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Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

 

 

C’est le verdict des Français, un avis finalement assez équilibré, les Français ont été peu convaincus par l’honnêteté de Sarkozy mais ont reconnu son dynamisme. Finalement c’est toujours la même problématique qui se pose depuis des années faut-il  choisir un homme plutôt intègre  mais mollasson (type Hollande) ou un dynamique (type .Sarko ou DSK) pas trop honnête.  Pas de réponse vraiment claire des Français car seulement  un Français sur deux (52%) n’a pas été convaincu par les explications de Nicolas Sarkozy sur sa mise en examen lors de son interview télévisée, selon un sondage Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale publié jeudi. On objectera qu’au-delà des discours et des tempéraments les politiques n’ont finalemenet pas été très éloignées entre Sarko et Hollande (l’un n’a pas fait une politique de droite et l’autre pas une vraie politique de gauche). D’où sans doute le désarroi général vis-à-vis des partis classiques.  . Selon le même sondage, les Français paraissent partagés de façon générale après l’intervention de Nicolas Sarkozy, 49% ne le trouvant pas convaincant (17% plutôt pas convaincant et 32% pas du tout convaincant) et 47% convaincant (16% très convaincant et 31% plutôt convaincant). Concernant le supposé manque d’indépendance de la justice, dénoncé par l’ancien chef de l’Etat, 45% des sondés ont été « convaincus » par ses arguments, contre 51% qui ne l’ont pas été. En ce qui concerne les qualificatifs attribués par les sondés à Nicolas Sarkozy, 33% le considèrent « honnête » (+1 par rapport à octobre 2013), 73% « dynamique » (-2 par rapport à octobre 2013), 40% considèrent qu’il dirigerait bien la France s’il était à nouveau président de la République (-5 par rapport à la même période) et 52% (-2) compétent. L’enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 juillet auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

 

Chômage : pas de baisse avant 2016-2017 d’après le FMI

Chômage : pas de baisse avant 2016-2017 d’après le FMI

 

Dans un rapport consacré à la France, le FMI a aussi prévenu qu’il n’attendait pas de décrue « notable » du chômage avant 2016.Et sans doute même 2017 compte tenu des  prévisions de croissance encore une peu optimistes .  Le taux de chômage devrait selon le FMI être stable à 10,3% cette année, puis 10,2% en 2015, 10% en 2016, 9,7% en 2017, 9,4% en 2018 et ne s’améliore pas (ce qui va se passer en 2014 où le gouvernement prévoit 1% pour le PIB, le FMI 0.7% et nombre d’observateurs plus neutres 0.5%)°L’institution basée à Washington diverge aussi du gouvernement pour ses prévisions de déficit public : elle l’estime à 4% du Produit intérieur brut cette année, là où Paris attend 3,8%. Le FMI prévoit un déficit à 3,4% l’an prochain, 2,7% en 2016, 2,1% en 2017, 1,2% en 2018 et 0,3%, quasiment l’équilibre, en 2019. En avril, le FMI estimait que le déficit public français pourrait être contenu à 3% dès l’an prochain.  Les prévisions économiques du Fonds monétaire international (FMI) pour la France ont été revues à la baisse, ce jeudi 3 juillet. Le FMI estime la croissance française cette année à 0,7% contre 1% lors de sa précédente prévision en avril. Le chômage ne devrait pas non plus baisser d’ici 2016, selon l’institution internationale. Le FMI attend 1,4% de croissance en 2015, 1,7% en 2016, 1,8% en 2017 puis 1,9% en 2018 et 2019. Le gouvernement français espère, lui, 1% cette année, une prévision à laquelle peu d’économistes et organisations internationales croient encore.  Le FMI évite d’accabler le pouvoir français, mais signale qu’il surveillera de près la mise en œuvre des réformes annoncées. Il salue « un ensemble cohérent de réformes basé sur une compréhension correcte des problèmes », une stratégie « ambitieuse » et juge que « le rythme et les moyens de consolidation budgétaire choisis sont les bons ». Le FMI déconseille donc à la France de pratiquer encore plus d’austérité, quitte à ce que son déficit dépasse l’an prochain le seuil de 3% du PIB fixé par les règles européennes. Mais il s’inquiète des « pressions (politiques et sociales) qui pourraient s’accroître alors que des réformes difficiles sont lancées » et juge qu’il « faudrait y résister car il y a peu de marge de manœuvre ». « Les mesures d’offre sont bienvenues » mais doivent, selon le FMI, « être dopées par des réformes du marché du travail » et une plus grande ouverture à la concurrence de certains marchés. Le FMI plaide depuis un moment pour une flexibilisation du Smic. Le Fonds souhaite également un « dialogue social plus coopératif » en France.

