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Le CICE ne marche pas

Le CICE  ne marche pas

 

On devait sauver les entreprises ( et l’emploi) mais le CICE ne marche pas, pour des raisons simples c’est un credit dimpôts donc une mesure différée alors qu’il aurait fallu diminuer la fiscalité immédiatement. Autre raison, l’intérêt n’apparait pas évident à nombre d’entreprises, ensuite on redoute les procédures bureaucratiques  qu’il faut suivre, enfin on craint auusi des contrôles fiscaux renforcés. Mesure phare du gouvernement pour alléger le coût du travail, le CICE a donc du mal à séduire les entreprises. Selon le rapport du comité de suivi, qui sera publié mardi mais dont l’AFP a obtenu copie, les entreprises ont déclaré pour 8,65 milliards d’euros de crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi, selon un comptage arrêté au début du mois de septembre.  Alors que le dispositif pourrait permettre 12 milliards d’allégements, au vu des déclarations sociales des entreprises par l’Acoss (Agence centrale des organismes de sécurité sociale).   »L’écart (…) tient tout d’abord à la nature des données », explique le comité dirigé par l’économiste Jean-Pisani-Ferry, commissaire général de France Stratégie, organisme d’expertise placé auprès du Premier ministre.   »Si les données sociales, traitées par l’Acoss, sont exhaustives et quasiment stabilisées, les données fiscales sont encore partielles et sont complétées au fur et à mesure que les déclarations fiscales sont transmises par les entreprises ».  Mais il est « vraisemblable que l’intégration des déclarations fiscales à venir ne permettra pas de combler l’ensemble du différentiel restant avec la créance calculée sur la base des données sociales, et a fortiori avec les prévisions initiales (13 milliards) », admet le rapport, qui en déduit: « il existe donc probablement d’autres facteurs d’écart ».  Il est, selon les membres du comité de suivi, « possible » que la nouveauté de la procédure de déclaration fiscale du CICE ait conduit certaines entreprises à ne pas déclarer d’autant plus que la non déclaration n’en fait pas perdre « en principe » le bénéfice. « On ne peut exclure qu’une minorité d’entreprises ait pu renoncer au CICE » pour trois autres raisons, estime le rapport. La première, « par crainte de contrôles fiscaux ex-post », une peur effectivement exprimée ces derniers temps à l’AFP par des entrepreneurs qui redoutent de déclencher un contrôle en se manifestant pour bénéficier du CICE.  La deuxième raison serait un montant du CICE qui « paraissait insignifiant » à ses bénéficiaires potentiels et la troisième serait les formalités administratives vues comme « un obstacle ».  Instauré en 2013, le CICE est un allégement d’impôts pour les entreprises calculé en fonction de leur masse salariale, hors salaires supérieurs à 2,5 fois le Smic. Son montant, 4% des rémunérations brutes versées en 2013, passera à 6% l’an prochain sur les rémunérations au titre de 2014. Il doit coûter en vitesse de croisière plus de 20 milliards d’euros par an. Il a depuis été intégré au Pacte de responsabilité annoncé fin 2013 qui prévoit en outre des réductions de cotisations sociales et d’impôts des entreprises pour un montant total de 40 milliards d’euros, CICE compris.

 

 

Air France : le syndicat corpo s’entête mais il n’y aura pas de médiateur

Air France : le syndicat corpo s’entête mais il n’y aura pas de médiateur

 

Le gouvernement à dit non à la demande du syndicat corpo des pilotes, il n’y aura pas de médiateur. U syndicat qui s’entête alors qu’il a obtenu satisfaction sur la principale revendication la suppression du projet de la filiale low-cost Transavia Europe. En faiat Un syndicat qui se sert de ce projet de filiale pour protéger les avantages des pilotes d’Air-France. La direction d’Air France-KLM a pourtant soumis vendredi un protocole d’accord aux pilotes de la compagnie avec l’espoir de sortir du conflit qui les oppose depuis douze jours autour du développement de la filiale à bas coûts Transavia.  S’il répond partiellement aux exigences des syndicats, ce texte, qui a obtenu l’appui du Premier ministre Manuel Valls, est « un acte négocié qui est soumis à signature », a dit un porte-parole d’Air France, suggérant qu’il avait recueilli une adhésion des syndicats et pourrait aboutir à la fin de la grève. Dans un communiqué, le SNPL, le principal syndicat des pilotes d’Air France, a estimé que les propositions de la direction d’Air France ne répondaient pas aux préoccupations des pilotes et réclame la nomination d’un médiateur indépendant pour mettre fin au conflit et favoriser la reprise du travail. « En signe d’apaisement, le SNPL Air France ALPA sera prêt à lever le conflit dès la nomination de ce médiateur », écrit le syndicat. Les syndicats et la direction étaient réunis vendredi en fin de journée, l’abandon du projet Transavia Europe fustigé par les premiers ayant permis une reprise des négociations depuis 48h. Le conseil d’administration d’Air France-KLM avait réitéré dans la matinée « son plein soutien » au plan stratégique du groupe (« Perform 2020″) et appelé à la reprise des vols. Le protocole d’accord en date de vendredi inscrit noir sur blanc l’abandon du projet Transavia Europe, que les syndicats voyaient comme la première étape vers la délocalisation des emplois de la compagnie à bas coûts. Il supprime la disposition, introduite en 2007 lors de la création de Transavia France, qui limite à 14 avions la flotte de la filiale low-cost, qu’Air France envisage de porter à 37 appareils, uniquement des Boeing 737. Les syndicats réclamaient une flotte homogène mais préféraient l’A320 d’Airbus. Le texte prévoit un développement dès l’été avec la création in fine de 1.000 emplois. En revanche, il distingue encore les contrats Transavia et Air France alors que le SNPL, syndicat majoritaire, réclamait un contrat unique, arguant qu’il offrait plus de flexibilité.

 

35 heures : Gattaz rétropédale mais pas clair

35 heures : Gattaz rétropédale mais pas clair

 

 

Toujours un peu brutal et surtout maladroit, Gattaz rétropédale sur les 35 heures et estime désormais ne pas vouloir les remettre en cause mais les adapter dans chaque entreprise.  Ce qui par parenthèse revient à peu près au même que la remise en cause. Une rectification qui embrouille un peu plus la question (notamment sur les paiements des heures supplémentaires).  Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a assuré ce mercredi 24 septembre 2014 que le Medef « ne remettait pas en cause le Smic » et « les 35 heures » dans son projet pour créer un million d’emplois. « Nous ne remettons pas en cause le Smic, il faut être très clair, dans notre document définitif, nous ne remettons pas en cause les 35 heures, et c’est clair aussi », a-t-il déclaré lors du lancement du projet. Le président du Medef a toutefois de nouveau défendu une rémunération plus faible que le Smic mais complétée par une aide temporaire de l’Etat », pour « réintégrer dans les entreprises les populations très loin de l’emploi, celles qui n’ont pas travaillé depuis un an ou deux ans voire plus ». Ce dispositif s’apparente à « un concept d’emploi marchand aidé temporaire », a-t-il poursuivi, tout en se redisant opposé aux emplois aidés dans le secteur public. Pierre Gattaz avait déjà préconisé un tel dispositif à la mi-avril, provoquant un tollé syndical. Concernant la durée légale du travail, « les 35 heures appliquées à tout le monde doivent être adaptées », a-t-il estimé mercredi.  »Regardons au sein de chaque entreprise la durée de travail : certaines devront remonter à 37, 39, 40 heures pour être compétitives juste par rapport à leurs voisins européens, d’autres devront peut-être se contenter de 32, de 33 heures, parce que tout va bien », a-t-il développé.

 

Sondage : Sarkozy pas convaincant, trop de contradictions

Sondage : Sarkozy pas convaincant, trop de contradictions

Sarkozy n’a pas réussi à être convainquant pour une majorité lors de sa prestation très suivie à la télé (9 millions de téléspectateurs). Plusieurs facteurs explicatifs. Sarkozy veut désormais apparaitre comme une responsable apaisé et prenant du recul. Or il s’es t rapidement énervé lors de questions gênantes, il na pu s’empêcher de faire preuve de nervosité et e d’agressivité affirmant par exemple qu’il ne pensait rien de Hollande puis descendant en flamme sa politique et la personnalité du président actuel Autre contradiction, il ne veut pas apparaître comme le sauveur mais finalemenet ne parle que de lui, de ses capacités, de son énergie, de son charisme ( qui sont réels) renvoyant les autres à un rôle mineur( y compris Fillon et Juppé).  Notons auusi le flou de sa réponse à propos du mariage pour tous qui a dû décevoir les pros comme les antis.  La prestation de l’ex-chef de l’Etat sur France 2, dimanche soir, n’a donc pas été jugée convaincante par 54 à 55% de Français, selon deux sondages publiés lundi. Sans surprise, le clivage est très marqué entre sympathisants de droite et de gauche.  Les deux enquêtes parviennent à la même conclusion. Selon des sondages de l’institut BVA* et de l’institut Odoxa**, une majorité de Français n’a pas jugé convaincant Nicolas Sarkozy dimanche soir sur France 2. Ils sont 54%, pour le premier, et 55%, selon le second. A l’inverse, les personnes interrogées sont respectivement 44% (2% ne se prononçant pas dans l’enquête BVA) et 45% à avoir trouvé la prestation télévisée de l’ex-Président convaincante. Ce jugement est bien entendu aux antipodes selon la proximité partisane des sondés. Selon le sondage BVA pour Public Sénat, 90% des sympathisants de gauche n’ont pas été convaincus par Nicolas Sarkozy, contre 75% d’avis positif de la part des sympathisants de droite – un chiffre qui atteint 86% pour les seuls sympathisants UMP. Ces résultats sont sensiblement identiques dans l’enquête Odoxa pour Le Parisien. Ce sondage interroge par ailleurs les Français sur la motivation qu’ils accordent à Nicolas Sarkozy pour revenir sur le devant de la scène politique : il s’agit davantage d’une revanche, pour 67% d’entre eux (et 41% des sympathisants de droite), que de défendre un vrai projet pour la France. En outre, dans l’enquête BVA, une majorité de Français (45%) estime désormais que Nicolas Sarkozy n’est « ni trop », « ni pas assez » à droite – un chiffre en hausse de quatre points par rapport à une enquête réalisée trois jours plus tôt. Ceux qui le jugent « trop à droite » sont 39%, contre 44% le 18 septembre. Une baisse surtout marquée chez les sympathisants du MoDem et de l’UDI (38% jugent que l’ex-Président est « trop à droite », -9 points). Enfin, le sondage BVA indique que Nicolas Sarkozy creuse l’écart auprès des sympathisants UMP pour être leur candidat à l’élection présidentielle de 2017. Il est aujourd’hui plébiscité par 65% de ces personnes (+7 points), contre 21% pour Alain Juppé (-6 points) et 5% pour François Fillon (-2) et Bruno Le Maire (+2). Mais malgré un écart qui se rétrécit, Nicolas Sarkozy reste derrière Alain Juppé lorsque la question est posée à l’ensemble des Français (40% contre 27%). Le 18 septembre, Nicolas Sarkozy était choisi par 22% de sondés.

 

Relance apprentissage : une prime de 2000 euros, pas suffisant !

Relance apprentissage : une prime de 2000 euros, pas suffisant !  

 

 

Hollande marche surtout comme beaucoup de politiques à coups de fiscalité et de subventions. Hollande a décidé de doubler la prime à l’apprentissage pour les entreprises. Un apprentissage qui s’écroule en France ; une prime toujours bonne à prendre mais qui ne changera pas beaucoup la donne. Première responsabilité, le système scolaire qui oriente la quasi-totalité des élèves vers les études académiques et seuls les moins bons sont dirigés vers l’apprentissage. Le contraire de ce que fait par exemple l’Allemagne ou la Suisse ; en Suisse les 2/ 3 prennent  la filière apprentissage à partir de 15 ans (comme les élus politiques suisses ! alors qu’en France c’est la filière institut d’études politiques, sciences Po et l’ENA ! ). La Suisse connait un  taux de chômage de 3% seulement. Le système scolaire n’est pas seul ; responsable, la bureaucratie est sans doute le second facteur explicatif de la désaffection, Le réglementation pour les apprentis est tellement contraignante et ridicule que les patrons renoncent à recruter ces jeunes (exemple un jeune couvreur qui n’a pas le droit de montre dans une échelle de plus de 4 mètre et donc contraint d’apprendre la couverture sur le trottoir !). Enfin les parents sont auusi responsables en surestimant les capacités de leurs enfants et en les poussant vers des études inutiles. En clôturant les assises de l’apprentissage, ce vendredi 19 septembre, le chef de l’Etat a indiqué que la nouvelle prime d’apprentissage de 1.000 euros sera portée à 2.000 euros pour les TPE. Cette prime de 1.000 euros s’appliquera à tous les nouveaux apprentis et sera portée à 2.000 euros pour les TPE. La prime sera accordée « sans condition pour cette rentrée » et entrera en vigueur « dès le 1er septembre », mais elle ne sera prolongée la rentrée prochaine que pour les entreprises des secteurs « ayant signé un accord de branche », a expliqué le chef de l’Etat en concluant les assises de l’apprentissage.  François Hollande a également estimé que « la commande publique devrait tenir compte de l’effort de formation des jeunes que proposent les entreprises ».   »Ce sera donc désormais une clause qui figurera dans les marchés publics », a-t-il annoncé.  Il a relevé « la tendance à la baisse » des entrées en apprentissage et appelé à « la mobilisation de tous les acteurs ». Mais, selon François Hollande, qui s’est fixé l’objectif de 500.000 apprentis en 2017, « ce qui compte c’est moins le chiffre lui-même que la qualité de la formation, de l’accompagnement permettant d’accéder à un emploi et à un véritable métier ». Selon le ministère du Travail, en 2013, la métropole comptait 415.000 apprentis.

Sarkozy n’a pas changé pour 67% des Français (Sondage Odoxa)

Sarkozy n’a pas changé pour 67% des Français (Sondage Odoxa)

 

 

Paradoxe apparent 67%  Français estiment dans un sondage Odoxa pour I Télé que Sarkozy n’a pas changé, que son retour pour 55% n’est pas une bonne chose pour le pays mais que c’est le candidat le mieux à même de redresser face à Hollande, Valls ou Lepen. Un paradoxe qui n’est en effet qu’apparent, les Français savent bien que Sarkozy ne changera pas son excitation permanente, ses outrances, son coté bling, bling. Pour preuve, les formules excessives qu’il emploit déjà : « tout réinventer » alors qu’il prend les mêmes dans son entourage. Pour preuves, sa reconversion dans la finances et les fonds d’investissement. Pour autant comme l’offre politique est très pauvre, Sarkozy n’aurait pas de mal à battre Valls, Hollande ou Lepen. (Mais d’autres auusi à l’UMP). Un tiers des Français seulement pense donc que Nicolas Sarkozy, qui a officialisé ce vendredi son retour en politique, a changé,  Et plus d’un Français sur deux (55%) pense que son retour est une «mauvaise chose», selon cette étude menée par Odoxa, pour le Parisien-Aujourd’hui en France, CQFD et iTélé, qui montre en revanche qu’il est jugé comme le mieux à même de redresser le pays.  Pour 67% des sondés, Nicolas Sarkozy n’a pas changé. 33% seulement pensent l’inverse, selon ce sondage réalisé ce vendredi. Au niveau des sympathisants de droite, ils sont tout de même 52% à penser qu’il a changé, un avis que seuls 13% des sympathisants de gauche partagent. En annonçant ce vendredi sur sa page Facebook sa candidature «à la présidence de (sa) famille politique», Nicolas Sarkozy assure, lui, avoir pris «le recul indispensable pour analyser le déroulement de (son) mandat» et en avoir «tiré les leçons». Plus inquiétant pour lui, seuls 44% des Français pensent que son retour est une «bonne chose», tandis que 55% des sondés pensent l’inverse. Parmi les partisans de son retour, en trouve évidemment une grande majorité de sympathisants de droite : 72% d’entre eux sont en effet satisfaits, tandis que seulement 12% des sympathisants de gauche voient d’un bon œil la candidature de Nicolas Sarkozy.  En revanche, face à François Hollande, Manuel Valls ou Marine le Pen, Nicolas Sarkozy est jugé systématiquement comme le plus «à même de redresser le pays». 64% de sondés lui font ainsi plus confiance qu’à  la leader du FN (28%). Face à François Hollande, Nicolas Sarkozy réunit 60% d’opinions favorables, contre 32% pour l’actuel chef de l’Etat. 51% des sondés jugent enfin Nicolas Sarkozy plus à même de redresser le pays que Manuel Valls (43%).

Sarkozy : le retour de celui qui n’est pas parti

Sarkozy : le retour de celui qui n’est pas parti

 

Sarkozy annonce son grand retour pour toute changer et même réinventer la politique. En faiat il n’est jamais parti et il n’a cessé d’adresser des messages sur son envie de pouvoir. Pas sûr donc qu’il ait pris le recul nécessaire pour avoir compris et changé. Un retour par ailleurs très risqué car son avenir politique pourrait être plombé par 7 ou 8 affaires qu’il raine encore. En tout cas les rancis, pour l’instant ne rient pas qu’il ait changé et même que ce retour soit souhaitable. Nicolas Sarkozy a donc annoncé vendredi sa candidature à la présidence de l’UMP, première étape vers la reconquête de l’Elysée, qu’il ambitionne de reprendre en 2017 au nom du « sursaut » d’une France en « désarroi ». Dans une longue déclaration diffusée sur son compte Facebook, et relayée sur Twitter, l’ancien président, battu le 6 mai 2012 par le socialiste François Hollande, assure avoir tiré « les leçons » de son mandat et affirme « écarter tout esprit de revanche ou d’affrontement ».  Sans jamais désigner l’UMP par son nom, comme un acte de décès, Nicolas Sarkozy dit vouloir « réinventer » avec « force » et « sincérité » la politique et appelle de ses vœux « un nouveau et vaste rassemblement » dépassant « les clivages traditionnels qui ne correspondent plus aujourd’hui à la moindre réalité ». Une « ouverture » nouvelle manière, qui paraît viser autant la droite et le centre que la gauche, pour « bâtir la formation politique du XXIe siècle ».  L’élection à la présidence de l’UMP se déroule le 29 novembre. Un second tour est prévu le 6 décembre si nécessaire. Nicolas Sarkozy, qui présida l’UMP de novembre 2004 à mai 2007, affrontera l’un de ses anciens ministres, Bruno Le Maire, et le député Hervé Mariton lors de l’élection de novembre. Ce sont les militants de l’UMP, majoritairement acquis à Nicolas Sarkozy, qui se prononceront. L’issue du scrutin ne fait guère de doute, bien que Bruno Le Maire promette « une surprise ». En 2004, Nicolas Sarkozy avait été plébiscité par plus de 85% des militants lorsqu’il avait conquis une première fois l’UMP.  L’ancien président, qui a déjà constitué son équipe de campagne autour de Frédéric Péchenard, ancien directeur général de la Police nationale, et a rallié ou débauché nombre de soutiens à droite, proposera, écrit-il, de transformer le mouvement « de fond en comble ». L’ancien président, qui projette d’aller à la rencontre des Français, tiendra son premier meeting jeudi prochain à Lambersart (Nord), près de Lille, a annoncé le député UMP du Pas-de-Calais Danielle Fasquelle sur Twitter.  Son objectif : « créer, dans un délai de trois mois, les conditions d’un nouveau et vaste rassemblement qui s’adressera à tous les Français, sans aucun esprit partisan ». « Ce vaste rassemblement se dotera d’un nouveau projet, d’un nouveau mode de fonctionnement adapté au siècle qui est le nôtre et d’une nouvelle équipe qui portera l’ambition d’un renouveau si nécessaire à notre vie politique », écrit-il. Nicolas Sarkozy, qui avait dit sa volonté de se retirer de toute activité publique au soir de sa défaite, explique s’être donné depuis « le temps de la réflexion », de l’autocritique « sans concession » aussi, qui lui aurait permis de « mesurer la vanité de certains sentiments ». Dans cette tribune, il offre de lui l’image d’un dirigeant qui aurait gagné en recul, en pondération et en sagesse, alors que les traits d’image qui ont pesé sur son quinquennat (impulsivité, bling-bling…sont encore cités comme rédhibitoires dans les enquêtes d’opinion.

La France n’est pas dégradée par Moody’s

La France n’est pas dégradée par Moody’s

 

Les taux relativement bas devraient continuer pour la France (et une grande partie de l’Europe) Moody’s vient de décider de maintenir la note de la France. Moody’s justifie sa décision en expliquant que, bien que soumise à des pressions défavorables, la France conserve des avantages importants, parmi lesquels « des taux de financement très bas, qui traduisent un socle d’investisseurs solide et diversifié et un contexte de rendements bas très favorable, qui ne devrait se dissiper que très progressivement au fil du temps ». L’agence ajoute avoir également pris en compte « l’engagement renouvelé du gouvernement à accélérer le rythme des réformes structurelles ». Elle estime que « les niveaux de popularité historiquement faibles du gouvernement reflètent les pressions auxquelles il est soumis » mais note que « le récent vote de confiance parlementaire a réaffirmé son mandat législatif pour mettre en œuvre une série de réformes susceptibles de favoriser la croissance. » Pour Moody’s, le maintien de la perspective négative traduit entre autres les risques de voir la situation économique et budgétaire de la France continuer de décliner pour tomber à un niveau incompatible avec le maintien de la note Aa1. Ses analystes prévoient une croissance de 0,4% seulement cette année et 0,9% en 2015, avant une accélération qui la porterait à 1,4% d’ici 2018. Ils jugent que le déclin continu de la croissance française depuis la crise financière « reflète en partie une perte progressive de compétitivité ». Moody’s avait retiré à la France sa note Aaa le 19 novembre 2012. Standard and Poor’s a quant à elle baissé la note de la France une première fois en janvier 2012 et une deuxième fois en novembre 2013, à AA, tout en l’assortissant d’une perspective stable.

Dégradation de la France par Moody’s : Hollande pas au courant

Dégradation de la France par Moody’s : Hollande pas au courant

 

 

Le président n’est pas au courant de la future dégradation de la note de la France par Moody’s. Or nombre d’experts et le journal l’opinion pensent que l’Elysée en a été informé.  Hollande comme souvent s’en est sorti par une pirouette indiquant que s’il était informé il ne voudrait pas être accusé de délit d’initié ! François Hollande a le sens de la formule. Lors de sa quatrième grande conférence de presse, le président de la République a été interrogé sur une possible dégradation de la France par l’agence de notation Moody’s.  A la question « est-il exact que [cette agence] a une nouvelle fois dégradé la note de la France?», le président a répondu « je ne sais pas ce que fera l’agence Moody’s ».  « Et si je le savais ce serait presque un délit d’initié puisque les marchés sont (ouverts) en continu. Si je vous disais donc ce que je ne sais pas, je violerais toutes les règles », a-t-il ajouté, alors que les Bourses européennes étaient fermées depuis quelques dizaines de minutes.  Et le président de la République a préféré rassurer en rappelant que « ce ‘n’est pas la première fois qu’une agence dégrade la signature de la France ». L’agence Moody’s doit livrer son verdict  sur la note de crédit de la dette française vendredi, avant l’ouverture ou après la fermeture de la Bourse. L’Opinion avait affirmé que l’exécutif avait déjà été averti d’une dégradation par l’agence. L’information a ensuite été démentie par Bercy.  François Hollande a ensuite voulu souligner que « jamais l’Etat n’a emprunté à des taux aussi bas ». « Au moment où je parle l’Etat emprunte à 10 ans à 1,40%. L’écart avec le taux allemand est de moins de 0,4% ». Le chef de l’Etat a souligné qu’en 2012 cet écart entre le coût de la dette allemande et français était de 1,2%.  « Nous sommes dans une situation bien meilleure qu’en 2012″, en a-t-il déduit. François Hollande a redit qu’il compte adapter « le rythme des déficits » pour ne pas affaiblir « la petite croissance ». Et pour cette raison, « nous continuerons à nous financer à des taux bas ». En guise de conclusion, le président a déclaré que « ce n’est pas l’agence de notation qui m’inquiète » mais « le financement des entreprises », que « les entreprises saines puissent trouver du crédit bancaire ». 

 

Sondage Aubry : ferait mieux que François Hollande pour 56% ; pas trop difficile !

Aubry : ferait mieux que François Hollande pour 56% ; pas trop difficile !  

 

D’après un sondage martine Aubry ferait mieux que Hollande, il n’ya pas de quoi manifester beaucoup de surprise tellement Hollande est nul.  Selon ce sondage Odoxa du  Parisien, 56% des Français pensent que Martine Aubry ferait mieux que François Hollande si elle était aujourd’hui présidente de la République, contre 42% qui pensent le contraire.  D’ailleurs, les adjectifs qui s’appliquent le mieux à la maire de Lille, selon les sondés, sont dans l’ordre : « autoritaire » (76%), « sérieuse » (75%) et « courageuse » (69%). Mais d’autres qualificatifs font franchement pencher la balance dans un sens négatif comme « jouant trop perso », « sectaire », « démagogique » ou bien encore « arrogante. » C’est pourquoi 54% des Français ont une mauvaise opinion de Martine Aubry, contre seulement 45% qui en ont une bonne. Pas étonnant alors que seuls 43% des Français souhaitent qu’elle joue un avenir sur la scène politique nationale contre 57% qui s’y opposent.  Si le bilan de Martine Aubry à la mairie de Lille est presque unanimement reconnu (75% d’opinions favorables), son mandat à la tête du PS est plus controversé, avec 55%, seulement, de bonnes opinions. Enfin ,son passage au gouvernement Jospin, entre 1997 et 2000 divise presque équitablement les Français avec 50% de bonnes et 49% de mauvaises opinions. C’est à gauche que la maire de Lille fait le plein d’opinion favorables (79%). Ce qui fait d’elle la personnalité préférée des sympathisants de gauche au même rang que Najat Vallaud-Belkacem.  Et c’est sans surprise que 75% des sympathisants de gauche souhaitent qu’elles jouent un rôle plus important à l’avenir sur la scène politique française.  Quant à savoir si Martine Aubry est bel et bien la cheffe des frondeurs ou « la plus à même de porter leurs idées » à gauche, seuls 57% des sympathisants le souhaitent. 

 

Vote de confiance : Aubry pas pour l’unité mais pour l’indépendance de chacun

Vote de confiance : Aubry pas pour l’unité mais pour l’indépendance de chacun

Un sérieux avertissement pour Valls (qui n’exclut pas un accident lors du vote)  de la part d’Aubry ; « L’unité ne veut rien dire, j’ai été premier secrétaire du PS », a-t-elle rappelé. Et de marteler qu »‘on fait l’unité en parlant du fond, on ne fait pas l’unité en disant ‘unité, unité, unité’. On fait l’unité sur un projet, on fait l’unité sur des valeurs, sur un sens et sur des réponses ». Elle a aussi réaffirmé son souhait de « contribuer à ce que nous nous mettions tous d’accord effectivement sur des propositions qui permettent des résultats en matière de croissance, en matière d’emploi tout en réduisant les déficits ». Dimanche dernier, sur Europe 1, quand on lui demandait  si elle voterait la question de confiance à Manuel Valls, elle avait botté en touche, répondant simplement : « Je ne suis pas député. » Depuis le week end dernier, la maire de Lille et Manuel Valls s’affrontent par médias interposés. Lundi, Martine Aubry avait appelé le chef du gouvernement à ne « pas se crisper », et avait tenté de calmer le jeu. La veille, l’ancienne première secrétaire du PS avait déclaré qu’elle allait faire des propositions pour infléchir la politique économique « dans les semaines qui viennent », afin que « la croissance revienne ». « Il faut faire des réformes, mais nous ne faisons pas d’austérité », lui avait rétorqué dans la foulée Manuel Valls depuis l’Italie. « Martine Aubry, comme chacun le sait parfaitement, a bénéficié d’enseignants en plus, de policiers en plus à Lille. C’est ça l’austérité? C’est quoi un infléchissement?, avait-il insisté. Ce que j’attends des socialistes (…) c’est de faire corps, nos divisions, elles minent. » Il y a quinze jours, Manuel Valls et Martine Aubry s’étaient déjà opposés sur l’encadrement des loyers. Le Premier ministre souhaitait limiter l’encadrement des loyers qu’à la capitale. La maire de Lille avait, elle, demandé que cette mesure emblématique de la loi Alur (la loi Duflot) soit appliquée dans la ville qu’elle administre. Ce que le chef du gouvernement avait fini par accepter.

 

Sondage FN : pas capable de gouverner pour 65%

Sondage FN : pas capable de gouverner  pour 65%  

Un sondage qui montre la nette progression du FN  et de certaines de ses idées pour autant 65% des Français considèrent que le Front national n’a pas la capacité de gouverner la France, selon un sondage Odoxa pour I-télé-CQFD et Le Parisien-Aujourd’hui en France diffusé aujourd’hui. À la question « le Front national est-il selon vous un parti qui a la capacité de gouverner la France? », 65% des personnes interrogées répondent « non », et 35% « oui ». Si 16% des sympathisants de gauche estiment que le FN peut gouverner la France, 54% des sympathisants de droite sont de cet avis. Parmi ces derniers, moins d’un quart des sympathisants UMP (23%) le partagent. L’enquête montre par ailleurs une progression de l’adhésion aux idées du Front national. 68% des personnes interrogées se prononcent pour la suppression du regroupement familial en matière d’immigration, une hausse de 24 points par rapport à mars 2011. 67% veulent réserver les aides sociales et les allocations familiales aux seuls Français (+27 points) et 65% rétablir le contrôle aux frontières intérieures de l’Europe (+19). 31% des personnes interrogées sont favorables à une sortie de l’Union européenne (+14 points) et 28% à une sortie de la zone euro et au retour au franc (+11).

 

Petites retraites : pas d’augmentation au 1er octobre

Petites retraites : pas d’augmentation au 1er octobre

 

La non revalorisation de petites retraites étaient parait-il dues à des motifs techniques maintenant elle este justifiées par des raiosn économiques ! En effet Les pensions de retraite inférieures à 1.200 euros ne seront pas revalorisées au 1er octobre en raison de « la très faible inflation », annonce vendredi le ministère des Affaires sociales. « Le mécanisme de revalorisation, appliqué comme prévu, conduit (…) mécaniquement à une stabilité des pensions inférieures à 1.200 euros (+0,5% d’une part, -0.5% d’autre part) », précise le ministère dans un communiqué. Les retraités au « minimum vieillesse » bénéficieront en revanche « d’un coup de pouce en octobre prochain ». Le minimum vieillesse est actuellement fixé à 792 euros par mois. Le gouvernement avait annoncé en avril dernier le gel des retraites jusqu’en octobre 2015, dans le cadre de son plan de 50 milliards d’économies. Le Premier ministre, Manuel Valls, s’était engagé par la suite à épargner les retraités touchant moins de 1.200 euros sous la pression des députés de la majorité. La CFDT déclare dans un communiqué déplorer cette non revalorisation et réclame « un geste significatif en direction des retraités les plus modestes ». « Ce n’est pas un recul », a assuré la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, sur RTL. « Qu’est-ce qui s’est passé? Il n’y a pas beaucoup d’inflation et donc les règles que nous appliquons chaque année de la même manière pour revaloriser les retraites aboutissent à ce que cette revalorisation soit égale à 0″, a-t-elle expliqué. « C’est cela qui est en train de se passer, le gouvernement n’est pas revenu en arrière », a-t-elle souligné.

 

Thévenoud ne payait pas non plus son loyer depuis 3 ans ! Et alors ?

Thévenoud  ne payait pas non plus son loyer depuis 3 ans ! Et alors ?

 

C’est évidemment de l’acharnement médiatique contre ce pauvre Thévenoud qui ne payait pas ses impôts depuis 3 ans mais qui ne payait pas non plus sn loyer depuis la même date. Est-ce une raison pour le mettre au banc de de la société des élus en l’accablant  ainsi , dautant qu’il a été le pourfendeuer de la fraude fiscale, le procureur de la rigueur, l’accsateur  de cahuzac? De toute manière sur le banc des députés il y restera, même sas étiquette PS. Ce sera toujours une voix de plus pour un gouvernement à la recherche de sa majorité. Finalemenet une combine qui arrange le PS et Thévenoud qui ne veut pas se retrouver sans boulot. Enfin presque puisqu’il avait auusi créé une société qu’il avait auusi oublié de déclarer dans sa déclaration d’intérêt. Il dit qu’il manifeste une phobie à légard des papiers, on se demande ce qu’i fait à l’assemblée qui ne produit que de la paperasse ! Après ses problèmes fiscaux et l’annonce de son départ du Parti socialiste, les révélations sur l’ancien ministre Thomas Thévenoud se multiplient donc. Selon Le Canard Enchaîné, il reconnaît ne pas avoir payé ses loyers pendant trois ans. Le propriétaire l’a d’ailleurs dénoncé auprès du ministère de l’Intérieur la semaine dernière. Rappelons que Thomas Thévenoud occupait un appartement dans le Vème arrondissement de Paris. Le propriétaire des lieux l’avait déjà menacé d’expulsion. L’ex-ministre s’est justifié en déclarant qu’il souffrait d’une « phobie administrative ».

 

Ukraine : comme prévu l’OTAN ne décide pas grand-chose

Ukraine : comme prévu l’OTAN ne décide pas grand-chose

 

Il fallait s’y attendre, l’OTAN ne décide pas grand-chose concernant l’Ukraine se contentant de renforcer sa ligne de défense autour du pays en conflit. Pourtant on sait que l’Ukraine est un candidat potentiel à la fois à l’Union Européenne et à l’OTAN. En clair l’OTAN ne revient pas sur l’annexion de la Crimée par Poutine et serait vraisemblablement à accepter un compromis batard pour les régions de l’Est tenues par les rebelles et les forces russes.   Les chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’Otan ont seulement  donné vendredi leur feu vert au renforcement du dispositif militaire de l’organisation en Europe de l’Est en réponse à l’intervention russe en Ukraine, a annoncé le secrétaire général de l’Alliance, Anders Fogh Rasmussen.  Le plan, adopté à l’occasion du sommet de Newport, au Pays de Galles, prévoit la mise sur pied d’une force de réaction rapide dite « fer de lance » et le prépositionnement de matériel. Il s’agit de rassurer les anciens membres du bloc soviétique ayant adhéré à l’Otan, en particulier la Pologne et les pays baltes. Les Alliés ont aussi accepté de rattacher la cyberdéfense à la mission principale de l’organisation, ce qui signifie qu’une cyberattaque contre un Etat membre – comme celle qui avait visé l’Estonie en 2007 – pourrait en théorie engendrer une réponse militaire de l’Otan. Déjà soupçonné en Estonie, le Kremlin a plus récemment été accusé d’avoir orchestré des cyberattaques contre des institutions ukrainiennes, ce qu’il a constamment nié. Les 28 membres de l’Alliance ont enfin décidé que leur prochain sommet aurait lieu en Pologne en 2016, a ajouté Anders Fogh Rasmussen, soulignant la portée symbolique de cette décision. Bien que la création d’une force d’intervention rapide ne réponde pas totalement aux attentes des pays de l’Est, qui souhaitaient l’établissement de bases permanentes de l’Otan, ses promoteurs espèrent qu’elle jouera un rôle dissuasif. « Cette décision envoie un message clair: l’Otan protège ses alliés, en tous temps. Et elle envoie un message clair à tout agresseur potentiel: si vous osez attaquer un allié, vous devrez faire face à toute l’Alliance », a déclaré Anders Fogh Rasmussen.

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