Archive pour le Tag 'Paul'

Le paysan Paul François, vainqueur contre Monsanto, agressé chez lui

Société : le paysan Paul François, lanceur d’alerte contre Monsanto, agressé chez lui

L’agriculteur fondateur de l’association Phyto-victimes, , a été agressé chez lui la semaine dernière en Charente. Le fondateur de l’association , «a été frappé et ligoté par trois personnes dans son garage à Bernac, au nor, «a été frappé et ligoté par trois personnes dans son garage à Bernac, au nord d’Angoulême», confirme ce vendredi soir au Figaro son avocat Me François Lafforgue.

Si ce dernier ne se prononce pas à ce stade sur les raisons de cette attaque il précise cependant ce que les agresseurs ont dit à son client. «On en a marre de t’entendre et de voir ta gueule à la télé», indique-t-il. Des propos entendus par la sœur de l’agriculteur qui était au téléphone avec lui.

Pour sa part Antoine Lambert, président de Phyto-victimes, association créée en 2011 dont Paul François a été le président fondateur, tente d’expliquer les raisons de cette violente intimidation. «Même si on ne sait rien des agresseurs, on ne peut pas s’empêcher de faire le lien avec le combat que Paul François a mené contre Monsanto », souligne-t-il. Paul François qui l’a appelé ce vendredi matin lui a relaté les circonstances de l’attaque: «Il m’a parlé de trois hommes cagoulés venus le menacer chez lui avec un objet tranchant», dit-il. Ces agresseurs qui ont ligoté leur victime ont tenté par ailleurs de lui administrer un produit.

Pour Nicole Bonnefoy, sénatrice de la Charente, cette agression «est liée avec toutes ses déclarations sur les pesticides. Engagé dans son combat et véritable lanceur d’alerte, Paul François a déjà eu une vie difficile. Cette attaque est scandaleuse». De son côté, le président du Mouvement de défense des exploitants familiaux (Modef) Pierre Thomas s’est également dit «extrêmement choqué». Pour sa part, le porte-parole de la Confédération paysanne, Nicolas Girod, a appelé «à renforcer la protection de Paul François qui subit depuis longtemps des pressions énormes et maintenant est agressé».

Paul Le Guen, ex-international : « Monsieur Bolloré, un peu d’humour « 

Paul Le Guen, ex-international :   »Monsieur Bolloré, un peu d’humour « 

L’entraîneur de football, ancien joueur de l’équipe de France, s’adresse au propriétaire de Canal+ pour contester le licenciement du commentateur sportif de la chaîne cryptée, Stéphane Guy.

Tribune. 

 

Monsieur Bolloré, vous êtes fier d’appartenir – si j’en crois vos déclarations et prises de position – à cette Bretagne qui, entre autres qualités, sait prendre du recul, se moquer d’elle-même et supporter la critique comme peut-être aucune autre région française. Les clichés dont on gratifie notre belle région sans discontinuer, vous les connaissez autant que moi : la pluie qui, bien sûr, est toujours au rendez-vous ; l’alcool qui, sans discontinuer, coule à flots ; les binious qui s’obstinent jusqu’à rendre sourds. Et j’en passe et des plus sévères et des plus définitifs encore.

Mais vous le savez aussi bien que moi, notre Bécassine, notre chère Bécassine, a mis au point une arme redoutable pour supporter tous les dénigrements de la terre : l’art de la plaisanterie. Un Breton, j’en suis certain, ne doit pas se raidir face à de si anodines critiques.

« Si j’avais un reproche à lui faire, ce serait justement d’être parfois l’avocat outrancier de votre chaîne »

De semblable façon, un minimum de recul me semble recommandé au regard des récents événements qui agitent notre Landerneau télévisuel. Non, Monsieur Bolloré, vous ne devez pas écarter Stéphane Guy de Canal+. Vouloir faire de lui un exemple me paraît totalement inapproprié.

