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Participation toujours forte des gilets jaunes

Participation toujours forte des gilets jaunes

 

Dans la plupart des grands médias, on affiche bêtement le chiffre de 48 000 participants pour la 12e journée de manifestation des gilets jaunes. En réalité, un chiffre qui ne concerne que la province et auxquels il faut ajouter 10 500 manifestants de la capitale. Soit au total un chiffre de 58 600 soit à peu près la même participation que la semaine précédente. Des chiffres en outre officiels et très critiquable car le ministre de l’intérieur a l’habitude de les manipuler. À chaque fois, l’objectif est clair faire apparaître une baisse de mobilisation, aussi mettre en valeur les violences pour discréditer le mouvement. Certes on ne peut contester ces violences qui doivent être condamnées et sanctionnées d’autant qu’elles sont le fait d’extrémistes qui n’ont pas grand-chose à voir avec les gilets jaunes et qui sont plutôt partisans de régimes politiques autoritaires voir dictatoriaux(le communisme ou la monarchie). On compte cependant aussi quelques anarchistes irresponsables. Le chiffrage du ministère de l’intérieur est tellement ridicule qu’on pourrait presque en rire quand parfois, Castaner  décompte  jusqu’à l’unité le nombre de manifestants. Ce qu’il faut retenir c’est que 400 manifestations ont été organisées en France. Il y a toujours aussi un événement à Paris mais les gilets jaunes s’ancrent surtout leur présence en province. Cette fois le thème des manifestations rendait hommage aux blessés des gilets jaunes. L’histoire retiendra sans doute que rarement un mouvement social a généré autant de morts  (plus d’une dizaine) et autant de blessés (des milliers). Sans doute la conséquence de violences mais tout autant sinon davantage d’une répression policière inédite quant à sa brutalité. Cela avec utilisation d’armes de guerre qui ne sont nullement adaptées au maintien de l’ordre public. On retiendra également que la stratégie de Castaner pour maintenir l’ordre constitue une véritable catastrophe du point de vue de l’intérêt général. Pour schématiser Castaner  c’est du Pasqua en plus violent et en plus caricatural, c’est dire !

PARTICIPATION GILETS JAUNES : EN BAISSE OU MAINTIEN !

 PARTICIPATION GILETS JAUNES : EN BAISSE OU MAINTIEN !

En baisse pour Reuters et autres médias très proches pouvoir (comme la Tribune). En effet l’agence de presse fournisseur  attitré des médias titre que la participation était en retrait par rapport au samedi précédent en reprenant les chiffres du ministère de l’intérieur de 27 000 participants à 14 heures. En fait après le même ministère la participation pour la journée aurait atteint 80 4000 personnes soit sans doute de l’ordre de 100 000. Première observation,  on pourrait conseiller le journaliste de ne pas finir leur article à midi et d’attendre la fin de journée. Deuxième observation on note une nette évolution des lignes éditoriales de grands médias pour la plupart liés aux milieux financiers qui s’inquiètent de la dégradation de la situation politique, économique et social du pays et militent en fait pour la fin de la mobilisation. Il est clair que cette mobilisation ne contribue pas à améliorer le moral aussi bien des ménages que des entreprises. Mais la situation sociale ne se réglera pas avec des tentatives pour étouffer le mécontentement et la colère mais avec une politique caractérisée par davantage de justice signale fiscale et sociale. Les médias et les sociétés de journalistes se plaignent de leurs rapports conflictuels avec les gilets jaunes. Ils ont raison lorsque ces rapports prennent la forme de violences. Par contre, ils ne peuvent éviter la critique relative à leur objectivité. Presque tous les grands médias sont au service des intérêts financiers qui n’ont pas racheté la Presse et autres sites informatiques, pas  pour des motifs de profits,  mais pour influencer l’opinion. Un constat malheureusement incontournable aussi bien pour la presse de droite que pour la presse de gauche sauf exception rare. Même chose évidemment pour les chaînes télévisées qui ménagent le pouvoir quand elles sont publiques ou qui servent la soupe aux intérêts financiers quand elles sont privées

«Gilets jaunes»: rebond de la participation

 «Gilets jaunes»: rebond de la participation

 

