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L’électricité va baisser mais pas la facture

L’électricité va baisser mais pas la facture

 

Théoriquement le prix de l’électricité devrait baisser compte tenu de l’évolution du prix du marché ( Actuellement très nette baisse). Le problème c’est que parallèlement la France pourrait augmenter encore la TICFE ; de sorte que la facture globale pourrait se traduire par une augmentation. En cause par le prix de l’électricité mais la croissance fiscale du fait de la crise financière du budget de l’État ( Aussi la nécessité de financer le nouveau parc nucléaire)
Le précédent gouvernement promettait de ne pas alourdir la facture d’électricité des ménages. La nouvelle équipe conduite par Michel Barnier explore de nouvelles sources de financement pour équilibrer les comptes publics. Selon une information du Parisien, confirmée par BFMTV, la piste envisagée par Matignon avec Bercy serait d’augmenter la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) pour certains ménages.

Cette hausse vise les ménages en offre de marché (environ 40 % des ménages), qui ont déjà pu bénéficier des baisses du prix de l’électricité sans attendre le réajustement des tarifs réglementés. Cette catégorie pourrait voir dans certains cas leur facture augmenter si leur fournisseur d’électricité décide de la répercuter. Actuellement, la TICFE est à 22,50 euros le MWh. Dès le 1er février, elle pourrait passer à 32,44 euros le MWh.

Par contre, elle ne pénalisera pas les ménages « au tarif réglementé ou avec des offres indexées sur les tarifs réglementés », soit 80% des 30 millions de ménages abonnés. Pour eux, la baisse de tarifs d’électricité promise par Bruno Le Maire est préservée…..en principe !.

Également appelée « contribution au service public de l’électricité », la TICFE devait, au moment de son instauration en 2004, corriger les surcoûts générés par les charges de service public supportées par les énergéticiens. Depuis 2022, elle est intégralement reversée au budget de l’État.

Ne pas sacrifier l’industrie

Ne pas sacrifier l’industrie

Vincent Moulin Wright, directeur général de France Industrie, dans la « Tribune » évoque les inquiétudes de son secteur dans un cadre budgétaire public  davantage contraignant

Dans le cadre de la loi Industrie verte, promulguée en octobre 2023, deux décrets d’application viennent d’entrer en vigueur. Tous deux ont pour principal objectif l’accélération et la simplification des procédures d’implantations d’usines. Une étape majeure, selon France Industrie, l’organisation représentative qui rassemble plus de 80 membres dont une trentaine de fédérations sectorielles.

 En octobre 2023 a eu lieu la promulgation de la loi Industrie verte. Quel bilan faites-vous un an après ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – L’essentiel de cette loi porte sur l’accélération des délais nécessaires pour réaliser des études préalables à l’implantation d’usines. L’objectif est de les diviser par deux, de 18 mois aujourd’hui à neuf mois demain. Tous les décrets ont été pris fin juin. C’est donc encore un peu tôt pour dresser un bilan. Nous y verrons plus clair en début d’année prochaine.

Concernant le Crédit d’Impôt pour les Investissements dans l’Industrie Verte (entré en vigueur en mars 2024 avec pour objectif d’encourager les entreprises à investir dans quatre secteurs stratégiques de la transition énergétique, ndlr), les premiers chiffres vont être publiés dans les mois à venir. Mais il semblerait que cet instrument de soutien soit bien parti.

Nous pouvons aussi souligner le soutien à des filières nouvelles comme les matières premières critiques que la France ne produit pas, ou pas assez. Plusieurs projets vont s’implanter dans l’Hexagone pour la production (ouverture de mines…) et la transformation (mise en service d’usines de valorisation et de recyclage) de ces métaux. De quoi être moins tributaire des importations provenant souvent de fournisseurs situés en Chine et Afrique.