Pour le dire autrement, si Stéphane n’a rien d’un innocent, il n’est certainement pas un coupable. Je le sais pour avoir souvent travaillé à ses côtés au cours de ces dernières années, votre commentateur vedette aime Canal, et plus que de raison ! D’où certains excès, comme il sied à tous les passionnés. Imaginer que vous puissiez le congédier parce qu’il a abusé de sa tribune pour manifester une solidarité confraternelle [en soutenant le chroniqueur Sébastien Thoen, renvoyé récemment de la chaîne cryptée après un sketch parodiant l’émission de Pascal Praud « L’Heure des pros », sur CNews, la chaîne info du groupe Canal+], me semble inconcevable.

Je viens de le souligner, Stéphane n’est pas un innocent. Si j’avais un reproche à lui faire, ce serait justement d’être parfois l’avocat outrancier de votre chaîne.

Il connaît Canal par cœur

Je vous l’accorde, de temps à autre, il n’y va pas de main morte puisqu’il peut aller jusqu’à stigmatiser la concurrence pour mieux défendre votre groupe. Mais je vous le répète : il connaît Canal autant qu’il peut l’aimer : par cœur, au sens premier et vrai du terme. Et même si l’on est en droit de remettre en cause mon objectivité, j’affirme qu’il est le meilleur commentateur de football que je connaisse.

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On juge Sarkozy ou le petit trafiquant Paul Bismuth ?

On juge Sarkozy ou le petit trafiquant Paul Bismuth ?

 

 

 

Même si les faits pour tentative de corruption concernant Nicolas Sarkozy sont minces par compte la matérialité du téléphone loué par Monsieur Paul Bismuth est-elle indiscutable. Or on voit mal pourquoi ce citoyen lambda, Paul Bismuth, aurait eu intérêt à se renseigner sur l’avancée des procédures aussi bien dans l’affaire des écoutes, que du financement libyen ou de celui de mémé Betancourt. Peut-être s’agit-il même d’une simple curiosité ? pourquoi reprocher  à Nicolas Sarkozy d’avoir utilisé un faux nom pour la location d’une ligne téléphonique ? Dans les banlieues notamment chez les trafiquants, des centaines voire des milliers de téléphones, sont utilisés par de faux noms. De là à penser que Nicolas Sarkozy était au faît de ces combines de banlieue il y a un pas que le tribunal a franchi. Mais alors quel trafic ?  pas des barrettes de haschisch, peut-être des voix, en plus des voix célestes ? S’il y a un coupable dans cette affaire ce n’est pas Sarkozy mais Paul Bismuth qui mérite évidemment la pendaison en place de Grève. Nicolas Sarkozy devrait au contraire être distingué par Macron dont il est tellement proche et qu’il se répand en compliments « : il est encore meilleur que moi » a-t-il déclaré. Il mériterait la Légion d’honneur que distribue tellement facilement Macron. Le problèm,e il l’a déjà.- Pour satisfaire des opinions très contradictoires sur cette affaire , on pourrait condamner Paul Bismuth aux travaux forcés, inversement accorder la médaille de la résistance judiciaire à un Sarkozy véritable victime expiatoire d’un système juridique qui se réveille pour terrasser les victimes déjà à terre. ( toujours avec un quinquennat au moins de retard).

Nicolas Sarkozy ou Paul Bismuth en correctionnelle dans l’affaire des « écoutes »

Nicolas Sarkozy ou Paul Bismuth en correctionnelle dans l’affaire des « écoutes »

 

Ce sera la correctionnelle pour corruption active et trafic d’influence mais pour juger qui : Nicolas Sarkozy ou Paul Bismuth. A juste titre,  Sarko conteste la validité des écoutes dont il a été victime, écoutes entre lui-même et son avocat qui révélaient un petit trafic d’influence pour connaître les informations de l’affaire Bettencourt dans laquelle il était impliqué. Des écoutes bien sûres illégales puisque concernant le téléphone de Paul Bismuth, nom d’emprunt de Sarko pour utiliser un téléphone discret avec son avocat. Le coupable présumé de trafic d’influence ne saurait être Sarko mais bien ce fameux Paul Bismuth. D’où la question qui juge-t-on ? Sarko ou Paul Bismuth ? Il restera toujours une possibilité pour l’ancien président de la république. Pour le cas où serait Sarko serait condamné, il pourrait toujours se présenter à l’élection présidentielle sous le nom de Paul Bismuth. Dans l’autre hypothèse, si c’est Bismuth qui est condamnée Sarko retrouverait alors toute sa virginité  judiciaire et pourrait concourir pour le titre de président de la république en 2022. De toute manière,  grâce aux recours procéduriers innombrables cette affaire pourra encore durer longtemps comme l’affaire Tapie.  La justice avait fait placer deux téléphones utilisés par l’ex-chef de l’Etat sur écoute en septembre 2013, dans le cadre d’une enquête sur des accusations de financement libyen de sa campagne électorale en 2007, pour lesquelles il a été mis en examen et sous contrôle judiciaire le 21 mars. Les enquêteurs étaient ainsi tombés sur des conversations entre Nicolas Sarkozy, qui utilisait alors le pseudonyme “Paul Bismuth”, et Me Herzog. Ces écoutes avaient révélé que les deux hommes étaient bien renseignés sur la procédure alors en cours devant la Cour de cassation dans une autre affaire dans laquelle Nicolas Sarkozy était alors visé : des soupçons d’abus de faiblesse aux dépens de la milliardaire Liliane Bettencourt, affaire pour laquelle il a finalement bénéficié d’un non-lieu. La justice, qui s’appuie aussi sur d’autres écoutes impliquant Thierry Herzog et Gilbert Azibert, soupçonnent l’ex-chef de l’Etat d’avoir échangé avec ce dernier des informations sur cette procédure contre la promesse d’un coup de pouce à sa promotion à Monaco.

Le programme du FN mènerait à une grave crise (Paul Krugman)

Le programme du FN mènerait à une grave crise (Paul Krugman)

 

D’une manière générale le programme économique du Front National est condamné par la quasi totalité des économistes qui estiment que cela conduirait le pays à la ruine. Il faut dire que les dirigeants du Front National entretiennent des liens assez approximatifs avec l’économie dont il pense d’ailleurs qu’elle doit se soumettre à la politique (un point de vue que partage Marine Le Pen avec Mélenchon). Le prix Nobel d’économie Paul Krugman, pourtant critique vis-à-vis de l’euro, dans le  New York Times estime toutefois que «rien de ce que propose le FN ne conduirait la France dans la bonne direction». Avant d’ajouter: «Les politiques dont parle le FN – sortie unilatérale non seulement de l’euro, mais aussi de l’UE – nuiraient à l’économie française». Selon Paul Krugman, «le coût de la sortie de l’euro et de la réintroduction d’une monnaie nationale serait immense». L’économiste évoque une fuite massive des capitaux qui provoquerait une crise bancaire, un contrôle des mouvements de capitaux et des fermetures temporaires de banques. «Des problèmes de valorisation des contrats créeraient un bourbier juridique, les entreprises seraient perturbées pendant une longue période de confusion et d’incertitude», poursuit-il. Si l’économiste américain considère que l’euro est un «projet imparfait», il juge cependant qu’il y a une énorme différence entre le fait de ne pas adhérer à la monnaie unique – comme ce fut par exemple le cas de la Suède, du Royaume-Uni ou de l’Islande qu’il cite – et d’en partir après y avoir adhéré. Paul Krugman estime aussi qu’une sortie de l’euro aurait pu être profitable à la Grèce mais pas à la France qui n’est, selon lui, absolument pas dans la même situation économique. «Pour la France, sortir de l’euro entraînerait tous les coûts que la Grèce aurait eu à supporter sans aucun des bénéfices», écrit-il. Quant à la sortie de l’Union européenne, il explique: «Désolé, mais la France n’est pas assez grande pour prospérer avec des politiques économiques centrées sur elle-même, nationalistes». «Le fait que Le Pen et des économistes comme moi soient critiques envers la politique européenne ne signifie pourtant pas que nous avons quelque chose en commun», conclut Paul Krugman, comme pour se démarquer. Il est vrai que le Front National cite régulièrement le nom de l’économiste américain pour justifier la sortie de l’euro. Ainsi, en juillet 2015, Florian Philippot (vice-président du Front National) déclarait dans les colonnes des Echos: «La sortie de l’euro est très majoritaire chez les sympathisants FN et chez un tiers de l’ensemble des français [...] Les économistes très critiques vis-à-vis de l’Euro, comme les prix Nobel Paul Krugman ou Joseph Stiglitz, ne sont pas beaucoup entendus sur les plateaux comparés à ce que j’appelle les économistes de banque».

