Archive pour le Tag 'patrons'

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Moral des patrons français : plus haut qu’ailleurs

 

Moral des patrons français : plus haut qu’ailleurs 

 

Les  dirigeants français sont optimistes. C’est ce qui ressort de l’étude CEO Survey 2022 r- Ey Parthenon  rapportée par le Figaro qui a interrogé 2140 chefs d’entreprise dont 100 en France à la tête d’entreprises dont 80 % ont un chiffre d’affaires supérieur à 500 millions de dollars

Contrairement aux habitudes, le moral des patrons français serait plus haut que celui des patrons étrangers en général. Ainsi, 67% des chefs d’entreprise français disent vouloir accélérer leurs investissements à l’étranger contre 45% des dirigeants mondiaux interrogés dans cette étude. Loin d’être effrayés par les risques géopolitiques et les attitudes protectionnistes de certains États, les patrons de l’hexagone jugent impératif de soutenir le développement de leurs filiales internationales. Ils sont d’ailleurs plus nombreux (70% contre 47% pour les dirigeants mondiaux) à déclarer trouver un soutien de la part de leurs investisseurs.

Un fait d’autant plus surprenant que, selon les précédentes études menées par Ey Parthenon, les Français sont «traditionnellement et notamment avant pandémie, moins optimistes que les dirigeants du reste du monde», indique, Bruno Bousquié responsable du cabinet de conseil en stratégie Ey Parthenon. Selon lui, cet état d’esprit s’explique notamment par le soutien mis en place par l’État depuis le début de la pandémie. Le «quoi qu’il en coûte» brandit par le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, «a bénéficié aux entreprises et rassuré les actionnaires et investisseurs», explique-t-il. Mais pas seulement. La pandémie et les difficultés économiques associées ont démontré la capacité des entreprises françaises à faire évoluer leur stratégie de développement pour répondre à cette situation de crise. Pour preuve, si pour un tiers des dirigeants le Covid-19 a provoqué une «disruption» dans leur industrie, chez les Français, elle est vue davantage comme un élément positif que négatif. C’est l’inverse pour les dirigeants internationaux.Si les dirigeants français ont le regard tourné vers l’après-pandémie, les enjeux environnementaux font désormais partie de leurs objectifs.

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Moral des patrons allemands: En hausse

Moral des patrons allemands: En hausse

Curieusement c’est au moment où le gouvernement allemand baisse un peu ses prévisions de croissance que le moral des patrons s’améliore. Le moral des investisseurs allemands s’est amélioré en janvier, à 51,7 points, les marchés montrant un regain d’optimisme pour l’année à venir malgré les difficultés économiques actuelles liées aux pénuries et à la crise sanitaire, selon le baromètre ZEW publié mardi dernier. Cet indicateur, particulièrement instable, qui mesure les attentes des marchés financiers sur l’évolution de la conjoncture, a gagné 21,8 points par rapport au mois de décembre, qui était en baisse, selon un communiqué de l’institut ZEW. Il a dépassé les attentes des analystes de Factset, qui tablaient sur une modeste hausse de 0,6 point, à 30,5 points. Dans la zone euro, l’indicateur a pris 22,6 points à 49,4 points.

Remontée du moral des patrons et des consommateurs

Remontée du moral des patrons et des consommateurs

 

 

D’après un sondage Viavoice-HEC-Le Figaro et BFM Business, les prévisions sur le niveau de vie en France s’améliorent de manière assez nette. Du côté des décideurs, ils sont 34% à estimer que le niveau de vie va s’améliorer d’ici un an, soit une augmentation de 20 points par rapport à septembre 2020 (+3 depuis mai 2021). Le grand public est moins optimiste mais croit aussi à l’embellie : 28% des Français prévoient une amélioration du niveau de vie d’ici un an, +15 points par rapport à septembre 2020 et +1 point par rapport au mois de mai. L’horizon semble bel et bien s’éclaircir alors que le pouvoir d’achat augmente.

