Archive pour le Tag 'participation'

Participation manif 7 mars Retraites : la police justifie ses fausse prédictions

Participation manif 7 mars Retraites : la police justifie ses fausse prédictions

Afin de contribuer à désamorcer la mobilisation, le ministère de l’intérieur avait par avance déclaré que la manifestation concernerait tout juste un peu plus de 1 million de personnes. C’est exactement ce que la police confirme. Soit une sous-estimation ridicule.

La CGT a avancé le chiffre de 3,5 millions de manifestants en France. Au plus fort de la mobilisation, le 31 janvier, les syndicats évaluaient à 2,5 millions le nombre de manifestants.

La sixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites aurait réuni 1,28 millions de manifestants selon le comptage réalisé par le ministère de l’Intérieur. Un chiffre qui dépasse également celui du 31 janvier, qui s’élevait à 1,27 millions.

Les syndicats avancent une mobilisation de 700 000 personnes à Paris ce mardi. Une estimation qui surpasse largement celle de la préfecture qui indique que 81 000 manifestants

De son côté, le cabinet de comptage « indépendant » Occurrence ( en fait la grande presse aux mais des financier évalue la mobilisation à 68 000 manifestants à Paris.

Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Encore énorme participation pour manifestation de samedi et tout laissait à penser que le gouvernement tenterait de la minimiser en trichant sur les chiffres. Pour preuve la police ne décompte que 963.000 personnes dans les manifestations pour 2,5 millions comptés par les syndicats.

Avant même les manifestations, La police avait minimisé l’ampleur de la manifestation de la protestation Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoyaient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées.. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation dait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendaient à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi. Des débordements qui n’ont pas eu lieu

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

anifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Encore énorme participation pour manifestation de samedi et tout laissait à penser que le gouvernement tenterait de la minimiser en trichant sur les chiffres. Pour preuve la police ne décompte que 963.000 personnes dans les manifestations pour 2,5 millions comptés par les syndicats.

Avant même les manifestations, La police avait minimisé l’ampleur de la manifestation de la protestation Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoyaient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées.. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation dait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendaient à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi. Des débordements qui n’ont pas eu lieu

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

Une énorme participation est à prévoir pour cette manifestation de samedi et tout laisse à penser que le gouvernement tentera de la minimiser en trichant sur les chiffres. Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées. Dans le détail, ils attendent entre 90 000 à 120 000 manifestants à Paris, ou encore 22 500 à Bordeaux et Nantes, 19 500 à Caen et 17 500 à Montpellier. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation devrait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendent à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi.

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

Manif réforme des retraites 31 janvier 2023 : participation encore plus forte

Manif réforme des retraites 31 janvier 2023 : participation encore plus forte

Si effectivement on constate un léger tassement du nombre de grévistes, par contre la participation au mouvement du 31 janvier a encore été supérieur à la précédente mobilisation. Un véritable succès non seulement dans les grandes villes mais aussi dans les plus petites localités.

Grâce à l’unité syndicale des salariés qui n’avaient jamais participé à la moindre manifestation se sont joints au cortège pour protester contre la réforme injuste et inefficace du gouvernement. La mobilisation doit aussi son succès à la conjoncture sociale très maussade et notamment à l’envolée de l’inflation qui ampute gravement le pouvoir d’achat. En faite nombre de salariés n’accepte pas de travailler plus pour gagner moins surtout avec de telles inégalités.
La majorité politique et fortement secouée et surtout les députés de Macon.; Il y a en effet fort à parier que les députés qui ont l’intention de voter la réforme seront fortement interpellés par les électeurs dans leur circonscription respective. Le risque pour eux, c’est qu’il traîne pendant longtemps ce vote honteux et qu’il soit balayé lors des prochaines élections. De toute manière le pouvoir a d’ores et déjà perdus la bataille de l’opinion. Dans toutes les circonstances, il laissera des plumes dans cette affaire. S’il maintient la réforme le mécontentement sera tellement grand dans le pays que toute action politique ultérieure risque d’être paralysée. Inversement si la retire, ce sera de sa part une preuve de faiblesse.

