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Covid: Un nouveau traitement de l’institut Pasteur

Covid: Un nouveau traitement de l’institut Pasteur

 

L’Institut Pasteur de Lille a annoncé lundi 6 septembre avoir recruté son premier patient pour la deuxième phase de l’essai clinique d’un possible traitement contre le Covid-19, le clofoctol. Et dit rechercher « entre 350 et 700 patients » supplémentaires, afin d’évaluer l’efficacité de ce médicament dans la prise en charge précoce des malades du Covid-19 et la prévention des hospitalisations.

L’Institut Pasteur de Lille (qui n’a pas de lien avec celui basé à Paris) avait annoncé le lancement de cet essai mi-juin, quand il avait été autorisé par l’Agence nationale de sécurité du médicament.

Le clofoctol doit être administré aux patients sous forme de suppositoire, à raison de deux par jour pendant cinq jours. « Particulièrement efficace pour inhiber la réplication du virus » selon l’Institut, la molécule est déjà commercialisée en France et dans d’autres pays européens, dans une autre indication que celle du Covid-19.

Covid: un nouveau traitement de l’Institut Pasteur de Lille

  • Covid: un nouveau traitement de l’Institut Pasteur de Lille
  • Il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’un traitement nouveau actuellement en cours d’expérimentation par l’institut Pasteur de Lille. Cet institut lance la phase de test sur des patients d’un traitement par suppositoires contre le Covid-19, après avoir obtenu le feu vert de l’Agence nationale de sécurité du médicament, a-t-on appris lundi auprès de sa direction.

Cet essai clinique va être mené dans un premier temps sur «quelques centaines de patients», âgés de plus de 50 ans, non-vaccinés et présentant au moins un symptôme du Covid-19, a expliqué à l’AFP le Professeur Xavier Nassif, directeur général de l’Institut, confirmant une information du journal La Voix du Nord.

Pour cet «essai randomisé en double aveugle, placebo contre médicament», les patients, recrutés à partir de cette semaine par le biais de médecins généralistes et de laboratoires, d’abord exclusivement dans les Hauts-de-France, prendront un suppositoire matin et soir pendant cinq jours. Si les résultats démontrent un niveau de 50% de réduction du risque d’aggravation avec le traitement, une autorisation de mise sur le marché sera demandée.

 

 

Covid-19 : 50.000 cas à la mi-mars ? selon (Institut Pasteur de Lille)

Covid-19 :  50.000 cas à la mi-mars? selon (Institut Pasteur de Lille)

 

D’après l’institut Pasteur de Lille le nombre de cas déjà très inquiétants de ces derniers jours, autour de 25 000 cas quotidiennement ,pourrait doubler courant mars

A la lecture de leurs nouvelles projections, que le JDD publie en exclusivité, la conclusion de Philippe Amouyel et Luc Dauchet, professeur et maître de conférences en santé publique au CHU de Lille (Nord), laisse craindre le pire : « La courbe s’est décalée dans le temps mais on retrouve toujours la même. Ça remonte. » Comprendre : on a gagné un peu de temps sur le virus, mais pas assez pour éviter une nouvelle vague.  »Au 15 février, on pouvait penser que ça passerait et on n’a d’ailleurs pas bien compris pourquoi ça a baissé, reconnaît Philippe Amouyel, dont la précédente projection, publiée dans le JDD le 7 février, prévoyait une augmentation des cas il y a deux semaines, ce qui ne s’est pas produit. Mais il n’y a finalement pas tant de différence entre ce qui s’est passé et ce qu’on avait projeté. Il y a eu le même effet au mois de septembre avant la deuxième vague : une baisse puis une augmentation. »

 

Après la baisse relative de la mi-février, la courbe des contaminations a repris son ascension avec une augmentation de 8%, la semaine du 15 au 21 février, par rapport à la semaine d’avant, d’après les données de Santé publique France. Et ces derniers jours, les infections ont même atteint un pic à plus de 30.000 cas, une première depuis novembre.

