Archive pour le Tag 'particulier'

Immobilier particulier : un accord moyen de 272 000 € en Île-de-France

Immobilier particulier : un accord moyen de 272 000 € en Île-de-France

En moyenne en France, on vient d’atteindre un nouveau record historique avec un apport moyen de 72.000 euros par opération, soit 10.000 euros de plus que l’an dernier. Le record revient à l’Ile-de-France, avec un apport moyen de 272.000 euros. Ici il s’agit pour la plupart de secondo accédants qui se servent de leur plus-value sur le bien vendu pour financer le prochain. Derrière l’Ile-de-France c’est en Auvergne-Rhône-Alpes que l’apport est le plus élevé: au-delà de 90.000 euros. Viennent ensuite la Bretagne, les Pays de la Loire et la Provence-Alpes-Côtes d’Azur où on oscille autour de 85.000 euros.

D’après les chiffres du courtier Finance Conseil, pour emprunter 300.000 euros, un ménage doit désormais gagner environ 5.300 euros par mois, soit 1.000 euros de plus qu’il y a un an à peine.

France : excès de confiance naïve pour les nouveaux investisseurs

France : excès de confiance naïve pour les nouveaux investisseurs


En France, l’étude l’OCDE pourle compte de l’AMF montre un excès de confiance des nouveaux investisseurs à l’égard de leur niveau de connaissances en matière financière», écrit l’Autorité des marchés financiers (AMF) dans un communiqué. Une confiance qui confine à la naïveté et fragilise la rentabilité des placements. Exemple, l’intérêt particulier pour les cryptomonnaies.

Parmi les nouveaux investisseurs particuliers interrogés, 73% des 18-24 ans estiment avoir un niveau «élevé» de connaissances en matière financière, la proportion s’élève à 75% chez les 25-34 ans. Pourtant, interrogés «sur des notions simples comme les effets de l’inflation, la diversification ou le rapport risque/rendement», «plus de la moitié des plus jeunes n’ont répondu correctement qu’à deux questions sur six», rapporte l’AMF.

Menée sur un échantillon de 8000 personnes dont 2000 investisseurs particuliers, cette étude permet notamment de dresser le portrait-robot des nouveaux investisseurs particuliers français. Il ressort que la moitié des néophytes interrogés se sont lancés dans l’investissement au début de la pandémie de Covid-19 en 2020. Au sein de ce public majoritairement masculin (64%) et plutôt jeune (56% ont moins de 35 ans), la moitié a investi dans les cryptomonnaies.

Pour 73% des sondés, «gagner beaucoup d’argent rapidement» est une priorité, mais paradoxalement, ils disent préférer les produits au risque et au rendement modérés (61%). «Leur perception du risque semble limitée», constate l’AMF.

Par ailleurs, les nouveaux investisseurs ont tendance à «accéder à l’information financière principalement par le biais de sources en ligne, y compris les réseaux sociaux». Ils sont aussi davantage à se tourner vers certaines entreprises, «telles que les entreprises de technologie américaines ou Tesla», cite l’étude, ainsi que certains types d’investissement, «tels que les fonds indiciels (Exchange Traded Funds ou ETF)».

Macron va payer le mépris des syndicats et de la CFDT en particulier

Macron va payer le mépris des syndicats et de la CFDT en particulier

 

Beaucoup s’étonnent du raidissement de Laurent Berger secrétaire général de la CFDT vis-à-vis de la réforme des retraites. Pourtant il faut intégrer le fait que la CFDT n’est pas prête à avaler une nouvelle couleuvre avec en plus le mépris total pouvoir en place. Le conflit entre la CFDT et Macron a débuté avec l’affaire des gilets jaunes. pour sortir de la chienlit sociale s’était installé en France, Laurent Berger a alors proposé la médiation des syndicats et notamment une table ronde sur les principaux enjeux sociaux en cause. Une opposition constructive dans la mesure où les gilets jaunes non seulement étaient incapables de désigner des représentants mais refuser même de donner le moindre mandat à la C. Au final mouvement s’est éternisé et Macron a dû payer le prix fort en lâchant sur énormément de revendications qui ont eu un coup budgétaire non négligeable entre parenthèses (et qui en passant ont peut-être permis d’ailleurs aussi de soutenir la crosse la croissance). Ce refus de macro correspond à sa vision de la gestion théocratique du pouvoir qui évidemment veut s’affranchir de toute médiation des cœurs intermédiaires y compris du gouvernement. Le second conflit est intervenu l’heure de l’affaire de la réforme de l’assurance chômage ou la les partenaires sociaux ont été mis en demeure d’accepter les délais et les mesures du gouvernement. Compte tenu de ce contexte inacceptable de négociation, les partenaires sociaux ont refusé la méthode et l’État à imposer des mesures drastiques de mise en œuvre pour l’assurance chômage. Une orientation qui a été particulièrement mal appréciée par la CFDT et par Laurent Berger. Cette fois l’opposition porte sur le système de retraite universelle dont d’ailleurs la CFDT est à l’origine. Son objectif est clair il s’agit de rendre le système plus juste en fonction notamment de la pénibilité réelle des emplois et non en fonction des statuts. Le problème c’est que cette réforme a été percutée par la malencontreuse initiative du premier ministre qui a mélangé les mesures systémiques et les mesures paramétriques. Sans doute très Il était toujours républicain, toujours très a droite toujours fidèle à l’ultralibéralisme qui en l’occurrence ce propose de transférer au privé une partie de la gestion du risque retraite, ce que réclame depuis longtemps le Medef et les assureurs qui en font parti. Cette fois les vraisemblables que la CFDT ne lâchera pas vis-à-vis du pouvoir. Il est clair que Laurent Berger va faire payer gouvernement et à Macron sa condescendance et son mépris des syndicats en même temps qu’il veut évidemment obtenir des satisfactions pour une réforme plus juste et plus pertinent. Et on ne pourra pas reprocher à la CFDT son radicalisme et son irresponsabilité.

