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Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris a encore sérieusement dérapé !

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris a encore sérieusement dérapé !

Comme nous l’écrivions dans un précédent article, l’ambassadeur de Chine à Paris a sérieusement dérapé en contestant les frontières actuelles de l’ex URSS. Des provocations qui ont d’ailleurs amené Pékin à remettre les choses au point pour rappeler le principe du respect des frontières actuelles. Pire l’ambassade de Chine à Paris a été contrainte de publier un communiqué indiquant que les propos de l’ambassadeur étaient personnels et n’engageaient pas la Chine. Un désavœu sanglant !

Une nouvelle fois l’ambassadeur de Chine montrait sa complaisance vis à vis des crimes chinois en même temps que que sa provocation sur les grands thèmes politiques. Cet aussi cet individu qui au cours de la crise du qCovid avait déclaré que le personnel abandonnait les personnes âgées dans les EHPAD pour les laisser mourir! On croyait entendre les discours des communistes des années 1950 qui se caractérisait par la langue de bois, et le mensonge permanent. Parmi tous les ambassadeurs du monde, l’ambassadeur de la Chine en France figure sûrement en tête des contrevérités invraisemblables ( voir par exemple sa définition du communisme qu’il confond avec le nationalisme) et par un négationnisme provocateur voire criminel . Certes l’intéressé traduit d’une certaine manière la position de Pékin mais il en rajoute des tonnes sans doute pour attirer la bienveillance des plus hautes autorités sur lui. Tellement Surréaliste qu’on peut demander si l’intéressé ne tutoie pas par moments la démence. Son comportement agité légitime en tout cas l’interrogation.

L a France a affiché samedi soir sa « consternation » après des propos de l’ambassadeur de Chine en France, qui a nié la souveraineté des pays issus de l’Union soviétique et a questionné l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine.

Interrogé vendredi soir sur la chaîne française LCI, Lu Shaye a estimé que les pays de l’ex-URSS « n’ont pas le statut effectif dans le droit international parce qu’il n’y a pas d’accord international pour concrétiser leur statut de pays souverain ».

Concernant la Crimée, un territoire ukrainien que la Russie occupe depuis 2014, il a déclaré : « Ca dépend de comment on perçoit ce problème. Il y a l’Histoire. La Crimée était tout au début à la Russie. C’est Khrouchtchev qui a offert la Crimée à l’Ukraine dans l’époque de l’Union soviétique. »

Le ministère français des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué avoir « pris connaissance avec consternation » de ces propos, demandant à la Chine « de dire (s’ils) reflètent sa position, ce que nous espérons ne pas être le cas ».

L’Ukraine a été reconnue internationalement « dans des frontières incluant la Crimée en 1991 par la totalité de la communauté internationale, Chine comprise, à la chute de l’URSS comme nouvel Etat-membre des Nations unies », a insisté Paris, rappelant que l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 est « illégale au regard du droit international ».

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris déraille encore en ne reconnaissant plus les frontières

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris déraille encore en ne reconnaissant plus les frontières

Une nouvelle fois l’ambassadeur de Chine montre sa complaisance vis à vis des crimes chinois en même temps que que sa provocation sur les grands thèmes politiques. On croirait entendre les discours des communistes des années 1950 qui se caractérisait par la langue de bois, et le mensonge permanent. Parmi tous les ambassadeurs du monde, l’ambassadeur de la Chine en France figure sûrement en tête des contrevérités invraisemblables ( voir par exemple sa définition du communisme qu’il confond avec le nationalisme) et par un négationnisme provocateur voire criminel . Certes l’intéressé traduit d’une certaine manière la position de Pékin mais il en rajoute des tonnes sans doute pour attirer la bienveillance des plus hautes autorités sur lui. Tellement Surréaliste qu’on peut demander si l’intéressé ne tutoie pas par moments la démence. Son comportement agité légitime en tout cas l’interrogation.

L a France a affiché samedi soir sa « consternation » après des propos de l’ambassadeur de Chine en France, qui a nié la souveraineté des pays issus de l’Union soviétique et a questionné l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine.