Indéniablement, l’acte neuf des gilets jaunes à enregistré un rebond de participation avec près de 100 000 manifestants pour toute la France soit à peu près le double que le week-end dernier. (Chiffres officiels forcément sous estimés). À signaler surtout que les violences ont été nettement moins nombreuses. À Paris on a compté autour de 10 000 participants. À Bourges de l’ordre de 7000 personnes ont répondu à l’appel d’une mouvance des gilets jaunes. Ceci étant, si la mobilisation est réelle, elle  est quand même très intérieure à celle des manifestations de syndicats. En effet en général on considère lorsque le total des manifestants appelés par les syndicats sont moins de 200 000 que la mobilisation n’est pas réussie. Mais pour les gilets jaunes, ce qui compte c’est moins le nombre de personnes dans la rue que le soutien populaire. Au début, l’action des gilets jaunes recevait le soutien de 70 % de l’opinion. Progressivement ce soutien s’effrite pour tomber à environ 52 % d’après le dernier sondage. C’est sans doute la bataille de l’opinion qui décidera de l’avenir d’un mouvement. Il est clair que le gouvernement a une sérieuse épine dans le pied avec cette protestation, inversement le mouvement des gilets jaunes n’est pas assuré de son avenir compte tenu des ambiguïtés qu’il porte. La principale ambiguïté réside dans le fait que certains veulent transformer les gilets  jaunes en mouvement de citoyens essentiellement sur le terrain social alors que d’autres sont  visiblement plus politisés et veulent y compris présenter des candidats aux élections. Cette perspective risque de tuer à terme les gilets jaunes. D’une part parce qu’il y a plusieurs tendances, des tendances anarcho- gauchiste et des tendances d’extrême droite auxquelles s’ajoutent des querelles d’ego entre les responsables. Le référendum citoyen semble constituer un masque qui cache ces divergences. Le référendum d’initiative citoyenne est davantage par ailleurs une réponse politique que sociale. Une réponse par ailleurs très partielle car on ne dirige pas un pays à coups de référendums d’autant qu’en général en France cette méthode de consultation est souvent détournée de son objet. Bref la France vit sans doute une crise sociale mais aussi politique car ni côté pouvoirs, ni du côté des gilets jaunes ne se dessinent des pistes de sortie crédibles.

 

 

«Gilets jaunes»: rebond de la participation

 «Gilets jaunes»: rebond de la participation

 

Indéniablement, l’acte neuf des gilets jaunes à enregistré un rebond de participation avec près de 100 000 manifestants pour toute la France soit à peu près le double que le week-end dernier. (Chiffres officiels forcément sous estimés). À signaler surtout que les violences ont été nettement moins nombreuses. À Paris on a compté autour de 10 000 participants. À Bourges de l’ordre de 7000 personnes ont répondu à l’appel d’une mouvance des gilets jaunes. Ceci étant, si la mobilisation est réelle, elle  est quand même très intérieure à celle des manifestations de syndicats. En effet en général on considère lorsque le total des manifestants appelés par les syndicats sont moins de 200 000 que la mobilisation n’est pas réussie. Mais pour les gilets jaunes, ce qui compte c’est moins le nombre de personnes dans la rue que le soutien populaire. Au début, l’action des gilets jaunes recevait le soutien de 70 % de l’opinion. Progressivement ce soutien s’effrite pour tomber à environ 52 % d’après le dernier sondage. C’est sans doute la bataille de l’opinion qui décidera de l’avenir d’un mouvement. Il est clair que le gouvernement a une sérieuse épine dans le pied avec cette protestation, inversement le mouvement des gilets jaunes n’est pas assuré de son avenir compte tenu des ambiguïtés qu’il porte. La principale ambiguïté réside dans le fait que certains veulent transformer les gilets  jaunes en mouvement de citoyens essentiellement sur le terrain social alors que d’autres sont  visiblement plus politisés et veulent y compris présenter des candidats aux élections. Cette perspective risque de tuer à terme les gilets jaunes. D’une part parce qu’il y a plusieurs tendances, des tendances anarcho- gauchiste et des tendances d’extrême droite auxquelles s’ajoutent des querelles d’ego entre les responsables. Le référendum citoyen semble constituer un masque qui cache ces divergences. Le référendum d’initiative citoyenne est davantage par ailleurs une réponse politique que sociale. Une réponse par ailleurs très partielle car on ne dirige pas un pays à coups de référendums d’autant qu’en général en France cette méthode de consultation est souvent détournée de son objet. Bref la France vit sans doute une crise sociale mais aussi politique car ni côté pouvoirs, ni du côté des gilets jaunes ne se dessinent des pistes de sortie crédibles.

