations commerciales entre les deux pays pâtissent de l’impact du Brexit : entre 2015 et 2019, les exportations allemandes à destination de la Grande-Bretagne, en baisse de plus de 11 %, ont relégué l’économie britannique de la troisième à la cinquième place dans le commerce extérieur allemand.

L’un de ses acteurs les plus dynamiques, le secteur automobile, dont la vente de voitures et de composantes a enregistré une perte de 23 % en Grande-Bretagne durant cette période, se montre particulièrement vulnérable. Cette tendance baissière est appelée à s’intensifier en raison de la dévaluation de la livre sterling (de 13,5 %) face à l’euro, qui s’avère pourtant impuissante à relancer les ventes de produits britanniques en Allemagne, selon les chiffres fournis par la Chambre allemande d’industrie et de commerce.

Pire encore, la désorganisation plus récente des chaînes logistiques entre les deux pays, emblématique de leur forte imbrication industrielle, touche aujourd’hui plus de 54 % des entreprises allemandes implantées outre-Manche, poussant la moitié d’entre elles à rechercher de nouveaux sites de production, à en croire un sondage mené par la Chambre d’industrie et de commerce britannique.

Actuellement, on recense 2 267 entreprises allemandes, soit plus de 439 000 salariés, implantées au Royaume-Uni, et 79 % d’entre elles jugent la situation préoccupante, persuadées que le Royaume-Uni pourrait se classer parmi les économies peu attractives, juste avant… l’Iran !

Un rapport récent de la société d’audit Deloitte indique que le chiffre d’affaires (CA) de ces entreprises a baissé de 24 milliards d’euros depuis 2015 (– 12 %), en particulier celui des constructeurs automobiles (48 milliards de CA en 2019). Données confirmées par le cabinet KPMG, qui a sondé à l’automne 2020 des entreprises allemandes présentes en Grande-Bretagne : 33 % d’entre elles, touchées par l’effondrement du chiffre d’affaires en 2020 – lié bien sûr au Covid-19 – et les coûts supplémentaires générés par le Brexit, souhaiteraient délocaliser leur production vers l’Union européenne.

Daniel Cohen : « La crise se paye en taux bas »

Daniel Cohen : « La crise se paye en taux bas »

Le directeur du département d’économie de l’Ecole normale supérieure, était, avec le président de Renault Jean-Dominique Sénard, l’invité du Club de l’économie du « Monde », jeudi 22 octobre. L’économiste voit dans la crise sanitaire et ses effets une accélération du basculement des économies dans la société du numérique.

Daniel Cohen, spécialiste des dettes souveraines, estime que les Etats ne doivent pas s’inquiéter de la dette, mais des conséquences des taux bas et de la société numérique qui s’installe.

« Il faut bien distinguer un plan de sauvegarde des secteurs et des personnes qui sont en train d’être fracassés par la crise, et l’exercice qui consiste à se projeter dans le XXIe siècle et à réfléchir aux mesures qui peuvent être prises pour accompagner les mutations de la France dans ce monde nouveau qui nous attend (numérique, énergétique, social), et ne pas mélanger les deux.

Si on pense vraiment qu’il va y avoir un vaccin au cours de l’année prochaine et que, peut-être à la rentrée prochaine, les choses vont revenir à la normale, cela veut dire qu’on a une grosse année et demie de crise majeure. On peut se permettre d’être généreux pour accompagner au plus près les entreprises ou les personnes, avec des dispositifs les plus fins possible. »

« La crise se paye elle-même grâce aux taux d’intérêt très bas. De grands économistes parlaient déjà depuis plusieurs années de stagnation séculaire pour expliquer ce contexte de taux d’intérêt. Cette notion voulait simplement dire que les pressions inflationnistes qui avaient fait les beaux jours des années 1970 et 1980, après le choc pétrolier, étaient passées. L’inflation était le mal récurrent qui rongeait les sociétés au moment de la transition des sociétés industrielles des années 1960-1970 vers les sociétés postindustrielles des années 1980-1990. Cette transition s’est accompagnée d’une disparition de l’inflation. Parce que celle-ci est toujours liée aux salaires, au marché de l’emploi, et très rarement à la monnaie.

Nous sommes dans un monde tellement invertébré du point de vue des relations sociales (avec la perte de force du syndicalisme) qu’il rend presque impossible l’expression de l’augmentation des salaires. L’inflation va ailleurs. Dans le prix des actifs financiers, dans ceux de l’immobilier. Et même quand il y a des augmentations de salaire, les entreprises sont soumises à une pression compétitive internationale telle que la transformation de ces hausses de salaire en hausse de prix ne peut pas se produire.