Sur la question du chômage, l’optimisme des Français reprend aussi des couleurs. Ils sont 34% à estimer que le nombre de chômeurs diminuera dans les mois qui viennent contre seulement 7% il y a un an. Les décideurs sont, une fois encore, plus optimistes que le reste de leurs concitoyens puisque 37% d’entre eux prévoient une diminution prochaine du chômage. Si leur nombre diminue, les Français qui s’attendent au contraire à une hausse du nombre de chômeurs restent majoritaires : 42% des décideurs et 45% du grand public partagent cet avis. C’est toutefois la première fois depuis un an que le nombre de pessimistes passe en dessous de la barre des 50%.

Si les Français et les décideurs ont toujours peu confiance en l’avenir pour l’évolution de leur situation financière, les prévisions s’améliorent aussi légèrement sur ce front. 26% des décideurs estiment ainsi que leur situation financière va s’améliorer dans les mois à venir (+3 points depuis mai) et 20% du grand public partage cette vision (+3 points également depuis mai).

Toujours du côté de l’emploi, les décideurs améliorent également leurs prévisions de carrière. 29% d’entre eux entrevoient ainsi d’importantes opportunités professionnelles dans les mois qui viennent (+8 depuis mai 2021). Ce chiffre est de 27% chez le grand public (+9 depuis mai 2021). Ces évolutions favorables ne doivent cependant pas dissimuler que 66% des Français et 67% des décideurs n’attendent pas ou très peu d’évolutions.

Croissance économique –Moral des patrons : Tassement en août

Croissance–Moral des patrons : Tassement en août

 

Globalement, le moral des patrons se situe encore un bon niveau mais la dynamique commence à se tasser depuis l’été.

Dans le commerce de détail,  l’indicateur perd du terrain au mois d’août et perd  au total 5 points  passant de 114 à 109 alors qu’il avait atteint un pic en juin dernier.

Dans les services plus globalement, le climat des affaires perd 3 points pour passer de 111 à 108 points. Le moral des entrepreneurs demeure malgré tout à un haut niveau. La levée des barrières sanitaires et l’avancée de la vaccination ces dernières semaines ont permis à la plupart des entreprises dans le tertiaire de reprendre leur activité dans des conditions plus favorables.

Enfin dans l’industrie, le climat des affaires augmente légèrement (+1 point) pour passer de 109 à 110 points. Ce secteur, qui a été moins touché par la crise, doit faire face à des problème logistique et d’approvisionnement de certaines pièces.

« Cette baisse du climat des affaires était attendue » a expliqué l’économiste d’ING Charlotte de Montpellier en charge du suivi de la France interrogée par La Tribune.  »Le premier message à tirer de cet indicateur est que la reprise économique en France continue. Mais, plusieurs mois après le dernier confinement, la dynamique de la reprise économique commence à diminuer, notamment dans le secteur des services et dans celui du commerce de détail [...] Ce tassement peut d’abord s’expliquer par « un effet de base » important. Après avoir progressé très fortement pendant des mois, cette hausse ne peut pas se poursuivre à un tel rythme indéfiniment. La plupart des restrictions importantes sont désormais levées. Ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle, compte tenu de la hausse des mois précédents » ajoute-t-elle.

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Économie–Moral des patrons : Tassement en août

Économie–Moral des patrons : Tassement en août

 

Globalement, le moral des patrons se situe encore un bon niveau mais la dynamique commence à se tasser depuis l’été.

Dans le commerce de détail,  l’indicateur perd du terrain au mois d’août et perd  au total 5 points  passant de 114 à 109 alors qu’il avait atteint un pic en juin dernier.

Dans les services plus globalement, le climat des affaires perd 3 points pour passer de 111 à 108 points. Le moral des entrepreneurs demeure malgré tout à un haut niveau. La levée des barrières sanitaires et l’avancée de la vaccination ces dernières semaines ont permis à la plupart des entreprises dans le tertiaire de reprendre leur activité dans des conditions plus favorables.

Enfin dans l’industrie, le climat des affaires augmente légèrement (+1 point) pour passer de 109 à 110 points. Ce secteur, qui a été moins touché par la crise, doit faire face à des problème logistique et d’approvisionnement de certaines pièces.