Dans la plupart des grandes villes, comme Montpellier, Nantes, Rennes ou Marseille, la participation était même supérieure à celle du 19 janvier, lors de la première mobilisation.

En parallèle des manifestations, de nombreux secteurs connaissaient des mouvements de grèves, dans le public comme dans le privé mais les grévistes semblaient moins nombreux mardi que le 19. Il y avait ainsi 36,5% de grévistes à la SNCF, contre 46,3% le 19 de source syndicale. Dans l’Education nationale, le ministère comptabilisait à la mi-journée un quart de grévistes, en recul par rapport à la précédente journée de mobilisation. Le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, chiffrait à 55% le nombre de professeurs des collèges et des lycées en grève. Mardi matin, des lycéens et des étudiants se sont mobilisés, comme sur le site Saint-Charles de l’université Aix-Marseille ou à Sciences Po Paris.

De son côté, la CGT a annoncé 75 à 100% de grévistes dans les raffineries et dépôts de TotalEnergies. Quant aux grévistes d’EDF (40,3% contre 44,5% le 19, selon la direction), ils ont occasionné dans la nuit des baisses de charges dans les centrales électriques de « près de 3.000 MWH », sans toutefois causer de coupures.

Pris en étau entre la mobilisation de la rue et la virulence des oppositions à l’Assemblée, où le projet est débattu depuis lundi, le gouvernement a durci le ton ce week-end. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, a dénoncé « le profond mépris de la valeur travail » d’une partie de la gauche, et la volonté de la France insoumise de « bordéliser » le débat.

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Grève générale mardi : une participation surtout de fonctionnaires et assimilés

Grève générale mardi : une participation surtout de fonctionnaires et assimilés

Plusieurs syndicats salariés et étudiants appellent à une journée d’action nationale interprofessionnelle mais en vérité la participation sera surtout limitée aux salariés fonctionnaires assimilés ( EDF, SNCF, RATP, hôpitaux etc.) Avec cependant la présence minoritaire de salariés du secteur pétrolier et quelques autres. On enregistrera la présence des organisations de l’ultra gauche la CGT, FO, Solidaires et la FSU, accompagnés des organisations de jeunesse Fidl, Unef, MNL et la Vie lycéenne.

Les branches historiques seront donc au rendez-vous. À commencer par la SNCF et la RATP. «Nous demandons aux syndicats d’organiser des assemblées générales de site le 18 et nous ne nous interdisons aucun scénario pour la conduite de l’action», a indiqué jeudi à l’AFP le secrétaire général de la CGT-Cheminots, Laurent Brun. Sud-Rail, troisième syndicat représentatif à la SNCF, a également appelé à la mobilisation, voire à la grève reconductible.

Il y aura aussi la participation des salariés de la la RATP où les salaires ont déjà été augmentés en moyenne de 5,2% sur l’année 2022, selon la direction de la Régie. L’appel concerne également les chauffeurs routiers où la CGT est très minoritaire.

Des préavis ont aussi été déposés pour les trois versants de la fonction publique (État, territoriale et hospitalière) par L’UFSE-CGT, premier syndicat du secteur. En plus de vouloir montrer «leur soutien plein et entier à la grève des travailleuses et travailleurs des industries pétrolières», la fédération demande 10% d’augmentation du point d’indice tout de suite, son indexation sur l’inflation et le rejet de la réforme des retraites.

Grande démission: La faute au manque de participation

 

L’économiste Olivier Favereau observe, dans une tribune au « Monde », que la progression sans précédent de personnes ayant quitté leur travail depuis la crise sanitaire a lieu dans les pays où les entreprises ne prévoient aucun espace institutionnel de décision partagée sur le « consentement au travail ».

 

On a parlé de « grande démission » pour caractériser la progression sans précédent des démissions aux Etats-Unis depuis la sortie de la crise sanitaire : chaque mois, plus de 4 millions de travailleurs en moyenne quittent volontairement leur emploi. Ce qui, en cumulé sur un an, correspondrait à un salarié sur trois. Cette image vaut-elle aussi pour l’Europe ? On n’y constate pas une explosion des démissions ; néanmoins l’accélération est perceptible en Grande-Bretagne, en Italie, en France, et apparaît même en Espagne (où le taux de chômage reste pourtant élevé). Etonnant rapprochement entre pays anglo-saxons et latins ! Si l’on passe des démissions aux difficultés de recrutement, notamment dans les secteurs où rémunérations et conditions de travail sont notoirement médiocres, le phénomène s’observe partout.

 

Trente-huit millions de salariés américains ont quitté leur emploi, en 2021. Cela a donné naissance au concept de « grande démission », qui désigne le désenchantement des salariés postérieur à la pandémie. Le confinement et le télétravail ayant « révélé », par contraste, la médiocrité des conditions de travail, voire sa « perte de sens ». Le phé­nomène n’épargne pas la France, avec 400 000 démissions d’un CDI au troisième trimestre 2021. Les entreprises et la fonction publique peinent à attirer des candidats. S’agit-il, en période de reprise économique, du banal rééquilibrage d’un marché jusqu’alors favorable aux employeurs ? Ou d’une véritable « crise du consentement », explorée par les sociologues, gestionnaires, juristes, médecins, économistes et psychologues réunis à l’ESCP Business School, les 9 et 10 juin, pour un colloque intitulé « Consentir ? Pourquoi, comment et à quoi ? »

A première vue, il n’est rien de plus classique : le rapport de force entre employeurs et salariés s’est modifié en faveur de ces derniers. C’est l’heure de la revanche. Après des décennies difficiles, le débat se rouvre sur les augmentations de salaires et l’amélioration des conditions de travail.

Ce serait pourtant une grave erreur d’en rester à ce diagnostic. D’abord, le recours aux remèdes logiques (relèvement des salaires, allègement des aspects les plus pénibles des conditions de travail) se heurte déjà aux menaces qui pèsent sur la pérennité de la reprise. Ensuite, ces remèdes agissent sur les symptômes, plus que sur les causes. Il faut donc se placer en amont des phénomènes évoqués. N’est-ce pas ce que font, plus ou moins consciemment, les salariés démissionnaires ? Comment ne pas être intrigué par les multiples indices et témoignages, suggérant que la réticence des salariés à se contenter des emplois existants dépasse de beaucoup l’insuffisance du pouvoir d’achat ?

Ces mouvements de retrait peuvent, en effet, être observés aux deux extrémités de l’échelle des qualifications. D’un côté, les serveurs et cuisiniers désertent la restauration, les saisonniers les emplois touristiques, les infirmières l’hôpital, etc. De l’autre, de jeunes cadres bien payés désertent leur job dans la finance, le marketing ou la gestion pour se reconvertir dans des activités manuelles, tandis que des étudiants de grandes écoles font savoir collectivement qu’ils déserteront les belles carrières traditionnelles, dénuées de sens et/ou indifférentes à la transition écologique.

Certes, l’ordre de grandeur quantitatif est encore limité – mais pas l’ordre de grandeur qualitatif. Cette simultanéité révèle l’entrée en crise de ce que la philosophe Simone Weil [1909-1943] avait dénommé le « consentement au travail ». Précisons : le consentement au travail dans les entreprises (et les organisations publiques qui s’en rapprochent, comme les hôpitaux) telles qu’elles sont gouvernées.

Manifs anti Le Pen : participation très modeste

Manifs anti Le Pen : participation très modeste

 

 

 

Selon le ministère de l’Intérieur, 13.600 personnes se sont mobilisées dans plus de 50 manifestations en régions et 9.200 à Paris. Les organisateurs quant à eux revendiquent près de 40.000 participants à Paris et 150.000 personnes dans toute la France. «Pas une voix pour Marine Le Pen!», ont martelé les organisateurs devant plusieurs centaines de manifestants à Lille.

«On est ici pour dire non à l’extrême droite. (…) pour la société, les libertés mais aussi le climat. Ce serait une vraie régression si elle arrivait au pouvoir», selon Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France interrogé par l’AFP à Paris; où plusieurs milliers de personnes ont défilé sous le soleil.

 

La participation: le moyen de lutter contre les décisions centralisées et technocratiques

Démocratie: La participation , pour de lutter contre les décisions centralisées et technocratiques 

 

Face à la tentation abstentionniste qui mine les élections démocratiques, le chercheur Jonathan Maurice (Toulouse School of Management Research (université Toulouse-I-Capitole, CNRS)) rappelle, dans une tribune au « Monde », les résultats de démarches participatives mises en place dans des pays aussi divers que le Portugal, la Corée du Sud ou l’Allemagne, pour associer les citoyens aux décisions et résister à la tentation d’une centralisation extrême de la décision.

 

Tribune.

 

Les sondages laissent augurer une abstention élevée à la prochaine élection présidentielle. Aux dernières municipales, un électeur sur deux s’était abstenu ; deux sur trois lors des régionales. Six semaines avant le prochain scrutin, plus de la moitié des Français ignoraient sa date !

Face à ce désintérêt pour les élections, lourd de menace pour la démocratie, de nombreux pays se tournent aujourd’hui vers des solutions innovantes donnant aux citoyens de nouvelles capacités d’agir.

De quoi s’agit-il ? Alors que le président Macron annonce vouloir développer en France une participation citoyenne s’il est réélu, sans donner plus de détails, connaître les expériences déjà menées dans différents pays permet d’éclairer le champ des possibles. Nées au Brésil à la fin des années 1980, diffusées en Amérique du Sud dans les années 1990, ces méthodes sont en effet utilisées désormais dans des pays aussi divers que la Corée du Sud, le Canada, l’Allemagne, le Portugal…

Tout commence par des appels, lancés dans un territoire donné, sur des sujets qui peuvent concerner toutes sortes de domaines : la culture, la solidarité, les infrastructures… Les citoyens (individus ou groupes constitués) y répondent par des propositions.

Afin d’éliminer celles qui sont irréalistes sur le plan budgétaire ou technique, un premier tri est effectué par un collectif composé d’élus, de fonctionnaires et de citoyens. Les projets jugés recevables sont alors débattus par une assemblée ad hoc avant d’être soumis au vote des habitants. Les plus appréciés sont mis en œuvre.

Ce type de démarches a des résultats intéressants. Des recherches ont montré qu’elles parviennent à mobiliser les jeunes et les personnes les plus pauvres, populations qui votent particulièrement peu. En faisant discuter les habitants de sujets qui les concernent directement, elle les implique davantage que l’élection d’un représentant.

La méthode aide aussi à lutter contre la corruption, car les citoyens, qui ont ainsi la possibilité de choisir entre différents investissements publics, s’impliquent ensuite dans le suivi des projets, et les contrôlent davantage.

En France, des expériences ont été lancées à petite échelle ces dernières années. Paris a des budgets participatifs depuis 2014, Grenoble depuis 2017, Bordeaux depuis 2019. De petites villes et des départements y recourent aussi, comme le Gers, qui consacre, depuis 2018, 3 % de son budget d’investissement à des projets proposés, choisis et contrôlés par les citoyens.

La participation: le moyen de lutter contre les décisions centralisées et technocratiques

La participation: le moyen de lutter contre les décisions centralisées et technocratiques 

 

Face à la tentation abstentionniste qui mine les élections démocratiques, le chercheur Jonathan Maurice (Toulouse School of Management Research (université Toulouse-I-Capitole, CNRS)) rappelle, dans une tribune au « Monde », les résultats de démarches participatives mises en place dans des pays aussi divers que le Portugal, la Corée du Sud ou l’Allemagne, pour associer les citoyens aux décisions et résister à la tentation d’une centralisation extrême de la décision.

 

Tribune.

