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Moral des patrons : au plus bas en avril, selon l’Insee. Et croissance en danger

Moral des patrons : au plus bas en avril, selon l’Insee. Et croissance en danger 

Le moral des patrons est au plus bas historique et les perspectives de croissance largement menacées compte  tenu de la persistance de la crise sanitaire et surtout compte tenu du manque de visibilité quant à une reprise normale des activités et de la mobilité.

.L’enquête sur le climat des affaires menée mensuellement par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) accuse une chute inédite pour le mois d’avril. Leur opinion sur les perspectives d’activité atteint « des points bas jamais explorés jusqu’alors par les enquêtes de conjoncture », précise l’Institut dans sa note publiée jeudi 23 avril.

Cet indicateur, en effet, perd 32 points en avril, après avoir déjà baissé de 11 points en mars, et tombe à 62 points. « L’ampleur de cette chute sur un mois est également inédite : en octobre 2008, après la faillite de Lehman Brothers, l’indicateur n’avait diminué que de 9 points », ajoute l’Insee.

La dégradation survenue en avril est particulièrement nette dans les services (– 37 points) et le commerce de détail (– 23 points). Dans l’industrie, avec une chute brutale et inédite de 16 points, l’indicateur atteint un point bas qui n’a été dépassé qu’à deux périodes : pendant toute l’année 1993, puis de fin 2008 à août 2009.

L’Insee confirme par ailleurs l’impact du confinement sur l’activité économique, de l’ordre de 3 points de produit intérieur brut (PIB) annuel par mois de confinement. « L’impact global du confinement sera certainement supérieur, car la reprise ne sera a priori pas immédiate et sera probablement d’autant plus lente que la durée du confinement aura été importante », ajoutent les experts. Et ce malgré le très léger regain d’activité constaté ces dernières semaines, « en particulier dans l’industrie et le bâtiment, où certaines entreprises auparavant à l’arrêt ont, sans doute, pu reprendre une partie de leur activité après avoir mis en place 

Économie–Moral des patrons : baisse

Économie–Moral des patrons : baisse

L’indicateur synthétique qui reflète le climat des affaires a perdu un point par rapport au moins de janvier et s’établit à 90 points, soit très en dessous de sa moyenne de longue période qui est de 100, précise l’Institut national des statistiques. (Notons qu’une enquête de conjoncture effectuée pour le compte des chambre de commerce indique le contraire ou quand le volontarisme s’immisce dans les études statistiques !)  Le chiffre de janvier a par ailleurs été révisé à 91 points, contre 92 points précédemment, illustrant une stagnation du climat des affaires le mois dernier par rapport à décembre.

Après deux mois de progression dans les services, l’indicateur s’est fortement contracté en février, tandis qu’il enregistre son troisième mois de baisse dans le commerce de détail, pénalisé par le couvre-feu instauré à 18h00.

A l’inverse, la situation continue de s’améliorer dans l’industrie depuis le confinement de novembre. En parallèle, le climat de l’emploi est reparti à la baisse (-3 points) après deux mois de légère amélioration, constate l’Insee. « Cette dégradation est principalement due à la baisse des soldes d’opinion sur l’évolution (passée comme prévue) des effectifs dans le commerce de détail », souligne l’Institut.

Moral des patrons : remontée provisoire ?

Moral des patrons : remontée provisoire ?

Depuis décembre il semblerait qu’on assiste à un lent  redressement du moral des patrons. Reste que cette évolution positive pourrait être contredite par la nouvelle percée de la pandémie. Selon la dernière Grande consultation des entrepreneurs réalisée par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI, le moral des dirigeants poursuit sa lente remontée depuis décembre pour s’établir au mois de février à 76 points. Il s’agit du meilleur score depuis le mois de septembre. A l’automne, l’optimisme des répondants avait plongé après l’annonce du second confinement tout au long du mois de novembre. Par ailleurs, cette hausse de l’optimisme concerne aussi bien les entreprises de plus de 9 salariés (12 points ) que celle ayant entre 0 et 9 salariés (11 points). Il reste que la forte progression du variant anglais dans les chaines de contamination et les reconfinements locaux dans les zones à nouveau en tension comme la Côte d’Azur ou certaines villes comme Dunkerque assombrissent à nouveau les perspectives pour les populations à l’échelle de certains territoires.

Moral des patrons : baisse

Moral des patrons : baisse

L’indicateur synthétique qui reflète le climat des affaires a perdu un point par rapport au moins de janvier et s’établit à 90 points, soit très en dessous de sa moyenne de longue période qui est de 100, précise l’Institut national des statistiques. Le chiffre de janvier a par ailleurs été révisé à 91 points, contre 92 points précédemment, illustrant une stagnation du climat des affaires le mois dernier par rapport à décembre.

