Archive pour le Tag 'pauvres'

Mobilité- Les pauvres interdits d’automobiles en ville

Mobilité- Les pauvres interdits d’automobiles en ville

 

 La plupart de temps ce sont les pauvres qui ne peuvent avoir les moyens de changer leurs  automobiles qui vont être victimes des interdictions de rouler en ville. C’est la conséquence de la vision technocratique des écolos et de l’instauration des zones à faible émission (ZFE). D’une certaine manière, cette vision écolo techno a pour objet de vider les villes des habitants les moins favorisés par exemple avec des prix et des critères inabordables pour le logement dans les grands centres urbains. Maintenant c’est la mobilité qui va créer une forme de ségrégation.

Depuis le 1er janvier 2025, la circulation des véhicules les plus polluants doit être régulée dans une trentaine de métropoles en France. Une mesure qui complique la vie de certains conducteurs.

Resquiller ou s’aligner? Pour de nombreux automobilistes, l’instauration des Zones à faible émission (ZFE) se transforme peu à peu en dilemme. Depuis le 1er janvier 2025, 30 nouvelles agglomérations françaises de plus de 150.000 habitants ont l’obligation de limiter la circulation des véhicules les plus polluants. Et dans les métropoles ayant déjà pris des mesures comme Lyon, Grenoble, Paris ou Montpellier, les règles ont évolué. Depuis le début d’année, les voitures qui arborent une vignette Crit’Air 3 sont priées d’éviter les centres-villes. Sont concernés les propriétaires de véhicules diesel immatriculés entre 2006 et 2010, des voitures essence immatriculées entre 1997 et 2005, et des deux-roues motorisés immatriculés entre 2004 et 2006. Une dizaine de jours après l’entrée en vigueur de cette nouvelle contrainte, chacun s’adapte, entre débrouille, résignation et rébellion.

Les pauvres surtout interdits d’automobiles en ville

Les pauvres surtout interdits d’automobiles en ville

 

 La plupart de temps ce sont les pauvres qui ne peuvent avoir les moyens de changer leurs  automobiles qui vont être victimes des interdictions de rouler en ville. C’est la conséquence de la vision technocratique des écolos et de l’instauration des zones à faible émission (ZFE). D’une certaine manière, cette vision écolo techno a pour objet de vider les villes des habitants les moins favorisés par exemple avec des prix et des critères inabordables pour le logement dans les grands centres urbains. Maintenant c’est la mobilité qui va créer une forme de ségrégation.

Depuis le 1er janvier 2025, la circulation des véhicules les plus polluants doit être régulée dans une trentaine de métropoles en France. Une mesure qui complique la vie de certains conducteurs.

Resquiller ou s’aligner? Pour de nombreux automobilistes, l’instauration des Zones à faible émission (ZFE) se transforme peu à peu en dilemme. Depuis le 1er janvier 2025, 30 nouvelles agglomérations françaises de plus de 150.000 habitants ont l’obligation de limiter la circulation des véhicules les plus polluants. Et dans les métropoles ayant déjà pris des mesures comme Lyon, Grenoble, Paris ou Montpellier, les règles ont évolué. Depuis le début d’année, les voitures qui arborent une vignette Crit’Air 3 sont priées d’éviter les centres-villes. Sont concernés les propriétaires de véhicules diesel immatriculés entre 2006 et 2010, des voitures essence immatriculées entre 1997 et 2005, et des deux-roues motorisés immatriculés entre 2004 et 2006. Une dizaine de jours après l’entrée en vigueur de cette nouvelle contrainte, chacun s’adapte, entre débrouille, résignation et rébellion.

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

Les pays en développement ont payé un montant record de 1.400 milliards de dollars pour le service de leur dette extérieure en 2023, en raison des taux d’intérêt très élevés, selon un rapport de la Banque mondiale publié mardi.

Parmi ces pays, « les plus pauvres et vulnérables » ont déboursé un montant record de 96,2 milliards de dollars pour le service de leur dette, dont près de 35 milliards pour les seuls coûts d’intérêt. Un record également. Ces pays sont ceux éligibles à un prêt de l’Association internationale de développement (IDA), l’agence de la Banque mondiale qui prête aux pays les plus pauvres.