 

Les sondages laissent augurer une abstention élevée à la prochaine élection présidentielle. Aux dernières municipales, un électeur sur deux s’était abstenu ; deux sur trois lors des régionales. Six semaines avant le prochain scrutin, plus de la moitié des Français ignoraient sa date !

Face à ce désintérêt pour les élections, lourd de menace pour la démocratie, de nombreux pays se tournent aujourd’hui vers des solutions innovantes donnant aux citoyens de nouvelles capacités d’agir.

De quoi s’agit-il ? Alors que le président Macron annonce vouloir développer en France une participation citoyenne s’il est réélu, sans donner plus de détails, connaître les expériences déjà menées dans différents pays permet d’éclairer le champ des possibles. Nées au Brésil à la fin des années 1980, diffusées en Amérique du Sud dans les années 1990, ces méthodes sont en effet utilisées désormais dans des pays aussi divers que la Corée du Sud, le Canada, l’Allemagne, le Portugal…

Tout commence par des appels, lancés dans un territoire donné, sur des sujets qui peuvent concerner toutes sortes de domaines : la culture, la solidarité, les infrastructures… Les citoyens (individus ou groupes constitués) y répondent par des propositions.

Afin d’éliminer celles qui sont irréalistes sur le plan budgétaire ou technique, un premier tri est effectué par un collectif composé d’élus, de fonctionnaires et de citoyens. Les projets jugés recevables sont alors débattus par une assemblée ad hoc avant d’être soumis au vote des habitants. Les plus appréciés sont mis en œuvre.

Ce type de démarches a des résultats intéressants. Des recherches ont montré qu’elles parviennent à mobiliser les jeunes et les personnes les plus pauvres, populations qui votent particulièrement peu. En faisant discuter les habitants de sujets qui les concernent directement, elle les implique davantage que l’élection d’un représentant.

La méthode aide aussi à lutter contre la corruption, car les citoyens, qui ont ainsi la possibilité de choisir entre différents investissements publics, s’impliquent ensuite dans le suivi des projets, et les contrôlent davantage.

En France, des expériences ont été lancées à petite échelle ces dernières années. Paris a des budgets participatifs depuis 2014, Grenoble depuis 2017, Bordeaux depuis 2019. De petites villes et des départements y recourent aussi, comme le Gers, qui consacre, depuis 2018, 3 % de son budget d’investissement à des projets proposés, choisis et contrôlés par les citoyens.

Industrie : pour une nouvelle politique…Et la participation

Industrie : pour une nouvelle politique…Et la participation

Dans la campagne présidentielle, les idées proposées ne sont pas à la hauteur de l’enjeu qui passe par une meilleure répartition des bénéfices des entreprises, comme le préconisait le Général de Gaule avec son idée de répartition. Par Gaël Perdriau, maire (LR) de Saint-Etienne, président de Saint-Etienne Métropole.

 

Depuis deux ans, la pandémie a révélé les retards structurels de la France dans de trop nombreux domaines tels la santé, l’éducation, l’enseignement supérieur, les services publics et, bien entendu, dans le dossier spécifique de l’industrie et du développement économique. Après 40 années d’une politique néolibérale, rarement remise en cause, nous payons la facture d’une société ayant fait de la maximisation des résultats financiers le credo incontournable de toute politique publique.

Aujourd’hui, la France a besoin d’une nouvelle industrialisation dont les contours restent largement à définir. Certes nous souffrons de la comparaison avec notre voisin allemand dont l’industrie, avant la pandémie, contribuait pour près de 1.900 milliards d’euros à la richesse nationale, contre environ 900 millions d’euros pour l’Hexagone, employant 6,2 millions de salariés, 2,7 millions en France et pour un investissement en R&D d’environ 54 milliards d’euros contre à peine 25 milliards d’euros de ce côté du Rhin. Globalement, l’industrie française ne pèse que 12% du PIB contre plus de 20% en Allemagne. Le constat est sans appel.