En conséquence, tout ce que l’on a construit institutionnellement (des banques centrales indépendantes, avec pour seul objectif de maîtriser l’inflation) se trouve brutalement obsolète. On va finir l’année avec une inflation à zéro en France, selon les prévisions de l’Insee, et peut-être 0,3 % dans la zone euro. Cela rappelle les années 1930. A l’époque, le personnel politique était obsédé par l’inflation, notamment après le traumatisme de l’hyperinflation allemande en 1923, alors qu’on était en période de déflation.

Or, en situation de déflation, la politique monétaire n’est pas très efficace. C’est la politique budgétaire qui peut tirer l’activité économique. Ce n’est pas très grave de s’endetter, parce que la dette ne coûte rien à rembourser ou à refinancer (je parle des Etats, et non des entreprises). Dans la période de crise que l’on connaît aujourd’hui, il n’y a pas à s’inquiéter de cela pour l’instant. De ce point de vue, l’Etat a beaucoup plus de degrés de liberté qu’il n’en avait avant. »

« Si des retournements se produisaient, cela voudrait dire qu’on sortirait enfin de ce marasme. Mais attention, cela peut durer longtemps. Le XIXe siècle a été tout entier un siècle de déflation. Nous sommes dans quelque chose qui, à l’échelle de l’histoire, est peut-être une nouvelle manière de concevoir le rapport entre la dette, la politique publique et les déficits. »

« On reste marqué par l’expérience du XXe siècle, mais, en réalité, on est peut-être en train de connaître un capitalisme d’une nature tout à fait différente, plutôt celui du XIXe siècle, avec beaucoup de précarité, beaucoup de fragilité et beaucoup de difficultés à transformer en augmentations de salaires les gains de productivité qu’on observe un peu partout. C’est pour cela qu’on lit Dickens ou Marx. Il y a le récit d’une grande misère ouvrière, qui se fait pourtant au moment où le capitalisme est en train de connaître son heure de gloire. Il peut y avoir une déconnexion entre les deux. Je crois qu’on est en train de vivre une déconnexion de cette nature. »

La société numérique

« Il y a toujours eu des services, mais ils étaient en creux, portés par la dynamique de l’industrie. Ce n’est plus le cas. Il y a peu d’emplois dans l’industrie aujourd’hui, et le gros de nos consommations, des biens et des emplois réside dans le tertiaire. C’est une bonne nouvelle. Dans son livre Les Trente Glorieuses ou la révolution invisible, publié en 1979, Jean Fourastié expliquait que l’humanité avait cultivé la terre pendant des millénaires, avant de travailler la matière dans le monde industriel. Dans la société de services qui s’annonce, prévoyait-il, l’homme va travailler l’homme lui-même. C’est le grand espoir de la société humaine que de s’occuper les uns des autres.

Nos sociétés modernes ont besoin d’offrir la promesse à chacun de s’élever au-dessus de sa condition. Elles ne savent pas apaiser autrement les tensions sociales qui la traversent

Mais, contrairement à l’industrie ou à l’agriculture, une société de services ne génère pas de gains de productivité, c’est-à-dire qu’elle ne génère pas de croissance. La valeur du bien, c’est le temps que je passe avec le client ou le patient. C’était pour lui une bonne nouvelle, mais cela ne marche pas. D’abord parce que le capitalisme est une machine à chercher des gains de productivité partout, avec l’obsession récurrente de baisse des coûts. Puis, nos sociétés modernes, égalitaires ont besoin d’offrir la promesse à chacun de s’élever au-dessus de sa condition. Elles ne savent pas apaiser autrement les tensions sociales qui la traversent. C’est ce qui fait l’alliance entre le capitalisme et les démocraties modernes.

On voit depuis une dizaine d’années que la société numérique est en train d’offrir une solution à ce problème de croissance. Mais en faisant au fond la même chose que la société industrielle en son temps, c’est-à-dire en déshumanisant les relations sociales. La société industrielle était parvenue à créer de la croissance au XXe siècle grâce au travail à la chaîne. Substituer le travail des artisans par du travail à la chaîne avait été interprété comme une formidable déshumanisation.

Le Covid-19 est une crise sanitaire qui, a priori, n’a rien à voir avec ce dont on parle. En réalité, cette période est en train de se vivre comme une phase d’accélération des transformations de la société numérique. En rendant la société phobique aux relations de face à face, elle accélère exactement ce pour quoi la société numérique est faite et pensée : dispenser les gens du face-à-face et du présentiel. »

 

Trump n’a pas payé d’impôts !

