Archive pour le Tag 'partout'

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Développement du radicalisme islamique partout en France (Sénat )

Développement du radicalisme islamique partout en France (Sénat )

Balayant l’idée que la religion reste cantonnée à « la sphère privée », les sénateurs établissent le constat qu’ »une minorité de la population française de confession musulmane tend à adopter un comportement dont l’intransigeance prend prétexte de la religion.

Ces comportements toucheraient désormais toute la France. « Aujourd’hui en France, à part l’ouest, toutes les régions sont touchées », constate la rapporteuse du texte et sénatrice Les Républicains du Val-d’Oise Jacqueline Eustache-Brinio. Si l’Etat ne réagit pas, elle estime que « dans quelques années, des quartiers, des pans entiers de territoires vont sortir de la République ».

Le rapport vise plusieurs mouvements: les jihadistes, responsables de la vague d’attentats, mais aussi les salafistes, dont le nombre est estimé à 40.000 en France, ou les Frères musulmans, qui sont environ 50.000. Elle vise particulièrement le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) ou les Musulmans de France (ex-UOIF), réputés « proche des Frères musulmans ».

Le projet de certains de s’emparer de certaines associations pour entraîner une partie de la population à vivre dans des normes et préceptes religieux continuent à avancer, a réagi Nathalie Delattre, présidente de la commission d’enquête sénatoriale. Nous avons fait des propositions pour pouvoir combattre cette volonté de ne pas faire société.

 

La sénatrice étiquetée Rassemblement démocratique et social européen appelle à « ne pas être dans le déni ». Afin de réagir face à ce que les sénateurs qualifient de « séparatisme », ils ont établi une liste de 44 propositions visant tous les pans de la société, estimant que « la réponse ne saurait se limiter à des mesures de police ». L’interdiction de territoire aux idéologues cadres des Frères musulmans est notamment évoquée pour lutter contre le phénomène.

A la Une partout: le prince Harry en crise avec avec la famille royale ou la nullité des grands médias

A la Une partout: le prince Harry et Meghan en crise avec  avec la famille royale  ou la nullité des grands médias

 Sur la plupart des grands médias, on titre à la Une: divorce entre le prince Harry et la reine. Il s’agit pour les non-initiés de la famille royale britannique. Un événement évidemment capital au plan mondial. Alors que la guerre menace entre l’Iran et les États-Unis, que la terre enregistre encore des records mondiaux en matière de température, que la croissance s’écroule partout, que la bulle financière menace d’éclater, que la démocratie est de plus en plus bafouée dans les démocratures,  les grands médias considèrent comme un événement mondial sans doute historique la mésentente du prince Harry avec la famille royale. Mieux, on est informé que le prince Harry veut travailler pour devenir indépendant !

Avec la fortune dont il dispose déjà, il pourra dispenser de cette formalité qu’on appelle le travail. Bref, la grande presse déjà dans une situation économique catastrophique s’enfonce dans l’anecdotique et la médiocrité. Pour s’en persuader, il suffit  d’examiner rapidement les versions Internet de tous les grands journaux mêmes ceux considérés comme les plus sérieux. Bref, tout le monde verse dans le sensationnalisme, le populisme et le superficiel. Pour les questions les plus sérieuses, on se contente de reprendre les dépêches d’agence, du gouvernement ou des grandes institutions.

Cela évite de prendre parti et de ne pas mécontenter les groupes de pression financiers qui désormais maîtrisent les médias aussi bien privés que publiques. L’exemple le plus caricatural est sans doute celui d’Europe 1, devenu une radio complètement marginale alors qu’elle a occupé  le haut du palmarès aussi bien pour l’information économique et politique que pour la musique mais il y a de cela 40 ou 50 ans. Depuis c’est une sorte de mélange de Paris-Match, de JDD et de Closer. Le résultat de la politique éditoriale imposée par Bolloré, l’un des plus fervents soutien financier de Macron.

 

Violences urbaines: l’autorité remise en question partout

Violences urbaines: l’autorité remise en question partout

 