Après deux mois de progression dans les services, l’indicateur s’est fortement contracté en février, tandis qu’il enregistre son troisième mois de baisse dans le commerce de détail, pénalisé par le couvre-feu instauré à 18h00.

A l’inverse, la situation continue de s’améliorer dans l’industrie depuis le confinement de novembre. En parallèle, le climat de l’emploi est reparti à la baisse (-3 points) après deux mois de légère amélioration, constate l’Insee. « Cette dégradation est principalement due à la baisse des soldes d’opinion sur l’évolution (passée comme prévue) des effectifs dans le commerce de détail », souligne l’Institut.

Le retour des patrons ?

Le retour des patrons ?

 

Avec Macron, qui considère la France comme une sorte de l’entreprise, une mart nation se pose la question du retour des patrons et de leur influence. Le sociologue Michel Offerlé livre une enquête fascinante sur les chefs d’entreprise et leur

Les patrons seraient-ils de retour ? Il y a peu de doute possible si l’on en juge par l’âpreté avec laquelle leurs représentants défendent le « quoi qu’il en coûte » en matière de soutien aux entreprises en temps de pandémie. Il n’a pas non plus échappé aux observateurs de la vie publique que leur part à l’Assemblée nationale, traditionnellement très faible par rapport à d’autres groupes sociaux, a spectaculairement augmenté depuis 2017.

De là à supposer que les étoiles du capitalisme se sont alignées et que la politique n’exprime aujourd’hui rien d’autre que les intérêts des patrons, il n’y a qu’un pas, allègrement franchi par beaucoup. C’est pourtant cette évidence que le sociologue Michel Offerlé interroge dans son nouveau livre, Ce qu’un patron peut faire, où il aspire à « comprendre comment [les patrons] contribuent, comme chefs d’entreprise et comme chefs d’entreprise en politique, à la production et à la reproduction des rapports sociaux et aux luttes de frontières qui se jouent entre l’Etat, le champ politique et le champ économique ».

Le patronat français, milieu hétéroclite

Le sociologue s’appuie dans cette tâche sur des matériaux constitués depuis plus d’une dizaine d’années avec les étudiants qu’il a accompagnés et guidés dans son projet de cartographie d’un des milieux les plus hétéroclites de la société française et aussi les plus réfractaires à l’enquête. Les patrons ont certes souvent été analysés en sociologie, mais avec une certaine distance, en objectivant leur position dans l’élite économique et politique à partir de leurs caractéristiques sociales, de leur éducation ou de leurs réseaux.

Offerlé préfère la méthode douce, celle qui passe par l’entretien et ses méandres, où l’on pose autant de questions qu’on laisse de place à l’enquêté pour qu’il se justifie. Une méthode qui passe aussi par la lecture des courriers adressés à la présidence de la République par de « petits » patrons qui, comme tout un chacun, n’ont pas d’autre moyen de faire connaître leurs doléances, ou par les relevés, au fil de la presse locale, des grèves de la faim et suicides dans ce milieu.

La méthode paraîtra excessivement bienveillante à certains. Michel Offerlé, qui a rencontré plus de patrons, grands et petits, qu’aucun autre sociologue français, ne cite-t-il pas cette phrase d’un des personnages de La Règle du jeu, de Jean Renoir (1939) : « Tu comprends, sur cette Terre, il y a quelque chose d’effroyable, c’est que tout le monde a ses raisons » ? La manière de procéder a toutefois paru agressive à certains des principaux intéressés, fâchés de se voir questionner sur leur adhésion aux valeurs chrétiennes, leur salaire ou l’origine sociale de leur conjoint.

 

 

Moral des patrons : très léger mieux en janvier

Moral des patrons : très léger mieux en janvier

L’indicateur synthétique qui reflète ce climat des affaires gagne 1 point par rapport à décembre à 92 points, mais reste encore très inférieur à sa moyenne de longue période qui est de 100, précise l’Institut national des statistiques. « Cette très légère hausse est le reflet d’évolutions différentes suivant les secteurs d’activité en lien avec l’incertitude quant à l’évolution de la situation sanitaire », souligne l’Insee.

Ainsi l’industrie et le commerce de gros connaissent une petite amélioration, tandis que le climat des affaires « fluctue à peine dans les services et le commerce de détail », davantage soumis à des restrictions. Le durcissement et l’élargissement du couvre-feu sur l’ensemble du territoire depuis une semaine devraient à nouveau plomber le moral des commerces.

