Archive pour le Tag 'patron'

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Le patron de Radio France épinglé : drôle de gestionnaire

Le patron de Radio France épinglé : drôle de gestionnaire

 

Mathieu Gallet pourtant titulaire d’un DEA d’analyse économique ne brille pas pour ses qualités de gestion. Il faut dire qu’il doit  surtout sa nomination à son passage dans les cabinets ministériels.  La preuve, la rénovation de son bureau à 100 000 euros, la réfection de l’immeuble à 100  millions, enfin un contrat de 90 000 euros par an pour gérer son image. ça faiat cher la photo ! Il est vrai qu’on est habitué aux gaspillages à radio France dont le budget de 600 millions est  subventionné à hauteur de 90%, et les salaires représentent  90% de ce budget. Des salaires démentiels environ 5000 euros nets  en moyenne. Ne parlons pas de la productivité !  Mathieu Gallet, le PDG de Radio France. a été épinglé par Le Canard enchaîné la semaine dernière pour la coûteuse rénovation de son bureau personnel. L’hebdomadaire a creusé son enquête et, dans son édition de mercredi, révèle une nouvelle information gênante pour le patron : l’intéressé a engagé pour 90.000 euros par an et sans appel d’offre un expert pour gérer son image. Denis Pingaud, ancien d’Euro RSCG qui a fondé sa propre société de communication, Balises, est rémunéré « autour de 90.000 euros par an » pour conseiller Mathieu Gallet, écrit l’hebdomadaire satirique. Contactée par l’AFP, la direction de Radio France a assuré que ce contrat était légal : « Il n’a pas été nécessaire de passer un appel d’offres pour ce contrat, car il a été conclu en juin 2014 pour un an, après avis de la direction des affaires juridiques. » De plus, « il remplaçait deux contrats de conseil de la précédente présidence (Jean-Luc Hees, ndlr) d’un montant équivalent », a ajouté une porte-parole de Mathieu Gallet. « Au bout d’un an, ce contrat sera remis en concurrence », a-t-elle ajouté. Le PDG de Radio France s’était déjà attaché les services de ce spécialiste de la communication lorsqu’il dirigeait l’Institut national de l’audiovisuel (INA), rappelle Le Canard enchaîné. L’hebdomadaire affirmait aussi que les conditions dans lesquelles ce nouveau contrat avait été conclu n’étaient pas conformes à la loi car « depuis une ordonnance de 2005, les textes exigent pour ce type de marché une mise en concurrence dans les entreprises publiques ». Concernant le coût de la rénovation du bureau de Mathieu Gallet qui a fait polémique, Le Canard remet en question le montant de 70.000 euros imputé à la restauration des « boiseries et meubles anciens » en palissandre. Il affirme avoir retrouvé l’artisan qui a réalisé les travaux et qui assure les avoir facturés 35.494 euros.  »Comment la dépense bondit-elle alors de 35.494 à 70.000 euros? » s’interroge Le Canard. Selon les explications obtenues par l’hebdomadaire auprès de Radio France, « un peu moins de 20.000 euros » ont été facturés pour « démonter et remonter les boiseries qui avaient été mal montées, ce qui a été demandé à un autre menuisier ». Sur ce sujet, mardi soir la direction a « réaffirmé que ces travaux s’inscrivent dans une enveloppe de 2,9 millions d’euros prévue au budget 2014″ et que « le dépassement de facturation par rapport aux devis initiaux s’explique par la complexité de l’opération de restauration et l’intervention de plusieurs entreprises spécialisées ». Ben voyons ! 

Shell : 24 millions pour le patron en 2014

Shell : 24 millions pour le patron en 2014

1% de la population possèdent 50% de la richesse mondiale pendant ce temps là les pauvres n’ont jamais été aussi nombreux.  Exemple , le  patron de Shell, Ben van Beurden,  pour l’année 2014 a empoché la coquette somme de 24,2 millions d’euros, selon le rapport annuel de la société pétrolière publié ce jeudi 12 mars. Ce niveau de rémunération fait de lui le deuxième patron le mieux rémunéré du FTSE 100, l’indice des valeurs boursières de Londres. Beurden se place juste derrière Martin Sorrell (24,7 millions d’euros), le patron de WPP, une société de publicité. Mais loin devant le troisième, Bob Dudley (14 millions d’euros), à la tête de l’autre géant pétrolier British Petroleum (BP). La rémunération de ce dirigeant, numéro 1 de l’entreprise depuis janvier 2014 se décompose en plusieurs parties. Son salaire de base est fixé à 1,4 million d’euros. Un bonus de 3,3 millions d’euros et des actions d’un montant de 863.000 euros ont fait grimper les émoluments. Mais ce qui a fait exploser sa rémunération c’est une pension (pour sa retraite) de 10,7 millions d’euros versée pas Shell, ainsi que 7,9 millions d’euros de réajustement fiscal afin de couvrir une hausse d’impôt due à son départ du Royaume-Uni. Ces émoluments plus que confortables pourraient alimenter la controverse outre-Manche, prévient la presse anglaise. Dans les colonnes du Guardian, Deborah Hargreaves, à la tête de la High Pay Commission chargée de surveiller les rémunérations dans les grandes entreprises explique : « La rémunération de Ben van Beurden pourrait devenir un problème politique au moment des élections. Il y a beaucoup de débat ces temps-ci sur les hautes rémunérations et c’est une période difficile pour distribuer ce type de récompense. »

 

Retraite chapeau du patron de GDF-Suez : le gouvernement complice et faux cul

Retraite chapeau du patron de GDF-Suez : le gouvernement complice et faux cul

Exemple type de l’hypocrisie du gouvernement  qui approuve mais « regrette »  les 800 000 euros annuels de retraite   »complémentaire » pour le président de GDF. Le gouvernement approuve au motif que juridiquement c’est conforme au code AFEP-Medef (code de gouvernance des sociétés). Un détail toutefois la donne a changé, il y a la crise, les efforts qu’on demande aux Français et y compris en matière de retraite. Deux poids,  deux mesures pour cette l’oligarchie qui s’auto- accorde des privilèges exorbitants. Le pire c’est que GDF n’est pas en saturation financière brillante. Alors incompétence ? Sans doute mais auusi pillage de la richesse nationale pour une caste.  Interrogé lundi en marge d’un déplacement en Algérie, où il était venu inaugurer une nouvelle usine Renault, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron a confirmé que la retraite complémentaire du PDG de l’énergéticien était conforme au code Afep-Medef. Ce code, qui fait référence en matière de bonne gouvernance des sociétés cotées, prévoit que le montant de la retraite ne doit pas dépasser 45% de celui de sa rémunération de référence. Or en l’espèce, il atteint «seulement» 28 %. «Nous considérons donc qu’elle est acquise, même si le gouvernement désapprouve ce type de rémunération», a précisé le ministre de l’Économie. Révélée fin octobre par LeCanard enchaîné, le montant de la retraite chapeau de Gérard Mestrallet avait provoqué des remous, un an après le cas Philippe Varin qui avait conduit l’ancien président du directoire de PSA Peugeot Citroën à renoncer à près de 21 millions d’euros.  Emmanuel Macron a estimé que cette nouvelle affaire pouvait à juste titre choquer et que le gouvernement actuel, contrairement à son prédécesseur, n’aurait pas donné son aval à cette retraite. Mais malgré ses 34 % du capital du groupe, l’État ne peut pas revenir sur un élément de rémunération déjà acté par les actionnaires du gazier en 2009 et 2012, et désormais validé par le Haut comité de gouvernement d’entreprise saisi par GDF-Suez.  Le ministre de l’Économie a cependant prévenu qu’il n’en resterait pas là. Un comité d’experts doit prochainement être nommé pour réfléchir à l’élaboration d’un code de conduite plus sévère.

 

 

Retraite chapeau de 21 millions pour le patron de GDF

Retraite chapeau de 21 millions pour le patron de GDF

 

En dépit de pertes record GDF va récompenser son patron avec une retraire chapeau de 21 millions. Mestrallet se prépare une confortable retraite. Le PDG de GDF Suez, dont les préparatifs de succession s’accélèrent, devrait toucher au moins 21 millions d’euros, selon Le Canard Enchainé, ce mercredi 22 octobre.  Le dirigeant du groupe verra son mandat se terminer en mai 2016, lorsqu’il aura atteint la limite d’âge de 67 ans. Lorsqu’il quittera GDF, selon l’hebdomadaire satirique, Gérard Mestrallet bénéficiera du régime de retraite complémentaire de l’ex-Suez Environnement, dont il est issu. Ce complément s’élèverait à 831.641 euros par an, indique le journal. Ce montant peut paraître dérisoire au regard de ses émoluments actuels de 3 millions d’euros en 2013, reconnaît le palmipède. Mais ce système a obligé le groupe à provisionner plus de 100 millions d’euros au 31 décembre 2013 en prévision du versement des retraites chapeaux des 20 membres du comité exécutif.  Sur cette somme, au moins 21 millions serait uniquement dédiés à la pension de Gérard Mestrallet. C’est autant que la retraite chapeau de Philippe Varin lorsqu’il a quitté PSA, rappelle l’hebdomadaire. Après le tollé que cela avait provoqué, l’ex-patron de Peugeot-Citroën avait dû y renoncer. Certes, le patron du constructeur quittait un groupe en plein restructuration, qui venait de fermer l’usine d’Aulnay. Mais le Canard rappelle que, si GDF, détenu à 33% par l’Etat, se porte moins mal, le géant de l’eau et de l’énergie a quand même annoncé des pertes record en 2013 (9,7 milliards d’euros).  Le patron de GDF Suez aurait quoi qu’il en soit le temps de gérer une éventuelle polémique: son départ n’est pas censé intervenir avant 2016. Si sa succession fait la une de l’actualité, c’est en raison de la nomination d’Isabelle Kocher, actuellement directrice financière, en tant que numéro deux du groupe par le conseil d’administration mardi. Une promotion qui fait d’elle la remplaçante désignée de Mestrallet.  Elle remplace à ce poste Jean-François Cirelli, qui briguait lui aussi la tête du groupe, mais qui n’avait clairement pas les faveurs de Mestrallet. La rivalité entre eux est, selon des sources syndicales, héritée de la fusion de Gaz de France et de Suez Environnement, intervenue en 2008. Le premier, issu de GDF, aurait à l’époque ulcéré le second, patron de Suez, en faisant traîner la validation du mariage en longueur. Depuis, l’antipathie entre les deux hommes n’aurait fait que croître. 