Interrogé vendredi soir sur la chaîne française LCI, Lu Shaye a estimé que les pays de l’ex-URSS « n’ont pas le statut effectif dans le droit international parce qu’il n’y a pas d’accord international pour concrétiser leur statut de pays souverain ».

Concernant la Crimée, un territoire ukrainien que la Russie occupe depuis 2014, il a déclaré : « Ca dépend de comment on perçoit ce problème. Il y a l’Histoire. La Crimée était tout au début à la Russie. C’est Khrouchtchev qui a offert la Crimée à l’Ukraine dans l’époque de l’Union soviétique. »

Le ministère français des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué avoir « pris connaissance avec consternation » de ces propos, demandant à la Chine « de dire (s’ils) reflètent sa position, ce que nous espérons ne pas être le cas ».

L’Ukraine a été reconnue internationalement « dans des frontières incluant la Crimée en 1991 par la totalité de la communauté internationale, Chine comprise, à la chute de l’URSS comme nouvel Etat-membre des Nations unies », a insisté Paris, rappelant que l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 est « illégale au regard du droit international ».

L’ambassadeur de Chine à Paris déraille encore

L’ambassadeur de Chine à Paris déraille encore

Une nouvelle fois l’ambassadeur de Chine montre sa complaisance vis à vis des crimes chinois en même temps que que sa provocation sur les grands thèmes politiques. On croirait entendre les discours des communistes des années 1950 qui se caractérisait par la langue de bois, et le mensonge permanent. Parmi tous les ambassadeurs du monde, l’ambassadeur de la Chine en France figure sûrement en tête des contrevérités invraisemblables ( voir par exemple sa définition du communisme qu’il confond avec le nationalisme) et par un négationnisme provocateur voire criminel . Certes l’intéressé traduit d’une certaine manière la position de Pékin mais il en rajoute des tonnes sans doute pour attirer la bienveillance des plus hautes autorités sur lui. Tellement Surréaliste qu’on peut demander si l’intéressé ne tutoie pas par moments la démence. Son comportement agité légitime en tout cas l’interrogation.

L a France a affiché samedi soir sa « consternation » après des propos de l’ambassadeur de Chine en France, qui a nié la souveraineté des pays issus de l’Union soviétique et a questionné l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine.

Interrogé vendredi soir sur la chaîne française LCI, Lu Shaye a estimé que les pays de l’ex-URSS « n’ont pas le statut effectif dans le droit international parce qu’il n’y a pas d’accord international pour concrétiser leur statut de pays souverain ».

Concernant la Crimée, un territoire ukrainien que la Russie occupe depuis 2014, il a déclaré : « Ca dépend de comment on perçoit ce problème. Il y a l’Histoire. La Crimée était tout au début à la Russie. C’est Khrouchtchev qui a offert la Crimée à l’Ukraine dans l’époque de l’Union soviétique. »

Le ministère français des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué avoir « pris connaissance avec consternation » de ces propos, demandant à la Chine « de dire (s’ils) reflètent sa position, ce que nous espérons ne pas être le cas ».

L’Ukraine a été reconnue internationalement « dans des frontières incluant la Crimée en 1991 par la totalité de la communauté internationale, Chine comprise, à la chute de l’URSS comme nouvel Etat-membre des Nations unies », a insisté Paris, rappelant que l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 est « illégale au regard du droit international ».

Manif d’agriculteurs mercredi à Paris

Manif d’agriculteurs mercredi à Paris

Les agriculteurs sont appelés à défiler en tracteur mercredi 8 février au matin dans Paris, pour dénoncer « la disparition » de productions agricoles françaises à cause de la diminution du nombre de pesticides à leur disposition. Les agriculteurs mobilisés comptent converger en tracteurs et autocars depuis la Porte de Versailles, dans le sud de Paris, jusqu’à l’esplanade des Invalides, à proximité de l’Assemblée nationale et du ministère de l’Agriculture.

Le premier appel à manifester a été émis par la section du Grand Bassin parisien de la FNSEA, qui couvre 12 départements céréaliers du nord de la France, et par la branche spécialisée de la Fédération dans la production de betteraves sucrières (CGB). Vendredi soir, la Fédération nationale relaie et amplifie le mouvement, en appelant « tout son réseau et l’ensemble de ses filières à se mobiliser à partir du 8 février à Paris et jusqu’au 20 février dans toute la France ».

