Archive pour le Tag 'pas'

Page 111 sur 118

Sondage : Sarkozy moins bien que Hollande !! C’est pas possible !

Sondage : Sarkozy moins bien que Hollande !! ‘C’est pas possible !

 

Ce n’est pourtant pas facile mais Sarkozy ferait moins bien que Hollande s’il était président. pour 50% des Français Autant dire alors qu’on serait alors  proche de la nullité totale. Mais  45% pense nt au contraire qu’il ferait « plutôt mieux », selon un sondage BVA publié ce dimanche dans Le Parisien- . En fait ce sondage traduit surtout le discrédit des responsables politiques ; Il donne auusi une image correcte  de Hollande globalement sympathique mais incompétent. Selon ce baromètre, seuls 24% des personnes interrogées ont une bonne opinion de François Hollande (contre 76% en ayant une mauvaise) et 22% trouvent qu’il est un bon président (contre 77%). A la veille de sa troisième interview du 14 juillet, le chef de l’Etat reste « un homme sympathique » pour 51% des Français et 42% le jugent « proche des gens » et « ayant des convictions profondes ». Mais ils ne sont que 31% à le trouver « courageux » et 26% « compétent », 22% à juger qu’il « dit la vérité aux Français », 20% à penser qu’il « sait où il va » et 19% qu’il est « capable de prendre les décisions qui s’imposent ». Seuls 12% jugent qu’il est « solide » et « ayant de l’autorité », 11% le trouvent « dynamique » et 9% « charismatique ». Deux Français sur trois (66%) considèrent que François Hollande ne va pas assez loin dans les réformes (contre 19%) et 71% (contre 26%) pensent qu’à la fin de son mandat en 2017, la situation de la France sera encore moins bonne qu’aujourd’hui. Pour autant, les Français pensent que la plupart des personnalités politiques, de droite comme de gauche, feraient « plutôt moins bien » que lui si elles étaient actuellement à l’Elysée à sa place. C’est le cas notamment de son prédécesseur Nicolas Sarkozy (50% contre 45% qui jugent qu’il ferait « plutôt mieux »), de François Bayrou (50% contre 44%), de François Fillon (53% contre 42%), de Martine Aubry (60% contre 33%), de Marine Le Pen (65% contre 30%), de Ségolène Royal (65% contre 28%), d’Arnaud Montebourg (71% contre 22%) et de Jean-Luc Mélenchon (76% contre 18%). Seuls Manuel Valls et Alain Juppé feraient « plutôt mieux » (respectivement 56% et 55%) que François Hollande, selon les personnes interrogées. Ce sondage a été réalisé par téléphone et internet les 10 et 11 juillet auprès d’un échantillon de 1.050 personnes représentatif de la population de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

Montebourg : « Je ne suis pas le prince Potemkine »

Montebourg : « Je ne suis pas le prince Potemkine »

 