 

Alstom : le patron pas d’accord avec l’entrée de l’Etat

Alstom : le patron pas d’accord avec l’entrée de l’Etat

Patrick Kron se lâche pour exprimer son désaccord, d’autant plus qu’il sera bientôt invité à quitter la tête de l’entreprise. Il a avoué avoir eu  parfois des relations tendues avec le ministre de l’Economie Arnaud Montebourg. « Je n’étais pas demandeur de l’entrée de l’Etat au capital », a concédé ce dernier ; En faiat patrick Kron était en faveur du rachat pur et simple par General Electric. Pour faire bonne figure il déclare : « Je crois que la solution trouvée rassure tout le monde: EDF, Areva, comme les autorités politiques », a ainsi assuré Patrick Kron, à propos de l’épineux dossier du nucléaire français. Le dirigeant s’est également voulu rassurant concernant l’emploi. « La logique est la même: nous nous appuierons sur le même dispositif industriel et financier tout en conservant les compétences des équipes françaises », a-t-il affirmé, précisant que le contrôle opérationnel, de son côté, serait assuré par General Electric. . Cerise sur le gâteau, selon lui, « il y aura demain plus de centres de décisions en France qu’il n’y en avait hier, car le centre de décision des turbines à vapeur sera basé à Belfort ».  Sur la partie transport, Patrick Kron a estimé que son entreprise n’était pas fragilisée par la nouvelle alliance franco-américaine. Et a détaillé la façon dont sera réinjecté le cash compris dans l’échange: « une partie du cash va être réinvesti dans les coentreprises, une partie remboursera de la dette, une autre sera injectée dans Alstom Transport, une quatrième sera reversée aux actionnaires », a-t-il déclaré.

Scandale BNP : un patron évincé

Scandale BNP : un patron évincé

 

Conséquence du scandale BNP, Georges Chodron de Courcel, 64 ans, directeur général délégué de BNP Paribas, prendra sa retraite le 30 septembre prochain, a annoncé jeudi la banque française. Ce départ intervient alors que le premier établissement bancaire de la zone euro pourrait prochainement se voir infliger une amende de quelque 10 milliards de dollars pour avoir financé des opérations en dollar avec des pays placés sous embargo américain, comme l’Iran et le Soudan. Une source proche du dossier avait indiqué la semaine dernière à Reuters que le régulateur bancaire de New York avait demandé le départ de Georges Chodron de Courcel dans le cadre d’un règlement de ce contentieux. BNP avait alors refusé de commenter cette information. Jeudi après-midi, une autre source a déclaré que les discussions entre la banque et les autorités américaines étaient en train de s’accélérer. « Les discussions ne sont pas terminées mais tout le monde souhaite que ça s’arrête. Les autorités américaines aimeraient qu’un règlement intervienne au plus tard avant le 4 juillet (date anniversaire de la déclaration d’indépendance des Etats-Unis, NDLR) », a-t-elle dit, avant de préciser que la direction de la banque était en contact avec les autorités américaines plusieurs fois par jour. Une porte-parole de BNP Paribas s’est refusé à tout commentaire. « Compte tenu de la situation, des têtes devaient tomber, c’est logique. C’est probablement (aussi) le signe qu’un accord est proche. Au-delà du montant d’une potentielle amende, le risque pour la banque porte sur sa réputation », a réagi Philippe de Vandière, analyste chez Altedia Investment, au sujet du départ du directeur général délégué. Dans son communiqué, BNP Paribas ne mentionne pas l’affaire en cours mais précise que Georges Chodron de Courcel sera, « à sa demande », déchargé le 30 juin de sa fonction de directeur général délégué pour se conformer à la nouvelle loi bancaire française qui limite le nombre de mandats d’administrateur de sociétés cotées des dirigeants d’entreprises de crédit.