La Banque mondiale  indique que le taux payé sur les prêts des créanciers officiels a doublé pour atteindre plus de 4%. Les taux appliqués par les créanciers privés ont été encore pires, atteignant 6%, au plus haut depuis 15 ans.

Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres

Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres

 

Au motif qu’il existe déjà sur le Web des formes de casinos plus ou moins illicites, le ministre du budget envisage une concertation sur la légalisation des casinos en ligne.

Comme d’habitude, la question devrait d’abord être de savoir quel est l’objectif poursuivi. En effet dans la plupart des villes des casinos officiels sont déjà opérationnels. En outre, leur activité est relativement bien observé et suivi. La légalisation en ligne risque d’attirer des milliers et des milliers voire des millions de gogos qui comme pour les autres paris investissent parfois des sommes qui viennent amputer un budget des ménages déjà très réduits.
Certes il y a les parieurs du dimanche qui mettent régulièrement une petite somme sans remettre en cause l’équilibre de leur budget mais il y a aussi les accros, de plus en plus nombreux en période de crise, qui détournent en quelque sorte les ressources du ménage pour de vaines espérances. Et souvent en investissant de plus en plus.

«Le ministre lance une concertation qui doit pouvoir se tenir dès la semaine prochaine et devra aboutir sur un schéma permettant de répondre aux préoccupations du secteur» quant à la légalisation des casinos en ligne, a indiqué lundi le Ministère chargé du budget et des comptes publics dans un communiqué.

Addiction avait aussi tiré la sonnette d’alarme, les casinos en ligne étant considérés comme l’un des jeux les plus addictifs.

Paris sportifs : un impôt sur les pauvres

Paris sportifs : un impôt sur les pauvres 

 

Pour financer l’élan sportif, né du succès des Jeux olympiques et de l’Euro de football, Fatiha Keloua Hachi et Stéphane Troussel, élus socialistes de Seine-Saint-Denis, proposent, dans une tribune au « Monde », que l’Etat régule mieux les paris sportifs et les annonceurs autorisés.

 

Alors que le budget du sport est menacé par des coupes sévères, une question cruciale se pose : comment financer durablement la politique sportive, notamment après l’élan suscité par les Jeux olympiques et paralympiques ? Une piste de financement mérite d’être sérieusement étudiée dans le cadre du prochain projet de loi de finances : et si les paris sportifs, qui génèrent des profits massifs, contribuaient davantage à soutenir le sport lui-même, au lieu de remplir uniquement les poches des bookmakers ?L’été 2024 aura été d’une exceptionnelle densité sportive : entre l’Euro de football 2024 et les Jeux olympiques et paralympiques, nous avons été copieusement servis en émotions fortes et collectives. C’est là que réside toute la beauté du sport : produire des moments de ferveur populaire qui rassemblent et créent du commun par-delà les clivages de nos sociétés.Malheureusement, force est de constater que ces émotions sont exploitées sans vergogne par les opérateurs de paris sportifs en ligne. Depuis la libéralisation du marché, en 2010, ils rivalisent d’ingéniosité publicitaire, promettant de nous faire « vivre le sport plus fort », que « le plus important, c’est de gagner » de l’argent, allant même jusqu’à sous-entendre que les paris peuvent contribuer à la réussite sociale.

Si l’Autorité nationale des jeux (ANJ), chargée de réguler, bon an mal an, le secteur, a tenté récemment de faire le ménage parmi les slogans les plus honteux (notamment le tristement célèbre « Tout pour la daronne »), force est de constater que cela ne freine pas l’augmentation des mises, qui poursuivent une croissance exponentielle.

Climat : 100 milliards atteints pour les pays pauvres ?

Climat :  100 milliards atteints  pour les pays pauvres ?

 Ce mercredi, l’OCDE a en effet confirmé que les pays riches avaient atteint en 2022 leur objectif d’aide climatique annuelle de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres. L’idée de cette contribution financière avait été émise en 2009.Cette aide au regard des besoins réels de près de 2500 milliards, ce montant peut paraître très insuffisant. Par ailleurs il serait surtout intéressant d’analyser de près la nature des recettes et des dépenses précises si l’on ne veut pas qu’une partie de cette somme finisse dans les sables de la corruption. Il en va sans doute de cette aide climatique comme de beaucoup d’autres. Il est difficile d’en suivre la trace précise d’autant que certaines sommes sont repeintes avec la couleur climatique sans réellement avoir de lien avec l’environnement.
« En 2022, les pays développés ont fourni et mobilisé un total de 115,9 milliards de dollars pour le financement de la lutte contre le changement climatique dans les pays en développement », selon le calcul de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), chargée de la compatibilité officielle de cette promesse. Celle-ci qui doit d’ailleurs être renégociée d’ici la COP29 en novembre à Bakou.