« Cette baisse du climat des affaires était attendue » a expliqué l’économiste d’ING Charlotte de Montpellier en charge du suivi de la France interrogée par La Tribune.  »Le premier message à tirer de cet indicateur est que la reprise économique en France continue. Mais, plusieurs mois après le dernier confinement, la dynamique de la reprise économique commence à diminuer, notamment dans le secteur des services et dans celui du commerce de détail [...] Ce tassement peut d’abord s’expliquer par « un effet de base » important. Après avoir progressé très fortement pendant des mois, cette hausse ne peut pas se poursuivre à un tel rythme indéfiniment. La plupart des restrictions importantes sont désormais levées. Ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle, compte tenu de la hausse des mois précédents » ajoute-t-elle.

Moral des patrons : Tassement en août

Moral des patrons : Tassement en août

 

Dans le commerce de détail,  l’indicateur perd du terrain au mois d’août et perd  au total 5 points  passant de 114 à 109 alors qu’il avait atteint un pic en juin dernier.

Dans les services plus globalement, le climat des affaires perd 3 points pour passer de 111 à 108 points. Le moral des entrepreneurs demeure malgré tout à un haut niveau. La levée des barrières sanitaires et l’avancée de la vaccination ces dernières semaines ont permis à la plupart des entreprises dans le tertiaire de reprendre leur activité dans des conditions plus favorables.

Enfin dans l’industrie, le climat des affaires augmente légèrement (+1 point) pour passer de 109 à 110 points. Ce secteur, qui a été moins touché par la crise, doit faire face à des problème logistique et d’approvisionnement de certaines pièces.

« Cette baisse du climat des affaires était attendue » a expliqué l’économiste d’ING Charlotte de Montpellier en charge du suivi de la France interrogée par La Tribune.  »Le premier message à tirer de cet indicateur est que la reprise économique en France continue. Mais, plusieurs mois après le dernier confinement, la dynamique de la reprise économique commence à diminuer, notamment dans le secteur des services et dans celui du commerce de détail [...] Ce tassement peut d’abord s’expliquer par « un effet de base » important. Après avoir progressé très fortement pendant des mois, cette hausse ne peut pas se poursuivre à un tel rythme indéfiniment. La plupart des restrictions importantes sont désormais levées. Ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle, compte tenu de la hausse des mois précédents » ajoute-t-elle.

Sondage moral des patrons : en forte hausse

  • Sondage moral des patrons : en forte hausse
  • Selon l’enquête mensuelle de l’Insee sur le climat des affaires, les patrons n’avaient même jamais exprimé une aussi forte confiance en l’avenir depuis les mois précédents la grande crise financière de 2008.
  • Cet optimisme corrobore les prédictions de la Banque de France qui a relevé  à 5,75 % ses prévisions de croissance hexagonales pour 2021, tablant sur « un fort rebond aux troisième et quatrième trimestres, avec une croissance soutenue de la consommation des ménages ».
  • Pour mesurer le climat des affaires, l’Insee interroge un panel de chefs d’entreprise représentant les principaux secteurs d’activité marchands. À partir de leurs réponses, l’institut calcule un indicateur exprimé en points, dont la moyenne de long terme s’établit à 100. Or, en juin, cet indicateur s’est envolé à 113, un plus haut donc depuis quatorze ans, bien au-dessus de la moyenne, autour de 105.
  • Un sondage qui toutefois pourrait être fortement affecté par la montée de la quatrième vague sanitaire

Les plus-values des patrons du capital investissement seront imposés

 Les plus-values  des patrons du capital investissement seront imposés

Le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative française, a considéré que les gains de dirigeants d’entreprises détenues par des fonds, devaient être imposés comme du salaire.

Aux Etats-Unis, premier marché mondial du private equity , l’administration Biden s’intéresse aux gains des gérants du non coté qui bénéficient d’une taxation plus avantageuse que le traitement en salaire des employés de leurs participations. Aussi envisage-t-elle une taxation à 39,6 % contre 20 % actuellement, ce qui lui ramènerait 14 milliards de dollars d’ici à 2028, et enverrait un signal fort aux électeurs démocrates.

Cette tentation n’est pas nouvelle outre-Atlantique, mais suscite cette fois une intense contre-campagne de l’industrie qui craint qu’il passe à l’acte en sortie de pandémie.