De nombreux facteurs explicatifs peuvent évidemment expliquer la montée des violences urbaines. Il y a nécessairement interaction entre des aspects économiques, sociaux, sociétaux et culturels. Ces violences se déroulent souvent dans des quartiers relativement défavorisés, caractérisés par un très fort taux de chômage, la désertion de nombre de services publics et le développement du trafic de drogue comme mode de régulation économique et sociale. On ne saurait cependant attribuer l’ampleur et la nature des violences au seul fait du misérabilisme de ces quartiers. En effet, d’autres violences se déroulent ailleurs dans la plupart des villes et même des villages. Des dégradations de biens publics ou privés de la part d’enfants ou de sauvageons comme dirait Chevènement. L’environnement économique et social peut permettre de comprendre-sinon d’admettre- la montée d’une partie de cette délinquance. Pour autant, une partie non négligeable de la responsabilité incombe à la société tout entière. D’abord peut-être aux parents dont certains ont adopté la pédagogie de l’enfant roi. L’enfant gâté, pourri, autorisé à s’affranchir de toute règle de vie collective y compris familiale. Dans certains cas,  on comprendra que dans certaines familles monoparentales, le parent -souvent la mère qui travaille– ait des difficultés à encadrer sa progéniture. Mais le phénomène affecte un très grand nombre d’autres familles de tous les milieux, de toutes les zones géographiques. Cette perte d’autorité se nourrit d’un individualisme mortifère pour  les relations collectives. Un seul exemple,  combien d’adultes disent encore bonjour en pénétrant dans une boulangerie ou chez le médecin ? Il est loin le temps où en zone rurale un enfant se devait de saluer chaque adulte rencontré. L’urbanisation à outrance, l’amollissement de l’éducation, le laisser-aller général autorisent désormais enfants et adolescents à toutes les dérives. La société, c’est-à-dire l’État, l’école, la justice ou encore la police sont aussi responsables. La délinquance est finalement largement tolérée; les auteurs ne sont soumis qu’à des peines symboliques et la prévention, comme la sanction sont anecdotiques. On devrait évidemment sanctuariser l’autorité des représentants locaux de la république. Une seule question : pourquoi était-il possible d’obtenir le respect et l’attention d’un instituteur dans une classe 50 élèves en 1950 quand les enseignants actuels sont débordés avec 25 .  La réponse est assez simple, on a abandonné les règles et les valeurs qui existaient  en France dans les années 50 . En 1950, on trouvait peu de  parents pour venir protester contre les notations de leurs enfants voire les punitions dont ils étaient l’objet. Encore une fois les dérives ne concernent pas seulement les quartiers sensibles même si là,  elles prennent des formes très spectaculaires et même parfois criminelles. Les actes de délinquance se généralisent  dans toutes les situations géographiques. Si des facteurs socio-économiques sont à prendre en compte, la dimension culturelle et civilisationnelle doit aussi être intégrée. Les civilisations ne meurent pas seulement en raison des mutations de l’environnement mais aussi de la déliquescence des valeurs qui  font société.

 

Voiture autonome partout pour tous : une utopie

Voiture autonome partout pour tous : une utopie

 Après l’emballement médiatique, Anne-Marie Idrac ancienne ministre, ancienne patronne de la SNCF et de la RATP)  qui vient de remettre un rapport sur la question du véhicule autonome refroidit les enthousiasmes : «  C’est indéniable… Il y a eu un atterrissage de tous les acteurs de la voiture autonome sur ce qui avait été promis et sur ce qui sera possible de faire. On arrête de rêver de technologies hors-sol, on parle désormais de choses utiles, concrètes et pragmatiques. Par exemple, l’hypothèse d’une voiture totalement autonome, en toutes circonstances, par tous les temps, ne verra probablement jamais le jour. Le patron de Valéo lui-même a émis des doutes. Extraits de son interview au JDD :

 

À quand la première voiture autonome commercialisée?
La première voiture autonome est déjà là. Nous avons pris une participation de 5% dans une start-up qui s’appelle Navya, dont les véhicules électriques et autonomes, des navettes, circulent à Sion en Suisse, à Confluence à Lyon, à La Défense, dans le Michigan ou à Singapour. En revanche, il faudra attendre encore un peu de temps pour que vous et moi puissions acheter une voiture totalement autonome.

 

Ce sera dans cinq, dix ou vingt ans?
Des voitures partiellement autonomes, ce sera dans quelques années. Vous pourrez déléguer leur conduite à certains moments et dans certaines conditions. Une voiture dans laquelle vous n’aurez ni volant ni pédales, cela va prendre plus de temps. Entre cinq et dix ans sans doute.

 

Laisser un véhicule se garer tout seul dans un parking, est-ce déjà possible?
Il y a déjà un modèle de la classe E de Daimler que vous pouvez envoyer se garer tout seul avec votre smartphone. Nous avons développé ce système avec le constructeur allemand. Valeo et Cisco ont développé une technologie qui permet aux voitures de se garer seules dans un parking. Beaucoup de parkings dans le monde sont intéressés par cette nouvelle technologie, mais cela prendra encore quelque temps avant que l’on passe à la phase commerciale.

 

L’automobile autonome sera-t-elle aussi partagée?
Le sujet de la propriété de la voiture versus la voiture considérée comme un service est un changement sociologique profond. Quand vous ou moi possédons un véhicule, il est utilisé 4 à 5% de son temps. Sinon, il dort dans un garage. Partager l’usage de la voiture, c’est ce que l’on fait avec un taxi ou avec les nouveaux services qui sont apparus comme Uber ou Blablacar. La plus grande innovation d’Uber est que le prix dépend du nombre de personnes ou de la demande. Une innovation absolument fabuleuse qui est rendue possible par des systèmes digitaux.