Pour Montebourg, c’est clair,  il n’est pas là pour cacher la misère aux yeux du monarque ( Hollande). Il conteste évidemment la politique d’austérité de  Hollande mais au passage égratigne Sapin, le nouvel « ami de la bonne fiance ». Arnaud Montebourg estime qu’il ne s’écarte pas de la ligne du gouvernement quand il propose de consacrer un tiers des 50 milliards d’euros d’économies publiques prévues sur la période 2015-2017 aux ménages sous forme de baisses d’impôts. « Je suis chargé de trouver des solutions pour remettre en marche l’économie », a déclaré vendredi sur France Inter le ministre de l’Economie et du Redressement productif. « J’ai expliqué qu’il fallait amplifier une politique déjà menée par le Premier ministre » avec les baisses d’impôts pour les ménages modestes prévues dans le projet de loi de finances rectificative débattu au Parlement, a-t-il ajouté. Lors d’un discours sur le redressement économique de la France, Arnaud Montebourg a fustigé jeudi les politiques d’austérité imposées selon lui par l’Union européenne et défendu la nécessité d’un rythme moins contraignant de consolidation budgétaire. Sans remettre en cause le programme d’économies de 50 milliards d’euros, il a proposé qu’il serve pour un tiers à réduire les déficits, un tiers à baisser les charges des entreprises et un tiers à réduire la fiscalité des ménages. Il se démarque ainsi du Pacte de responsabilité et de solidarité qui fait la part belle aux entreprises et ne prévoit jusqu’ici que cinq milliards d’euros de baisses d’impôts pour les ménages les plus modestes dans les trois ans qui viennent. Interrogé sur LCI/Radio Classique, le ministre des Finances Michel Sapin a voulu retenir qu’Arnaud Montebourg défendait « les deux piliers qui font la cohérence de la politique gouvernementale », à savoir les baisses de charges pour redresser la compétitivité des entreprises et les économies qui serviront à les financer. « Je ne l’ai pas entendu prendre rendez-vous pour 2017″, a-t-il dit en réaction à ceux qui ont vu dans le discours du ministre de l’Economie une véritable déclaration de politique générale. Arnaud Montebourg a indiqué sur France Inter que ses « coups de griffe » visaient non pas la politique suivie jusqu’à présent « mais l’Union européenne et l’ensemble des dirigeants européens » alors que les résultats de l’UE en termes de croissance sont « catastrophiques ».   »Il faut se réveiller, bouger un peu tout le monde », a-t-il déclaré en ajoutant qu’il était dans son rôle en tant que ministre de l’Economie et qu’il n’était pas le « prince Potemkine, le conseiller de Catherine II de Russie qui déployait des décors sur le passage de la tsarine pour cacher la misère. » A la question de savoir ce qu’il ferait s’il n’était pas suivi, il a répondu : « Je ne me situe pas dans cette perspective (…) mais on ne peut pas rester dans le statu quo, c’est cela mon message. »  Arnaud Montebourg a par ailleurs égratigné Michel Sapin pour avoir déclaré le week-end dernier « Mon amie, c’est la finance, la bonne finance », même s’il l’a bien distinguée de la « mauvaise finance », dans un clin d’œil au grand discours électoral de François Hollande, début 2012 au Bourget, quand il avait proclamé « Mon véritable adversaire, c’est la finance. » Pour le ministre de l’Economie, son colocataire de Bercy a peut-être voulu faire un bon mot « mais si c’était un bon mot, il a raté son objectif ».

 

Sondage conférence sociale : les partenaires sociaux pas représentatifs pour 76% des Français

Sondage conférence sociale : les partenaires sociaux pas représentatifs pour 76% des Français

 

Apparemment les Français sont fatigués du simulacre de dialogue social et des dissensions ; ils souhaitent que Hollande décide enfin. Pour les Français, les syndicats ne sont plus représentatifs. « Quitte à mécontenter certains partenaires » sociaux, une majorité de Français souhaite que le gouvernement « tranche » sur l’économique et le social dans le cadre des discussions de la conférence sociale, selon un sondage publié ce samedi.  Une majorité de Français, 53%, souhaite que le gouvernement « tranche quitte à mécontenter certains partenaires » sociaux en matière économique et sociale, selon un sondage BVA pour i-Télé rendu public ce samedi 12 juillet 2014. Au lendemain de la troisième conférence sociale du quinquennat de François Hollande qui s’est achevée sur un goût d’échec avec notamment le boycott de certains syndicats, les Français semblent plébisciter la fermeté et la rapidité de la part de l’exécutif. A l’inverse, ils sont 44% à souhaiter que le gouvernement « continue à réunir les partenaires sociaux afin qu’ils se mettent d’accord ». Pour le reste, 3% ne se prononcent pas. La méthode du « passage en force » séduit toutefois beaucoup moins la base électorale de la gauche. Ils sont 36% à la plébisciter chez les sympathisants de gauche contre 66% parmi les sympathisants de droite. Cet appel à des solutions rapides dans le domaine économique et social n’est sans doute pas étranger à la crise de légitimité dont souffrent les syndicats. Ainsi, une écrasante majorité des sondés, 76%, estiment que les partenaires sociaux présents aux négociations ne les représentent pas. « Cette défiance traverse toutes les catégories de la population : que les Français soient salariés (73%), à leur compte (93%) ou chômeurs (80%), qu’ils soient cadres supérieurs (81%), employés (76%) ou encore ouvriers (68%) », note la directrice de BVA Opinion.

 

 

Bac 2014 :  » pas bradé à 88% », (Hamon)

Bac 2014 :  » pas bradé à 88% », (Hamon)

 

 

Chaque année ou presque, surtout quand les gouvernements sont en recherche de popularité, le Bac bat des records de réussite. Cette année près de 88%. Certains se sont encore étonnés de ce nouveau record (d’autant que les enquêtes internationales montrent une nette dégradation générale de l’enseignement en France). Benoît Hamon est revenu sur les résultats du bac vendredi 11 juillet. Le ministre de l’Éducation s’est félicité des bons résultats et a rejeté les critiques, qui affirment que le diplôme aurait été donné. « Le niveau s’améliore », s’est félicité Benoît Hamon vendredi au sujet des taux de réussite au baccalauréat. « Personne ne le donne », s’est défendu le ministre de l’Éducation, assurant qu’il « n’y a pas d’objectif de faire un point de plus [de réussite] chaque année. » Pour Benoît Hamon, « on ne peut pas dire que le bac a été bradé». Le ministre en a profité pour rappeler son combat contre les inégalités sociales. « Les déterminismes sociaux pèsent beaucoup sur votre destin scolaire », a-t-il estimé. Or selon lui, « il existe des phénomènes d’autocensure », notamment chez « les jeunes issus des milieux défavorisés », alors que  »personne n’a le monopole de l’ambition ». Conséquence : le gouvernement va  »réformer les programmes, revoir les modes d’évaluation et d’orientation », a annoncé Benoît Hamon.

 

Mondial foot 2014 : Suarez ne jouera pas avec une muselière

Mondial foot  2014 : Suarez ne jouera pas avec une muselière

 

 

Pour écourter la durée de la sanction, certains avaient imaginé imposer une muselière à Suarez pour l’empêcher de morde les joueurs. Mais La Fifa a rejeté les appels de la Fédération uruguayenne de football et de Luis Suarez, qui contestaient les sanctions infligées pour avoir à nouveau  mordu un joueur lors de la Coupe du monde au Brésil. La peine infligée au joueur uruguayen Luis Suarez pour avoir mordu un joueur lors de la Coupe du monde 2014 ne sera pas allégée. Il devra bien respecter ses neuf matches de suspension en sélection et quatre mois d’interdiction de toute activité liée au football. Les appels de la Fédération uruguayenne de football et de Luis Suarez lui-même ont été rejetés, a annoncé la Fifa ce jeudi 10 juillet.  La Fifa a précisé que la Fédération uruguayenne et le joueur pouvaient tout de même tenter un recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) à Lausanne. Luis Suarez ne peut donc pas s’entraîner avec son club, Liverpool, pendant cette période. Il peut seulement être transféré dans un autre club et passer une visite médicale préalable à ce mouvement. Des discussions seraient d’ailleurs engagées entre Liverpool et Barcelone à ce sujet, ont indiqué certains médias début juillet. L’incident avait eu lieu le 24 juin à Natal. Les images télé avaient montré Suarez venir dans le dos du défenseur Giorgio Chiellini et le mordre à une épaule. Le joueur avait nié dans un premier temps, y compris devant la Fifa au moment de présenter sa défense. Puis l’Uruguayen, une fois lourdement sanctionné, avait fini par reconnaître sur sa page Facebook :  »Il est certain que mon confrère Giorgio Chiellini a subi dans son duel avec moi les effets physiques d’une morsure ». L’affaire avait suscité de nombreuses réactions indignées dans le monde mais Suarez avait bénéficié de nombreux soutiens dans son pays, dont celui du président de la République José Mujica. Le chef de l’Etat avait notamment taxé la Fifa de « bande de vieux fils de putes ». José Mujica, qui avait dit auparavant n’avoir vu Suarez « mordre personne », a aussi qualifié de « fasciste » la sanction infligée au joueur. Giorgio Chiellini avait réagi aux excuses de l’attaquant de Liverpool en assurant que l’affaire faisait partie du passé. « Tout est oublié. J’espère que la Fifa réduira ta suspension », avait écrit l’Italien, qui avait déjà jugé « excessive » la punition de Suarez.

SNCM : « pas compétitive» (Cuvelier)

SNCM : « pas compétitive» (Cuvelier)

Pour la SNCM, c’est six mois de gagnés ou de perdus puisque vraisemblablement la question du plan de redressement ne sera pas décidé avant la fi de l’année. Du coup la grève va cesser mais rien n’aura été réglé et les conséquences économiques sont dramatiques. Pourtant il y a plus de 20 ans que cette compagnie mal gérée souffre d’un manque de compétitivité et vit au crochet des collectivités. Locales et de l’Etat. En clair la situation de sureffectifs de la SNCM n’est plu us tenable. C’est que dit enfin le secrétaire d’Etat aux transports.  Alors que la fin de la grève se dessine à la SNCM, Frédéric Cuvillier fait le point sur la situation de l’entreprise dans une interview accordée à Libération . Le secrétaire d’État aux Transports estime notamment que le principal problème de la SNCM est son manque de compétitivité. «La question la plus urgente, c’est d’arrêter cette grève qui risque de précipiter une issue fatale pour l’entreprise», souligne t-il. «Alors que la trésorerie de la SNCM devait sortir confortée de cette période estivale où l’activité bat son plein, la grève, par l’absence de recettes, creuse encore plus le déficit de la compagnie.» Frédéric Cuvillier attaque également les syndicats et cible plus particulièrement la CGT qu’il accuse de «mentir». Il rappelle que «les discours caricaturaux ne sont jamais constructifs» et que «ce n’est pas en achetant la paix sociale qu’on règle le problème». Il renouvelle son soutien à l’entreprise et appelle de ses vœux son placement en redressement judiciaire. «Il faut que les salariés comprennent qu’un redressement judiciaire, ce n’est pas comme ils l’affirment une ‘dislocation’ de la société. C’est une protection de la justice dans une situation d’extrême fragilité», défend le secrétaire d’État. «On ne peut pas faire comme s’il n’y avait pas de problème de sureffectif.» Frédéric Cuvillier, secrétaire d’État aux Transports  S’il s’oppose à ce que l’État mette à nouveau la main à la poche, il rappelle que «lorsqu’il y a eu un problème de trésorerie en décembre, l’État a mis avec Veolia-Transdev plusieurs dizaines de millions d’euros». Mais un redressement de la compagnie ne pourra pas se faire sans des suppressions d’emplois. Frédéric Cuvillier joue franc-jeu en estimant «qu’on ne peut pas faire comme s’il n’y avait pas de problème de sureffectif» à la SNCM. Néanmoins, il souligne que «l’Etat sera vigilant à ce qu’un maximum d’emplois soient préservés» et que les salariés licenciés puissent bénéficier de «bonnes conditions» de départ. Le secrétaire d’État espère pour la SNCM un destin à la My Ferry Link, qu’il estime être «un exemple» pour la compagnie méditerrannéenne. «Et faut-il rappeler que My Ferry Link n’a pas de délégation de service public sur la Manche? Contrairement à la SNCM qui a cette chance», signale-t-il. Les prochains mois seront décisifs pour la compagnie maritime, alors que Frédéric Cuvillier se réjouit qu’un compromis «semble se dessiner pour sortir de la crise».

 

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

 

Nicolas Sarkozy est toujours le champion à l’UMP, dont 78% des sympathisants souhaitent qu’il soit candidat en 2017, mais est rejeté par l’ensemble des Français, 59% ne voulant pas qu’il se présente, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. A la question « souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à l’élection présidentielle » de 2017?, 78% des sympathisants répondent oui, contre 22% non. La proportion est inverse avec l’ensemble des Français : 41% veulent sa candidature, 59% non. Les sympathisants UMP sont favorables à 52% à une candidature du maire de Bordeaux, Alain Juppé, 47% n’y étant pas favorable (1% ne se prononcent pas). 45% des Français souhaitent sa candidature, 54% n’y sont pas favorables (1% ne se prononcent pas). François Fillon obtient les mêmes résultats que Juppé auprès de l’ensemble des Français. 52% des sympathisants UMP ne veulent pas sa candidature (47% oui, 1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP souhaitent à 68% que Sarkozy, mis en examen notamment pour corruption active, soit candidat à la présidence de l’UMP en novembre, 32% ne le veulent pas. 39% des Français le désirent, 60% non (1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP verraient pour 64% d’entre eux d’un bon œil une candidature d’Alain Juppé et pour 58% celle de Fillon. A la question « qui incarne aujourd’hui le mieux le renouveau de l’UMP? », 23% des sympathisants UMP répondent François Baroin (18% des Français), devant Nathalie Kosciusko-Morizet (15% à l’UMP, 17% de l’ensemble des Français), Bruno Le Maire (14%, 16%), Xavier Bertrand (12% à l’UMP, 14% de l’ensemble), Laurent Wauquiez (9%, 8%), Valérie Pécresse (8%, 10%) et Hervé Mariton (2%, 2%).  16% des sympathisants UMP ne répondent « aucune de ces personnalités », comme 9% des Français.  4% ne se prononcent pas à l’UMP, (3% de l’ensemble). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 4 et 5 juillet auprès d’un échantillon représentatif de 968 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

Renzi: la Bundesbank n’a pas à s’immiscer dans la politique italienne

Renzi: la Bundesbank n’a pas à s’immiscer dans la politique italienne

Renzi  a renvoyé la Bundesbank dans se baskets en considérant que les banquiers fussent-ils allemands n’avaient pas à diriger l’Europe. Une passe d’armes par médias interposés a lieu entre le président du Conseil italien, Matteo Renzi, et celui de la Bundesbank, Jens Weidmann. Selon le journal Sole 24 Ore, ce dernier aurait affirmé que Matteo Renzi nous dit ce que « nous devons faire, mais creuser la dette n’est pas un préalable à la croissance », en référence à la volonté du dirigeant transalpin d’obtenir des assouplissements sur le calcul du déficit public au niveau européen. Ce vendredi 4 juillet, le chef du gouvernement italien a répliqué. « La mission de la Bundesbank est de garantir le respect de ses objectifs statutaires et pas de participer au débat politique italien », a-t-il affirmé d’une conférence de presse marquant le début de la présidence italienne de l’Union européenne. « Je respecte le travail de la Bundesbank, et si elle a envie de parler avec nous, elle est la bienvenue, mais en partant du principe que l’Europe appartient à ses citoyens, et que ce n’est pas l’Europe des banquiers, ni allemands ni italiens », a-t-il ajouté.  Matteo Renzi a assuré qu’il n’y avait « pas de polémique avec les politiciens allemands », ajoutant que Berlin avait « confirmé qu’il n’y a aucune polémique entre [eux] et le gouvernement allemand sur la gestion de la flexibilité et la stabilité ». Ma conviction est « qu’il faut surtout partager et être d’accord sur les règles que nous nous sommes fixées, qui parlent de stabilité, mais aussi de croissance », a-t-il dit, parce que « sans croissance, on détruit un morceau de notre avenir ». « Il n’y a pas de stabilité sans croissance et pas de croissance sans stabilité », a-t-il insisté. Le Premier ministre a rappelé qu’il avait « gagné les élections en disant que [leur] problème n’est pas l’Allemagne mais de résoudre les problèmes de l’Italie », assurant de nouveau de sa volonté de réformer « en profondeur » son pays.

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

 

 

C’est le verdict des Français, un avis finalement assez équilibré, les Français ont été peu convaincus par l’honnêteté de Sarkozy mais ont reconnu son dynamisme. Finalement c’est toujours la même problématique qui se pose depuis des années faut-il  choisir un homme plutôt intègre  mais mollasson (type Hollande) ou un dynamique (type .Sarko ou DSK) pas trop honnête.  Pas de réponse vraiment claire des Français car seulement  un Français sur deux (52%) n’a pas été convaincu par les explications de Nicolas Sarkozy sur sa mise en examen lors de son interview télévisée, selon un sondage Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale publié jeudi. On objectera qu’au-delà des discours et des tempéraments les politiques n’ont finalemenet pas été très éloignées entre Sarko et Hollande (l’un n’a pas fait une politique de droite et l’autre pas une vraie politique de gauche). D’où sans doute le désarroi général vis-à-vis des partis classiques.  . Selon le même sondage, les Français paraissent partagés de façon générale après l’intervention de Nicolas Sarkozy, 49% ne le trouvant pas convaincant (17% plutôt pas convaincant et 32% pas du tout convaincant) et 47% convaincant (16% très convaincant et 31% plutôt convaincant). Concernant le supposé manque d’indépendance de la justice, dénoncé par l’ancien chef de l’Etat, 45% des sondés ont été « convaincus » par ses arguments, contre 51% qui ne l’ont pas été. En ce qui concerne les qualificatifs attribués par les sondés à Nicolas Sarkozy, 33% le considèrent « honnête » (+1 par rapport à octobre 2013), 73% « dynamique » (-2 par rapport à octobre 2013), 40% considèrent qu’il dirigerait bien la France s’il était à nouveau président de la République (-5 par rapport à la même période) et 52% (-2) compétent. L’enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 juillet auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

 

Chômage : pas de baisse avant 2016-2017 d’après le FMI

Chômage : pas de baisse avant 2016-2017 d’après le FMI

 

Dans un rapport consacré à la France, le FMI a aussi prévenu qu’il n’attendait pas de décrue « notable » du chômage avant 2016.Et sans doute même 2017 compte tenu des  prévisions de croissance encore une peu optimistes .  Le taux de chômage devrait selon le FMI être stable à 10,3% cette année, puis 10,2% en 2015, 10% en 2016, 9,7% en 2017, 9,4% en 2018 et ne s’améliore pas (ce qui va se passer en 2014 où le gouvernement prévoit 1% pour le PIB, le FMI 0.7% et nombre d’observateurs plus neutres 0.5%)°L’institution basée à Washington diverge aussi du gouvernement pour ses prévisions de déficit public : elle l’estime à 4% du Produit intérieur brut cette année, là où Paris attend 3,8%. Le FMI prévoit un déficit à 3,4% l’an prochain, 2,7% en 2016, 2,1% en 2017, 1,2% en 2018 et 0,3%, quasiment l’équilibre, en 2019. En avril, le FMI estimait que le déficit public français pourrait être contenu à 3% dès l’an prochain.  Les prévisions économiques du Fonds monétaire international (FMI) pour la France ont été revues à la baisse, ce jeudi 3 juillet. Le FMI estime la croissance française cette année à 0,7% contre 1% lors de sa précédente prévision en avril. Le chômage ne devrait pas non plus baisser d’ici 2016, selon l’institution internationale. Le FMI attend 1,4% de croissance en 2015, 1,7% en 2016, 1,8% en 2017 puis 1,9% en 2018 et 2019. Le gouvernement français espère, lui, 1% cette année, une prévision à laquelle peu d’économistes et organisations internationales croient encore.  Le FMI évite d’accabler le pouvoir français, mais signale qu’il surveillera de près la mise en œuvre des réformes annoncées. Il salue « un ensemble cohérent de réformes basé sur une compréhension correcte des problèmes », une stratégie « ambitieuse » et juge que « le rythme et les moyens de consolidation budgétaire choisis sont les bons ». Le FMI déconseille donc à la France de pratiquer encore plus d’austérité, quitte à ce que son déficit dépasse l’an prochain le seuil de 3% du PIB fixé par les règles européennes. Mais il s’inquiète des « pressions (politiques et sociales) qui pourraient s’accroître alors que des réformes difficiles sont lancées » et juge qu’il « faudrait y résister car il y a peu de marge de manœuvre ». « Les mesures d’offre sont bienvenues » mais doivent, selon le FMI, « être dopées par des réformes du marché du travail » et une plus grande ouverture à la concurrence de certains marchés. Le FMI plaide depuis un moment pour une flexibilisation du Smic. Le Fonds souhaite également un « dialogue social plus coopératif » en France.

 

Cadres : pas de reprise de l’emploi

Cadres : pas de reprise de  l’emploi

Le nombre de recrutements de cadres devrait atteindre 163.200 cette année en France, soit le même niveau qu’en 2013 (163.400), selon l’estimation publiée vendredi par l’Association pour l’emploi des cadres (APEC). « Il faudra attendre 2015 et surtout 2016 pour retrouver un potentiel de reprise, et les niveaux d’embauches d’avant crise, proches de ceux observés en 2008″, explique Jean-Marie Marx, directeur général de l’APEC, dans un communiqué Les recrutements atteindraient ainsi 181.900 l’an prochain (+11%) et 199.700 en 2016 (+10%). Les jeunes issus de l’enseignement supérieur et les seniors auront davantage de difficultés cette année, sur un marché qui va rester favorable aux cadres ayant de un à 15 ans d’expérience, poursuit l’APEC.