 

Affaire Paul Bismuth : Sarko charge son avocat

Affaire Paul Bismuth : Sarko charge son avocat

 

Dans l’affaire Paul Bismuth Sarkozy se déclare innocent. D’après lui, c’est son avocat qui aurait suggéré d’ouvrir une ligne téléphonique sous un faux nom pour échanger tranquillement à l’abri des écoutes sur la procédure judiciaire. Sarkozy considérait que cette ligne téléphonique secrète était inutile et même superfétatoire. Il n’en a pas moins reconnu qu’il avait l’habitude d’aider des amis à la demande de son avocat Thierry Herzog. Reste que Sarkozy est toujours mis en examen pour soupçons de corruption concernant le juge Gilbert à Gibert auquel il aurait promis une promotion en échange d’informations sur son implication dans l’affaire Bettencourt. De toute manière cette affaire risque de tourner en eau de boudin comme les autres. D’abord parce que Sarkozy avocat lui-même s’est sollicité les arcanes des procédures judiciaires pour les faire durer. Ensuite parce que François Hollande ne souhaite nullement empêcher Sarkozy d’être candidat en 2017, c’est en effet le seul adversaire qu’il pense pouvoir battre. Enfin la justice elle-même manifeste la lenteur nécessaire pour que finalement les affaires politiques ou financières finissent par être enterrées. Les voleurs de mobylettes eux passent en comparution immédiate ! Le Monde a en effet pris connaissance de l’interrogatoire de Nicolas Sarkozy, mené par les juges Patricia Simon et Claire Thépaut. Selon le quotidien, l’ancien président a surtout mis en cause son avocat, Thierry Herzog. Les juges soupçonnent Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog d’avoir voulu échapper à d’éventuelles surveillances judiciaires dont ils auraient été informés. Aux juges, Nicolas Sarkozy assure que son avocat l’a mis en garde contre « un risque d’écoutes ‘sauvages’ ». « Il me dit qu’il faut que nous puissions parler sur un téléphone discret où nous pourrions évoquer tous les problèmes de procédures qui pourraient se poser », a-t-il expliqué, selon Le Monde. L’ancien chef de l’Etat assure avoir trouvé ces « précautions un peu superfétatoires »« Je n’ai jamais eu [le magistrat] Gilbert Azibert au téléphone, je ne lui ai jamais rien demandé », a assuré Nicolas Sarkozy. Et d’ajouter :  »Mon intervention, si elle avait eu lieu, [aurait été] le résultat de ma profonde amitié pour Thierry Herzog et non pas mon attachement à Azibert. Bien souvent Thierry Herzog m’a demandé d’aider des relations ou des amis, ce que j’ai fait bien volontiers par amitié pour lui », a insisté Nicolas Sarkozy, face aux juges. L’ex-chef de l’Etat a brandi un autre argument : « Il se trouve qu’à la Cour de cassation, si j’avais voulu des renseignements, j’avais d’autres interlocuteurs autrement plus prestigieux que M. Azibert. » Lors de cet interrogatoire, Nicolas Sarkozy s’est efforcé de démontrer sa bonne foi, explique Le Monde, en prenant notamment pour exemple une conversation avec son avocat au cours de laquelle il avait confondu l’avis du conseiller-rapporteur de la Cour de cassation avec celui de l’avocat généralce qui, selon lui   »prouve que je ne suis pas au courant des détails des choses ». « Je préfère passer pour un incompétent que pour un malhonnête », a-t-il lancé aux juges. Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog sont mis en examen depuis juillet 2014 pour « corruption active »« trafic d’influence actif » et « recel de violation du secret professionnel ». Ils sont soupçonnés, sur la base d’écoutes téléphoniques, d’avoir tenté d’obtenir de Gilbert Azibert, alors magistrat à la Cour de cassation, des informations couvertes par le secret dans le cadre d’une procédure sur la saisie des agendas de l’ancien chef de l’Etat, dans l’enquête sur l’affaire Bettencourt (dans laquelle Nicolas Sarkozy a bénéficié d’un non-lieu en 2013). En échange de ses services, Nicolas Sarkozy lui aurait promis d’user de son influence pour lui obtenir un poste de prestige à Monaco. En mars 2016, la Cour de cassation a justement validé les écoutes téléphoniques dont ont fait l’objet Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog, et sur lesquelles reposent leurs mises en examen. Puis en mai, la cour d’appel de Paris a annulé les convocations et les auditions de Nicolas Sarkozy et de Thierry Herzog en octobre et novembre 2015. Durant ces auditions, ils n’avaient pas répondu aux questions des juges, rendant selon eux obligatoires de nouvelles convocations, alors que les juges d’instruction avaient clos leurs investigations en février. « Le dossier sera clôturé après une ultime confrontation générale qui devrait être organisée dans les semaines qui viennent », écrit Le Monde. Nicolas Sarkozy pourrait donc, comme dans l’affaire Bygmalion, être renvoyé en correctionnelle dans les prochains mois. Mais dans cette affaire aussi, il semble peu probable que l’affaire puisse être jugée avant l’élection présidentielle, qui se déroulera au printemps 2017.