 

 Est-ce qu’un jour, dans les grandes villes, vous cesserez d’avoir votre automobile comme vous avez cessé d’avoir votre vélo pour utiliser un Vélib’?

Personne ne connaît la réponse à cette question. Le frein est que l’on part tous au travail ou en vacances en même temps.

 

La technologie de l’automobile autonome doit-elle encore progresser?
Les bases sont là mais les logiciels qu’il faut embarquer dans la voiture sont d’une très grande complexité. Il faut encore beaucoup travailler. Nous sommes numéro un mondial pour les caméras, les capteurs ultrason, les radars ou les lidars avec tous les logiciels qui permettent d’interpréter les données. Mais il faut encore redoubler d’efforts pour qu’une voiture soit autonome en toutes circonstances. Un exemple de problème à régler : ces capteurs doivent être utilisables tout le temps. Pour que l’automobile ne soit jamais aveugle, il faut les nettoyer, et cela coûte cher.

 

La voiture autonome a fait entrer les Gafa sur le marché de l’automobile. Vont-ils le changer comme Amazon bouscule la distribution?
L’histoire n’est pas écrite. Pour l’instant, les constructeurs et les géants du digital travaillent souvent ensemble. Mais l’important sera de savoir où se trouvera la valeur. Concevoir et construire une voiture, ce n’est pas si facile que ça. Ces deux mondes se développent en essayant d’entrer dans la mobilité digitale avec leurs armes respectives : le combat est ouvert.

Si les véhicules deviennent propres, tout ira bien?
Oui, la voiture électrique sera un des éléments essentiels de la mobilité urbaine en complément des transports en commun.

 

Comment jugez-vous les politiques lorsqu’ils rendent la circulation plus difficile à Paris?
Joker! Ce n’est pas en fossilisant l’espace urbain que vous assurez son développement économique.

Quelque 414.700 postes avaient ainsi été créés les 18 derniers mois du quinquennat Hollande (de début 2016 à mi 2017) tous secteurs confondus, contre 289.900 sur les 18 premiers de l’ère Macron (de mi 2017 à fin 2018).

 

Benalla : à la Une partout

Benalla : à la une partout

Benalla à la une sur tous les médias. Il s’était rendu indispensable auprès de Macron d’où promotion incroyable maintenant il se rend indispensable aux médias dans lesquels se répand en plus avec un certain brio et une évidente maîtrise de la communication. Pire,  maintenant il propose d’être entendu par les différentes commissions d’enquête. Il faut bien reconnaître que l’intéressé ne laisse pas indifférent, il  réfute point par point les reproches faits mais en évitant le piège de mettre Macron en difficulté. C’est il a réagi avec violence et n’avait pas sa place parmi les forces de l’ordre lors  d’une manifestation assez tendue mais  fait est cependant anecdotique par rapport à la question centrale du secret entretenu  par l’Élysée dans cette affaire et l’enterrement qui s’en est suivi. Le scandale est là. L’Élysée a menti et n’a réagi avec mollesse que lors de la révélation du journal Le Monde. Il. Benallla a m^meavoué n’voir subi aucune sansction finacière. Un détail supplémentaire bon des mensonges de l’Élysée. E,  général  les accusés ont plutôt tendance à faire profil bas mais Benalla  devient une sorte de vedette médiatique en surfant avec habileté  sur les contradictions de l’Élysée mais en prenant bien soin d’exonérer Macron de toute responsabilité. Bref,  un grand numéro de communication dont tous les médias sont bien contraints de rendre compte. En outre en cette période d’été les vraies infos sont un peu rares, le feuilleton Benalla, ces un peu une sorte de  série de télé réalité.

 

 

 

L’info partout en bleu, blanc, rouge

L’info partout   en bleu, blanc, rouge

 