 

Participation Gilets jaunes : Castaner ment

Participation Gilets jaunes : Castaner ment

 

 

Il est clair que Castaner est largement responsable des violences observées lors des deux derniers week-ends. En autorisant les piétons à pénétrer sur les Champs-Élysées, Castaner savait que tout cela pouvait que dégénérer. Son objectif a toujours été d’une part de dramatiser d’autre part de caricaturer le mouvement y compris en termes de participation. Exemple quand il a annoncé le 24 novembre une participation de l’ordre de 100 000 personnes qu’il comparait aux 300 000 du 17 novembre. Mais lors  de la dernière manifestation du 1er décembre il a réévalué la participation du 24 novembre à 166 000. Uniquement pour montrer que ce chiffre était supérieur aux 136 000 qu’il a comptés le 1er décembre. Bref Castaner est non seulement un incompétent total, un irresponsable mais aussi un manipulateur. Le sommet du ridicule a été atteint jeudi dernier quand Castaner par souci du détail ;  ainsi a déclaré jeudi qu’il avait recensé 3177 manifestants gilet jaunes à 11 heures ! Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, les chiffres du ministère de l’intérieur sont les plus fantaisistes. La vérité c’est que Castaner joue au poker menteur comme lorsqu’il gagnait sa vie avec ce jeu dans les cercles du grand banditisme. On a évidemment l’habitude des comptages approximatifs du ministère de l’intérieur mais là avec Castaner, c’est le champion de la désinformation. Revenons sur ce fameux chiffre de 3177. On compte environ 30 à 50 ronds-points occupés par département ; il est vrai avec une participation différent et en plus évolutive selon la période de la journée Avec les chiffres de Castaner, cela signifierait qu’il y a à peine un gilet jaune par ronds-points. Compter jusqu’à l’unité les manifestants relèvent de la pure fumisterie. On compte environ 30 à 50 rond-point s occupés il est vrai avec une participation différente  et en plus évolutive selon la période de la journée pour ce qui concerne la participation de ce samedi, le ministère de l’intérieur compte plus de 100 000 manifestants alors que visiblement le nombre de gilets jaunes était encore supérieur à celui du 17 novembre. Bref la manipulation continue. On objectera qu’elle n’est pas nouvelle mais avec Castaner, c’est le pompon Le moins que l’on puisse dire c’est que Castaner a du mal à incarner l’ordre public sans doute en raison de son passé sulfureux aussi le fait qu’il n’y a pas longtemps il était encore militant du parti socialiste. L’archétype de l’oligarque de ce parti qui s’est servi de la politique comme d’une carrière professionnelle et qui au premier vent contraire a retourné sa veste pour rejoindre Macron, demain peut-être Édouard Philippe si ce dernier devait remplacer Macron. Le genre d’individu dangereux, sans grande conviction,  prêt à tout pour accéder et se maintenir au pouvoir. Par exemple en autorisant les piétons à pénétrer sur les Champs-Élysées alors que la manifestation est interdite et en espérant des incidents graves afin de discréditer le mouvement des gilets jaunes.

Participation manif gilets jaunes : Castaner l’arnaqueur !

Participation manif gilets jaunes : Castaner l’arnaqueur !

