Archive pour le Tag 'participation'

Social- Manifestations 1er mai. Participation toujours faible et trop politique

Social- Manifestations 1er mai. Participation toujours faible et trop politique

Il ne faut sans doute pas s’étonner si le total des participants aux manifestations n’a guère dépassé 200 000 en France, Ce qui est particulièrement insignifiant en terme de mobilisation. Sur longue période le déclin est irréversible. En cause sans doute l’évolution de la société mais aussi le caractère souvent beaucoup trop politique des défilés. En gros les slogans gauchistes dominent les préoccupations purement syndicales. D’ une certaine manière il y a un détournement de l’objet du 1er mai qui doit se centrer essentiellement sur la problématique du travail.

La gauche voudrait afficher ses faiblesses qu’elle ne s’y prendrait pas autrement d’abord avec une mobilisation finalement très marginale et en se permettant le luxe de la division voire de l’affrontement. Les Français ont une image assez négative des syndicats dont beaucoup sont encore beaucoup trop politisés et contestataires par principe quand ce n’est pas « révolutionnaires ».

La faible participation témoigne de la distance prise par l’opinion en général et les salariés en particulier vis-à-vis de syndicats de moins en moins représentatifs, de moins en moins efficaces et de moins en moins compétents. 200 000 participants aux manifestations du 1er mai 20250c’est évidemment un échec quand on considère qu’il faut environ 1 million de personnes dans la rue pour une mobilisation significative et représentative.

Social- Manifestations 1er mai. Participation toujours faible et trop politique

Social- Manifestations 1er mai. Participation toujours faible et trop politique

Il ne faut sans doute pas s’étonner si le total des participants aux manifestations n’a guère dépassé 200 000 en France, Ce qui est particulièrement insignifiant en terme de mobilisation. Sur longue période le déclin est irréversible. En cause sans doute l’évolution de la société mais aussi le caractère souvent beaucoup trop politique des défilés. En gros les slogans gauchistes dominent les préoccupations purement syndicales. D’ une certaine manière il y a un détournement de l’objet du 1er mai qui doit se centrer essentiellement sur la problématique du travail.

La gauche voudrait afficher ses faiblesses qu’elle ne s’y prendrait pas autrement d’abord avec une mobilisation finalement très marginale et en se permettant le luxe de la division voire de l’affrontement. Les Français ont une image assez négative des syndicats dont beaucoup sont encore beaucoup trop politisés et contestataires par principe quand ce n’est pas « révolutionnaires ».

La faible participation témoigne de la distance prise par l’opinion en général et les salariés en particulier vis-à-vis de syndicats de moins en moins représentatifs, de moins en moins efficaces et de moins en moins compétents. 200 000 participants aux manifestations du 1er mai 20250c’est évidemment un échec quand on considère qu’il faut environ 1 million de personnes dans la rue pour une mobilisation significative et représentative.

Manifestations 1er mai. Participation toujours faible et trop politique

Manifestations 1er mai. Participation toujours faible et trop politique

Il ne faut sans doute pas s’étonner si le total des participants aux manifestations n’a guère dépassé 200 000 en France, Ce qui est particulièrement insignifiant en terme de mobilisation. Sur longue période le déclin est irréversible. En cause sans doute l’évolution de la société mais aussi le caractère souvent beaucoup trop politique des défilés. En gros les slogans gauchistes dominent les préoccupations purement syndicales. D’ une certaine manière il y a un détournement de l’objet du 1er mai qui doit se centrer essentiellement sur la problématique du travail.

La gauche voudrait afficher ses faiblesses qu’elle ne s’y prendrait pas autrement d’abord avec une mobilisation finalement très marginale et en se permettant le luxe de la division voire de l’affrontement. Les Français ont une image assez négative des syndicats dont beaucoup sont encore beaucoup trop politisés et contestataires par principe quand ce n’est pas « révolutionnaires ».

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne

Trois manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protester contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des Ecolos précisément contre l’extrême droite. Il y aura aussi le rassemblement de » Renaissance » prévue depuis longtemps et qui va se retrouve marginalisée entre les deux extrêmes

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie, leur ampleur n’a pas à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute admettre que les participations ont été relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.

De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

Enfin la manifestation de  » Renaissance » vise à relancer ce parti et en particulier la candidature de Gabriel Attal aux présidentielles

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Deux manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protester contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des Ecolos précisément contre l’extrême droite.Il y aura aussi le rassemblement de » Renaissance » prévue depuis longtemps et qui va se retrouver marginalisée entre les deux extrêmes

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie- à condition d’éviter- la violence- par contre il n’est pas certain que leur ampleur soit à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute enregistrer des participations relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.

De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

L’échec de ces manifestations pourrait être bien plus négatif qu’espéré par les organisations qui les ont inspiré.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

Deux manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Deux manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Deux manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protestef contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des écolos précisément contre l’extrême droite.

