Archive pour le Tag 'partir !'

Page 3 sur 6

Pouvoir d’achat: Explosion du prix des denrées alimentaires à partir de mars

Pouvoir d’achat: Explosion du prix des denrées alimentaires à partir de mars

Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Denrées alimentaires: 25 % d’augmentation à partir de mars ?

Denrées alimentaires: 25 % d’augmentation à partir de mars ?

Les prix des denrées alimentaires explosent et pourraient subir une augmentation de 25 % sur deux ans à partir de mars

>Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Social-Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?

Social-Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?


Une nouvelle fois, la France pourrait s’orienter vers une grève par délégation pour bloquer le pays si le gouvernement maintient une réforme à laquelle 70 % des Français sont opposés.

Le climat semble nettement se durcir entre d’une part un gouvernement droit dans ses bottes qui ne veut rien lâcher et des organisations syndicales qui menacent maintenant de bloquer le pays à partir du 7 mars. Pour l’instant rien n’est décidé mais le calendrier très serré de l’Assemblée nationale pourrait pousser les syndicats à la radicalité.

L’intersyndicale a décidé d’une journée d’action le 16 février, puis le 7 mars. À partir de cette date, certains militent pour un durcissement avec grève et actions illimitées. La décision sera prise avant samedi.

Électriciens, gaziers et éboueurs étaient rassemblés à Paris, jeudi 9 février pour protester contre la réforme des retraites. Tous sont bénéficiaires des régimes spéciaux et prêts à durcir le mouvement. « Si on ne fait que de manifs classiques (…) ça ne suffira pas pour s’opposer, pour faire retirer le projet », confie un manifestant. Pour Sud-Rail, l’objectif est de convaincre les autres organisations syndicales d’aller vers une grève reconductible.

Le problème est évidemment de conjuguer unité, radicalité et soutien massif. En outre , il faut tenir compte de l’environnement inflationniste qui pèse sur les journées de grève financièrement perdues. C’est pourquoi on pourrait peut-être s’orienter vers une autre forme de grève déléguée vers les secteurs traditionnels qui peuvent bloquer le pays ( transport, énergie, école notamment)

Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?

Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?


Le climat semble nettement se durcir entre d’une part un gouvernement droit dans ses bottes qui ne veut rien lâcher et des organisations syndicales qui menacent maintenant de bloquer le pays à partir du 7 mars. Pour l’instant rien n’est décidé mais le calendrier très serré de l’Assemblée nationale pourrait pousser les syndicats à la radicalité.

L’intersyndicale a décidé d’une journée d’action le 16 février, puis le 7 mars. À partir de cette date, certains militent pour un durcissement avec grève et actions illimitées. La décision sera prise avant samedi.

Électriciens, gaziers et éboueurs étaient rassemblés à Paris, jeudi 9 février pour protester contre la réforme des retraites. Tous sont bénéficiaires des régimes spéciaux et prêts à durcir le mouvement. « Si on ne fait que de manifs classiques (…) ça ne suffira pas pour s’opposer, pour faire retirer le projet », confie un manifestant. Pour Sud-Rail, l’objectif est de convaincre les autres organisations syndicales d’aller vers une grève reconductible.

Le problème est évidemment de conjuguer unité, radicalité et soutien massif. En outre , il faut tenir compte de l’environnement inflationniste qui pèse sur les journées de grève financièrement perdues. C’est pourquoi on pourrait peut-être s’orienter vers une autre forme de grève déléguée vers les secteurs traditionnels qui peuvent bloquer le pays ( transport, énergie, école notamment)

Explosion du prix des denrées alimentaires à partir de mars

Explosion du prix des denrées alimentaires à partir de mars

Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.
Lire aussiA partir du 5 février, l’embargo sur le pétrole russe va mettre la pression sur le diesel

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4%.

