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Gouvernement- On ne gouverne pas un pays par décrets

Gouvernement- On ne gouverne pas un pays par décrets

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Politique France :On ne gouverne pas un pays par décrets

Politique France  :On ne gouverne pas un pays par décrets

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Démocratie :On ne gouverne pas un pays par décrets

Démocratie :On ne gouverne pas un pays par décrets

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Le conseil d’État et le conseil constitutionnel devraient rappeler qu’on ne gouverne pas un pays par décrets

Le conseil d’État et le conseil constitutionnel devraient rappeler qu’on ne gouverne pas un pays par décrets

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Télévision-Exclusion de C8 pourquoi pas de C News ?

Télévision-Exclusion de C8 pourquoi pas de C News ?

Exclusion de C8 de la TNT : « la décision de l’Arcom est courageuse mais les outrances de Cyril Hanouna ne sont pas le cœur du problème »
Interview de 
Camille Broyelle
Professeur de Droit Public, Université Paris-Panthéon-Assas dans The Conversation. 

 

 

L’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, a décidé le 24 juillet d’écarter C8 et NRJ 12 de la procédure d’attribution des canaux pour une diffusion via la télévision numérique terrestre. Camille Broyelle, professeure de droit public et responsable du Master droit du numérique, parcours droit des médias de l’Université Panthéon Assas, analyse les raisons et les conséquences de cette décision.

Pouvez-vous rappeler quel est le processus d’attribution des chaînes de la TNT ?

Pour le comprendre, il faut rappeler la TNT repose sur l’utilisation de fréquences hertziennes qui sont limitées. Les fréquences hertziennes sont une ressource rare : seulement 31 chaînes de télévision nationales peuvent y être accueillies. Une sélection doit donc être faite. Depuis la loi du 30 septembre 1986, elle incombe à une autorité administrative indépendante, dont les membres sont nommés par le président de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale.

Ceci rappelé, la procédure est prévue par la loi pour attribuer les fréquences disponibles, qu’il s’agisse d’éditeurs de chaînes qui exploitent déjà une chaîne ou de nouveaux entrants. Les chaînes sont autorisées pour une durée limitée, 10 ans au maximum. Pour 15 chaînes actuelles, les autorisations arrivent à échéance en 2025. L’Arcom a donc remis en compétition leurs fréquences. 27 candidats ont déposé un dossier, 25 ont été déclarés recevables et une entreprise s’est désistée. 24 candidats ont soutenu leur projet devant l’Arcom.

 

Tout est donc fini pour C8 et NRJ 12 ?

Nous entrons maintenant dans une deuxième phase, qui est celle de la rédaction des conventions. Les éditeurs de télévisions et l’Arcom vont mettre à l’écrit le projet éditorial et les engagements des chaînes (par exemple, en faveur de la création) et les garanties nécessaires au respect de la loi de 1986, notamment, pour protéger l’indépendance, l’honnêteté et le pluralisme de l’information.

Normalement, les deux parties arrivent à un accord. Toutefois, ces négociations peuvent aussi ne pas aboutir. Dans ce cas, l’Arcom a la possibilité de puiser dans le vivier des éditeurs non sélectionnés pour établir une convention. La jurisprudence administrative le permet. Mais il me semble peu probable que l’Arcom aille « repêcher » les éditeurs sortants qu’elle a écartés.

Nous n’avons pas encore le détail de la décision, mais quels motifs peuvent expliquer la mise à l’écart de NRJ 12 et de C8 ?

Pour C8, les raisons sont assez évidentes. Parmi les critères de sélection qui sont énoncés dans la loi, figure pour les candidats sortants la façon dont ils ont respecté le pluralisme, l’honnêteté et l’indépendance de l’information, c’est-à-dire des principes essentiels au fonctionnement démocratique de l’État.

Au regard des mises en demeure et sanctions dont la chaîne C8 a fait l’objet, on imagine que l’Arcom a estimé ne pas pouvoir lui faire confiance. Les maigres garanties promises par C8 n’ont pas suffi, notamment la diffusion en différé, de Touche pas à mon poste.