 

Cadres : pas de reprise de l’emploi

Cadres : pas de reprise de  l’emploi

Le nombre de recrutements de cadres devrait atteindre 163.200 cette année en France, soit le même niveau qu’en 2013 (163.400), selon l’estimation publiée vendredi par l’Association pour l’emploi des cadres (APEC). « Il faudra attendre 2015 et surtout 2016 pour retrouver un potentiel de reprise, et les niveaux d’embauches d’avant crise, proches de ceux observés en 2008″, explique Jean-Marie Marx, directeur général de l’APEC, dans un communiqué Les recrutements atteindraient ainsi 181.900 l’an prochain (+11%) et 199.700 en 2016 (+10%). Les jeunes issus de l’enseignement supérieur et les seniors auront davantage de difficultés cette année, sur un marché qui va rester favorable aux cadres ayant de un à 15 ans d’expérience, poursuit l’APEC.

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

 

Effet de la crise sans doute mais auusi nouveau rapport culturel à la voiture qui redevient un simple outil de déplacement. Du coup les français choisissent surtout des modèles low-cost dépourvu d’équipements sophistiqués  (souvent inutiles) qui augmentent le prix de 5000 à 100 00 euros pour les petites voitures.  Sur les six premiers mois de l’année 2010, à peine plus de 3000 Dacia avaient été immatriculées en France. Au premier semestre 2014, elles étaient plus de 60.000. Cette performance illustre l’appétit des Français pour cette marque low-cost, filiale de Renault. En France, les immatriculations de voitures neuves, publiées le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), ne correspondent pas seulement aux voitures achetées par les particuliers, mais également par les entreprises, les administrations ou les loueurs. Les Français qui achètent des voitures neuves ne représentent même qu’une part relativement faible du total. Entre janvier et mai, 52 % des voitures immatriculées l’ont été par des particuliers. Sur ce marché, l’irruption de la marque Dacia a été irrésistible. Pour preuve, sur les cinq premiers mois de l’année, la Sandero occupe le deuxième rang, alors qu’elle se situe au 9e rang sur le marché global. Le SUV Duster est pour sa part 5e chez les particuliers, contre le 10e rang toute ventes confondues. Depuis le lancement de la marque en France, en 2004, la stratégie de Renault pour Dacia n’a pas varié: peu de dépenses marketing, des options simplifiées et une absence de remise. Il n’y a donc pas de ventes aux loueurs, qui demandent d’importances remises, ou aux entreprises, car le principe du low-cost passe mal. Conséquence: «Dacia s’adresse quasi exclusivement aux particuliers, avec 85 % de ses ventes», détaille Benard Cambier, directeur commercial France de Renault. Dans un climat économique dégradé, cette recette a fonctionné au-delà des attentes de ses concepteurs. Chez les particuliers, Dacia affiche une part de marché de 10,2 %, contre 6,2 % au niveau global. Désormais, «Dacia est la quatrième marque auprès des particuliers, devant Volkswagen», se félicite encore Bernard Cambier. La marque allemande est pourtant appréciée par les Français, puisqu’elle place deux voitures dans le top 10 des particuliers, la Polo au 8e rang et la Golf au 10e, alors qu’elle n’en compte aucune dans le Top 10 global. Pas de quoi résister au rouleau compresseur Dacia. Aucun constructeur n’est allé concurrencer la marque low-cost sur son terrain. Pourtant, certains ont également fait des particuliers leur cible privilégiée. C’est le cas de Peugeot comme Citroën, contraintes par les soucis financiers de leur maison-mère PSA. Car ce canal de distribution est financièrement intéressant. Philippe Narbeburu, directeur commercial France de Citroën, explique ainsi avoir «privilégié les particuliers depuis le début de l’année, car il s’agit du canal le plus rentable». En juin, le recul des immatriculations de la marque aux chevrons de 6,6 % s’explique exclusivement par la baisse des ventes aux loueurs. De même, la Peugeot 208 est la numéro un chez les particuliers, quand elle reste devancée par la Renault Clio sur le marché global. Les deux marques ne peuvent cependant pas adopter une démarche aussi radicale que Dacia, car elles n’ont pas le même outil de production et que les volumes écoulés via les autres canaux de distribution sont nécessaires pour remplir leurs usines. Dacia est partie d’une feuille blanche et c’était un réel atout.

 

Telecom : Orange ne veut pas de Bouygues

Telecom : Orange ne veut pas de Bouygues

Encore une mauvaise nouvelle pour Bouygues qui a bien du mal à exister dans un marché à quarte opérateurs. Après son échec sur SFR, Bouygues vient d’essuyer le refus d’Orange pour son rachat. Bouygues Telecom ne sera pas racheté par Orange. Ce mercredi 2 juillet, le groupe dirigé par Stéphane Richard s’est fendu d’un communiqué pour indiquer ne plus vouloir acquérir d’opérateurs télécoms. « Orange a exploré les possibilités de participer à une opération de consolidation du marché français des télécoms, et juge que les conditions que le groupe avait fixées ne sont pas réunies aujourd’hui pour y donner suite », explique ainsi la société. Or, Orange avait des vues sur la filiale Telecom du groupe de Martin Bouygues. Le 16 mai dernier, Arnaud Montebourg, ministre de l’Economie avait confirmé sur BFMTV « des discussions » entre les deux opérateurs télécoms.  Puis le 28 mai dernier, Stéphane Richard avait déclaré sur BFM Business que « nous pensons qu’il n’y aura pas de chemin de retour à la croissance et à l’investissement dont nous avons besoin dans ce secteur tant que l’on restera dans un paysage à quatre opérateurs ». « Si Orange peut jouer un rôle positif et si cela est dans l’intérêt [de l'entreprise, ndlr], bien sûr que nous le ferons », avait-il ajouté. Bouygues Telecom, en difficulté depuis son échec face à Numericable dans le dossier SFR, avait également ouvert des négociations avec Iliad (Free), négociations qui n’avaient pas abouti. Le 11 juin dernier, le groupe avait annoncé l’échec de ces discussions et avait présenté un plan « pour faire un Bouygues Telecom qui vit durablement à quatre », avec une réduction des effectifs de 17% soit 1.516 postes.

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

 

 

On se demande vraiment à quoi servent les chaines publiques, e n effet un événement comme le Mondial devrait être diffusé sur le France 2 ou France 3.On objectera que les droits ont couté 130 millions à TF1 (mais une partie revendus à BeIN) ; finalement pour voir le foot  à  la télévision, il faut  bien entendu payer la redevance obligatoire mai auusi Canal pour le championnat de France et aussi à BeIN pour les matchs non diffusés par les autres. Tout cela faiat beaucoup d’abonnements.. Pas étonnant la quasi totalité du budget passe en frais de fonctionnement sur les chaines publiques notamment pour le personnel (environ 10 000 personnes ! , une véritable gabegie) pour un budget de l’ordre 3 milliards. Après la victoire des Bleus en huitième de finale, TF1 en tout cas fait le carton plein en termes d’audience et de recettes publicitaires. De fait, la première chaine a récolté plus de 40 millions d’euros de recettes publicitaires brutes depuis le début de la compétition, avance Stratégie qui cite des données de Kantar Media. D’après des estimations, ce montant brut, hors partenariats et supports numériques, correspondrait à 22 millions d’euros de recettes pub net. Près de 226 annonceurs ont déjà diffusé des messages publicitaires via les écrans pub de TF1. Apple prend la tête des diffuseurs avec 1,5 million d’euros investi, suivi par le PMU (1,4 million d’euros) et enfin Beiersdorf (1,3 million d’euros), groupe qui détient notamment de la marque Nivea. Dans le top 10 des annonceurs, le secteur automobile prend la tête du classement avec quatre constructeurs (dont Citroën et Peugeot côté français) suivi par le secteur des paris sportifs avec PMU et la FDJ.

« La France ne parvient pas à se réformer »(Attali)

« La France ne parvient pas à se réformer »(Attali)

Il a raison Attali, la France est impossible à reformer du fait des corporatismes, des rentiers mais aussi (il oublie, normal il en faiat partie) du fait de l’oligarchie en place. Visiteur du soir de Nicolas Sarkozy et François Hollande, Jacques Attali a multiplié les rapports pour libérer la France de ses blocages. Interrogé par le JDD, alors que huit organisations patronales adressent un appel au gouvernement, l’économiste dénonce l’attitude des entreprises : « Nos entreprises sont aussi conservatrices que l’État, les syndicats, les régions et les autres détenteurs de rente. Trop d’entre eux s’accrochent encore à leurs rentes. Depuis trente ans, ce repli a énormément abîmé la marque de la France. » Jacques Attali est aussi sévère envers la classe politique : « La France ne parvient pas à se réformer parce que notre pays est une juxtaposition de corporatismes et de rentiers. C’est dans son ADN : elle a choisi la terre et le foncier. » « Parce que la réforme territoriale va supprimer certaines instances locales porteuses de mandats, les sénateurs, gauche et droite confondues, vont tout faire pour la torpiller », commente-t-il à propos du report, au Sénat, de la réforme territoriale.

 

Alstom : le patron pas d’accord avec l’entrée de l’Etat

Alstom : le patron pas d’accord avec l’entrée de l’Etat

Patrick Kron se lâche pour exprimer son désaccord, d’autant plus qu’il sera bientôt invité à quitter la tête de l’entreprise. Il a avoué avoir eu  parfois des relations tendues avec le ministre de l’Economie Arnaud Montebourg. « Je n’étais pas demandeur de l’entrée de l’Etat au capital », a concédé ce dernier ; En faiat patrick Kron était en faveur du rachat pur et simple par General Electric. Pour faire bonne figure il déclare : « Je crois que la solution trouvée rassure tout le monde: EDF, Areva, comme les autorités politiques », a ainsi assuré Patrick Kron, à propos de l’épineux dossier du nucléaire français. Le dirigeant s’est également voulu rassurant concernant l’emploi. « La logique est la même: nous nous appuierons sur le même dispositif industriel et financier tout en conservant les compétences des équipes françaises », a-t-il affirmé, précisant que le contrôle opérationnel, de son côté, serait assuré par General Electric. . Cerise sur le gâteau, selon lui, « il y aura demain plus de centres de décisions en France qu’il n’y en avait hier, car le centre de décision des turbines à vapeur sera basé à Belfort ».  Sur la partie transport, Patrick Kron a estimé que son entreprise n’était pas fragilisée par la nouvelle alliance franco-américaine. Et a détaillé la façon dont sera réinjecté le cash compris dans l’échange: « une partie du cash va être réinvesti dans les coentreprises, une partie remboursera de la dette, une autre sera injectée dans Alstom Transport, une quatrième sera reversée aux actionnaires », a-t-il déclaré.

Hollande n’a pas autre chose à faire qu’à commenter le foot ? ( Sarkosy)

 Hollande  n’a pas autre chose à faire qu’à commenter le foot ? ( Sarkosy)

 

 

Incorrigible Sarko (qui veut changer le changement)  mais qui a justement critiqué Hollande (qui s’intéresse beaucoup au foot n ce moment pour faire oublier le reste) Nicolas Sarkozy a reçu le prix de l’Appel du 18 juin, décerné à une personnalité politique qui incarne les valeurs du gaullisme. Au cours d’une cérémonie à huis clos, l’ancien chef de l’État a envoyé de nombreux signes aux quelques journalistes présents dans la salle. Évoquant l’histoire, Nicolas Sarkozy a parlé de « ceux qui sont capables de la comprendre et ceux qui, au contraire, la traversent sans s’en rendre compte », dans une allusion à peine masquée à François Hollande. Plus appuyé sera le tacle lorsqu’il lâche en privé :  »Est-ce que vous croyez que les Français attendent des politiques qu’ils commentent des matches de football ? »  Dans un discours sous forme de programme, Nicolas Sarkozy a évoqué le besoin de « changer notre façon d’agir et de réfléchir ». Et de conclure par un aveu concernant ses intentions : il ne décidera pas de son avenir avant la fin du mois d’août.  »Vous pouvez partir en vacances tranquilles », a-t-il lancé aux journalistes.

 

Alstom: alliance avec GE mais pas de dépeçage

Alstom: alliance avec GE mais pas de dépeçage

Montebourg a fait savoir que l’Etat français se prononçait en faveur d’une alliance avec General Electric dans le dossier Alstom, ce vendredi 20 juin.  Lors d’une conférence de presse à Bercy, le ministre a indiqué avoir envoyé une lettre d’intention au patron de GE, Jeff Immelt, lui précisant les conditions de cette alliance. Il a également prévenu qu’il y aurait des « pénalités »  si les engagements de GE sur l’emploi -à savoir la création de 1.000 emplois en trois ans- n’étaient pas tenus.  Arnaud Montebourg a surtout confirmé que l’Etat entrerait bien au capital du groupe français, à hauteur d’environ 20%. Il rachètera en fait les deux tiers de la part de Bouygues, qui s’élève à 29,4%. L’Etat deviendra ainsi le principal actionnaire d’Alstom. Une mesure que plébiscite le premier syndicat du groupe, la CFE-CGC. Elle a jugé l’entrée au capital de l’Etat « rassurante », ce vendredi soir. « Il ne fait aucun doute maintenant que le conseil d’administration choisira General Electric », a déclaré à l’AFP Claude Mandart, délégué central CFE-CGC de la branche Transport.  Pour le délégué, « l’intérêt de l’intervention du gouvernement et de l’ensemble des organisations syndicales a été de mettre la pression sur GE, et aussi Siemens, de façon à avoir des offres qui montent en qualité ». Sans cela, Alstom aurait été « coupé en deux, réduit à son activité ferroviaire », a-t-il ajouté.

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

Ce ne sera pas en Aout mais peut être en septembre –octobre ou en janvier. Mais Il n’y aura finalement pas de hausse des tarifs de l’électricité cet été, alors que 5% d’augmentation étaient prévus. L’annonce a été faite ce matin par la ministre de l’Energie Ségolène Royal.  Un gel des tarifs de l’électricité : c’est ce qu’annonce la ministre du secteur, Ségolène Royal. « Il y avait une augmentation des tarifs de l’électricité qui était prévue au 1er août, 5%. Ces factures n’augmenteront pas ». Pourquoi ? Parce que le mode de calcul va changer, tout simplement.   »Je vais procéder à ce calcul avec la Commission de régulation de l’énergie, une autorité indépendante, qui va, à partir de la réforme que j’ai mise en place, calculer cette hausse, ou peut-être une baisse », explique la ministre. Décision à venir, d’ici la fin de l’année. En clair : y aura-t-il une hausse ultérieurement, au 1er janvier 2015 ? On le saura au 1er octobre prochain. En attendant, ce jeudi matin, à la Bourse de Paris, l’action EDF a chuté de 4,54% à 25,44 euros. Le titre de l’exploitant était même lanterne rouge du CAC 40.  L’an dernier, le gouvernement avait annoncé une hausse des tarifs de 5% à l’été 2013, puis 2014, pour mieux refléter les coûts d’EDF.

 

France-Honduras : une victoire mais dont on ne peut pas tirer de conclusion

France-Honduras : une victoire mais dont on ne peut pas tirer de conclusion

 

L’équipe de France a gagné 3-0 mais il est prématuré d’en tirer des conclusions car  l’adversaire était vraiment très faible. En plus réduit à 10 après un penalty. On aurait pu souhaiter davantage de rythme et un plus grand réalisme devant le but notamment lors des coups francs et des corners. Karim Benzema a confirmé sa bonne forme actuelle, après des soucis pré-Mondial aux adducteurs. Deux buts dont une frappe de mule sous la transversale, de bons appels et une grosse activité : les Bleus disposent d’un buteur d’exception, une nécessité à l’heure d’aborder une grande compétition. L’ancien Lyonnais rejoint Neymar, van Persie et Robben en tête du classement des buteurs. Un sacré club fermé. Difficile de juger la défense qui n’a pratiquement pas été sollicitée. Devant la Suisse, il faudra sans mettre davantage de rythme et concrétiser davantage les occasions près du but. Une confirmation, la place indiscutable de Valbuena, un des rares à pouvoir créer des décalages et donner du rythme. Tous les autres joueurs ont exécuté une bonne prestation mais rappelons-le devant un adversaire techniquement très faible, athlétiquement moins costaud. Ce qi n’a pas empêché le Honduras de distribuer avec générosité quelques bons coups tordus qui auraient pu être dangereux pour l’intégrité physique des bleus. A souligner pour une fois une grande qualité d’arbitrage qui a su calmer l’ardeur excessive du Honduras. Enfin l’utilisation de la vidéo pour vérifier si le ballon est entré dans le but a été favorable à l’équipe de France. On se demande bien pourquoi Platini est contre cette utilisation !

 

Apple ne paye pas d’impôt en Europe !

Apple ne paye pas d’impôt  en Europe !

 

Miracle de l’optimisation fiscale Apple ne paye  pas d’impôt en Europe.  La Commission européenne va donc ouvrir mercredi 11 juin une enquête officielle sur l’accord fiscal conclu entre la République d’Irlande et Apple, rapporte ce mardi 10 juin la télévision publique irlandaise, qui ne cite pas ses sources. L’autorité européenne de la concurrence avait annoncé l’année dernière qu’elle s’intéressait aux accords fiscaux conclus entre certaines sociétés et des pays de l’Union et qu’elle avait demandé des précisions entre autres à l’Irlande. Antoine Colombani, porte-parole de la Commission européenne pour les dossiers de concurrence, s’est refusé à tout commentaire concernant l’information de la RTE irlandaise. Le ministère irlandais des Finances a indiqué pour sa part qu’il n’avait pas été informé d’une quelconque enquête. Une commission d’enquête du Sénat américain avait auparavant révélé qu’Apple avait économisé des milliards de dollars d’impôts en déclarant que des filiales immatriculées dans la ville irlandaise de Cork n’avaient aucune résidence fiscale, donc n’étaient pas imposables.  La principale de ces filiales n’a pas payé d’impôt sur les sociétés pendant cinq ans alors qu’elle a encaissé 29,9 milliards de dollars (23,2 milliards d’euros) de dividendes d’autres filiales entre 2009 et 2012, l’équivalent de 30% des bénéfices nets réalisés par la firme à la pomme sur cette période, selon le rapport sénatorial américain. Apple aux Etats-Unis a conclu des accords avec ses filiales irlandaises pour leur concéder certains droits de propriété intellectuelle. Ces filiales pouvaient ainsi faire payer des droits de licence à d’autres sociétés du groupe et contribuaient ainsi à garantir que quasiment aucun impôt n’était déclaré dans des pays comme le Royaume-Uni ou la France. Cet accord irlandais d’Apple a permis au groupe de ramener le taux d’imposition effectif sur ses bénéfices non-américains à 3,7% l’an dernier, selon le rapport annuel du groupe. Apple a déclaré qu’il se conformait à la loi.

 

« La France n’a pas de politique économique crédible » (Nouvelle conseillère de Hollande)

« La France na’ pas de politique économique crédible » (Nouvelle conseillère de Hollande)

Preuve que Hollande est perdu, il choisit une conseillère qui considérait jusque là que la France n’avait pas de stratégie économique pertinente. Cette nouvelle conseillère Âgée de 45 ans, Laurence Bonne est une pure économiste venue du monde de la finance internationale. Elle dirigeait depuis 2011 la recherche économique sur l’Europe de la Bank of America Merrill Lynch et remplace à l’Élysée l’énarque Emmanuel Macron. Dans ses récentes analyses de la situation économique française, cette ancienne conseillère de l’OCDE n’avait pas été tendre avec le gouvernement. Le 26 mai dernier, elle avait publié dans L’Opinion une tribune très critique la politique économique menée par François Hollande. Le titre de son texte : « Arrêtons le massacre! » Elle avait notamment affirmé que « sans présentation d’une stratégie économique crédible (…), la France dans trois ans, c’est 3 millions de chômeurs, 3-4% de déficit, une dette à 100% du Produit intérieur brut (PIB), des jeunes très diplômés qui continuent de s’installer à l’étranger ». Dans d’autres publications, elle a pris position pour davantage d’intégration européenne, plaidant pour « une union politique, un gouvernement et un budget de l’euro », financé par un impôt sur les sociétés harmonisé, et même une « assurance-chômage de la zone euro », ainsi qu’un contrat de travail européen. Elle estime qu’ »en Europe, les États surendettés qui ont mal géré leurs finances devraient être sanctionnés en faisant faillite ».

Déficits : Bruxelles ne croit pas aux réductions de la France

Déficits : Bruxelles ne croit pas aux réductions de la France

Bruxelles n’y croit pas mais en fin de règne la commission s’est contentée de faire les gros yeux à la France ; cela d’autant plus que plus grand monde ne soutient  cette austérité qui tue la croissance sans améliorer les déficits. Selon Bruxelles, la stratégie budgétaire n’est que « partiellement conforme aux exigences » du pacte de stabilité.  »Le niveau de détail des mesures d’assainissement budgétaire est insuffisant pour garantir de façon crédible la correction du déficit excessif pour 2015 au plus tard », estime ce lundi 2 juin la Commission européenne dans ses recommandations macroéconomiques. Bruxelles appuie ses conclusions sur « ses prévisions de déficit annoncées pour l’année prochaine (3,4% du PIB) et compte tenu d’un ajustement structurel sous-jacent qui est très loin d’atteindre le niveau recommandé par le Conseil ». La France s’est engagée à ramener son déficit public dans les clous européens, soit en-deçà de 3% du PIB, en 2015 et a obtenu pour cela un délai de deux ans. Pour y parvenir, le gouvernement français a mis sur la table un vaste programme d’économies de 50 milliards d’euro, avec pour mesure-clé le pacte de responsabilité proposé aux entreprises pour stimuler l’emploi. Il a depuis annoncé de nouvelles mesures d’économies se traduisant par un effort supplémentaire de 4 milliards d’euros en 2014. Mais « des risques pèsent sur les objectifs du gouvernement », souligne l’exécutif européen, pour qui « une partie des mesures supplémentaires pour 2014 annoncées dans le programme doit encore être adoptée et le montant des économies prévues pour 2015 est très ambitieux ». Bruxelles salue toutefois les réformes lancées par le gouvernement français, qui vont dans le « bon sens ». « Les autorités françaises ont annoncé, avant les élections européennes, un paquet de mesures structurelles importantes. Notre analyse montre que ces mesures vont clairement dans la bonne direction », a déclaré le président de la Commission, José Manuel Barroso, lors d’une conférence de presse. « Ces mesures sont dans l’intérêt de la France et des Français eux-mêmes », a-t-il ajouté, précisant qu’elles devaient être prises pour assurer la compétitivité du pays « dans un environnement international beaucoup plus exigeant ».

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