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio q. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général DigitalPayments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

Les ménages sont, en revanche, moins enclins à se priver sur leurs « achats plaisir ». Ainsi, les dépenses dans les restaurants sont en hausse de 44% par rapport à 2021, de 33% par rapport à 2019. Celles dans les bars progressent de 24% sur un an, de 34% sur trois ans. « Cela peut s’expliquer en partie par la réouverture de ces commerces l’année dernière mais pas uniquement puisque, pour les bars, on observe un bond de 35% du nombre de transactions entre 2019 et 2022, ce qui montre bien que les Français ont répondu à leurs envies de convivialités l’année dernière », analyse la directrice du Baromètre.

De même, les dépenses dans les enseignes de beauté ont augmenté de 15%, celles en séances de cinéma de 66% et celles dans les agences de voyage de 154% entre 2022 et 2021, suite à la réouverture des frontières.

Le baromètre montre aussi la bonne résilience de la consommation sur internet. Alors que la fin des mesures sanitaires faisait craindre un effondrement de la consommation en ligne, il semblerait que ce ne soit pas le cas. Si l’on peut noter un ralentissement de la croissance des marketplaces (Amazon, Cdiscount), affichant +5% en 2022 après +29% en 2021 et +32% en 2020, « rares sont les catégories où le commerce physique a regagné du terrain », indique BPCE dans un communiqué.

Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Les acteurs de la grande distribution sont unanimes sur le sujet et font part de leur inquiétude. La directrice des achats alimentaires du groupe Auchan a ainsi évoqué sur RMC, ce jeudi, «une hausse d’environ 10%, en plus de l’inflation actuelle». Pour rappel, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85% au mois de janvier, selon la société d’analyse IRI.

Croissance France : dans le rouge à partir de la fin de l’année

Croissance France : dans le rouge à partir de la fin de l’année

Ça ira sans doute mieux demain pense le ministre de l’économie . Pourtant, la France pourrait connaître la récession d’ici la fin d’année et de début 2023 d’après l’INSEE. En outre l’inflation risquerait de croître autour de 7 % sur 2022 et va continuer à hauteur au moins de 5 % en 2023.Bref un grand risque de récession avec l’impossibilité de savoir exactement si on nen sortira en 2023.

L’INSEE constate qu’près un fort rebond en 2021 (+6,8%), la croissance se tasse fortement en cette fin d’année 2022. Dans sa dernière note de conjoncture dévoilée ce jeudi 15 décembre, l’Insee table sur une croissance du PIB négative à -0,2% au dernier trimestre 2022, un très léger rebond au premier trimestre 2023 (0,1%) et une accélération au second trimestre (0,3%).
L’institut de statistiques a révisé à la baisse ses prévisions pour la fin de l’année de 0,2 point.

Sur l’ensemble de l’année, les statisticiens tablent désormais sur une croissance de 2,5% contre 2,6% auparavant. De son côté, le gouvernement projette dans le budget 2023 toujours une croissance de 1% l’année prochaine. Mais cette prévision semble de moins en moins crédible aux yeux de nombreux économistes. En outre, de nombreuses incertitudes compliquent la tâche des économistes. Entre le prolongement du conflit en Ukraine, les conséquences du resserrement monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) et l’évolution de la situation sanitaire en Chine, les conjoncturistes sont plongés dans le brouillard.

En cause, une chute de la production dans l’industrie. « En France, les climats des affaires se sont effrités mais sans chuter. En revanche, le moral est en berne dans les entreprises les plus énergivores », a ajouté le statisticien. En octobre, la production d’électricité est restée « très dégradée ». Résultat, les moteurs du tissu productif ont tourné au ralenti.
Les industries les plus énergivores exposées aux soubresauts de la production électrique ont flanché en octobre et novembre. «

Tweeter: La brutalité d’Elon Musk a fait partir 80 % du personnel

Tweeter: La brutalité d’Elon Musk a fait partir 80 % du personnel

Elon Musk qui se veut libertarien – surtout pour lui-même- s’assoie sans état d’âme sur la liberté des autres. Ainsi sa brutalité a entraîné le départ de 80 % du personnel. Du coup l’avenir du réseau se trouve largement hypothéqué d’autant que les annonceurs se retirent progressivement de Twitter, or ce sont eux qui financent le réseau.