Alstom : entreprise en difficulté fiancière mais pas le patron

Alstom : une entreprise financièrement mal gérée mais pas pour le patron

 

Dans une interview accordée au Monde d’aujourd’hui Patrick Kron avoue son incapacité à accomplir la mission de redressement qui lui a été confiée  mission arguant du fait que : « J’en suis convaincu, la voie d’une stratégie autonome, qui est celle que j’ai menée ces dix dernières années, est devenue risquée et dangereuse ». Sur le pan financier Alstom est en mauvaise santé mais ce n’est pas le cas pour son patron, ancien fonctionnaire qui n’a jamais risqué un ou de sa poche. .  Au printemps 2007, la plus-value potentielle accumulée par les patrons du CAC 40 dépassait le milliard d’euros ! Patrick Kron avait accumulé 14 millions de plus-values en 2008. Après avoir encaissé son pactole de 2009, il lui resterait toujours 10,5 millions d’euros potentiels à empocher avec les actions qu’il n’a pas encore vendues. Ces revenus s’ajoutent bien sûr à son salaire de dirigeant et à ses primes.   Patrick Kron alors qu’il licenciait s’est augmenté de 33% en 2006 portant son salaire annuel à plus de 2,2 millions d’euros augmentation moins médiatisée certes que les 4 millions d’euros de parachute doré que son prédécesseur Pierre Bilger s’était accordé en laissant, en 2003, une entreprise exsangue. Sous la pression, l’ancien Patron d’Alstom y avait finalement renoncé.   Si le Patrick Kron PDG d’Alstom gagne autant, c’est que ce polytechnicien se vante d’avoir soit disant accompli des «miracles».  En 2006, Alstom vient tout juste d’éviter la faillite grâce à un plan de sauvetage de l’Etat et à des milliers de suppressions d’emplois. L’Etat signe au groupe industriel un chèque d’un demi – milliard d’euros en rachat d’actions et en prêts. Quatre ans plus tard, grâce aux contribuables, Alstom est sauvé et ses performances boursières sont au top. Revers de la médaille à l’automne 2009, l’entreprise emploie moins de 15 000 personnes en France contre 27 000 cinq ans plus tôt ! Elle va continuer de réduire ses « coûts », en supprimant notamment 2000 emplois.  Le « miracle » de Patrick Kron, c’est d’avoir su multiplier chômeurs, subventions et contrats d’Etat autrement dit d’avoir réduit à la misère des milliers d’employés et d’avoir volé les contribuables français pour en faire profiter les actionnaires d’Alstom dont il fait partie.  Patrick Kron a grandi dans le cocon de la haute fonction publique dans les méandres du ministère de l’Industrie puis de Pechiney, alors nationalisé. Bref, il sait administrer – mal si on compte les pertes d’emplois -mais n’a rien créé. Ses revenus reflètent-ils ses soit disant incomparables compétences de gestionnaire alliant performances économiques, bonnes pratiques sociales et politiques environnementales ?  Lors de cette conférence Patrick Kron a refusé d’être plus précis quant aux pays concernés mais indiqué que ces mesures seraient appliquées « essentiellement en Europe ». Patrick Kron a souligné qu’Alstom venait d’annoncer une révision à la hausse de ses coûts de restructuration, dans une fourchette de 150 à 200 millions d’euros par an, contre 100 à 150 millions jusqu’à présent.  Patrick Kron était déjà en contact avec GE les négociations sur le démantèlement d’Alstom ont commencé depuis plusieurs mois. Alors quand Patrick Kron vient affirmer dans une interview au quotidien le Monde que :   « Je vous rappelle qu’il y a une dizaine d’années, l’entreprise était exsangue. Je me suis battu de toutes mes forces pour la sauver. C’était une question de vie ou de mort. Nous avons dû supprimer la moitié des emplois. Je ne voulais plus jamais que le groupe se retrouve dans ce type de situation….  Faut-il faire confiance à ce parvenu millionnaire qui s’est enrichi sur le dos des contribuables français et qui espère bien pouvoir continuer à le faire ?  Car depuis l’annonce faite que le conseil d’administration d’Alstom a accueilli positivement l’offre ferme de 12,35 milliards d’euros faite par GE pour sa branche énergie en Bourse, le titre a repris sa cotation en forte hausse. Pour son retour en Bourse mercredi matin, le titre Alstom a bondi de près de 10 % dans les premiers échanges.  Les actionnaires d’Alstom dont il fait partie – on est jamais mieux servi que par soi-même- peuvent le remercier et ne manqueront pas de le faire quand il s’agira de voter une augmentation de sa rémunération.