Interviewé sur BFM , Castaner,  le ministre de l’intérieur,  s’est bien gardé de fournir des chiffres sur la mobilisation. Il n’a quantifié que les casseurs et évidemment de manière très approximative. La  stratégie de Castaner vise à discréditer le mouvement des gilets jaunes en donnant les chiffres les plus fantaisistes. Le 17 novembre les chiffres officiels faisaient état de 300 000 participants. Progressivement ces chiffres officiels ont fait état d’une mobilisation en pleine dégringolade. Le sommet du ridicule a été atteint jeudi dernier quand Castaner par souci du détail ;  ainsi a déclaré jeudi qu’il avait recensé 3177 manifestants gilet jaunes à 11 heures ! Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, les chiffres du ministère de l’intérieur sont les plus fantaisistes. La vérité c’est que Castaner joue au poker menteur comme lorsqu’il gagnait sa vie avec ce jeu dans les cercles du grand banditisme. On a évidemment l’habitude des comptages approximatifs du ministère de l’intérieur mais là avec Castaner, c’est le pompon de la désinformation. Revenons sur ce fameux chiffre de 3177. On compte environ 30 à 50 ronds-points occupés par département ; il est vrai avec une participation différent et en plus évolutive selon la période de la journée Avec les chiffres de Castaner, cela signifierait qu’il y a à peine un gilet jaune par ronds-points. Compter jusqu’à l’unité les manifestants relèvent de la pure fumisterie. On compte environ 30 à 50 rond-point occupés il est vrai avec une participation différente  et en plus évolutive selon la période de la journée pour ce qui concerne la participation de ce samedi, le ministère de l’intérieur compte plus de 100 000 manifestants alors que visiblement le nombre de gilets jaunes était encore supérieur à celui du 17 novembre. Bref la manipulation continue. On objectera qu’elle n’est pas nouvelle mais avec Castaner, c’est le pompon Le moins que l’on puisse dire c’est que Castaner a du mal à incarner l’ordre public sans doute en raison de son passé sulfureux aussi le fait qu’il n’y a pas longtemps il était encore militant du parti socialiste. L’archétype de l’oligarque de ce parti qui s’est servi de la politique comme d’une carrière professionnelle et qui au premier vent contraire a retourné sa veste pour rejoindre Macron, demain peut-être Édouard Philippe si ce dernier devait remplacer Macron. Le genre d’individu dangereux, sans grande conviction,  prêt à tout pour accéder et se maintenir au pouvoir. Par exemple en autorisant les piétons à pénétrer sur les Champs-Élysées alors que la manifestation est interdite et en espérant des incidents graves afin de discréditer le mouvement des gilets jaunes.

Manifestation de FO et la CGT : participation insignifiante

Manifestation de FO et la CGT : participation insignifiante

C’est à peine si certains médias ont rendu compte de la manif interprofessionnelle initiée par la  CGT et FO jeudi ; la coupe du monde de foot y est pour quelque chose, elle écrase en quelque sorte tout le reste de actualité mais ce nouvel appel à la mobilisation a fait complètement flop et il serait temps que les syndicats contestataires par principe prennent  un peu de recul car leur stratégie participe au discrédit du syndicalisme quand la mobilisation est aussi marginale. Le nouveau patron de FO commence donc son mandat par un échec  Coté CGT, la confédération est engagée dans une fuite en avant qui va tuer les dernières velléités de mobilisation. La participation n’a pas été au rendez-vous puisqu’à Paris 2.900 personnes seulement se sont rassemblées pour manifester, selon la préfecture de police. La CGT n’a pas souhaité donner de chiffre. Elle précise que l’objectif n’est pas de mesurer la mobilisation, mais de construire un mouvement de long terme. “Il s’agit de préparer une rentrée offensive pour gagner l’augmentation des salaires et des pensions, la réduction du temps de travail, pour relancer nos industries et services publics”, peut-on lire dans un communiqué. Le nouveau secrétaire général de FO, Pascal Pavageau, qui a reçu le mandat de mener une lutte interprofessionnelle la plus unitaire possible, explique lui aussi que les participants ne “sont pas là pour faire un chiffre”. “Nous sommes là pour prendre date dans une logique qui s’inscrit à plus long terme et certainement avec plus d’organisations syndicales et de jeunesse que celles qui appellent le 28”, a-t-il dit sur Public Sénat lundi. La dernière mobilisation interprofessionnelle que la CGT avait menée en solitaire le 19 avril, n’avait rassemblé que 119.500 personnes en France (108.000 en régions et 11.500 à Paris), selon la préfecture. La “marée populaire” appelée par la CGT, la France insoumise et d’autres organisations avait rassemblé 93.315 personnes en France (21.000 à Paris et 72.315 en Province). Cette fois la participation globale en France n’aura pas dépassé 30 000 manifestants. Il vraiment temps d’arrêter l activisme ultra minoritaire  d’autant que nombre de militants comme les cheminots sont usés physiquement et financièrement.

Grèves Air France : participation en nette baisse

Grèves Air France : participation en nette baisse 

 

Le tassement est net du fait de la perspective du référendum sur les propositions de la direction, aussi de l’appel à la reprise du travail lancé par la CFDT. La  mobilisation des pilotes de seulement 19%, contre 27,2% pour la dernière journée de grève le 24 avril. Par rapport au 11 avril, la baisse est même de 17 points. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette chute, comme l’incompréhension (voire l’exaspération) de voir la grève continuer pendant la consultation, la lassitude de ne pas avoir obtenu ce qu’ils souhaitaient initialement (+6%) après 12 jours de grève qui ont amputé les salaires de mars et d’avril, mais aussi l’agacement de voir le bureau du SNPL rester dans une logique intersyndicale alors que la direction propose de négocier en parallèle des hausses de rémunérations supplémentaires spécifiques pour les pilotes, en échange de mesures apportant de la valeur à la compagnie (sans demander de hausse de productivité). La mobilisation baisse aussi chez les autres catégories de personnels, mais pas dans les mêmes proportions. Celle des hôtesses et stewards ne fléchit que très légèrement (-0,9 point par rapport à la journée du 24 avril à 19%) tandis que celle des personnels au sol baisse également par rapport aux 15,9% de la dernière journée de grève.

Élection à la présidence des Républicains : une participation bidon

Élection à la présidence des Républicains : une participation bidon

Il fallait une victoire à Wauquiez mais pas trop importante pour donner une illusion démocratique. Bref une élection comme on les pratique souvent chez les républicains où on réussit à faire voter les morts, les absents et les démissionnaires. « Les jeux étaient déjà joués. Les dés étaient pipés. » C’est par ces deux phrases que Frédéric Lefebvre, ancien secrétaire d’État sous le mandat Sarkozy, entame sa tribune suite à l’élection de Laurent Wauquiez à la tête des Républicains. Une tribune à l’acide, publiée sur le site du Huffington Post.  Ayant quitté le navire républicain le 8 juin dernier pour le mouvement de la Droite constructiviste, Frédéric Lefebvre assure pourtant avoir reçu des codes permettant de voter à la primaire. « J’ai vu témoigner sur les réseaux sociaux, à propos des codes qui avaient été émis pour leur père ou pour leur mère. Que sont devenus tous ces codes? La question est posée. Une compétition, entachée du soupçon de tricherie, avec des listes électorales faisant la part belle aux démissionnaires et aux morts.«   À l’issue d’une campagne de trois mois sur le terrain qui n’aura guère passionné les foules ni même les militants LR, les trois candidats pour la présidence – Laurent Wauquiez, Florence Portelli et Maël de Calan – attendaient l’issue du scrutin sans trop de doutes. Élu dès le premier tour, Laurent Wauquiez est largement en tête, avec 74,64 % des votes, devant Florence Portelli, avec 16,11 % des votes, et Maël de Calan, 9,25 %. Sur les 234.566 adhérents LR à jour de cotisation, 99.597 ont voté, soit une participation de 42,46 %, supérieure à celle escomptée ces derniers jours.  Pas étonnant on a dû doubler à peu près le nombre  de votants réels !

 

Hommage populaire à Johnny Hallyday : une participation historique

Hommage populaire à Johnny Hallyday : une participation historique

 

La participation à l’hommage rendu à Johnny Hallyday à Paris devrait connaître un record historique. On pourrait dépasser le million et il sera sans doute difficile de comptabiliser exactement le nombre de personnes qui défileront sur les Champs-Élysées. Certains s’étonnent de l’importance donnée à cet événement dans les médias notamment certains intellos ou certains gauchistes. Certes Johnny Hallyday ne figurera peut-être pas au panthéon de la culture française en général mais le chanteur constitue une sorte de marqueur de notre époque, une sorte de fédérateur dépassant les clivages sociologiques et idéologiques. Johnny Hallyday et devenu une sorte de monument du patrimoine même si on peut considérer que des chanteurs comme Brel, Brassens, Ferré, Piaf et d’autres ont  apporté une contribution culturelle différente. De temps en temps,  notamment à l’occasion d’événements douloureux,  les Français ont besoin de se retrouver, de se rassembler,  de communier ensemble. Ce sera le cas encore ce samedi et la ministre de la culture a bien raison de ne pas se montrer condescendante  vis-à-vis de l’événement car Johnny Hallyday incarnait  vraiment la dimension populaire française. Pour parler de ces cérémonies, la ministre de la Culture Françoise Nyssen était l’invitée de L’interview J-1, jeudi sur franceinfo. (Extraits)

Franceinfo : Un hommage populaire sera rendu à Johnny Hallyday, avec une cérémonie hors protocole. Le cercueil va descendre les Champs-Elysées pour arriver à l’église de La Madeleine. C’est inédit ?