Retraites : très forte mobilisation à Paris comme en province

Retraites : très forte mobilisation à Paris comme en province

 

L’objectif syndical de rassembler dans la rue 1 million de manifestants a été largement dépassé;  même le ministère de l’intérieur en a compté 1,2 millions ( pour 2 millions estimés par les syndicats). La mobilisation a été très forte à Paris avec environ 400 000 personnes mais aussi en province y compris dans les très petites villes. La preuve sans doute que l’opinion est largement remontée contre cette réforme considérée comme injuste et inefficace.

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Plus de 200 manifestations ont eu lieu à Paris et en régions, très majoritairement dans le calme, pour faire reculer le gouvernement sur son projet de porter l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Les huit principaux syndicats français se sont accordés sur une nouvelle date de mobilisation contre la réforme des retraites, le 31 janvier,

Comme prévu, le trafic était très perturbé sur les métros comme sur les RER en région parisienne. La grève était, également, très suivie dans les transports notamment du côté de la SNCF. Le taux de grévistes y était de 46,3%, dont 77,4% des conducteurs de trains de voyageurs, selon des sources syndicales. En conséquence, le trafic régional était quasiment arrêté.

Chez Engie, quelque 40% des effectifs au statut des électriciens et gaziers étaient en grève contre le projet de réforme des retraites, a indiqué l’énergéticien français. On compte 24.000 collaborateurs du groupe Engie, soit 55% des effectifs totaux pour la France, à être au statut des industries électriques et gazières et à bénéficier d’un régime spécial de retraites.

Chez EDF, la participation des salariés à la grève s’élevait à mi-journée à 44,5% de l’effectif total, a indiqué la direction de l’énergéticien. Contrairement à celui d’Engie, ce chiffre est beaucoup plus important que lors des précédentes manifestations de ce type.

 

Enfin, dans les raffineries, la mobilisation était, là aussi, largement suivie. La CGT TotalEnergies comptait entre 70% et 100% de grévistes, sur la plupart des sites du groupe.

Les 5,7 millions d’agents de la fonction publique sont, eux aussi, concernés par le décalage progressif de l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans en 2030. En milieu de journée, près de trois fonctionnaires sur dix (28%) étaient en grève dans la fonction publique d’Etat, qui compte 2,5 millions d’agents, selon des chiffres communiqués par le ministère de la Fonction publique. Ce chiffre est toutefois en baisse de cinq points par rapport à 2019.

Dans la fonction publique territoriale, qui compte près de deux millions d’agents, le taux de grévistes s’élevait à 11,3%. Dans la fonction publique hospitalière (1,2 million d’agents), il atteignait 9,9%, soit seulement deux pourcentages supérieurs à ceux du 5 décembre 2019, premier jour de grève contre le premier projet de réforme des retraites.

Parmi eux, les enseignants étaient particulièrement mobilisés. Le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, a annoncé un taux de 65% des professeurs de collèges et lycées grévistes, et le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, recense 70% d’enseignants grévistes.

Selon le ministère, la mobilisation nationale se traduisait par un taux d’enseignants grévistes de 42,35% dans le primaire et de 34,66% dans le secondaire (collèges et lycées), bien en deçà des chiffres des syndicats.

La participation au manifestations a été particulièrement massive à Paris mais aussi en province y compris dans les petites villes. Ils étaient plus de 13.000 manifestants à Pau, 8.000 à Châteauroux, ou encore 6.500 à Mulhouse, 10.000 à Chartres, 7.200 à Alès. Des chiffres dépassant ceux de 2019 dans de nombreuses villes moyennes, selon les chiffres des autorités. C’était notamment le cas à Angoulême, où la police a dénombré 9.000 participants, près du double de la première mobilisation contre la précédente réforme des retraites. La jauge du 5 décembre 2019 est aussi nettement dépassée dans d’autres préfectures du sud-ouest comme Périgueux (6.500), Agen (5.000) et Guéret (3.300).

