Archive pour le Tag 'pattes'

Benalla : le scotch qui colle aux pattes de Macron

Benalla : le scotch qui colle aux pattes de Macron

 

 

 

L’affaire Benalla  ressemble à une sorte de lessiveuse où les différents courants de l’Élysée sont en train de laver leur linge sale. La question n’est pas tellement de savoir l’intéressé à utilisé son passeport diplomatique après son départ de la présidence mais plutôt qu’elle peut-être la nature du business international d’un homme qui jusque-là était garde du corps. Cela pose le problème de la nature des relations entre Macron et Benalla. Curieux comme démarche, certains à l’Élysée auraient pu s’apercevoir plutôt que l’intéressé utilisait son statut pour faire business personnel. Certes il est loin d’être idiot mais il n’a quand même pas la stature pour conduire des délégations économiques à l’étranger comme c’est semble-t-il le cas pour le Tchad et ailleurs Tout cela donne l’impression que certains à l’Élysée ouvrent le parapluie pour le cas de nouvelles révélations apparaîtraient dans la presse. Sans doute pourquoi sur un ton ferme, le directeur de cabinet du président, Patrick Strzoda, affirme dans une lettre que l’Élysée ne pourrait « laisser sans réaction l’existence de relations d’affaires en France ou à l’étranger avec des intérêts privés, tout à fait incompatibles » avec les fonctions de l’ex-collaborateur d’Emmanuel Macron remercié en août. Des activités « que vous n’avez jamais révélées avant votre prise de fonctions ou qui auraient été nouées ou qui se seraient perpétuées alors que vous étiez en fonctions », insiste le directeur de cabinet. Patrick Strzoda demande aussi à l’ancien chargé de mission de l’Elysée de fournir « toutes informations pertinentes à ce sujet ainsi que sur les rémunérations que vous auriez reçues directement ou par personnes interposées au titre de ces missions ». La lettre type d’un haut fonctionnaire qui se met à l’abri. L’Élysée aurait  peut-être intérêt à mettre la pédale douce sur cette affaire car Benalla n’est pas du genre à se laisser faire comme un vulgaire haut fonctionnaire. Il pourrait bien révéler des affaires un peu ennuyeuses pour le pouvoir en place. S’estimant accusé à tort, l’ancien chargé de mission a dénoncé jeudi des propos « diffamatoires » et « calomnieux », « sous-entendant » qu’il ait pu se « prévaloir d’une fonction, d’un titre, ou d’un pouvoir aux fins de démarchages professionnels ». Selon lui, « certaines personnes de l’entourage d’Emmanuel Macron » veulent « saccager » ses vies familiale et professionnelle. « Je ne me tairai plus », a-t-il menacé. Alexandre Benalla a été limogé de l’Elysée cet été et mis en examen pour « violences volontaires », accusé d’avoir outrepassé ses fonctions en participant à une interpellation musclée en marge des manifestations du 1er mai à Paris.

2017 : la candidature de Peillon dans les pattes de Valls

2017 : la candidature de Peillon dans les pattes de Valls

Pour diviser encore un peu plus les socialistes, nombre d’opposants à Valls ont lancé la candidature de Peillon  dans les pattes de Valls. Des proches du président de la république mais aussi des proches d’Aubry, d’Hidalgo, Taubira ou encore Ségolène Royal qui militent « pour tout sauf Valls ». Le président de la république François Hollande qui a reçu l’estocade de Valls pour se résoudre à annoncer son renoncement n’est sans doute pas aussi étranger à l’émergence de cette candidature. Une candidature de plus qui va éparpiller les voix et réduire le score de Valls au premier tour de la primaire de gauche. Dans l’entourage de Hollande on se défend d’être à l’origine de cette nouvelle candidature mais on semble quand même s’en  réjouir. En réalité au parti socialiste, c’est le temps des règlements de compte. Si Valls a réussi à tuer successivement d’abord le premier ministre Jean-Marc Ayrault puis François Hollande, il est encore loin d’avoir réussi à obtenir le soutien de l’ensemble des courants. Sans parler de la manœuvre de Valls pour écarter Macron qui   du coup se présente en candidat plus que sérieux pour la personnalité qui sortira gagnante de la primaire de gauche. Par ailleurs Pour éviter le choix d’un vote entre Manuel Valls et Arnaud Montebourg, de nombreux socialistes tentent donc de faire émerger une troisième voie. De nombreux noms circulent, de Ségolène Royal à Najat Vallaud-Belkacem en passant par Bertrand Delanoë, mais aucun ne se détache. « Peillon vient pour se venger de Valls, considère un haut dirigeant socialiste

FOOT FRIC-Présidence FIFA : un diplomate français dans les pattes de Platini

FOOT FRIC-Présidence FIFA : un diplomate  français dans les pattes de Platini

 

Cette fois c’est un ancien diplomate français qui présente sa candidature. Comme si déjà, on imaginait au gouvernement que la candidature de Platini a du plomb dans l’aile. Il faut dire que ce dernier s’est un peu embourbé dans ses explications maladroites concernant le versement de 2 millions dix ans après des prestations effectuées à la demande verbale de Blatter. D’une certaine manière il a aussi été piégé. Pas certain non plus que Platini ait la carrure pour administrer une grosse usine comme la FIFA où les relations financières et diplomatiques exigent un certain sens du management. De ce point de vue on ne peut pas dire que L’UEFA ait été exemplaire. Car en Europe c’est le royaume du foot fric. Platini comme les autres s’est montré incapable de réguler les dérives financières notamment concernant le salaire des joueurs (autour de 500 000 euros par mois dans les grands clubs), une folie évidemment. Jérôme Champagne, né le 15 juin 1958 à Paris, est un diplomate français de 1983 à 1998, dirigeant de la FIFA de 1999 à 2010, et consultant en football international. Conseiller diplomatique et chef du protocole du comité français d’organisation de la Coupe du monde 1998, il rejoint ensuite la FIFA où il exerce successivement les fonctions de conseiller international du Président (1999-2002), secrétaire général adjoint (2002-2005), délégué du Président (2005-2007) et enfin directeur des relations internationales (2007-2010) durant le mandat du président Sepp Blatter. Il quitte la FIFA en 2010 et devient commissaire football du Festival mondial des arts nègres à Dakar (2010) puis conseiller de la Fédération de Palestine de football (PFA) et du Comité olympique de Palestine (POC), de la Fédération du Kosovo de football, de la Fédération de Chypre du Nord de football (CTFA) et enfin du club congolais de football Tout Puissant Mazembe de Lubumbashi (infos tirées de Wikipédia). Après Michel Platini, le prince jordanien Ali et l’ancien capitaine de Trinité-et-Tobago David Nakhid, Jérôme Champagne est donc le 4e candidat déclaré à la présidence de la Fédération internationale de football.   »C’est la FIFA qu’il faut sauver car son rôle de gouvernance et de redistribution, plus que jamais indispensable, est aujourd’hui en grave danger. Il s’agit bien évidemment aussi d’en restaurer la crédibilité et de la préparer pour affronter les défis du monde en évolution. C’est la Coupe du Monde qu’il faut protéger car elle est ce grand moment de communion planétaire durant laquelle se marient fierté de nos couleurs et amitié entre les peuples. C’est la vision d’un football universel et solidaire donnant sa chance à chacun d’entre nous qu’il faut préserver aujourd´hui » explique Jérôme Champagne dans sa déclaration de candidature postée sur Tweeter.




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