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie- à condition d’éviter- la violence- par contre il n’est pas certain que leur ampleur soit à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute enregistrer des participations relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.
De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

L’échec de ces manifestations pourrait être bien plus négatif qu’espéré par les organisations qui les ont inspiré.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

Le président tunisien réélu avec 89 % mais 27,7 % de participation

Le président tunisien réélu avec 89 % mais 27,7 % de participation

Le taux de participation lors du scrutin s’est établi à 27,7%, contre 45% au premier tour de l’élection de 2019. Il s’agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011.

 

L’autorité électorale Isie a annoncé une participation de 27,7% contre 45% il y a cinq ans au premier tour. Le président de l’Isie, Farouk Bouasker, a jugé ce taux «respectable», alors qu’il s’agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011 dans ce pays, qui fut le berceau des soulèvements démocratiques des Printemps arabes.

Dans le berceau des révoltes pro-démocratie du Printemps arabe en 2011, seuls deux candidats – considérés comme des seconds couteaux par les experts – avaient été autorisés à affronter Kais Saied, 66 ans, sur initialement 17 postulants, écartés pour des irrégularités présumées.

 

«La légitimité de l’élection est forcément entachée quand les candidats qui pouvaient faire de l’ombre à Kais Saied ont été systématiquement écartés», a commenté pour l’AFP l’analyste politique tunisien Hatem Nafti, soulignant aussi qu’il «s’agit de la pire participation depuis 2011».

 

Législatives : une participation record pour ce référendum contre Macron

Législatives : une  participation  record pour ce referendum contre Macron

 

Le taux de participation au premier tour des élections législatives atteint 67,5% pour la France entière, selon les dernières estimations de l’institut Elabe pour BFMTV, RMC et « La Tribune Dimanche ».

On observe une participation record pour le premier tour des législatives qui pour une grande partie se sont transformés en référendum contre Macron. Ce qu’ont d’ailleurs démontré plusieurs sondages mettant en avant que 50 % des votants voulaient régler leur compte au président de la république. Du coup,  le camp présidentiel qui n’a obtenu qu’autour de 20 % pourraient bien s’inscrire progressivement dans la voie de l’extinction. Malheureusement la crise politique est loin d’être terminée car il n’est pas du tout certain que se dégage une majorité absolue et même dans ce cas les conflits seront importants entre un éventuel gouvernement RN et Macron

Avec 67,5% de suffrages exprimés ce dimanche selon Elabe pour BFMTV, RMC et « La Tribune Dimanche », cela faisait plus de vingt-cinq ans que la participation n’avait pas été aussi élevée pour un premier tour d’élections législatives en France.

La dernière fois remonte à la dissolution de 1997, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur (67,9%). Depuis, la participation n’avait cessé de s’effondrer (64,4% en 2002, 60,4% en 2007, 57,2% en 2012 et 48,7% en 2017), jusqu’à atteindre son plus bas niveau historique lors des dernières élections législatives en 2022 (47,5%), avec moins d’un inscrit sur deux se rendant aux urnes. Pour mémoire, le plus haut niveau de participation depuis le début de la Ve République avait été atteint en 1978 avec 82,8%.

Le séisme de la dissolution de l’Assemblée nationale annoncée par Emmanuel Macron le 9 juin, et les enjeux du scrutin, qui pourrait ouvrir la voie à l’accession de l’extrême droite au pouvoir, ont fortement mobilisé les Français. À 17 heures, le taux de participation atteignait déjà 59,39%, soit 20 points de plus qu’en 2022.

Autre record : la barre des deux millions de procurations pour participer aux scrutins des législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet a été franchie mercredi soir, a-t-on appris jeudi auprès du ministère de l’Intérieur.

 

Législatives : forte participation à prévoir

Législatives : forte participation à prévoir

 

La forte participation probable aux législatives découle sans doute du fait que cette consultation d’une part constitue une sorte de référendum anti Macron, d’autre part une sorte d’échéance présidentielle avant la lettre. En effet en fonction des résultats très favorables à l’opposition, le président actuel pourrait d’ores et déjà être mis sur la touche. Les sondages montrent que la  participation, lors du scrutin des 30 juin et 7 juillet, pourrait retrouver le niveau élevé des années 1990, autour de 60 % à 70 %. Tout comme le nombre record d’enregistrements de procurations – plus de 1,3 million, dimanche 23 juin, selon le ministère de l’intérieur.

 

Les Français ne vont pas aux urnes quand ils ont l’impression que cela ne sert à rien. Depuis la réforme du quinquennat, mise en œuvre en 2002, et l’organisation de l’élection des députés après celle du président de la République, ils considèrent que, en s’étant exprimés à la présidentielle, les jeux sont faits. A tort, bien sûr. Depuis 2002, la participation aux législatives décroît. Elle est même en dessous de 50 % depuis 2017.