Trois décrets d’application de la loi Industrie verte en juillet dernier sont dans le viseur d’associations, notamment Notre affaire à tous et Zero Waste France qui ont déposé le 6 septembre dernier des recours gracieux demandant l’annulation de ces trois décrets qui représentent selon elles un « détricotage massif et systématique du droit de l’environnement industriel » et par conséquent une augmentation des risques de catastrophes industrielles. Une réaction ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – La loi ne prévoit aucun recul environnemental. Elle prévoit juste une optimisation des délais dans le respect des obligations environnementales qui sont bien maintenues. Au lieu de mettre en place les uns après les autres les études et concertations préalables et les dossiers d’autorisations environnementales, cette loi propose de les faire en parallèle pour gagner du temps. La loi recherche clairement la simplification.

Il faut se réjouir de l’augmentation du nombre d’industries en France, et cette loi va accélérer l’implantation de nouveaux sites. En effet, plus nous aurons d’industries de production sur le territoire, moins nous serons dépendants des importations de produits fabriqués à l’étranger, ce qui contribuera à réduire notre empreinte carbone. Il s’agit donc d’un véritable enjeu écologique.

La réindustrialisation connaît une baisse de régime au premier semestre. De janvier à juin, Trendeo a recensé 61 annonces de fermetures d’usines ou d’ateliers de plus de 10 salariés, souvent au cours de liquidations judiciaires. Peut-on craindre une accélération de cette tendance ?

VINCENT MOULIN WRIGHT -

La vitesse de réindustrialisation semble marquer un pallier avec une dynamique un peu moins soutenue depuis un an. Notons que les mesures les plus fortes ont été lancées entre 2017 et 2022. Il faudrait donc poursuivre ce soutien avec de nouvelles mesures, tout du moins pas de mesures adverses. Mais il est vrai que le contexte économique s’est retourné. S’il y a des secteurs qui se portent bien (la Défense, le luxe, l’aéronautique…), d’autres (la chimie, l’automobile, la construction) sont en revanche en difficulté.

Depuis 2017, 300 sites industriels ont été créés mais 600 avaient fermé depuis 1990. Si le solde reste encore négatif sur le stock, le progrès est important. Il ne faut pas que cette tendance se poursuive sinon cela va devenir problématique.

Vous évoquez la nécessité de nouvelles mesures. Pouvez-vous expliquer ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Chacun doit s’accorder à ne surtout à ne surtout pas détricoter la politique de soutien à l’industrie, avec la poursuite de France 2030 et la sauvegarde du CIR (crédit impôt recherche), notamment. Des outils qui portent leurs fruits. L’industrie est devenue une grande cause nationale, elle ne mérite pas de devenir une variable d’ajustement budgétaire.

A ce propos, alors que le déficit public risque de dépasser les 6% cette année, le nouveau gouvernement cherche à faire des économies sur tous les plans. France 2030 est-il sous la menace de coupes budgétaires ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Je ne sais pas. Il faut attendre le discours de politique générale de Michel Barnier et la publication de la première ébauche du budget 2025 (qui devrait être présenté le 10 octobre en Conseil des ministres, ndlr). Pour l’heure, le gouvernement fait des esquisses et prend des orientations.

Donc, aucune raison de s’inquiéter ?

VINCENT MOULIN WRIGHT -

Au contraire. France Industrie a clairement établi une ligne rouge concernant les dispositifs de soutien les plus cruciaux. En ce qui concerne le prix de l’électricité, il est impératif que l’État et EDF parviennent à mettre en oeuvre l’accord conclu à la fin de l’année dernière sur les contrats d’approvisionnement à long terme en électricité. Il faut donc redémarrer cette négociation, aujourd’hui au point mort. Par ailleurs, il est crucial de continuer à baisser les impôts de production pesant sur l’industrie. De même, il faut revenir sur l’écrêtement des allègements de charges sur les salaires médian car ils pénalisent l’industrie. Enfin, les dispositifs de soutien efficaces comme le crédit d’impôt recherche doivent absolument être maintenus.

Le nouveau gouvernement cherche à faire des économies sur tous les plans. Le crédit impôt recherche, qui coûte chaque année 7,7 milliards d’euros à l’État, est justement l’un des dispositifs en ligne de mire. Où faut-il réaliser des économies ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Le gouvernement doit s’atteler à réduire les dépenses publiques, alors que les recettes de l’État n’ont cessé d’augmenter au cours des dix dernières années. La pression fiscale sur les entreprises et les ménages a déjà atteint son paroxysme. Augmenter les impôts des entreprises risque de pénaliser l’attractivité et la compétitivité. La solution est d’opérer à la fois des coupes budgétaires et de travailler sur l’efficacité des dépenses publiques, que ce soit dans la sphère sociale, ou dans les dépenses de fonctionnement de l’État.

Si l’État décide d’augmenter la fiscalité sur les entreprises, cela va-t-il freiner les ambitions d’investissements des industriels français ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Cela dépendra de quelle façon mais ce serait un signal négatif pour les investisseurs. Il y a deux risques majeurs : affaiblir le tissu des PME et ETI, et fragiliser l’attractivité de la France.

 

Impôt Entreprises : pas la hauteur des enjeux

Impôt Entreprises : pas la hauteur des enjeux

De manière à la fois soudaine et tardive, le gouvernement s’est aperçu de la grande dérive du budget dans le déficit prévu à 4,4% et dépassera 6 % en 2024. D’où la nécessité de trouver des ressources nouvelles via la fiscalité notamment sur les plus fortunés et les entreprises pour mieux faire passer aussi l’augmentation des impôts concernant les couches moyennes.Le problème est que l’enjeu serait de trouver 30 milliards cette année et progressivement monter jusqu’à 100 milliards d’ici 2027 ou 2030. À tout le moins pour rendre ce budget présentable aux institutions financières il faudrait trouver un minimum de 20 milliards. La surtaxe d’impôt sur les entreprises et autres fortunés ne seraient susceptibles de fournir que quelques milliards, autour de 5 milliards.

La difficulté consiste aussi à ne pas trop alourdir les prélèvements obligatoires qui handicaperaient la compétitivité et la croissance de la France.

Pour toutes ces raisons la surtaxe exceptionnelle dite temporaire risque d’être assez modérée, en tout cas pas la hauteur de l’enjeu des 100 milliards qu’il est nécessaire de trouver à terme pour ramener le déficit du budget à 3 % du PIB

Le Liban prêt à négocier mais pas le Hezbollah !

Le Liban  prêt à négocier mais pas le  Hezbollah !

 

Poussé par les occidentaux et même par certains voisins arabes, ce qui reste de l’État libanais serait prêt à négocier sur les bases de l’accord de 2006 qui prévoient le retrait militaire libanais à 30 km de la frontière avec Israël. Le seul problème est que cette État libanais n’a guère de pouvoir actuellement à peu près entièrement dans les mains du Hezbollah et derrière de l’Iran.

Officiellement le premier ministre libanais Najib Mikati a cependant déclaré que le Liban était prêt à appliquer pleinement la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui prévoit notamment le retrait du Hezbollah de la région libanaise située au sud du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière avec Israël, a appris Reuters après avoir consulté un compte rendu à l’issue d’une rencontre entre les autorités libanaises.

«Le Liban est prêt à appliquer la résolution 1701 et, dès l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, à envoyer l’armée libanaise dans la zone située au sud du fleuve Litani pour qu’elle y remplisse toutes ses fonctions, en coordination avec les artisans de la paix de l’ONU», a annoncé Najib Mikati. Il a ajouté que le parlement se réunirait ensuite pour élire un président de consensus, alors que le Liban ne dispose plus de président de la République depuis le départ de Michel Aoun en 2022.

Déclin du pétrole : Pas avant 2050 pour l’OPEP

Déclin du pétrole : Pas avant 2050 pour l’OPEP
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole prévoit que la demande en or noir continuera de progresser au moins jusqu’en 2050. Ces prévisions contredisent  celles de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et les intentions manifestées dans la Cop 28.
L’OPEP prévoit que la demande en or noir continuera de progresser au moins jusqu’en 2050, un cap symbolique de la lutte contre le changement climatique.

« Ces prévisions soulignent que le fantasme de la sortie progressive du pétrole et du gaz n’est pas conforme à la réalité », a donc déclaré donc l’organisation emmenée par l’Arabie saoudite, et très critique sur le rythme de la transition énergétique.