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

 

Effet de la crise sans doute mais auusi nouveau rapport culturel à la voiture qui redevient un simple outil de déplacement. Du coup les français choisissent surtout des modèles low-cost dépourvu d’équipements sophistiqués  (souvent inutiles) qui augmentent le prix de 5000 à 100 00 euros pour les petites voitures.  Sur les six premiers mois de l’année 2010, à peine plus de 3000 Dacia avaient été immatriculées en France. Au premier semestre 2014, elles étaient plus de 60.000. Cette performance illustre l’appétit des Français pour cette marque low-cost, filiale de Renault. En France, les immatriculations de voitures neuves, publiées le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), ne correspondent pas seulement aux voitures achetées par les particuliers, mais également par les entreprises, les administrations ou les loueurs. Les Français qui achètent des voitures neuves ne représentent même qu’une part relativement faible du total. Entre janvier et mai, 52 % des voitures immatriculées l’ont été par des particuliers. Sur ce marché, l’irruption de la marque Dacia a été irrésistible. Pour preuve, sur les cinq premiers mois de l’année, la Sandero occupe le deuxième rang, alors qu’elle se situe au 9e rang sur le marché global. Le SUV Duster est pour sa part 5e chez les particuliers, contre le 10e rang toute ventes confondues. Depuis le lancement de la marque en France, en 2004, la stratégie de Renault pour Dacia n’a pas varié: peu de dépenses marketing, des options simplifiées et une absence de remise. Il n’y a donc pas de ventes aux loueurs, qui demandent d’importances remises, ou aux entreprises, car le principe du low-cost passe mal. Conséquence: «Dacia s’adresse quasi exclusivement aux particuliers, avec 85 % de ses ventes», détaille Benard Cambier, directeur commercial France de Renault. Dans un climat économique dégradé, cette recette a fonctionné au-delà des attentes de ses concepteurs. Chez les particuliers, Dacia affiche une part de marché de 10,2 %, contre 6,2 % au niveau global. Désormais, «Dacia est la quatrième marque auprès des particuliers, devant Volkswagen», se félicite encore Bernard Cambier. La marque allemande est pourtant appréciée par les Français, puisqu’elle place deux voitures dans le top 10 des particuliers, la Polo au 8e rang et la Golf au 10e, alors qu’elle n’en compte aucune dans le Top 10 global. Pas de quoi résister au rouleau compresseur Dacia. Aucun constructeur n’est allé concurrencer la marque low-cost sur son terrain. Pourtant, certains ont également fait des particuliers leur cible privilégiée. C’est le cas de Peugeot comme Citroën, contraintes par les soucis financiers de leur maison-mère PSA. Car ce canal de distribution est financièrement intéressant. Philippe Narbeburu, directeur commercial France de Citroën, explique ainsi avoir «privilégié les particuliers depuis le début de l’année, car il s’agit du canal le plus rentable». En juin, le recul des immatriculations de la marque aux chevrons de 6,6 % s’explique exclusivement par la baisse des ventes aux loueurs. De même, la Peugeot 208 est la numéro un chez les particuliers, quand elle reste devancée par la Renault Clio sur le marché global. Les deux marques ne peuvent cependant pas adopter une démarche aussi radicale que Dacia, car elles n’ont pas le même outil de production et que les volumes écoulés via les autres canaux de distribution sont nécessaires pour remplir leurs usines. Dacia est partie d’une feuille blanche et c’était un réel atout.

 

Telecom : Orange ne veut pas de Bouygues

Telecom : Orange ne veut pas de Bouygues

Encore une mauvaise nouvelle pour Bouygues qui a bien du mal à exister dans un marché à quarte opérateurs. Après son échec sur SFR, Bouygues vient d’essuyer le refus d’Orange pour son rachat. Bouygues Telecom ne sera pas racheté par Orange. Ce mercredi 2 juillet, le groupe dirigé par Stéphane Richard s’est fendu d’un communiqué pour indiquer ne plus vouloir acquérir d’opérateurs télécoms. « Orange a exploré les possibilités de participer à une opération de consolidation du marché français des télécoms, et juge que les conditions que le groupe avait fixées ne sont pas réunies aujourd’hui pour y donner suite », explique ainsi la société. Or, Orange avait des vues sur la filiale Telecom du groupe de Martin Bouygues. Le 16 mai dernier, Arnaud Montebourg, ministre de l’Economie avait confirmé sur BFMTV « des discussions » entre les deux opérateurs télécoms.  Puis le 28 mai dernier, Stéphane Richard avait déclaré sur BFM Business que « nous pensons qu’il n’y aura pas de chemin de retour à la croissance et à l’investissement dont nous avons besoin dans ce secteur tant que l’on restera dans un paysage à quatre opérateurs ». « Si Orange peut jouer un rôle positif et si cela est dans l’intérêt [de l'entreprise, ndlr], bien sûr que nous le ferons », avait-il ajouté. Bouygues Telecom, en difficulté depuis son échec face à Numericable dans le dossier SFR, avait également ouvert des négociations avec Iliad (Free), négociations qui n’avaient pas abouti. Le 11 juin dernier, le groupe avait annoncé l’échec de ces discussions et avait présenté un plan « pour faire un Bouygues Telecom qui vit durablement à quatre », avec une réduction des effectifs de 17% soit 1.516 postes.

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

 

 

On se demande vraiment à quoi servent les chaines publiques, e n effet un événement comme le Mondial devrait être diffusé sur le France 2 ou France 3.On objectera que les droits ont couté 130 millions à TF1 (mais une partie revendus à BeIN) ; finalement pour voir le foot  à  la télévision, il faut  bien entendu payer la redevance obligatoire mai auusi Canal pour le championnat de France et aussi à BeIN pour les matchs non diffusés par les autres. Tout cela faiat beaucoup d’abonnements.. Pas étonnant la quasi totalité du budget passe en frais de fonctionnement sur les chaines publiques notamment pour le personnel (environ 10 000 personnes ! , une véritable gabegie) pour un budget de l’ordre 3 milliards. Après la victoire des Bleus en huitième de finale, TF1 en tout cas fait le carton plein en termes d’audience et de recettes publicitaires. De fait, la première chaine a récolté plus de 40 millions d’euros de recettes publicitaires brutes depuis le début de la compétition, avance Stratégie qui cite des données de Kantar Media. D’après des estimations, ce montant brut, hors partenariats et supports numériques, correspondrait à 22 millions d’euros de recettes pub net. Près de 226 annonceurs ont déjà diffusé des messages publicitaires via les écrans pub de TF1. Apple prend la tête des diffuseurs avec 1,5 million d’euros investi, suivi par le PMU (1,4 million d’euros) et enfin Beiersdorf (1,3 million d’euros), groupe qui détient notamment de la marque Nivea. Dans le top 10 des annonceurs, le secteur automobile prend la tête du classement avec quatre constructeurs (dont Citroën et Peugeot côté français) suivi par le secteur des paris sportifs avec PMU et la FDJ.

« La France ne parvient pas à se réformer »(Attali)

« La France ne parvient pas à se réformer »(Attali)

Il a raison Attali, la France est impossible à reformer du fait des corporatismes, des rentiers mais aussi (il oublie, normal il en faiat partie) du fait de l’oligarchie en place. Visiteur du soir de Nicolas Sarkozy et François Hollande, Jacques Attali a multiplié les rapports pour libérer la France de ses blocages. Interrogé par le JDD, alors que huit organisations patronales adressent un appel au gouvernement, l’économiste dénonce l’attitude des entreprises : « Nos entreprises sont aussi conservatrices que l’État, les syndicats, les régions et les autres détenteurs de rente. Trop d’entre eux s’accrochent encore à leurs rentes. Depuis trente ans, ce repli a énormément abîmé la marque de la France. » Jacques Attali est aussi sévère envers la classe politique : « La France ne parvient pas à se réformer parce que notre pays est une juxtaposition de corporatismes et de rentiers. C’est dans son ADN : elle a choisi la terre et le foncier. » « Parce que la réforme territoriale va supprimer certaines instances locales porteuses de mandats, les sénateurs, gauche et droite confondues, vont tout faire pour la torpiller », commente-t-il à propos du report, au Sénat, de la réforme territoriale.

 

1...109110111112113...118



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol