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Chine : les limites de la mainmise centralisée du parti communiste sur l’économie

Chine : les limites de la mainmise centralisée du parti communiste sur l’économie

Les économistes Alexander Brown, François Chimits et Gregor Sebastian décrivent le système pyramidal mis en place par le gouvernement central de Pékin .

La faiblesse actuelle de la croissance chinoise et la crise financière notamment dans l’immobilier découlent directement de la tutelle du parti communiste sur l’économie. La bureaucratie, la rigidité centraliste et aussi la corruption illustrent la perversité du régime et son inefficacité économique. Du coup pour rééquilibrer cette politique très centraliste, les communistes veulent désormais miser sur les PME. Un pari hypothétique qui devra passer par les filtres locaux du parti communiste NDLR

Le retour du dirigisme économique en Chine, sous la férule de Xi Jinping, ne fait plus guère débat. Il serait en revanche trompeur d’y voir le retour à un modèle soviétique. L’ambition de Pékin de construire une nouvelle articulation entre pouvoirs publics et forces de marché espère bien bénéficier des vertus de ces dernières. Les politiques à l’endroit des PME innovantes en offrent une illustration riche d’enseignements.

Depuis environ cinq ans, ces PME sont devenues une composante essentielle des discours et des politiques de Pékin dans la poursuite de son nouvel objectif d’indépendance en matière de technologies stratégiques. A cette fin, les autorités chinoises ont bâti un imposant système pyramidal de labélisation.

Il échoit aux autorités locales de sélectionner un large éventail de petites et moyennes entreprises « innovantes » selon un cahier des charges établi par Pékin, dans lequel la capacité à se substituer aux technologies étrangères figure en bonne place, au côté de considérations commerciales. Les gouvernements provinciaux effectuent ensuite leur propre sélection, notamment à partir de cette première liste, pour identifier les « PME spécialisées », puis les autorités nationales font de même pour identifier les « petits géants ». Une fois matures, ces derniers peuvent décrocher le statut de « champion industriel ».

Ces listes sont soumises à des revues régulières. Le nombre important de non-renouvellement plaide pour le sérieux de ces exercices. En outre, l’intérêt de chaque échelon à voir ses poulains sélectionnés au niveau supérieur offre une certaine garantie sur la qualité des sélections. Le système semble donc en mesure d’écarter les obstacles de la rigidité et des collusions, deux des faiblesses habituelles des politiques industrielles.

Une fois sélectionnées, les PME bénéficient d’une myriade d’avantages allant croissant avec le niveau du label. Les subventions traditionnelles (c’est-à-dire le transfert direct de ressources financières des pouvoirs publics) sont bien évidemment au rendez-vous. Principalement fournies par les autorités locales, donc plus difficiles à comptabiliser de manière exhaustive, elles semblent in fine relativement modestes.

Politique- Un parti écolo ou un parti gauchiste ?

Politique- Un parti écolo ou un parti gauchiste ?

 

Des élus écologistes de premier plan, dont David Belliard, maire adjoint à Paris, l’eurodéputée Karima Delli et le député du Val-d’Oise Aurélien Taché, appellent, dans une tribune au « Monde », à créer les bases d’une culture politique écologiste renouvelée, radicale et pragmatique.

En fait, les auteurs posent la question de savoir si les écologistes doivent se confiner dans un rôle d’organisation gauchiste ou dans un rôle de véritable parti responsable et populaire.Une critique en creux de la NUPES et d’EELV.  NDLR 

 

Mégafeux, canicules, sécheresses, inondations… Nous vivons dans un paradoxe : la réalité nous rattrape et tout le monde, ou presque, parle d’écologie. Mais, nous le voyons, il n’y a pas d’écologie sans écologistes à la tête du gouvernement.

Le système à bout de souffle qui menace la planète et le vivant ne répond même plus aux attentes des citoyens. En plus de détruire la nature et d’épuiser nos ressources vitales, il dévore des sociétés entières, incapable de garantir la dignité humaine.

A qui profite le crime ? A une extrême minorité : les 63 Français aux patrimoines financiers les plus élevés polluent plus que la moitié de la population et aucun effort ne leur est demandé ! Lors d’un conseil des ministres , Emmanuel Macron a parlé de « la fin de l’abondance » … mais pour qui ? Il est temps de cesser de culpabiliser les classes moyennes et populaires, qui vivent au quotidien une sobriété énergétique et financière subie, sans qu’aucune alternative ne leur soit proposée !

C’est par la base et le consentement que doit naître le changement. D’ailleurs, beaucoup n’ont pas attendu et prennent leur part au niveau local, dans leur quotidien, au sein de leur famille.

Ils s’efforcent, avec souvent très peu de moyens, de changer leurs pratiques et d’adapter leurs modes de vie. C’est bien dans les territoires populaires qu’est née l’économie circulaire. Il est crucial pour permettre que ces gestes du quotidien s’amplifient et ne soient pas synonymes de privation, mais, bien au contraire, de mieux-être, que des politiques appuient et accompagnent ce changement : c’est vrai pour la mobilité avec une offre de transports en commun bien plus importante et à bas coût ou gratuite, c’est vrai pour une alimentation saine mais pas chère, ou encore pour l’accès au logement.

Nous trouverons le chemin du changement de mode de vie avec cette France des TER, des RER, des outre-mer, des oubliés de la République. C’est cette partie de notre société que le mouvement écologiste n’a pas réussi à convaincre, cette majorité culturelle dans les urnes qu’il n’a pas su correctement écouter et intégrer.

Notre parti a un premier échelon, trop souvent négligé en dehors des séquences électorales : les groupes locaux. La politique en France est descendante, dans ses pratiques et dans sa vision. C’est la méthode Macron et jacobine que nous dénonçons. Il est temps pour les écologistes d’incarner une autre manière de faire de la politique. Repartons des militants de terrain, structurons un maillage territorial de qualité.

Refondation Politique: Un nouveau parti socialiste ?

Refondation Politique: Un nouveau parti socialiste ?

Un nouveau PS pourrait être lancé sur initiative notamment de Bernard Cazeneuve le 10 juin après un appel de responsables socialistes.

Il est clair que la famille socialiste est complètement éclatée au point d’être menacée de disparition pour cause notamment de contradictions entre les lignes idéologiques et surtout de l’énorme écart entre les orientations et les pratiques quand les socialistes sont au pouvoir. La preuve la plus significative de cet écart étant end sans doute le passage de François Hollande. Reste que cet appel est essentiellement une émanation d’élus. Or le parti socialiste s’est aussi écroulé du fait d’être réduit une sorte de club d’élus et non un rassemblement des forces sociales qu’il entend représenter. Dans un parti qui se veut social-démocrate comme le souhaiteraient Bernard Cazenave et ses amis encore faudrait-il une représentativité des couches sociologiques du pays et non une appropriation du parti par quelques technocrates et autres aventuriers. Le dernier en date étend sans doute Emmanuel Macron. Plusieurs ex-députés et élus issus du PS, électeurs d’Emmanuel Macron en 2017et 2022, apportent leur soutien à La Convention, le mouvement initié par Bernard Cazeneuve, qui tiendra sa première réunion publique nationale, samedi 10 juin à Créteil.

L’appel de responsables socialiste pour un nouveau parti :

« Élus ou militants de gauche de toujours, nous avons apporté notre soutien à Emmanuel Macron en 2017 et la plupart d’entre nous le lui ont renouvelé, parfois par défaut, en mai 2022.

Notre sensibilité sociale-démocrate se retrouvait dans son engagement européen, dans la réhabilitation du mérite et du travail, et celle des savoirs fondamentaux à l’école, dans la revalorisation de l’apprentissage et de l’enseignement technique, dans la redynamisation de notre économie et la réduction du chômage tout juste engagées sous François Hollande, dans la PMA pour toutes, comme dans la protection des populations et des entreprises lors de la crise sanitaire et depuis l’invasion de l’Ukraine.

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Face à la marée montante des populismes et des nationalismes illibéraux, nous ne sommes pas radicalement hostiles au principe d’un « dépassement » entre droites et gauches démocratiques et républicaines, mais par un contrat de programme si la situation du pays l’exige, plutôt que par dilution dans un fourre-tout césariste.

Mais force est de constater que le macronisme « apolitique » n’a pas tenu sa promesse cardinale d’endiguer la progression de l’extrême droite qui est aujourd’hui au seuil du pouvoir. En refusant que se structure, au sein de sa majorité, un parti de gauche porté par les deux tiers de l’électorat socialiste qui l’ont rallié en 2017, le Président de la République et quelques transfuges zélés ont condamné sa majorité à pencher à droite et la gauche à se perdre dans un populisme séditieux, qui outrage la République.

Les Français ne peuvent se résigner à ce spectacle qui aboutit à une fracturation de la société française

Ce faisant, une grande partie de la gauche est aujourd’hui invisible, désemparée et orpheline d’une offre politique dans la lignée historique des partis de Jaurès, Blum, Mitterrand, Rocard, Clémenceau, Briand et Mendes-France.

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Nous ne croyons pas, pour la politique, comme pour la société, à la vertu d’une rupture générationnelle, communautariste, sans mémoire, sans histoire et sans identité politique.

Nous nous inscrivons dans la nécessité de refonder une offre politique de gauche pleinement assumée face à une droite écartelée entre un centrisme sans chair et la tentation électoraliste régressive d’une union avec l’extrême droite.

Pour l’échéance de 2027, nous aspirons à conjurer le choix déchirant entre deux extrémismes qui se nourrissent l’un l’autre, de leur commune aversion pour la construction européenne, de leur nationalisme de repli et de leurs penchants corporatistes et communautaristes.

Les vociférations obscènes de la NUPES, jusqu’à la tribune de l’Assemblée nationale ne font pas avancer la cause des moins favorisés et des classes moyennes. La droitisation du discours politique et économique de la majorité relative qui soutient l’exécutif, non plus. L’appareil du Parti socialiste, dans un réflexe de sauve-qui-peut, s’est enterré en se soumettant à LFI. Les responsables de Renaissance se sont largement mis à la remorque des humeurs changeantes des Républicains. Les Français ne peuvent se résigner à ce spectacle qui aboutit à une fracturation de la société française et exacerbe la violence politique et civile.

Il faut retrouver une véritable Gauche de gouvernement, généreuse dans ses ambitions, responsable dans sa gestion et pro-européenne dans son projet

Le temps nous semble révolu de la « jupitérisation » de notre République, laquelle doit mieux s’appuyer sur les forces syndicales, associatives et politiques qui font, dans la profondeur du pays, la cohésion de notre Nation.

Notre conviction est qu’il faut, désormais, retrouver une véritable « Gauche de gouvernement », généreuse dans ses ambitions, responsable dans sa gestion et pro-européenne dans son projet. Cette Gauche de gouvernement, cette nouvelle social-démocratie, modernisée et adaptée aux attentes et aux défis de la Société d’aujourd’hui, lève enfin la tête.

La Convention initiée par Bernard Cazeneuve offre cette possibilité d’un espace politique nouveau, d’une ouverture qui redonne de l’espoir aux citoyens. Elle nous semble la seule opportunité crédible de recréer une gauche pro européenne, sociale-démocrate et libérale, laïque, universaliste et fermement attachée aux principes républicains qui sont profondément inscrits dans notre histoire sociale et politique.

C’est pourquoi, aujourd’hui, nous répondons à l’appel lancé par Bernard Cazeneuve et serons avec lui, par la pensée ou à ses côtés, en témoignage à la fois de notre soutien et de notre espoir, le 10 juin après-midi à Créteil. »

Politique: Le parti des « Républicains »: complice et cocu !

Politique: Le parti des « Républicains »: complice et cocu !

Il paraît de plus en plus difficile d’ envisager un avenir pour le parti « des républicains ». Au départ ce parti était pour une grande réforme juste, efficace et progressive. Finalement , il a du adhéré à une réforme assez anecdotique, injuste et inefficace contre la promesse et la négociation de quelques accommodements sociaux que le conseil constitutionnel a balayés.

Le parti républicain a donc été complice de l’adoption en force au Parlement d’une réforme injuste et inutile ; en même temps, il a été cocu puisque les sucreries sociales pour améliorer le texte initial ont été supprimées. On se demande bien comment « le parti républicain » pourra expliquer devant ses électeurs cette position à la fois ambiguë et hypocrite. Un parti déjà en perte de vitesse faute de leader charismatique. Ciotti ne fait pas le poids et n’est pas clair sur son idéologie. D’une certaine manière, c’est le « parti républicain » qui est surtout responsable de la montée du Front National car le plafond de verre a éclaté à droite.

Cela n’exonère pas évidemment la responsabilité des ces organisations de gauche repliées aujourd’hui sur une opposition radicale systématique.

Le parti républicain est coincé. Bien entendu il ne peut pas passer un accord de gouvernement avec Macron car alors il porterait la responsabilité de l’échec lamentable de Macron à l’occasion notamment des élections de 2027. Déjà ratatiné,  » le parti républicain » pourrait suivre le sort du parti socialiste.

SONDAGE politique : le parti de Macron en nette baisse , l ‘opposition en hausse

SONDAGE politique :le parti de Macron en nette baisse


En cas d’élections anticipées, le parti de Macron perdrait 50 sièges à l’Assemblée nationale alors qu’il n’a déjà pas la majorité.
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Une élection législative partielle dimanche en Ariège à montré la débâcle du camp de Macron avec un score qui est passé de 31 % en 2017 à 11 % en 2023 pour la représentante de Renaissance.

Dans 188 communes d’Ariège, les électeurs étaient appelés aux urnes ce dimanche 26 mars à l’occasion du 1er tour de l’élection législative partielle de la 1ère circonscription du département. Les résultats partiels, livrés à 19h50, donnent la candidate sortante LFI, Bénédicte Taurine, en tête du scrutin.

Selon un sondage national Ifop/Fiducial pour le JDD , la majorité présidentielle serait sanctionnée et pourrait perdre entre 30 et 40 sièges à l’Assemblée nationale.

Le Rassemblement national, avec 26 % des suffrages, enregistrerait un bond de près de 7 points par rapport aux législatives de juin 2022, lui permettant de faire jeu égal avec la Nupes qui, elle, stagne autour de 26 % malgré sa forte mobilisation contre la réforme des retraites.

Avec 22 % des voix, la majorité présidentielle décrocherait de près de 5 points en cas de législatives anticipées, reléguée en troisième place derrière le RN et la Nupes. Et ce alors que ses candidats étaient arrivés très légèrement en tête lors des dernières législatives (26, 9 %). « Dans ce sondage, il y a un perdant, c’est la majorité actuelle, note le directeur général Opinion de l’Ifop . S’il y avait un vote, la sanction serait très claire. L’éventualité d’une dissolution constituerait un risque très sérieux, pour ne pas dire un suicide. » Il estime qu’en cas de dissolution, la majorité perdrait plus de 50 sièges.

SONDAGE politique :le parti de Macron en nette baisse , l ‘opposition en hausse

SONDAGE politique :le parti de Macron en nette baisse , l ‘opposition en hausse


En cas d’élections anticipées, le parti de Macron perdrait 50 sièges à l’Assemblée nationale alors qu’il n’a déjà pas la majorité.

Selon un sondage Ifop/Fiducial pour le JDD , la majorité présidentielle serait sanctionnée et pourrait perdre entre 30 et 40 sièges à l’Assemblée nationale.

Le Rassemblement national, avec 26 % des suffrages, enregistrerait un bond de près de 7 points par rapport aux législatives de juin 2022, lui permettant de faire jeu égal avec la Nupes qui, elle, stagne autour de 26 % malgré sa forte mobilisation contre la réforme des retraites.

Avec 22 % des voix, la majorité présidentielle décrocherait de près de 5 points en cas de législatives anticipées, reléguée en troisième place derrière le RN et la Nupes. Et ce alors que ses candidats étaient arrivés très légèrement en tête lors des dernières législatives (26, 9 %). « Dans ce sondage, il y a un perdant, c’est la majorité actuelle, note le directeur général Opinion de l’Ifop . S’il y avait un vote, la sanction serait très claire. L’éventualité d’une dissolution constituerait un risque très sérieux, pour ne pas dire un suicide. » Il estime qu’en cas de dissolution, la majorité perdrait plus de 50 sièges.

« Les Républicains »: le maire d’Orléans Serge Grouard quitte le parti

« Les Républicains »: le maire d’Orléans Serge Grouard quitte le parti

Le parti des « républicain »s qui ne représentent déjà plus grand-chose dans l’opinion-il a fait moins de 5 % aux dernières élections présidentielles- pourrait bien s’affaiblir encore voir disparaître après ses positions particulièrement ambiguës concernant la réforme des retraites. Qui paraît certain c’est qu’au-delà des démissions, les élus républicains qui voteront la réforme auront des difficultés à se faire réélire car ils seront pointés par leurs électeurs.

«Les Républicains n’ont plus aucune ligne politique et pas davantage de projets pour notre pays», a déclaré Serge Grouard, après quarante années passées chez Les Républicains.
Le maire d’Orléans Serge Grouard a annoncé dimanche 12 mars quitter Les Républicains et appelé à «construire une nouvelle majorité», alors que sa formation politique se perd dans «de petits jeux politiques stériles» et n’a «plus aucune ligne politique» ni de projet pour le pays.

«J’ai décidé de quitter Les Républicains, après plus de quarante ans d’adhésion à la famille politique gaulliste», écrit Serge Grouard dans un communiqué. «Alors que la France va mal, les Républicains n’ont plus aucune ligne politique et pas davantage de projets pour notre pays», estime l’ancien député du Loiret.

Le problème du maire d’Orléans, c’est qu’il est largement aussi ambigu que son propre parti.

Parti socialiste: Raccommodage de façade avant disparition totale

Parti socialiste: Raccommodage de façade avant disparition totale


Finalement une nouvelle fois, le congrès du parti socialiste a procédé à un raccommodage de façade et entérine la victoire contestée d’Olivier Faure comme secrétaire.

Ce bricolage ne tiendra évidemment pas longtemps compte tenu des divergences radicales entre les gauchistes souvent marxistes et les réformistes sociaux démocrates..

Ce bidouillage va transformer ce qui reste de parti socialiste en annexe anecdotique du parti de Mélenchon. Le seul problème c’est qu’il n’est pas certain qu’aux prochaines élections Mélenchon bénéficie encore du même élan qu’en 2022.

Le parti socialiste, ancien parti de gouvernement, est en train de mourir avec la bénédiction des caciques qui l’on réduit à une audience de 1 à 2 % dans l’opinion.

Nicolas Mayer-Rossignol A longtemps contesté toujours l’élection d’Olivier Faure, en évoquant des « irrégularités », les résultats de la commission de récolement, qui a validé dimanche la victoire d’Olivier Faure, lui donnant 51,09% des voix, contre 48,91% à son rival. À peu près autant récusent son élection.

Au-delà des divergences idéologiques fondamentales, une nouvelle affaire sordide de cartes d’adhérents a opposé les deux candidats.

Ce n’est en effet pas la première fois que les résultats sont bricolés et, par exemple, c’est ainsi que Martin Aubry a pu prendre la tête du parti socialiste notamment. Le concept d’adhésion au parti socialiste est d’ailleurs assez approximatif. Beaucoup ne règlent leurs cotisations qu’au moment des élections et beaucoup de cartes sont payées par les fédérations notamment les plus grosses comme la fédération d’une Nord et des Bouches-du-Rhône

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création, le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice repose uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Parti socialiste: Pour un éclatement salutaire

Parti socialiste: Pour un éclatement salutaire


Les partisans de Nicolas Mayer-Rossignol qui contestent l’élection d’Olivier Faure comme secrétaire du parti socialiste en appellent maintenant à la justice.
Si une cinquantaine de responsables départementaux du parti appellent à « reconnaître » l’élection d’Olivier Faure à peu près autant récusent son élection
.