Dans le détail, l’aide climatique des pays riches, de 89,6 milliards de dollars en 2021, a donc augmenté de 30% en 2022, selon l’OCDE, qui salue « une augmentation très significative, la plus forte sur un an », dépassant ses projections. En novembre dernier, avant la COP28 de Dubaï, l’OCDE avait annoncé que l’objectif des 100 milliards avait « probablement été atteint » en 2022, mais sans disposer de bilan définitif.

Notons aussi« qu’ une grande partie des fonds sont des prêts (69%, selon l’OCDE, ndlr) plutôt que des subventions (28%) », critique le militant écologiste Harjeet Singh. Et d’ajouter que ces aides financières sont souvent combinées à des aides existantes, « ce qui brouille les limites de l’aide financière réelle ».

 

Climat : Objectif atteint par les pays riches avec 100 milliards pour les pays pauvres ?

Climat : Objectif atteint par les pays riches avec 100 milliards pour les pays pauvres ?

 Ce mercredi, l’OCDE a en effet confirmé que les pays riches avaient atteint en 2022 leur objectif d’aide climatique annuelle de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres. L’idée de cette contribution financière avait été émise en 2009.Cette aide au regard des besoins réels de près de 2500 milliards, ce montant peut paraître très insuffisant. Par ailleurs il serait surtout intéressant d’analyser de près la nature des recettes et des dépenses précises si l’on ne veut pas qu’une partie de cette somme finisse dans les sables de la corruption. Il en va sans doute de cette aide climatique comme de beaucoup d’autres. Il est difficile d’en suivre la trace précise d’autant que certaines sommes sont repeintes avec la couleur climatique sans réellement avoir de lien avec l’environnement.
« En 2022, les pays développés ont fourni et mobilisé un total de 115,9 milliards de dollars pour le financement de la lutte contre le changement climatique dans les pays en développement », selon le calcul de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), chargée de la compatibilité officielle de cette promesse. Celle-ci qui doit d’ailleurs être renégociée d’ici la COP29 en novembre à Bakou.

Dans le détail, l’aide climatique des pays riches, de 89,6 milliards de dollars en 2021, a donc augmenté de 30% en 2022, selon l’OCDE, qui salue « une augmentation très significative, la plus forte sur un an », dépassant ses projections. En novembre dernier, avant la COP28 de Dubaï, l’OCDE avait annoncé que l’objectif des 100 milliards avait « probablement été atteint » en 2022, mais sans disposer de bilan définitif.

Notons aussi« qu’ une grande partie des fonds sont des prêts (69%, selon l’OCDE, ndlr) plutôt que des subventions (28%) », critique le militant écologiste Harjeet Singh. Et d’ajouter que ces aides financières sont souvent combinées à des aides existantes, « ce qui brouille les limites de l’aide financière réelle ».

 

Climat-Aider les plus pauvres du monde à s’adapter au changement climatique

Climat-Aider les plus pauvres du monde à s’adapter au changement climatique

Les douze derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés sur la planète. Cette réalité fait du changement climatique, non pas seulement une menace pour l’avenir, mais une part de plus en plus importante de notre présent. Mais il ne s’agit pas d’un présent, ni d’un futur, partagé de manière équitable.

par

Esther Duflo, Prix Nobel d’économie dans « Le Monde »

Les pays pauvres sont souvent dans des climats déjà chauds. A mesure que la planète se réchauffe, ils subissent donc davantage un plus grand nombre de jours où les températures sont difficilement compatibles avec la vie humaine (au-delà de 35 degrés). De plus, la pauvreté est un obstacle de taille à l’adaptation : quand il fait 35 degrés au Texas, un employé de bureau peut passer de l’air frais de sa maison à l’air frais de son bureau en voyageant dans sa voiture fraîche ; quand il fait 35 degrés au Pakistan, les habitants des régions rurales ont chaud chez eux, où il n’y a pas l’air conditionné, et doivent souvent réaliser des travaux physiques à l’extérieur.