Economie-Moral des patrons : en forte hausse

  • Economie-Moral des patrons : en forte hausse
  • Selon l’enquête mensuelle de l’Insee sur le climat des affaires, les patrons n’avaient même jamais exprimé une aussi forte confiance en l’avenir depuis les mois précédents la grande crise financière de 2008.
  • Cet optimisme corrobore les prédictions de la Banque de France qui a relevé  à 5,75 % ses prévisions de croissance hexagonales pour 2021, tablant sur « un fort rebond aux troisième et quatrième trimestres, avec une croissance soutenue de la consommation des ménages ».
  • Pour mesurer le climat des affaires, l’Insee interroge un panel de chefs d’entreprise représentant les principaux secteurs d’activité marchands. À partir de leurs réponses, l’institut calcule un indicateur exprimé en points, dont la moyenne de long terme s’établit à 100. Or, en juin, cet indicateur s’est envolé à 113, un plus haut donc depuis quatorze ans, bien au-dessus de la moyenne, autour de 105,

États-Unis : l’économie et les patrons s’envoient en l’air

États-Unis : l’économie et les patrons s’envoient en l’air

Le voyage dans l’espace du très médiatique Richard Branson, 70 ans, constitue évidemment une prouesse technique ( mais dont on avait vérifié déjà la fiabilité). D’autres patrons tout aussi connus comme Jeff bezos ou Emon Musk doivent suivre en utilisant leur propre technique de lancement. Au-delà de la dimension technique, c’est aussi l’occasion de montrer le dynamisme des États-Unis et l’optimisme économique du pays et de ses dirigeants.

Sur le plan strictement technique, la France voire même l’Europe n’a pas les moyens de développer une politique de l’espace aussi ambitieuse et surtout aussi démocratique. En effet, les voyages inauguraux réalisés par les patrons américains ont aussi pour objectif de banaliser les promenades dans l’espace tout en réalisant de substantiels profits. L’entreprise de Richard Branson envisage à terme de réaliser 400 vols par an.

Sur le plan économique cela traduit une sorte de totale confiance des États-Unis dans les perspectives d’avenir. De fait, les États-Unis seront sortis de la crise sanitaire bien avant l’Europe. Cela surtout grâce à un volontarisme planificateur qui étonne dans un pays traditionnellement aussi libéral. Le gouvernement n’a pas hésité à lancer dimanche plan de développement en s’affranchissant à nouveau de toute contrainte budgétaire. Les États-Unis auront  engager autour de 3000 milliards soutenir l’économie quand péniblement l’Europe n’aura engagé que 750 milliards. Résultat la croissance américaine risque d’être presque le double de celle de l’Europe pour l’année en cours. Au mieux l’Europe retrouvera le niveau économique de 2019 vers 2023 alors que les États-Unis ont déjà absorbé la crise sanitaire.

Il manque notamment à l’Europe un vaste plan de remise à niveau des infrastructures et de la recherche formation. Pire l’Europe  se met des boulets aux pieds avec par exemple des contraintes ingérables pour l’industrie automobile. Une contrainte qui va permettre aux techniques chinoises notamment des batteries d’envahir le marché.

Il y a aussi une différence de taille sur le plan sociologique entre les patrons français et américains. Les Américains ont rarement de patrons formatés par l’ENA. Eux sont de vrais entrepreneurs et non des pantouflards qui profitent de leur passage dans les ministères pour faire joujou avec l’argent des autres quand ils rejoignent le privé.

 

 

Régionales Occitanie, 400 patrons appellent à voter Delga (PS)

Régionales  Occitanie, 400 patrons  appellent à voter Delga (PS)

 

 

 

Fait rare à gauche pour être signalé 400 acteurs économiques régionaux qui se sont mobilisés en faveur de la socialiste Carole Delga, jeudi 24 juin. Il faut dire que cette dernière s’intéresse un peu sérieusement à l’économie aussi qu’elle a rompue avec les extrémistes de gauche des Insoumis de Mélenchon dont elle refuse le soutien.