 

Françoise Nyssen : L’hommage va ressembler à l’homme qu’il était, un homme libre en Harley, un homme de show, de partage, fidèle à son public. On va avoir Quelque chose de Tennessee sur les Champs-Elysées. L’envie d’avoir envieJe te prometsQue je t’aime, tout ça va résonner dans nos têtes. Ça va être un grand moment de partage et d’émotion.

 

Macron : une conception de la participation limitée au fric

Macron : une  conception de la participation limitée au fric

Macron a visiblement une conception très restrictive de la participation qui limite à l’intéressement financier pour que « tous les salariés aient leur juste part quand les choses vont mieux ». Pourtant il affirme en même temps qu’une entreprise est constituée d’une part d’actionnaires (définition juridique actuelle),  d’autre part de la valeur et de la compétence de ses salariés. Certes l’intéressement financier constitue un progrès dans l’association des salariés aux résultats des entreprises. Pour autant cette association ne saurait se limiter à la dimension monétaire quand les choses vont bien. Une vraie participation, outre l’intéressement financier, consisterait à associer les salariés à la gestion comme le souhaite la CFDT et comme cela se pratique en Allemagne par exemple. C’est précisément quand les entreprises ont des difficultés que les salariés ont besoin d’être aussi associés à la problématique de gestion pour mieux comprendre et adhérer aux évolutions conjoncturelles ou structurelles. Les salariés et les cadres sont en effet le plus souvent les plus à même d’évaluer les forces et les faiblesses de la réalité de leur outil de production et c’est en permanence qu’il convient de les associer à la gestion de l’entreprise y compris quand l’entreprise ne rencontre pas de difficultés. Pour l’instant en effet la participation se borne le plus souvent en cas de problème à annoncer de façon un peu brutale au comité d’entreprise les plans de licenciement. La participation ne saurait être limitée à l’implication des salariés quand il faut licencier ou au retour financier sur résultats. La participation implique une vision beaucoup plus large et plus active des salariés dans l’entreprise.

 

Participation manif du 12 : le minimum syndical

Participation manif du 12 : le minimum syndical

Comme nous l’indiquons dans un article précédent, la participation devait atteindre 200 000 participants pour ne pas apparaître comme un échec. Le gouvernement a annoncé avoir compté 223.000 manifestants dans toute la France, alors que Philippe Martinez, le numéro un de la CGT, syndicat co-organisateur, en a recensé «plus de 400.000». L’écart entre les deux comptages est assez habituel. Cette manifestation n’est pas un échec mais ce n’est pas un succès non plus. C’est en quelque sorte le minimum syndical de mobilisation. Compte tenu des mobilisations récentes, en particulier celles protestant contre la loi El Khomri, le succès  d’une mobilisation supposait  de rassembler au moins 200 000 personnes d’après les comptages de la police ou 500 000 personnes d’après les organisateurs. Le chiffre de 500 000 personnes (équivalent à 200 000 comptés officiellement))  correspond à la capacité de mobilisation de la CGT et autre syndicats contestataires. En dessous de ce seuil, on peut considérer que cette manifestation n’a pas atteint son objectif. Pour compenser l’insuffisance de participation du privé  on a mobilisé  les troupes habituelles des syndicats du secteur public qui ne sont pas vraiment concernés par la réforme en question. On a élargi le cahier revendicatif à tous les motifs de mécontentement qu’on peut résumer comme la lutte contre l’austérité Bref un cahier revendicatif fourretout qui mobilise surtout les plus militants mais pas la masse qui a un peu de mal à saisir l’objet de la protestation.  Contrairement à 2016 où la mobilisation contre la loi travail avait duré de mars à septembre, cette-fois ci les syndicats n’auront pas plusieurs mois devant eux pour tenter de faire grossir leur mobilisation. En effet, les ordonnances ont déjà été présentées publiquement. Elles doivent maintenant passer devant le Conseil des ministres le 22 septembre avant d’être ratifiées par le Parlement. Il faut toutefois noter qu’à partir du moment où les ordonnances seront prises en Conseil des ministres, elles s’appliqueront. La manifestation du 12 septembre est donc centrale. . Moins de 200.000 manifestants dans toute la France selon la police auraient représenté donc un sacré camouflet pour les organisateurs. « La CGT est capable de mobiliser seule au moins 200.000 personnes. Si elle ne fait pas plus, ce sera une défaite et un élément favorable au gouvernement pour mener ses réformes », confirmait dimanche dans le JDDStéphane Sirot, spécialiste du syndicalisme à l’université de Cergy-Pontoise.    Evidemment les chiffres sont à prendre avec des pincettes  .par exemple à Marseille la préfecture a compté 7.500 manifestants, les organisateurs 60.000 !