Dans les grandes villes, les chiffres étaient aussi souvent supérieurs à ceux du 5 décembre 2019, comme à Toulouse (36.000), Nantes (25.000) ou Lyon (23.000). Dans certaines, néanmoins, ils étaient légèrement inférieurs comme à Bordeaux (16.000) ou Montpellier (15.000).

Comme à l’accoutumée, les comptages des autorités diffèrent de ceux des syndicats, la plupart du temps du simple au double comme à Orléans (de 12.000 à 25.000), sauf à Marseille où l’écart varie de un à cinq (entre 26.000 et 140.000). Certaines estimations sont à l’inverse très proches, comme à Tours (entre 14.000 et 15.000).

Paris bientôt sous tutelle financière de l’État ?

Paris bientôt sous tutelle financière de l’État ?

En dépit des hausses d’impôt significatives, la ville de Paris ne cesse de s’enfoncer dans une situation financière ingérable . Visiblement, la maire de Paris a perdu contrôle sur nombre de dépenses qui s’alimentent d’elles-mêmes.Malgré sa promesse de ne pas augmenter les impôts locaux, la maire de la capitale Anne Hidalgo a annoncé début novembre une augmentation de la taxe foncière de 7 points en 2023, soit une hausse de plus de 50%.

Dernière tentative en date d’endiguer une dette galopante, passée de zéro euro à l’arrivée de Bertrand Delanoë en 2001 à 7,7 milliards aujourd’hui.

Interrogé à ce sujet ce dimanche dans le Grand rendez-vous sur Europe 1 et CNews, Clément Beaune a estimé que «la situation financière est grave et n’est pas liée au Covid, contrairement à ce que dit Anne Hidalgo». Le scénario d’une mise sous tutelle n’est donc «pas exclu», a poursuivi le ministre des Transports. «Pour la capitale, c’est gravissime et je ne le souhaite pas, ce serait un ultime recours», a-t-il ajouté en invitant la maire de Paris à «prendre ses responsabilités».

«Pour les Parisiens, la page d’Anne Hidalgo est déjà tournée», a-t-il enfoncé, invoquant le résultat de l’ex-candidate PS à l’élection présidentielle, de «moins de 2% dans sa propre ville». Soit 23.000 voix à Paris quand Emmanuel Macron en obtenait 380.000, rappelle une enquête du Figaro. «C’est une espèce de fin de règne qui s’est installée», a enfin affirmé Clément Beaune.

Finances- Paris passe devant Londres comme première Bourse européenne

Finances- Paris passe devant Londres comme première Bourse européenne

Le rêve pour les brexiteurs de faire de Londres « Singapour sur Tamise » s’écroule; pire, la bourse de Paris dépasse maintenant en volume de capitalisation la bourse de Londres. Une réalité financière mais surtout aussi un symbole politique .

Les partisans du Brexit avaient pourtant entretenu l’illusion qu’au contraire Londres pourrait devenir encore davantage la bourse de référence de l’Europe en se séparant des contraintes de l’Union européenne. Le problème heureusement, c’est que tout n’est pas que spéculation et qu’il y a des réalités économiques qu’il faut prendre aussi en compte. Or dans la crise actuelle l’Europe parvient à s’en sortir nettement mieux que la Grande-Bretagne qui se retrouve isolée et dont les fondamentaux sont plus mauvais que ceux de l’Europe continentale aussi bien en termes d’inflation, de croissance ou de progression des inégalités.

La Bourse de Paris affiche très précisément une capitalisation de 2.823 milliards de dollars, contre 2.821 milliards pour celle de Londres.

Certaines entreprises ont tout simplement fait leurs adieux à la Bourse de Londres ces dernières années, à l’instar de Ryanair . La compagnie aérienne a préféré protéger sa licence européenne plutôt que ses actionnaires britanniques. Elle a renoncé à sa cotation londonienne au profit de Dublin, toujours dans l’Union européenne. Le groupe minier BHP, l’un des géants du secteur, a, de son côté, mis fin à sa cotation à Londres pour aller se coter en Australie.

