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Santé- crise aux urgences: des mesures trop partielles

Santé- crise aux urgences: des mesures trop partielles

Brigitte Bourguignon, la ministre de la Santé, a dévoilé mercredi 8 juin une série de  »premières mesures » dont surtout le doublement de la rémunération des heures supplémentaires pour tenter de calmer la crise aux urgences, sans attendre le résultat de la « mission flash » commandée par Emmanuel Macron. Des annonces qui n’ont pas tardé à faire réagir les professionnels de santé et les syndicats sur France Info.

« C’est une bonne mesure parce qu’on fait beaucoup d’efforts et c’est bien de rémunérer ces efforts »s’est félicité Rémi Salomon, le président de la commission médicale d’établissement de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Mais le néphrologue pédiatre réclame également la revalorisation des gardes et des astreintes. Thierry Amouroux, porte-parole du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI), a aussi salué « une bonne nouvelle », même s’il faudrait aussi « revoir les ratios de patients par infirmières pour redonner envie à ceux qui ont arrêté d’exercer de revenir à l’hôpital ».

La mesure salariale ne convainc pas franchement François Salachas, neurologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris et membre du Collectif inter-hôpitaux :  »Est-ce qu’il y a le personnel actuellement aux urgences pour assurer ces heures supplémentaires ? Est-ce que ces personnels vont décider de ne pas prendre de vacances alors qu’ils sont déjà exténués par des gardes qui sont extrêmement répétées ? » interroge-t-il.

 

Face au manque de main d’œuvre, la ministre de la Santé veut également faire revenir certains personnels de santé retraités. Pour cela, Brigitte Bourguignon a promis de faciliter le cumul emploi-retraite, un dispositif qui permet à des soignants retraités de reprendre une activité professionnelle et de cumuler ces revenus avec leurs pensions. Le gouvernement envisage ainsi d’augmenter les plafonds de revenus et d’ouvrir de nouveaux droits à la retraite, selon les trois syndicats représentatifs des médecins libéraux. Ces mesures avaient déjà été mises en place pendant la crise du Covid-19.

De son côté, le Syndicat national des professionnels infirmiers reste perplexe. « Il y a eu un gros problème pendant la période Covid avec le cumul emploi-retraite, avec des infirmiers retraités venus en renfort et après la caisse de retraite leur exigeait de rembourser le salaire qu’ils avaient perçu, ce qui était totalement inadmissible », s’inquiète leur porte-parole Thierry Amouroux.

En plus des mesures déjà éprouvées au moment de la crise du Covid-19, la ministre de la Santé a annoncé la mise en place d’un « dispositif exceptionnel ». Celui-ci doit permettre que « les élèves infirmiers et aides-soignants ayant achevé leur formation initiale en juin et juillet [puissent] commencer à exercer immédiatement, sans attendre la remise officielle de leur diplôme ».

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Législatives partielles : une participation toujours plus ridicule

Législatives partielles : une participation toujours plus ridicule

 

La participation au deuxième tour des législatives partielles est encore plus ridicule qu’au premier tour. Un premier tour qui avait enregistré une participation moyenne de seulement 20 % . Pour le second tour,  certains candidats ont logiquement disparu et certains de leurs électeurs ont décidé de s’abstenir d’autant que des  ralliements obéissent à des logiques d’appareil parfois difficilement compréhensibles. La participation aura encore baissé à moins de 20 % pour ce second tour. Cette véritable catastrophe démocratique s’inscrit dans la tendance des élections municipales qui elles avaient aussi enregistré un taux d’abstention de 60 %. Cela confirme la prise de distance de nombre d’électeurs non seulement avec les partis politiques mais aussi avec un processus démocratique qui fait surtout émerger une certaine caste qui vit bien de la politique.

Législatives partielles : la revanche de LR et du PS

Législatives partielles : la revanche de LR et du PS

Trois victoires pour Les Républicains et trois pour la gauche. LREM éliminé partout.