Afin de satisfaire cette demande grandissante de brut, l’Opep estime par ailleurs à plus de 17.000 milliards de dollars (environ 15,2 milliards d’euros) le montant des investissements cumulés nécessaires pour le secteur, soit quelque 640 milliards de dollars par an en moyenne d’ici 2050, majoritairement dans l’exploration et la production d’or noir.

L’Opep, pour sa part, ne voit pas de recul autre que celui de la demande de charbon, tablant, outre le pétrole, sur une forte progression de l’appétit mondial pour le gaz, derrière toutefois l’éolien et le solaire réunis, qu’elle voit quintupler sur la période 2023-2050.

L’évolution de la demande pétrolière est toutefois très hétérogène, sa croissance étant portée par les pays hors OCDE, au premier rang desquels l’Inde, alors qu’elle baissera à compter de 2030 chez les pays de l’OCDE (principalement des pays développés). A elle seule, l’Inde verrait sa demande croître de 8 mb/j sur 2023-2050.

Ces prévisions de l’Opep vont à rebours des efforts requis pour limiter le réchauffement planétaire. Elles sont également en fort décalage avec les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui anticipe un pic de la demande pour toutes les énergies fossiles – pétrole, gaz et charbon – « dans les prochaines années » de la décennie en cours, grâce au bond des énergies plus propres .

A la COP28 à Dubaï en 2023, le monde s’est accordé pour abandonner progressivement les énergies fossiles et, d’ici 2030, tripler la capacité des renouvelables, afin d’atteindre la neutralité carbone en 2050, conformément aux recommandations des experts du climat.

Dans son rapport, l’Opep salue à ce sujet le « jalon important » qu’a constitué la COP 28, organisée chez un de ses membres à Dubaï, qui avait acté « le début de la fin » des énergies fossiles. Elle s’attend néanmoins à une « pression », tant des décideurs politiques que des populations sur des ambitions « trop élevées » en matière de déploiement des énergies renouvelables ou des véhicules électriques.

 

L’incendie de l’église de Saint-Omer: Pas moins de 26 condamnation de l’auteur

L’incendie de l’église de Saint-Omer: Pas moins de 26 condamnation de l’auteur

L’auteur du terrible incendie de l’église de Saint-Omer ne compte pas moins de 26 condamnations de toutes natures. L’individu sans emploi vit dans un foyer et semble visiblement affecté par des dysfonctionnements cognitifs graves.  

Les condamnations précédentes ont quant à elles été prononcées pour des vols aggravés (vol par effraction, vol par ruse, vol avec dégradation), précise le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Guirec Le Bras.

L’homme était sorti de prison depuis le 27 août, date à laquelle il avait exécuté sa dernière condamnation de 3 ans et 6 mois d’emprisonnement prononcé le 31 janvier 2022, toujours par le tribunal de Boulogne-sur-Mer.

Âgé de 39 ans et de nationalité française, l’intéressé a été interpellé lundi peu avant 19 heures. Sans profession et sans domicile, il résidait alors en foyer. À l’issue de sa garde à vue, il a été mis en examen et incarcéré mercredi. Il a avoué être entré par effraction vers minuit au sein de l’édifice religieux, selon lui dans le but de voler l’argent des troncs, puis d’avoir décidé de mettre le feu.

L’homme évolue dans le désœuvrement depuis de longues années. Son casier judiciaire comporte pas moins de 26 condamnations, dont au moins cinq pour des dégradations et/ou des incendies d’églises dans la région, indique une source judiciaire au Figaro. Dans le détail, deux de ses condamnations sont pour «destruction de bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes» et une pour «dégradation ou détérioration d’un édifice affecté au culte», les autres condamnations ont quant à elles été prononcées pour des vols aggravés (vol par effraction, vol par ruse, vol avec dégradation), précise le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Guirec Le Bras.

L’homme était sorti de prison depuis le 27 août, date à laquelle il avait exécuté sa dernière condamnation de 3 ans et 6 mois d’emprisonnement prononcé le 31 janvier 2022, toujours par le tribunal de Boulogne-sur-Mer. Au cours de l’un de ses procès en 2019 auquel nos confrères de La Voix du Nord ont assisté, Joël V. avait déclaré: «Des fois, je fais des trucs, je ne sais pas trop pourquoi (…) Mais je n’ai pas de problème avec les églises.» Le président du tribunal avait qualifié l’intéressé «d’écorché vif». Abandonné par sa mère peu de temps après la naissance, il a passé toute son enfance en famille d’accueil avant d’être pris en charge au sein d’un foyer, puis de passer son premier séjour en prison à l’âge de 18 ans.