L’exigence de diversité des opérateurs a également dû jouer. Les groupes Bolloré et NRJ perdent chacun une chaîne, ce qui permet l’arrivée de nouveaux entrants, OFtv, du groupe Ouest France et Réels TV porté par Daniel Kretinsky.

En tant que juriste, diriez-vous que cette décision n’est pas une surprise pour C8 tant les manquements sont nombreux ?

Oui et je pense que cela aurait dû être aussi le cas s’agissant de Cnews. Pas plus que C8, CNews n’a observé les principes d’honnêteté, d’indépendance et de pluralisme de l’information qui sont fondamentaux. Le pluralisme vise à protéger le public en s’assurant qu’il dispose de toutes les opinions, afin d’être véritablement éclairé. Il faut insister : les fréquences de la TNT sont rares, seules 31 chaînes peuvent être accueillies, et pour exploiter une chaîne il faut être puissant économiquement. Si le droit du public de bénéficier d’une offre pluraliste de médias était dicté par les lois du marché, seules les idées bénéficiant de l’appui d’entreprises financièrement puissantes pourraient diffuser sur la TNT. C’est pour l’éviter que la loi de 1986 impose à chaque éditeur de respecter le pluralisme dans ses propres programmes. En réalité, les manquements à la loi ne sont pas liés aux outrances de Cyril Hanouna. Le principal manquement est dans l’exploitation de chaînes afin d’assurer la promotion d’une idéologie. Il est également imputable à CNews.
Lors de l’audition devant l’Arcom, le directeur des antennes du groupe Canal Plus, Gérald-Brice Viret, avait proposé de diffuser en léger différé l’émission de Cyril Hanouna.

C8 interdit, qu’est-ce qui empêche le groupe Bolloré de le diffuser sur Cstar, voire Cnews dans un format renouvelé, voire en clair sur Canal plus, qui sont toutes trois des chaînes du même groupe ?

C’est vraisemblablement ce qui risque de se passer. Cela s’est produit récemment lorsque, à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale, la direction d’Europe 1 (propriété du groupe Bolloré) a décidé de confier l’antenne à Cyril Hanouna afin de couvrir l’actualité. La facture de l’émission était identique à celle présentée sur C8. En pleine période électorale, pendant deux semaines, à un moment où le respect du pluralisme est strictement encadré pour garantir la sincérité du scrutin, le présentateur s’est livré à un traitement univoque de l’actualité, ce qui a valu d’ailleurs à Europe 1 une mise en demeure de l’Arcom.

Finalement, comment qualifierez-vous la décision de l’Arcom concernant C8 ?

La décision est politiquement courageuse. Les chaînes C8 et CNews invoquent régulièrement, sur leur plateau, l’argument populiste classique consistant à se targuer de la volonté populaire (celle qu’exprimerait l’audience) contre l’Arcom (et à travers elle, le respect du droit). La décision de l’Arcom est également courageuse en ce qu’elle n’a pas cédé au chantage économique que l’on a vu se dessiner pendant les auditions publiques consistant à lier le sort de Canal+, dont l’existence est essentielle à l’industrie du cinéma, à celui des chaînes C8 et CNews.

En rejetant la candidature de C8, et non pas celle de CNews, l’Arcom donne à penser que seules les outrances de Cyril Hanouna sont sanctionnées, alors que devrait l’être avant tout la prise de pouvoir médiatique, sur la TNT, consistant pour la chaîne C8 comme pour la chaîne CNews à s’être muées en chaînes d’opinion, au prix d’une méconnaissance de l’honnêteté et de l’indépendance de l’information et en méconnaissance flagrante de la loi. Il reste que politiquement, la décision est forte et laisse à penser que l’Arcom se montrera particulièrement vigilante à l’égard des médias audiovisuels du groupe Bolloré.

Politique : Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Politique :P ourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. La dernière proposition de la gauche et celle d’une  » haute fonctionnaire » chargée des finances et  des achats à la mairie de Paris (on a discrètement effacé son CV de Wikipédia pour en faire une éventuelle première ministre présentable !).  Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe, Vauquiez voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Exclusion de C8 pourquoi pas de C News ?

Exclusion de C8 pourquoi pas de C News ?