Alstom : Hollande reçoit le patron de GE

Alstom : Hollande reçoit le patron de GE

Le président Hollande recevra ce lundi à 09h30 Jeffrey Immelt, a annoncé l’Elysée à l’AFP dimanche. Au terme d’un conseil d’administration ce dimanche soir, le groupe industriel français a décidé de poursuivre pendant deux jours sa « réflexion stratégique » sur l’avenir de sa branche énergie. Dans un bref communiqué, Alstom précise qu’il « informera le marché d’ici mercredi 30 avril matin » du fruit de sa réflexion et que, « dans cette attente », la cotation du titre à la Bourse de Paris « reste suspendue ». Un peu plus tôt dans la soirée, François Hollande avait convié à une réunion sur l’avenir d’Alstom le Premier ministre, Manuel Valls, ainsi que les ministres de l’Economie Arnaud Montebourg et de l’Energie Ségolène Royal. L’exécutif entend défendre les intérêts stratégiques français et « les objectifs d’emplois, de localisation des activités et d’indépendance énergétique » dans le cadre d’un éventuel rachat de quelque 70% des activités d’Alstom. « Compte tenu des enjeux stratégiques pour l’industrie et l’économie française, le gouvernement n’acceptera pas qu’une décision soit prise, quelle qu’elle soit, dans la précipitation et sans l’instruction conjointe avec les intérêts de la nation des choix alternatifs », a ainsi prévenu le ministère de l’Economie. Le gouvernement est « prêt à examiner » les projets concurrents de GE et Siemens « avec le souci de préserver les intérêts de la base industrielle de la France et à y participer financièrement », et sera « extrêmement vigilant », quant au « maintien de l’excellence et de l’indépendance de la filière nucléaire française », a précisé Bercy. Montebourg a également reçu Martin Bouygues, PDG du groupe homonyme qui est l’actionnaire principal d’Alstom, avec environ 29%. Dans un courrier adressé à Immelt et mis en ligne par BFMTV ce dimanche, Montebourg a affirmé qu’une acquisition d’actifs dans l’énergie, et en particulier le nucléaire, par un investisseur étranger, requérait une autorisation préalable des autorités françaises, similaire à celles délivrée par le Comité des investissements étrangers aux Etats-Unis (CFIUS). Dans ce contexte, « créer un fait accompli en annonçant publiquement une transaction sans avoir mené des discussions préalables avec les autorités compétentes ne serait pas une sage manière de procéder », a-t-il dit. Le mastodonte américain GE, qui compte 305.000 salariés dans le monde et affiche 146 milliards de dollars de chiffre d’affaires, souhaite racheter les actifs d’Alstom dans l’énergie (équipements pour centrales thermiques, énergies renouvelables…). Ceux-ci représentent plus de 70% de l’activité d’Alstom et un chiffre d’affaires de 14 milliards d’euros

 

Veolia : encore un patron qui se goinfre…. au nom de l’austérité ?

Veolia : encore un patron qui se goinfre….  au nom de l’austérité ?

 

Veolia Eau, qui compte 15.000 salariés, avait confirmé à la fin de l’année un plan de suppression de 1.600 postes en France via un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).  Les élus du personnel, réunis en comité central d’entreprise (CCE), « ont décidé de quitter la séance pour protester contre la rémunération scandaleuse du mercenaire liquidateur Alain Franchi », affirme un communiqué commun des syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT et FO.  Le nouveau patron, nommé en juillet, s’est « en effet octroyé un million d’euros », indique le communiqué qui précise que le PDG de Veolia Environnement, Antoine Frérot, s’est augmenté « de plus de 13% », soit « 1,79 million d’euros ».  Hervé Deroubaix, délégué central CFDT a expliqué à l’AFP que pour les syndicats M. Franchi était un « mercenaire liquidateur » puisqu’il « n’est pas salarié chez Veolia et a été mandaté pour détruire des emplois ».   »Nous lui avons dit ce matin que son salaire correspondait à trente emplois. Il n’y avait pas discussion possible, lui essayait de nous convaincre qu’il fallait licencier des gens alors qu’il nous démontre que nous n’évoluons pas dans le même monde », a affirmé à l’AFP Franck Leroux, délégué central CGT, premier syndicat chez Veolia Eau.  Les discussions sur la réorganisation ont officiellement débuté mi-février. Syndicats et direction ont quatre mois pour tenter de parvenir à un accord sur le plan.   »Alain Franchi n’est pas un liquidateur, il a pour mission d’assurer un avenir pérenne à Veolia Eau en France, que Veolia Environnement n’a aucunement l’intention de céder », a réagi un porte-parole de l’entreprise qui précise que M. Franchi « est rémunéré par Veolia Eau 933.000 euros bruts par an ».  Ce salaire, a-t-il ajouté est « établi en accord avec les pratiques du marché pour des dirigeants d’entreprises de taille, revenus et enjeux comparables ».  Le porte-parole de Veolia a également indiqué à l’AFP que le nouveau patron de la branche Eau « est mandaté pour mener à bien, de façon structurante, solide et durable, le ré-engineering d’une entreprise de 15.000 salariés qui (..) nécessite de se transformer profondément compte tenu des évolutions fortes de son marché ».  Veolia est leader dans l’eau en France devant son grand rival Suez Environnement (ex-Lyonnaise des Eaux), avec un chiffre d’affaires annuel de 3,4 milliards d’euros, soit 11,5% du total du groupe.  Mais, depuis plusieurs années, l’activité Eau en France souffre de la perte de contrats importants au profit de régies publiques et voit ses marges se réduire, les communes négociant à la baisse le renouvellement de leur contrat.