 

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français ne font pas confiance à Macron

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français  ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Nouveau Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Nouveau  Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

 

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

 

L’Union  Européenne ne reconnaît pas le caractère démocratique de l’élection présidentielle de Maduro au Venezuela.

L’Union européenne ne reconnaît pas de «légitimité démocratique» au président vénézuélien Nicolas Maduro après sa réélection en juillet, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.

Maduro «continuera à être président, oui, de facto. Mais nous ne reconnaissons pas de légitimité démocratique basée sur des résultats (électoraux) qui ne peuvent pas être vérifiés», a déclaré M. Borrell, à l’issue d’une réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l’UE à Bruxelles.

Maduro continue d’ignorer les manifestations nombreuses et massives de l’opposition qui considère avoir emporté l’élection avec plus de 60 % des voix.

Notons qu’en France, Mélenchon soutient inconditionnel de Maduro n’a pas osé s’exprimer sur cette élection truquée du bolivarisme.

Destitution de Macron : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

 Destitution de Macron  : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

Le Parti socialiste (PS)  s’est désolidarisé de ses alliés « Insoumis » qui ont menacé dans un texte publié dans La Tribune Dimanche d’engager une procédure de destitution contre Emmanuel Macron, faisant disparaître toute chance de voir cette procédure aboutir.

«Cette tribune n’est signée que par les dirigeants de LFI, a souligné Olivier Faure sur X. Elle n’engage que leur mouvement. La réponse à une nomination d’un PM qui ne serait pas conforme à la tradition républicaine, est la censure.»

 

Même s’il avait été soutenu par tout le NFP, cet «avertissement solennel» des Insoumis aurait été complexe à mettre en place: une procédure de destitution nécessite en effet de convaincre Assemblée et Sénat de se constituer en «Haute cour». Ce qui nécessite, notamment, une majorité des deux tiers dans chaque hémicycle, puis lors du vote de tous les parlementaires.

D’autres membres du PS se sont désolidarisés de la proposition de LFI, comme l’opposant interne à Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol. «Discutée ? Non. Approuvée ? Non. Engageant le NFP ? Non. Cette tribune – ni fait ni à faire – n’engage que ses auteurs», a écrit sur X le maire de Rouen

 

Santé: Trop de viande rouge, de sel, de sucres et pas assez de fibres, de fruits, de légumes

L’alimentation peut être positive ! C’est le cas quand elle favorise la santé en combinant deux approches clés : l’adoption d’un régime méditerranéen et la réduction de la consommation de sucres non essentiels qui sont ajoutés par l’industrie agroalimentaire dans différentes familles de produits (gâteaux, biscuits pour goûter, sodas, etc.) Et l’alimentation peut aussi être durable quand elle contribue à la diminution de la production de gaz à effet de serre. Les changements socioéconomiques, influencés par la grande distribution et les géants de l’agroalimentaire, éloignent les individus des choix alimentaires sains comme le régime méditerranéen. Le principal problème réside en l’accessibilité trop facile de produits ultra-transformés, trop riches en sucres et graisses et souvent peu coûteux. En France, la crise agricole récente a également mis en lumière les déséquilibres dans la chaîne alimentaire, en montrant la nécessité de repenser notre approche de sa production, de sa distribution et de sa consommation. Pour faire le lien avec la santé, il est clairement établi que l’hyperalimentation devient le principal défi de santé publique, bien que la pénurie alimentaire reste une préoccupation majeure pour bon nombre de personnes dans le monde. Sont en cause : l’augmentation de la taille des portions, leur plus grande densité énergétique, l’alimentation industrielle en excès, la grande disponibilité de l’alimentation, et l’évolution des prix alimentaires qui sont tous des éléments qui favorisent des repas trop riches en calories. Ce type de régime, couramment appelé « régime occidental », est à l’origine d’une prise de poids excessive. Ainsi, l’obésité est un véritable problème de santé publique, que ce soit en France ou au niveau mondial. En France, une personne sur deux est en surpoids et 17 % de la population souffre d’obésité.Une vaste étude épidémiologique montre que les facteurs de risque alimentaires sont responsables de plus de 11 millions de décès par an dans le monde, un chiffre qui date de 2017. Et il est prévu qu’il continue de croître dans les années à venir.