Dans l’industrie, l’impact de la crise est nettement moins sévère que dans les services. Il reste que beaucoup de sites de production sont menacés et des milliers d’emplois risquent encore d’être détruits dans le sillage des faillites d’entreprises.  Le climat de l’emploi gagne lui aussi un point en janvier par rapport à décembre, à 85 points, quand il était à 105 points avant la crise.

Hausse du moral des patrons en Allemagne

Hausse du moral des patrons en Allemagne

L’institut Ifo a annoncé vendredi que son indice mesurant le climat des affaires avait progressé à 92,1 en décembre après 90,9 (révisé) en novembre, une amélioration que l’institut lie à l’augmentation des volumes de commandes dans le secteur de l’industrie et à une amélioration des prévisions d’exportation.

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un indice en légère baisse à 90,0.

Le sous-indice mesurant le jugement des entreprises sur la situation actuelle est monté à 91,3 après 90,0 et celui des anticipations a progressé à 92,8 contre 91,8 en novembre.

“Les chefs d’entreprises sont satisfaits de leur situation commerciale. Ils envisagent le premier semestre avec moins de scepticisme. Le confinement frappe durement certaines branches mais dans l’ensemble, l’économie allemande résiste”, a déclaré le président de l’Ifo, Clemens Fuest.

Cependant le durcissement des restrictions sanitaires pourrait avoir pour conséquence une activité modérée en début d’année prochaine avant une reprise au deuxième trimestre.

Pour Melanie Debono, économiste chez Capital Economics, l’enquête de l’Ifo suggère que l’Allemagne pourrait éviter une contraction au quatrième trimestre. (La France enregistrant, elle une baisse de l’ordre de 4 %).

Moral des patrons : en hausse

Moral des patrons : en hausse

L’indicateur synthétique de l’INSEE qui reflète ce climat des affaires gagne 12 points par rapport à novembre à 91, mais reste encore très inférieur à sa moyenne de longue période qui est de 100, précise l’Institut national des statistiques.

Le climat de l’emploi ne gagne lui que 2 points à 86, très en deçà de sa moyenne de longue période qui est supérieure à 105. Ce petit rebond est dû selon l’Insee à des soldes d’opinion plus favorables dans le commerce de détail et les services hors intérim.

Interrogés entre 27 novembre et le 14 décembre, les chefs d’entreprise se sont montrés « nettement moins pessimistes qu’en novembre sur l’activité à venir pour les trois prochains mois, qu’il s’agisse de l’activité de leur secteur dans son ensemble ou de celle de leur propre entreprise », détaille l’institut dans son communiqué.

Cette amélioration est présente dans tous les secteurs, que ce soit l’industrie manufacturière, le bâtiment, les services ou le commerce de détail, indique encore l’Insee.

 

 

Moral des patrons Japon: en hausse

Moral des patrons Japon: en hausse -

Le moral des patrons des grandes sociétés industrielles s’est amélioré en octobre-décembre au Japon.

D’après les résultats de l’enquête publiés lundi, l’indice du sentiment des grandes entreprises du secteur manufacturier s’est établi à -10 en décembre contre -27 en septembre. L’indice mesurant la confiance des grandes entreprises non-manufacturières est lui aussi remonté, à -5 contre -12 trois mois plus tôt, un résultat

Après avoir connu une contraction historique au deuxième trimestre, l’économie japonaise a rebondi sur la période juillet-septembre grâce au rebond des exportations et de la consommation.

Les futurs vaccins: efficaces pour enrichir les patrons de laboratoire !

Les futurs vaccins: efficaces pour enrichir les patrons de laboratoire !

 

 

Comme d’habitude les médias reprennent brut de brut les dépêches des laboratoires pharmaceutiques qui leur annoncent un remède miracle pour les jours à venir. Le problème c’est que ces différents vaccins sont encore loin d’être au point. La vérité, c’est que les laboratoire ne livrent que des informations très provisoires et très partielles, en général pour se positionner sur le marché. Il faudra encore attendre des semaines et plus sûrement des mois pour que ces vaccins soient utilisés couramment. En fait ,il y a derrière ces annonces un positionnement sur le marché des différents labos est aussi une immense opération de spéculation. En effet chaque annonce a le mérite de faire bondir la valorisation boursière du laboratoire et les patrons qui connaissent le caractère éphémère de cette flambée haussière en profitent pour vendre leur action. Entre le 15 mai et le 31 août, les dirigeants de cinq laboratoires pharmaceutiques ont encaissé plus de 145 millions de dollars.