Ne peut-on pas voir dans ces données l’incapacité de notre économie à offrir des emplois stables, performants et bien rémunérés ? La nouvelle industrialisation dont la France a besoin doit reposer sur une nouvelle clef de répartition des résultats créés par les entreprises. Aujourd’hui, pour 100 euros de bénéfices disponibles, les entreprises du CAC40 en attribuent 70 euros aux actionnaires, 25 euros à l’investissement et 5 euros aux salariés. Il fut un temps où les salariés captaient 70% de ces bénéfices. Faut-il chercher plus loin la crise du pouvoir d’achat dont souffre la France depuis de longues années ?

La France, dont on ne cesse de critiquer certains travers l’empêchant de «profiter» de la mondialisation, s’est, de fait, convertie au dogme néolibéral en favorisant les actionnaires au détriment de l’appareil industriel et des salariés. Le retard accumulé est devenu abyssal et les faiblesses doivent beaucoup aux carences, en matière de formation, des salariés qui ne disposent pas toujours des options leur permettant de se former correctement tout le long de la vie.

Le débat présidentiel était l’occasion d’aborder cette question avec détermination et de manière rationnelle. Pour le moment, il n’en est rien. Nous oscillons entre les solutions habituelles faisant de l’entreprise soit la source de tous les maux ou alors une sorte de «terre promise» censée guérir une société malade d’une fragmentation que j’ai analysée par ailleurs.

Ma famille politique n’échappe pas à la règle. Encore récemment, Eric Ciotti ne déclarait-il pas, devant des chefs d’entreprise, que le rôle du gouvernement est de «créer un environnement favorable pour que les entreprises aient cette capacité de production» ? Milton Friedman, père du néolibéralisme, n’aurait pas renié ces propos ! Au lieu de réfléchir sur les évolutions même du travail, profondément bouleversé par la révolution numérique, Valérie Pécresse s’enferme dans une vision étriquée fondée sur une «fumisterie intellectuelle» : la théorie du ruissellement.

Lorsqu’on se revendique du gaullisme, on ne peut concilier le néolibéralisme avec la vision sociale et économique du fondateur de la Ve République. D’ailleurs, n’est-il pas étrange de voir une surprenante convergence d’analyse et de propositions entre Valérie Pécresse et Emmanuel Macron ?

Notre famille politique devrait, au contraire, porter le grand dessin du Général de Gaulle : la répartition. Une idée qui transcende les vieux clivages transformant l’entreprise par une nouvelle gouvernance permettant un processus décisionnel original qui associe étroitement les dirigeants, les actionnaires et les salariés.

Le Général, visionnaire économique et social, nous a légué un outil inachevé par la volonté d’une étonnante alliance entre les syndicats et le patronat et qui pourtant permet d’analyser et de répondre aux profondes mutations de notre temps : travail, défi environnemental ou justice sociale et économique.

La solution existe, pour peu que Valérie Pécresse recouvre l’indépendance intellectuelle dont elle a toujours fait montre et qui, aujourd’hui, est mise sous tutelle par un quarteron de généraux faisant passer leur intérêt personnel avant celui de la France.

Grève dans l’Éducation nationale : Une participation massive

Grève dans l’Éducation nationale : Une participation massive

« La participation devrait être massive », a assuré ce mercredi sur franceinfo Didier Georges, proviseur et secrétaire national du SNPDEN, alors que les enseignants sont appelés à faire grève jeudi.

« Il y a une grande fatigue à laquelle s’ajoute une forme de lassitude liée au décalage entre la réalité et les annonces ministérielles », a expliqué mercredi 12 janvier sur franceinfo Didier Georges, proviseur du lycée Jean-Drouant à Paris et secrétaire national du SNPDEN (Syndicat national des personnels de direction de l’Éducation nationale) en charge de la communication, alors qu’une grève a lieu jeudi 13 janvier dans l’Éducation nationale contre le protocole Covid-19 mis en œuvre dans les établissements scolaires.

 Pourquoi rejoignez-vous le mouvement de grève ?