Pour réduire la masse salariale, Elon Musk s’y est pris en trois temps. D’abord, un immense plan social à la hache concernant 50% des effectifs de l’entreprise, doit 3.700 personnes, la première semaine de novembre. La semaine suivante, le nouveau patron s’est attaqué aux contractuels, en annonçant le licenciement de 80% d’entre eux, essentiellement dans la modération des contenus, alors même que Twitter était considéré avant le rachat comme l’un des réseaux sociaux les moins efficaces sur le sujet. Enfin, lors de la troisième semaine de novembre, Elon Musk s’est attaqué aux survivants du premier plan social en lançant aux quelques 3.700 employés restants un ultimatum : travailler « à fond, inconditionnellement » ou prendre la porte.
D’après le magazine Fortune, 75% des restants ont choisi à ce moment-là de partir. Ajoutons à ces vagues de départ quelques centaines de licenciements éparpillés dans le mois -surtout des employés et managers qui critiquaient ouvertement ou dans les messageries internes la gestion d’Elon Musk-, et Twitter ne compterait aujourd’hui que 1.000 employés et 1.100 contractuels, soit 2.200 en tout, contre 12.900 vingt-trois jours plus tôt !

De fait, on retiendra du premier mois d’Elon Musk quatre « accomplissements », tous plus inquiétants les uns que les autres : la boucherie sur la masse salariale ; le flop spectaculaire de l’abonnement Twitter Blue à 8 dollars par mois, lancé puis rangé indéfiniment au placard à cause de nombreuses dérives ; la rupture de neutralité assumée lorsqu’Elon Musk a appelé ses 118 millions de followers à voter Républicain aux élections de mi-mandat début novembre, confirmant les craintes sur son agenda politique ; et la réintégration de Donald Trump suite à un simple sondage, alors même que l’ancien président avait été banni de tous les grands réseaux sociaux l’an dernier en raison de son rôle actif pour encourager les émeutes du Capitole du 6 janvier 2021, qui ont provoqué six morts.

Ces premières semaines donnent un aperçu assez clair de la méthode et du style de management d’Elon Musk : faire table rase de l’ancien Twitter -dont il exécrait la culture d’entreprise- pour reconstruire à partir de ce qu’il en reste. Ainsi, après avoir viré sans ménagement la moitié des effectifs et congédié tous ceux qui osaient le critiquer, l’ultimatum donné aux restants sonne comme une nouvelle épuration, par la qualité cette fois, en se débarrassant de tous ceux qui avaient survécu jusque-là mais qui ne partagent pas ses valeurs.

Problème : la purge est si violente qu’il ne reste plus grand-chose. Si Twitter avait certainement un peu de « gras » à couper dans ses effectifs avant Musk, il paraît peu probable que l’entreprise employait 10.800 personnes de trop. Ce qui ne manque pas d’interroger sur la capacité de Twitter à fonctionner normalement pour ses utilisateurs, de manière sécurisée, et à répondre à ses obligations légales de modération des contenus.

Mais peu importe la violence et le danger que la méthode Musk créé pour la survie à court terme de l’entreprise. Elon Musk est dans une croisade culturelle contre l’ancien Twitter. « Je peux vous dire ce qui marche chez Tesla : être présent physiquement au bureau et se donner à fond »; a déclaré l’entrepreneur lors d’un Spaces, un salon de discussion sur le réseau social. La purge passe donc aussi par la destruction de la culture d’entreprise de Twitter.

Le nouveau patron la juge trop libérale avec son télétravail généralisé, son progressisme typique de la Silicon Valley, et sa politique de ressources humaines axée sur la bienveillance et les avantages pour les salariés comme la cantine gratuite et à volonté. Dès son arrivée, Elon Musk a donc appliqué à Twitter ce qui fonctionne déjà dans ses autres entreprises : le présentiel tous les jours de la semaine sauf exceptions. Le milliardaire a également mis fin aux repas gratuits dans un souci d’optimisation des coûts.

Ecologie:De l’essence à partir des végétaux, une incohérence totale

Ecologie:De l’essence à partir des végétaux, une incohérence totale

Un groupe pétrolier envisage de fabriquer de l’essence avec des végétaux afin de la qualifier sans carbone ou presque. Une incohérence totale de consacrer une partie des terres pour produire cette énergie. En effet, l’utilisation de déchets végétaux déjà critiquables ne suffira pas et il faudra consacrer de larges espaces à des cultures qui viendront ensuite transformées en carburant.

Mais ces cultures ne pousseront pas toutes seules, il faudra bien entendu utiliser des engins pour travailler la terre, des engrais pour la faire pousser et les produits chimiques pour les protéger. Bref ,On va utiliser du pétrole pour faire pousser des végétaux qui eux-mêmes produiront de l’essence

Une start-up française et le géant des hydrocarbures anglo-néerlandais s’allient donc pour mettre au point un carburant routier « bas carbone », grâce à la fermentation de ressources végétales. L’objectif : parvenir à fabriquer 30.000 tonnes de cet hydrocarbure renouvelable d’ici à 2030, afin d’alimenter les voitures et autres camions.

Reste à voir si les intrants utilisés seront eux aussi vertueux, alors que l’utilisation de cultures agricoles dédiées à la production de biocarburant est très critiquée et pour cause surtout contre-productive d’un point de vue environnemental.

« Poutine doit partir » (Biden)

« Poutine doit partir » (Biden) 

Tandis que plusieurs pays occidentaux ne cessent de montrer une bienveillance coupable vis-à-vis de Poutine en ménageant leurs propos pour qualifier les actes criminels de l’intéressé., Biden réitère en considérant que Poutine doit partir. Précédemment il avait traité le dictateur russe de boucher.

On donnera crédit aux États-Unis d’avoir prévu à l’avance la boucherie décidée par Poutine en Ukraine. Biden semble convaincu que Poutine ne reculera pas et même il aura tendance à étendre le champ d’activité de ses actes guerriers en dehors de ses frontières. Le président américain a certainement raison car au  cours de ces 20 dernières années Poutine n’a jamais reculé. Il a pratiqué bien sûr la terreur à l’intérieur de son propre pays mais aussi au Moyen-Orient en Afrique et maintenant en Ukraine. D’autres ex pays de l’Est pourraient aussi être concernés au motif qu’elle comporte également des populations russophones.

Plusieurs experts et dirigeants de pays alliés des Etats-Unis ont estimé que cette déclaration allait à l’encontre des efforts des Occidentaux pour ne pas justifier une escalade russe dans la guerre menée par Moscou en Ukraine.

Joe Biden a répondu ne pas penser « du tout » que ses propos puissent provoquer une telle escalade.

Interrogé sur ce que le président russe risquait de penser, il a répondu: « je me moque de ce qu’il pense ». « Il va faire ce qu’il pense devoir faire, point final. Il n’est influencé par personne. »

 

Taxe carbone UE: En principe à partir de 2023

Taxe carbone UE: En principe à partir de 2023

 

Réunis à Bruxelles, les ministres européens des Finances ont approuvé mardi à «une très large majorité» un compromis sur Le texte relatif à la taxe carbone aux frontières de l’union européenne.

Le texte approuvé reprend les propositions de la Commission sur les secteurs concernés par le mécanisme (les États n’ont pas voulu y ajouter l’hydrogène) et sur le calendrier (mise en place progressive entre 2023 et 2025). Restera cependant à vérifier si cette taxe ne contribue pas à enfoncer la compétitivité de l’union européenne du fait du renchérissement des produits importés mais aussi des mesures de rétorsion des pays hors UE exportateurs.

En revanche, les Vingt-Sept n’ont pas tranché sur le projet de supprimer parallèlement les quotas d’émissions gratuits alloués aux industriels européens pour leur permettre d’affronter la concurrence de pays tiers –seule façon selon Bruxelles d’assurer la compatibilité avec les règles de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC).

Les Etats sont en effet extrêmement divisés.

A l’unisson de plusieurs pays, la Pologne, dont l’industrie est très émettrice de CO2, a réclamé mardi le maintien des quotas gratuits «jusqu’à ce qu’il soit suffisamment prouvé que le mécanisme protège effectivement (l’UE) des fuites de carbone» hors d’Europe, et pour ne pas affaiblir le secteur énergétique face à l’impact du conflit ukrainien.

«Les éléments relatifs à la fin des quotas gratuits seront traités» dans un texte distinct visant à réformer le marché du carbone européen, actuellement en discussion au Parlement comme parmi les Etats, a précisé Bruno Le Maire. Les négociations avec le Parlement pour finaliser la taxe carbone aux frontières ne pourront pas démarrer sans des «progrès suffisants» sur la question des quotas gratuits, a-t-il averti.

Poutine doit partir ( Robert Littell )

Poutine doit partirRobert Littell )

 

Spécialiste de la Russie et des affaires d’espionnage, Robert Littell dénonce La stratégie de terreur Poutine  et estime qu’il doit partir  dans l‘ « Opinion »

Voici ce que Vladimir Poutine craint en réalité : l’existence à la frontière de la Russie d’une démocratie prospère de 44 millions d’habitants, tournés vers l’Occident pouvant être contagieuse ! Les 144 millions de Russes pourraient être infectés et l’autocratie pourrie (dans tous les sens du terme) de Vladimir Poutine pourrait connaître le même sort que président ukrainien Victor Yanukovych, déposé en 2014 parles manifestations géantes d’Euro Maïdan durant laquelle ses tireurs d’élite ont tué 88 personnes.Le monde connaît bien pour l’avoir déjà réprouvée la tactique de la terreur de la Russie, perfectionnée en Tchétchénie et en Syrie, qui consiste à bombarder les populations civiles et à détruire les villes. Mais au vu des événements dévastateurs auxquels nous assistons, nous devrions avoir une touche de compassion pour les 498 soldats russes qui, à en croire le Kremlin, ont été tués durant cette invasion de l’Ukraine. Ce sont essentiellement des appelés, des enfants qui n’avaient probablement aucune idée de ce qui se passait ni de la raison pour laquelle ils envahissaient un pays voisin où presque la totalité de la population parle le russe.Victimes collatérales. Il y a plusieurs dizaines d’années, lors d’un voyage en Asie centrale, j’avais atterri dans la salle à manger d’un hôtel de Samarcande, remplie d’anciens combattants de l’Armée Rouge célébrant l’anniversaire de la victoire contre Hitler et son régime nazi. Je me suis retrouvé en face d’un vieil homme portant un uniforme militaire effiloché, la poitrine couverte de médailles. Quand je lui ai demandé de me décrire à quoi chacune correspondait, les autres anciens combattants autour de nous se sont tus et le vieil homme a commencé à me les détailler ainsi que les batailles où il les avait gagnées. Au milieu de sa poitrine, il y en avait une correspondant à Stalingrad. La dernière lui avait été accordée à Berlin.

Les livres d’histoire nous disent que huit sur dix des soldats allemands tués durant la Seconde guerre mondiale ont péri sur le front russe. Ma génération a longtemps honoré l’Armée rouge et attribué la défaite d’Hitler aux millions de soldats russes – six millions d’entre eux sont morts durant la guerre – qui ont taillé leur chemin de Moscou à Stalingrad et Berlin. Aujourd’hui, l’honneur de cette vaillante Armée rouge est l’une des nombreuses victimes «collatérales» de cette guerre unilatérale de Poutine contre l’Ukraine.

A la date du 3 mars, je ne vois qu’une porte de sortie à cette tragédie : Poutine doit partir.

Barkhane Mali: Partir rapidement ou finir comme en Afghanistan ?

Barkhane Mali: Partir rapidement ou finir comme en Afghanistan ?

À moins de trouver un nouveau modèle d’intervention avec l’appui de l’Europe, l’intervention française au Sahel pourrait bien finir comme en Afghanistan estime un papier de Sylvie Kaufman du Monde.

 
Il est sans doute urgent que la France se replie sur des territoires plus sûrs comme en Côte d’Ivoire avant que la gangrène djihadiste ne contamine toute l’Afrique de l’Ouest. Une contamination aidée en sous-main par des pays comme la Russie, la Chine et d’autres qui veulent pousser la France en dehors de l’Afrique. NDLR
Partir ou rester ? Sans demander ouvertement son départ mais en poussant les mauvaises manières jusqu’à l’humiliation, la junte au pouvoir à Bamako force la France à se poser la question de sa présence militaire au Mali, où elle est arrivée en janvier 2013, à la demande des autorités de l’époque, pour repousser une offensive djihadiste. 

Dans un contexte de plus en plus difficile, aggravé par un premier coup d’Etat en 2020 puis un second en 2021, trois événements récents précipitent la rupture : l’implantation, à l’invitation de Bamako, des mercenaires russes du groupe Wagner, aujourd’hui au nombre d’un millier d’hommes selon deux sources françaises ; l’expulsion du contingent danois, à peine arrivé, membre de la force européenne sous commandement français « Takuba » ; et celle, lundi 31 janvier, de l’ambassadeur de France. Pour un pays dont l’engagement aux côtés des forces armées maliennes a coûté la vie à 53 de ses soldats, ça fait beaucoup.

Partir ou rester ? « La question ne se pose pas dans ces termes », veut-on croire à l’Elysée. Partir ? Se faire mettre dehors par des colonels putschistes, abandonner le terrain aux groupes djihadistes et laisser la Russie s’installer, comme elle l’a fait en République centrafricaine ? Hors de question. La France pense avoir de bonnes raisons de rester engagée au Sahel : la menace sécuritaire ; les liens entre sa population et la diaspora ; l’enjeu stratégique avec l’activisme croissant de la Russie et de la Turquie.

 

Mais poser la question, même dans des termes plus nuancés, c’est déjà reconnaître l’échec d’une stratégie qui, si elle a pu produire des résultats les premières années avec l’opération « Serval », n’est plus adaptée à la situation au Sahel. La menace djihadiste s’étend maintenant au nord des pays côtiers du golfe de Guinée. Les Etats y sont de plus en plus fragiles, comme le montre le putsch qui vient de se produire au Burkina Faso. La désillusion des populations à l’égard de la démocratie est profonde. La France, du coup, reste associée à des dirigeants défaillants qui ne manquent pas, lorsque cela sert leur intérêt, de faire dériver la colère populaire vers l’ancienne puissance coloniale : les ressentiments du passé n’ont pas été effacés par un coup d’ardoise magique.

A Paris – ça peut se comprendre – on préfère parler de « fin d’un cycle » qu’il « faut gérer », plutôt que d’échec. Comme en Afghanistan, on plaide la fin d’un modèle d’intervention extérieure, trop lourd, trop visible. Mais contrairement à l’Afghanistan, assure l’Elysée, le bilan n’est pas totalement négatif : la Mauritanie, première nation sahélienne visée par le terrorisme djihadiste à la fin de la décennie 2000, et le Niger ont, jusqu’ici, mieux tenu que le Mali et le Burkina Faso.