Le résultat de la combinaison de ces deux forces ne pourrait pas être plus dangereux : les chercheurs du Global Impact Lab prédisent que, d’ici à 2100, si la trajectoire d’émission n’est pas modifiée, l’élévation des températures causera six millions de morts en plus par an, ce qui représente davantage que toutes les morts dues aux maladies infectieuses combinées aujourd’hui. Or cette augmentation de la mortalité aura lieu exclusivement dans les pays les plus pauvres.

La responsabilité de cet état de choses est tout aussi inéquitable. Plus une personne est riche, plus elle consomme, et plus elle consomme, plus elle contribue aux émissions de CO2. Le carbone peut avoir été émis dans une usine en Chine ou sur une autoroute en France, mais le résultat est le même. D’après les calculs de Lucas Chancel, économiste français enseignant à Sciences Po, si nous considérons l’empreinte carbone totale de chaque personne, les 10 % des émetteurs les plus gros sont responsables de 50 % des émissions.

L’empreinte carbone d’un habitant relativement riche des Etats-Unis est 120 fois plus importante que celle d’un habitant pauvre de l’Afrique.

Pour cette raison, à l’invitation du Brésil, je présente, mercredi 17 avril, à la réunion des ministres des finances du G20, une proposition pour mobiliser, de manière pérenne, des fonds afin de dédommager les citoyens les plus pauvres du monde et les aider à s’adapter au changement climatique.

Aider les plus pauvres du monde à s’adapter au changement climatique

Aider les plus pauvres du monde à s’adapter au changement climatique 

Les douze derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés sur la planète. Cette réalité fait du changement climatique, non pas seulement une menace pour l’avenir, mais une part de plus en plus importante de notre présent. Mais il ne s’agit pas d’un présent, ni d’un futur, partagé de manière équitable.

par

Esther Duflo, Prix Nobel d’économie dans « Le Monde »

Les pays pauvres sont souvent dans des climats déjà chauds. A mesure que la planète se réchauffe, ils subissent donc davantage un plus grand nombre de jours où les températures sont difficilement compatibles avec la vie humaine (au-delà de 35 degrés). De plus, la pauvreté est un obstacle de taille à l’adaptation : quand il fait 35 degrés au Texas, un employé de bureau peut passer de l’air frais de sa maison à l’air frais de son bureau en voyageant dans sa voiture fraîche ; quand il fait 35 degrés au Pakistan, les habitants des régions rurales ont chaud chez eux, où il n’y a pas l’air conditionné, et doivent souvent réaliser des travaux physiques à l’extérieur.

Le résultat de la combinaison de ces deux forces ne pourrait pas être plus dangereux : les chercheurs du Global Impact Lab prédisent que, d’ici à 2100, si la trajectoire d’émission n’est pas modifiée, l’élévation des températures causera six millions de morts en plus par an, ce qui représente davantage que toutes les morts dues aux maladies infectieuses combinées aujourd’hui. Or cette augmentation de la mortalité aura lieu exclusivement dans les pays les plus pauvres.

La responsabilité de cet état de choses est tout aussi inéquitable. Plus une personne est riche, plus elle consomme, et plus elle consomme, plus elle contribue aux émissions de CO2. Le carbone peut avoir été émis dans une usine en Chine ou sur une autoroute en France, mais le résultat est le même. D’après les calculs de Lucas Chancel, économiste français enseignant à Sciences Po, si nous considérons l’empreinte carbone totale de chaque personne, les 10 % des émetteurs les plus gros sont responsables de 50 % des émissions.

L’empreinte carbone d’un habitant relativement riche des Etats-Unis est 120 fois plus importante que celle d’un habitant pauvre de l’Afrique.

Pour cette raison, à l’invitation du Brésil, je présente, mercredi 17 avril, à la réunion des ministres des finances du G20, une proposition pour mobiliser, de manière pérenne, des fonds afin de dédommager les citoyens les plus pauvres du monde et les aider à s’adapter au changement climatique.