 

Code du travail : le sénat contre la participation

Code du travail : le sénat contre la participation

 

Il est clair que  le projet de loi habilitant le gouvernement à réformer le Code du travail est marqué par la volonté de créer davantage de flexibilité dans les relations sociales et en particulier d’élargir le champ des prérogatives au niveau des entreprises. En clair donner la possibilité de contourner certains aspects de la législation nationale et des accords de branche. Par contre ce projet ne comporte guère de contreparties pour encourager des formes de participation comme c’est le cas par exemple en Allemagne. La commission sociale du Sénat dans son premier examen du texte vient notamment de refuser toute éventualité d’un renforcement des représentants des travailleurs dans les conseils d’administration. Une erreur fondamentale et une attitude très réactionnaire car la présence de représentants dans les conseils d’administration permet aux salariés de mieux s’approprier la problématique de l’entreprise notamment dans ses dimensions techniques et financières dont dépend une grande partie de l’évolution des conditions sociales. Certes on peut parfois regretter le côté archaïque des postures syndicales mais ce n’est pas en limitant l’accès à l’information qu’on parviendra à faire évoluer les mentalités et les pratiques syndicales. Le Sénat a nettement refusé d’envisager de renforcer la représentation des salariés dans les conseils d’administration comme le demande surtout la CGC qui n’est pourtant pas une organisation particulièrement gauchiste. Par ailleurs La plupart des 31 amendements adoptés par cette commission du Sénat sur le texte voté par l’Assemblée nationale le 13 juillet franchissent les « lignes rouges » mises en avant par les syndicats lors des discussions avec la ministre du Travail Muriel Pénicaud. La commission a par exemple réduit de moitié les délais de contestation d’un licenciement économique et ouvert la possibilité pour les entreprises de moins de 50 salariés et dépourvues de délégué syndical de « conclure des accords collectifs directement avec les représentants du personnel ». Globalement le Sénat a nettement durci le texte. Par exemple les sénateurs ont écarté des propositions attendues par les syndicats, comme l’accélération de la généralisation des accords majoritaires – notamment réclamée par la CFDT – ou encore le renforcement de la représentation des salariés dans les conseils d’administration, une demande de longue date de la CFE-CGC.

Grève à Pôle emploi: 1.74% de participation

Grève à Pôle emploi: 1.74% de participation

 

C’est le taux de participation mardi à la grève lancée par quatre syndicats. Une grève qui devait être reconductible et qui échoue lamentablement au deuxième jour. La preuve sans doute de l’irresponsabilité de syndicats gauchistes et corpos qui d’une certaine manière ridiculise à la fois l’organisme qui les emploie mais aussi le syndicalisme qui pourtant n’avait pas besoin de cela.  Les syndicats FO, SNU-FSU, CGT et SUD, qui représentent 48% des agents de l’opérateur, avaient appelé à une grève reconductible, contre la « transformation » du métier de conseiller chargé de l’indemnisation, la « dématérialisation à outrance » et pour la « défense du service public ». La reconduction de la grève ce mardi s’inscrivait  également dans le cadre des mouvements de grèves et de manifestations dans les services publics. Une nouvelle grève à la participation insignifiante chez les fonctionnaires à l’appel des syndicats gauchistes  CGT, FO, Solidaires et FA-FP. Une grève évidemment complètement irresponsable d’une part parce qu’il discrédite encore un peu plus un mouvement syndical déjà bien affaibli ensuite parce qu’il amalgame l’avenir du service public et la situation sociale des fonctionnaires. Ces syndicats voudraient tuer le service public qu’ils  ne s’y prendraient t pas autrement. Pour l’éviter, il faudrait d’abord qu’ils aient le courage et la lucidité de distinguer ce  qui relève du service public et ce qui relève des intérêts corporatifs des salariés. Certes dans certains secteurs, dans certains services la tension relative aux conditions de travail et réelle. C’est le cas dans les services soignants par exemple. Pour autant dans d’autres services y compris à l’hôpital, les conditions de travail sont loin d’être déplorables. Dans beaucoup de cas la productivité et notoirement insuffisante. À dessein, les syndicats gauchistes confondent le concept de service public avec la défense du statut des travailleurs et avec les conditions de travail. L’enflure du discours et l’amalgame des problématiques discréditent  cette forme de syndicalisme « Asphyxiée par les déremboursements, les dérégulations, les suppressions de postes et les réorganisations permanentes, auxquels s’ajoutent les regroupements d’hôpitaux imposés par la loi Touraine, le secteur de la santé est en péril en terme d’égalité d’accès aux soins », estiment-ils. Egalement dans le collimateur des syndicats, la réforme territoriale « et ses conséquences, fusion de communes, de conseils régionaux, création de métropoles entraînent des mobilités forcées et des inquiétudes grandissantes chez les agents et dégradent le service public». Les syndicats réclament aussi une augmentation de la valeur du point d’indice « pour compenser les pertes subies depuis des années », une refonte des carrières « pour redonner de l’attractivité à l’emploi public » et un arrêt des suppressions de postes et des restructurations. Un discours bien peu crédible même aux yeux des fonctionnaires qui se sont bien peu mobilisés pour cet appel irresponsable à la grève.

Participation Primaire Les Républicains : plus de 10 millions

Participation Primaire Les Républicains : plus de dix millions

 

Une étude qui monte que le taux possible de participation à la primaire pourrait sérieusement changer la donne. Plus de 10 millions de Français pourraient en effet aller choisir le candidat des Républicains. L’élargissement du corps électoral pourrait particulièrement favoriser Alain Juppé au détriment de Nicolas Sarkozy qui pourrait bien prendre une claque sévère surtout dans l’éventualité d’un second tour.. Plus d’un quart des personnes interrogées (28%) envisagent par ailleurs d’y participer. Chez ceux qui pensent voter, 84% mettent en avant le fait que le vainqueur aura de grandes chances d’être élu président comme un facteur important dans leur décision de participer. 53% disent aussi vouloir empêcher l’un des candidats de gagner et 51% apprécier énormément un des candidats, selon un sondage Odoxa pour L’Express. Le niveau de connaissance du processus des primaires est plutôt bon, selon l’enquête, mais 80% des sondés ne connaissent pas les dates du scrutin, les dimanche 20 et 27 novembre.  La cote de popularité de François Hollande ne s’améliore pas en septembre, contrairement à celle de Manuel Valls qui remonte légèrement, Alain Juppé et Emmanuel Macron suscitant, eux, toujours une forte adhésion. Seules 16% des personnes interrogées considèrent François Hollande comme « un bon président », contre 84% d’un avis contraire, soit le même niveau qu’au mois de juin, selon ce baromètre, réalisé pour L’Express, France Inter et la presse régionale. Chez les seuls sympathisants de gauche, le chef de l’État perd deux points (à 37%), le discours aux airs d’entrée en campagne salle Wagram de début septembre n’ayant visiblement pas changé la donne.   Manuel Valls, dont la cote déclinait depuis novembre, regagne en revanche 3 points, 27% de personnes interrogées estimant qu’il est un « bon Premier ministre ». Chez les sympathisants de gauche, la hausse atteint 6 points (42%). En tête des personnalités suscitant le plus de soutien et de sympathie, Alain Juppé gagne 4 points à 39% devant Emmanuel Macron (31%, +2). François Bayrou (30%, +2) est troisième, devant Marine Le Pen (27%, +1) et Jean-Luc Mélenchon (27%, +3), suivis de Ségolène Royal (26%, +3), Martine Aubry (25%, +3) et Christiane Taubira (25%, +2). Arrivent ensuite les adversaires d’Alain Juppé pour la primaire de la droite, Bruno Le Maire (24%, +2), Nicolas Sarkozy (23%, =) et François Fillon (23%, -1). Chez les sympathisants de gauche, Christiane Taubira fait la course en tête (54%), désormais rattrapée par Ségolène Royal, en forte progression (+6 à 54%). A droite, Alain Juppé gagne 7 points (69%) et devance Nicolas Sarkozy (64%, -2).

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