 

Et d’après les projections de Philippe Amouyel et de Luc Dauchet, si la courbe poursuit sa course, au 20 mars, la France pourrait enregistrer plus de 50.000 nouveaux cas de Covid-19. En cause entre autres, l’augmentation des variants, notamment du britannique, déjà majoritaire dans près d’un tiers des départements. A cette même date, les variants auront d’ailleurs quasiment remplacé la souche originelle.

« Même à 20.000 contaminations par jour, c’était beaucoup en chiffre absolu sachant que mi-décembre l’objectif était de retomber à 5.000 cas, rappelle Philippe Amouyel. Ça permet au virus de se multiplier et donne plus de chances de générer des variants. »

« Plus on agit tôt, mieux c’est »

Dès lors, le pari d’éviter un reconfinement est-il raté? « On a gagné du temps sur le moment où on n’aura pas d’autre choix que le confinement, pense Luc Dauchet. Mais plus on agit tôt, mieux c’est. » « A Dunkerque, le maire a lancé une alarme début février en demandant des mesures un peu plus restrictives, complète le Pr Amouyel. A ce moment-là, ça avait encore une chance de fonctionner. Mais là, ce n’est plus possible. »

Le spécialiste nuance toutefois : « Le pari aurait pu payer, mais il aurait fallu des mesures supplémentaires. Car c’est intéressant de retarder le confinement si on arrive à faire la jonction avec la vaccination. En Bretagne, par exemple, ça pourrait marcher. » Aussi, selon eux, il ne faut pas baisser la garde dans les Régions où le taux d’incidence est inférieur, comme l’ont demandé certains élus locaux, bretons notamment. D’autant que, d’après les modélisations de l’Institut Pasteur publiées mercredi, sans de nouvelles restrictions, le rythme de la vaccination ne sera pas suffisant pour éviter un niveau d’hospitalisations supérieur au pic de la première vague.

Covid et institut Pasteur

Covid et institut Pasteur

Directeur du laboratoire d’innovation vaccinale à l’Institut Pasteur, le professeur Frédéric Tangy revient dans un livre, L’Homme façonné par les virus (*), sur le coup d’arrêt porté à son vaccin contre la Covid-19 et sur une année de recherche hors normes.

L’Institut Pasteur et l’américain Merck ont annoncé le 25 janvier l’arrêt de votre projet de vaccin inspiré de celui contre la rougeole… Dans quel état d’esprit êtes-vous ?

On m’avait prévenu 48 heures avant. Je n’ai pas dormi pendant trois jours. J’ai ressenti l’annonce comme une catastrophe pour l’Institut Pasteur, pour mon laboratoire et pour moi, qui suis l’inventeur de cette stratégie vaccinale. Puis, j’ai fait comme tout chercheur : j’ai accepté l’échec et j’ai rebondi en me remettant à l’ouvrage.

Dans votre livre, vous revenez sur les étapes de la fabrication de votre vaccin. Vous expliquez que les premiers résultats de vos candidats, avant que l’un d’entre eux entre en essai clinique au mois d’août, « induisent de très bonnes réponses immunitaires ». Que s’est-il passé ?

Nos candidats apportaient une très bonne protection chez l’animal, mais entre la souris et l’homme, il y a un monde. Nous avons fourni plusieurs candidats à la biotech autrichienne Thémis (racheté depuis par Merck MSD) fin mai après trois mois de recherche. L’essai clinique était en double aveugle, c’est-à-dire que, ni le promoteur (l’Institut Pasteur), ni l’investigateur (Odile Launay) ne pouvaient connaître les résultats avant la fin de l’essai, programmé pour octobre 2021. Je n’ai donc vu aucun des résultats. Merck avait la main sur les essais cliniques. D’après ce que je sais, les réponses anticorps induites par ce vaccin étaient plus faibles que celles induites chez des patients convalescents ou celles induites par des vaccins ARN messager. La décision de Merck et de l’Institut Pasteur a été d’abandonner le développement. Côté recherche, tout était bouclé en mai. Ont suivi huit mois d’essai clinique de phase I, ce qui me paraît très long quand on compare à la vitesse à laquelle Pfizer ou Moderna ont fini leur phase III, à l’été, avec publication de leurs résultats en septembre. Nous étions à ce moment-là toujours en phase I. Je ne sais pas pourquoi cela a été aussi long.

« Nous avons élaboré plusieurs formules vaccinales avec différents degrés d’efficacité, et l’industriel a choisi de tester le candidat le plus abouti. Peut-être y a-t-il eu excès de rapidité »

Retour un an en arrière. Vous avez pris connaissance de l’existence du virus le 15 janvier, en lisant un article de Libération. A ce moment-là, quel est votre sentiment ?

On a tout de suite compris qu’on avait affaire à une nouvelle pandémie. On connaissait déjà les coronavirus : on avait travaillé sur le Sars 1 et sur d’autres maladies émergentes, le Zika, la fièvre de Lassa, le chikungunya. Pour ce dernier, on avait élaboré un vaccin arrivé en phase III d’essais cliniques. Pour le Sars 1, notre vaccin n’a jamais été développé puisque l’épidémie s’est éteinte d’elle-même. Nous avions donc une bonne expérience et une grande confiance en notre stratégie. On s’est remis au travail. C’est le rôle de l’Institut Pasteur. On a travaillé comme des fous, jours et nuits, week-end inclus. Je sentais la pression de l’industriel, la pression de la course mondiale. Nous avons élaboré plusieurs formules vaccinales avec différents degrés d’efficacité, et l’industriel a choisi de tester le candidat le plus abouti. Peut-être y a-t-il eu excès de rapidité. Si Thémis nous avait laissés un mois de plus, nous aurions favorisé un autre candidat, qui n’était pas tout à fait stabilisé en mai, mais auquel je faisais davantage confiance.

Avec le recul, que sait-on de l’émergence de ce virus ?

L’immense majorité de la communauté scientifique est formelle : c’est une zoonose, un virus qui est sorti de l’animal. Il n’existe aucune preuve que le virus soit issu d’un incident de laboratoire. Certes, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) mène une investigation. Elle ne trouvera rien de concluant plus d’un an après. S’il y a eu une fuite, une contamination accidentelle du laboratoire P4 de Wuhan, on n’en saura jamais rien. La Chine ne le permettra pas. Il n’y a rien de plus à dire sur l’origine du virus. Il est là, il ne partira plus, et il évolue.

Mais des équipes scientifiques ont déjà reconstitué ex nihilo des virus disparus. C’est le cas du virus de la grippe espagnole, reconstitué dans un labo américain en 2005…

On peut effectivement, par synthèse, reconstituer le génome d’un virus, quel qu’il soit. Mais il n’y a aucune raison d’inquiéter la population, on ne fabrique pas des virus sans avoir à rendre des comptes, notamment en France. La loi sur les micro-organismes toxiques (MOT) cadre la recherche. Les armoires et congélateurs où sont stockés ces MOT sont surveillés en permanence. Mais cette réglementation n’existe qu’en France.

Au printemps 2020, l’Institut Pasteur est accusé d’avoir contribué à l’élaboration du virus. Comment avez-vous réagi ?

Toute l’équipe a été secouée par cette fake news. On me comparaît à un assassin, une technicienne de mon laboratoire a reçu des menaces chez elle. L’Institut Pasteur a déposé plainte pour la première fois de son histoire. Un premier procès a été gagné et deux autres plaintes sont en cours avec constitution de parties civiles.

« L’industrie pharmaceutique française a été puissante, en particulier dans le domaine des vaccins. Puis les années 1990 ont vu des grandes fusions industrielles dans ce secteur, et nous n’avons pas suffisamment pris le tournant des biotechs »

En 1802, un caricaturiste anglais a griffé les Londoniens apeurés à l’idée de se transformer en vache après avoir été vaccinés contre la variole par un traitement dérivé de la vaccine, une maladie infectieuse des bovins. Pourquoi 200 ans après, se méfie-t-on toujours autant des vaccins ?

Les gens ont peur des vaccins, car ils n’ont plus peur des maladies qui, grâce aux avancées pasteuriennes entre autres, ont quasiment disparu : tuberculose, rougeole, polio, oreillons, coqueluche, etc. Et puis, en France, il y a un terreau, une histoire qui est défavorable. Le procès du sang contaminé par le sida et celui de l’hormone de croissance ont contribué à l’image négative et à la perte de confiance dans les industriels et les services de santé publique. Rappelez-vous également la polémique sur le vaccin contre l’hépatite B. A la fin des années 1980, une association a été faite entre le vaccin et l’apparition de la sclérose en plaques. Or, il n’y avait aucun lien. Mais cette histoire est restée dans l’esprit des gens.

Quel regard portez-vous sur la compétition mondiale liée aux vaccins ?

Le premier round a été clairement remporté par les Anglo-saxons, le président Trump s’en est assuré en mettant beaucoup de milliards sur la table, Boris Johnson en faisant de même pour faire travailler ensemble Astrazeneca et l’Université d’Oxford. En France, une telle incitation n’a pas été faite. Pasteur a pris l’initiative de se rapprocher de Sanofi, mais le laboratoire avait déjà sa propre stratégie. Dans notre pays, on a du mal à faire travailler ensemble les industriels et les scientifiques, contrairement aux Anglo-saxons. L’industrie pharmaceutique française a été puissante, en particulier dans le domaine des vaccins. Puis les années 1990 ont vu des grandes fusions industrielles dans ce secteur, et nous n’avons pas suffisamment pris le tournant des biotechs. Stéphane Bancel, le patron de Moderna, est Français. Il a préféré exporter son savoir-faire. Valneva est allé chercher des financements outre-Manche. Une nouvelle séquence de géopolitique de la santé s’ouvre désormais avec la Chine et la Russie en embuscade. En Europe, seuls les Anglais tirent leur épingle du jeu mais, pas de chance, le Brexit est passé par là. La France est démunie. A Pasteur, nous poursuivons le combat contre la Covid.

Le mode de vie, la promiscuité, l’avènement des transports ont influé sur l’expansion des virus. Le Covid-19 est un « rappel à l’ordre », écrivez-vous. Doit-on changer notre façon de vivre ?

Il faut à tout prix ralentir l’économie débridée, les échanges colossaux entre continents, stopper les milliers de conteneurs qui déversent dans les ports des milliers de microbes et de moustiques. La dengue est arrivée en Afrique de l’Est par conteneurs en provenance d’Asie et d’Arabie saoudite ! Quatre milliards de personnes prennent l’avion tous les ans. Pourquoi avons-nous besoin d’aller passer nos vacances en Afrique centrale ou en Amazonie ? C’est un combat écologique et biologique qu’il nous reste à mener. Il faut respecter les microbes et comprendre que nous, humains, sommes des intrus.

(*) L’Homme façonné par les virus, Frédéric Tangy et Jean-Nicolas Tournier, éd. Odile Jacob, 21,90 euros.Corvidés instituts Pasteur

Une projection de 3.000 patients en réanimation à la fin novembre (institut Pasteur)

Une projection de 3.000 patients en réanimation à la fin novembre (institut Pasteur)

Selon un document de l’institut Pasteur consulté par « Les Echos », le nombre de patients Covid en « hospitalisation réanimatoire » en métropole passerait sous la barre de 3.000 dès le 30 novembre, c’est-à-dire à la veille d’un probable assouplissement du confinement - Emmanuel Macron doit s’exprimer à ce sujet ce mardi à 20 heures.

Lundi, il y avait encore 4.438 malades du Covid en réanimation, le pic ayant été atteint le 16 novembre avec 4.903 lits occupés par ces patients. L’Institut Pasteur dessine une courbe en pente relativement douce, avec moins de 1.500 personnes en réanimation dans les hôpitaux dès le 14 décembre.

En fin de compte, les seuils prévus n’ont pas été franchis : ni les 9.000 lits de réanimation pour le Covid, qui correspondaient à une hypothèse sans confinement ni couvre-feu antérieur, ni les 6.000 lits, fondés sur l’hypothèse d’un confinement respecté mais moins efficace qu’au printemps . Prévoir une moindre efficacité était rationnel, puisqu’en novembre les écoles sont restées ouvertes et que de nombreux actifs ont continué à se rendre au travail. Néanmoins, on peut supposer que le port généralisé du masque, les gestes barrières et l’éducation sanitaire des Français ont fait la différence. Ainsi qu’un début d’effet d’immunité collective dans certaines régions.

Selon l’Institut Pasteur, et c’est une autre information majeure de ce document, près de 11 % des Français ont désormais été infectés par le Covid, avec des taux records en Ile-de-France (20,7 %), dans le Grand Est (14,6 %) et en Auvergne-Rhône-Alpes (13,6 %). Un petit pas vers l’immunité collective, donc, en attendant les vaccins.

Coronavirus : un traitement trouvé par l’institut Pasteur

Coronavirus : un traitement trouvé par l’institut Pasteur

l’institut Pasteur affirme avoir trouvé une molécule aujourd’hui utilisée dans un médicament existant qui peut aussi traiter le Coronavirus de manière efficace et ceci dès l’apparition des symptômes. Des essais seront effectués sur un large échantillon pour vérifier l’efficacité de cette molécule et sa mise sur le marché pourrait intervenir au début de l’année 2021.

 

Plusieurs molécules avaient déjà été annoncées comme « miraculeuses ». Quelle est la différence avec cette molécule, découverte par l’Institut Pasteur de Lille ? Damien Mascret, docteur et journaliste, assure sur le plateau du 20 Heures que « c’est un médicament ‘repositionné’« . « Cela veut dire que c’est un médicament que l’on connaît bien. Quand on connaît bien un médicament ça veut dire qu’on connaît bien sa tolérance, ses effets indésirables et surtout, on ira très vite vers la commercialisation si les essais sont couronnés de succès« , explique-t-il.

Vaccin en 2020 ? Peu vraisemblable ( Institut Pasteur)

Vaccin en 2020  ? Peu vraisemblable ( Institut Pasteur)

Le Dr Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, a fait le point, lundi 20 juillet sur franceinfo, sur l’avancée annoncée de deux projets de vaccins« Il s’agit de deux essais dits de phase 2, c’est à dire évaluant la sécurité et la réponse immunitaire de deux vaccins qui sont assez comparables dans leur construction, il s’agit de deux vaccins viraux. »

 

« Ces deux essais montrent que d’une part, les deux vaccins sont bien tolérés. Il n’y a aucun effet indésirable grave et que d’autre part, il y a une réponse immunitaire. Ça ne veut pas dire pour le moment que ces vaccins vont être protecteurs. On attend pour cela la réalisation des essais de phase 3 qui permettront de répondre à cette question », a précisé l’épidémiologiste.

« On a quelques arguments pour penser qu’il y a de bonnes chances que ce soit protecteur parce que les anticorps qui sont qui sont identifiés chez les sujets vaccinés sont des anticorps qui, pour beaucoup d’entre eux, ont des capacités de neutralisation du virus. Ce qui laisse un bon espoir. » Les essais vont commencer de manière immédiate, « dans des zones où le virus circule« , a indiqué le spécialiste.

« Le modèle prévu pour le développement mis à disposition de ces vaccins, une fois qu’on aura identifié un, et j’espère, plusieurs vaccins efficaces, ce sera un financement par par un fonds, un Fonds international », explique Bruno Hoen alors qu’une course entre laboratoires semble se conduire.  »Il faudra choisir parmi les vaccins efficaces, ceux qui seront les plus faciles à produire en grande quantité et à faible coût. » Une chose est sûre : un vaccin mis à disposition du grand public, ce n’est pas pour tout de suite. « Ce ne sera pas en 2020 et si c’est en 2021, ce sera juste un exploit. »

 




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