 

Bettencourt: le procès de Sarko ou de Paul Bismuth ?

Le procès de Sarko ou de Paul Bismuth ?

A juste titre,  Sarko conteste la validité des écoutes dont il a été victime, écoutes entre lui-même et son avocat qui révélaient un petit trafic d’influence pour connaître les informations de l’affaire Bettencourt dans laquelle il était impliqué. Des écoutes bien sûres illégales puisque concernant le téléphone de Paul Bismuth, nom d’emprunt de Sarko pour utiliser un téléphone discret avec son avocat. Le coupable présumé de trafic d’influence ne saurait être Sarko mais bien ce fameux Paul Bismuth. D’où la question qui juge-t-on ? Sarko ou Paul Bismuth ? Il restera toujours une possibilité pour l’ancien président de la république. Pour le cas où serait Sarko serait condamné, il pourrait toujours se présenter à l’élection présidentielle sous le nom de Paul Bismuth. Dans l’autre hypothèse, si c’est Bismuth qui est condamnée Sarko retrouverait alors toute sa virginité  judiciaire et pourrait concourir pour le titre de président de la république en 2017. De toute manière,  grâce aux recours procéduriers innombrables cette affaire pourra encore durer une vingtaine d’années comme l’affaire tapie. François Hollande en tout cas espère de toutes ses forces que Sarko sera innocenté pour ne pas se retrouver face à Juppé lors  du concours de beauté de 2017. La Cour de cassation du Palais de justice de Paris examine en effet ce jeudi 28 janvier le pourvoi de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l’affaire Azibert-Herzog, communément baptisée « affaire des écoutes » ou encore « affaire Bismuth ». Si son pourvoi en cassation, c’est-à-dire la demande d’annulation juridique, lui était refusé, un renvoi devant le tribunal correctionnel pourrait contraindre les objectifs politiques, à moyen et long termes, du chef des Républicains. Mis en examen en juillet 2014 pour « corruption active », « trafic d’influence » et « recel de violation du secret professionnel », Nicolas Sarkozy risque jusqu’à dix ans de prison. Par ce pourvoi en cassation auquel il a recouru dès le mois de mai 2015, il demande l’annulation juridique de la décision prise à cette même période, lorsque la cour d’appel de Paris a validé la légalité des écoutes dont l’ancien président de la République (2007-2012) a fait l’objet. La complexité du dossier et la succession de recours a nécessité la saisie du Conseil constitutionnel en septembre dernier. La justice soupçonne Nicolas Sarkozy d’avoir essayé, en 2013, par l’entremise de son avocat Thierry Herzog, d’obtenir des informations couvertes par le secret auprès du juge Gilbert Azibert, sur une décision de justice en lien avec l’affaire Bettencourt. En échange, lui était promise une intervention pour un poste de prestige à Monaco. La mise en examen de Nicolas Sarkozy le 1er juillet 2014, suspendue pendant quelques mois, a été réactivée le 7 mai 2015 par la cour d’appel de Paris.




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