 

Les obligations (et failles) du Pass vaccinal à partir de lundi 24 janvier

Les obligations (et failles) du Pass vaccinal à partir de lundi 24 janvier

 

Des mesures qui étaient déjà complexes avec le pass sanitaire et qui le sont encore davantage avec le pass vaccinal.Un  qui par ailleurs avec omicron ne garanti aucunement l’absence de virus d’une personne et qui n’empêchera nullement la transmission.  Ce dernier est obligatoire. Il est obtenu  lorsque l’on a un schéma complet de vaccination (deux doses ou une seule, en fonction du vaccin, plus une dose de rappel après votre dernière injection), lorsque l’on possède un certificat de rétablissement du Covid-19 datant d’au moins onze jours et de moins de six mois ou une contre-indication à la vaccination.  D’ailleurs, à partir du 15 février, il faudra effectuer une dose de rappel quatre mois – et non plus sept – après sa deuxième dose pour que le passe reste valable.

Un  justificatif de statut vaccinal pour le Covid-19 sera demandé aux personnes de plus de 16 ans, en lieu et place de l’actuel pass sanitaire, pour accéder aux activités de loisirs, aux restaurants et débits de boissons (à l’exception de la restauration collective), aux foires, séminaires et salons professionnels et aux transports publics interrégionaux (avions, trains, cars).

Dans le cas des transports, une exception est prévue : pas besoin d’un pass pour motif impérieux d’ordre familial ou de santé – un proche mourant par exemple – sous réserve de présenter un test négatif, sauf en cas d’urgence. De la même manière, un simple pass sanitaire (soit un test au Covid-19 négatif, une attestation de vaccination complète ou un certificat de rétablissement) restera valable pour les plus de 12 ans afin d’accéder aux établissements de santé et aux services médico-sociaux, sauf urgence, que ce soit pour les malades ou leurs accompagnants.

Les adolescents de 16 et 17 ans n’ont pas besoin de la dose de rappel pour obtenir le pass vaccinal, sous réserve d’un schéma complet de primo-vaccination. Ils restent en effet considérés comme complètement vaccinés avec deux doses. Les personnes âgées de 18 ans et plus devront quant à elles avoir eu leur dose de rappel dans un délai de quatre mois hors cas particuliers (infections, contre-indications à la vaccination…).

Si dans le projet de loi initial, le gouvernement souhaitait instaurer le pass vaccinal dès l’âge de 12 ans, les députés ont relevé l’âge du pass à 16 ans. Seules les personnes de plus de 16 ans, âge à partir duquel l’autorisation parentale n’est pas nécessaire, seront donc concernées par le pass vaccinal.

Les mineurs de 12 à 15 ans resteront soumis à l’obligation de présenter l’actuel pass sanitaire (soit un test au Covid-19 négatif, une attestation de vaccination complète ou un certificat de rétablissement) pour l’accès aux activités de loisirs, restaurants et bars, foires ou transports publics interrégionaux. Quant aux enfants de moins de 12 ans, ils continueront à n’être concernés par aucun pass.

 

La décrue de la pandémie en Europe à partir de mars

La décrue de la pandémie en Europe à partir de mars

 

Pour l’instant le virus connaît une progression quasi exponentielle. Cependant on note un certain plateau voire  une diminution des contaminations qui demeurent toutefois à un niveau exceptionnel. Cette contamination générale pourrait paradoxalement permettre une fin de pandémie plus rapide puisque Le variant Omicron pourrait contaminer 60% des Européens d’ici mars, a amorcé une nouvelle phase de la pandémie de Covid-19 dans la région et pourrait la rapprocher de son dénouement, a estimé dimanche le directeur de l’OMS Europe. Cela suppose évidemment que n’apparaissent pas soudain un virus qui contrairement à omicron serait plus dangereux.

De ce point de vue les prévisions dans ce domaine sont assez aléatoires. Le second virus omicron appeler BA2 majoritaires dans certains pays désormais comme le Danemark semble, lui, encore plus contaminant que le premier mais moins grave dans ses conséquences. «Il est plausible que la région se rapproche d’une fin de la pandémie», a dit à l’AFP Hans Kluge, appelant toutefois à la prudence du fait de la versatilité du virus. «Une fois que la vague Omicron sera calmée, il y aura pendant quelques semaines et quelques mois une immunité globale, soit grâce au vaccin, soit parce que les gens seront immunisés en raison de l’infection et aussi une baisse en raison de la saisonnalité», a-t-il estimé.

