Archive pour le Tag 'Paris'

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Sondage mairie Paris : NKM loin devant Dati , à égalité avec Fillon

Sondage mairie Paris  : NKM loin devant Dati , à égalité avec Fillon

La première adjointe du maire de Paris, candidate déclarée, gagnerait dans tous les cas de figure face au candidat UMP. Mieux, elle sortirait en tête du premier tour (avec 38 à 39% des suffrages) quel que soit le nom du challenger de droite. Qui est le mieux placé pour porter les couleurs de l’UMP l’an prochain à Paris? Poussé par ses amis parisiens depuis cinq ans, François Fillon recueillerait 28%. Un résultat en demi-teinte puisque dans une enquête similaire réalisée au début du mois de septembre dernier, il obtenait 33% des voix. Certains verront dans cette relative contre-performance un effet collatéral de la crise de l’UMP avant Noël. La surprise provient surtout de la percée de Nathalie Kosciusko-Morizet. Testée pour la première fois depuis que son nom circule chez les élus parisiens, l’ancienne ministre de l’Ecologie fait jeu égal avec François Fillon. Si Fillon semble peu tenté par une aventure municipale dans la capitale, NKM laisse ses amis pousser sa candidature tout en affirmant que sa priorité demeure la ville de Longjumeau, dans l’Essonne, qu’elle administre depuis 2008.En attendant les choix de François Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet, la candidature la plus crédible reste celle de Rachida Dati. La maire du VIIe arrondissement se prépare activement pour la primaire. Pour l’instant, elle peine à convaincre les Parisiens puisqu’elle obtiendrait  21% au premier tour si elle était tête de liste UMP. Testée aussi dans la primaire auprès d’un échantillon de sympathisants de droite (certes petit donc moins significatif), la députée européenne apparaît très en retard (8%) par rapport à Fillon (64%) et NKM (21%).

 

Agriculture : manif pro-nitrate à Paris

Agriculture : manif pro-nitrate à Paris

Près de 200 agriculteurs ont mené une opération tôt mercredi matin devant le ministère. Ils ont déroulé des bottes de paille et allumé un feu de palettes au carrefour du boulevard des Invalides, dans le VIIème arrondissement de Paris. Ils protestent contre le durcissement de la « directive nitrates », qui vise à limiter la pollution des sols. Ils réclament notamment la démission du ministre Stéphane Le Foll. Arrivés à bord de plusieurs camions à l’appel de la Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles (FRSEA) d’Ile-de-France, ils étaient bloqués peu avant 7 heures par un cordon de CRS à l’angle de la rue de Varenne, où siège le ministère. Selon un des manifestants, des camions de fumier, destinés eux aussi au ministère Stéphane Le Foll et à ses services, ont été bloqués aux portes de Paris. La Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), actuellement en campagne pour les élections aux chambres d’agriculture prévues fin janvier, a appelé ses adhérents à se mobiliser partout en France mercredi. En région, certains ont commencé de se manifester dès mardi soir, comme à Rennes et au Mans, où des pneus et du fumier ont été déversés en centre-ville et devant un hypermarché. Menacée de lourdes sanctions financières par Bruxelles pour non-respect de la directive adoptée il y a plus de vingt ans, la France a pris récemment des mesures restreignant diverses pratiques agricoles pour protéger les points de captage de l’eau et les nappes phréatiques. La FNSEA conteste ces « décisions politiques arbitraires » et une directive qui a pris selon elle la tournure d’un « monstre administratif ».

 

ONU/Mali : Paris demande d’aller plus vite

ONU/Mali : Paris demande d’aller plus vite

 

La France a demandé dans une lettre au Conseil de sécurité « d’accélérer la mise en oeuvre de la résolution 2085″ qui autorise le déploiement d’une force internationale au Mali et prévoit un processus politique.  Dans cette lettre, dont l’AFP a obtenu copie, Paris informe aussi le Conseil que « les forces armées françaises ont apporté (…) leur soutien aux unités maliennes pour lutter contre des éléments terroristes ».

 