 

par , MCU-PH en physiologie, faculté de médecine, Université de Strasbourg et Doctorante, Université de Strasbourg dans The Conversation 

Les maladies cardiovasculaires constituent la principale cause de décès liés à une alimentation inadéquate, totalisant 10 millions de décès, suivies des cancers (environ 1 million) et du diabète de type 2 (environ 340 000).Il est également alarmant de constater, toujours selon cette étude, que plus de 5 millions de décès liés à l’alimentation (représentant 45 % du total) surviennent chez des adultes de moins de 70 ans.

Les principaux facteurs de risque alimentaires incluent un faible apport en céréales complètes (issues du petit-déjeuner, du pain, du riz, des pâtes, etc.) et une consommation insuffisante de fruits et de légumes.

En revanche, dans cette alimentation occidentale, l’apport en sodium (le sel dans le langage courant) est trop élevé, notamment dans les plats préparés. Elle est également marquée par une surconsommation de sucre ajouté, de viande rouge, d’acides gras trans et de viandes transformées (charcuterie), ainsi qu’un faible apport en certaines céréales, légumineuses (lentilles, haricots secs…), produits de la mer et en calcium.

Des études montrent clairement que le risque de cancer colorectal peut être réduit en prenant en compte ces facteurs de risque dans nos habitudes alimentaires, notamment en réduisant la consommation de viande rouge, d’abats et de charcuterie.

Pour la sixième année consécutive, le régime méditerranéen a été désigné comme le meilleur régime à suivre en 2023 par le « US News and World Report ». Il est à présent universellement reconnu comme un des modèles d’alimentation de référence pour une bonne santé.

Le terme « régime méditerranéen » désigne un mode alimentaire établi dans le bassin méditerranéen depuis des millénaires, reposant sur l’utilisation des ressources locales. Au cours des 30 dernières années et après plus de 3000 références d’articles scientifiques publiés dans le monde, ce régime s’est avéré être un allié précieux pour la santé, dans la prévention de l’infarctus, de l’accident vasculaire cérébral, du diabète, de certains cancers…

Dès les années 1990, en France, Michel de Lorgeril et ses collaborateurs ont mis en lumière les effets protecteurs du régime méditerranéen contre les maladies cardiovasculaires. Ces études ont largement démontré les bienfaits de ce régime sur de vastes échantillons de population.

Ces effets bénéfiques s’expliquent notamment par la présence d’aliments aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, ainsi que par son efficacité globale dans le contrôle du poids et la réduction de l’obésité.

Le régime méditerranéen apporte une multitude de bienfaits pour la santé grâce à sa variété d’aliments nutritifs. Les produits de la mer, comme les sardines, le saumon et le maquereau, fournissent des acides gras oméga-3 essentiels, tandis que l’huile d’olive extra vierge, principale source de graisse dans ce régime, est riche en molécules actives bénéfiques.

Les fruits et légumes occupent une place prépondérante dans le régime méditerranéen, offrant une grande diversité de nutriments tels que les fibres, le potassium, la vitamine C et les polyphénols. Des études ont démontré que leur consommation réduisait le risque de maladies cardiovasculaires, d’accident vasculaire cérébral, de diabète de type 2, de cancer du côlon rectal et de prise de poids.

Les légumineuses, les céréales et les oléagineux sont également des composantes importantes de ce régime, riches en fibres, en vitamines et en minéraux. En particulier, la consommation de noix, amandes ou encore noisettes est cruciale en raison de leur teneur en acides gras monoinsaturés et polyinsaturés ainsi qu’en flavonoïdes (des antioxydants présents dans le thé, le cacao, les pommes… qui appartiennent à la grande famille des polyphénols).