Impossible d’échapper à ‘ambiance bleu blanc rouge.  Les médias consacrent évidemment une place importante aux commémorations et aux fêtes 14 juillet, symbole d’une liberté très chère et d’une démocratie qui a remplacé la  monarchie. Une liberté fondamentale dont parfois on n’apprécie pas le prix quand on constate ce qui se passe dans certains pays privés des droits fondamentaux. Pour autant, une démocratie encore relative en France dans la mesure en fait on vit davantage dans un environnement de monarchie républicaine que dans un système évolué de démocratie. Une sorte de mix entre eux quelques principes fondamentaux de démocratie avec partout des féodalités. C’est-à-dire des responsables élus dont l’objectif est le pouvoir et qui décident ensuite seuls ce qu’ils veulent. Globalement une démocratie surtout limitée au moment crucial  des votes mêmes si heureusement foisonnent des corps intermédiaires, des associations, des groupes de réflexions et de propositions qui donnent un contenu à notre fonctionnement collectif. En ce début du XXIe siècle, la démocratie est sans doute encore à l’ère néandertalien ne. Elle devra progresser que le citoyen soit considéré non pas seulement commun sujet d’élection mais comme un acteur de la vie collective. Des changements de mentalité sont nécessaires chez les responsables autant que chez  les citoyens. Mais  les élus sont un peu à l’image de ceux  qu’ils les élisent et les reproches qu’on peut faire à ceux qui deviennent responsables peuvent être faits à ceux qui les désignent. En France, pays des libertés, on doit évidemment jouir pleinement des privilèges que confère la démocratie même si c’est son concept est en fait  réduit dans le cadre d’une république monarchique qui s’appuie sur des baronnies locales à caractère plutôt autocratique. Ce n’est pas encore demain que le citoyen  sera totalement conscient et actif. Cette insuffisance de démocratie à généré de nombreux scories dans la vie économique, sociale voire sociétale en France. De nombreuses réformes sont donc nécessaires. Mais la maladie survenue par décret de la superstructure monarchique veut être réglée par les mêmes édits républicains. D’où les mêmes erreurs à savoir le manque de prise en compte des réalités et de mobilisation des acteurs. La France aura du mal à s’arracher de ce concept de démocratie monarchie car elle choisit souvent des responsables qui reproduisent le système. C’est vrai surtout pour les présidents de la république surtout pour Macron qui pousse le rituel monarchique jusqu’aux limites du ridicule. Par comparaison on est loin de la simplicité par exemple d’Angela Merkel ou encore de Teresa May,  leaders de pays aussi démocratiques que la France. Mais dans la période on ne peut échapper aux symboles notamment : le drapeau bleu blanc. Après les festivités du  14 juillet, tout tourne autour des Bleus entre (couleur royale dans le drapeau unifié). On rêve d’un titre pour  cette équipe bleue blanc black, on souhaite  un moment de bonheur national partagé dans une conjoncture politique, économique et social trop souvent grise et manquant sérieusement de couleurs, et de partage. Tout cela ne durera sans doute pas plus d’une quinzaine de jours, les réalités reprendront le dessus. Mais vivre un tel moment ne peut être ignoré car  la France à un urgent besoin de réconciliation, de dynamisme mais aussi de joie partagée.

L’emploi : en hausse modeste partout en France

 L’emploi : en hausse modeste partout en France

 LINSSSE  indique dans une étude publiée ce lundi, que pour la première fois depuis 2006, l’emploi augmente dans toutes les régions. À noter surtout qu’il s’agit de l’emploi salarié puisqu’au contraire les emplois des micros entrepreneurs diminuent. À noter aussi la baisse récurrente dans l’industrie. Ces bons résultats, qui interviennent dans un contexte de croissance modérée, révèlent que 27,6 millions de personnes occupaient un emploi, salarié ou non à la fin de l’année 2016. La croissance du nombre d’emplois salariés et non salariés a été particulièrement dynamique en Occitanie (+1,6%) et Pays de la Loire (+1,5%) entre 2015 et 2016. Ces deux régions ont bénéficié « d’une croissance particulièrement soutenue de l’emploi dans le secteur tertiaire ».  L’augmentation est plus modeste en Corse, en Ile-de-France et à La Réunion mais supérieure à la moyenne nationale (+0,9%). A l’inverse,  l’emploi augmente modérément, moins qu’en moyenne nationale, en Normandie et dans le quart nord-est de l’Hexagone (Bourgogne-Franche-Comté, Grand Est et Hauts-de-France), ainsi qu’en Guadeloupe, Martinique et Guyane. Les experts de l’Insee ont noté que cette hausse moins prononcée dans ces régions peut s’expliquer par une baisse de l’emploi dans la construction plus forte qu’en moyenne nationale. En outre,« l’industrie, qui continue de décliner, est très présente dans les quatre régions métropolitaines ». Dans les autres régions (Centre-Val-de-Loire, Nouvelle-Aquitaine, Bretagne, Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur), l’emploi augmente à un rythme proche de la moyenne nationale. Comme ailleurs, « il est dynamisé par le tertiaire marchand, excepté en Provence-Alpes-Côte d’Azur : dans cette région, la hausse de l’emploi dans ce secteur, plus lente qu’en moyenne nationale, est compensée par un recul moins prononcé des effectifs dans la construction et dans l’industrie. »

Catalogne : après 1-0, match nul, 1 partout

Catalogne : après 1-0, match nul, 1 partout

De toute évidence les catalans opposés à l’indépendance ont largement rééquilibré la balance politique en manifestant à Barcelone ce dimanche. D’un point de vue sportif on pourrait considérer que les indépendantistes menaient  un–zéro à la mi-temps mais que le match a abouti un match nul à la fin de la partie. Du coup,  les indépendantistes auront bien du mal à donner la moindre crédibilité à leur volonté de quitter l’Espagne. Certes les indépendantistes et leurs alliés sont majoritaires dans le gouvernement catalan mais il n’y a sans doute pas plus de 40 % de catalan favorable à l’indépendance. De ce point de vue,  le référendum organisé par les indépendantistes n’est aucunement représentatif de l’opinion. En outre maintenant que certaines banques et entreprises envisagent de transférer leur siège social actuellement à Barcelone, les indépendantistes se trouvent engagés dans une voie sans issue. Madrid de son côté ne fait pas preuve d’une grande intelligence en refusant de dialoguer avec les autorités élues de Catalogne. De ce point de vue, le premier ministre et le roi ont délibérément choisi une posture radicale qui ne favorise pas le dialogue. L’enjeu réel en effet et moi l’indépendance que l’ouverture d’un plus grand champ d’autonomie comme celui qui existe au Pays basque. Des centaines de milliers de partisans de l‘unité de l‘Espagne sont donc descendus dans les rues de Barcelone dimanche, une semaine après le référendum controversé sur l‘indépendance de la Catalogne et ont ainsi rééquilibré le rapport de force. Les manifestants, qui étaient au nombre de 350.000 selon la police, étaient venus de toute l‘Espagne. Ils se sont rassemblés dans le centre de la capitale catalane, agitant des drapeaux espagnols et catalans où l‘on pouvait lire : “La Catalogne c‘est l‘Espagne” et “Ensemble, nous sommes plus forts”. Samedi déjà, des dizaines de milliers de personnes avaient manifesté dans une cinquantaine de villes d‘Espagne pour défendre l‘unité du pays ou réclamer l‘ouverture d‘un dialogue pour désamorcer la crise. Le président de l‘exécutif autonome catalan, Carles Puigdemont, doit prendre la parole mardi devant le Parlement régional. Il pourrait proclamer unilatéralement l‘indépendance de la Catalogne en s‘appuyant sur les résultats du référendum du 1er octobre où le “oui” l‘a largement emporté malgré un faible taux de participation.

Législatives : en marche en tête presque partout à l’étranger

Législatives : en marche en tête presque partout à l’étranger

En Marche (LREM), en tête du premier tour des élections législatives dans dix des onze circonscriptions des Français de l’étranger, selon les résultats détaillés publiés lundi soir par le ministère des Affaires étrangères. La seule circonscription des Français de l’étranger échappant à cette vague LREM est la neuvième, qui couvre notamment les pays du Maghreb. Avec 20,29%, la sénatrice EELV de Paris, Leila Aïchi, y devance le candidat soutenu par LREM, M’Jid El Guerrab (18,93%).Les candidats de droite seront présents au second tour dans quatre circonscriptions mais ont réuni nettement moins de voix que les candidats LREM. Ainsi Frédéric Lefebvre, ancien secrétaire d’Etat et député Les Républicains (LR) sortant pour les Etats-Unis et le Canada, ne recueille que 14,53% des suffrages contre 57,53% pour son opposant LREM. L’ancien ministre Thierry Mariani, député sortant de la 11e circonscription, qui recouvre notamment de nombreux pays d’Asie, n’a quant à lui recueilli que 18,78% des suffrages. Le score est plus serré pour un autre sortant, Meyer Habib (UDI), qui talonne la candidate LREM dans la 8e circonscription (Europe du Sud, Israël, Turquie) avec 35,51% des voix contre 36,73% pour Florence Drory.Les deux députés sortants socialistes qualifiés pour le second tour arrivent eux aussi loin derrière leurs adversaires de la majorité présidentielle, notamment l’ancienne secrétaire d’Etat chargée du Numérique Axelle Lemaire, qui ne recueille que 9,83% des voix.

Macron : des candidats partout aux législatives

Macron : des candidats partout aux législatives

 