Didier Georges : À cause d’une grande fatigue comme tout le monde à laquelle s’ajoute une forme de lassitude qui est liée au décalage que l’on perçoit entre la réalité du terrain et les annonces ministérielles sur un certain nombre de points. Vu de la rue de Grenelle les choses paraissent faciles mais c’est nous qui gérons le mécontentement, notamment des usagers. On a mis en œuvre plusieurs dizaines de protocoles différents, les premiers étant très spectaculaires, sur des choses qu’on n’avait jamais faites. On nous annonce des remplaçants sur des professeurs absents alors qu’on n’en a pas ou peu quand il n’y a pas le Covid, on nous annonce des moyens qu’on ne voit pas arriver. Les moyens sont là, mais il n’y a pas les ressources humaines. Donc les annonces sont en décalage avec la réalité et les parents ne comprennent pas pourquoi leur enfant n’a pas de prof de maths, mais le fait est qu’il n’y en a pas de prof de maths.

Qu’attendez-vous avec cette mobilisation ?

Faire prendre conscience au ministère qu’il faut encore améliorer les choses. On va porter une revendication sur le contact tracing des personnels de direction parce qu’il est devenu impossible à faire, et une simplification qui concerne les personnels afin qu’on soit moins en difficulté quand on n’a plus d’infirmière. On a tous un certain pourcentage d’enseignants malades aujourd’hui.

Avez-vous l’impression d’être entendu par le ministre de l’Éducation ?

Il nous entend, il nous reçoit, il nous interroge. Après est-ce que la réalité de ce qui lui est remonté par ses services est conforme à ce que nous vivons ? Pas toujours, il y a un décalage certain. Quand lui délègue des moyens et qu’il l’annonce, cela ne veut pas forcément dire qu’en face il y aura une action immédiate. Souvent il y a un décalage dans le temps. On parle des masques chirurgicaux, il y en a déjà dans certains établissements et quand il n’y en a pas, le temps qu’ils arrivent, peut-être que cette énième crise sera passée.

Jean-Michel Blanquer parle de pragmatisme, de bienveillance, de ne pas faire grève contre un virus. Qu’en pensez-vous ?

Je n’aime pas trop commenter les propos du ministre, néanmoins parfois il faut savoir raison garder notamment quand on est dans une crise où on sent que la mobilisation va être extrêmement importante. Je me demande si les propos sont bien pesés. Évidemment qu’il faut qu’on fasse preuve de solidarité mais on n’a pas à prouver qu’on l’a fait. Cela fait 24 mois qu’on le fait, cela fait 24 mois qu’on se bat tous, professeurs, enseignants, vie scolaire, personnels dans les établissements scolaires, pour que les enfants aient le plus de cours possible. On y est véritablement très attachés. On n’a rien à démontrer. Les parents d’élèves peuvent en témoigner. La communication du ministre via les médias avant les personnels, des incessants retournements de situation c’est épuisant.

Est-ce important de recevoir le soutien des parents ?

C’est important parce qu’ils reconnaissent le travail qui est fait par les enseignants, les gens qui encadrent leurs enfants au quotidien dans les établissements scolaires. On se satisfait de ça. Mais n’oublions pas que les parents aussi subissent les effets de cette crise. Le nouveau protocole annoncé par le ministre ne résout pas tous les problèmes. Il simplifie pour les usagers et les parents d’élève le fait de n’avoir que des autotests à faire mais en établissement scolaire cela ne règle pas le problème des attestations à fournir sur la base de quoi ? Un autotest ? Ce n’est pas si simple. Pour nous, administrativement parlant, cela ne nous facilite pas beaucoup la vie.

Comment va se passer l’accueil des élèves pendant la grève ?

La participation devrait être massive. Certains enseignants qui n’avaient pas l’intention d’être grévistes le seront en raison des propos tenus par Jean-Michel Blanquer sur la grève contre le virus. Parmi les personnels qui sont souvent au front de cette lutte contre le Covid il y a les surveillants, les assistants d’éducation, les personnels de cantine, d’entretien et eux sont particulièrement là et on ne parle pas beaucoup d’eux. Il y a un vrai ras-le-bol. Beaucoup de collègues n’auront pas de personnel de vie scolaire demain et ont donc dû fermer la cantine, fermer les internats. C’est assez inédit qu’on soit massivement obligé de suspendre un certain nombre de services de l’école.