Toutefois, nous ne sommes pas dans «une ère endémique», a souligné le responsable onusien. «Endémique signifie (…) que l’on peut prévoir ce qui va se passer, ce virus a surpris plus d’une fois. Nous devons donc être très prudents», a insisté M. Kluge.

Dans la région qui compte 53 pays dont certains sont situés en Asie centrale, Omicron représentait au 18 janvier 15% des nouveaux cas de Covid, soit plus de la moitié que la semaine précédente, selon les données de l’OMS. Dans l’Union européenne et l’Espace économique européen (EEE), ce variant apparu fin novembre, plus contagieux que le Delta, est désormais dominant d’après l’agence de santé européenne.

Les obligations du Pass vaccinal à partir de lundi 24 janvier

Les obligations (et failles) du Pass vaccinal à partir de lundi 24 janvier

 

Des mesures qui étaient déjà complexes avec le pass sanitaire et qui le sont encore davantage avec le pass vaccinal.Un  qui par ailleurs avec omicron ne garanti aucunement l’absence de virus d’une personne et qui n’empêchera nullement la transmission.  Ce dernier est obligatoire. Il est obtenu  lorsque l’on a un schéma complet de vaccination (deux doses ou une seule, en fonction du vaccin, plus une dose de rappel après votre dernière injection), lorsque l’on possède un certificat de rétablissement du Covid-19 datant d’au moins onze jours et de moins de six mois ou une contre-indication à la vaccination.  D’ailleurs, à partir du 15 février, il faudra effectuer une dose de rappel quatre mois – et non plus sept – après sa deuxième dose pour que le passe reste valable.

Un  justificatif de statut vaccinal pour le Covid-19 sera demandé aux personnes de plus de 16 ans, en lieu et place de l’actuel pass sanitaire, pour accéder aux activités de loisirs, aux restaurants et débits de boissons (à l’exception de la restauration collective), aux foires, séminaires et salons professionnels et aux transports publics interrégionaux (avions, trains, cars).

Dans le cas des transports, une exception est prévue : pas besoin d’un pass pour motif impérieux d’ordre familial ou de santé – un proche mourant par exemple – sous réserve de présenter un test négatif, sauf en cas d’urgence. De la même manière, un simple pass sanitaire (soit un test au Covid-19 négatif, une attestation de vaccination complète ou un certificat de rétablissement) restera valable pour les plus de 12 ans afin d’accéder aux établissements de santé et aux services médico-sociaux, sauf urgence, que ce soit pour les malades ou leurs accompagnants.

Les adolescents de 16 et 17 ans n’ont pas besoin de la dose de rappel pour obtenir le pass vaccinal, sous réserve d’un schéma complet de primo-vaccination. Ils restent en effet considérés comme complètement vaccinés avec deux doses. Les personnes âgées de 18 ans et plus devront quant à elles avoir eu leur dose de rappel dans un délai de quatre mois hors cas particuliers (infections, contre-indications à la vaccination…).

Si dans le projet de loi initial, le gouvernement souhaitait instaurer le pass vaccinal dès l’âge de 12 ans, les députés ont relevé l’âge du pass à 16 ans. Seules les personnes de plus de 16 ans, âge à partir duquel l’autorisation parentale n’est pas nécessaire, seront donc concernées par le pass vaccinal.

Les mineurs de 12 à 15 ans resteront soumis à l’obligation de présenter l’actuel pass sanitaire (soit un test au Covid-19 négatif, une attestation de vaccination complète ou un certificat de rétablissement) pour l’accès aux activités de loisirs, restaurants et bars, foires ou transports publics interrégionaux. Quant aux enfants de moins de 12 ans, ils continueront à n’être concernés par aucun pass.

 

123456