Sauf raccommodage de façade , le parti semble s’orienter vers une scission salutaire tellement les différences sont grandes entre les radicaux marxistes et les sociaux-démocrates. n’y a en effet que deux hypothèses pour l’avenir politique du parti socialiste soit devenir un satellite anecdotique du parti de Mélenchon, soient devenir un vrai parti de gouvernement sur des bases claires et social-démocrates .

la a justice sollicitée aura beaucoup de mal à démêler cette sordide affaire de cartes d’adhérent plus ou moins bidon. Ce n’est en effet pas la première fois que les résultats sont bricolés et, par exemple, c’est ainsi que Martin Aubry a pu prendre la tête du parti socialiste notamment. Le concept d’adhésion au parti socialiste est d’ailleurs assez approximatif. Beaucoup ne règlent leurs cotisations qu’au moment des élections et beaucoup de cartes sont payées par les fédérations notamment les plus grosses comme la fédération d’une Nord et des Bouches-du-Rhône

Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours l’élection d’Olivier Faure, en évoquant des « irrégularités », les résultats de la commission de récolement, qui a validé dimanche la victoire d’Olivier Faure, lui donnant 51,09% des voix, contre 48,91% à son rival. À peu près autant récusent son élection.

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création, le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Le Parti socialiste en appelle à la justice suite au bidouillage électoral interne

Le Parti socialiste en appelle à la justice suite au bidouillage électoral interne


Les partisans de Nicolas Mayer-Rossignol qui contestent l’élection d’Olivier Faure comme secrétaire du parti socialiste en appellent maintenant à la justice.
Si une cinquantaine de responsables départementaux du parti appellent à « reconnaître » l’élection d’Olivier Faure à peu près autant récusent son élection
.

Sauf raccommodage de façade , le parti semble s’orienter vers une scission salutaire tellement les différences sont grandes entre les radicaux marxistes et les sociaux-démocrates. la justice beaucoup de mal à démêler cette sordide affaire de cartes d’adhérent plus ou moins bidon. Ce n’est en effet pas la première fois que les résultats sont bricolés et, par exemple, c’est ainsi que Martin Aubry a pu prendre la tête du parti socialiste notamment. Le concept d’adhésion au parti socialiste est d’ailleurs assez approximatif. Beaucoup ne règlent leurs cotisations qu’au moment des élections et beaucoup de cartes sont payées par les fédérations notamment les plus grosses comme la fédération d’une Nord et des Bouches-du-Rhône

Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours l’élection d’Olivier Faure, en évoquant des « irrégularités », les résultats de la commission de récolement, qui a validé dimanche la victoire d’Olivier Faure, lui donnant 51,09% des voix, contre 48,91% à son rival. À peu près autant récusent son élection.

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création, le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Drogue : Emmanuel Pellerin, quitte le parti macronien mais reste député !

Drogue : Emmanuel Pellerin, quitte le parti macronien mais reste député !!

Le député accusé de consommation de drogues quitte le parti de macron mais demeure député !

Dans un article publié mercredi, Mediapart assure qu’Emmanuel Pellerin «a consommé de la cocaïne avant et après son élection à l’Assemblée en juin dernier» et que «confronté à nos éléments, il a reconnu cet usage illégal». Comme beaucoup de députés du parti de Macron, Emmanuel Pellerin est un candidat sorti de nulle part en 2022 et dont la légitimité repose surtout sur les amitiés des salons parisiens.

Interrogé par Mediapart, le député des Hauts-de-Seine avait «d’abord argué du fait qu’il avait consommé de la drogue – cannabis et cocaïne – à partir de juin 2020 mais s’était arrêté “concomitamment” à son entrée en politique fin 2021». Emmanuel Pellerin «a justifié cette consommation passée par des difficultés personnelles et familiales en expliquant qu’il s’agissait de prises de drogue “occasionnelles”, à l’occasion de dîners et de soirées», ajoute l’article. Mediapart assure que le député a ensuite reconnu avoir «repris de la drogue le week-end où on a fêté (son) investiture au mois de juillet et après c’était terminé».