Participation des salariés : le grand absent de la campagne électorale

Participation des salariés : le grand absent de la campagne électorale

 

Un peu partout on se lamente des difficultés de recrutement et assez souvent d’un manque d’adhésion des salariés à la stratégie des entreprises.

En cause en France, la vision très manichéenne du pouvoir total au patron et des salariés considérés seulement comme des moyens de production.

La France aurait pourtant besoin de forme d’association des salariés pour faire face au déficit chronique de compétitivité du pays. Plus que d’autres la France a un urgent besoin aussi de redonner un sens au travail.

Malheureusement la question de la participation des salariés et la grande absente de la campagne électorale . Du côté de la droite , on se satisfait de cette partition des responsabilités pour éloigner le spectre du socialisme. Inversement à gauche, on est particulièrement heureux de n’avoir pas à se mêler de gestion qui pourrait faire apparaître les contradictions et l’incongruité de certaines revendications. Bref un accord commun pour des motifs différents qui entretient une situation duale  voire caricaturale en France. On est loin de l’association pratiquée en Allemagne qui permet à l’appareil de production d’être particulièrement dynamique et compétitif sans parler du différentiel de salaire plus favorable outre-Rhin

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

 

 

 

Une nouvelle fois les syndicats gauchistes comprenant La CGT, la FSU, Solidaires et Force ouvrière, d’une part, et l’Unef, l’UNL, la Fidl et le MNL, d’autre part,

n’ont réussi à mobiliser qu’environ 80 000 personnes d’après le ministère de l’intérieur, le double d’après leurs propres chiffres. De toute façon, une participation insignifiante qui a rarement fait l’objet d’un compte rendu dans les médias. Ou comment dévaloriser encore un peu plus un syndicalisme rongé par l’individualisme tout autant que par des organisations complètement irresponsables.

 

Des organisations qui se complaisent dans les mouvements ultra minoritaires et qui discréditent chaque jour un peu plus le rôle qu’elle devrait pourtant. À noter que les syndicats majoritaires en France aujourd’hui à savoir la CFDT, la CFTC, l’UNSA et la CGC ont refusé de s’associer à cette journée fourre-tout  qui mélange les salaires, l’emploi, les retraites, le service public et les revendications catégorielles. Bref comme déjà depuis des années pour ces organisations, un syndicalisme de contestation dont le but n’est pas d’obtenir des résultats concrets pour les salariés. Si cette manifestation avait pour objet de montrer publiquement la grande faiblesse mouvement social actuelle alors elle a atteint son but.

 

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

 

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

 

 

 

Une nouvelle fois les syndicats gauchistes comprenant La CGT, la FSU, Solidaires et Force ouvrière, d’une part, et l’Unef, l’UNL, la Fidl et le MNL, d’autre part,

n’ont réussi à mobiliser qu’environ 80 000 personnes d’après le ministère de l’intérieur, le double d’après leurs propres chiffres. De toute façon, une participation insignifiante qui a rarement fait l’objet d’un compte rendu dans les médias. Ou comment dévaloriser encore un peu plus un syndicalisme rongé par l’individualisme tout autant que par des organisations complètement irresponsables.

 Des organisations qui se complaisent dans les mouvements ultra minoritaires et qui discréditent chaque jour un peu plus le rôle qu’elle devrait pourtant. À noter que les syndicats majoritaires en France aujourd’hui à savoir la CFDT, la CFTC, l’UNSA et la CGC ont refusé de s’associer à cette journée fourre-tout  qui mélange les salaires, l’emploi, les retraites, le service public et les revendications catégorielles. Bref comme déjà depuis des années pour ces organisations, un syndicalisme de contestation dont le but n’est pas d’obtenir des résultats concrets pour les salariés. Si cette manifestation avait pour objet de montrer publiquement la grande faiblesse mouvement social actuelle alors elle a atteint son but.

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