Ainsi, d’après le Figaro lundi dernier, jour où le géant pharmaceutique Pfizer a annoncé que son vaccin était efficace à 90 %, son directeur général, Albert Bourla, a vendu pour 5,6 millions de dollars d’actions, dont le cours s’était envolé. Rien d’illégal, selon Pfizer, puisque cette opération, qui était prévue, obéit à des règles stipulant que les dirigeants d’entreprise peuvent acheter ou vendre des titres en fonction de critères prédéterminés. Ce qui permet d’éviter tout soupçon de délit d’initié.

Ne rien faire d’illégal ne suffit pas

Plusieurs dirigeants de Moderna, auquel le gouvernement américain s’est engagé à verser jusqu’à 2,5 milliards de dollars si son vaccin était validé, ont fait jouer les mêmes règles, et vendu pour plus d’une centaine de millions de dollars d’actions ces derniers mois. Le patron de Novavax a quant à lui cédé 4,2 millions de dollars de titres en août, peu de temps après l’annonce d’un financement public de 1,6 milliard de dollars.

L’organisation de défense des contribuables, Accountable US, a calculé qu’entre le début de l’opération américaine de coordination du développement des vaccins, le 15 mai, et le 31 août les dirigeants de cinq laboratoires ont encaissé plus de 145 millions de dollars! En pleine crise sanitaire et économique, ces opérations interrogent. «Ne rien faire d’illégal ne suffit pas, les gens s’attendent à ce qu’ils agissent de façon responsable», estime Sanjai Bhagat, professeur à l’université du Colorado.

Economie-Moral des patrons : rechute en octobre

Economie-Moral des patrons : rechute en octobre

Le moral des patrons qui s’amélioraient depuis mai rechutent durement en octobre d’après l’INSEE. L’indicateur synthétique de l’Insee recule de deux points, soit 90, et il retrouve son niveau d’août. L’Institut note qu’il est bien inférieur à sa moyenne de long terme, soit 100. « Les perspectives d’activité s’assombrissent par rapport au mois dernier », écrit l’Insee, qui a interrogé des chefs d’entreprise entre le 28 septembre et le 19 octobre. En d’autres termes, le moral des patrons n’est pas bon.   Le secteur des services est particulièrement marqué par ce recul, l’hébergement-restauration en premier lieu, très affecté par les récentes mesures sanitaires. En effet, le couvre-feu a été instauré le 17 octobre, ce qui plombe l’activité économique.   Concernant l’emploi, le climat se dégrade aussi ce mois-ci en raison du rebond de l’épidémie de Covid-19, alors qu’il se redressait de manière continue depuis le mois de mai. Le climat de l’emploi se replie à 89, il perd trois points par rapport à septembre 2020. Il reste très en-deçà de son niveau d’avant-crise, soit au-dessus de 105. Les secteurs tertiaires (services et commerces de détail) souffrent du pessimisme sur les effectifs prévus, en particulier dans les services hors intérim. Les chefs d’entreprise du secteur des services sont « bien plus pessimistes que le mois précédent sur leurs propres perspectives » d’ici à la fin de l’année, précise l’Insee. Bercy a d’ailleurs bien conscience que les prochains mois s’annoncent difficiles. Après le rebond enregistré entre juillet et septembre, les experts du ministère de l’Économie anticipent désormais une contraction de la croissance au quatrième

Moral des patrons : rechute en octobre

Moral des patrons : rechute en octobre

Le moral des patrons qui s’amélioraient depuis mai rechutent durement en octobre d’après l’INSEE. L’indicateur synthétique de l’Insee recule de deux points, soit 90, et il retrouve son niveau d’août. L’Institut note qu’il est bien inférieur à sa moyenne de long terme, soit 100. « Les perspectives d’activité s’assombrissent par rapport au mois dernier », écrit l’Insee, qui a interrogé des chefs d’entreprise entre le 28 septembre et le 19 octobre. En d’autres termes, le moral des patrons n’est pas bon.

 

Le secteur des services est particulièrement marqué par ce recul, l’hébergement-restauration en premier lieu, très affecté par les récentes mesures sanitaires. En effet, le couvre-feu a été instauré le 17 octobre, ce qui plombe l’activité économique.

 

Concernant l’emploi, le climat se dégrade aussi ce mois-ci en raison du rebond de l’épidémie de Covid-19, alors qu’il se redressait de manière continue depuis le mois de mai. Le climat de l’emploi se replie à 89, il perd trois points par rapport à septembre 2020. Il reste très en-deçà de son niveau d’avant-crise, soit au-dessus de 105. Les secteurs tertiaires (services et commerces de détail) souffrent du pessimisme sur les effectifs prévus, en particulier dans les services hors intérim. Les chefs d’entreprise du secteur des services sont « bien plus pessimistes que le mois précédent sur leurs propres perspectives » d’ici à la fin de l’année, précise l’Insee.