Défaite des macronistes dans les Yvelines ,  le candidat LR, Philippe Benassaya,  a récolté 67,7% des suffrages, devant la candidate Génération.s, Sandrine Grandgambe (32,2%). La droite conserve aussi son siège dans le Haut-Rhin avec la victoire du LR, Yves Hemedinger, face au candidat écologiste, Frédéric Hilbert (62,78% contre 37,22%). Dans le Maine-et-Loire, la candidate LR, Anne-Laure Blin, a également emporté son mano a mano face à la candidate EELV, Daphnée Raveneau (61,1 contre 38,9%).

À gauche, le candidat PS, Gérard Leseul, l’a nettement emporté en Seine-Maritime avec 70% des voix face au candidat RN, Jean-Cyril Montier. Il succède ainsi à un autre socialiste, Christophe Bouillon, élu maire de Barentin en mars dernier.

Dans le Val-de-Marne, les socialistes ont remporté leur duel face aux écologistes. La candidate PS, Isabelle Santiago, a récolté 58% des voix, contre 42% pour la candidate EELV, Sandra Régol. Ce second tour a été marqué par de fortes rivalités entre les deux partis de gauche. À la Réunion, Karine Lebon, candidate de la gauche unie (Pour La Réunion, PS, LFI), l’a emporté sans surprise (71,96%) face à la candidate Divers droite, Audrey Fontaine (28,04%).

Législatives partielles : une participation encore plus ridicule

Législatives partielles : une participation encore plus ridicule

 

Il est possible que la participation au deuxième tour des législatives partielles soit encore plus ridicule qu’au premier tour. Un premier tour qui avait enregistré une participation moyen de seulement 20 % s. Pour le second tour,  certains candidats ont logiquement disparu et certains de leurs électeurs pourraient aussi s’abstenir d’autant que des  ralliements obéissent à des logiques d’appareil parfois difficilement compréhensibles. Cette véritable catastrophe démocratique s’inscrit dans la tendance des élections municipales qui elles avaient aussi enregistré un taux d’abstention de 60 %. Cela confirme la prise de distance de nombre d’électeurs non seulement avec les partis politiques mais aussi avec un processus démocratique qui fait surtout émerger une certaine caste qui vit bien de la politique.

Six élections législatives partielles avaient été organisées dimanche dernier en Maine-et-Loire, dans le Haut-Rhin, les Yvelines, le Val-de-Marne, la Seine-Maritime et la Réunion. L’abstention a été massive partout :

79% dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82% dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, et 84% dans la 1ère de la Réunion. En comparaison, le premier tour des municipales 2020, le 15 mars, avait été marqué par une abstention historique à 55,34 %. Le second tour le 28 juin avait enfoncé ce record, avec 58,33 %.

Dans cinq des six circonscriptions, ce premier tour est dû au fait qu’en vertu de la règle du non-cumul des mandats, les ex-titulaires du poste ont préféré occuper un fauteuil de maire, même d’une petite commune, plutôt que conserver leur siège au Palais Bourbon

Législatives partielles : une participation qui remet en cause le caractère démocratique

Législatives partielles : une participation qui remet en cause le caractère démocratique

 

 

Sur le plan démocratique, les dernières élections municipales ont constitué une sorte de déni de démocratie comte tenu du taux d’abstention. Le même phénomène se produit les sélections législatives partielles où là le taux d’abstention atteint 80 %. On objectera que ces élections sont marginales et confidentielles. Le problème c’est qu’on connaît aussi la faible participation pour les élections européennes et que vraisemblablement les élections départementales et régionales ne vont pas connaître non plus un grand succès. En cause pour ces élections,  le manque de connaissance sur le rôle des élus départementaux et régionaux aussi il faut bien le dire un désintérêt croissant pour la politique.

Pour les législatives partielles on a donc enregistré un véritable fiasco électoral avec une participation moyen de seulement 20 % pour six élections législatives. Cette véritable catastrophe démocratique s’inscrit dans la tendance des élections municipales qui elles avaient aussi enregistré un taux d’abstention de 60 %. Cela confirme la prise de distance de nombre d’électeurs non seulement avec les partis politiques mais aussi avec un processus démocratique qui fait surtout émerger une certaine caste qui vit bien de la politique.

Six élections législatives partielles ont été organisées ce dimanche en Maine-et-Loire, dans le Haut-Rhin, les Yvelines, le Val-de-Marne, la Seine-Maritime et la Réunion. L’abstention a été massive partout :

79% dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82% dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, et 84% dans la 1ère de la Réunion. En comparaison, le premier tour des municipales 2020, le 15 mars, avait été marqué par une abstention historique à 55,34 %. Le second tour le 28 juin avait enfoncé ce record, avec 58,33 %.