Carburant « Le prix élevé aligne l’intérêt particulier sur le l’intérêt général » !!!

  • Carburant « Le prix élevé aligne l’intérêt particulier sur le l’intérêt général » !!! 

Selon l’économiste Christian Gollier, dans une tribune du Monde. Ou l’exemple de ces économistes  très majoritaires qui pensent que la monétarisation des nuisances est le moyen de régulation privilégié alors que la politique de normes est autrement plus efficace sur des sujets aussi majeurs.

 

« La levée de boucliers concernant la hausse du prix du carburant constitue un moment de vérité écologique. Conduire pollue, et cette pollution tue, et tuera pour plusieurs siècles en ce qui concerne le gaz carbonique. Le principe pollueur-payeur justifie que ces dommages soient intégrés au prix des carburants à la pompe. Ce principe a cette vertu qu’il incite les pollueurs à intégrer dans leurs décisions les dommages générés par leur émission de gaz carbonique comme s’ils en étaient eux-mêmes les victimes. Il aligne les intérêts particuliers sur l’intérêt général. On rappellera que, si rien n’est fait, nous atteindrons le seuil d’une augmentation de la température moyenne sur terre de 2 °C d’ici à 2038, et le temps des demi-mesures et de l’hésitation est largement passé. Nous savons qu’augmenter le prix du carbone est une politique efficace. Sans lien social fort, les consommateurs réagissent mieux aux « signaux prix » qu’à tout autre mécanisme d’incitation. Ainsi en Europe, où le prix de l’essence est en moyenne deux fois plus élevé qu’outre-Atlantique, les voitures sont plus petites, plus légères et plus sobres, ce qui contribue à émettre moins de carbone par habitant. Et même s’il est vrai que certains automobilistes n’ont à court terme que peu de solutions alternatives, le prix élevé de l’essence modifie les habitudes de consommation et le choix des constructeurs à long terme. L’argument relatif à la baisse du pouvoir d’achat n’est pas convaincant. Les revenus suscités par cette fiscalité écologique doivent être recyclés dans l’économie, soit à travers la baisse d’autres taxes (comme celles qui pèsent sur le travail), soit pour financer d’autres politiques publiques efficaces. A ce propos, la plupart des économistes sont contre une imputation d’une recette fiscale à des dépenses spécifiques, comme par exemple des subventions en faveur de la transition énergétique. »

 

 

Le téléphone pour transfert d’argent entre particuliers

Le téléphone pour transfert d’argent entre particuliers

Plusieurs applications existent déjà pour permettre le transfert d’argent entre particuliers (Google, Facebook etc.). Cette fois c’est Apple qui se lance sur ce marché prometteur (l’envoi par Western union coûte une fortune !)Après avoir déjà proposé le paiement par mobile. Progressivement on s’oriente donc vers une diversification des moyens de paiement dans tous les domaines avec notamment la montée en puissance des groupes informatiques américains. De quoi mettre en question le futur des banques de détail traditionnelles par ailleurs bousculées  par les banques en ligne. Le groupe informatique américain Apple, qui s’était lancé l’an dernier dans les paiements mobiles, discute avec des banques américaines d’un service supplémentaire qui permettrait à des particuliers de s’envoyer de l’argent, écrit mercredi le Wall Street Journal. Cela viendrait en complément du service existant Apple Pay, qui permet d’utiliser un iPhone pour payer chez les commerçants. La marque à la pomme négocierait avec plusieurs banques, dont JPMorgan Chase et Wells Fargo, d’après des sources proches du dossier citées par le quotidien des affaires américain.




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