La morosité économique du Royaume-Uni a également pesé sur sa devise, un facteur essentiel lorsqu’il s’agit de comparer la Bourse de Londres, où les sociétés sont cotées en livres sterling, et celle de Paris, où règne l’euro. Là aussi, le match est sans appel : la valeur de la devise britannique a plongé de 16 % face à l’euro depuis début 2016, l’année du vote du Brexit, dont une baisse de 4,6 % cette année.

Paris passe devant Londres comme première Bourse européenne

Paris passe devant Londres comme première Bourse européenne

Une réalité financière mais surtout aussi un symbole politique le fait que la Bourse de Paris soit passée devant la Bourse de Londres.

Les partisans du Brexit avaient pourtant entretenu l’illusion qu’au contraire Londres pourrait devenir encore davantage la bourse de référence de l’Europe en se séparant des contraintes de l’Union européenne. Le problème heureusement, c’est que tout n’est pas que spéculation et qu’il y a des réalités économiques qu’il faut prendre aussi en compte. Or dans la crise actuelle l’Europe parvient à s’en sortir nettement mieux que la Grande-Bretagne qui se retrouve isolée et dont les fondamentaux sont plus mauvais que ceux de l’Europe continentale aussi bien en termes d’inflation, de croissance ou de progression des inégalités.

La Bourse de Paris affiche très précisément une capitalisation de 2.823 milliards de dollars, contre 2.821 milliards pour celle de Londres.

Certaines entreprises ont tout simplement fait leurs adieux à la Bourse de Londres ces dernières années, à l’instar de Ryanair . La compagnie aérienne a préféré protéger sa licence européenne plutôt que ses actionnaires britanniques. Elle a renoncé à sa cotation londonienne au profit de Dublin, toujours dans l’Union européenne. Le groupe minier BHP, l’un des géants du secteur, a, de son côté, mis fin à sa cotation à Londres pour aller se coter en Australie.

La morosité économique du Royaume-Uni a également pesé sur sa devise, un facteur essentiel lorsqu’il s’agit de comparer la Bourse de Londres, où les sociétés sont cotées en livres sterling, et celle de Paris, où règne l’euro. Là aussi, le match est sans appel : la valeur de la devise britannique a plongé de 16 % face à l’euro depuis début 2016, l’année du vote du Brexit, dont une baisse de 4,6 % cette année.

Anne Hidalgo paye aussi sa politique catastrophique à Paris

Anne Hidalgo paye aussi sa politique catastrophique à Paris

 

 

ENTRETIEN - Au premier tour de l’élection présidentielle, la maire de Paris Anne Hidalgo a recueilli à peine plus de 2% des suffrages dans sa ville. Le journaliste et historien Didier Rykner y voit une conséquence directe de la politique que mène l’élue .

Didier Rykner est journaliste et historien de l’art français. Engagé pour la défense du patrimoine, il publie régulièrement ses enquêtes et analyses sur le site La Tribune de l’art . Il a publié La disparition de Paris, aux éditions Les belles lettres.

 

LE FIGARO. – La maire de Paris Anne Hidalgo recueille 22.936 voix dans la capitale, soit 2,17% des suffrages. Comment l’expliquez-vous ?

Didier RYKNER. - Il y a plusieurs raisons. On ne peut évidemment exclure l’affaiblissement du parti socialiste qui était déjà historiquement bas lors de la dernière présidentielle. Mais un score aussi dérisoire a surtout deux explications : une campagne totalement ratée où elle a passé son temps à se contredire et à se ridiculiser (elle est allée jusqu’à se demander pourquoi Paris avait une histoire !) et un bilan catastrophique dans la gestion de sa ville que les autres régions ont découvert grâce notamment aux réseaux sociaux, largement repris par les journaux.

N’est-ce pas réducteur d’imputer le résultat à sa politique à la tête de Paris ?

Comme je le disais, ce n’est certainement pas la seule raison, mais cela a forcément compté. La meilleure preuve en est son score à peine supérieur à la moyenne nationale à Paris même. Je crois que jamais un maire sortant candidat à la présidentielle n’avait terminé à un tel niveau. Le communiste Robert Hue, en 2002, avait obtenu 3,2 % en 2002, mais dans sa ville, Montigny-lès-Cormeilles, il avait réuni 16,15 % des voix… Quand on fédère aussi peu d’électeurs dans sa propre ville, on doit s’interroger. Cela pose indubitablement la question de sa légitimité. Cela pose surtout celle de l’élection parisienne, qui comme à Lyon et Marseille ne se fait pas avec un scrutin de liste direct, mais par arrondissement, de manière indirecte. Comme les électeurs de toutes les villes de France, les Parisiens ont le droit de choisir directement leur maire.

