Archive pour le Tag 'pas de reprise'

Croissance : pas de reprise pour Michel-Edouard Leclerc

Croissance : pas de reprise pour Michel-Edouard Leclerc

Le dirigeant du géant français de la distribution a également appelé le gouvernement « à ne pas prendre » de mesures nuisant au pouvoir d’achat pendant « un an ou deux ».   »La consommation tient, mais c’est très fragile », a déclaré Michel-Edouard Leclerc sur Europe 1 au sujet de la tendance estivale dans ses supermarchés et hypermarchés.  Mais quant à savoir s’il observait des signes d’amélioration économique, « +the answer is no+, non, je ne vois pas de reprise », a-t-il répondu.  Depuis la présidentielle, « la France ne s’est pas effondrée, mais on n’a pas avancé non plus », a-t-il résumé.  Quant aux mesures qu’il préconise au gouvernement, il « voudrait qu’ils arrêtent d’en prendre », affirmant se placer du point de vue « d’un ménage français » et « pas du chef d’entreprise qui ramène sa sauce ».   »Il y a une urgence pendant un an ou deux de ne pas toucher au pouvoir d’achat, ni (hausse de la) CSG, ni (de la) TVA », a-t-il plaidé, affichant son scepticisme quant à la « pause fiscale » que promet désormais l’exécutif.   »Il n’y a aucune visibilité (…) Il faut laisser les ménages programmer leurs dépenses », a-t-il poursuivi, suggérant d’ »arrêter les allers-retours ».  Le patron de Leclerc a confirmé qu’il pensait ravir à Carrefour la place de numéro un de la grande distribution l’an prochain sur le marché hexagonal.  La part de marché de son enseigne était brièvement passée devant celle du leader historique en juin. Au dernier pointage du mois de juillet, Carrefour détenait 20,3% du marché, et Leclerc 19,3%.

Medef : il n’y a pas de reprise

Medef : il n’y a pas de reprise

 «D’après ce que j’ai vu depuis plusieurs mois, non, il n’y a pas de frémissement particulier», a indiqué le chef de la principale organisation patronale française dans un entretien à France Info. Gattaz était interrogé sur la progression récemment annoncée de 0,5% du produit intérieur brut français au deuxième trimestre, un chiffre meilleur que prévu. Ce chiffre avait faire dire au ministre de l’Economie et des Finances Pierre Moscovici que le pays avait pris le chemin d’une reprise «durable». «Je suis ravi qu’il y ait eu 0,5% de croissance au deuxième trimestre, j’espère que ça va continuer», a déclaré pour sa part Pierre Gattaz, en soulignant toutefois dans la foulée que «pour créer de l’emploi en France, il faut 1,5% de croissance». Selon le nouveau patron du Medef, qui a accédé à ce poste début juillet, «ce sont les instituts, les économistes qui ont fait ces calculs». En affichant ainsi sa prudence sur l’activité économique française, le Medef espère dissuader le gouvernement d’augmenter la pression fiscale sur les entreprises, alors que les discussions sur la réforme des retraites sont dans leur dernière ligne droite, tout comme les arbitrages pour le prochain budget.

 

Bayrou : il n’y a pas de reprise mais un déficit accru

Bayrou : il n’y a pas de reprise mais un déficit accru

 

Bayrou met le doigt où ça fait mal ; il n’y a pas de reprise (la production industrielle chute encore en juin) et le déficit s’accroit. Par ailleurs il rappelle que le FMI veut moins d’impôts et moins de dépenses publiques en France  , deux éléments passés sous silence par le gouvernement. L’écart entre recettes et dépenses de l’État s’est creusé de 2,6 milliards à fin juin sur un an, essentiellement en raison de dépenses européennes exceptionnelles, selon un communiqué publié vendredi par le ministère du Budget.  A fin juin, le déficit atteignait en cumulé 59,3 milliards d’euros, contre 56,7 milliards l’an dernier à la même époque, a précisé le ministère.  Pour le président du Modem François Bayrou, c’est un sévère rappel à l’ordre, alors que Paris s’est engagé à réduire fortement son déficit cette année auprès de ses partenaires européens.  Pour M. Bayrou, les chiffres démentent « l’optimisme de commande affiché par le pouvoir ».  Bercy explique de son côté que l’aggravation du déficit s’explique par la perception, début 2012, de 2,6 milliards de recettes exceptionnelles perçue en l’échange de l’attribution de licences de téléphonie mobile 4G, alors que cette année le budget a du financer l’augmentation de capital de la Banque européenne d’investissement (1,6 milliard), et la dotation au Mécanisme européen de stabilité (3,3 milliards).   »Hors ces éléments de nature exceptionnelle, le déficit à fin juin 2013 s’améliore de près de 5 milliards par rapport à fin juin 2012″, assure ainsi le ministère.  Pour des raisons comptables, ces deux dépenses exceptionnelles ne viennent pas alourdir le déficit public de la France au sens européen, dont les comptes de l’Etat sont une composante avec ceux de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales.  Bercy s’est aussi félicité de voir que les recettes fiscales ont globalement augmenté de 9 milliards d’euros à cette date, « ce qui témoigne d’une amélioration des encaissements par rapport au mois de mai ».  Le ministre de l’Économie Pierre Moscovici s’était félicité mercredi de voir « de nouveaux signes encourageants de reprise » après une batterie d’indicateurs pour la France publiés au cours des jours précédents. Il avait également affirmé à la mi-juillet devant l’Assemblée nationale que « la France est en train de sortir de la récession ».  Un discours officiel qui cadre parfaitement avec celui du président de la République François Hollande, qui a donné le la, le 14 juillet en assurant que la reprise économique « est là ».  M. Hollande a légèrement tempéré ses propos depuis, en disant cette fois sentir « un frémissement économique qu’il faut transformer en reprise de la croissance durable ».  Mais pour M. Bayrou, l’aggravation du déficit budgétaire, tout comme la nouvelle contraction de la production industrielle (également dévoilée ce vendredi) « sont venus rappeler à la réalité les responsables politiques français et le gouvernement, et démentent l’optimisme de commande affiché par le pouvoir ».   »Ceux qui n’ont voulu retenir du récent rapport du Fonds monétaire international que le souhait d’un ralentissement de la réduction du déficit trouvent ainsi le cruel démenti de la réalité », a ajouté François Bayrou à l’AFP.  Dans ce rapport annuel publié lundi, le Fonds monétaire international juge que Paris devrait ralentir son rythme de réduction du déficit public afin de soutenir la reprise, mais il suggère de limiter ce déficit par une baisse des dépenses publiques et moins par une hausse des impôts.  Les chiffres du déficit et ceux de la production industrielle « décrivent une seule et même faiblesse nationale. Nous n’avons pas les forces nécessaires et la capacité de rebond pour remettre le pays dans le sens de la création des richesses et de l’emploi qui nous font si cruellement défaut », a insisté François Bayrou.   »Il est impossible de retrouver ces capacités et cet élan sans des réformes profondes qui toucheront à la structure même de l’Etat et à la place de l’entreprise dans la société française. On est forcé de constater que ce n’est pas dans ce sens que depuis 12 mois va l’action du gouvernement », a conclu l’ex-candidat à l’Élysée.

 

Croissance : pas de reprise en Europe, toujours la récession

Croissance : pas de reprise en Europe, toujours la récession

 

Les économistes s’attendaient à ce que l’indice PMI « flash » des services, l’un des premiers indicateurs avancés de l’évolution de l’activité économique, reflète un début d’amélioration. L’  indice se situe depuis maintenant un an sous le seuil de 50 qui sépare contraction et expansion de l’activité. Les 30 analystes interrogés par Reuters anticipaient au contraire une hausse du PMI des services et aucun d’eux n’avait prévu un chiffre aussi faible. Le PMI flash manufacturier ressort quant à lui à 47,8 contre 47,9. Quant à l’indice flash composite, qui réunit les deux secteurs, il est revenu à 47,3 en février contre 48,6 le mois dernier. Markit, qui réalise les enquêtes, souligne entre autres que la divergence entre l’Allemagne et la France, les deux principales économies de la zone euro, a atteint un niveau sans précédent depuis la création des PMI en 1998. Alors que les entreprises allemandes font état d’une croissance solide, les sociétés françaises du secteur des services se disent confrontées à la pire situation depuis le pic de la crise en 2009.  

 

Goodyear-Amiens nord: pas de reprise par Titan

Goodyear-Amiens nord: pas de reprise par Titan

Dans un communiqué, le ministre du Redressement productif indique que le groupe Titan International, qui avait envisagé un temps de reprendre l’établissement pour y fabriquer des pneus agricoles, a fait savoir par courrier au gouvernement « qu’il ne reviendrait pas à la table des négociations ». Cette annonce intervient alors qu’un comité central d’entreprise extraordinaire de Goodyear France doit se réunir à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) pour évoquer la fermeture de l’usine d’Amiens-Nord, où près de 1.200 emplois sont menacés.  Arnaud Montebourg indique avoir « mandaté l’Agence Française des investissements internationaux pour la recherche d’un repreneur pour ce site de production de pneus ». Son ministère avait relancé Titan International à l’annonce de la fermeture d’Amiens-Nord parce que le groupe américain avait négocié l’an passé une possible reconversion du site en unité de production pneus agricoles avant de renoncer faute d’accord avec la CGT, syndicat majoritaire, sur un plan de départs volontaires.

 

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