Dans cinq des six circonscriptions, ce premier tour est dû au fait qu’en vertu de la règle du non-cumul des mandats, les ex-titulaires du poste ont préféré occuper un fauteuil de maire, même d’une petite commune, plutôt que conserver leur siège au Palais Bourbon

Législatives partielles : une participation ridicule de 20 %

Législatives partielles : une participation ridicule de 20 %

 

Encore un véritable fiasco électoral avec une participation moyen de seulement 20 % pour six élections législatives. Cette véritable catastrophe démocratique s’inscrit dans la tendance des élections municipales qui elles avaient aussi enregistré un taux d’abstention de 60 %. Cela confirme la prise de distance de nombre d’électeurs non seulement avec les partis politiques mais aussi avec un processus démocratique qui fait surtout émerger une certaine caste qui vit bien de la politique.

Six élections législatives partielles ont été organisées ce dimanche en Maine-et-Loire, dans le Haut-Rhin, les Yvelines, le Val-de-Marne, la Seine-Maritime et la Réunion. L’abstention a été massive partout :

79% dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82% dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, et 84% dans la 1ère de la Réunion. En comparaison, le premier tour des municipales 2020, le 15 mars, avait été marqué par une abstention historique à 55,34 %. Le second tour le 28 juin avait enfoncé ce record, avec 58,33 %.

Dans cinq des six circonscriptions, ce premier tour est dû au fait qu’en vertu de la règle du non-cumul des mandats, les ex-titulaires du poste ont préféré occuper un fauteuil de maire, même d’une petite commune, plutôt que conserver leur siège au Palais Bourbon

Loiret élections partielles : nouvel échec pour LREM

Loiret élections partielles  : nouvel échec pour LREM

Dimanche, Jean-Pierre Door des Républicains  l’emporte nettement avec  67,08 % des suffrages contre seulement 32,92 % des voix pour Mélusine Harlé.  Un recul  qui s’ajoute à celle de Belfort et  du Val d’Oise. Ces mauvais résultats expliquant le  tassement de la popularité de Macron. Un président de la république dont l’image de président des riches lui colle un peu trop à la peau et qui n’est pas démentie  par la sociologie des responsables de la république en marche à peu près tous appartenant aux catégories sociales supérieures. Il s’agit là d’un handicap qui brouille la vision du parti au pouvoir concernant les réalités sociales voir sociétales. On objectera à juste titre que la participation aux deux élections partielle a été particulièrement faible mais ceci vaut pour tous les partis; bien que concernant l’élection d’un député, cette  échéances électorale prend surtout un caractère local car on sait que le résultat ne remettra pas en cause les équilibres nationaux. Alors dans ce domaine la république en marche ajoute une autre faiblesse à savoir la quasi inexistence de structures locales et de militants. Une telle faiblesse voulue au niveau national où le pouvoir est hyper centralisé et où on craint surtout l’établissement de baronnies locales. Résultat une grande insuffisance de relais sur le terrain Dans la première circonscription du territoire de Belfort, le LR Ian Boucard s’était nettement imposé avec 59,18 % des voix, plus de huit points de mieux qu’en juin, face au MoDem-LREM Christophe Grudler (40,82 %). Et dans la première circonscription du Val d’Oise, Isabelle Muller-Quoy (LREM, 48,55 %) a perdu la circonscription prise en juin à la droite : son rival LR Antoine Savignat l’a emporté avec 51,45 %, six points de mieux qu’en juin.

 

Législatives partielles en Loiret et Haute-Garonne : très net recul de LREM

Législatives partielles en Loiret et Haute-Garonne : très  net recul de LREM

Dans le Loiret, le député sortant Jean-Pierre Door (LR) est arrivé largement en tête au premier tour d’une législative partielle dans la 4e circonscription du Loiret et affrontera Mélusine Harlé (LREM) au second tour.  Dans la de la 8ème circonscription de la Haute-Garonne. Joël Aviragnet (PS) va retrouver son siège de député de Haute-Garonne. Il a remporté ce dimanche soir le second tour de la législative partielle face au candidat de la République en Marche Michel Montsarrat avec plus de 70 % des voix. Dans les deux cas le recul de LREM est très important.  Après l’invalidation de son élection en décembre, Jean-Pierre Door, cardiologue qui aura 76 ans le 1er avril et brigue un quatrième mandat, a ravi 38,20% des suffrages. En juin 2017, Jean-Pierre Door l’avait emporté de justesse au second tour face à Mélusine Harlé, avec seulement huit voix d’avance. Le Conseil constitutionnel avait annulé l’élection, notamment à cause de la diffusion de messages de propagande électorale, le jour même du scrutin, sur la page Facebook du candidat élu, un acte jugé « de nature à altérer la sincérité du scrutin ».  Dans le département de la Haute-Garonne. Ce dimanche, Joël Aviragnet (PS) a largement remporté l’élection partielle sur la 8ème circonscription face à son adversaire Michel Montsarrat (LREM). Joël Aviragnet remporte 70,31 % des voix contre 29,69 % à Michel Monsarrat. La participation s’est légèrement redressée par rapport au 1er tour du dimanche 11 mars. Cette mobilisation a visiblement profité à Joël Aviragnet. Les score du candidat En Marche sont, selon un membre de son équipe, « mauvais partout sauf à Luchon ». Les deux hommes s’étaient déjà affrontés en juin 2017 et Joël Aviragnet l’avait déjà emporté mais son élection avait finalement été annulée par le Conseil constitutionnel.   Contrairement à 2017, Joël Aviragnet était arrivé largement en tête au premier tour devançant son adversaire de près de 20 points. Michel Montsarrat avait perdu près des deux tiers des voix de 2017.  Ces législatives partielles sont un nouveau revers pour la majorité présidentielle.

 

Législatives partielles: le manque d’implantation locale de La République en marche

Législatives partielles: le manque d’implantation locale La République en marche

 

Suite à l’échec  enregistré par la république en marche lors des élections législatives partielles de dimanche dernier, certains observateurs ont souligné que l’un des facteurs explicatifs pouvait provenir d’un manque d’implantation locale. Il faudrait dire même d’une absence totale d’implantation locale. En effet le parti en marche reste une organisation uniquement centralisée sans aucune structure locale, départementale ou régionale. Le seul local est un référent lui-même désigné au plan national par des responsables autos proclamées. À la base, il n’y a pratiquement pas de relais dans la république en marche, pratiquement pas de débat, surtout pas de délibération. Bref c’est un parti hors-sol au plus composé essentiellement d’individus de catégorie sociale supérieure sans réel passé collectif et sans expérience politique. Bref un parti hors-sol qui tient essentiellement à l’aura de Macon. Deux candidats de La République en marche ont en effet été défaits dimanche aux élections législatives partielles. Candidate à sa réélection dans la première circonscription du Val-d’Oise, Isabelle Muller-Quoy (48,55%) a été battue par le candidat des Républicains, Antoine Savignat (51,45 %). Dans la 1re circonscription de Belfort, le candidat sortant LR Ian Boucart l’a emporté avec 58,93 % des voix au second tour face au candidat MoDem-LREM Christophe Grudler (41,07 %). Dimanche soir, les boucles Telegram des députés de La République en marche ont vu défiler plusieurs dizaines de messages. Tous ont commenté les mauvais résultats des deux élections législatives partielles qui se jouaient ce jour-là. Dans le Territoire de Belfort, la défaite n’est pas une surprise. Dans le Val-d’Oise en revanche, c’est une vraie déception. Mais pas de là à susciter une inquiétude au sommet du pouvoir. Il est clair pourtant que dans le Val-d’Oise, si une partie des électeurs ne s’est pas déplacée, ignorant même qu’il y avait une élection ce jour-là, d’autres ont pu manifester leur mauvaise humeur face à la hausse de la CSG ou du diesel. « Ce sont les plus en colère qui ont été aux urnes ».