À la saleté des rues, à l’abandon du patrimoine, au non-entretien de l’espace public, au bétonnage qu’on voit ici comme ailleurs s’ajoutent des questions de sécurité, notamment liées au crack, qui aggravent encore la situation.

 

Même dans les arrondissements où elle est d’habitude plébiscitée, Anne Hidalgo ne franchit jamais la barre des 3 % : 2,39 % dans le 18e, 2,26 % dans le 19e et 2,40 % dans le 20e. Quelle est la particularité de ces arrondissements ? Quel est le bilan d’Anne Hidalgo dans ces secteurs ?

Le bilan d’Anne Hidalgo est désastreux dans tout Paris, et il l’est particulièrement dans ces arrondissements. À la saleté des rues, à l’abandon du patrimoine, au non-entretien de l’espace public, au bétonnage qu’on voit ici comme ailleurs s’ajoutent des questions de sécurité, notamment liées au crack, qui aggravent encore la situation. Ces arrondissements ont l’impression d’être abandonnés encore plus que les autres.

Quels sont les chantiers entrepris par l’actuelle municipalité, entre 2020 et aujourd’hui, qui ont pu influer sur le vote des Parisiens ?

Il y a tellement à dire que j’ai écrit tout un livre sur ce sujet, et que je pourrais y rajouter un tome 2 ! La municipalité n’écoute rien ni personne et poursuit ses projets sans écouter la population. Les Parisiens ne veulent pas de tours, comme l’avait montré une consultation faite par Bertrand Delanoë, et pourtant on construit des tours et on lance même le chantier de la tour Triangle peu avant les élections et alors qu’une enquête du parquet financier est en cours ! Les Parisiens veulent des arbres, et pourtant on les coupe comme je l’ai montré en photos dans La Disparition de Paris ! Les Parisiens veulent une ville propre, des rues en bon état, un mobilier urbain respecté, des monuments restaurés, et pourtant la mairie s’en fiche ! Tout cela a influencé le vote des Parisiens. Anne Hidalgo ne peut s’en prendre qu’à elle-même.

Et maintenant, que va-t-il se passer ?

Maintenant, j’espère qu’enfin une opposition crédible va se créer à Paris. Nous ne voulons pas de politique politicienne. Il faudrait que le mouvement citoyen qui s’est créé autour de #saccageparis, et qui comporte des personnalités remarquables, dont certaines d’ailleurs avaient voté Hidalgo en 2014 et qui ont depuis réalisé leur erreur, se fédère davantage. Il y a beaucoup de jeunes de moins de quarante ans dans l’opposition à la mairie actuelle. Ils sont l’avenir de Paris.


Rachida Dati assassine aussi la maire de Paris

Rachida Dati assassine la maire de Paris

Rachida Dati n’a cessé depuis le début de la campagne présidentielle d’assassiner la candidate de son parti Valérie Pécresse. Désormais elle s’attaque même à la maire  de Paris Anne Hidalgo. En fait elle revendique cette place de maire de Paris tout autant que celle de responsable du parti républicain. La mondaine parvenue par les chemins de la courtisanerie oligarchique n’a guère de complexes pour assurer sa propre promotion y compris en dépit de ses gamelles judiciaires relatives par exemple au financement indu reçu de Renault !

 

Quel dossier vous semble prioritaire pour la capitale?

Tous, car cette mandature, c’est le chaos dans tous les secteurs. La justice est même saisie sur des dossiers municipaux douteux. Circuler à Paris à vélo, à pied ou en voiture, est devenu un enfer. Les Parisiens sont dépossédés de leur qualité de vie. Près de 10% de la voirie est inaccessible de manière permanente en raison des chantiers menés sans contrôle ou par des occupations illégales.

 

Quel bilan faites-vous de l’action d’Anne Hidalgo sur la sécurité, la propreté et la gestion de l’espace?