 

Le gouvernement traque le patron de Numericable candidat pour SFR

Le gouvernement traque le patron de Numericable candidat pour SFR

le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg (opposé à la reprise de SFR par Numericable) puis sa ministre déléguée Fleur Pellerin, qui ont pour habitude de se féliciter des investissements étrangers en France, se sont mis à critiquer la résidence fiscale de Patrick Drahi, et lui ont même demandé de redevenir résident fiscal français.  Patrick Drahi avait acheté Mirs pour 650 millions de shekels (135 millions d’euros), puis l’a revendu à Hot, dont il détenait à l’époque 51,7%. Le prix de revente comprenait un chèque de 486 millions de shekels, plus des compléments de prix allant jusqu’à 450 millions de shekels en fonction des performances futures de Mirs, indiquent les comptes de Hot. Précisément, un complément de 225 millions de shekels devait être versé lorsque Mirs atteindrait 7% de parts de marché. Cet objectif ayant été atteint, cette somme a donc été versée, indiquent les comptes d’Altice. Le reste du complément de prix (56,25 millions de shekels par an) dépend de l’excédent brut d’exploitation de Mirs jusqu’en 2016.  Mais le gouvernement n’entend pas en rester là. Selon une source gouvernementale, Bercy a lancé une enquête sur sa situation fiscale, et notamment sa résidence fiscale exacte, étant donné l’importance que prend Patrick Drahi dans l’économie hexagonale (interrogés sur ce point, les porte-paroles de Pierre Moscovici et Bernard Cazeneuve se sont refusés à tout commentaire, arguant du secret fiscal).  Pour l’instant, Patrick Drahi a opposé une fin de non recevoir aux demandes de rapatriement fiscal des ministres. « Le gouvernement peut bien le demander, mais il n’existe aucune base légale pour forcer Patrick Drahi à revenir », souligne Hervé Israël, avocat associé chez Holman Fenwick Willan. « J’ai ma famille en Suisse. Je n’ai pas prévu de faire rentrer ma famille en France », a déclaré l’intéressé lundi 17 mars. « Sa famille habite Genève depuis 15 ans, ses enfants y sont scolarisés, il ne va pas les déraciner comme ça », ajoute un de ses proches dans le Monde.  Dans les Echos, le roi du câble explique s’être installé en Suisse pour des raisons professionnelles et non fiscales: « j’habite en Suisse depuis 1999, soit un tiers de ma vie. J’ai travaillé pour un câblo-opérateur américain, UPC. Mon patron m’a proposé d’ouvrir le siège européen à Genève. J’y suis resté, avec ma femme et mes quatre enfants ». Dans le Monde, un proche ajoute: « en 1999, il n’avait pas encore fait fortune, donc c’est absurde de dire qu’il souhaitait s’exiler fiscalement ».

 

Veolia : pas assez de licenciements, Dassault veut virer le patron

Veolia : pas assez de licenciements, Dassault veut virer le patron

 

Antoine Frérot, PDG de Veolia depuis fin 2010, paraît de nouveau fragilisé à deux mois de l’échéance de son mandat, la famille Dassault, deuxième actionnaire du groupe, étant selon la presse à l’offensive pour tenter d’imposer un successeur. Les Dassault, qui détiennent via leur holding familiale Groupe Industriel Marcel Dassault (GIMD) 6,3% du capital de Veolia, seraient parvenus à convaincre certains administrateurs de remplacer Antoine Frérot par David Azéma, actuel directeur général de l’Agence des participations de l’Etat (APE), écrit vendredi l’hebdomadaire Le Point sur son site internet. Selon une source proche du dossier, le groupe Dassault jugerait les résultats d’Antoine Frérot insuffisants depuis sa nomination en décembre 2010, estimant notamment que son plan de restructuration manque d’ambition. Le numéro un mondial du traitement de l’eau et des déchets, a mis en oeuvre ces deux dernières années un programme de désendettement et d’économies, qui passe notamment par la suppression de 1.500 postes dans la division eau en France. « Dassault voulait beaucoup plus de licenciements », glisse-t-on de même source. Contactés par Reuters, le groupe Dassault et l’Agence de participations de l’Etat n’ont pas réagi à ces informations. Veolia a réalisé 6,3 milliards d’euros de cessions d’actifs en 2012-2013 dans le cadre de son plan stratégique et a divisé sa dette par deux en quatre ans, la ramenant à un niveau de l’ordre de huit à neuf milliards fin 2013. Reste que le groupe est à la traîne du secteur en terme de performances boursières. Le titre perd toujours plus de 40% depuis décembre 2010, en dépit d’un rebond de 30% l’an dernier. La facture est encore plus lourde pour la famille Dassault, entrée en 2008 à environ 23 euros, soit près de deux fois le cours actuel.

Carlos Ghosn, patron le mieux payé du Japon

Carlos Ghosn, patron  le mieux payé du Japon

Au titre de PDG de Nissan, Carlos Ghosn a touché 988 millions de yens (7,7 millions d’euros au taux de change actuel) d’émoluments au cours de l’année d’avril 2012 à mars 2013, soit plus de cinq fois plus que son homologue de Toyota. Ce montant est pour ainsi dire identique (en yens) à celui empoché l’année précédente, mais entre temps le patron de Toyota, Akio Toyoda, n’a pas rattrapé son retard, juste réduit un peu l’écart. Salaire, primes et dividendes compris, l’héritier de la famille fondatrice Toyoda a perçu 184 millions de yens, contre 136 millions un an plus tôt. Carlos  Ghosn touchait alors sept fois plus que Akio Toyoda. Dans un univers concurrentiel tel que celui de la fabrication d’automobiles, « les entreprises doivent employer et conserver des dirigeants de haut niveau », avait déclaré l’an passé Carlos Ghosn, pour justifier sa rétribution conséquente. Un bon salaire, tel est selon lui le prix à payer pour avoir les meilleurs patrons. Les sommes qu’il touche chez Nissan sont encore bien inférieures à celles de nombre d’autres PDG de sociétés étrangères, arguent ses défenseurs. Les 988 millions de yens perçus chez Nissan font probablement de Carlos Ghosn le PDG le mieux payé du Japon.

Affaire Tapie : le patron d’Orange et ex-directeur de cabinet de Christine Lagarde en garde à vue

Affaire Tapie : le patron d’Orange et ex-directeur de cabinet de Christine Lagarde en garde à vue

 

 

 

Le patron d’Orange et ex-directeur de cabinet de Christine Lagarde au ministère de l’Économie est interrogé lundi dans le cadre de l’enquête sur l’arbitrage contesté ayant mis fin au contentieux entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais en 2008. Après la mise en examen de Pierre Estoup, l’un des trois juges arbitres de l’affaire Tapie, l’étau se resserre autour de Stéphane Richard. Le patron d’Orange et ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde à Bercy a été placé en garde à vue lundi matin dans le cadre de l’enquête sur l’arbitrage contesté ayant mis fin au contentieux entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais en 2008. Stéphane Richard, qui était en contact avec tous les protagonistes de l’affaire, doit apporter des réponses sur le rôle et la responsabilité du ministère de l’Économie – mais aussi de l’Élysée – dans la décision en 2007 de recourir à un arbitrage pour mettre fin au litige sur la vente d’Adidas.  Également mis en garde à vue lundi matin: Jean-François Rocchi, l’ex-président du Consortium de réalisation (CDR), la structure chargée de solder le passif du Crédit lyonnais.  Les juges d’instruction du pôle financier de Paris cherchent à savoir si l’arbitrage, qui a permis à Bernard Tapie d’obtenir 403 millions d’euros d’indemnités en juillet 2008, a été entaché d’irrégularités. Ils s’attachent pour cela à démonter la chaîne de prises de décision ayant conduit à recourir à un tribunal privé. Ils étudient notamment le mode de désignation des arbitres et la décision du gouvernement de ne pas contester cet arbitrage malgré des soupçons d’irrégularités. L’ex-directeur de cabinet de Christine Lagarde, l’actuelle patronne du FMI, a déjà affirmé à plusieurs reprises qu’il n’y avait eu «ni ordre, ni instruction, ni pression particulière» de l’Élysée pour aller à l’arbitrage. Stéphane Richard aurait toutefois soutenu le contraire au Canard enchaîné, évoquant une «instruction» transmise par Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Elysée, lors d’une réunion en 2007 avec Jean-François Rocchi et lui-même. Selon Bernard Scemama, l’ex-président de l’Établissement public de financement et de restructuration (EPFR), l’organisme chapeautant le Consortium de réalisation (CDR), Stéphane Richard a activement plaidé en faveur de l’arbitrage. Lequel rétorque n’avoir été qu’un «rouage du système», sans pouvoir de décision. Depuis 2008, l’ancienne ministre de l’Économie, Christine Lagarde, a de son côté toujours revendiqué la responsabilité de l’arbitrage et la décision de renoncer à en demander l’annulation. Elle a été placée récemment sous le statut de témoin assisté dans l’enquête conduite par la Cour de justice de la République. Orange a par ailleurs réaffirmé lundi son soutien à Stéphane Richard, le maintenant ainsi à la tête du groupe. «La question (de son maintien) ne se pose pas. Stéphane Richard est à la tête de ce groupe, et il a un directeur général délégué, Gervais Pellissier, qui par la loi a les mêmes pouvoirs que lui et peut faire fonctionner l’entreprise en son absence», a indiqué un porte-parole de l’opérateur. Avant d’ajouter: «La garde à vue est une mesure usuelle dans une affaire complexe comme celle-ci, et elle n’est pas prévue pour durer au-delà de 48 heures», laps de temps durant lequel Stéphane Richard doit apporter son «témoignage» sur cette affaire. L’État a pour sa part annoncé lundi son intention de se porter partie civile «dans les prochaines heures» afin de pouvoir accéder au dossier et s’assurer que les intérêts du contribuable n’ont pas été lésés