 

  »Aujourd’hui, il ne s’agit pas de choisir un parti, une étiquette. Il s’agit de donner à la région les moyens de soutenir l’activité économique. Notre choix, c’est celui du progrès économique et humain. Nous qui faisons vivre l’économie réelle, dirigeants et salariés, faisons confiance à Carole Delga et à son équipe depuis de nombreuses années. Elle aime et connaît l’entreprise : elle nous l’a notamment prouvé par ses actions volontaristes et concrètes pendant la crise (…) Le 27 juin, nous ferons le choix de soutenir Carole Delga », écrivent les 400 signataires de ce texte d’un peu plus de deux pages.

« En 24 heures, plusieurs centaines d’acteurs économiques se sont engagés envers Carole Delga. C’est assez rare qu’ils se prononcent pour quelqu’un, habituellement le tissu économique s’exprime plutôt contre (…) L’extrême droite aux commandes, ce n’est pas bon pour l’économie, l’emploi, l’attractivité, bref cela revient à un repli sur soi », commente Nadia Pellefigue, colistière d’Occitanie en Commun dans ces élections régionales et vice-présidente de région sortante en charge du Développement Économique notamment.

Moral des patrons : en forte hausse

  • Moral des patrons : en forte hausse
  • Selon l’enquête mensuelle de l’Insee sur le climat des affaires, les patrons n’avaient même jamais exprimé une aussi forte confiance en l’avenir depuis les mois précédents la grande crise financière de 2008.
  • Cet optimisme corrobore les prédictions de la Banque de France qui a relevé la semaine dernière à 5,75 % ses prévisions de croissance hexagonales pour 2021, tablant sur « un fort rebond aux troisième et quatrième trimestres, avec une croissance soutenue de la consommation des ménages ».
  • Pour mesurer le climat des affaires, l’Insee interroge un panel de chefs d’entreprise représentant les principaux secteurs d’activité marchands. À partir de leurs réponses, l’institut calcule un indicateur exprimé en points, dont la moyenne de long terme s’établit à 100. Or, en juin, cet indicateur s’est envolé à 113, un plus haut donc depuis quatorze ans, bien au-dessus de la moyenne, autour de 105,

Justice ,sociale- Les, patrons ,modèles ,Jeff Bezos, et ,Elon ,Musk ,(et ,autres), ne, payent, pas, d’impôts

Justice sociale

Les patrons modèles Jeff Bezos et Elon Musk (et autres)  ne payent pas d’impôts

 

Les milliardaires les plus célèbres du monde comme Jeff Bezos et Elon Musk  ( et bien dautres)éussissent à ne pas payer d’impôts personnels aux États-Unis Le patron d’Amazon Jeff Bezos n’a payé aucun impôt fédéral en 2007 et 2011, et Elon Musk, à la tête de Tesla, y a échappé en 2018. Jeff Bezos et Elon Musk sont sur le podium des trois hommes les plus riches du monde. Ils ne sont pas les seuls biens d’autres milliardaires américains sont aussi concernés. Pas étonnant que ces exemptés fiscaux se montrent aussi généreux avec des fondations pour aider les pauvres ! Le pire c’est que cette exemption fiscale et légale fait en effet appel à l’ingénierie financière servie par des milliers d’experts et l’avocat. Le problème évidemment est entretenu par les liens sulfureux entre la finance et les organisations politiques au États-Unis. Ces milliardaires sont aussi ceux  qui arrosent les futurs candidats aux élections pour financer les campagnes électorales. Le retour d’ascenseur, c’est la bienveillance fiscale!

 

L’organisation ProPublica  qui dénonce cette situation affirme avoir mis la main sur des milliers de déclarations fiscales de riches Américains au fisc, l’IRS, sur plus de quinze ans. «Mises bout à bout, elles démolissent les fondations du mythe fiscal américain: que tout le monde paye sa juste part et que les plus riches payent la plus grande partie», écrivent les auteurs.

 

ProPublica a mis au point dans son enquête un «taux d’imposition véritable», à savoir le taux d’imposition payé par chaque milliardaire en comparaison avec la progression de sa richesse, le taux d’imposition officiel ne se mesurant pas de cette manière. Il en ressort un niveau dérisoire, à 0,10% par exemple pour Warren Buffett entre 2014 et 2018, sur fond d’explosion de sa richesse grâce à la hausse des cours boursiers.