Comme la grande majorité des Parisiens, négatif! Paris c’est la bétonisation à outrance, c’est le département le plus criminogène de la France métropolitaine, c’est la saleté et les embouteillages. 

Finances: La baisse de la bourse américaine contamine Paris

Finances: La baisse de la bourse américaine contamine Paris

 La toute dernière analyse de Jeremy Grantham, Let the wild rumpus begin – littéralement, « Que le chahut sauvage commence » – fait un tabac dans les médias. Gourou de Wall Street, fondateur de la société de gestion GMO (65 milliards de dollars d’actifs), l’octogénaire a vu venir un paquet de krachs et de faillites depuis plus de trente ans.( un papier  de Murielle Motte dans l’Opinion, conforté par le fait que la baisse de la bourse américaine contamine aussi Paris et d’autres bourses dans le monde affectées elles aussi par des bulles extravagantes)

Il juge la bulle actuelle « extravagante » aux Etats-Unis. Il s’agit d’ailleurs de la quatrième « superbulle » en cent ans, après 1929, 2000 et 2007. Avec quelques caractéristiques communes : en fin de cycle, les marchés s’emballent, en l’occurrence le Nasdaq a gagné 50% en un an, hors effet confinement du printemps 2020. Et les investisseurs deviennent complètement irrationnels, en témoigne l’hystérie autour des cryptomonnaies, des NFT ou des « meme stocks », ces actions subitement en vogue sur les réseaux sociaux et dont les cours s’envolent sans raison valable, énumère-t-il.

La spécificité du moment, c’est la simultanéité de bulles, souligne aussi Jeremy Grantham. Aux États-Unis, les prix immobiliers ont bondi de 20% l’an dernier, plus qu’en 2006. En proportion du revenu, c’est encore davantage au Canada, en Australie et en Chine. Par ailleurs, les prix de la dette (inverses des taux d’intérêt) n’ont jamais été aussi élevés, etles cours des matières premières(énergie, métaux, agricoles) volent de record en record. L’expert prédit un appauvrissement des Américains de 35 000 milliards de dollars si les marchés retracent ne serait-ce que les deux tiers de leur emballement par rapport à leur valorisation historique.

Pourquoi cette analyse aujourd’hui ? Parce que la Bourse ignore totalement l’inflation, alors que les valorisations (les PER) y sont théoriquement sensibles, rappelle-t-il. Comme les banquiers centraux, les investisseurs veulent croire qu’elle est transitoire. Mais les banquiers centraux sont en train de changer d’avis.

Manif École interdite à Paris

Manif École interdite à Paris 

 

Encore une décision qui ne risque pas de ramener le calme dans l’environnement de l’école puisque la manif prévue par certains syndicats à Paris a été interdite par la préfecture.

Cela au motif que la demande de manifestation aurait été émise hors délai.Cette décision d’annulation n’est sans doute pas très opportune dans la mesure où on pouvait s’attendre à une moindre participation que jeudi dernier du faîte notamment de l’absence de syndicats réformistes et aussi de la lassitude des parents.Mais il est vraisemblable que la manifestation se tiendra quand même et il est possible du coup que des affrontements et des débordements soient constatés pour exprimer le mécontentement. Bref, une attitude pas très responsable de la part du gouvernement qui semble chercher la provocation même si on peut légitimement considérer qu’il s’agissait d’une manif de trop.

La vérité sans doute c’est que la situation socio-politique se tend dans le pays et que le gouvernement veut étouffer tout risque de bouillonnement social dans cette période pré électorale.

De ce point de vue , ce pourrait bien s’agir d’une nouvelle erreur stratégique qui va provoquer une plus grande mobilisation. «La préfecture de police de Paris refuse d’autoriser la manifestation organisée par l’intersyndicale d’Ile-de-France. Non content de rester sourd à la colère et aux revendications des personnels de l’Éducation nationale, le gouvernement, à travers son représentant, leur dénie le droit de l’exprimer en manifestant dans Paris», regrette la CGT dans un communiqué. Le syndicat juge cette décision du préfet de police «inacceptable» et dit «exiger que le droit constitutionnel de manifester soit respecté». «Après une manifestation réussie, le 13 janvier, la préfecture de police interdit l’expression des revendications des personnels à la suite des annonces faites par le premier ministre (…) La FSU proteste vivement et exige que l’interdiction de manifestation soit levée», a demandé ce syndicat dans un autre communiqué.