Bercy a d’ailleurs bien conscience que les prochains mois s’annoncent difficiles. Après le rebond enregistré entre juillet et septembre, les experts du ministère de l’Économie anticipent désormais une contraction de la croissance au quatrième

Croissance– Moral des patrons : tassement en Europe

Croissance– Moral des patrons : tassement en Europe

Globalement le moral des patrons en Europe ne s’est pas amélioré. Le moral des directeurs d’achat dans le secteur français des services a chuté en septembre à son plus bas depuis le mois de mai, selon l’indice PMI publié mercredi par l’institut IHS Markit. Cet indice a ainsi reculé à 47,5 en septembre après 51,5 en août. Le fait qu’il soit passé sous la barre des 50 signifie que le secteur est passé du territoire de la croissance à celui de la contraction en septembre, selon l’avis des professionnels.

Le secteur manufacturier français se porte mieux : son indice a progressé à 50,9 contre 49,8 le mois précédent, dépassant les attentes et repassant en territoire de croissance. « L’augmentation du nombre de cas de contamination a été accompagnée par de nouvelles mesures de restriction mais a aussi entraîné des hésitations au sein des entreprises, qui craignent de nouvelles fermetures temporaires », a commenté auprès de Reuters Eliot Kerr, économiste d’IHS Markit.

En zone euro aussi, l’activité a calé en septembre. L’indice PMI composite, qui reflète à la fois l’activité manufacturière et celle des services, est tombé à 50,1, après 51,7 le mois dernier, alors que les économistes l’attendaient à 51,9. Mais la France a subi la plus faible performance.

Moral des patrons : tassement en Europe

Moral des patrons : tassement en Europe

Globalement le moral des patrons en Europe ne s’est pas amélioré. Le moral des directeurs d’achat dans le secteur français des services a chuté en septembre à son plus bas depuis le mois de mai, selon l’indice PMI publié mercredi par l’institut IHS Markit. Cet indice a ainsi reculé à 47,5 en septembre après 51,5 en août. Le fait qu’il soit passé sous la barre des 50 signifie que le secteur est passé du territoire de la croissance à celui de la contraction en septembre, selon l’avis des professionnels.

Le secteur manufacturier français se porte mieux : son indice a progressé à 50,9 contre 49,8 le mois précédent, dépassant les attentes et repassant en territoire de croissance. « L’augmentation du nombre de cas de contamination a été accompagnée par de nouvelles mesures de restriction mais a aussi entraîné des hésitations au sein des entreprises, qui craignent de nouvelles fermetures temporaires », a commenté auprès de Reuters Eliot Kerr, économiste d’IHS Markit.

En zone euro aussi, l’activité a calé en septembre. L’indice PMI composite, qui reflète à la fois l’activité manufacturière et celle des services, est tombé à 50,1, après 51,7 le mois dernier, alors que les économistes l’attendaient à 51,9. Mais la France a subi la plus faible performance.

Croissance services : moral bas des patrons

Croissance services : moral bas des patrons

Globalement le moral des patrons en Europe ne s’est pas amélioré. Le moral des directeurs d’achat dans le secteur français des services a chuté en septembre à son plus bas depuis le mois de mai, selon l’indice PMI publié mercredi par l’institut IHS Markit. Cet indice a ainsi reculé à 47,5 en septembre après 51,5 en août. Le fait qu’il soit passé sous la barre des 50 signifie que le secteur est passé du territoire de la croissance à celui de la contraction en septembre, selon l’avis des professionnels.

Le secteur manufacturier français se porte mieux : son indice a progressé à 50,9 contre 49,8 le mois précédent, dépassant les attentes et repassant en territoire de croissance. « L’augmentation du nombre de cas de contamination a été accompagnée par de nouvelles mesures de restriction mais a aussi entraîné des hésitations au sein des entreprises, qui craignent de nouvelles fermetures temporaires », a commenté auprès de Reuters Eliot Kerr, économiste d’IHS Markit.

En zone euro aussi, l’activité a calé en septembre. L’indice PMI composite, qui reflète à la fois l’activité manufacturière et celle des services, est tombé à 50,1, après 51,7 le mois dernier, alors que les économistes l’attendaient à 51,9. Mais la France a subi la plus faible performance.

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