Le département américain au Trésor a indiqué que la divulgation de ces documents privés était illégale, et qu’il enquêtait, avec d’autres autorités, sur ces fuites !

 

Les patrons modèles Jeff Bezos et Elon Musk (et autres) ne payent pas d’impôts

Les patrons modèles Jeff Bezos et Elon Musk (et autres)  ne payent pas d’impôts

 

Les milliardaires les plus célèbres du monde comme Jeff Bezos et Elon Musk  ( et bien dautres)éussissent à ne pas payer d’impôts personnels aux États-Unis Le patron d’Amazon Jeff Bezos n’a payé aucun impôt fédéral en 2007 et 2011, et Elon Musk, à la tête de Tesla, y a échappé en 2018. Jeff Bezos et Elon Musk sont sur le podium des trois hommes les plus riches du monde. Ils ne sont pas les seuls biens d’autres milliardaires américains sont aussi concernés. Pas étonnant que ces exemptés fiscaux se montrent aussi généreux avec des fondations pour aider les pauvres ! Le pire c’est que cette exemption fiscale et légale fait en effet appel à l’ingénierie financière servie par des milliers d’experts et l’avocat. Le problème évidemment est entretenu par les liens sulfureux entre la finance et les organisations politiques au États-Unis. Ces milliardaires sont aussi ceux  qui arrosent les futurs candidats aux élections pour financer les campagnes électorales. Le retour d’ascenseur, c’est la bienveillance fiscale!

 

L’organisation ProPublica  qui dénonce cette situation affirme avoir mis la main sur des milliers de déclarations fiscales de riches Américains au fisc, l’IRS, sur plus de quinze ans. «Mises bout à bout, elles démolissent les fondations du mythe fiscal américain: que tout le monde paye sa juste part et que les plus riches payent la plus grande partie», écrivent les auteurs.

 

ProPublica a mis au point dans son enquête un «taux d’imposition véritable», à savoir le taux d’imposition payé par chaque milliardaire en comparaison avec la progression de sa richesse, le taux d’imposition officiel ne se mesurant pas de cette manière. Il en ressort un niveau dérisoire, à 0,10% par exemple pour Warren Buffett entre 2014 et 2018, sur fond d’explosion de sa richesse grâce à la hausse des cours boursiers.

Le département américain au Trésor a indiqué que la divulgation de ces documents privés était illégale, et qu’il enquêtait, avec d’autres autorités, sur ces fuites !

 

Moral des patrons : en forte hausse

Moral des patrons : en forte hausse

Le climat des affaires en France a fortement progressé au mois de mai pour atteindre un niveau supérieur à celui d’avant la crise sanitaire, a rapporté mercredi l’Insee.

Ce rebond est porté par les bonnes perspectives du commerce de détail, grâce notamment à la réouverture des magasins « non essentiels » le 19 mai, et par celui « extrêmement vif » du secteur de l’hôtellerie-restauration, précise l’Institut national des statistiques.

Pour la première fois depuis février 2020, dernier mois avant le début de l’épidémie de Covid-19 en France, le climat des affaires, qui reflète l’évaluation de l’activité par les chefs d’entreprise, repasse au-dessus de sa moyenne de longue période, qui est de 100 points.

Il atteint même 108 points en mai, contre 105 avant la crise sanitaire, détaille l’Insee.

L’ensemble du secteur des services fait un bond de 92 à 107 points entre avril et mai, tandis que l’industrie continue sa progression à partir d’un niveau déjà plus élevé, passant de 104 à 107 points, grâce à « la hausse des soldes d’opinion sur les perspectives de production et les carnets de commandes ».

Le bâtiment est lui aussi orienté à la hausse sur les trois prochains mois avec des « carnets de commandes jugés bien remplis » et des « tensions importantes sur l’appareil productif ».

Enfin, le climat de l’emploi retrouve sa moyenne de longue période, alors qu’il était encore en retard de huit points (92) en avril.

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