Dati recherche un mari et la mairie de Paris

Dati recherche un mari et la mairie de Paris

Dati ne doute de rien, surtout pas d’elle-même. Archétype des carriéristes politiques sans scrupule et  sans conviction, elle recherche en même temps un mari, plus exactement un père pour sa fille (un milliardaire, le patron du groupe Barrière auquel elle intente un procès en reconnaissance de paternité ! voir article) et en même temps annonce sa candidature à la Mairie de Paris. Chic et choc, l’incompétence, la mauvaise foi et la veulerie en même temps. Dati dont l’élégance n’est qu’apparente en profite pour insulter Fillon.  La guerre Dati-Fillon n’est pas prête d’être enterrée. Dans Le Parisien Magazine de vendredi, la maire du VIIe arrondissement de Paris a annoncé qu’elle sollicitera l’investiture du premier parti d’opposition pour les municipales à Paris en 2014, et a taclé l’ancien premier ministre. « Oui », Rachida Dati sera candidate quoi qu’il advienne aux primaires de l’UMP pour la mairie de Paris en 2014, « je suis maire du VIIe arrondissement, conseillère de Paris, impliquée dans les grands dossiers parisiens », a-t-elle justifié. En septembre dernier, elle affirmait déjà au JDD qu’elle serait « sans doute candidate à des primaires ouvertes ». A propos de François Fillon, qui lui avait ravi l’investiture lors des élections législatives en juin, et qui n’a pas écarté lui aussi être candidat à la mairie, elle a expliqué que « les militants, et les Français plus globalement, le voient maintenant tel qu’il est, susceptible et orgueilleux ». Pour l’ancienne ministre, la rivalité Copé-Fillon illustre « deux générations et deux conceptions de l’UMP qui s’affrontent », dit-elle au Parisien Magazine. « Est-ce qu’on veut un parti replié sur lui-même ou ouvert aux adhérents? Fait-on le choix d’un parti de notables ou de militants? », a-t-elle résumé. Au secours, on croît rêver !

Paris : plus de voiture de plus de 17 ans, vivent les riches !

Paris : plus de voiture de plus de 17 ans, vivent les riches !

Personnellement, je roule en Clio, 2O ans, 90 000 kms. Paris me sera désormais interdit (le plus souvent j’utilise cependant les transports collectifs). Des mesures aussi anti poids lourds, résultat on ira en périphérie se ravitailler ; il faudra 1000 voitures pour remplacer un camion qui transporte 15 tonnes ! Beau bilan énergétique. Le maire de Paris Bertrand Delanoë propose qu’à partir de septembre 2014 soit interdite la circulation dans la capitale des véhicules particuliers et utilitaires de plus de 17 ans et des poids-lourds de plus de 18 ans. Des abaissements de limitation de vitesse sont aussi étudiés, entre autres. Ce projet, très offensif, sera proposé au Conseil de Paris le 12 novembre prochain. Pourquoi la mairie franchit-elle ce cap ? Les enjeux politiques ne sont-ils pas risqués en vue des élections municipales de 2014 ? Bertrand Delanoë, maire de Paris, était l’invité de RTL.

Ce projet est très offensif, la situation n’est plus tenable ?

« Je constate que depuis dix ans, nous avons osé, nous les Parisiens, changer car la pollution est un fléau, et ce malgré tous nos efforts et des résultats excellents sur un certain nombre de polluants. Certains ont d’ailleurs quasiment disparu. Mais sur les particules fines, qui sont un danger mortel, les normes européennes ne sont pas respectées en France. Le gouvernement est menacé d’être sanctionné parce que ceux qui l’avait précédé ne voulaient pas prendre des mesures assez efficaces.

Je propose donc une nouvelle étape de notre lutte contre la pollution. Je fais des propositions et je souhaite que progressivement, nous interdisions les véhicules les plus nocifs pour la santé. »

A partir de quelle date ?

« Dès septembre 2014. Mais pour être efficace en 2014, il faut commencer à y travailler maintenant. »

N’est-ce pas risqué d’engager une telle réforme en fin de mandat ?

« Souvent en fin de mandat on s’endort et on conserve ce qui a marché. La vie est telle qu’il faut tout le temps faire preuve d’audace. »

La mesure réellement courageuse ne serait-elle pas de supprimer tout simplement le diesel, principal émetteur des particules fines ?

« Figurez-vous que je n’accepte pas que 60% bus de la RATP fonctionnent au diesel. Je ferai à court terme, avant le 12 novembre, des propositions sur ce sujet. Par ailleurs, je considère que tous les poids-lourds qui n’ont pas à passer à Paris et qui le font parce que ça les arrange devront contourner la capitale. C’est une mesure de bon sens et de salubrité publique. »

C’est votre fameuse idée de péage…

« J’ai toujours refusé le principe d’un péage qui empêche les véhicules de rentrer dans Paris. J’avais en revanche proposé durant mon premier mandat de mettre un péage sur les autoroutes franciliennes, mais j’avais en face de moi un gouvernement extrêmement conservateur en la matière. Avec un gouvernement plus réceptif, je refais des propositions, dont celle-ci. »

Ne craignez-vous pas les réactions des automobilistes ?

« Je ne refuse jamais le débat démocratique. Beaucoup de gens m’ont critiqué quand je faisais le tramway, puis on a fini par reconnaître que j’avais raison. Il y a 25% de voitures en moins à Paris depuis 11 ans, moins de pollution. Les Parisiens utilisent moins leur voiture, 40% en moyenne. Il faut accepter d’évoluer sinon on s’enferre dans des modèles dépassés, dangereux pour notre santé et peu agréables à vivre. »

 

 

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