Trump n’a pas payé d’impôts !

Donald Trump n’a payé que 750 dollars d’impôts fédéraux en 2016, l’année de son élection à la présidence des États-Unis, puis autant en 2017, selon une enquête potentiellement explosive du New York Times qui publie dimanche 27 septembre des informations sur vingt ans de déclarations d’impôt du milliardaire républicain. «Il n’a pas du tout payé d’impôt sur le revenu au cours de dix des quinze années précédentes, en grande partie car il a déclaré plus de pertes d’argent que de gains», écrit le quotidien américain.

Donald Trump a toujours refusé de les publier contrairement à l’usage. Le président américain a qualifié dimanche ces révélations de «bidon» («fake news»). «Ce sont des informations bidon, totalement inventées», a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche. «J’ai payé beaucoup, et j’ai payé beaucoup d’impôts sur le revenu au niveau de l’Etat aussi, l’Etat de New York taxe beaucoup», a-t-il ajouté sans plus de précisions. Le sujet risque d’électriser un peu plus la campagne pour la présidentielle du 3 novembre, deux jours avant le premier duel télévisé de mardi soir.

De Rugy n’a pas payé d’impôts en 2015

De Rugy n’a pas payé d’impôts en 2015

On ne sait pas  sil s’agit d’optimisation fiscale ou de combine, en tout cas De Rugy n’a pas payé d’impôts en 2015 en combinant certains avantages fiscaux notamment un don de 25 000 euros à des organismes d’intérêt général. 25 000 euros, c’est beaucoup et à quels organismes ? Des organismes dans lesquels de Rugy a des intérêts ? Par exemple à un parti politique qui rembourse ensuite les frais de ses responsables ? Ce qui est sûr c’est que De Rugy doit dispose d’un conseiller fiscal très pointu pour lui permettre d’échapper à l’impôt sur le revenu. Tout est calculé au plus juste pas…. comme pour les diners somptueux. Tout cela ne serait pas illégal mais le père la rigueur est pris à son propre piège. De Rugy est un tartuffe comme nombre d’autres politiques. D’après Mediapart, la raison pour laquelle François de Rugy n’aurait pas payé d’impôts sur ses revenus de 2014 est due au fait qu’il a fait « 25.051 euros de dons aux organismes reconnus d’intérêt général », ce qui donne droit à un avantage dans la limite de 20 % du revenu imposable. Des dons retenus « à hauteur de 8477 euros, donnant droit à une réduction d’impôts de 4 061 euros », précise le site d’investigation. À partir de sa feuille d’imposition sur ses revenus de 2014, le site explique qu’en juillet 2016, quand François de Rugy est nommé vice-président de l’Assemblée nationale, il vient de se séparer de son épouse qui aura leurs enfants à charge. À l’époque lorsqu’il fait la demande pour un T2, son statut de célibataire sans enfants lui permet d’avoir accès à ce logement qui relève du Scellier social. Le ministre assure qu’il ignorait le statut de ce logement à l’époque. D’après Mediapart, la raison pour laquelle François de Rugy n’aurait pas payé d’impôts sur ses revenus de 2014 est due au fait qu’il a fait « 25.051 euros de dons aux organismes reconnus d’intérêt général », ce qui donne droit à un avantage dans la limite de 20 % du revenu imposable. Des dons retenus « à hauteur de 8477 euros, donnant droit à une réduction d’impôts de 4 061 euros », précise le site d’investigation.

Sondage : Macron paye sa visite grotesque avec Trump

Sondage : Macron paye sa visite grotesque avec Trump

 

 

Pour en avoir fait des tonnes avec Trump et surtout n’avoir surtout rien obtenu, Macron déçoit une majorité de Français. , selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et franceinfo. Sur 962 Français interrogés mercredi, jeudi et vendredi, 55% se disent ainsi mécontents de l’attitude du chef de l’Etat français vis-à-vis de son homologue américain, Donald Trump. Pourtant les gestes d’amitié et même d’amour grotesques n’ont pas manqué de part et d’autre. Au total Macron n’obtient rien sur l’Iran, rien sur le climat et toujours rien sur les droits de douane .Macron n’a pas encore pris conscience que la France ne peut prétendre au même rang que les Etats Unis, la Russie, la Chine voire l’Inde.  Même en Europe le leadership de Macron est virtuel car c’est toujours Merkel qui tient la maison. Avec moins de com. mai davantage d’influence.  Le nombre de sondés satisfaits du bilan de Macron sur la scène internationale chute ainsi de huit points en cinq mois, à 53% au lieu de 61% en décembre dernier. Les personnes interrogées sont 76% à juger mauvaise la décision américaine et 87% à estimer qu’elle a tendance à augmenter les risques de conflits dans le monde. Selon ce sondage, plus des deux tiers des Français (67%) estiment que l’Europe doit passer outre la décision de Donald Trump et continuer à entretenir des relations commerciales avec l’Iran, en dépit des sanctions américaines. Dentsu Consulting relève que la proximité entre Emmanuel Macron et Donald Trump est considérée sur les réseaux sociaux comme “le point noir de la politique internationale” du président français. “Ce sentiment qu’Emmanuel Macron s’est ‘Trump’ risque fort de produire aussi des dégâts à plus moyen terme sur son image et sa stature de président ‘compétent’ et ‘efficace’”, écrit le président d’Odoxa, Gaël Sliman.

Micro-entreprise : un mini-job mal payé

Micro-entreprise : un mini-job mal payé

 

 

La sémantique a changé mais pas les revenus pour les micros entrepreneurs devenus autos entrepreneurs devenus micro entrepreneurs depuis 2014. Avec un revenu d’un peu plus de 400 € qui rémunèrent une activité principale complémentaire on ne peut pas parler réellement d’emploi ou sens classique du terme. Il faudrait plutôt parler d’un petit boulot dans le cadre d’un statut libéral. Faut-il ou non condamner ce statut ? La situation est évidemment complexe car il existe différentes catégories de micros entrepreneurs par exemple ce qui veulent compléter une retraite, ce qui ont un travail classique qui font des études et qui complète ainsi leurs revenus, ce aussi qui ont épuisé leurs droits à l’ASSEDIC et tente de retrouver une activité et un revenu. D’autres cas encore. Seulement 23 % encore actifs après cinq ans et un chiffre d’affaires d’une moyenne de l’ordre de 10 000 €, des chiffres qui interrogent évidemment sur la pérennité voire l’intérêt de ce régime juridique Renommé régime du micro-entrepreneur fin 2014.  Le régime d’auto-entrepreneur aide à la création d’entreprises. En 2010, il représentait 80% des nouvelles entreprises individuelles. Chiffre qui a chuté à 61% en 2016. Sur un panel de 100 autoentrepreneurs immatriculés au premier semestre 2010, 38 n’ont jamais été actifs. En d’autres termes, ils n’ont pas déclaré de chiffre d’affaires positifs à l’Acoss (Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale) dans les huit trimestres qui ont suivi leur immatriculation. Ainsi, 62 ont démarré une activité économique en déclarant un chiffre d’affaires, mais 39 d’entre eux ont cessé dans les cinq ans. Les entreprises des autoentrepreneurs depuis 2010 ont donc une pérennité à cinq ans bien plus faibles que celle des entreprises classiques (60%).  En 2014, le chiffre d’affaires annuel moyen des autoentrepreneurs toujours actifs était de 10.200 euros, en baisse de 400 euros par rapport à 2012. Le secteur le plus rémunérateur est celui de l’hébergement-restauration avec, en moyenne, 14.300 euros de chiffre d’affaires annuels. Enfin, seulement 3% des autoentrepreneurs hors commerce déclarent un chiffre d’affaires supérieur au seuil de 32.900 euros, contre 56% des entrepreneurs classiques. Malgré quelques formalités allégées au moment de la création d’entreprises et un mode de calcul simplifié pour les cotisations sociales et l’impôt sur le revenu, le statut d’auto-entrepreneur offre une pérennité bien plus faible que le statut d’entrepreneur classique, ainsi que des revenus bien moins élevés. Selon une étude de l’Insee publiée ce mardi 13 février, la France, en 2015, comptait 2,7 millions de personnes exerçant une activité non salariée (hors secteur agricole). Sur ce total, 29% sont microentrepreneurs. Ce qui représente environ 810.000 personnes. Les microentrepreneurs économiquement actifs retirent en moyenne 440 euros net par mois de leur activité non-salariée en 2015«    A la fin de l’année 2015, 795.000 microentrepreneurs étaient économiquement actifs. « Leurs effectifs continuent de progresser (+ 5,9 %), mais moins que les années précédentes (+ 8,2 % en 2014 et + 15,8 % en 2013) ». L’organisme de statistiques relève que ce ralentissement peut être lié au durcissement des conditions d’accès à ce statut fin 2014. Ce revenu est à comparer aux salaries moyen de l-ordre de 1740 euros.

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