«J’ai décidé de me mettre en retrait de la vie de mon groupe politique et du parti Renaissance», écrit le député des Hauts-de-Seine dans un communiqué publié sur son compte Twitter. Mercredi, le parti Renaissance avait fait savoir qu’il examinerait son exclusion lors de son bureau exécutif qui se réunit lundi. «Si les faits sont avérés, ils portent gravement atteinte à l’image du Parlement mais aussi du parti dont il est adhérent», avait indiqué le porte-parole de Renaissance, Loïc Signor.

Parti socialiste : vers une scission salutaire ?

Parti socialiste : vers une scission salutaire ?

Si une cinquantaine de responsables départementaux du parti appellent à « reconnaître » l’élection d’Olivier Faure à peu près autant récuse son élection.

Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours l’élection d’Olivier Faure, en évoquant des « irrégularités », les résultats de la commission de récolement, qui a validé dimanche la victoire d’Olivier Faure, lui donnant 51,09% des voix, contre 48,91% à son rival. À peu près autant récuse son élection.

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création, le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Politique- Pour un éclatement salutaire du parti socialiste

Politique- Pour un éclatement salutaire du parti socialiste

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Un éclatement salutaire du parti socialiste

Un éclatement salutaire du parti socialiste

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

PS: duel pour les dépouilles du parti

PS: duel pour les dépouilles du parti

 

Le parti socialiste bouge encore un peu surtout grâce à Mélenchon qui a offert des investitures à l’organisation de plus en plus rabougrie. Le parti ne représente plus que quelques pour cent dans l’opinion. Pourtant deux leaders vont s’affronter pour espérer les dépouilles d’une organisation qui a eu son heure de gloire notamment avec Mitterrand. Une dégringolade quantitative et qualitative liée au temps à l’illusoire ligne sociale libéralisme de Hollande par exemple et autre technos  ainsi qu’aux frondeurs marxistes qui ont démoli leur propre parti.

 

De toute manière, une organisation coupée sociologiquement de sa base et qui a été appropriée par des technocrates et des arrivistes. Contrairement aux autres partis socialistes d’Europe, le PS n’a pratiquement jamais vraiment intégré  de militants syndicaux, d’associations ou de représentants de milieux défavorisés.

D’où cette lente dérive depuis 1981 du « de programme électoral socialiste « vers un social libéralisme assumé coupé des réalités sociales et sociétales et finalement inefficaces du point de vue de l’intérêt général. Ainsi par exemple le parti socialiste est largement responsable de la crise de l’école ou encore de la crise de l’énergie.

Le  duel qui s’annonce serré dans un climat délétère. Avant l’élection de son premier secrétaire par les militants, prévue jeudi 19 janvier, le Parti socialiste (PS) renoue avec ses vieux démons en étalant ses divisions. Jeudi dernier, le vote sur les textes d’orientation a permis de dégager deux grandes tendances : celui porté par Olivier Faure, premier secrétaire sortant et favorable à la Nupes, est arrivé largement en tête mais avec moins de 50 % (49,15 %) des voix.

La surprise est venue du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, plus réservé sur la Nupes et arrivé deuxième avec 31,5 % des voix, devant Hélène Geoffroy (20,3 %), qui, elle, est contre cette alliance portée par La France Insoumise (LFI).

Vendredi, dans l’attente fébrile des résultats du scrutin, les deux camps arrivés premiers se sont livrés à une bataille de communication pour savoir qui avait gagné. Le camp d’Olivier Faure a martelé que la stratégie d’alliance au sein de la Nupes était validée, tandis que les partisans de Nicolas Mayer-Rossignol ont estimé que la ligne du premier secrétaire sortant était devenue minoritaire. Le ton employé par les uns et les autres sur les réseaux sociaux est un bon indicateur de l’inimitié régnant au sein du PS.

 Entre les deux prétendants à la direction du PS, les divergences stratégiques sont profondes. Elles laissent penser que le PS sortira de son 80e congrès, prévu fin janvier à Marseille, plus divisé que jamais, faisant planer un climat persistant de scission.

 

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