 

 

Elections partielles : avertissement sans frais à LREM à Belfort et dans le Val d’Oise

Elections partielles : avertissement sans frais à LREM à Belfort et dans le Val d’Oise

 

D’une certaine façon, la défaite de la république en marche à Belfort mais surtout dans le Val-d’Oise constitue un avertissement sans. Ces mauvais résultats s’ajoutent aux tassements de la popularité de Macron. Un président de la république dont l’image de président des riches lui colle un peu trop à la peau et qui n’est pas démentie  par la sociologie des responsables de la république en marche à peu près tous appartenant aux catégories sociales supérieures. Il s’agit là d’un handicap qui brouille la vision du parti au pouvoir concernant les réalités sociales voir sociétales. On objectera à juste titre que la participation aux deux élections partielle a été particulièrement faible mais ceci vaut pour tous les partis; bien que concernant l’élection d’un député, cette  échéances électorale prend surtout un caractère local car on sait que le résultat ne remettra pas en cause les équilibres nationaux. Alors dans ce domaine la république en marche ajoute une autre faiblesse à savoir la quasi inexistence de structures locales et de militants. Une telle faiblesse voulue au niveau national où le pouvoir est hyper centralisé et où on craint surtout l’établissement de baronnies locales. Résultat une grande insuffisance de relais sur le terrain. La large victoire était prévue à Belfort, mais beaucoup plus inattendue dans le Val d’Oise : Les Républicains ont emporté les deux sièges attribués lors des législatives partielles dimanche Dans la première circonscription du territoire de Belfort, le LR Ian Boucard s’est nettement imposé avec 59,18 % des voix, plus de huit points de mieux qu’en juin, face au MoDem-LREM Christophe Grudler (40,82 %). Et dans la première circonscription du Val d’Oise, Isabelle Muller-Quoy (LREM, 48,55 %) a perdu la circonscription prise en juin à la droite : son rival LR Antoine Savignat l’a emporté avec 51,45 %, six points de mieux qu’en juin. Les deux élections avaient été annulées par le Conseil constitutionnel, du fait d’un suppléant inéligible pour Isabelle Muller-Quoy et de faux tracts pour Ian Boucard. et le parti présidentiel rejetaient toute portée nationale à ces deux élections partielles. Mais une double défaite sonne comme un mauvais signal, alors que l’exécutif marque le pas dans les sondages ces derniers jours. Ce second tour est encore marqué par une participation très faible : 28,91 % à Belfort, contre 45,25 % en juin 2017. Et à peine 19,09 % dans le Val d’Oise, deux fois moins que l’an dernier.

 

Législatives partielles : le PS éliminé dans deux élections

Législatives partielles : le PS éliminé dans deux élections 

Le parti socialiste a été éliminé des le premier tour dans 2 des 3  législatives partielles de ce week-end .Les candidats Les Républicains de la 10e circonscription du Nord et de la 2e de l’Aisne sont arrivés en tête dimanche soir du premier tour d’élections législatives partielles, et affronteront un candidat frontiste au second, le PS étant éliminé. Dans le Nord, Vincent Ledoux, maire de Roncq et vice-président de la Métropole Européenne de Lille, a obtenu 46,84% des suffrages. Il se trouve en ballottage face à la candidate frontiste (25,22%) Virginie Rosez, lors d’un scrutin où la participation n’a atteint que 21,7%. Le candidat socialiste Alain Mezrag se place en troisième position avec 11,24% des voix. Viennent ensuite les candidats EELV (5,90%), PCF (5,10%), LO (2,96%), DVD (1,49%) et MRC (1,24%).  Dans la 2e circonscription de l’Aisne, où les électeurs doivent élire le successeur à Xavier Bertrand qui a démissionné de son mandat pour se consacrer à la région Nord-Pas-de-Calais/Picardie après son élection, Julien Dive (LR) est arrivé en tête avec 36,28% des suffrages. M. Dive, 31 ans, ancien responsable des Jeunes populaires et maire d’Itancourt depuis 2014, devance la frontiste Sylvie Saillard (28,79%) et la socialiste Anne Ferreira (15,69%). Un candidat sans étiquette, Eric Norel (5,79%), arrive en 4e position, devançant deux candidats communistes, Gérard Brunel (3,80%) et Corinne Becourt (3,48%), puis ceux d’EELV (3,33%), LO (2,21%) et Belaïdi Lograda, sans étiquette (0,63%).
La participation à ce scrutin a été de 33,97%, selon la préfecture.




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