 

Affaire Tapie: Montebourg veut le départ du patron d’Orange s’il est mis en examen

Affaire Tapie: Montebourg veut le départ du patron d’Orange s’il est mis en examen

Montebourg souhaite la démission de Stéphane Richard s’il est mis en cause dans l’affaire Tapie-Lagarde. Le patron d’Orange juge cette requête « irresponsable ». Arnaud Montebourg est prêt à faire tomber une tête dans le cadre de l’affaire Tapie-Lagarde. Le ministre du Redressement productif a affirmé au Monde, ce jeudi 6 juin, que « si [le PDG d'Orange] Stéphane Richard est mis en examen, il lui sera difficile de rester » à son poste.
  »Jérôme Cahuzac a démissionné alors qu’il n’était pas mis en examen. Nous devons tous être exemplaires, ministres et patrons de grandes entreprises publiques », a-t-il poursuivi.  Le Monde cite également un proche de François Hollande, qui assure:  « il va falloir un fusible dans cette affaire. Pour raison d’Etat, personne ne veut inquiéter Christine Lagarde à la tête du FMI et en plus elle s’est bien défendue… »

Le patron de Dassault systèmes veut quitter la France

Le patron de Dassault systèmes veut quitter la France

Un grand exilé fiscal de plus pour la France ? Bernard Charlès, Le directeur général de Dassault Systèmes, spécialiste des logiciels pour l’industrie, réfléchit à quitter la France en raison d’une fiscalité trop lourde. C’est ce qu’il déclare dans un entretien au Monde daté du mardi 12 mars. Le quotidien rappelle à l’homme d’affaires que le conseil d’administration de Dassault Systèmes lui a proposé de quitter la France, puis lui demande où « en est sa réflexion ? ». « Elle avance, mais à ce jour, je n’ai pris aucune décision. J’étudie la question sous tous ses aspects ». Et d’ajouter: « pour être clair, cela ne concerne pas la taxation à 75% des revenus au-delà de 1 million d’euros, même si je pense qu’au-dessus d’un certain seuil, c’est confiscatoire ». Il a expliqué que sa décision de vendre ses actions Dassault Systèmes en décembre dernier pour 28 millions d’euros n’était pas un signe avant-coureur de son départ prochain. « J’ai réalisé cette opération pour payer des impôts liés au rachat d’autres titres qui venaient à échéance. Il m’a fallu d’ailleurs vendre plus de titres que ceux que j’ai acquis. Cela illustre bien le poids de la fiscalité, qui va aller encore en augmentant ».  Mais « ma réponse est claire: si je ne peux plus distribuer des ‘lopins de terre’, c’est-à-dire une part de capital de l’entreprise, je partirais », a-t-il menacé. Il a également a indiqué que des dirigeants de Dassault Systèmes sont déjà partis. « Je ne vous dirai pas combien ont quitté la France, pas plus que le nombre de dirigeants qui y songent ». Pour lui, « résider en France devient lourdement handicapant. Plus largement nos embauches du top management vont nécessairement se faire ailleurs qu’en France ».  De façon générale, « ma préoccupation concerne l’alourdissement de la fiscalité sur le capital, les stocks-options et les actions gratuites. Permettre aux cadres d’être actionnaires de leur société, c’est leur offrir une part de rêve », pour garder les meilleurs talents et éviter qu’ils rejoignent la concurrence, avance Bernard Charlès. Il s’en prend au gouvernement estimant que « ceux qui arrêtent ces mesures n’ont pas conscience des conséquences sur le secteur de la high-tech (…) Il faut savoir que, du côté de Munich, l’Allemagne favorise les start-up. Et que dire des Etats-Unis ou de la Corée ».

 

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