Au-delà des présidentielles pour lesquels Emmanuel Macron possède une chance de se qualifier au second tour, c’est surtout la présence de candidats de son mouvement « en marche » qui risque de perturber les équilibres politiques. Aux présidentielles, Macron fera sans doute un score notoirement supérieur à celui du candidat PS. Selon les hypothèses, Macron pourrait faire d’après les derniers sondages entre 16 et 24 %. Si Benoît Hamon devait être désigné par les socialistes, Macron ferait trois fois plus de voix. Du coup la dynamique serait en faveur de Macron. Nombre de parlementaires socialistes devraient alors choisir entre le parti socialiste ou Macron. Pour une énorme majorité de ceux qui conserveraient l’étiquette socialiste, il faudra le soutien de Macron au second tour des législatives. En clair,  Macron va se situer au centre du jeu politique à gauche et au centre pour les élections des députés. Le véritable enjeu pour le parti socialiste ce n’est pas l’élection présidentielle perdue d’avance mais le maintien d’un groupe parlementaire substantiel. L’existence même du parti socialiste se trouverait menacée si les socialistes ne parvenaient à faire élire que quelques dizaines de députés. En annonçant qu’il présentera des candidats partout aux législatives Emmanuelle Macron fait monter les enchères et va contraindre nombre de députés de gauche actuels à se positionner. Au total, sa liste pourrait comprendre une sorte de mix composé de nombre de candidats de la société civile mais d’anciens députés socialistes mais aussi centristes.  Parmi ces 577 candidats, « vous aurez des femmes et des hommes qui viennent de la société civile et qui seront des primo-accédants à la vie politique, a-t-il détaillé. Vous aurez aussi des uns et des autres qui seront ‘En Marche !’ et socialiste, ‘En Marche !’ et Les Républicains, ‘En Marche !’ et UDI… », a-t-il poursuivi, en se disant attaché à la possibilité de « double appartenance » au sein d’ »En Marche ! ».  « Il faut simplement dans les prochaines semaines élaborer des règles très claires car immanquablement, les investitures aux législatives vont créer des frustrations dans le mouvement, a souligné Emmanuel Macron. Il y a plein de gens qui veulent y aller et je suis très fier de ça, c’est l’un des plus beaux acquis d »En Marche !’. Il faudra donc avoir beaucoup de transparence pour dire comment on va investir nos candidats ».   Selon son entourage, ces candidats seront désignés, et non élus, dans les prochaines semaines, par une décision « centralisée ». Chacun devra signer un « contrat sur les 10 propositions clés » du parti « En Marche ! ». Le candidat à l’élection présidentielle se targue du soutien de plusieurs parlementaires socialistes, dont le secrétaire général d’ »En Marche ! » Richard Ferrand, député du Finistère. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a déploré dans un tweet « la décision unilatérale et personnelle d’Emmanuel Macron de présenter 577 candidats aux législatives » qui « est un geste regrettable, maladroit et divisant les progressistes ».

Transports : grèves partout cette semaine, pourquoi ?

Transports : grèves  partout cette semaine, pourquoi ?

 

 

SNCF, RATP, secteur aérien et port notamment seront affectés cette semaine par de nombreuses grèves. En toile de fond figure évidemment le retrait de la loi travail, mais une revendication seulement soutenue par la CGT, FO et solidaires (Sud). À cela s’ajoutent  des motifs de mécontentement très spécifique dans chaque secteur. Pour la SNCF il s’agit pour l’ensemble des syndicats de protester contre le futur accord d’entreprise aussi contre la nouvelle convention collective du rail qui à terme risque de remettre en cause le statut des cheminots. Un aspect videment très sensible qui pourrait d’ailleurs amener le gouvernement à reculer sur cette question en échange peut-être d’une attitude plus conciliante de la CGT sur la loi travail. Faute de cela il faut sans doute s’attendre à une mobilisation qui pourrait durer pendant des semaines et des mois. À la RATP on proteste aussi contre la loi de la part de la CGT, de FO et de Sud mais la revendication spécifique porte sur les salaires. Dans le secteur aérien il s’agit de  demander l’arrêt des baisses d’effectifs et de peser sur la renégociation de leur cadre social et indemnitaire.  Enfin, dans les ports et docks, la CGT appelle à un arrêt de travail de 24 heures jeudi contre la loi El Khomri. On voit donc que les motifs de mécontentement et les grèves sont assez disparates même si en toile de fond figure la demande de retrait de la loi. En mobilisant les bastions traditionnels la CGT veut évidemment aussi faire la preuve de sa force syndicale et peser encore davantage vis-à-vis du gouvernement. Reste que cette mobilisation dans la branche des transports apparaît quand même un peu hétéroclite même si le dénominateur commun pour la CGT demeure le retrait de la loi. Il faut cependant prendre en compte les nombreuses mutations économiques, technologiques, sociales souvent à l’échelle internationale qui affectent  cette branche et qui vient remettre en cause les modalités traditionnelles de son organisation. De ce point de vue le gouvernement aurait sans doute intérêt à engager une large concertation avec les syndicats afin de permettre une meilleure appropriation des nouveaux enjeux  avant d’envisager des réformes précipitées.

Croissance mondiale : baisse partout

Croissance mondiale : baisse partout

Christine Lagarde qui vient d’être réélue à la direction du FMI avait récemment indiqué que l’économie mondiale risquait  un déraillement. Mais faute d’explications claires de sa part (ce qui n’est guère étonnant) le pronostic avait été peu repris dans les grands médias. Cela d’autant plus que ces grands médias s’efforcent par tous les moyens de ne pas affoler les investisseurs et les annonceurs qui les font vivre. Il y a pourtant des semaines et des semaines et même des mois qu’on constate le net ralentissement de l’économie mondiale, le dernier trimestre 2015 a même été catastrophique dans de nombreux pays aujourd’hui c’est l’OCDE qui appelle à une réaction collective pour relancer demande et croissance. L’OCDE se fonde sur le faite que la croissance 2016 risque même de ne pas attendre atteindre celle de 2015 et cela dans toutes les zones mondiales Quelques semaines après le FMI qui envisageait un risque de « déraillement » de l’économie mondiale, c’est au tour de l’Organisation de coopération et de développement économiques de tirer la sonnette d’alarme. « Il est urgent de soutenir collectivement la demande », explique Catherine Mann, la chef économiste de l’OCDE dans une interview aux « Echos ». « La politique monétaire est déjà très accommodante. Il faut maintenant des réformes fiscales et structurelles qui soient déployées pour lui venir en appui. Les trois instruments doivent être déployés ensemble si on veut que cela fonctionne ». L’institution vient de réviser quasiment toutes ses prévisions de croissance à la baisse. Seules celles pour la Chine, cette année, sont maintenues à 6,5 %, et l’Inde est le seul pays à voir sa croissance progresser, de 7,3 % à 7,4 %. Désormais la croissance mondiale ne dépassera pas, en 2016, le niveau de 2015, soit 3 % (contre 3,3 % précédemment envisagés). L’organisation est beaucoup plus pessimiste pour la zone euro que ne l’est la Commission européenne , dont les prévisions ne datent pourtant que d’une quinzaine de jours. Là où Bruxelles prévoit une croissance de 1,7 % pour la zone euro en 2016, l’OCDE abaisse son estimation de 1,8 % à 1,4 %. La croissance en Allemagne est fortement révisée par l’organisation multilatérale (1,3 % au lieu de 1,8 % précédemment estimé). La France tire son épingle du jeu, avec une révision de seulement 0,1 %, à 1,2 %. « Le lent rétablissement de la zone euro est un facteur important qui pèse sur celui de l’économie mondiale », souligne le rapport, qui regrette le trop lent démarrage du plan Juncker pour dynamiser l’investissement en Europe. L’inquiétude est également politique. Elle note les divergences à propos de la crise des réfugiés, comme « les menaces extérieures à la sécurité, l’impopularité des mesures d’austérité et les forces centrifuges dans un certain nombre de pays », en faisant référence à la Catalogne. Aux Etats-Unis, la hausse du PIB n’atteindrait plus que 2 % en 2016, au lieu des 2,5 % prévus. Fin janvier, le FMI prévoyait de son côté une croissance américaine à 2,6 % pour cette année et une croissance mondiale à 3,4 %. Le commerce international (+2 % en 2015) , comme les investissements, sont faibles. La demande est médiocre, ce qui conduit à une inflation faible et à une croissance des salaires et des emplois inadaptée. « La croissance se ralentit dans beaucoup d’économies émergentes tandis que les économies avancées se rétablissent modestement, les prix bas déprimant les pays exportateurs de matières premières », souligne le rapport. Le pétrole a perdu un tiers de sa valeur depuis les prévisions de l’OCDE de novembre 2015.

SNCF, Royal veut des portiques partout !

 

SNCF, Royal veut des portiques partout !

 

Une décision de Ségolène Royal qui se remet ainsi en scène dans le champ de la sécurité. Elle veut des portiques partout. Première observation la France pour l’instant sera le seul pays  à disposer de portiques sur les trains internationaux, les autres pays n’envisageant pas de le faire pour l’instant. Deuxième observation, ces pratiques ne peuvent concerner les transports de banlieue qui sont très loin les plus importants en termes de voyageurs. Troisième observation, il faudra financer ces dispositifs. On envisage notamment de créer une taxe additionnelle sur les billets il faudra non seulement financer l’installation de ces portiques mais aussi disposer du personnel formé chargé de contrôler. Du coup la taxe est susceptible de n’être pas accessoire et va peserv sur un prix du billet qui manque déjà beaucoup de compétitivité. On comprend évidemment qu’on se préoccupe de la sécurité dans les transports mais le transporteur de voyageurs de masse se prête mal (comme celui de la RATP ou de banlieue de province) à l’utilisation de dispositifs sophistiqués. Lors de la présentation des portiques détecteurs de métaux et de scanners à rayon X pour les bagages pour les Thalys de gare du Nord, la ministre en charge des transports a indiqué qu’elle souhaitait la généralisation du système à « tous les trains nationaux ». TGV, Intercités, TER, Ségolène Royal, la ministre en charge des transports, souhaite la mise en place de portiques détecteurs de métaux et de scanners au rayon X pour les bagages pour tous les trains de France.C’est ce qu’elle a indiqué ce jeudi à la gare du Nord en marge de la présentation des premiers portiques de sûreté installés sur les quais des Thalys, lesquels seront opérationnels ce dimanche 20 décembre. « Il n’y a aucune raison pour que l’on ne sécurise que le Thalys. Si le dispositif fonctionne bien, nous le déploierons dans toutes les gares, pour tous les TGV, tous les trains nationaux et pour ce qui concerne les TER qui sont de la responsabilité des Régions, ces dernières pourront parfaitement créer des portiques pour les TER », a déclaré Ségolène Royal. « Pour les trains de banlieue et les TER, il y a déjà des « portiques » de contrôles de billets. L’idée est de voir comment on peut doubler le contrôle des billets par des portiques de sûreté », a-t-elle ajouté, précisant que ce processus pourrait commencer dès l’an prochain. Pour la ministre, le système va être « testé, affiné, adapté » permet de garantir « la fluidité et la sécurisation ». Sur Thalys, le dispositif va permettre le contrôle de 700 personnes pendant le temps usuel d’embarquement (20 minutes) a indiqué Thalys. Un des postes d’inspection filtrage sera réservé aux passagers ayant des difficultés à se déplacer et les voyageurs fréquents. Une sorte de « fast track » comme dans les aéroports.

Banques centrales : la planche à billets partout

Banques centrales: la planche à billets partout

 

Progressivement l’assouplissement se généralise dans toutes les principales banques centrales qui tentent comme elles peuvent de soutenir une économie mondiale en danger. Il ya eu d’abord récemment la FED qui a décidé de maintenir le statu quo sur les taux alors qu’elle aurait dû  les relever fin 2015, un objectif repoussé en 2016 ou plus tard. Il y a eu cette déclaration de la BCE qui envisage une politique encore plus accommandante avec notamment rachats d’actifs. Et hier la nouvelle décision surprise en Chine d’abaisser ses  taux. La baisse de taux annoncée par la Banque populaire de Chine est la sixième en moins d’un an et s’accompagne d’une réduction du taux de réserves imposé aux banques, dans le but de soutenir le crédit et la croissance.  En clair on faiat marcher la planche à billets et on inonde de liquidités les marchés. Une opération pour l’instant qui conforte surtout les marchés des cations. Pour le reste pas sûr que les banques centrales puissent vraiment peser significativement sur le redressement économique international. De ce point de vue l’outil monétaire a des limites.  La banque centrale chinoise a donc annoncé vendredi une baisse de ses taux d’intérêt, la sixième en onze mois, et elle a de nouveau réduit le montant des liquidités que les banques doivent garder en réserves, dans le but de stimuler le crédit et l’activité économique. La politique monétaire de la Chine redevient ainsi aussi accommodante que lors de la crise financière de 2008-2009, ce qui traduit la préoccupation de Pékin face à la dégradation régulière de la situation économique.  La croissance de la deuxième économie mondiale est tombée au troisième trimestre à 6,9%  ( un chiffre » politique »  très contesté par les experts. et elle pourrait afficher sur l’ensemble de cette année son plus bas niveau depuis un quart de siècle.

Terrorisme : le danger peut venir de partout

Terrorisme : le danger peut venir de partout

 

 

Ce que dit Guéant interrogé ce matin sur France Info, il n’a pas tort .  on peut simplement regretter que Sarkozy n’ait  pas davantage tenu compte de cet avertissement que Hollande. Certes il faut prendre des mesures dans les différents lieux accueillants du public et de ce point de vue de sérieux progrès sont encore  à réaliser,  pas simplement pendant les moments de crise.  Mais on ne peut cependant réagir de manière isolée et partielle à chaque fois qu’il y aura un acte de terrorisme dans le transport aérien dans le train, dans le métro dans les magasins ou ailleurs. On peut et on doit évidemment muscler les forces de l’ordre mais il faut surtout compter sur la vigilance et la mobilisation de la population comme cela se pratique déjà dans certains pays à fort potentiel de risque terroriste.  » Cela signifie qu’indépendamment de la sécurité dans les transports, Il faut changer d’approche de la question de la sécurité au regard du risque terroriste » a déclaré Claude Guéant. Le gouvernement hier a fait un communiqué sous la signature de monsieur Valls et de monsieur Cazeneuve pour nous dire que les forces de l’ordre étaient vigilantes (…) Je ne doute pas un instant de leur vigilance, de leur détermination, de leur préparation. Mais ce qu’il faut c’est que le pays soit mis en situation de vigilance. C’est la nation toute entière qui doit être en situation de vigilance. Partout il faut avoir un minimum de réflexes, de précautions élémentaires préalables qui permettent de prendre en compte le risque terroriste.«   Et l’ancien ministre de l’Intérieur de citer l’exemple d’Israël qui « vit depuis des années sous la menace d’attentats. Et les Israéliens vivent de façon tout à fait normale. Ils n’empêchent qu’ils prennent des précautions élémentaires. Je crois qu’il faut que les exploitants de cinéma, de théâtre, de magasins, les directeurs d’établissements scolaires prennent des précautions élémentaires... » Et il revient sur le cas de la SNCF : « Il est très difficile de faire un contrôle systématique des voyageurs mais il faut quand même faire un minimum. On peut avoir des installations de contrôle des bagages et des personnes de manière aléatoire ». Ajoutons qu’une formation minimum à la gestion du risque serait nécessaire pour le personnel en charge de la sécurité du public et des clients  à la SNCF comme ailleurs.

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