Exclusion de C8 de la TNT : « la décision de l’Arcom est courageuse mais les outrances de Cyril Hanouna ne sont pas le cœur du problème »

 
Interview de 
Camille Broyelle
Professeur de Droit Public, Université Paris-Panthéon-Assas dans The Conversation. 

 

 

L’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, a décidé le 24 juillet d’écarter C8 et NRJ 12 de la procédure d’attribution des canaux pour une diffusion via la télévision numérique terrestre. Camille Broyelle, professeure de droit public et responsable du Master droit du numérique, parcours droit des médias de l’Université Panthéon Assas, analyse les raisons et les conséquences de cette décision.

Pouvez-vous rappeler quel est le processus d’attribution des chaînes de la TNT ?

Pour le comprendre, il faut rappeler la TNT repose sur l’utilisation de fréquences hertziennes qui sont limitées. Les fréquences hertziennes sont une ressource rare : seulement 31 chaînes de télévision nationales peuvent y être accueillies. Une sélection doit donc être faite. Depuis la loi du 30 septembre 1986, elle incombe à une autorité administrative indépendante, dont les membres sont nommés par le président de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale.

Ceci rappelé, la procédure est prévue par la loi pour attribuer les fréquences disponibles, qu’il s’agisse d’éditeurs de chaînes qui exploitent déjà une chaîne ou de nouveaux entrants. Les chaînes sont autorisées pour une durée limitée, 10 ans au maximum. Pour 15 chaînes actuelles, les autorisations arrivent à échéance en 2025. L’Arcom a donc remis en compétition leurs fréquences. 27 candidats ont déposé un dossier, 25 ont été déclarés recevables et une entreprise s’est désistée. 24 candidats ont soutenu leur projet devant l’Arcom.

 

Tout est donc fini pour C8 et NRJ 12 ?

Nous entrons maintenant dans une deuxième phase, qui est celle de la rédaction des conventions. Les éditeurs de télévisions et l’Arcom vont mettre à l’écrit le projet éditorial et les engagements des chaînes (par exemple, en faveur de la création) et les garanties nécessaires au respect de la loi de 1986, notamment, pour protéger l’indépendance, l’honnêteté et le pluralisme de l’information.

Normalement, les deux parties arrivent à un accord. Toutefois, ces négociations peuvent aussi ne pas aboutir. Dans ce cas, l’Arcom a la possibilité de puiser dans le vivier des éditeurs non sélectionnés pour établir une convention. La jurisprudence administrative le permet. Mais il me semble peu probable que l’Arcom aille « repêcher » les éditeurs sortants qu’elle a écartés.

Nous n’avons pas encore le détail de la décision, mais quels motifs peuvent expliquer la mise à l’écart de NRJ 12 et de C8 ?

Pour C8, les raisons sont assez évidentes. Parmi les critères de sélection qui sont énoncés dans la loi, figure pour les candidats sortants la façon dont ils ont respecté le pluralisme, l’honnêteté et l’indépendance de l’information, c’est-à-dire des principes essentiels au fonctionnement démocratique de l’État.

Au regard des mises en demeure et sanctions dont la chaîne C8 a fait l’objet, on imagine que l’Arcom a estimé ne pas pouvoir lui faire confiance. Les maigres garanties promises par C8 n’ont pas suffi, notamment la diffusion en différé, de Touche pas à mon poste.

L’exigence de diversité des opérateurs a également dû jouer. Les groupes Bolloré et NRJ perdent chacun une chaîne, ce qui permet l’arrivée de nouveaux entrants, OFtv, du groupe Ouest France et Réels TV porté par Daniel Kretinsky.

En tant que juriste, diriez-vous que cette décision n’est pas une surprise pour C8 tant les manquements sont nombreux ?

