Archive pour le Tag 'passe-passe'

Tour de passe-passe du gouvernement :Le « passe sanitaire  » transformé en «passe vaccinal»

Tour de  passe-passe du gouvernement :Le « passe sanitaire  » transformé en «passe vaccinal»

Faute de courage politique le gouvernement s’apprête à opérer une manœuvre pour transformer discrètement le passe sanitaire en passe vaccinale. En fait  le pouvoir veut éviter d’avoir à déclarer officiellement l’obligation vaccinale pour tous. Dans ce but, un projet de loi sera déposé au début de l’année. Une procédure qui va demander plusieurs semaines et qui sera encore responsable de centaines de victimes du fait du manque de clarté et de détermination du gouvernement

La  position du gouvernement est particulièrement hypocrite en même temps que dangereuse et ridicule. Comme déjà indiqué, il faudra plusieurs semaines pour faire adopter par le Parlement ce passe vaccinal. À ce moment-là, le pic décontamination pourrait se situer entre 100 000 et 200 000 nouveaux cas par jour. Autant dire que la mesure sera déjà dépassée et que l’obligation vaccinale devra être enfin décidée.

Faute de courage le premier ministre s’est livré un commentaire de journaliste voire de bistrot e n culpabilisant les non vaccinés   : »il faut «faire peser la contrainte sur les non-vaccinés, car les services de soins critiques et de réanimation de nos hôpitaux sont remplis » . 

Brexit: le tour de passe passe de Johnson se précise

Brexit: le tour de passe passe de Johnson se précise

 

Alternativement Boris Johnson souffle le chaud et le froid sur les perspectives du Brexit ; la vérité c’est qu’il se prépare à habiller toute solution à son profit. Dun coté, il ne cesse d’affirmer auprès de son électorat que le brexit sans accord est le plus vraisemblable, d’un autre il fait semblant de négocier pour faire porter l’éventuel chapeau de l’échec à l’union européenne ; Il veut apparaitre comme le nouveau Churchill, celui qui ne rompt pas mais acceptera un nouveau délai voire l’accord de Theresa May a peine modifié en le transformant en victoire. Du coup, la déclaration commune de L’Irlande et du premier ministre britannique apparaît come une convergence très ambigüe car les deux ne visent pas le même objectif. L’Irlande en effet veut à tout prix demeurer dans l’union tandis que que Johnson s’en moque totalement du moment où il conserve la pouvoir et surtout le renforce avec de nouvelle élections. Entre  le Premier ministre britannique et son homologue irlandais c’est un peu le mariage de la carpe et du lapin.

Les deux dirigeants ont pourtant dit «continuer de croire qu’un accord est dans l’intérêt de tous». C’est surtout du côté irlandais que la tonalité était nouvelle. Alors qu’il se montrait jusqu’ici très pessimiste sur les chances d’arriver à un compromis, le taoiseach (nom donné au chef du gouvernement) a jugé un accord «possible d’ici à la fin octobre», convenant que c’était le réel souhait de Londres. Il a toutefois rappelé qu’il restait des «problèmes à régler». Une sortie de crise reste encore très aléatoire dans un délai aussi court mais le ton contrastait avec les échanges glaciaux de ces derniers temps.

Les deux chefs de gouvernement n’ont pas donné de détails concrets sur la manière d’arriver à un compromis autour de l’épineuse question de la frontière irlandaise, sur laquelle achoppent tous les projets d’accord. Depuis les dernières propositions de Boris Johnson, des points «problématiques» demeurent pour Dublin et Bruxelles. Il s’agit notamment du retour de contrôles douaniers entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande et du droit de veto que Londres souhaite accorder au parlement nord-irlandais.

La discussion va se poursuivre à Bruxelles, où le ministre britannique du Brexit Steve Barclay doit rencontrer ce vendredi matin le négociateur en chef de l’UE, Michel Barnier. Emmanuel Macron a une fois de plus mis la pression sur Londres en rappelant que le Brexit était une «crise intérieure britannique, pas européenne».Pas sûr cependant que l’Allemagne soit aussi décidée que Macron à pousser le royaume uni dehors.

Faute d’accord le 19 octobre, une loi récemment adoptée par le Parlement britannique impose au Premier ministre de demander un report de trois mois. Cette période verrait des élections anticipées, auxquelles tous les partis se préparent. Un «deal» de dernière minute serait une surprise mais permettrait à Boris Johnson de tenir sa promesse d’une sortie au 31 octobre. Il reste à savoir s’il obtiendrait une majorité à Westminster pour faire accepter l’accord, ses opposants n’ayant guère envie de lui faire ce cadeau

Fiscalité locale : tour de passe-passe de l’État avec les communes et les départements

Fiscalité locale : tour de passe-passe de l’État avec les communes et les départements

 

Du fait de la suppression de la taxe d’habitation, les pouvoirs publics ont été conduits à faire un tour de passe-passe en supprimant les revenus de la taxe foncière au département afin de les attribuer aux communes. Des communes très mécontentes de l’insuffisance de compensation de la taxe d’habitation. Du fait de la suppression de la ressource de la taxe foncière, une partie de TVA pourrait être attribuée départements mais le problème est de savoir quelle sera le montant de cette part attribuée.

Pour l’heure, pour compenser ce qui représente, en moyenne, 20% des recettes annuelles des conseils départementaux, le gouvernement a prévu de leur attribuer une fraction de TVA.

« Nous discutons avec les cabinets ministériels et Bercy, mais nous ne voyons rien venir », a regretté Dominique Bussereau, président de la Charente-Maritime. « A ce jour, rien n’est inscrit sur la compensation. »

Outre la taxe foncière, le budget des départements est, notamment, alimenté par une cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE, ex-taxe professionnelle, Ndlr), que les intercommunalités et métropoles auraient aimé récupérer… Mais aussi des dotations de l’Etat ou encore de l’emprunt. Ce qui fait dire au patron de l’ADF qu’il a « de vraies inquiétudes sur [leur] autonomie financière ».

Selon les calculs de l’assemblée des départements de France, la suppression de la taxe foncière va engendrer un manque à gagner global de 14,5 milliards d’euros.

« Si une crise économique survient, les recettes liées à TVA diminuent alors que le recours au RSA augmente », estime Dominique Bussereau. « Et que fait-on si deux collèges flambent ? Ou après une crise climatique ? Nous n’avons pas de réponses… »

TGV Alstom Belfort : tour de passe-passe, la SNCF paiera

TGV Alstom Belfort : tour de passe-passe, la SNCF paiera

Un tour de passe-passe  de la part du gouvernement qui avait décidé  une commande de 15 TGV pour circuler sur les lignes classiques. En fait,  il vient d’être convenu que ce matériel ne circulerait pas sur les lignes ordinaires mais bien sur les lignes à grande vitesse à savoir : la ligne TGV Atlantique. Si comme prévu, les TGV avaient  circulé sur les lignes inter cités la facture aurait été réglée par l’État. Du coup en transférant ces TGV sur la ligne Atlantique c’est la SNCF qui en paiera la plus grande partie. Une sorte de tour de passe-passe qui permet de ne pas nous alourdir le déficit de l’État mais par contre  qui viendra plomber encore davantage celui de la SNCF. De toute façon au final, le moment venu, c’est le contribuable qui paiera« . On est revenus sur l’idée que ça seraient des rames TGV qui rouleraient sur des lignes normales, ce qui paraissait peu cohérent. » Contacté par l’AFP, un dirigeant de la SNCF a indiqué mercredi que l’entreprise publique était revenue sur sa décision : les 15 TGV commandés pour sauver l’usine Alstom de Belfort circuleront finalement sur l’axe TGV Atlantique, et non sur des lignes classiques comme initialement prévu. Un nouveau scénario, élaboré par la SNCF, le secrétariat d’Etat aux Transports et le ministère de l’Industrie, sous l’autorité de Matignon, prévoit que l’opérateur ferroviaire débourse entre 470 et 480 millions d’euros, pour acquérir les rames. La SNCF explique que cette commande lui permettra d’économiser les 150 millions d’euros prévus pour rénover 24 vieilles rames TGV, dont « certaines ont quasiment 35 ans ». Le groupe ferroviaire prévoit également « plusieurs centaines de milliers d’euros économisés en termes de maintenance », car le parc TGV sera plus homogène.  « C’est finalement une opération qui est profitable, et une solution en tout cas qui est bien meilleure que la solution antérieure qui avait été envisagée, qui était peu cohérente et coûteuse, particulièrement pour la SNCF », souligne encore ce dirigeant de la SNCF, sous couvert d’anonymat. Des arguments cependant bien peu convaincants !

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol