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Climat des affaires : pas d’inversion, comme le chômage

Climat des affaires : pas d’inversion, comme le chômage

 

Pas d’amélioration, ni d’ inversion du climat des affaires, c’est comme pour le chômage ; Il n’y a que Sapin et Ayrault pour voir une amélioration. Pour Sapin, l’inversion du chômage a même déjà eu lieu (grâce sans doute aux 52000 radiations pour motif administratif le mois denier (en hausse de 50%°). Pas étonnant même la servile INSSE ne prévoit pas de reprise, elle « suppose »  seulement une croissance de 0.2% par trimestre en moyenne pour 2014 avec une hausse du chômage à 11%. Le climat général des affaires en France est donc resté stable en novembre, l’amélioration dans les services étant neutralisée par le recul dans le commerce de détail, selon les données publiées lundi par l’Insee. L’indicateur du climat des affaires s’est ainsi maintenu à 95 pour le troisième mois consécutif, et reste sous sa moyenne de longue période, qui s’établit à 100. Celui de la seule industrie manufacturière est resté stable à 98, les 22 économistes interrogés par Reuters attendant en moyenne 97. Dans le même temps, l’indicateur du climat du secteur des services a gagné trois points à 96. Le bâtiment est resté stable à 94 et le commerce de détail a perdu trois points à 95. L’indicateur pour le commerce de gros gagne un point à 98, sa dernière publication remontant à septembre. Toujours selon l’Insee, l’indicateur de retournement de la conjoncture calculé au niveau France reste en zone favorable. L’indicateur général du climat des affaires est inférieur à 100 depuis septembre 2011.

 

Pas d’inversion de la courbe du chômage

Pas d’inversion de la courbe du chômage

 

Pari perdu pour Hollande, il n’y aura pas d’inversion durable de la courbe du chômage ni en 2013, ni en 2014 pour l’INSEE pourtant encore un peu optimiste sur ses prévisions. . L’économie française paraît bien condamnée à une reprise poussive en 2014, insuffisante pour provoquer une inversion de la courbe du chômage qui se stabiliserait à 11,0% de la population active au premier semestre, prédit l’Insee. Certes sur un mois donné avec un nouveau bricolage des statistiques de pôle emploi (exemple la radiation pour motif administratif : 52 000 le mois denier en hausse de 50% ou encore procédé le plus utilisé radiation pour non actualisation à Temps).  L’institut pense que le redémarrage de l’investissement des entreprises, sur lequel le gouvernement tablait pour faire baisser le chômage dès fin 2013, sera limité à un accompagnement de la croissance et ne saurait être le moteur de celle-ci. Dans sa dernière note de conjoncture publiée jeudi, l’Insee table sur des progressions du produit intérieur brut de 0,2% au premier et au deuxième trimestres de l’an prochain, un rythme inférieur de moitié à celui de la fin 2013. Car il confirme dans le même temps sa prévision de hausse de 0,4% du PIB pour le trimestre en cours, après la baisse de 0,1% enregistrée sur juillet-septembre, ce qui permettrait d’enregistrer sur l’ensemble de 2013 une croissance moyenne de 0,2% après la stagnation de 2012. Les comparaisons du PIB en glissement sur 12 mois – +0,7% attendu fin 2013 contre -0,3% fin 2012 – témoignent du retournement de tendance intervenu cette année. A partir de là, au 30 juin prochain, qui constitue l’horizon de prévision de l’Insee, l’acquis de croissance pour l’ensemble de 2014 s’élèverait à 0,7%. A ce niveau, une stabilisation à 0,2% du rythme de croissance trimestrielle sur les six derniers mois de l’année suffirait à valider le scénario de hausse de 0,9% du PIB retenu par le gouvernement dans sa loi de finances, a indiqué Cédric Audenis, responsable du département conjoncture de l’Insee.

 

L’intérim : indicateur avancé du chômage, pas d’inversion

L’intérim : indicateur avancé du chômage, pas d’inversion

 

L’intérim constitue une bonne représentation de l’activité. Or pas de redémarrage de cette activité, ce qui signifie que la croissance ne repart pas réellement pour recréer des emplois (il faudrait +1.5% du Pib alors qu’on risque de faire au mieux +0.1% en 2013 et 1% en 2014). .. En juin, selon les données publiées vendredi par le baromètre du Prism’emploi, organisme qui regroupe 600 entreprises revendiquant 90 % du chiffre d’affaires du secteur, l’emploi intérimaire s’est inscrit en repli de 11,2 % par rapport à juin 2012. Sur l’ensemble du premier semestre, la baisse atteint 12,8 % par rapport à la même période de 2012, alors que cet indicateur s’est retourné depuis octobre 2011.  A l’heure actuelle, le secteur compte, selon les estimations de Prism’Emploi, 470.000 salariés en équivalent temps plein (ETP), contre 525.000 en 2012 et 567.000 en 2011. Au rythme de recul actuel, en dépit d’un « léger ralentissement de la baisse », le record historiquement bas de 430.000 emplois en ETP « risque d’être atteint cette année », prévient François Roux, délégué général de Prism’emploi. « On ne voit pas revenir de reprise pour l’instant », constate-t-il. En juin, comme les mois précédents, toutes les qualifications ont été touchées : les ouvriers qualifiés enregistrent une baisse de 10,4 %, les employés de 11,8 %, les ouvriers non qualifiés de 13,2 %. Les cadres et professions intermédiaires sont les plus frappés par le repli de l’activité, avec une chute de 15,8 %. Aucun secteur non plus n’est épargné. Avec un recul de 8 %, les transports ont été les moins touchés en juin, tandis que les services (- 12,5 %) et le commerce (- 13,2 %) enregistrent les baisses les plus marquées.




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