Oui et je pense que cela aurait dû être aussi le cas s’agissant de Cnews. Pas plus que C8, CNews n’a observé les principes d’honnêteté, d’indépendance et de pluralisme de l’information qui sont fondamentaux. Le pluralisme vise à protéger le public en s’assurant qu’il dispose de toutes les opinions, afin d’être véritablement éclairé. Il faut insister : les fréquences de la TNT sont rares, seules 31 chaînes peuvent être accueillies, et pour exploiter une chaîne il faut être puissant économiquement. Si le droit du public de bénéficier d’une offre pluraliste de médias était dicté par les lois du marché, seules les idées bénéficiant de l’appui d’entreprises financièrement puissantes pourraient diffuser sur la TNT. C’est pour l’éviter que la loi de 1986 impose à chaque éditeur de respecter le pluralisme dans ses propres programmes. En réalité, les manquements à la loi ne sont pas liés aux outrances de Cyril Hanouna. Le principal manquement est dans l’exploitation de chaînes afin d’assurer la promotion d’une idéologie. Il est également imputable à CNews.
Lors de l’audition devant l’Arcom, le directeur des antennes du groupe Canal Plus, Gérald-Brice Viret, avait proposé de diffuser en léger différé l’émission de Cyril Hanouna.

C8 interdit, qu’est-ce qui empêche le groupe Bolloré de le diffuser sur Cstar, voire Cnews dans un format renouvelé, voire en clair sur Canal plus, qui sont toutes trois des chaînes du même groupe ?

C’est vraisemblablement ce qui risque de se passer. Cela s’est produit récemment lorsque, à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale, la direction d’Europe 1 (propriété du groupe Bolloré) a décidé de confier l’antenne à Cyril Hanouna afin de couvrir l’actualité. La facture de l’émission était identique à celle présentée sur C8. En pleine période électorale, pendant deux semaines, à un moment où le respect du pluralisme est strictement encadré pour garantir la sincérité du scrutin, le présentateur s’est livré à un traitement univoque de l’actualité, ce qui a valu d’ailleurs à Europe 1 une mise en demeure de l’Arcom.

Finalement, comment qualifierez-vous la décision de l’Arcom concernant C8 ?

La décision est politiquement courageuse. Les chaînes C8 et CNews invoquent régulièrement, sur leur plateau, l’argument populiste classique consistant à se targuer de la volonté populaire (celle qu’exprimerait l’audience) contre l’Arcom (et à travers elle, le respect du droit). La décision de l’Arcom est également courageuse en ce qu’elle n’a pas cédé au chantage économique que l’on a vu se dessiner pendant les auditions publiques consistant à lier le sort de Canal+, dont l’existence est essentielle à l’industrie du cinéma, à celui des chaînes C8 et CNews.

En rejetant la candidature de C8, et non pas celle de CNews, l’Arcom donne à penser que seules les outrances de Cyril Hanouna sont sanctionnées, alors que devrait l’être avant tout la prise de pouvoir médiatique, sur la TNT, consistant pour la chaîne C8 comme pour la chaîne CNews à s’être muées en chaînes d’opinion, au prix d’une méconnaissance de l’honnêteté et de l’indépendance de l’information et en méconnaissance flagrante de la loi. Il reste que politiquement, la décision est forte et laisse à penser que l’Arcom se montrera particulièrement vigilante à l’égard des médias audiovisuels du groupe Bolloré.

Politique : Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Politique :P ourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. La dernière proposition de la gauche et celle d’une  » haute fonctionnaire » chargée des achats à la mairie de Paris (on a discrètement effacé son CV de Wikipédia pour en faire une éventuelle première ministre présentable !).  .Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe, Vauquiez voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

France: Pourquoi pas de modèle économique consensuel ?

France:  Pourquoi pas de modèle économique consensuel ? 

 

Le consultant Patrick d’Humières constate, dans une tribune au « Monde », qu’aucun parti politique ne soutient les principes d’une économie efficace et « responsable », alliant principes de bonne gouvernance et juste répartition de la valeur.

 

Nos partis politiques ne sont pas les meilleurs économistes du pays… Depuis deux siècles, chacun s’accroche à une vision idéologique des équilibres macroéconomiques qui n’a guère varié : les libéraux professent l’efficacité des marchés libres depuis la révolution industrielle du XIXe siècle, la répartition de la valeur devant rester leur affaire, et l’Etat n’aurait pas à s’en occuper ; les socioredistributifs, auxquels les échecs de l’Etat-providence n’ont rien appris jusqu’à ce jour, affichent depuis la grande crise des années 1930 un keynésianisme ; quant aux étatistes, qui ont eu leur heure de gloire à travers le redressement gaulliste, ils n’avouent pas qu’ils sont enfermés dans le protectionnisme et l’affaiblissement des droits contractuels des parties.

La crise démocratique actuelle a relancé cette triple offre régressive et dépassée, qui s’émancipe des savoirs d’efficacité économique existants et fait fi des schémas adoptés par la plupart de nos partenaires développés. En plus du fait qu’elle représente un coût social et démocratique très élevé.

Mais pourquoi donc la France n’est-elle pas parvenue à se doter au fil de ses soubresauts politiques d’un modèle économique consensuel qui aurait permis de sanctuariser les grandes règles du jeu économique applicables aux entreprises ? L’explication la plus connue est la complicité inavouée entre un pilotage étatique qui ne se lasse pas de faire gonfler la sphère de l’aide publique et les grands groupes qui savent négocier leur liberté et leur fiscalité, sans que la réflexion sur l’intérêt général soit très approfondie.

C’est ce mécanisme que révèle, par exemple, le récent rapport du Sénat sur la façon dont Total assume plus ou moins les intérêts collectifs français : les sénateurs en ont conclu qu’une action publique spécifique devrait permettre à l’Etat de faire mieux respecter les intérêts énergétiques français par la multinationale.

Les trois modèles historiques ont leurs thuriféraires intéressés dans chaque camp. Ils occultent la montée des aspirations de la plupart des Français pour une économie responsable, alliant des principes de bonne gouvernance à une juste répartition de la valeur, en passant par des constantes de fiscalité et de contribution locale et sociale visant un « juste profit ».

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Politique: Attal pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Avenir d’Attal: pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

Attal : pas candidat à Matignon pour un gouvernement éphémère !

 

Gabriel Attal est sans doute très lucide sur les incertitudes concernant le futur gouvernement. Et par avance, il déclare ne pas être candidat pour en prendre la tête. Compte tenu des contradictions actuelles, il apparaît en effet que l’éventuel compromis qui va aboutir le moment venu un gouvernement pourra assez rapidement voler en éclats. Inutile sans doute pour Attal  de se griller les ailes dans ce gouvernement très provisoire.

 

D’une certaine manière, c’est d’ailleurs le flou artistique concernant l’union introuvable. S’agit-il vraiment de former un gouvernement de personnalités appartenant à différents clans ou de se limiter à la recherche de majorité au cas par cas à l’assemblée nationale mais sans participation directe au gouvernement ( proposition Wauquiez par exemple).

Il est clair qu’à la moindre occasion on pourra trouver une majorité pour censurer le gouvernement. Cette majorité existe potentiellement. Par contre aucune majorité absolue n’est envisageable à l’Assemblée nationale pour conduire la politique. C’est le résultat de ce curieux scrutin du deuxième tour des législatives qui est un scrutin d’opposition au « rassemblement national » et non un scrutin d’adhésion à un programme de gestion.

Attal a bien saisi la grande différence entre ce vote d’opposition et ce vote d’adhésion. Compte tenu des fortes oppositions idéologiques mais aussi d’appareils et d’ambitions personnelles, il est vraisemblable que tout gouvernement de gauche sera rapidement vulnérable surtout compte tenu de la nature des programmes. Pour simplifier par exemple sur le plan des finances, il faudrait économiser de l’ordre de 25 milliards supplémentaires pour entrer dans les clous budgétaires  et stopper la dérive de l’endettement alors que la gauche a prévu 50 à 100 milliards de dépenses !

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. Moins pour faire face à la crise que pour discréditer la démocratie. Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. Moins pour faire face à la crise que pour discréditer la démocratie. Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Wauquiez (LR) : pas de coalition…. pour l’instant !

Wauquiez (LR) : pas de coalition…. pour l’instant !

Le groupe LR prend désormais le nom de « Droite républicaine » à l’assemblée nationale et ses pieds qui a été élus à sa tête. Laurent Wauquiez s’est montré droit dans ses bottes en refusant toute perspective de coalition avec Macon. Le problème c’est que ce n’est pas forcément la vie de la totalité des élus de cette « droite républicaine » dont beaucoup ne sont pas prêts à accepter tacitement une présence des « insoumis dans un gouvernement ». Cela s’accommoderait d’un accord avec les macronistes.

 

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