Fiscalité sur les riches au profit des pauvres… au Canada

Fiscalité sur les riches au profit des pauvres… au Canada
Au Canada, le gouvernement de Justin Trudeau veut envoyer un signe en direction des plus jeunes électeurs. Le budget fédéral prévoit ainsi plus de 20 milliards de dollars canadiens de recettes sur cinq ans, principalement grâce à une nouvelle fiscalité qui touchera les plus riches. Cette manne sera fléchée vers les secteurs de l’éducation, au logement et à l’emploi, autant de points de pression pour les plus jeunes.

 

Le gouvernement s’est également engagé, dans un contexte de crise du logement, à construire 3,87 millions de logements supplémentaires d’ici 2031 « à un rythme et à une échelle jamais vus depuis l’après-Seconde Guerre mondiale », a déclaré la ministre au Parlement. Pour y parvenir, Ottawa ouvrira des terrains publics au logement, convertira des bureaux fédéraux en appartements, et taxera les propriétés vacantes.

Par ailleurs, les économistes interrogés par le gouvernement ont revu à la hausse les prévisions tablant désormais sur une croissance de 0,7% cette année contre 0,5% annoncé dans le rapport économique de novembre. La ministre du Budget a indiqué que la dette nationale augmentera légèrement au cours de l’exercice 2024-2025 pour atteindre un nouveau record de 1.300 milliards de dollars canadiens. Le ratio dette/PIB du Canada devrait tomber à 41,9 %.

Quant au déficit, il devrait être un peu moins élevé que prévu, à 39,8 milliards de dollars canadiens, et rester stable avant de commencer à diminuer en 2026-2027. Le gouvernement table par ailleurs sur un ralentissement de l’économie en 2024 mais estime pouvoir éviter la récession malgré des taux d’intérêt relativement élevés qui pèsent sur l’économie.
La décision canadienne intervient alors que des discussions au niveau mondial sur la taxation des entreprises et des ménages les plus aisés ont lieu autour de trois grands dossiers, via le l’OCDE, le G20 et l’ONU

Fin 2021, un accord historique a vu près de 140 Etats s’engager à davantage taxer les multinationales. Deux piliers ont été adoptés, l’un visant à faire payer aux géants du numérique des impôts dans les pays où se trouvent leurs clients, et le second à taxer au taux minimal de 15% les plus grosses entreprises. Deux ans plus tard, une partie seulement du chemin a été réalisée.

 

Voitures âgées : Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

Voitures âgées : Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

 

L’État autorise Marseille, Strasbourg et Rouen à laisser circuler les véhicules Crit’Air 3 dans leurs ZFE au-delà du 1er janvier 2025, a annoncé mardi le ministère de la Transition écologique.  Considérant qu’il y a amélioration de la qualité de l’air le calendrier (ZFE sera reporté sauf pour deux villes Paris et Lyon qui dépassent les normes). 15 métropoles françaises – dont Nîmes, Reims, Clermont-Ferrand ou encore Grenoble – dépassaient régulièrement les seuils réglementaires en termes d’émissions de dioxyde d’azote en 2016, elles n’étaient plus que 10 en 2020 (Reims, Grenoble, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Paris, Rouen, Strasbourg et Toulouse), 5 en 2022 (Lyon, Marseille, Paris, Rouen et Strasbourg) et 2 en 2023 (Lyon et Paris).

Seules les villes de Lyon et Paris seront tenues d’appliquer le calendrier» de durcissement des mesures liées aux zones à faibles émissions (ZFE). C’est-à-dire que ce seront les deux seules métropoles où les véhicules Crit’air 3 seront interdits. «

D’ici à la fin de la décennie, les normes de pollution seront également abaissées en Europe pour passer de 40 µg/m3 de d’oxyde d’azote à 20 µg/m3. «On doit continuer à faire des efforts», a rappelé le ministre. À ce stade, un peu moins de la moitié des 43 agglomérations concernées par les ZFE sont sous ce seuil, qui entrera en vigueur en 2030.

L’interdiction des véhicules Crit’Air 3 au 1er janvier prochain à Paris et Lyon concerne toute de même plus de 1,5 million de véhicules, dont 1,3 dans la région parisienne.

Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

 

L’État autorise Marseille, Strasbourg et Rouen à laisser circuler les véhicules Crit’Air 3 dans leurs ZFE au-delà du 1er janvier 2025, a annoncé mardi le ministère de la Transition écologique.  Considérant qu’il y a amélioration de la qualité de l’air le calendrier (ZFE sera reporté sauf pour deux villes Paris et Lyon qui dépassent les normes). 15 métropoles françaises – dont Nîmes, Reims, Clermont-Ferrand ou encore Grenoble – dépassaient régulièrement les seuils réglementaires en termes d’émissions de dioxyde d’azote en 2016, elles n’étaient plus que 10 en 2020 (Reims, Grenoble, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Paris, Rouen, Strasbourg et Toulouse), 5 en 2022 (Lyon, Marseille, Paris, Rouen et Strasbourg) et 2 en 2023 (Lyon et Paris).

Seules les villes de Lyon et Paris seront tenues d’appliquer le calendrier» de durcissement des mesures liées aux zones à faibles émissions (ZFE). C’est-à-dire que ce seront les deux seules métropoles où les véhicules Crit’air 3 seront interdits. «

D’ici à la fin de la décennie, les normes de pollution seront également abaissées en Europe pour passer de 40 µg/m3 de d’oxyde d’azote à 20 µg/m3. «On doit continuer à faire des efforts», a rappelé le ministre. À ce stade, un peu moins de la moitié des 43 agglomérations concernées par les ZFE sont sous ce seuil, qui entrera en vigueur en 2030.

L’interdiction des véhicules Crit’Air 3 au 1er janvier prochain à Paris et Lyon concerne toute de même plus de 1,5 million de véhicules, dont 1,3 dans la région parisienne.

Au PSG la coupe des pauvres

Au PSG la coupe des pauvres

Il est clair que les supporters parisiens n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent depuis des années. Certes c’est le meilleur club français. C’est le moins qu’on puisse attendre compte tenu des moyens financiers extravagants engagés. Par contre sur le plan international les résultats sont beaucoup plus médiocres.

Une nouvelle fois le PSG a donc gagné la Supercoupe entre le gagnant du championnat et le gagnant de la coupe de France. Une sorte de coupe du pauvre. À la différence de celle qui peut exister en Angleterre, en Espagne ou encore en Allemagne où s’affrontent véritablement des club internationaux de haut niveau. Rien à dire sur Toulouse qui a joué à son rang et même davantage mais évidemment qui n’a pas d’ambition européenne compte tenu de ses moyens.

Chacun s’interroge en France pour savoir si Mbapé va rester ou non en France. Pourtant la réponse est évidente si une fois de plus le PSG est éliminé prématurément de la finale il est clair que le plus doué des Français partira ailleurs pour enfin conquérir cette coupe d’Europe indispensable un palmarès de grands joueurs.

Zones à faibles émissions (ZFE) :Les pauvres encore davantage exclus à Lyon, Grenoble et Strasbourg

Zones à faibles émissions (ZFE) :Les pauvres encore davantage exclus à Lyon, Grenoble et Strasbourg


D’une certaine manière c’est la double punition pour les moins favorisés qui ne peuvent pas se payer un logement dans le cœur des villes content tenu des prix exorbitants et donc contraints d’habiter mais dans les banlieues mais qui possèdent souvent de vieux véhicules qui progressivement sont interdits d’accès au cœur des métropoles et autres villes.

Des villes de Lyon Grenoble et Strasbourg, dirigée par les écolos, vont donc rendre les conditions d’accès de la ville encore plus difficile pour les pauvres qui possèdent des véhicules anciens comme ceux identifiés comme Crit’Air 4. Après les Crit’Air 5, les Crit’Air 4 seront donc partiellement ou totalement interdites de circuler .

A ce jour, onze métropoles ont commencé à déployer des ZFE, chacune avec son propre calendrier.

Leurs créations résultent de la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019. Une généralisation en France de ces zones est prévue par la loi d’ici à 2025 dans les 43 agglomérations de plus de 150.000 habitants.

« Chaque année, la pollution de l’air génère environ 40.000 décès prématurés, selon Santé publique France (2021) (et) provoque également quantité d’affections et de maladies chroniques (maladies cardio-vasculaires, asthme…) », rappelle notamment le site de la métropole de Lyon.

Des associations prônent également le soutien au développement des mobilités douces, mais aussi des véhicules intermédiaires, c’est-à-dire ceux en dessous de 600 kilos comme les voitures sans permis type Ami de Citroën. propre.

cette mesure écologique n’est pas populaire. Une vaste consultation en ligne effectuée par le Sénat à ce sujet en juin dernier montre que 86 % des particuliers et 79 % des professionnels sont contre le déploiement de ces zones, évoquant une mesure « discriminante », « injuste » et « excluante ». Et même les associations se rangent du côté des contestataires pour permettre de laisser plus de temps pour « préparer le marché du véhicule d’occasion électrique », justifie Tony Renucci, directeur général de l’association Respire.

Risque climatique :le flou de l’aide réelle aux pauvres

Risque climatique :le flou de l’aide réelle aux pauvres

Dans le cadre de la COP 28 de Dubaï, un accord serait intervenu pour créer et abonder un fonds destiné aux pauvres victimes de la crise climatique. Un fonds qui s’ajouterait à celui destiné à l’adaptation des pays à la crise. Il y aurait donc un fond de compensation et un autre d’adaptation. Le problème c’est que ces annonces sont rarement suivies d’effet. Par exemple pour le fonds d’adaptation 100 milliards ont été prévus et une dizaine seulement ont été accordés.

Le principe consisterait à soutenir les pays pauvres soutenir face aux impacts à venir, comme les crises humanitaires provoquées par les inondations et les sécheresses en Afrique, par exemple, alors que ces Etats ne sont pas les premiers responsables de la situation. Observons d’abord que ce principe avait déjà été défini mais sans application concertée.

Observons d’abord que comme tout ce qui se passe dans le cadre de la COP , rien n’est obligatoire; c’est donc sur la base du volontariat que ce fonds sera abondé. Cette aide serait également gérée par la Banque mondiale. Le risque en effet c’est que ces concours financiers finissent dans les sables des superstructures et de la corruption dans les pays notamment autoritaires.

Plusieurs pays ont déjà fait des annonces: les Emirats arabes unis avec une offre de 100 millions de dollars USD, suivis par les Allemands (100 millions), le Royaume-Uni (60 millions), les Etats-Unis (24,5 millions), le Japon (10 millions) et l’Union européenne (125 millions).Mais des annonces dans le plus grand flou compte tenu des besoins évalués. Autour de 100 à 400 milliards par alors que pour l’instant on constate un apport global de 400 millions pas nécessairement renouvelables. Plusieurs pays membres de l’UE, dont la France, avaient d’ailleurs promis il y a quelques semaines une « contribution substantielle », et chacun devrait annoncer sa part exacte vendredi et samedi. La France à son tour vient d’annoncer 100 millions.

Les pays en développement ont réclamé un objectif de 100 milliards de dollars pour ce nouveau fonds – un chiffre équivalent aux 100 milliards d’aide annuelle dus par les pays développés pour l’adaptation et la transition écologique, le fameux Fonds vert pour le climat. Pour rappel, celui-ci n’avait pas été honoré dès 2020 comme promis, ce qui avait entaché les relations Nord-Sud dans la lutte contre le changement climatique.

Les pays historiquement responsables du changement climatique, eux, se renvoient la balle pour lever les financements suffisants : les plus développés d’entre eux, Etats-Unis en tête, réclamaient ainsi un élargissement de la base des donateurs aux riches pays émergents, comme la Chine ou l’Arabie saoudite.

« La Chine et les pays du Golfe ont aujourd’hui une responsabilité historique dans les émissions [de gaz à effet de serre] », répétait encore il y a quelques jours à la presse un porte-parole de l’Elysée.

Une autre question suscite également des interrogations à savoir si ce fonds sera destiné à octroyer des prêts des subventions.

Enfin il y a la question de la création ou non d’une taxe internationale pour contribuer à alimenter le dispositif.

Autant de questions qui restent très floues du fait surtout de la réticence des pays donateurs mais aussi parfois de l’ambiguïté des demandes des pays bénéficiaires. La question n’est pas d’aider les pays pauvres victimes de la crise climatique mais les résidents pauvres de ces pays : parfois une différence de taille surtout dans les pays autoritaires ou à démocratie relative.

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