Face à cette interdiction de manifester, le syndicat FO dit «mainten(ir) (son) souhait de se rassembler devant le ministère de l’Education, ce même jour, jeudi». «Le motif de ce refus étant le non respect des délais trop courts entre notre demande et la date de la manifestation, nous vous faisons remarquer que les délais étaient encore plus courts entre la décision de mettre en place le dernier protocole sanitaire dans les établissements et sa mise en application», écrit le syndicat dans un communiqué. Un recours gracieux a été envoyé par les syndicats.

Covid: Le port du masque retoqué aussi à Paris

Covid: Le port du masque retoqué aussi à Paris

Cette décision du tribunal administratif de retoquer le port du masque obligatoire à Paris pourrait bien s’étendre à toutes les agglomérations en France.

Il n’est pas certain cependant que la levée du port du masque soit générale, il se pourrait que le masque soit maintenu dans des lieux très fréquentés.

Le tribunal administratif de Paris a donc suspendu jeudi l’arrêté préfectoral qui rend obligatoire le port du masque en extérieur à Paris depuis le 31 décembre, a appris l’AFP auprès de la juridiction. Cette décision intervient au lendemain de celle du tribunal administratif de Versailles, qui avait suspendu un arrêté similaire, une première sur le territoire national, en estimant que la mesure portait «une atteinte excessive, disproportionnée et non appropriée (…) à la liberté individuelle».

CAC 40 : la Bourse de Paris encore en hausse avant correction

CAC 40 : la Bourse de Paris encore en hausse….. avant correction 

Comme d’habitude, c’est un peu le même rituel qui se déroule dans les milieux boursiers avec une envolée des cours vers la fin de l’année avant correction et prise de bénéfice. L’argent n’a pas manqué cette année grâce notamment à la générosité de la banque centrale européenne qui a inondé l’économie mais aussi les milieux financiers. Pour preuve de cette excellente santé financière, nombre d’entreprises se sont engagés dans la voie du rachat d’actions. Une opération complètement inutile sur le plan stratégique mais qui permet de gonfler les cours avant d’encaisser le fruit des hausses et de les faire payer ensuite aux naïfs de la bourse.

D’une certaine manière c’est le grand paradoxe de l’année 2021, année de crise sanitaire, année de redressement économique ( mais le retard demeure encore sur 2019) et d’amélioration du volume de liquidités des entreprises.

Le quoi qu’il en coûte était nécessaire mais il a été déversé sans condition vraiment contraignante et sans ciblage précis . De sorte que l’argent gratuit offert aux banques par la BCE n’a pas servi seulement qu’à soutenir l’économie. Il a aussi servi à soutenir inutilement les cours boursiers. Pour preuve cette augmentation de 30 % des cours complètement déconnectés de l’évolution des activités et de la vraie rentabilité des entreprises.

 

Hier l’indice CAC 40 avait encore gagné 0,57% à 7.181,11 points, un plus haut en clôture, mais, au cours de la séance, il était monté jusqu’à 7.187,76, un pic absolu améliorant son précédent plafond de la mi-novembre. 

Covid: Record d’incidence à Paris

Covid: Record d’incidence à Paris

 

 

La capitale est le département le plus touché de France métropolitaine. En effet, à titre de comparaison, la moyenne nationale se situe à 760, selon les chiffres du site CovidTracker. Les autorités fixent à 50 le seuil d’alerte. Tous les départements de la métropole sont aujourd’hui au-dessus.En cause évidemment la grande mobilité et la promiscuité dans la région la plus peuplée. Une donnée qu’il faudra sans doute un jour prendre en compte si demain les pandémies devaient se développer dans le monde. Pour le moins et pour de nombreuses raisons, il y a lieu de s’interroger sur la politique de l’urbanisme qui concentre les habitants sur quelques villes métropole et transforme progressivement le reste en désert démographique
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