Il convient également de réduire la consommation de sucres non essentiels ajoutés artificiellement à notre alimentation via les produits industriels notamment. L’objectif est de réduire les pics de glycémie (ou taux de sucre dans le sang) pour éviter les coups de fatigue et le stockage de graisses.

Limiter les aliments à indice glycémique élevé (le sucre blanc raffiné, pain blanc, viennoiseries, les pommes de terre cuites…) et favoriser les sucres lents (la famille des féculents par exemple) et nutriments complets (farine complète, riz et pain complets…) est recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et, en France, par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).

L’OMS suggère de limiter les sucres ajoutés à moins de 25 g par jour (soit cinq cuillères à café environ). Les sucres libres sont présents dans les aliments transformés et les boissons telles que les jus de fruits et les sodas. Réduire leur consommation de moitié est recommandé par les organismes officiels pour lutter contre le diabète et l’obésité.

Or, le régime méditerranéen limite naturellement les sucres rapides. Limiter les sucres et augmenter les lipides, selon la littérature scientifique, favorise la perte de poids et améliore la santé globale. C’est notamment la stratégie adoptée quand on met en place un régime dit cétogène.

Manger mieux pour sa santé est également bénéfique pour l’environnement. L’agriculture intensive, telle qu’elle est pratiquée depuis les années 1960, a certes des rendements extraordinaires, mais elle épuise les sols et pollue l’environnement.

L’émission de méthane par les ruminants y joue un rôle majeur. La prise de conscience récente des limites des ressources naturelles et de la pollution des sols, de l’air et de l’eau, pousse vers une nouvelle agriculture, l’agriculture axée sur le développement durable.

En France, l’agriculture est le deuxième poste d’émission de gaz à effet de serre avec 19 % du total national.

Ainsi, il est primordial que l’agriculture contribue à l’effort général de réduction des émissions de gaz et c’est donc à nous, citoyens de ce monde, de pousser tous les acteurs, des politiciens à la grande distribution, à diminuer cette production.

Pour concrétiser nos recherches, nous avons créé le site Internet Mes meilleurs menus qui propose un programme de menus hebdomadaires. Ce programme a été réalisé grâce aux méta-analyses publiées dans les plus grandes revues scientifiques internationales et en tenant compte des recommandations officielles.

Ces menus s’appuient sur une alimentation méditerranéenne à faible indice glycémique, équilibrée en 25 nutriments essentiels et personnalisée en fonction du poids, de l’âge, du sexe et du niveau d’activité physique.

Ce service est offert gratuitement. L’objectif est également d’inciter la population à adopter de bonnes habitudes alimentaires sans culpabilité.

D’autres sites fournissent des repères pour mieux connaître la qualité des aliments et manger mieux comme la table de composition nutritionnelle de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).

A nous de nous rapprocher de nos agriculteurs, de nos fermes, afin de consommer local en privilégiant les produits de saison,ce qui favorise une alimentation saine et durable.

Fed : pas de baisse des taux

Fed : pas de baisse des taux.

Pas de baisse des taux aux États-Unis où l’économie demeure dynamique avec des risques toujours de maintien d’inflation. Maintien donc des taux d’intérêt dans la fourchette de 5,25 à 5,50% dans laquelle ils se trouvent depuis un an. Avec la promesse peut-être d’une baisse en septembre en fonction de la croissance et de l’emploi.

Le comité de politique monétaire de la Fed, le FOMC, «est attentif aux risques pesant sur les deux aspects de son mandat», à savoir des prix stables et le plein-emploi, ont souligné ses responsables dans le communiqué publié à l’issue de leur réunion. Cela marque une évolution, puisque le précédent communiqué mentionnait les risques d’inflation uniquement.

La  banque centrale américaine se préoccupe aussi des risques pesant sur l’emploi également, et non plus seulement sur l’inflation.

Le taux de chômage de juillet sera publié vendredi, et est attendu stable par rapport à juin, à 4,1%, avec des créations d’emplois moins nombreuses cependant. Si la Fed craint de commencer trop tôt à abaisser ses taux, ce qui risque de provoquer une nouvelle flambée de l’inflation, elle veille également à ne pas le faire trop tard, ce qui pourrait alors faire augmenter le chômage. e l’argent à zéro.

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