 

Législatives : forte participation à prévoir

Législatives : forte participation à prévoir

 

La forte participation probable aux législatives découle sans doute du fait que cette consultation d’une part constitue une sorte de référendum anti Macron, d’autre part une sorte d’échéance présidentielle avant la lettre. En effet en fonction des résultats très favorables à l’opposition, le président actuel pourrait d’ores et déjà être mis sur la touche. Les sondages montrent que la  participation, lors du scrutin des 30 juin et 7 juillet, pourrait retrouver le niveau élevé des années 1990, autour de 60 % à 70 %. Tout comme le nombre record d’enregistrements de procurations – plus de 1,3 million, dimanche 23 juin, selon le ministère de l’intérieur.

 

Les Français ne vont pas aux urnes quand ils ont l’impression que cela ne sert à rien. Depuis la réforme du quinquennat, mise en œuvre en 2002, et l’organisation de l’élection des députés après celle du président de la République, ils considèrent que, en s’étant exprimés à la présidentielle, les jeux sont faits. A tort, bien sûr. Depuis 2002, la participation aux législatives décroît. Elle est même en dessous de 50 % depuis 2017.

 

Législatives : Les procurations suggèrent un bon taux de participation

Législatives : Les procurations suggèrent un bon taux de participation

Les  procurations en très forte hausse suggèrent une assez forte augmentation du taux de participation aux prochaines législatives. D’un certain point de vue, c’est évidemment rassurant pour la démocratie même si cette dernière ne saurait se réduire à l’acte de vote. Les européennes avaient déjà enregistré un réveil de la participation. Dans les élections précédentes dans certaines consultations, beaucoup d’élus avaient été choisis avec seulement autour de 10 % des électeurs potentiels. La conséquence du système majoritaire en France

 

Selon les données du ministère de l’Intérieur communiquées ce mercredi 19 juin au Figaro, 717.000 procurations ont été établies depuis le 10 juin, lendemain de l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron. C’est six fois plus qu’en 2022, lors des dernières législatives, sur la même période. Cette année-là, un total de 1.020.000 d’électeurs avait fait une procuration de vote pour le premier tour. La démarche avait concerné 1.175.000 citoyens pour le second. Pas moins de 49,3 millions d’électeurs inscrits sur les listes électorales sont attendus aux urnes pour le premier tour de l’élection à venir, qui a lieu le dimanche 30 juin. Cette échéance sera suivie d’un second tour, prévu le dimanche 7 juillet.

Participation manif 7 mars Retraites : la police justifie ses fausse prédictions

Participation manif 7 mars Retraites : la police justifie ses fausse prédictions

Afin de contribuer à désamorcer la mobilisation, le ministère de l’intérieur avait par avance déclaré que la manifestation concernerait tout juste un peu plus de 1 million de personnes. C’est exactement ce que la police confirme. Soit une sous-estimation ridicule.

La CGT a avancé le chiffre de 3,5 millions de manifestants en France. Au plus fort de la mobilisation, le 31 janvier, les syndicats évaluaient à 2,5 millions le nombre de manifestants.

La sixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites aurait réuni 1,28 millions de manifestants selon le comptage réalisé par le ministère de l’Intérieur. Un chiffre qui dépasse également celui du 31 janvier, qui s’élevait à 1,27 millions.

Les syndicats avancent une mobilisation de 700 000 personnes à Paris ce mardi. Une estimation qui surpasse largement celle de la préfecture qui indique que 81 000 manifestants

De son côté, le cabinet de comptage « indépendant » Occurrence ( en fait la grande presse aux mais des financier évalue la mobilisation à 68 000 manifestants à Paris.

Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Encore énorme participation pour manifestation de samedi et tout laissait à penser que le gouvernement tenterait de la minimiser en trichant sur les chiffres. Pour preuve la police ne décompte que 963.000 personnes dans les manifestations pour 2,5 millions comptés par les syndicats.

Avant même les manifestations, La police avait minimisé l’ampleur de la manifestation de la protestation Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoyaient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées.. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation dait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendaient à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi. Des débordements qui n’ont pas eu lieu

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

anifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Encore énorme participation pour manifestation de samedi et tout laissait à penser que le gouvernement tenterait de la minimiser en trichant sur les chiffres. Pour preuve la police ne décompte que 963.000 personnes dans les manifestations pour 2,5 millions comptés par les syndicats.

Avant même les manifestations, La police avait minimisé l’ampleur de la manifestation de la protestation Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoyaient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées.. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation dait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendaient à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi. Des débordements qui n’ont pas eu lieu

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

Une énorme participation est à prévoir pour cette manifestation de samedi et tout laisse à penser que le gouvernement tentera de la minimiser en trichant sur les chiffres. Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées. Dans le détail, ils attendent entre 90 000 à 120 000 manifestants à Paris, ou encore 22 500 à Bordeaux et Nantes, 19 500 à Caen et 17 500 à Montpellier. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation devrait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendent à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi.

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

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